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L'Exposition municipale de Beaux-Arts. I

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L E G E N E VOIS D U 2 9 A O U T 1 8 8 4

alliages des mésaux, p a r voie sèche et p a r voie hu m id e Description des agents chim iq ues e m ­ ployés daos les essais et r e c h e r c h e de leur p u ­ re t é ; P ré p a r a ti o n de l’o r et de l’a r g e n t c h im iq u e - sm e o t p a r s . Application d e la balan c e p o o r les pesées délicates. P ri s e d’essais. Fab ricatio n des co ap elles. Exercice des calculs se r a p p o r t a n t aux essais et aux alliages. Connaissance de la loi fé dérale s u r le contrôle des m a t iè r e s d’o r et d ’a r ­ gen t et des r è g le m e n ts d’exécution.

Les candid ats p o u r r o n t ê tr e e x a m in a s en a lle ­ m and ou en fran çais, selon leur désir. P o u r l’ex amen o ral, ils s e r o n t pa rta g é s en gro u p es de trois au m axim un ; cet e x a m e n a u r a u n e d u ré e de deux h e u re s p o u r c h a q u e g ro u p e et, s’il le f a u t , plus lo ngue e n c o r e . S e ro n t admis à y a s­

sister les m e m b re s du conseil de l’école et les délégué s des auto rités fédérale s, des g o u v e rn e ­ m e n ts c a ntona ux et des adm inis trations locales. L’ex am e n pratique co m p r e n d 15 à 20 essais dé -différents alliages d’o r, d’a r g e n t et de platine p a r voie sèche e t p a r voie h u m i d e ; en ou tr e , l’e m - sploi de la p ie r re de to uche et la m anipula tio n du poin çonnem er t. Prise d’essais. Fab ricatio n de coupelles. P o o r les essais à la coupellation, la plus forte toléra nce adm ise ne devra pas d é p a s ­ ser 2 millièm es p o u r l’o r et 5 millièm es

pour

l’a r g e n t ; p o u r les essais par voie h u m i d e , 1 1|2 m illièm es.

Le r é s u lta t des deux exam e ns (oral et p r a t i ­ que) devra è re e x p ri m é p a r l’une des trois notes su ivante s : bien, passab le, in s u ffisa n t.

L orsqu’un a s p ira n t reço it la note « insuffisant » dans l’un des deux e x a m a n s , il ne p e u t ôtre d i ­ plômé. Toutefois, il peut se pre'senter encore deux fois§à des ex am e n s ult é rie u rs. Mais, qu an d p a r trois fois il n e réussit pa% il est envisagé

c om m e définitiv em ent renvoyé. (C om m uniqué

T i O t e r l e d e * a r t s d é c o r a t i f * . — Le m inis tre de l’i n t é ri e u r vient d’a u to r is e r le co m i­ té de la loterie des A n s décoratifs à doL ner en vente les deux millions de billets non vendus. 11 est bien en te n d u que tous les p o rte u rs de n u m é ­ ros, achetés avant le d e r n i e r tirage, particip en t aux chances de gain p o u r les lots qui n ’ont pas é t é gagnés p a r le public et qui form ent e n s e m ­ ble une som m e de 730,000 fr.

M. Jules H u g u e n in , facteur anx b a t e a u x , nous prie de faire savoir q u ’il n ’a rien de co m m u n avec son h o m o n y m e c o n d a m n é m e credi p a r la Cour co rrectio n n elle à dix jo u rs de prison.

Dimanche soir, 31 août, à la brasserie V ie n­ noise, place C ornavin, soirée de gala avec t o m ­ bola au bénéfice de M. N. Aosaldi.

