La cryoconservation : un outil performant pour la sauvegarde des coraux en danger : son application à Pocillopora damicornis

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(1)La cryoconservation : un outil performant pour la sauvegarde des coraux en danger : son application à Pocillopora damicornis Lionel Feuillassier. To cite this version: Lionel Feuillassier. La cryoconservation : un outil performant pour la sauvegarde des coraux en danger : son application à Pocillopora damicornis. Biologie végétale. Université Montpellier, 2015. Français. �NNT : 2015MONTS177�. �tel-02009251�. HAL Id: tel-02009251 https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02009251 Submitted on 6 Feb 2019. HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers.. L’archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d’enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés..

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(22) Remerciements… Voici sans aucun doute la partie la plus difficile à rédiger de ce manuscrit. Comment choisir les bons mots et les bonnes tournures pour exprimer toute la gratitude que j’ai pour tant de personnes ? Cette thèse aura été une expérience exaltante et intense, riche en émotions et en rebondissements. Elle est certes une aventure scientifique mais elle demeurera surtout une formidable expérience humaine. Elle restera pour moi inoubliable et d’abord grâce à vous… Je souhaite remercier Madame Isabelle Domart-Coulon (MNHN, Paris) et Madame Catherine Labbé (INRA, Rennes) qui ont eu la gentillesse d’accepter très rapidement de juger la qualité de mon manuscrit et de ma présentation orale. Soyez assurées de ma profonde gratitude. Je. tiens. également. à. remercier. Monsieur. Pascal. Gantet. (UM,. Montpellier), Monsieur Michel Petit (IRD, Montpellier) et Monsieur Philippe Lebaron (UPMC, Banyuls sur mer) pour m’avoir honoré de leur présence dans mon jury de thèse. Recevez là mes plus sincères remerciements. J’adresse mes plus profonds remerciements à Monsieur Bernard Dreyfus (IRD, Marseille) et Monsieur Philippe Lebaron pour avoir accepté de financer mon doctorat. Merci également à Thomas Changeux (IRD, Marseille) pour avoir participé de très près à toutes ces démarches. Je sais désormais les efforts financiers et administratifs qu’il faut fournir pour mener à bien un tel projet et je vous demande de trouver en ces quelques lignes toute ma reconnaissance pour votre soutien. Je veux aussi vous remercier pour votre disponibilité à mon égard et l’intérêt que m’avez manifesté tout au long de cette thèse, Merci infiniment à vous trois. Je souhaite remercier du fond du cœur mon directeur de thèse, Monsieur Florent Engelmann (IRD, Montpellier). Florent, je ne sais comment te remercier tellement cette expérience sous ton encadrement aura été.

(23) formidable. C’est un honneur de t’avoir eu comme directeur de thèse, je mesure aujourd’hui toute la chance que j’ai eu d’être ton doctorant. Je garderai très profondément ancré en moi les moments que j’ai pu passer à tes côtés. Je te remercie pour ton incroyable disponibilité et ta réactivité malgré toutes les responsabilités qui t’incombaient. Je te remercie également pour ton indéfectible soutien durant tous ces mois, y compris dans les moments les plus durs. Merci pour ta patience, ton respect et aussi ta bonne humeur. Merci pour ton humanité et ton humilité, ce sont certainement les plus belles leçons que je retiendrai de ton encadrement. Rendre une thèse inoubliable c’est une chose, la rendre agréable c’en est une autre… Avec mes plus sincères remerciements Florent. Je remercie également Monsieur Pascal Romans (UPMC, Banyuls sur mer) pour avoir accepté de participer à l’encadrement de ma thèse et pour m’avoir accueilli au sein de son service, le Centre de Ressources Biologiques Marines. Pascal, si aujourd’hui j’en suis rendu là, c’est d’abord grâce à toi. Tu m’as proposé un beau jour de m’investir sur un cdd… Du cdd à la thèse, voilà où nous en sommes aujourd’hui. Merci pour avoir cru en moi et pour m’avoir permis d’évoluer dans ton service. Ce ne fut pas qu’une expérience de doctorat, ce fût bien plus grâce à la proximité de l’aquarium public et de toutes les autres structures expérimentales. Merci ! Un. merci. tout. particulier. à. Monsieur. Dominique. Barthélémy. (Océanopolis, Brest). Dominique, tu m’as permis de réaliser mon stage de maîtrise à Océanopolis et quelques années après c’est à nouveau avec beaucoup de plaisir que j’ai pu compter sur ton soutien. Tu as répondu présent dans les moments où j’avais besoin de ton appui et comme toujours, avec beaucoup de réactivité. Ca a été un vrai plaisir de pouvoir interagir avec toi pendant ces trois années. Merci sincèrement Dominique pour cette collaboration de grande qualité. Je n’oublie pas non plus l’équipe aquariologique d’Océanopolis pour leur soutien et leur disponibilité.à mon égard. Merci infiniment !.

(24) Tous mes remerciements vont également à Monsieur Patrick Masanet (Aquarium de Canet en Roussillon). Patrick, tu fais parti de ceux pour lesquels je dois beaucoup dans la réalisation de ma thèse. Ta discrétion et ton humilité cachent une personne d’une grande qualité humaine et professionnelle. J’ai beaucoup appris à tes côtés, nos discussions m’ont été à chaque fois très instructives. Ton expérience dans le récifal est hors du commun. Je ne sais comment te remercier pour l’appui que tu m’as offert pendant ces trois années. Je n’oublierai jamais ta disponibilité et ta générosité. Tu as été à plusieurs reprises ma dernière chance et je ne me suis jamais trompé. Je te souhaite le meilleur pour la suite ! Avec tous mes remerciements ! Je pense également à l’équipe de l’Aquarium de Canet en Roussillon avec qui j’ai eu plaisir à échanger durant ma thèse. Bon courage dans la construction du nouvel Aquarium, c’est avec un grand plaisir que je viendrai le visiter ! Je tiens à remercier Madame Isabelle Sylvestre-Engelmann pour m’avoir initié à la cryoconservation au début du projet Cryocorail. J’ai beaucoup apprécié nos échanges, la formation à tes côtés, tes encouragements ainsi que ton engouement pour le projet Cryocorail. Merci Isabelle ! . Je remercie Madame Claude Payri et Madame Fanny Houlbrèque pour. vos encouragements. J’espère avoir un jour l’occasion de pouvoir découvrir votre quotidien, la Nouvelle Calédonie… Je veux aussi remercier Madame Isabelle Domart-Coulon pour ne pas avoir fermé la porte à une éventuelle collaboration. D’autres équipes ont été moins avenantes et je vous remercie donc pour l’effort que vous avez porté à mon égard. Nos discussions m’ont été très précieuses. Merci Isabelle. Je tiens particulièrement à remercier Madame Myriam Collin pour tout l’enthousiasme et la générosité qui m’ont été donnés. Myriam… comment te remercier à la hauteur de ce que tu m’as apporté… Je n’oublierai JAMAIS cette réunion préliminaire où finalement dès le lendemain je me retrouvais dans le labo d’histo avec mes balles tissulaires… Merci pour m’avoir encadré,.

(25) formé, soutenu, pour t’être autant acharnée à donner le meilleur de toimême pour que nous réussissions ces manips d’histo en à peine 4 mois. C’était nouveau pour tout le monde mais finalement notre investissement n’a pas été vain… Tu comptes parmi ces personnes à qui je dois beaucoup dans la réalisation de ma thèse. Vraiment merci Myriam et du fond du cœur je te souhaite le meilleur pour la suite ! J’en profite pour remercier le personnel de l’IRD de Montpellier qui m’a si gentillement accueilli. Je pense en particulier à Monsieur Yves Duval ainsi qu’à Monsieur Serge Hamon. Merci également à Madame Sylvie Doulbeau en te souhaitant une agréable et reposante retraite… . Je pense aussi au personnel du CIRAD et un grand merci à Monsieur JeanLuc Verdeil et Monsieur Marc Lartaud pour votre accueil et votre disponibilité ainsi que votre aide dans l’exploitation d’Image J. Il y a eu Myriam, mais il y a eu aussi Nancy Trouillard… et cette rencontre, en plus de m’avoir apporté une collègue, m’a aussi apporté une amie. Merci ma petite Nancy pour tous ces bons moments avec toi et il y en a eu tellement ! Tu m’as tant apporté pendant tous ces mois… je ne pourrai jamais t’oublier et te connaissant tu ne m’en laisseras pas l’occassion !! Tu fais partie de ces personnes qui donnent une résonnance toute particulière à cette thèse. Merci pour ton soutien dans cette thèse. Tu es quelqu’un de formidable et je te souhaite un réel épanouissement professionnel mais aussi personnel ! Je souhaite remercier sincèrement Monsieur Guillaume Mitta, Monsieur Mehdi Adjeroud, Monsieur Jérémie Vidal-Dupiol et Mademoiselle Kelly Brener pour m’avoir permis de participer à la mission de trois semaines au Sultanat d’Oman dans le cadre du projet ADACNI. Merci à vous pour cette très belle expérience ! Un merci tout particulier à Jérémie et à Kelly, pour les bons moments passés ensemble. Bon courage ma petite Kelly dans la réalisation de ta thèse. J’ai pris beaucoup de plaisir à travailler à côté de toi et je garderai de très bons souvenirs de notre rencontre. Tu es une très belle personne, surtout ne change rien !.

(26) Un gros merci à Mademoiselle Lucie Martinez pour son investissement à mes côtés. Merci Lucie pour ta participation qui fût la bienvenue ! Merci également à Mademoiselle Amandine Hispa et Mademoiselle Marine Cambon pour vos interventions respectives. Mes remerciements vont à Madame Sandrine Bodin pour l’aide dans l’obtention de certaines publications. Merci Sandrine pour nos échanges, ils ont toujours été très agréables et chaleureux ! Je veux aussi remercier Madame Francine Delmas, Madame Hanka Hensens et Madame Catherine Picq qui m’ont aussi été d’une aide très précieuse dans la fourniture de nombreuses publications. Un grand merci à vous trois pour votre réactivité et votre efficacité. Je vous en suis vraiment reconnaissant. Je tiens à adresser des remerciements tous particuliers au service administration de l’UMS 2348 que j’ai harcelé et malmené pendant tous ces mois. Je pense notamment à Rémi Cucarella, merci Rémi pour ta redoutable efficacité et rapidité. Tu as été un vrai moteur pour faire avancer mes contrats,. mes. avenants,. mes. conventions. et. toutes. autres. formalités. administratives et je t’en suis tellement reconnaissant…, tu m’as beaucoup parlé chinois mais aujourd’hui ma thèse touche à sa fin et tu n’y es pas pour rien. Je ne veux pas non plus oublier Maxime Fernandez pour avoir repris au pied levé et avec beaucoup de réactivité mon dossier. Merci aussi Maxime pour ta bonne humeur, ça a été un vrai plaisir d’interagir avec toi ces derniers mois. Mais il y a aussi, Josiane Fievet, Angélique Bugada, Catherine Toreille, Claire Biron, Sophie Sanchez, Véronique Champfay, qui ont dû supporter ces méandres administratifs, merci à vous toutes pour votre patience et votre bonne humeur ! Je remercie également le service enseignement, Julie Bœuf, Valérie Bayo et Nancy Trouillard pour m’avoir permis d’utiliser la verrerie et certains.

