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Sur les actions électriques des corps isolants sous l'influence extérieure d'un corps électrisé

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(1)

HAL Id: jpa-00236985

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236985

Submitted on 1 Jan 1874

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Sur les actions électriques des corps isolants sous l’influence extérieure d’un corps électrisé

R. Belli

To cite this version:

R. Belli. Sur les actions électriques des corps isolants sous l’influence extérieure d’un corps électrisé.

J. Phys. Theor. Appl., 1874, 3 (1), pp.329-335. �10.1051/jphystap:018740030032900�. �jpa-00236985�

(2)

329

SUR LES ACTIONS ÉLECTRIQUES DES CORPS ISOLANTS SOUS L’INFLUENCE EXTÉRIEURE D’UN CORPS ÉLECTRISÉ

Avant Faraday, Avogadro et Belli (2 choncerent l’hypothèse de

la

polarisation

moléculaire des corps

isolants,

et 8clli mesura les

pouvoirs spécifiques

de ces corps avec un

appareil

à condensation.

Faraday,

et llmwis

(3) après,

ficent usage aussi d’un

appareil

à con-

densation,

et donnèrent pour ces

pouvoirs

des nombres différents

Je ceux de Belli. Matteucci

(4)

fit uit

grand

nombre

d’expériences :

il ne se montra pas

toujours

favorable a la

polarisation,

mais il ter-

mina ses derniers Mémoires sur ce sujet par une série de conclu-

sions

qui,

sauf la diversitc des

dénominations,

sont les données

fomdamentales de la théorie

analytique

du

magnétisme.

-’1. Sie-

mens

(5) adopta,

non-seulement

l’hypothèse

de la

polarisation.

mais

encore toutes les autres idées de

Faraday

sur le mode de propaga- tion des actions

électriques.

Il

chargea

un carreau de Franklin

avec les pôles d’une pile, et en déterminant avec une boussole les in-

tensites des courants

décharge et de décharge,

il mesura les

pouvoirs spécifiques.

M.

Gaugain

(6 ) fit aussi d’intéressantes recherches par une méthode qui a

quelque

analogie avec celle de M. Siemens,

et il démontra que l’on

peut expliquer,

avec la théorie d’Ohm. ).t

distribution de

l’électricité dans des appareils

et condensation.

M. Kohlrausch (7) étudia les résidus de la décharge

et conclut que, pour

expliquer

cc

phénomène,

il fallait admettre la

polarisation

moicculairc des corps

isolants;

mais MM. Riess. Bezold et W ull-

uer (8)

se

prononcèrent

contre une telle

opinion.

Nous devons ad-

(1) Pour plus de détails roir mon Mémoire (Vuovo Cimento, vol. VI).

, vol. III, 1818.-

B Canal de / la

M... FARADAY / - 18.

(3) HARRIS, Philosophical Trans

(4) MATTECCI, Annales de Chim l ,.

(5) SIEMENS. Annales de Poggend

(6) GAUGAIN, Annales de Chimie et de Physique, 1862.

(7) KOHLRACSCH, Allnal, s de Poggendorff, 1834.

(8) RIESS. - Reibungs El

Phi-

losophical J1 chuch der

Leipzig, 1872.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018740030032900

(3)

mettre, dit M.

Wùllner,

que les deux électricités

pénètrent

dans

l’intérieur des corps

isolants,

et

qu’elles

s’en

rapprochent plus

ou

moins et donnent lieu à des résultats diflërents suivant la nature de

ces corps.

Cependant

31. Clausius

( 1),

sans nier la

pénétration

des

charges,

est de la même

opinion

que M. rLolilrausch. Enfin M. Can- toni

(2),

en

Italie, remplace

dans ses Cours les

explications

ordi-

naires des

phénomènes

d’électrisation

présentés

par les corps iso- lants

(électrisés

par frottement ou par contact avec un autre corps

électrisé),

par d’autres

explications qui supposent

une

polarisation moléculaire,

semblable à celle d’un barreau d’acier aimanté. En Italie

quelques physiciens (3) adoptèrent

les idées de M.

Cantoni,

mais d’autres

(r.) s’y opposèrent.

Le numéro de novembre

1873

de

ce Journal contient la

description

d’une

expérience très-simple

de

M.

Righi

sur ce

sujets.

Dans une des dernières séances de l’Isti-

tutu

lombardo,

M. Cantoni

répondit

à M.

Righi.

Ce

rapide exposé historique

a été fait en suivant presque entiè-

rement les

premières

pages d’un Mémoire de M.

Rossetti (5),

dont

nous aurons bientôt à

parler.