C o u r c o r r e c t i o n n e l l e . — Audience du jeudi 2 8 août. — Le n om m é D. R e­ nard, sujet belge, accusé d ’un vol de pom - «mes de terre, est acquitté, grâce à M L i - ^henal qui se trouvait là et a pris sa d é ­

fense. — U n e personne ayant recueilli une jeune Argovienne qui se trouvait sans asi­

le, Marie F e h r , celle-ci a récompensé sa bienfaitrice en lui volant une montre, un sbracelet et une chaîne. Cette manière i n ­

solite de tém oigner sa reconnaissance vaut à l’accusée deux mois de prison. — Schmidt, B enjam in; Durgueil, E ugène, et Eich, Albert, âgés de 47 à 1 9 ans, sont trois gourmands. Mais co m m e l’argent n é ­ cessaire pour satisfaire cette gourm an­ dise leur faisait absolument défaut, ils ont soustrait à la veuve Peney une certaine quantité de vins, de liqueurs et de bon­ bons ; puis sans doute poi r mélanger leurs

breuvages, ils ont encore dérobé six cuil- liers en métal. Le sans-gêne avec lequel ils ont satisfait leur vice vaut à Schm idt et à Durgueil 3 mois de prison ; Eich s ’en tire avec 4 5 jours. — Elise Castella est Aine récidiviste endurcie ; elle vient encore de se faire condamner à 4 mois de prison «t 3 ans d*expulsion pour vol d ’un petit char d’enfant. — Le cocher B. est accu­ sé d’avoir volé une m ontre en m étal va­ lant 4 2 fr. Le ministère public ayant aban­ donné l’accusation, B. est libéré. — Bar­ thélémy Maillet a soustrait une paire de bottes. Il est condamné à 3 mois de pri­ son, suivis de 3 ans d’expulsion. — La session a été déclarée close et l’audience 4evée à midi 1 14.

L ’ ExpoaLtlon muitleljmfie d e i B e a n x -A r ta .

I

M. Ravel, Edouard. — L es p re m ie rs

-pas. — Tableau très remarquable malgré

quelques défauts. L’hésitation de l’enfant qui est sur la table, l’attitude de la jeune fille prête à le recevoir dans ses bras s'il fait une chute, l’accueil que lui réserve la mère tout cela est parfait d’observation et rendu avec beaucoup de bonheur. La 'grand’mère et l’enfant qui avale le c o n - | enu de son écuelle en regardant son jeune frère sont moins étudiés ; les yeux de ce dernier sont surtout d’une dureté Qui détonne dans ce paisible intérieur ; 'les accessoires et le fond du tableau lais­

sent à désirer. Ces quelques critiques fai­ tes, nous devons constater que

M.

Ravel est en progrès constant et qu’il faut le classer parmi nos meilleurs peintres. Il a presque com plètem ent abandonné ce fâ­ cheux penchant à la caricature que nous signalions dans de précédentes toiles ; il en reste toutefois encore, dans l’enfant dont nous parlons plus haut, une légère trace qui finira certainement par dispa­ raître dans ses prochaines œuvres. —

L es deux om is. — Une petite fille vient de

se coucher ; elle a abandonné sa poupée et caresse un chat ; c’est médiocrem ent intéressant, mais assez joliment peint.

M. Gaud, L /o n . — L e dim anche à l ’a u ­

berge en Savoie.

— Cette toile, de di­

mension «issez grande,, laisse une impres­

sion confuse. Les personnages sont bien

dessinés et bien peints, quoique la tona­

lité soit trop poussée au noir ; cette ser­

vante d’auberge qui se détache vigoureu­

sement en lumière témoigne du savoir de

l’artiste ; le ménétrier, le galant qui sem­

ble inviter la servante à la danse, les b u ­

veurs et les joueurs pris individuellement

sont fort travaillés; évidemment

M.

Gaud

manie le pinceau avec une grande habi­

leté. Comment expliquer que son tableau

laisse le spectateur perplexe sinon in ­

différent? On ne peut dire qu ’il soit m au­

vais, car à part le délaul que nous avons

relevé, il seraitdiiïîcilede formuler une cri­

tique sur la facture en elle-même. I.e vice

de l’œuvre c’est le manque d’intérêt ; l’ar­

tiste n’a pas saisi le sens intime des cho­

ses, et la communication manque entre les

personnages réunis dans ce cabaret. Si

ces paysans avaient été groupés par un

photographe intelligent, l’épreuve res­

semblerait au tableau. Tous ces individus

restent étrangers les uns aux autres, ceux

qui fument comme ceux qui dansent, ceux

qui jouent comme ceux qui boivent ; le

ménétrier pas plus que la servante ne

s’inquiète de ses voisins ; chacun pose sé­

parément pour le photographe qui vient

de dire : « Ne bougeons plus. > Voilà

pourquoi, malgré le talent incontestable

du peintre, le tableau de

M.