(27) consommables. Merci à vous trois pour votre gentillesse et votre bonne humeur ! Je souhaite aussi remercier Emilie Baye pour ses précieux conseils dans la culture cellulaire et toutes les manips de comptages. Merci Emilie pour avoir passé du temps à m’apprendre et à me conseiller. Ton rire résonne encore… Merci ! Plein de Mercis à Julien Loubet et à Rémi Pillot pour tous ces bons moments passés avec vous. Je vais sincèrement regretter ces échanges et cette bonne humeur. Quand la profession est une passion, les discussions deviennent intarissables, n’est ce pas Juju ?? Je vous souhaite à tous les deux le meilleur pour la suite, beaucoup d’épanouissement dans vos fonctions respectives. Je repasserai avec plaisir découvrir le nouvel Aquarium du labo Arago qui, j’en suis sûr, sera plein de belles surprises. Merci à Michel Groc pour nos discussions si intéressantes ! J’en profite pour remercier le service informatique, Fabien, Nicolas et un merci particulier à Valérie Domien pour son œil expert dans la correction de mes posters. Bonne continuation à vous tous ! Et des Mercis, je les adresse également à beaucoup de personnes du laboratoire Arago avec qui j’ai pris plaisir à échanger. Je pense notamment à François Charles et à François Lantoine, Gilles, Béa, Franck, … pour nos discussions et votre soutien. Merci aussi François pour ton expertise autour des Symbiodinium sp ! Merci également à Hervé Moreau et à Anne-Marie Genevière pour m’avoir permis d’accéder à la hotte à flux laminaire, merci à François-Yves Bouget et à Philippe Schatt pour la disponibilité de la sorbonne. Je ne veux pas non plus oublier Nuria Alonso, Jean-Clair Horveno et Mohammed pour les soirs et les weekends où je finissais à pas d’heure. Merci à vous trois pour votre soutien. Un très gros Merci à Karine et à Mounir pour votre soutien durant la thèse et pour la suite… Merci aussi à Sandrine, Nathalie, Amandine, Mareike, … pour votre gentillesse et vos soutiens, et vive.

(28) la salsa !! Tant de personnes restent à citer, pardonnez moi de ne pouvoir tous vous remercier nominativement mais recevez ce Merci si sincère et amical. Je suis arrivé au laboratoire en fin d’année 2010 et après presque 5 ans, je ne peux que vous remercier pour le formidable accueil que j’ai reçu. A vous tous, Merci ! Je tiens à adresser mes plus profonds remerciements à Madame Jacqueline Goy pour la formidable rencontre qui s’est faite autour de la thématique des Méduzoaires. Merci Jacqueline pour votre soutien et vos conseils mais surtout pour votre précieuse amitié. Un merci sincère à Monsieur et Madame Lemaire, gérants du U Express de Port Vendres mais aussi à Sylvia et Florence pour avoir compris ma situation. et. également. à. permis. de. Monique,. soutenir Jacques,. mon. doctorat. Francis,. sans. Marine…. pour. encombres. votre. Merci. accueil. si. chaleureux. Enfin, il est de coutume de les citer en dernier alors qu’ils sont sans conteste ceux qui ont du supporter mon sale caractère (si si !), mes angoisses et mes inquiétudes depuis toutes ces années. Ils devraient être les premiers à être remerciés car je leur dois tellement, ma chère famille. Merci Maman pour la richesse de ton éducation, pour ton éveil à la culture, pour ton indéfectible soutien malgré les vicissitudes de la vie. Merci pour m’avoir toujours porté haut et sans aucune retenue. Cette thèse, c’est toi qui m’en as donné le courage, tu y es pour beaucoup, bien plus que tu ne le crois. Merci Papa pour tes encouragements et pour ton aide à mon épanouissement. Merci pour avoir supporté. durant. toutes. ces. années. et. sans. jamais. te. plaindre. mes. déménagements dans la France entière et parfois jusqu’à 4 fois dans une même année… Merci mes parents, je vous dédie cette thèse à tous les deux. Je veux remercier mon jumeau de frère pour avoir compris que cette thèse était devenue une priorité pendant ces trois dernières années. Merci pour tout ce que tu m’apportes Benoît, et encore aujourd’hui merci à Elodie.

(29) et à toi pour m’offrir mon premier rôle de Tonton Yo… Bienvenue à ma petite Andréa, je suis sûr qu’elle va aimer mes méduses ! Et enfin, entre une naissance et une thèse, l’année 2015 ne serait pas complète sans citer mes grands parents et leurs 90 ans respectifs… Merci Pépé et Mémé ainsi que Mémé B. et Joceline pour votre soutien sans limites et si important pour moi. Merci pour avoir compris et accepté l’importance de mes très longues absences. Je vous dois beaucoup et je suis tellement fier de pouvoir vous présenter ce travail de doctorat. Merci infinement ma chère famille !.

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(32) . . . . ,,,(WDWGHO¶DUW ,,,/DFU\RHWOHVFRUDX[«GHVSUpGLVSRVLWLRQV" ,,,/HU{OHDPELJXGXJO\FpURO ,,,/DV\QWKqVHGXWUpKDORVHFKH]OHV6FOpUDFWLQLDLUHV ,,,'HVDQWLR[\GDQWVWHOVTXHOHVDFLGHVDPLQpV GHW\SHP\FRVSRULQH ,,,/DJO\FLQHEpWDwQHXQRVPRO\WHSURPHWWHXU ,,,/DSODFHGHVFRPSRVpVVXOIXUpV /H'063 /¶DFU\ODWH /H'06 /H'062 . S S S S. S S S S S S S &KDSLWUH ,QWURGXFWLRQjODELRORJLHFRUDOOLHQQH S ,9&ODVVLILFDWLRQSK\ORJpQpWLTXHGHV6FOpUDFWLQLDLUHV S ,9/HVRXVUqJQHGHV0pWD]RDLUHV S ,9/HVHPEUDQFKHPHQWVODSODFHGHV&QLGDLUHV S ,94XDWUHFODVVHVGRQWFHOOHGHV$QWKR]RDLUHV S ,9'HX[VRXVFODVVHVLPSRUWDQWHV S ,9/¶RUGUHGHV6FOpUDFWLQLDLUHV S ,9/D)DPLOOHOH*HQUHHWO¶HVSqFHODSODFHGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV S ,92UJDQLVDWLRQVTXHOHWWLTXHGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV S ,9/HVpOpPHQWVVTXHOHWWLTXHV S ,9/HVSRO\SLpULWHV S ,9/HFRHQRVWHXP S ,9/DWKqTXH S ,9/HVVHSWHV S ,9/HVpSLQHVVTXHOHWWLTXHV S ,9/DFROXPHOOH S ,9/HSODWHDXEDVDO S ,9/DVTXHOHWWRJHQqVH S ,9$QDWRPLHFRUDOOLHQQH S ,9/HSRO\SH S ,9/HVWHQWDFXOHV S ,9/DFDYLWpJDVWULTXH S ,9/HFRHQRVDUTXH S ,92UJDQLVDWLRQKLVWRORJLTXHHWF\WRORJLTXH S ,9/¶HFWRGHUPHRUDO S ,9/HVHQGRGHUPHVRUDOHWDERUDO S ,9/¶HFWRGHUPHDERUDO S ,9/DPpVRJOpH S ,9'pWDLOVGHVW\SHVFHOOXODLUHVOHVSOXVIUpTXHPPHQWPHQWLRQQpV S.

(33) ,9/HVDPRHERF\WHV ,9/HVFHOOXOHVFDOLFREODVWLTXHV ,9/HVFHOOXOHVpSLWKpOLDOHV ,9/HVFHOOXOHVJDVWURGHUPLTXHV ,9/HVFHOOXOHVJODQGXODLUHV ,9/HVFHOOXOHVLQWHUVWLWLHOOHV ,9/HVFQLGRF\WHV ,9/HVGHVPRF\WHV ,9/HVHQGRV\PELRQWHV ,9/HVJDPqWHV ,9/HVPXFRF\WHV ,9/HVVFOpUREODVWHV . . . . S S S S S S S S S S S S. 3DUWLH,, S &KDSLWUH /HPLFURERXWXUDJHHWODFU\RFRQVHUYDWLRQXQHpTXDWLRQjLQFRQQXHV S ,3UpDPEXOH S ,(WXGHELEOLRJUDSKLTXHOHFRQFHSWGXPLFURERXWXUDJH S ,/HFKRL[GHVWUDLWHPHQWV S ,4XHOOHWROpUDQFHGHVDSH[GH3GDPLFRUQLVH[SRVpVDX[FU\RSURWHFWHXUV" S 6\QWKqVH S &KDSLWUH 3URVSHFWLRQjO¶pFKHOOHLQGLYLGXHOOH S ,,/HVSODQXODH S ,,3UpDPEXOH S ,,(WXGHELEOLRJUDSKLTXHODSURGXFWLRQODUYDLUHGH3GDPLFRUQLV S %URDGFDVWHUVYHUVXVEURRGHUV S 3OXVLHXUVUHSURGXFWLRQVSRXUXQHHVSqFH S /HVDYDQWDJHVGHVUHSURGXFWLRQVFRPELQpHV S /¶HPEU\RJHQqVH S /DSODQXODWLRQ S ,,'pPDUFKHH[SpULPHQWDOH S 0DWpULHOHW0pWKRGH S 0DWpULHOELRORJLTXH S 6XLYLGHVSRQWHV S 7UDLWHPHQWGHVSODQXODH S 2EVHUYDWLRQVSRVWWUDLWHPHQWV S 5pVXOWDWVHW'LVFXVVLRQ S /HVF\FOHVGHSODQXODWLRQ S /DWROpUDQFHGHVSODQXODHDX[VROXWLRQVFU\RSURWHFWULFHV S 6\QWKqVH S ,,/HVSRO\SHVSULPDLUHV S.