Dans mon

Mémoire, je

commence par faire remarquer que dans les

appareils

à

condensation,

dans

lesquels

les armures sont en

contact avec le corps

isolant,

l’électrisation

permanente, qui

reste

encore

après

la

décharge,

soit à la

surface,

soit dans l’intérieur de

l’isolant,

est une cause d’incertitudes assez graves dans les

explica-

tions des résultats des

expériences,

d’autant

plus qu’elle

doit né-

cessairement

varier avec le

temps,

et avec bien d’autres circon-

stances difficiles à reconnaître et à

analyser.

Selon

moi,

pour dé-

montrer l’existence de la

polarisation moléculaire,

il faut que les résultats des

expériences

conduisent directement à admettre que l’action

électrique

induite par tous les

points

de la lnasse de l’iso-

(1) CLAUSIUS, Abhandlungen iiber mech. Wärmetheorie.

(2) CANTONI, Su alcuni principi di... (Sur quelques principes d’électrostatique); Milan, Tallardi, 1873; Rendiconti dell’ Istituto lombardo, 1867, 1869, 1872; Nuovo Cimento,

t. X, p. 55; 1873.

(3) BOUSOTTI et PAULU CANTONI, Rendiconti dell’ Istitiito lombardo, 1872. - FERRINI.

Rendiconti dell’ Istituto lombardo, 1872.

(4) ECCHER, Nuovo Cimento, 1871. - PIERREUCCI, Nuovo Cimento, 1873. - RIGHI, Nuovo Cimento, t. IX, p. 141; 1873.

(5) ROSSETTI, Nuovo Cimento, t. X ; 1873.

(4)

laiitidisparaitaum Puissante.

de sorte que l’on ne puis

avec

l’hypo-

thèse d’un état

életrique que

« ,

embarquement à la

surface du corps isolant en

vertu de l’état physique de ladite sur-

face ou du milieu ambiant. C’est seulement ils de

précision que l’on peut faire de telles expériences.

L’appareil dont je me suis servi est représenté dans le

figure

théorique ci-conttre fig. 1.

. Il

se compose d’un

dectrometre B

Fig. 1.

forme d’une

aiguille conductrice, suspendue

horizontalement pu

un

fil f d’argent

tres-nn. et

long

de

9 décimètres à peu près. Mai- guillc

se

termine par un petit disque

d. et elle porte un

petit mi-

roir. Un fil d’argent fait communiquer la boule fin.

b de cette

balance de torsion

avec l’extrémité surpérieur du fil de

torsion: et

un autre fil semblable, toujours très-fin, fait communiquer la même extrémité avec un disque conducteur D, isolé et placé loin de la ba-

lance A.

L’isolateur, qui

soutient cette balance avec son micro-

mètre,

cstiixe à des barres de

fer qui

entrent

profondément

dans un

mur très-solide, au fond d’une chambre assez spacieuse située au

rez-de-chaussée. Toutes les

précautons

sont

prises

pour détendre la halanee de

l’agitation

de

l’air,

et une lunette avec une

règle

di-

visée sert

pour

l la mesure des déviations de 1 aiguille. 1 distance de 15 ou 20 centimètres du

disque

D est

placée

une

sphere

condus-

trice isolée

S,

que l’on

peut charger

avec une machine

tlectritluu.

(5)

On mesure la

charge

de la

sphère

avec une balance

B,

semblable

à la balance

A,

mais dont le fil de

torsion f1

est gros et

beaucoup plus

court ; et l’on mesure ses déviations snr un cadran ordinaire.

Dans

l’espace compris

entre la

sphère

et le

disquc, il 3-

a une très-

grande

lame

métallique

verticale

L, qui

est

toujours

en commun-

cation avec le sol. Cette lame défend le

disque

de toute induction

sensible de la

part

de la

sphère

inductrice. Une

très-grande

caisse

à

vitrage

renferme les

balance,

le

disque

et la

sphère.

La table sur

laquelle

sont

placés l’appareil

et la caisse est pourvue de deux

grands

tiroirs

remplis

de chaux et

qui communiquent

avec l’intérieur de la caisse.

i° On

charge

la

sphère

inductrice

S ;

on

sépare

la

sphère

et la

balance B de la machine

électrique,

que l’on met à l’instant en

communication avec le

sol;

on note la déviation de la balance

B;

on isole de la

sphère

la balance B que l’on met à

l’instant,

elle

aussi,

en communication avec le

sol;

on abaisse

rapidement

la

lame

métallique,

en la laissant

glisser

dans une rainure

pratiquée

sur la table de

l’appareil,

dessous cette

table,

loin de tout le l’este

de

l’appareil;

après

avoir lu la déviation

impulsive

de la ba-

lance

A,

due à

l’induction

exercée par la

sphère

sur le

disque,

on

la mct

rapidement

en communication avec le sol.