Gaud ne re­

tient pas le spectateur.

M. Jules Girardet. — La déroute de

C h olel. — Le temps est brumeux, le ciel

menaçant, une pâle lueur blanche coupe l’horizon. Sur le chem in qui traverse une lande désolée de la Vendée passe une charrette attelée de deux chevaux ; le conducteur effrayé fouette à coups redou­ blés les pauvres bêtes qui galopent éper­ d u e s ; derrière, à droite, les Vendéens terrifiés, haletants, fuient devant les sol­ dats de la République, l a mitraille des

bleus décim e les soldats du droit divin

et répand l’épouvan'e dans leurs rangs. En tête de cette colonne en déroute un vieux chouan courant à toutes jambes, tenant son mousquet d ’une main et son sabre de l’autre, est particulièrement saisi de main de maître. Le tableau de M. Ju­ les Girardet est certainement la perle de l’exposition; c’est une œuvre très-remar­ quable à laquelle nous ne ferons qu’une critique de détail; le cheval mort qui se trouve au premier plan est peu étudié et contraste par sa sécheresse avec la puis­ sante harmonie de cette belle toile.

M. Stuckelberg, Ernest. —- R eligieu ses

suisses in stru isa n t de p e tits m ontagnards.

— Nous ne savons si M. Stuckelberg est l’auteur des fresques de la chapelle de Tell ou son h om onym e, mais sa peinture nous ferait pencher pour la première al­ ternative. Il sem ble que ce tableau est peint sur un mur et non sur la toile et que l ’artiste a dû vaincre une difficulté. Cette religieuse et ces enfants sont gra­ nulés co m m e si le gravier du mur n’avait pu être com plètem ent dissimulé par la couleur. Ajoutons que le dessin est conventionnel et le coloris absolument faux.

M Castres, Edouard. — Une Japo­

naise. — U A ngélus. — Ces deux tableaux

sont gais, enlevés d’une main habile. C est joli, bien trouvé, très-décoratif, mais s u ­ perficiel.

M. Duval, Etienne. — Un soir su r le

M l , N ubie. — Un soir su r le N il, H aute- E g y p te . — M. Duval est connu pour ses

paysages égyptiens. Il sait admirablement rendre la grandiose m onotonie, les vastes effets de lumière de cette partie de

1*0-rient. Malheureusement la nature de l’E ­ gypte varie peu ; aussi M. Duval est-il condamné, tant qu’il se vouera

à

ce genre,

à

refaire le m êm e tableau.

M. Jeanmaire, Edouard. — S o le il cou­

chant dans une fo rê t de sapins à la Joux- P e rre t. — E ffet de so leil d a m une fo rêt de sapins à la J o u x -P e r r e t. — De l’E ­

gypte au Jura il y a loin et le contraste des deux natures est frappant. Hâtons- nous de dire que M. Jeanmaire sait ren­ dre les bois de sapins du Jura neuchâtelois avec ce souci de la vérité et cette c o m ­ préhension de la nature qui caractérisent les vues égyptiennes de M. Duval. Les tableaux de M. Jeanmaire sont tous deux de premier ordre dans leur genre.

Il

y a quelques réserves

à

faire sur le rac­ courci de la vache qui se trouve dans

Y Ef f et de soleil.

M. Hodler, F. —

Guerrier f u r i e u x .

M. Hodler est toujours aussi inégal et in­

complet. Evidemment cet ancien Suisse

se détache vigoureusement dans cette im­

mense toile. C’est bien le type du guer­

rier suisse tel qu’on se l’imagine, mais si

M. Hodler donne de pareilles proportions

à l’ébauche d ’un personnage, quelle place

lui faudia t il s’il veut peindre un épiso­

de ? Les plus grandes toiles de Paul Vero-

nèse seront trop petites pour son pinceau.