(34) ,,3UpDPEXOH ,,(WXGHELEOLRJUDSKLTXH/DPpWDPRUSKRVHHWODIL[DWLRQ /DPpWDPRUSKRVH /DIL[DWLRQ /HVWHFKQLTXHVGHIL[DWLRQ /DPpWKRGH2R]R)L[ 0pWKRGH 'HVHVVDLV ,,/HVSRO\SHVLVROpV ,,3UpDPEXOH ,,0LVHHQDSSOLFDWLRQ 6\QWKqVH &KDSLWUH /DPLFURSURSDJDWLRQHWODFU\RFRQVHUYDWLRQXQHpTXDWLRQVLPSOLILpH ,,,3UpDPEXOH ,,,(WXGHELEOLRJUDSKLTXH/HV&QLGDLUHVjO¶pSUHXYHGHODGLVVRFLDWLRQ WLVVXODLUHHWFHOOXODLUH ,,,+LVWRULTXH ,,,,GHQWLILFDWLRQGHVEDOOHVWLVVXODLUHV ,,,0pWKRGHVGHSUpSDUDWLRQGHVEDOOHVWLVVXODLUHV ,,,/HVW\SHVGHGLVVRFLDWLRQ ,,,/HVPLOLHX[GHGLVVRFLDWLRQ ,,,/DSODFHGXFDOFLXPGDQVO¶HDXGHPHU ,,,/HUHFRXUVDX[HQ]\PHV ,,,/HFKRL[GHODGLVVRFLDWLRQHWGHVWUDLWHPHQWV ,,,/¶H[SRVLWLRQGHVEDOOHVWLVVXODLUHVGH3GDPLFRUQLVDX[VROXWLRQV FU\RSURWHFWULFHV 6\QWKqVH . . &KDSLWUH &RPELQHUSRXUPLHX[FRQFHQWUHU ,93UpDPEXOH ,9(WXGHELEOLRJUDSKLTXHXQHHVSqFHXQSURWRFROHXQPpODQJHGH&3$ ,9/HFKRL[GHVWUDLWHPHQWV ,9/¶pWDSHGHVPRODLUHV 6\QWKqVH . S S S S S S S S S S S S. . S S. S S S S S S S S S S S. . S S S S S S. &KDSLWUH 8QHDSSURFKHjWURLVVROXWLRQVH[SXOVLRQDX.6:H[SRVLWLRQDX[&3$REVHUYDWLRQDX 3$61%% S 93UpDPEXOH S.

(35) . 9(WXGHELEOLRJUDSKLTXHOHFKORUXUHGHSRWDVVLXPFKH]OHVLQYHUWpEUpVPDULQV S 9/HFKRL[GHVWUDLWHPHQWV S 97ROpUDQFHGHVEDOOHVWLVVXODLUHVDX[VROXWLRQVFU\RSURWHFWULFHV S 6\QWKqVH S. &KDSLWUH 8QHpTXDWLRQQRQUpVROXHj& S 9,3UpDPEXOH S 9, (WXGH ELEOLRJUDSKLTXH OH U{OH FOp GHV FU\RSURWHFWHXUV GDQV OD WHFKQLTXH GH YLWULILFDWLRQ S 9,/HFKRL[GHVWUDLWHPHQWV S 9,/DYLWULILFDWLRQGHVEDOOHVWLVVXODLUHV S 6\QWKqVH S &RQFOXVLRQJpQpUDOHHWSHUVSHFWLYHV S &RPPXQLFDWLRQV S 3UpVHQWDWLRQRUDOH 7ROHUDQFHRIWLVVXHEDOOVIURPWKHFRUDO3RFLOORSRUDGDPLFRUQLVWRH[SRVXUHWR FU\RSURWHFWDQWWUHDWPHQW 3RVWHUV 3RVWHU&U\RSUHVHUYDWLRQDQHZWRROIRUFRUDOFRQVHUYDWLRQ 3RVWHU /HV EDOOHV WLVVXODLUHV GX FRUDLO 3RFLOORSRUD GDPLFRUQLV DX VHUYLFH GH OD FU\RFRQVHUYDWLRQ 3RVWHU +LVWRORJLFDO HYLGHQFH RI WKH UROH RI FRUWH[ LQ SUHVHUYLQJ WKH LQWHJULW\ RI WLVVXH EDOOV IURP WKH FRUDO 3RFLOORSRUD GDPLFRUQLV /LQQDHXV

(36) GXULQJ FU\RSURWHFWDQWWUHDWPHQW ,QWHUQDWLRQDO&RQIHUHQFH&U\R%LRWHFK67/%%HVW3RVWHU$ZDUG3RVWHU 3RVWHU&U\RSUHVHUYDWLRQIRUORQJWHUPFRQVHUYDWLRQRIFRUDOGLYHUVLW\DFDVHVWXG\ ZLWK3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV 5pIpUHQFHV%LEOLRJUDSKLTXHV S .

(37) /LVWHGHV)LJXUHV 3DUWLH,&KS S)LJXUH'LVWULEXWLRQGHVUpFLIVFRUDOOLHQV6RXUFH%U\DQWHWDO S)LJXUH/H7ULDQJOHGH&RUDLODEULWDQWODSOXVIRUWHGLYHUVLWpGHPDGUpSRUHV6RXUFH RXWUHPHUPQKQIU S)LJXUH%LODQUDGLDWLIGHOD7HUUH6RXUFHFDOLSVRRXWUHDFKKDPSWRQXHGX S)LJXUH6FKpPDWLVDWLRQGXF\FOHELRJpRFKLPLTXHSHUPHWWDQWODSURGXFWLRQGH '063HWGH'06HWGHVJURXSHVIRQFWLRQQHOVLQWHUYHQDQWGDQVOHF\FOH FRXOHXU

(38) 9HUW 3K\WRSODQFWRQ%OHX=RRSODQFWRQ5RXJH%DFWpULHV1RLUIDFWHXUVDELRWLTXHV&&1 FORXGFRQGHQVDWLRQQXFOHL'20GLVVROYHGRUJDQLFPDWHULDO0H6+PHWKDQHWKLRO03$ PHUFDSWRSURSLRQDWH003$PHWK\OPHUFDSWRSURSLRQDWH06$PHWKDQHVXOSKRQLFDFLG 6RXUFH6WHIHOVHWDO S)LJXUH/HVRLVHDX[PDULQVGpWHFWHQWOH'066RXUFH(VSqFHVQ S)LJXUH%ODQFKLVVHPHQWG¶XQHPrPHEUDQFKHGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV$ 7LVVXV]RR[DQWKHOOpV%7LVVXVD]RR[DQWKHOOpV(FKHOOH FP S)LJXUH5XSWXUHGHODV\PELRVHDOJXHFRUDLO$)L[DWLRQGXFDUERQHLQRUJDQLTXH GLVVRXVHWSURGXFWLRQGHSKRWRV\QWKpWDWVJUkFHjO DFWLYLWpSKRWRV\QWKpWLTXHGHV]RR[DQWKHOOHV %3HUWXUEDWLRQGHODSKRWRV\QWKqVHLPSDFWDQWO¶DXWRWURSKLH,QGXFWLRQG¶XQVWUHVVR[\GDWLI FRQGXLVDQWjO¶H[SXOVLRQGHV]RR[DQWKHOOHVHWDXSKpQRPqQHGHEOHDFKLQJ6RXUFH :RROGULGJHHWDO S)LJXUH(YROXWLRQGHVFRQFHQWUDWLRQVHQGLR[\GHGHFDUERQHHQ$QWDUWLTXHHWj +DZDw6RXUFHUDFIRUJ S)LJXUH,QIOXHQFHGHODEDWK\PpWULHVXUODGLVVROXWLRQGXFDUERQDWHGHFDOFLXPGDQV OHVGLIIpUHQWVEDVVLQVRFpDQLTXHV6RXUFH)HHO\HWDO S)LJXUH3UpGDWLRQG $FDQWKDVWHUSODQFL6RXUFHLUGIU S)LJXUH'HVFULSWLRQG +DORIROOLFXOLQDFRUDOODVLDUHVSRQVDEOHGHO pURVLRQ VTXHOHWWLTXH6RXUFH$QWRQLXVHW/LSVFRPE S)LJXUH5HFHQVHPHQWGHVPDODGLHVWRXFKDQWOHV6FOpUDFWLQLDLUHVGH)ORULGHHWGHV &DUDwEHV6RXUFH+D\HVHW*RUHDX S)LJXUH0LFURSODVWLTXHUHWURXYpGDQVOHVPpVHQWpULHVGH'LSVDVWUHDSDOOLGD 6RXUFH+DOOHWDO S)LJXUH,QWHUDFWLRQVHQWUHOHVpFRV\VWqPHV6RXUFH0REHUJHW)RON S)LJXUH5HODWLRQVHQWUHOHVLQWpUrWVSROLWLFRpFRQRPLTXHVVRFLDX[HW HQYLURQQHPHQWDX[IRXUQLVSDUO pFRV\VWqPHUpFLIDO6RXUFH'H*URRWHWDO S)LJXUH3ULQFLSDX[FRPSRVpVELRDFWLIVSURGXLWVSDUOHVLQYHUWpEUpVPDULQV 6RXUFH'DWWDHWDO S)LJXUH(YROXWLRQWHPSRUHOOHGHODFRXYHUWXUHUpFLIDOHjO¶pFKHOOHJOREDOH6RXUFH *(2(;75$ S)LJXUH3ULQFLSDOHVPHQDFHVDQWKURSLTXHVVXUO pFRV\VWqPHUpFLIDO6RXUFH %U\DQWHWDO S)LJXUH0HQDFHVQDWXUHOOHVHWDQWKURSLTXHVVXUO pFRV\VWqPHFRUDOOLHQ 18 | P a g e.

(39) 3DUWLH,&KS S)LJXUH1XFOpDWLRQKRPRJqQHGHODPROpFXOHG¶HDXHQIRQFWLRQGHVFRQGLWLRQV WKHUPLTXHHWEDURPpWULTXHV6RXUFH'HEHQHGHWWL S)LJXUH2UJDQLVDWLRQGHVOLDLVRQVK\GURJqQHHQWUHOHVPROpFXOHVG HDXGHODSKDVH OLTXLGH D

(40) jODSKDVHFULVWDOOLQH G

(41) HW H

(42) /HFHUFOHMDXQH E

(43) LQGLTXHXQHDPRUFHQXFOpLTXH /DFRQILJXUDWLRQKH[DJRQDOHHVWELHQYLVLEOHHQ G

(44) HW H

(45) 6RXUFH0DWVXPRWRHWDO

(46) S)LJXUH/HVWHPSpUDWXUHVUHQFRQWUpHVHQFU\RFRQVHUYDWLRQ6RXUFH0RUULV S)LJXUH'pWDLOVGHVFU\RSURWHFWHXUVSpQpWUDQWVHWQRQSpQpWUDQWVOHVSOXV FRXUDPPHQWXWLOLVpV 3DUWLH,&KS S)LJXUH3URGXFWLRQSKRWRV\QWKpWLTXHQpFHVVDLUHjODSURGXFWLRQGHJO\FpUROFKH] GHX[FODGHVGH6\PELRGLQLXPVS6RXUFH6XHVFXQ%ROLYDUHWDO S)LJXUH'LIIpUHQFHVGHSURGXFWLRQVGHV0$$HQWUHTXDWUH6FOpUDFWLQLDLUHV MRXUVDSUqVLQFXEDWLRQj& 7HVW897pPRLQ89