Quand

la caisse a été fermée

pendant

un

mois,

à peu

près,

av ec

l a cl1aux et avec

quelques

vases

reinplis

d’acide

sulfurique,

l’isole-

ment est si

grand

que l’on

peut

faire les

opérations

sans voir dimi-

nuer sensiblement la

charge

de la

sphère,

et toutes ces

opérations s’accomplissent

en une minute à pcu

près,

à l’aide de leviers

qui

aboutissent au dehors de la caisse. Comme les cxtrémités des

aiguilles

des balances ne Louclient

jamais,

dans les

positions

de repos, leurs boules

fixes,

et comme

l’aiguille

de la balance B

porte

un

appendice

isolant

qui plonge

dans

l’huile,

il

n’y

a

jamais

choc entre ces

boules,

et l’on

peut

lire

rapidement

la déviation fixe de la balance B et la déviation

Impulsive

de la balance A. Une

pointe métallique

en com-

munication avec le sol est

placée

à peu de distance du conducteur de la machine

électrique,

et elle sert à limiter la tcnsion de la

machine,

selon Li

charge

que l’on veut donner à la

sphère.

Cela

permet

de

charger rapidement la sphère,

sans aucune autre

précaution

et sans

perte

4c

temps.

La

graduation

de la balance B se fait en réduisant

ai cc lu micromètre ses déN iations à une autre déviation constante,

(6)

et cette

graduation

conduit immédiatement ci , elle de la balance B.

Entre le

disque

et la

sphère

on

place,

saii, les t«uollur, un cube E

de

soufre,

ou de verre, pte.. soutenu par deux lames de wlrti vt’u-

ticales

longues

et minces. Plusieurs de ces cubes sont III massifs et

d’autres sont creux. et ces derniers sont percés d’un trou pour le dessèchement de l’air intérieur. Tous ces cubes ont été renfermés dans la caisse

pendant plusieurs mois,

avant les

expériences.

Pour

obtenir exactement les mêmes dé, iations de la balance

A,

corres-

pondant

aux mêmes

eliargcs

de la

sphère,

dans le cas des mêmes

cubes

isolants,

il faut que non-sculeinciit l’isolement t so!t t aussi

parfait

que nous l’avons

dit,

mais il faut encore ne pas maintenir

pendant trop longtemps

les

appareils clectrisès ;

et, aBant de recom-

mcncer la série des

opérations

que nous avons

décrites,

il faut main-

tenir, pehdant quinze

minutes ii peu

près,

tous les

appareils

en

communication avec le sol. De telles conmunications doivent s’éta- blir avec des soins

particuliers.

Ceci nous montre combien de causes

d’erreur on

peut

rencontrer dans ce genre de recherches. Nous passons sous silence d’autres détails.

Voici les

principaux

résultats des

expériences. L interposition

d’un cube

isolant,

entre la

sphèrc

inductrice et lu

disque,

augmente

toujours

la

cliargc

induite sur ce

dernier,

et cette

charge

l’st, dans les mêmes cas,

proportionnelle

à la

charge

inductrice de la

sphère.

La

charge

induite

dépend

de la nature du corps

isolant;

mais elle

ne

change

pas sensiblement cl couvrant la surface de ce corps

avec une couche très-mince d’un autre corps isolamt de nature dif- férente. Elle est considérablement

augmentée

par les cubes massifs.

mais peu

parues

cubes creux à minces

parois. Par exemple,

mh’r-

position d’un cube de verre pie ni augmentait la charge induite prèsque

dudoublede ce

qu’elle

ètait

quand

1 j n y avait que

l’air entre le disque

et la

sphère. Quand,

dans lu

premier

cas, on aB ait 1 8,

40

pour la dé-

v iation de la balance

A,

la même balance donnait 1 (’ - .00 seulement

sans

l’interposition

du

cube;

mais si ce cube était creux, son inter-

positions (aB ec

la mème

lmly’

de ta

""ll!II’11

) produisait seulement

une déviation de 1 a, oo il peu

près,

dans la balance A. lieu de

18,40.

Les résultats des

expériences

sont

représentés

non-seulement par des nombres suffisamment exacts et constants pour les mêmes cas, mais aussi par des différences assez grandes, (’1111’(’ ces

nombres,

dans les cas différents.

(7)

J’ai étudié la

rapidité

avec

laquelle

un corps isolant

pcrd

son ac-

tion

électrique illduitc’B

en

plaçant

la lame conductrice entre le

disque

et le cube. Par cette

disposition,

la

sphère pouvait

exer-

cer

pendant plusieurs

minutes son action inductrice sur le cube.