Or le peintre vénitien, dans ses immenses

compositions, soignait les détails, ce dont

M. Hodler ne semble pas avoir souci. Le

sens de la mesure fait défaut à M. Hod­

ler; il possède des qualités remarquables,

mais il manque de pondération.

M. M euron (Albert de). —•

L e soir dans les Alpes.

— La nuit tombe, un chasseur

est à l’affut au bord d’un lac alpestre, les

dernières lueurs du couchant éclairent la

cime des montagnes dont la base est à de-

mi-cachée dans l’obscurité. M. de Meuron

a entrepris une tâche difficile, pour ne pas

dire impossible; nous ne pouvons pas lui

dire qu’il a réussi. L’effort ne manque pas

dans ce tableau consciencieusement tra­

vaillé, mais la bonne volonté et le sa­

voir ne suffisent pas pour rendre la poésie

grandiose du crépuscule dans les Hautes

Alpes.

U A l p e (a llé g o r ie de la montagne).

Décidément M. de Meuron cherche les dif­

ficultés. Les grands maîtres ont usé leur

pinceau dans ce genre aussi conventionnel

que démodé ; ce n’est pas M. de Meuron

qui le fera revivre, malgié les qualités

très réelles qu’il déploie.

M.

Veillon, Auguste.

— P r e m ie r p r i n ­

temps à B r i t n z .

— Voilà un paysage bien

observé, d’un coloris exact, peint avec fi­

nesse, rendu avec bonheur. Nous le pré­

férons de beaucoup à la

Meuse à Dordrecht

du même artiste, qui est néanmoins une

œuvre de valeur.

À. B.

D e r n 'è r e s N ouvelle»

Bruxelles, 27 a o û t. Le bou rg m e str e a in terd it la manifestation cléricale fixée à d im anche. N éanm oin s le Jo u rn a l

de B ruxelles convie tous les cathol iques de la

Belgique à venir à Bruxelles dim a n c h e m atin . Rom e, 27 août. Q uarante m a h r e s d ’hôîel o n t d e m a n d é la s u p ­ pres sion de la q u a ra n ta in e à la frontière suisse. Les hôteliers principaux da Milan, Naples et Rome ont appuyé celte d é m a r c h e .

Paris, 27 août. L’amiral Pe yro n a adre ssé à l’am iral C o u rb e t un té légram m e lui ex p ri m a n t to ute la satisfac­ tion du g o u v ern em en t p o u r le b r i ll a n t d é b u t des opéra tio ns et ses vœux p our leur succès complet.

Le P arts ne voit pas l’utilité de la eam pa gne de l’ex tr ê m e gauche en faveur de la convocation des Cham bre s. Si elles éta ient convoquées, elles ne feraie nt que renouveler à M. Ju les F e rr y le b lanc-seing déjà d o nné. On ne voit donc pas ce q u ’y g a g n erait l’extr êm e gauche.

Le Paris croit savoir que la Chine ne décla re ra pas la g u e rr e . Il dit que des précautio ns sont prises dans le cas où les ports anglais i-eraient fermés au ravitaillem ent des navires français.

La Liberté an n o n ce que les mines de K s-L ung sero n t placées sous une admin istrat io n française qui les exploitera ju *qu’à complet paie m ent de l'in d em n ité.

Londres, 28 août. Une dépêche du Times dit que l’amiral C ourbet i b o m b a r d é h ie r les forts de la passe de K im - p a l. 11 les a ca n o n n é s avec d eux vaisseaux. Il a tta q u e ra p ro b a b le m e n t au jo u r d ’hui avec tous ses vaisseaux. Le succès des F rançais est c e r ­ tain.

Le D aily N eu’8 reçoit de Berlin u n e | dépèche d ’ap rès laquelle 500 F ra n ç a is d é b a rq u é s à Ke- lu ng a u ra i e n t occupé la ville sans r e n c o n t r e r de résistance.