(47) 3DO\WKLQHVHULQHVXOIDWH 0\FRVSRULQHJO\FLQH6KLQRULQH3RUSK\UD3DO\WKLQHRX3DO\WKLQHVHULQH 0\FRVSRULQH10$VHULQH8VXMLUHQH3DO\WKHQH6RXUFH)HUULHU3DJqVHWDO S)LJXUH)RUPXOHVGpYHORSSpHVGHVP\FRVSRULQHVHWGHVDFLGHVDPLQpVGHW\SH P\FRVSRULQH6RXUFH2UHQHW*XQGH&LPHUPDQ S)LJXUH3URGXFWLRQGH'063FKH](PLOLDQLDKX[OH\LHQIRQFWLRQGHOD WHPSpUDWXUHHWGHO LUUDGLDQFH6RXUFH6WHIHOVHWDO 3DUWLH,&KS S)LJXUH&ODVVLILFDWLRQGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLVVHORQOHVFULWqUHV RQWRJpQpWLTXHV6RXUFH' DSUqVODFODVVLILFDWLRQSK\ORJpQpWLTXHVLPSOLILpHGH/HFRLQWUHHW *X\DGHU

(48) S)LJXUH&DUDFWpULVDWLRQGHVTXDWUHFODVVHVGHV&QLGDLUHVHQIRQFWLRQGHVVWDGHV OLEUHVHWIL[pV6RXUFH*DOOLRW S)LJXUH([HPSOHGHFODVVLILFDWLRQGH0DGUpSRUDLUHVpODERUpHjSDUWLUGHV pOpPHQWVUDGLDLUHV6RXUFH%HDXYDLV S)LJXUH$UEUHSK\ORJpQpWLTXHFRQVWUXLWjSDUWLUGHVGRQQpHVWUDQVFULSWRPLTXHV LOOXVWUDQWOHVGLVWDQFHVHQWUHOHVIDPLOOHVGH6FOpUDFWLQDLUHVGLWHVFRPSOH[HVRXUREXVWHV FRQIURQWpHVjXQHQYLURQQHPHQWVWUHVVDQW7UD\ORU.QRZOHVHWDO S)LJXUH&RORQLHGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV S)LJXUH6FKpPDG RUJDQLVDWLRQG XQSRO\SHGH6FOpUDFWLQLDLUHVFRORQLDX[6RXUFH *UDVVpHWDO S)LJXUH'LVSRVLWLRQFpURwGH $

(49) HWSORFRwGH %

(50) GHVFDOLFHVGH3RFLOORSRUD GDPLFRUQLV S)LJXUH(OpPHQWVFDOFDLUHVFRQVWLWXDQWODFRUDOOLWH6RXUFH6RUDXI S)LJXUH2UJDQLVDWLRQGHVFULVWDX[GDQVOHVTXHOHWWHGH3RULWHVOXWHD$ 6WUXFWXUHVFULVWDOOLQHVUD\RQDQWHVRXVSKpUXOLWLTXHV%&URLVVDQFHHWpYROXWLRQGHODIRUPH 19 | P a g e.

(51) GHVFULVWDX[ L

(52) FXELTXH LL

(53) WDEXODLUH LLL

(54) GHQGULWLTXH LY

(55) VSKpUXOLWLTXHJURVVLHU Y

(56) VSKpUXOLWLTXHILQ6RXUFH&RKHQHW0F&RQQDXJKH\ S)LJXUH5HSUpVHQWDWLRQVFKpPDWLTXHGHVF\FOHVVHSWDX[G XQSRO\SHGH 6FOpUDFWLQLDLUH6RXUFH*UDVVpHWDO S)LJXUH7DX[GHFDOFLILFDWLRQHQIRQFWLRQGHODUpJLRQVTXHOHWWLTXHG $FURSRUD FHUYLFRUQLV6RXUFH*RUHDXHW*RUHDX S)LJXUH'LIIpUHQFHVGHFDOFLILFDWLRQGHVSRO\SHVGH6FOpUDFWLQLDLUHV6RXUFH *RUHDX S)LJXUH3RO\SHVGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV$3URILOODWpUDOOHSRO\SH V¶RUJDQLVHHQXQGLVTXHRUDOVpSDUpGHODEDVHSDUXQHFRORQQHPXUDOH%9XHDSLFDOHGX GLVTXHRUDOGLYLVpSDUOHVWHQWDFXOHVHWRXYHUWDXFHQWUHSDUO¶RULILFHEXFFRDQDO S)LJXUH2EVHUYDWLRQVSDU6(0$7HQWDFXOHVEDOD\DQWVG¶(U\WKURSRGLXPVS% $FURVSKqUHFKDUJpG¶LVRUKL]HVKRORWULTXHV(FKHOOH P6RXUFH.DVV6LPRQHW 6FDSSDWLFFL S)LJXUH2EVHUYDWLRQVGHVDFURVSKqUHVjO H[WUpPLWpGHVWHQWDFXOHVGHVSRO\SHVGH 3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV$&RORUDWLRQEODQFKHFDUDFWpULVWLTXHGHVDFURVSKqUHV% $XWRIOXRUHVFHQFHGHVDFURVSKqUHV&$FURVSKqUHVHQGpIHQVHDYHFODUpWUDFWDWLRQGXSRO\SH '7UDQVSDUHQFHGHVWHQWDFXOHVHWRSDFLWpGHVDFURVSKqUHVFKDUJpVG¶LVRUKL]HV S)LJXUH)HQWHEXFFDOHG XQSRO\SHGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV S)LJXUH)LODPHQWVPpVHQWpULTXHVKRUVGHODFDYLWpJDVWULTXHGHGHX[SRO\SHVGH 3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV S)LJXUH5HSUpVHQWDWLRQVFKpPDWLTXHGHO RUJDQLVDWLRQWLVVXODLUHFKH]3RFLOORSRUD GDPLFRUQLV&QFQLGRF\WH1$QXFOHXVFHOOXOHDQLPDOH19QXFOHXV]RR[DQWKHOOHV&/ FKORURSODVWH3<S\UpQRwGH(FKHOOHP6RXUFH$OOHPDQGHWDO S)LJXUH,GHQWLILFDWLRQGHV&QLGRF\WHV6RXUFHgVWPDQ S)LJXUH6\PELRVHHQWUHOHFRUDLOHWOHVEDFWpULHVGDQVOHPXFXV6RXUFH%URZQ HW%\WKHOO 3DUWLH,,&KS S)LJXUH/HVGLIIpUHQWHVpWDSHVGXPLFURERXWXUDJHDX[WUDLWHPHQWV$ $FFOLPDWDWLRQGHVEUDQFKHVGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV%0LFURERXWXUDJHGHVDSH[& 0LVHHQFXOWXUHGHVDSH[LVROpV'([SRVLWLRQGHVDSH[DX[VROXWLRQVFU\RSURWHFWULFHV(HW) 6XLYLSRVWWUDLWHPHQWV 3DUWLH,,&KS S)LJXUH3URGXFWLRQODUYDLUHDXFRXUVG XQHQXLWGHSODQXODWLRQSRXU)DYLD IUDJXP6RXUFH*RRGERG\*ULQJOH\ S)LJXUH(FKDQWLOORQGHWDLOOHGHWURLV3RFLOORSRULGpVUpSDUWLVHQWURLVFODVVHV6 VPDOO0PHGLXP//DUJH6RXUFH,VRPXUDHWDO S)LJXUH&ROOHFWHGHVSODQXODHGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV$)ODFRQVLVRODQWOHV SODQXODHSRXUODIL[DWLRQ%&ROOHFWHXUV&/DUYHGH3GDPLFRUQLV'/DUYHGH3 GDPLFRUQLVDUSUqVH[SRVLWLRQDXJO\FpURO(/DUYHHQFRXUVGHPpWDPRUSKRVHHWGHIL[DWLRQ (FKHOOH P 20 | P a g e.

(57) S)LJXUH&\FOHGHSODQXODWLRQVGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLVHQIRQFWLRQGXWHPSV HWGXFDOHQGULHUOXQDLUH S)LJXUH&\FOHGHSRQWHGHVSODQXODH JURVVSRWVSODQXODHSHWLWVVSRWVSUp SODQXODH

(58) D(XSK\OOLDSDUDGLYLVDE)DYLDIUDJXPF3DYRQDFDFWXVG3RFLOORSRUD GDPLFRUQLVH3RFLOORSRUDYHUUXFRVDI3RULWHVVSJ6HULDWRSRUDK\VWUL[K 6W\ORFRHQLHOODJXHQWKHULL6W\ORSKRUDSLVWLOODWD6RXUFH%DUWKpOpP\ S)LJXUH7ROpUDQFHGHVSODQXODHGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLVDX[VROXWLRQV FU\RSURWHFWULFHVELQDLUHVFRQWHQDQW0&3$SpQpWUDQW06XFURVH SODQXODHWUDLWHPHQW

(59) SHQGDQWPLQjWHPSpUDWXUHDPELDQWH S)LJXUH/DUYHVPpWDPRUSKRVpHVHWIL[pHVGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLVVXUIHXLOOH SODVWLTXHpURGpH6RXUFH+LGDND S)LJXUH/DPHVPLFURVFRSLTXHVHQYHUUHSHUPHWWDQWODPpWDPRUSKRVHHWOD IL[DWLRQGHVODUYHVGHSOXVLHXUV6FOpUDFWLQLDLUHV6RXUFH:\HUVHWDO S)LJXUH7XLOHVFpUDPLTXHV6RXUFH3HWHUVHQHWDO S)LJXUH$SSOLFDWLRQGHODPpWKRGH2R]R)L[SRXUWHVWHUODWROpUDQFHGHVSRO\SHV SULPDLUHVGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLVDX[VROXWLRQVFU\RSURWHFWULFHV$&ROOHFWHG¶XQHODUYH PpWDPRUSKRVpHGHPRLQVGHK%0pWDPRUSKHGpWDFKpODLVVDQWXQHHPSUHLQWHFULVWDOOLQH& /DUYHPpWDPRUSKRVpHGpSRVpHVXUXQFDUUpQ\ORQ'+)L[DWLRQGHVODUYHVHQPRLQVGH K()3RO\SHVSULPDLUHVGHMRXUVIL[pV*7URLVSRO\SHVSULPDLUHVIL[pVVXUOHPrPH FDUUpQ\ORQ,&RORQLHGH3GDPLFRUQLV-4XDWUHFRORQLHVVXUXQVHXOFDUUpQ\ORQ. 3RO\SHVSULPDLUHVHQFXOWXUH/&RORQLHDSUqVPRLVGHFXOWXUH02EVHUYDWLRQVGHV SRO\SHVSULPDLUHVVRXVELQRFXODLUH1([SRVLWLRQGHVSRO\SHVSULPDLUHVDX[FU\RSURWHFWHXUV 26pFKDJHVXUSDSLHUDEVRUEDQW S)LJXUH%DOOHWLVVXODLUHGH6HULDWRSRUDK\VWUL[6RXUFH6DPPDUFR S)LJXUH3RO\SHVPRELOHVH[SXOVpVGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV 3DUWLH,,&KS S)LJXUH'LIIpUHQWHVFRPSRVLWLRQVG¶HDXGHPHUDUWLILFLHOOH6RXUFHV6YHUGUXSHW DO5LFH 3DUWLH,,&KS S)LJXUH%DOOHVWLVVXODLUHVGH3RFLOORSRUDGDPLFRUQLV $

(60) HWGH6W\ORSKRUD SLVWLOODWD %

(61) 6RXUFH'RPDUW&RXORQHWDO S)LJXUH6WUDWpJLHVSRXULQGXLUHODPpWDPRUSKRVHGHV+\GUR]RDLUHV6RXUFH :DOWKHUHWDO 3DUWLH,,&KS S)LJXUH6ROXWLRQVYLWULILDQWHVWHVWpHVVXUOHVHPEU\RQVGH3DUDOLFKWK\VROLYDFHXV 6RXUFH&KHQHW7LDQ. . 21 | P a g e.