Cela

fait,

on mettait

rapidelnent

la

sphère

en communication avec

le

sol,

au moment même l’on abaissait la lame

métallique

in-

terposée.

On n’a

jamais

réussi à obtenir de cette manière la moindre dé, iation dans la balance

A,

mais il est vrai aussi

qu’alors

on ne

pouvait

pas

apprécier

uii intervalle de

temps plus petit

que

i7

de seconde entre l’instant de l’électrisation de la

sphère

et

l’instant où la lame conductrice laissait

l’espace

libre entre le cube

et le

disque.

Dans le r’Vuovo Cinzento

de 1873, j’ai

décrit d’autres

expériences,

faites en introduisant dans

l’appareil

des

silnplifica-

tions autorisées par les

expériences précédentes,

et cn faisant usage d un mécanisme

spécial

pour établir instantanément les communi- cations avcc le

sol,

et l’isolement de certaines

parties

de

l’appareil.

Par ces dernières

expériences, j’ai

établi que le

temps employé

par un cube de vcrrc, de soufre ou de

spermacéti,

pour revenir sen- siblement a l’état

naturel,

il

partir

de l’instant de la cessation de

l’action

extérieure,

ne

peut

pas être

plus grand

que

1

de seconde.

On sait que, dans les conditions

décrites,

la moindre trace d’élec- tricité

acquise

par contact ou par action

mécanique quelconque,

dans un corps

isolant, peut

durer des

jours

entiers.

Comme toute force

électrique

est nécessairement due à la

sépara-

tion des états

électriques,

et que les résultats obtenus

impliquent

nécessairement que cette

séparation s’acclmplisse

dans toute la

masse, mais

qu’elle

soit limitée à

cl1aque molécule,

il me

parait

que l’on doit

adopter

la tliéorie de la

polarisation

moléculaire des corps isolallts.

Je ne llle suis pas

occupé

de la mesure des

pouvoirs spécifiques;

cette

mesure a été le but d’un récent Mémoire de 1’1. Rossctti. La iné- thode de ce dernier

physicien

est fondée sur des lois

déjà

établies

par lui dals un autre

Mémoire,

relatives aux

appareils

et condensa-

tion et à

1 application

de la loi d’01un à ces mêmes

appareils.

Dans

le cours de son

travail,

M. Rossetti démontre que, si l’on

analyse

avec sa tlléoric les

expériences

que

j’ai faites,

on

arrive,

pour les POUB oirs

spécifiques

des

isolants,

a des lloln1res sensiblement

égaux

a (eux

qu’il

a trouvés a l’aide de ses propres

expériences,

très-dif-

(8)

rentes de celles décrites ici: mais di-

vers

physiciens différents

n nt L Le

pouvoir de l’air

étant

l’unité,

pour le

spermaceti,

M. Siemens donne

0.78.

Faraday

1, 45,

M. Rossetti

2,2.).

Suivant Matteucci, le sper- niacéti aurait ul

pouvoir beaucoup plus grand

1’( .

tandis que 31. Rossetti trouve 2,

pour

le spermlaceti L’t 5 pow.

le verre. Pour Faraday l’t pour

llattcucci,

le

pouvoir

du soufre est

sensiblement

égal

;t celui du Berre, tandis que M. Rossetti donne

1,78

pour le

soufre,

et

3,35

pour le verre. Belli donne

3,21

i pour le

soufre,

et

7,83

pour le verre. La cause dc ces différences ne nous

semble pas devoir exister dans lus dillérentes idées théoriques ces

physiciens,

parce que, en dernière

analyse,

ils ont voulu mesurer

la méiiic constante, bien

qu’ils

lui aient donné des noms diflércnts.

DÉMONSTRATION DES THÉORÈMES RELATIFS AUX ACTIONS

ÉLECTRODYNAMIQUES;

PAR M. J. BERTRAND.

(FIN.)

La démonstration des théorèmes

précédents n’emprunte

à

l’expé-

rience

qu une

seule

proposition :

L’action d’un

conducteur fermé

est

toujours

normale // / le-

ment attiré.

Alais. pour aller

plus

loin et déterminer la forme la fonc- tion indeterminée

p (r), qui figure

encore dans no , II iaut

recourir de nouveau à l’étude des faits. Une seule expérience suffira.

Nous admettrons le théorème suivant:

THEOREME. IX. 2013

Le système nommé par Ampère

solénoide et

compose d’un nombre

infini de courants fermés, infiniment petits,

(101it

les

sont distribués

perpendiculairement

à une méme

courbe et à distance

égale

les uns

des autres, éprouve,

de la l’art

d’un courant fermé quelconque,

des actions

independantes

de la

forme

du solénoide et

équivalan dépen-

dant seulement Iti

position des

(-.1 11.

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