Une a u tr e d épêche d u D aily News s i g n a le une g ra n d e agitation parm i les populations des st e p ­

pes rus ses de la fr ontière chinoise.

Le Standard dit que suivan t le p h o du g é n é ­ ral Wolseley, l’e x p é i tion du S o i d a n devra être en tièrem en t réan ie à Dongola le 7 novembre.

DÊPÊCHES TÉLÉGRAPHIQUES

Bepae, 28 août.

M. Welti, président de la Confédéra­

tion, ne va pas encore mie&x.

Mgr Ferrata a fait aujourd’hui une vi­

site à M. Schenk, vice-président du Con­

seil fédéral.

Paris, 28 août.

D’après une dépêche de Shanghaï &

l’Agence Havas, du 28 août, les forts de

Migan ont été réduits au silence le 26 au*

soir.

L’amiral Courbet a attaqué hier les

forts de Kimpaï. La canonnade a été très

forte.

Londres, 28 août.

Une dépêche adressée au

Times

de

Fou-Tcheou 28 août, annonce qu’à 1 h.

50 du soir les forts de la passe de Kimpaï

ont été détruits.

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HORAIRE DES CHEMINS SE FER

Heure de Genève

S U I S S E

© é g s a p t e . M a lin : 5.19. — 7 . 2 9 . —

10.04

Morges. H . 59 (ex p r.).

Soir : 2.06. — 4 . 3 4 . — 5 49, Lau sanne. —

7.09, Nyon. — 8 . 4 4 , L ausanne.

A r r i v é e s . — M atin : 7.47, de Lao sa one. ■— 9.44. — i l 49. Soir : 2 .06, de Lausanne. — 2.59 e x p r.) . — 4.54, de L ausanne. — 5 . 5 9 (e x p r .) . — G.54. — 9.1 4 . — 10.44-, de Nyon. F R A N C E M é p w r t » . Matin : 6.42. — 8.30 Bellegarde. — 11.05 (e x p r .) . — i l . 20.

Soir : 2 50 Mâcon. — 3 35 (expr.) . — 6 19

(expr.). — 8.2 0 (rapide). — 9.50 Bellegarde. A r r i v é e s . M atin : 7 .1 5 , de Culoz. — 8 45, de Bellegarde. — 9 d 0 (expr.). — 4 1 . 1 0 . — 1 1 . 4 0 (expr.) . Soir : 3 . 3 0 . — 7 .2 9 . — 9 05 (rapide). — 10 55, de Bellegarde. — 1 1.3 5 .

RATEAUX A VAPEUR

(Heure de G enèveJ C O T S

R é p a r t e . M a tin : 6.24, Boa vere t. — 8 . 0 9 N yon-N ernie r. — 8.54 (expr. 2 rives.). — 10.54 Villeneuve.

Soir : S.19 (expr . 2 riv e s .) .— 1.49 N y o n -T o a -

gues. — 3.24 Villeneuve. - 5 04 Nyon-E via n. A r r i v é e » . M atin : 7.54 de N yon.— 9.2 4 de V illeneuve.— 44.5 4 d e N yon.— 12.2 9 ( e x p . 2 m e s ) .

Soir : 2.1 9 de Villeneuve. 4 34 de N y o n . —

5.44 de Bouveret. — 7.34 (expr. 2 rives). S A V R I K

R é p a r t e . M atin : 7.04 (tous les ports). — 8 54 ( e x p r . 2 rives). — 8.54 H e r m a n c e . — 44.09 T ougaes.

Soir : 4.09 T ougaes. — 4 .49 (expr. 2 rives). — 2 04 Evia n-O uchy. — 5.09 Evian. — 7 .0 9 Tougaes.

A r r i v é e s . M atin : 6.3 4 de Hermance. — 8.24 de Evian. — 40.24 de O achy-E vian. — 44.34 de H erm ance. — 42.29 (expr. 2 riv e s).— — S o i r : 1.34 de Tougaes. — 4 24 de Tougaes.

6 39 de tons les ports. — 7.34 (expr. 2 m e s )

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