(62) /LVWHGHV7DEOHDX[ S7DEOHDX'LYHUVLWpGHVFRUDX[FRQVWUXFWHXUVGHUpFLIV0RGLILpGXVLWH RXWUHPHUPQKQIU S7DEOHDX9DOHXUpFRQRPLTXHGHVUpFLIVFRUDOOLHQV6RXUFH+RHJK*XOGEHUJ S7DEOHDX([FUpWLRQRVLGLTXHSDUOHV6\PELRGLQLXPKpEHUJpVGDQVWURLVHVSqFHVGH 6FOpUDFWLQLDLUHV6RXUFH+DJHGRUQHWDO S7DEOHDX&RQFHQWUDWLRQVHQ'063FKH]HVSqFHVG $QWKR]RDLUHVHWFXOWXUHVGH ]RR[DQWKHOODHSURYHQDQWGHOD*UDQGH%DUULqUHGH&RUDLO6RXUFH%URDGEHQWHWDO. . 22 | P a g e.

(63) /H[LTXH $F\O&R$,VVXGHO¶ĮR[\GDWLRQGHVDFLGHVJUDVUDPLILpVIRUPDQWXQWKLRHVWHU 5í& 2

(64) 65

(65) &RHQ]\PH$ /H QRXYHO DFLGH JUDV REWHQX SDU OD GpFDUER[\ODWLRQ R[\GDWLYH GX WKLRHVWHU YD rWUH GpJUDGp SDU GHV ȕ R[\GDWLRQV SRXU IRUPHU SOXVLHXUV WKLRHVWHU GRQW O¶$F\O&R$ RX DVVRFLDWLRQDFLGHDFpWLTXH&RHQ]\PH$2QSDUOHDXVVLG¶DFpWK\O&R$ $OEpGR9DOHXUSK\VLTXHGpILQLVVDQWODTXDQWLWpG¶pQHUJLHVRODLUHLQFLGHQWHUpIOpFKLHSDUXQH VXUIDFH GRQQpH &H IDFWHXU GH UpIOH[LRQ RX HQWUH HW

(66) VHUD G¶DXWDQW SOXV pOHYp TXH OH FRUSVUpIOpFKLVVDQWVHUDFODLU2QSHXWDXVVLpFULUH©$OEHGRª $pURELH (Q OLHQ DYHF OH GLR[\JqQH $FWLYLWpV SK\VLTXHV FKLPLTXHV RX ELRORJLTXHV FRQWUDLQWHV SDU OD SUpVHQFH GH GLR[\JqQH HQ TXDQWLWpV QRQ OLPLWDQWHV (QYLURQQHPHQW LQIOXHQFpSDUODUHSUpVHQWDWLRQGXGLR[\JqQH $PRUSKH 6ROXWp j O¶pWDW VROLGH GRQW OD GpVRUJDQLVDWLRQ PROpFXODLUH HVW SURFKH GH O¶pWDW OLTXLGH HW VH GLIIpUHQFLH GH OD FULVWDOOLVDWLRQ /H SRLQW FULWLTXH GH O¶DPRUSKLH HVWHVWLPpH j &SRXUODPROpFXOHG¶HDX $QDpURELH &RQWUDLUH GH O¶$pURELH $FWLYLWpV SK\VLTXHV FKLPLTXHV RX ELRORJLTXHV FRQWUDLQWHVSDUO¶DEVHQFHGHGLR[\JqQHHQTXDQWLWpVQRQOLPLWDQWHV(QYLURQQHPHQWLQIOXHQFp SDUO¶DEVHQFHGHGLR[\JqQH $QQH[H9$QQH[HSDUPLOHVDQQH[HVGHOD'LUHFWLYHHXURSpHQQH©+DELWDW)DXQH)ORUHª GH5pJLHVXUOHVROHXURSpHQOHVSUpOqYHPHQWVGDQVOHPLOLHXQDWXUHOHWOHVH[SORLWDWLRQV GHVHVSqFHVDQLPDOHVHWYpJpWDOHVG¶LQWpUrWFRPPXQDXWDLUH $QR[LH 'pVLJQH XQ PDQTXH GH GLR[\JqQH GDQV XQ HQYLURQQHPHQW RX GDQV OHV WLVVXV ELRORJLTXHVVXVFHSWLEOHG¶LQGXLUHO¶DVSK\[LH $QWKURSRFqQH $LUH GX 4XDWHUQDLUH VXFFpGDQW j O¶+RORFqQH HW WUDGXLVDQW O¶DQWKURSLVPH FRPPHQRXYHDXIDFWHXUG¶LQIOXHQFHGHODJpRORJLHWHUUHVWUH/DQDLVVDQFHGHO¶$QWKURSRFqQH HVW HQFRUH VXMHWWH j GpEDW HQWUH OH GpEXW GH OD UpYROXWLRQ LQGXVWULHOOH DQQpHV

(67) RX j OD VpGHQWDULVDWLRQGHVSHXSOHVLO\DDQV $SRPRUSKLH'pULYHG¶XQFDUDFWqUHSDUUDSSRUWjO¶pWDWDQFHVWUDO&KDQJHPHQWSKpQRW\SLTXH SDUGHVPRGLILFDWLRQVJpQRW\SLTXHV $SLFDO 'pVLJQH O¶H[WUpPLWp KDXWH G¶XQH HQWLWp ELRORJLTXH DSH[ S{OH «

(68) /RFDOLVH O¶HQYLURQQHPHQWSURFKHG¶XQHVWUXFWXUHFRQVLGpUpHFRPPHXQSRLQWGHUpIpUHQFH $SRSWRVH3URFHVVXVGHPRUWFHOOXODLUHSURJUDPPpHHWQpFHVVDLUHjODSpUHQQLWp GHVWUXFWLRQ FHOOXOHVFDQFpUHXVHVFHOOXOHVDXWRLPPXQHV«

(69) RXDXGpYHORSSHPHQW VWUXFWXUDWLRQORUVGX GpYHORSSHPHQWHPEU\RQQDLUH

(70) G¶XQRUJDQLVPHYLYDQW $UFKpRF\WH &HOOXOH WRWLSRWHQWH GH O¶HPEUDQFKHPHQW GHV 6SRQJLDLUHV $XVVL pFULWH $UFKDHRF\WH $XWRSKDJLH 3URFHVVXV GH GpJUDGDWLRQ SDUWLHOOH HW QRQ GLVFULPLQDWRLUH GX F\WRSODVPH FHOOXODLUH /HV YpVLFXOHV F\WRSODVPLTXHV DSSHOpHV DXWRSKDJRVRPHV DVVRFLpHV DX[ O\VRV\PHV VRQW j O¶RULJLQH GHO¶DXWRSKDJLH /¶DXWRSKDJLH SHXW rWUH XWLOLVpH SRXU OLPLWHU OD SUROLIpUDWLRQ YLUDOHSURWpJHUFRQWUHODVHQHVFHQFH« 23 | P a g e.

(71) $XWDSRPRUSKLTXH DSRPRUKLTXH

(72) FDUDFWqUH GpULYp VSpFLILTXH j XQ WD[RQ SHUPHWWDQW G¶LGHQWLILHUO¶HVSqFH $XWRWURSKLH3URGXFWLRQGHFDUERQHRUJDQLTXHjSDUWLUGHFDUERQHPLQpUDOSDUXQRUJDQLVPH YLYDQW %DWK\PpWULH 6FLHQFH SHUPHWWDQW GH GpWHUPLQHU OD SURIRQGHXU HQ PLOLHX DTXHX[ VRXYHQW DVVRFLpHjODWRSRJUDSKLH %DURPpWULH6FLHQFHPHVXUDQWODSUHVVLRQDWPRVSKpULTXH %HQWKLTXH4XDOLILHXQPLOLHXXQSURFHVVXVRXOHPRGHGHYLHG¶XQRUJDQLVPHHQUHODWLRQ DYHFOHVIRQGVVXEDTXDWLTXHV %HQWKRV(QVHPEOHGHVRUJDQLVPHVYLYDQWV SK\WREHQWKRVRX]RREHQWKRV

(73) HQUHODWLRQpWURLWH DYHFOHVIRQGVVXEDTXDWLTXHV GpILQLWLRQ,IUHPHU

(74) %LRVSKqUH (VSDFH DXWRVXIILVDQW FRQFHQWUDQW XQH GLYHUVLWp IDXQLVWLTXH HW IORULVWLTXH /¶HQVHPEOH GHV pFRV\VWqPHV GH QRWUH SODQqWH HVW VRXYHQW PHQWLRQQp FRPPH OD ELRVSKqUH WHUUHVWUH %ODQFKLVVHPHQWYRLU%OHDFKLQJ %OHDFKLQJ 7HUPH DQJORSKRQH WUDGXLVDQW OD SHUWH GH OD FRORUDWLRQ GHV RUJDQLVPHV ]RR[DQWKHOOpV &QLGDLUHV 6SRQJLDLUHV 0ROOXVTXHV

(75) DWWHVWDQW G¶XQH SHUWH GX SLJPHQW SKRWRV\QWKpWLTXH YRLUH G¶XQH H[SXOVLRQ GHV ]RR[DQWKHOOHV /HV WLVVXV GHYHQXV WUDQVOXFLGHV ODLVVHQW DSSDUDvWUH XQ VTXHOHWWH VRXYHQW EODQF TXL D YDOX O¶H[SUHVVLRQ GH EOHDFKLQJ RX GH EODQFKLVVHPHQW %LRQWH6\QRQ\PHG¶RUJDQLVPH %ORRP)RUWHSUROLIpUDWLRQSODQFWRQLTXH %URDGFDVWHU 0RW DQJORSKRQH GpILQLVVDQW OHV FRUDX[ OLEpUDQW OHV JDPqWHV GDQV OH PLOLHX H[WHUQH FRUDX[jIHUWLOLVDWLRQH[WHUQH

