L.-J. GRUEY.— La Sunhorlogô en Dijon (Le cadran solaire de Dijon). Revue bourguignonne de l'enseignement supérieur, t. XII, n° 1, p. 2-13; 1902

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Submitted on 1 Jan 1903

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L.-J. GRUEY.- La Sunhorlogô en Dijon (Le cadran solaire de Dijon). Revue bourguignonne de

l’enseignement supérieur, t. XII, n° 1, p. 2-13; 1902

G. Sagnac

To cite this version:

G. Sagnac. L.-J. GRUEY.- La Sunhorlogô en Dijon (Le cadran solaire de Dijon). Revue bourguignonne de l’enseignement supérieur, t. XII, n° 1, p. 2-13; 1902. J. Phys. Theor. Appl., 1903, 2 (1), pp.214-214.

�10.1051/jphystap:019030020021401�. �jpa-00240745�

214

provenant du sulfate mercureux; peut-être ^la différence de grosseur des grains influe-t-elle

la solubilité.

La constance des éléments étant bien établie,

^{considéré à la}

Reichsanstalt le rapport de l’élément Clark à 0° à l’élément

cadmium à ~0° ;

période ^de quatre ^ans,

^le rapport moyen 1,4228,

différence maxima de 0,0001~ ^{entre les} observations; pour le rapport ^{du clark à 15°}

^{weston à} 20°, ^le rapport moyen pour la ^même période ^{est de} 1,40669,

^diffé-

rence

maxima de 0,00019. ^On peut donc avoir confiance

éléments..

MOREAU.

L.-J. GRUEY.2014 La Sunhorlogô

Dijon (Le cadran solaire de Dijon).

Revue bourguignonne ^de l’enseignement supérieur, ^t. XII,

1, p. 2-13; ^1902.

Cet article est le premier spécimen,

^moins

^{France, d’une} pièce mathématique imprimée

Esperanto.

Il renferme la description ^et la théorie d’un cadran solaire fort ancien et, semble-t-il, unique, ^construit

les bords de l’ Ouche,

fond du parc de Dijon.

Sur le sol horizontal sont tracées deux droites rectangulaires : NS, de direction nord-sud, ^et EO, de direction est-ouest. Vingt- quatre ^bornes

pierre ^sont plantées ^{autour du} point de croisement de

deux droites suivant

ellipse ^{d’axes NS et EO. Sur}

dalle placée ^le long ^du petit

^{NS de} l’ellipse ^sont gravés ^les signes ^du zodiaque, ^du

capricorne, ^{d’un côté de} NS, ^{et du} capricorne

cancer, de l’autre côté.

Un promeneur désireux de connaître l’heure doit

placer

^le point ^du zodiaque correspondant

jour ^de

promenade; ^{il voit}

alors

ombre dirigée

celle des vingt-quatre ^bornes

laquelle ^est inscrite l’heure cherchée.

M. Gruey ^montre que la théorie de

curieux cadran solaire peut

se

déduire géométriquement de celle du cadran solaire équinoxial,

par le moyen d’une projection.

G. SAGNAC.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019030020021401