(76) %URRGHU 0RW DQJORSKRQH GpFULYDQW OHV FRUDX[ j IHUWLOLVDWLRQ LQWHUQH HW LQFXEDWHXUV /¶HPEU\RJpQqVHHVWSURWpJpHGDQVODFDYLWpJDVWURYDVFXODLUHGXSRO\SHMXVTX¶jODOLEpUDWLRQ G¶XQHSODQXODFRPSpWHQWH &ODGH,GHQWLILHO¶pYROXWLRQJpQpWLTXHGHVGLIIpUHQWHVOLJQpHVRXSK\ORW\SHVpYROXpHVjSDUWLU G¶XQPrPHJHQUH3RXUOHJHQUH 6\PELRGLQLXPVSFODGHV $j,

(77) RQWpWpGpWHUPLQpHV(Q JpQpUDOFKDTXHFODGHFRQWLHQWXQHGLYHUVLWpGHVRXVFODGHV &KLOOLQJ VHQVLWLYLW\ $XVVL LQGLTXp FRPPH ©&KLOOLQJ LQMXULHVª &HV GHX[ H[SUHVVLRQV DQJORSKRQHVGpILQLVVHQWOHVGRPPDJHVOLpVDXUHIURLGLVVHPHQWOHVOpVLRQVOLpHVDXIURLG FROG LQMXULHV

(78) HWFHOOHVOLpHVDXFKRFWKHUPLTXH FROGFKRF

(79) &KLPLRWURSKH 0LFURRUJDQLVPH XWLOLVDQW O¶pQHUJLH LVVXH GH O¶R[\GDWLRQ GH FRPSRVpV FKLPLTXHV &KLPLROLWKRWURSKH 0LFURRUJDQLVPHXWLOLVDQWO¶pQHUJLHLVVXHGHO¶R[\GDWLRQGHFRPSRVpV PLQpUDX[. 24 | P a g e.

(80) &KLPLRRUJDQRWURSKH 0LFURRUJDQLVPH XWLOLVDQW O¶pQHUJLH LVVXH GH O¶R[\GDWLRQ GH FRPSRVpVRUJDQLTXHV &KLPLRV\QWKqVH )RUPDWLRQ GH OD PDWLqUH RUJDQLTXH j SDUWLU GH OD PDWLqUH PLQpUDOH SDU RSSRVLWLRQjO¶pQHUJLHOXPLQHXVHXWLOLVpHSRXUODSKRWRV\QWKqVH &RHQRVDUTXH 7LVVX GH OLDLVRQ SHUPHWWDQW OHV pFKDQJHV QXWULWLIV OD GLIIXVLRQ GH O¶HDX « HQWUHOHVSRO\SHVIRUPDQWXQHFRORQLHFRUDOOLHQQH &RHQRVWHXP 6XUIDFH VTXHOHWWLTXH FRPPXQH GX FRUDLO FRQVWLWXpH G¶pOpPHQWV FDOFDLUHV HW ORFDOLVpHHQWUHOHVFDOLFHV &RQJpODWLRQ 5pRUJDQLVDWLRQ GHV PROpFXOHV G¶HDX VRXV OD IRUPH GH FULVWDX[ GH JODFH /H WHUPH GH ©FRQJpODWLRQª HVW XWLOLVp GH IDoRQ JpQpUDOH SRXU GpFULUH O¶DUUrW GHV SURFHVVXV FHOOXODLUHV /¶XWLOLVDWLRQ GH FH WHUPH DSSDUDvW LQDSSURSULpH SRXU GpVLJQHU OH SURFHVVXV GH YLWULILFDWLRQ )DK\HW:RZN

(81) &ULVWDOOLVDWLRQ )RUPDWLRQGHFULVWDX[REWHQXVjSDUWLUG¶XQVROXWpVRXPLVjGHVFRQGLWLRQV SK\VLFRFKLPLTXHVVSpFLILTXHV &U\RELRORJLH6FLHQFHpWXGLDQWOHVHIIHWVGHVWHPSpUDWXUHVQpJDWLYHVVXUOHVrWUHVYLYDQWVHWj GLIIpUHQWHVpFKHOOHV PROpFXODLUHVFHOOXODLUHVWLVVXODLUHVRUJDQLVPHV

(82) &U\RSURWHFWHXU$JHQWSpQpWUDQWRXQRQSpQpWUDQWXWLOLVpSRXUVDFDSDFLWpjSUpYHQLUHWRXj OLPLWHUOHVGRPPDJHVFHOOXODLUHVDXPRPHQWGHODFRQJpODWLRQ )DK\DQG:RZN

(83) 'HYLWULILFDWLRQ &ULVWDOOLVDWLRQ GXUDQW OD SpULRGH GH UpFKDXIIHPHQW GpFRQJpODWLRQ

(84) DSUqV OD YLWULILFDWLRQ 6DNDLHW(QJHOPDQQ)DK\HW:RZN

(85) 'LFKRWRPLTXH FOp

(86) &ODVVLILFDWLRQEDVpHVXUOHFKRL[ELQDLUHHWODVXFFHVVLRQGHFDUDFWqUHV SHUPHWWDQWODFODVVLILFDWLRQO¶LGHQWLILFDWLRQG¶XQRUJDQLVPHGDQVOHUqJQHGXYLYDQW 'XOFLFROH 2UJDQLVPH YLYDQW HQ HDX GRXFH RQ HPSORLH DXVVL ©DTXLFROHª /H TXDOLILFDWLI ©GXOoDTXLFROHª HVW DXVVL XWLOLVp ELHQ TXH FH WHUPH IDFH H[FOXVLYHPHQW UpIpUHQFH j GHV RUJDQLVPHVVHUHSURGXLVDQWHQHDXGRXFH (IIHWGHVROXWLRQ&RQFHQWUDWLRQHWSUpFLSLWDWLRQGHVVROXWpVHQpWDWGHVXUVDWXUDWLRQLQGXLW ORUVGHODIRUPDWLRQGHVFULVWDX[GHJODFHDXPRPHQWGHODGpVK\GUDWDWLRQ 7LHUVFK

(87) (OHFWURO\WH&RPSRVpjO¶pWDWOLTXLGHRXHQVROXWLRQIRXUQLVVDQWXQFRXUDQWpOHFWULTXHSDUOH GpSODFHPHQWGHVLRQVDLQVLFDUDFWpULVpVSDUOHXUFKDUJHpOHFWULTXH (SL]RRWLH(SLGpPLHWRXFKDQWOHVDQLPDX[/¶pSLGpPLHV¶DSSOLTXHjO¶KRPPHHOOHWUDGXLWOH GpYHORSSHPHQWG¶XQHPDODGLHHWVDSURSDJDWLRQGDQVXQHUpJLRQHWSRXUXQWHPSVGRQQp6D SURSDJDWLRQjO¶pFKHOOHJOREDOHGHYLHQWXQHSDQGpPLH (XWURSKLVDWLRQ (QULFKLVVHPHQW H[FHVVLI G¶XQ PLOLHX WHUUHVWUH HWRX DTXDWLTXH GRQW OHV FRQVpTXHQFHVSHXYHQWV¶DYpUHUOpWDOHVSRXUOHVFRPPXQDXWpVHQSODFH ([RWKHUPLTXH 7UDQVIRUPDWLRQ FKLPLTXH PpFDQLTXH«

(88) TXL SURGXLW GH O¶pQHUJLH VRXV IRUPHGHFKDOHXU ([SODQWDWLRQ,VROHPHQWGHFHOOXOHVRXG¶XQHSLqFHWLVVXODLUHjSDUWLUG¶XQHHQWLWpYLYDQWH )pFRQGLWp)DFXOWpGHUHSURGXFWLRQHWGHWDX[GHSURGXFWLRQG¶XQHQRXYHOOHJpQpUDWLRQ 25 | P a g e.

(89) )HUWLOLWp&DSDFLWpjSURGXLUHXQHIpFRQGDWLRQYLDEOH )XVLRQ SRLQW GH

(90) 7HPSpUDWXUH j ODTXHOOH VH SURGXLW OH FKDQJHPHQW GH SKDVH G¶XQ FRUSV H[OLTXLGHVROLGHVROLGHOLTXLGH«

(91) *DUGHQLQJ FRQFHSW ([SUHVVLRQ DQJORSKRQH XWLOLVpH SRXU GpFULUH OD FXOWXUH GH FRUDX[ GLUHFWHPHQW LQ VLWX SRXU SHUPHWWUH OH GpYHORSSHPHQW GH QXUVHULHV GHVWLQpHV j IDYRULVHU OH UHFUXWHPHQWLQVLWX *HPPXODWLRQ 3URGXFWLRQ GH JHPPXOHV FKH] OHV 6SRQJLDLUHV )RUPHV GH UpVLVWDQFHV WLVVXODLUHVVSKpURwGHVSURGXLWHVHQFRQGLWLRQVGpIDYRUDEOHVHWFDSDEOHVGHUpJpQpUDWLRQHQXQ RUJDQLVPHFRPSpWHQW *pRWDFWLVPH3RXUOHV$QWKR]RDLUHVOHJpRWDFWLVPHIDLWUpIpUHQFHjO¶DWWUDFWLRQODUYDLUHVXU OHVXEVWUDW JpRWDFWLVPHSRVLWLI

(92) *HUPRSODVPH (Q UpIpUHQFH DX SODVPD JHUPLQDWLI UHVVRXUFHV JpQpWLTXHV VRXWHQDQW OD SURGXFWLRQG¶XQHQRXYHOOHJpQpUDWLRQ *RQDGRJpQqVH)RUPDWLRQGHVJRQDGHVRUJDQHVGHODUHSURGXFWLRQ *RQRFKRULVPH $XVVL PHQWLRQQp ©GLRwTXHª FDUDFWpULVH OD SURGXFWLRQ G¶XQ VHXO W\SH GH JDPqWHV VpSDUDWLRQGHVVH[HV

(93) +DELWDWV GLUHFWLYH

(94) 'LUHFWLYHHXURSpHQQH &((

(95) GpILQLVVDQWXQFDGUHFRPPXQHQWUH OHVpWDWVPHPEUHVSRXUODFRQVHUYDWLRQGHVKDELWDWVQDWXUHOVHWOHPDLQWLHQGHODELRGLYHUVLWp IDXQLVWLTXHHWIORULVWLTXHVDXYDJH +HUPDSKURGLVPH 'pILQLW OD SURGXFWLRQ VLPXOWDQpH RX VXFFHVVLYH GDQV OH WHPSV GHV JDPqWHV PkOHV HW IHPHOOHV SDU XQ PrPH LQGLYLGX +HUPDSKURGLVPH SURWDQGUH PkOH SXLV IHPHOOHKHUPDSKURGLVPHSURWRJ\QHIHPHOOHSXLVPkOH +pWpURWURSKLH &DSDFLWp j V\QWKpWLVHU GH OD PDWLqUH RUJDQLTXH j SDUWLU G¶DXWUHV PDWLqUHV RUJDQLTXHV +RORFqQH(UHJpRORJLTXHV¶pWHQGDQWVXUOHVGHUQLqUHVDQQpHVFDUDFWpULVDQWODILQGH O¶qUH TXDWHUQDLUH &¶HVW XQH SpULRGH FRQVLGpUpH FRPPH JpRORJLTXHPHQW VWDEOH /¶$QWKURSRFqQHGpEXWDQWDYHFODUpYROXWLRQLQGXVWULHOOH

(96) HVWSUHVVHQWLHSRXUVXFFpGHUj FHWWHqUH +RPpRVWDVLH&DSDFLWpG¶XQpFRV\VWqPH RXG¶XQRUJDQLVPH

(97) jPDLQWHQLUVRQpTXLOLEUHGHV SUHVVLRQVH[WHUQHVHWLQWHUQHV +RWVSRW 7HUPH DQJORSKRQH GRQW O¶H[SUHVVLRQ OLWWpUDOH VLJQLILH ©SRLQW FKDXGª =RQHV JpRJUDSKLTXHVWHUUHVWUHVRXPDULQHVKpEHUJHDQWXQHDERQGDQWHELRGLYHUVLWpHWVRXPLVHVjOD SUHVVLRQDQWKURSLTXH +\JURPpWULH6FLHQFHGpWHUPLQDQWOHWDX[GHVDWXUDWLRQGHO¶HDXGDQVXQJD]H[SULPpHQ G¶HDX2QSDUOHpJDOHPHQWGH GHJUpG¶K\JURPpWULHRXGXWDX[G¶KXPLGLWpHQIDLVDQWVRXYHQW UpIpUHQFHjO¶DLU +\SHUWRQLFLWp /¶K\SHUWRQLFLWp FHOOXODLUH FDUDFWpULVH XQ FRQWHQX LQWUDFHOOXODLUH GRWp G¶XQH FRQFHQWUDWLRQHQVROXWpVXSpULHXUHDXPLOLHXH[WUDFHOOXODLUH/HJUDGLHQWGHFRQFHQWUDWLRQYD LQGXLUH XQH LPSRUWDQWH SUHVVLRQ RVPRWLTXH V¶LOOXVWUDQW SDU XQH HQWUpH G¶HDX GDQV OH 26 | P a g e.

(98) FRPSDUWLPHQWFHOOXODLUH/¶DEVHQFHGHUpJXODWLRQGXIOX[G¶HDXSHXWHQWUDvQHUXQHGLVWRUVLRQ H[FHVVLYH GH OD PHPEUDQH F\WRSODVPLTXH DOODQW MXVTX¶j O¶pFODWHPHQW GH OD FHOOXOH F¶HVW OH SKpQRPqQHG¶KpPRO\VH +\SRWRQLFLWp 3KpQRPqQH LQYHUVH GH O¶K\SHUWRQLFLWp /HV FHOOXOHV VRQW SOXV IDLEOHPHQW FRQFHQWUpHV HQ VROXWpV TXH OH PLOLHX H[WUDFHOOXODLUH /D VRUWLH G¶HDX GX FRPSDUWLPHQW FHOOXODLUHYDLQGXLUHXQSKpQRPqQHGHSODVPRO\VHF HVWjGLUHXQHUpWUDFWDWLRQGHODFHOOXOH +\SR[LH'pFULWXQHVLWXDWLRQSRXUODTXHOOHODFRQFHQWUDWLRQHQGLR[\JqQHGLVSRQLEOHGHYLHQW OLPLWDQWH SRXU XQH HQWLWp ELRORJLTXH GRQQpH 8QH DXJPHQWDWLRQ GX SKpQRPqQH G¶K\SR[LH HQWUDvQHXQHVLWXDWLRQG¶DQR[LH +\VWpUqVH$XVVLPHQWLRQQpFRPPHO¶K\VWHUHVLVpWDWFRUUHVSRQGDQWjXQGpFDODJHLQKDELWXHO HQWUH OD FDXVH HW OD FRQVpTXHQFH 'DQV OH FRQWH[WH GH OD FU\RFRQVHUYDWLRQ O¶K\VWpUqVH WKHUPLTXHTXDOLILHODVLWXDWLRQSHQGDQWODTXHOOHHVWREVHUYpHHQpFDUWHQWUHODWHPSpUDWXUHGH IXVLRQHWODWHPSpUDWXUHGHVROLGLILFDWLRQ ,QIUDURXJH ,5

(99) 2QGHV pOHFWURPDJQpWLTXHV GH EDVVHV IUpTXHQFHV GH UD\RQQHPHQW LQIpULHXUHV j FHOOH GX URXJH YLVLEOH /HV ORQJXHXUV G¶RQGHV LQYHUVH GH OD IUpTXHQFH

(100) VRQW VXSpULHXUHV PP

(101) jFHOOHVGHODOXPLqUHEODQFKH PP

(102) SHUFXHVSDU O¶°LOKXPDLQ/¶DEVRUSWLRQSDUO¶DWPRVSKqUHWHUUHVWUHGHVLQIUDURXJHVSURYHQDQWGHVUDGLDWLRQV VRODLUHVYDHQWUDvQHUXQHDXJPHQWDWLRQGHVWHPSpUDWXUHV -XUDVVLTXH (Q UpIpUHQFH DX[ VWUDWHV VpGLPHQWDLUHV FDOFDLUHV GpFRXYHUWHV GDQV OH -XUD WpPRLJQDQWGHODYLHWURSLFDOHGDQVO¶$UFMXUDVVLHQHQWUHHWPLOOLRQVG¶DQQpHV'HV ODJRQVDLQVLTXHGHVUpFLIVFRUDOOLHQV\RQWQRWDPPHQWpWpPLVjMRXU/H-XUDVVLTXHVHSODFH GDQVO¶qUH6HFRQGDLUH RX0pVR]RwTXH

(103) VXFFqGDQWDX7ULDV /pFLWKRWURSKH 'RQW O¶DOLPHQWDWLRQ GX ELRQWH UHSRVH VXU VD UpVHUYH YLWHOOLQH &H VRXWLHQ QXWULWLRQQHOSHUPHWDX[ODUYHVGHV¶DIIUDQFKLUSRXUXQWHPSVGpILQLGHVpFKDQJHVPDWURWURSKHV DYHFODPqUH

(104) RXGXPLOLHXHQYLURQQDQW 0DWULFH 7UDPH PDFURPROpFXODLUH SRXUYXH GH UHFHSWHXUV PHPEUDQDLUHV HW FRQVWLWXpH GH SRO\VDFFKDULGHVSURWpLQHVILEUHXVHVHWJO\FRSURWpLQHV/DPDWULFHRUJDQLTXHHVWV\QWKpWLVpHj SDUWLU GHFHUWDLQHVFHOOXOHV GX ELRQWH ELHQ TXHO¶HQVHPEOH GHV FHOOXOHV DLHQW XQHFDSDFLWp GH V\QWKqVH FRXUVSKDUPDFLHFRP

(105) 0pWDSRSXODWLRQ(QVHPEOHGHVSRSXODWLRQVG¶XQHHVSqFHUpSDUWLHVGDQVXQHVSDFHGRQQpHW VpSDUpHV GDQV O¶HVSDFH IUDJPHQWDWLRQ GH O¶KDELWDW

(106) HW GDQV OHWHPSV /D PpWDSRSXODWLRQ HVW EDVpH VXU OHV LQWHUFRQQHFWLRQV TXL H[LVWHQW HQWUH OHV SRSXODWLRQV WHO TXH OH SKpQRPqQH GH GLVSHUVLRQ DFWLIRXSDVVLI

(107) 0pVHQWqUH &ORLVRQV HQGRGHUPLTXHV GH OD FDYLWp JDVWURYDVFXODLUH /HV PpVHQWqUHV VRQW UHOLpV GDQV OHXU SDUWLH VXSpULHXUH DX SKDU\Q[ HW FRQVWLWXHQW OHV FKDPEUHV UDGLDLUHV FRPPXQLTXDQW DYHF OHV WHQWDFXOHV 'DQV OD FDYLWp JDVWURYDVFXODLUH OHV PpVHQWqUHV RQW XQ ERUG OLEUH FRQVWLWXp G¶HQGRUGHUPH HW VH SURORQJHQW GDQV OD EDVH GH OD FDYLWp VRXV OD IRUPH G¶XQ ERXUUHOHW /HV PpVHQWqUHV VRQW pJDOHPHQW GpFULWV FRPPH OHV PpVHQWpULHV HW OHV PpVHQWpURwGHV )LODPHQWV PpVHQWpULTXHV H[WHQVLRQ HW pSDLVVLVVHPHQW HQGRGHUPLTXH DX QLYHDX GX ERUG OLEUH GHV PpVHQWqUHV (Q SOXV GHV FHOOXOHV HQGRGHUPLTXHV FHV ILODPHQWV VRQW SRXUYXV GH QpPDWRF\WHV GH FHOOXOHV JODQGXODLUHV PXTXHXVHV HW JUDQXOHXVHV DLQVL DSSHOp WUDFWXV FQLGR JODQGXODLUH *UDVVpHWDO

(108) 27 | P a g e.

(109) 0pVRSKLOH %LRQWH GRQW OHV RSWLPD GH GpYHORSSHPHQW HW GH UHSURGXFWLRQ VH IRQW j GHV WHPSpUDWXUHVHQWUHHW& 0pVR]RwTXH (UH JpRORJLTXH DSSHOpH pJDOHPHQW (UH 6HFRQGDLUH HW V¶pWHQGDQW VXU PLOOLRQV G¶DQQpHV GH j PLOOLRQV G¶DQQpHV HQWUHOH SDOpR]RwTXH HW OHFpQR]RwTXH &HWWHqUHDGpEXWpMXVWHDSUqVO¶H[WLQFWLRQPDVVLYHGX3HUPLHQ a PLOOLRQVG¶DQQpHV

(110) HW V¶HVW DFKHYpH DYHF FHOOH GX &UpWDFp a PLOOLRQV G¶DQQpHV

(111) /D GRPLQDQFH GHV UHSWLOLHQV VRXVFHWWHqUHDYDOXDXVVLOHQRP©$JHGHVUHSWLOHVª 0LFURRQGH2QGHVpOHFWURPDJQpWLTXHVGHIUpTXHQFHVSOXVSHWLWHVTXHOHVLQIUDURXJHVPDLV DYHFGHVSOXVJUDQGHVORQJXHXUVG¶RQGHV GHPPjP

(112) (OOHVVRQWSOXVSHWLWHVFHSHQGDQW TXHOHVRQGHVGHUDGLRGLIIXVLRQHWIXUHQWDLQVLEDSWLVpHVGHPLFURRQGHV 0LFURERXWXUDJH 7HFKQLTXH GH PXOWLSOLFDWLRQ DVH[XpH YpJpWDWLYH

(113) SHUPHWWDQW G¶LVROHU XQ IUDJPHQWWLVVXODLUHG¶XQHHQWLWpGRQQpHHWFDSDEOHGHUpJpQpUHUXQRXGHVLQGLYLGXVFRQVHUYDQW OHVPrPHVSHUIRUPDQFHVGHGpYHORSSHPHQWHWGHUHSURGXFWLRQTXHO¶HQWLWpLQLWLDOH 0LFURFRORQLH 7HFKQLTXH GH PXOWLSOLFDWLRQ DVH[XpH SRXU O¶REWHQWLRQ G¶HQWLWpV FORQDOHV HW FDSDEOHV GH GpYHORSSHPHQW HW GH UHSURGXFWLRQ 6HORQ O¶pWXGH GH 7DPEXWWp HW DO OHV PLFURFRORQLHVVHGpILQLVVHQWFRPPHGHVIUDJPHQWVG¶$QWKR]RDLUHVFRORQLDX[FRQVHUYpVGDQV OHXU RUJDQLVDWLRQ VTXHOHWWLTXH HW WLVVXODLUH /HV PLFURFRORQLHV VH FDUDFWpULVHQW SDU XQH ORQJXHXU LQLWLDOH SURFKH GX FHQWLPqWUH (OOHV SHUPHWWHQW G¶LVROHU TXHOTXHV SRO\SHV YRLUH XQ VHXOLQGLYLGX 0LFURSDUWLFXOH3DUWLFXOHGHWDLOOHKpWpURJqQHHQWUHHWP 0LFURSODVWLTXH 3DUWLFXOHV GH SODVWLTXHV GRQW OD IUDJPHQWDWLRQ D HQWUDvQp OD IRUPDWLRQ GH SLqFHV GH SODVWLTXHV GH WDLOOH LQIpULHXUH j PP DXVVL TXDOLILpHV GH PLFURSDUWLFXOHV GH SODVWLTXHV 0L[RWURSKLH0RGHWURSKLTXHQRQVSpFLILTXHXWLOLVDQWO¶DXWRWURSKLHRXO¶KpWpURWURSKLH 0RQRFHQWULTXH,QGLYLGXVLVROpVGDQVOHXUFDOLFH 0RQRSK\OpWLTXH *URXSHV LVVXV G¶XQ DQFrWUH FRPPXQ HW FRQWHQDQW WRXV OHV GHVFHQGDQWV FRQQXV2QSHXWSDUOHUDXVVLGH©FODGHVªFRPPHSRXUOHV6\PELRGLQLXPVS 1XEELQ7HUPHDQJORSKRQHXWLOLVpSRXUGpFULUHXQHPLFURFRORQLH 1XFOpDWLRQ3KpQRPqQHDOpDWRLUHEDVpHVXUO¶RUGRQQDWLRQG¶XQHVWUXFWXUHFRQVWLWXpHG¶LRQVHW G¶DWRPHVjO¶RULJLQHGHODIRUPDWLRQGHVSUHPLHUVJHUPHVFULVWDOOLQVRXQXFOHL2QSDUOHDXVVL GHJHUPLQDWLRQ 2OLJRWURSKH 0LOLHX SDXYUH HQpOpPHQWV QXWULWLIV IDLEOHPHQW FKDUJp HQ PDWLqUHRUJDQLTXH /HVHDX[VRQWVRXYHQWWUDQVSDUHQWHV8QPLOLHXULFKHVHUDjO¶LQYHUVHTXDOLILpG¶HXWURSKHHWXQ PLOLHXGHFKDUJHLQWHUPpGLDLUHVHUDGLWPpVRWURSKH 2QWRJpQpWLTXH 'HVFULSWLRQGHVFDUDFWqUHVUHIOpWDQWO¶pYROXWLRQGXSKpQRW\SHMHXQHYHUVOH SKpQRW\SHDGXOWH 2R]RwWH(WUHLQLWLDOLVVXGXGpYHORSSHPHQWGHO¶°XI 2OLJRFqQH3pULRGHV¶pWHQGDQWHQWUHHWPLOOLRQVG¶DQQpHV(OOHFRQVWLWXHODGHX[LqPH SpULRGH GH O¶qUH WHUWLDLUH HQWUH O¶pRFqQH HW OH PLRFqQH /D UpSDUWLWLRQ GHV FRQWLQHQWV HVW 28 | P a g e.

(114) VHPEODEOH j DXMRXUG¶KXL /H 1RUG GH O¶$WODQWLTXH V¶RXYUH j O¶$UFWLTXH HQWUDvQDQW XQ UHIURLGLVVHPHQW GHV HDX[ DLQVL TX¶XQH FLUFXODWLRQ RFpDQLTXH GDYDQWDJH UHQIRUFpH SDU OD MRQFWLRQGHVGHX[$PpULTXHVDXQLYHDXGHO¶LVWKPHGH3DQDPD 2UGRYLFLHQ /¶2UGRYLFLHQ FRQVWLWXH OD VHFRQGH SpULRGH GX 3DOpR]RwTXH HQWUH HW PLOOLRQVG¶DQQpHV/HVUpFLIVFRUDOOLHQVVHVHUDLWGpYHORSSpVSHQGDQWFHWWHqUH/¶2UGRYLFLHQ HVW FLWp pJDOHPHQW SRXUO¶H[WLQFWLRQ HQWUH HW GHOD ELRGLYHUVLWp &¶HVW XQH SpULRGH SHQGDQW ODTXHOOH OD JODFLDWLRQ D HQWUDvQp G¶LPSRUWDQWHV SHUWXUEDWLRQV GHV SDUDPqWUHV DELRWLTXHVRFpDQLTXHV 2UJDQLWH $XVVL PHQWLRQQp RUJDQHOOH VWUXFWXUH RUJDQLVpH HW GLIIpUHQFLpH FRQWHQXH GDQV OH F\WRSODVPHGHVFHOOXOHVD\DQWXQHIRQFWLRQVSpFLILTXHLQGLVSHQVDEOHjO¶DFWLYLWpFHOOXODLUH 2VPRO\WH 0ROpFXOHV XWLOLVpHV FRPPH GHV SHWLWV VROXWpV SDU OD FHOOXOH SHUPHWWDQW OD UpJXODWLRQGHODSUHVVLRQRVPRWLTXH 2VPRUpJXODWHXU (QVHPEOH GHV PpFDQLVPHV KRPpRVWDVLTXHV SHUPHWWDQW GH UpJXOHU OD SUHVVLRQRVPRWLTXHFHOOXODLUHSRXUODFRQVHUYDWLRQG¶XQpTXLOLEUHLVRVPRWLTXH 3DOpR]RwTXH (UH JpRORJLTXH OD SOXV DQFLHQQH pJDOHPHQW DSSHOpH qUH 3ULPDLUH (OOH HVW FRPSULVH HQWUH HW PLOOLRQV G¶DQQpHV &HWWH qUH HVW GpFULWH SRXU VRQ DERQGDQWH ELRGLYHUVLWpHWXQFOLPDWGDYDQWDJHWURSLFDOjODILQGHFHWWHSpULRGH 3DUDSK\OpWLTXH*URXSHFRQVWLWXpG¶XQHSDUWLHGHVGHVFHQGDQWVG¶XQDQFrWUHFRPPXQPDLV GRQWOHVDXWUHVGHVFHQGDQWVVRQWH[FOXV H[HPSOHGHVFURFRGLOHVSDUWDJHQWXQDQFrWUHFRPPXQ DYHFOHVRLVHDX[PDLVFHVGHUQLHUVUHVWHQWKRUVGXJURXSHGHVUHSWLOLHQV

(115) 3DUWKpQRJpQpWLTXH5HSURGXFWLRQGHW\SHDVH[XpHGRQWODIpFRQGDWLRQGHO¶°XIQHUHTXLHUW SDVO¶LQVpPLQDWLRQG¶XQVSHUPDWR]RwGH(QIRQFWLRQGXVH[HREWHQXODSDUWKpQRJpQqVHSHXW rWUHTXDOLILpHGHWKpO\WRTXH IHPHOOH

(116) DUUKpQRWRTXH PkOH

(117) RXGHXWpURWRTXH OHVGHX[VH[HV

(118) (OOHSHXWrWUHpJDOHPHQWIDFXOWDWLYHF\FOLTXH« 3pODJLTXH 4XDOLILHXQPLOLHXXQSURFHVVXVRXOHPRGHGHYLHG¶XQRUJDQLVPHHQUHODWLRQ DYHFODFRORQQHG¶HDXH[FOXDQWOHVIRQGVVXEDTXDWLTXHV 3HODJRV(QVHPEOHGHVRUJDQLVPHVYLYDQWVHQUHODWLRQpWURLWHDYHFODFRORQQHG¶HDXGDQVOD WUDQFKHG¶HDXVXSpULHXUHGXEHQWKRVHWMXVTX¶jODVXUIDFH 3HUPLHQ 'HUQLqUH SpULRGH GX 3DOpR]RwTXH V¶pWHQGDQW GH j PLOOLRQV G¶DQQpHV /¶H[WLQFWLRQ GX 3HUPLHQHVW j O¶RULJLQH GH OD GLVSDULWLRQ GHV 7DEXOpV HW GHV 5XJXHX[ &¶HVW XQHGHVUpJUHVVLRQVOHVSOXVLPSRUWDQWHVGHODELRGLYHUVLWpWHUUHVWUHHWPDULQH 3HUR[\GDWLRQ2[\GDWLRQGHVOLSLGHVLQGXLWHSDUOHVGpULYpVGHO¶R[\JqQH&HSURFHVVXVYD V¶DFFRPSDJQHUG¶XQHSHUWXUEDWLRQGHVIRQFWLRQVHWGHODIOXLGLWpGHVPHPEUDQHVSODVPLTXHV FHOOXODLUHVHWGHVRUJDQLWHV 3KRWRWDFWLVPH 3URFHVVXV GH PRXYHPHQW G¶XQ RUJDQLVPH HQWUDvQp SDU OD SURGXFWLRQ G¶XQH VRXUFHOXPLQHXVH/HSKRWRWDFWLVPHSRVLWLIWUDGXLWOHPRXYHPHQWHQGLUHFWLRQGHODOXPLqUH LQYHUVHPHQWOHSKRWRWDFWLVPHQpJDWLILOOXVWUHODUpSXOVLRQjXQHH[SRVLWLRQOXPLQHXVH 3LULIRUPH(QIRUPHGHSRLUH 3ODQXOD 6\QRQ\PH GH ODUYH ,QGLYLGX SODQFWRQLTXH SURGXLW SDU YRLH VH[XpH RX DVH[XpH IRUPp j O¶LVVX G¶XQH HPEU\RJpQqVH LQWHUQH RX GDQV OH PLOLHX H[WHUQH /H GpSODFHPHQW GHV 29 | P a g e.

(119) SODQXODHSHXWrWUHSDVVLIRXDFWLI FLOLDWXUH