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Texte intégral

(1)

ISBN 2-550-01660-2 ISSN 0704-4577

LES OISEAUX MIGRATEURS DANS LE COULOIR FLUVIAL,

ENTRE: MONTRÉAL ET LE LAC SAINT- PIERRE

Michel Lepage

MONTRÉAL 1975

RAPPORT TECHNIQUE No 06-6

Gouvernement du Québec

Ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pèche

Service de l'aménagement et de l'exploitation de la faune

(2)

Service de l'Aménagement de la Faune District de Montréal

Les oiseaux migrateurs dans le couloir fluvial, entre Montréal

et le lac Saint-Pierre

par Michel Lepage

biologiste

Ministère du Tourisme, de la Chasse et de la Pêche Province de Québec

mars 1975

(3)

Montage et dessin des figures:

Paul-Aimé Roy

Illustration de la page couverture:

Raymond Pominville ISBA! 2-550-01660-2 ISSN 0704-4577

Dépôt légal - 4e trimestre 1976 Bibliothèque National du Québec Réimpression janvier 1977

Réimpression mai 1981

(4)

111

Table des matières

Remerciements iv

Introduction 1

Méthodes

Espèces étudiées 2

L Canards barboteurs 2

IL Canards plongeurs et becs-scies 5

IIL Bernache canadienne 6

IV. Goélands et sternes 9

V. Hérons et poules d'eau 9

VI. Bécassine 12

La chasse 12

Recommandations 14

Bibliographie 16

Appendices 17

(5)

iv

Remerciements

Ce travail a été accompli avec la généreuse collaboration de MM.

Louis-Marc Soyez, technicien de la faune, et Jean Benoit, étudiant en biologie.

De plus, divers renseignements nous ont été fournis par M. Bruno Plamon- don, officier au Service de la Conservation du Ministère du Tourisme, de la Chasse et de la Pêche et par MM. Pierre Dupuis et André Bourget du Service canadien de la Faune.

Remarque

Ce travail a été réalisé dans un but précis, celui de fournir à l'Office de Planification et de Développement du Québec (O. P. D. Q . ) un outil de travail qui lui permettra de tenir compte des besoins de la faune ailée dans la prépara- tion de son plan de zonage des activités à l'intérieur du couloir fluvial et par conséquent, il ne peut répondre à toutes les questions concernant les oiseaux migrateurs dans ce secteur.

(6)

1

Introduction

Une étude des secteurs utilisés par les oiseaux migrateurs le long du couloir fluvial entre Montréal et le lac Saint-Pierre a eu lieu au cours de l'an- née 1974. Cette étude nous a permis de tracer des cartes d'utilisation du ter- ritoire par les oiseaux et de préciser les cartes de possibilités des terres pour la faune publiées antérieurement par ARDA (1969). Le texte qui suit présente les espèces étudiées ainsi que divers renseignements nécessaires à la com- préhension de la classification utilisée pour zoner les secteurs qui sont déli- mités sur les cartes ci-incluses.

Méthodes

Le zonage des aires utilisées par les oiseaux migrateurs a été réalisé à partir de l'analyse des photos aériennes à l'échelle 1 : 15,840, combinée à des visites sur les lieux mêmes. Ces visites ont eu lieu entre le ler mai et le 20 juillet. Les données sur la bernache canadienne ont été obtenues grace à la collaboration des agents du Service de la Conservation du Ministère du Touris- me, de la Chasse et de la Pêche. Divers renseignements accumulés dans nos dossiers ainsi que l'étude écologique présentée par la Fédération québécoise de la Faune (1971) ont aussi été utilisés.

Un recensement des affûts de chasse aux canards a eu lieu lors de la journée de l'ouverture de la chasse, de 9:30 h à 11:00 h, entre Longueuil et Contrecoeur. Un avion volant 5, une vitesse de 129 km/h (80 mi/h) et à une altidude de 335 m (1,100 pi) a été utilisé.

(7)

2

Espèces étudiées

Cotte étude a porté principalement sur les canards adaptés à une ali- mentation en eau peu profonde, c'est-à-dire les canards barboteurs. Des données générales ont pu être accumulées sur d'autres espèces de canards, sur les bernaches (outardes), les goélands, les sternes, les hérons et les poules d'eau. Nous avons dû négliger tous les autres groupes d'oiseaux qui habitent les boisés et les champs.

I. Canards barboteurs

Les canards barboteurs sont présents dans le couloir fluvial de la mi-avril à la mi-novembre. C'est cependant au cours des migrations, au printemps et à l'automne, qu'ils sont le plus abondants. Tous les endroits marécageux ainsi que les champs inondés sont alors fréquentés.

Les canards qui se reproduisent le long du couloir fluvial établissent leur nid en terrain sec, sur les flots ou en bordure des champs. La pério- de de la ponte et de l'incubation dure généralement de la mi-avril à la mi-juin (Laperle, 1969; Lepage 1977).

Dès l'éclosion, les canetons sont conduits en terrain marécageux pour la période d'élevage. Les canetons sont alors privés de vol pour une durée de 30

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60 jours selon les espèces.

Les canards barboteurs présents dans le couloir fluvial ainsi que les habitats qu'ils fréquentent sont présentés en appendices 1 et 3. Les figures 1 et 2 indiquent les secteurs utilisés par ces oiseaux lors de la période estiva- le et au cours des migrations.

(8)

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Les principaux facteurs susceptibles d'affecter les populations de canards barboteurs le long du couloir fluvial sont les suivants: 1) La dis- parition graduelle de l'habitat marécageux à la suite du remblayage des rives prive les canards de leur habitat d'élevage et d'arrêt en migration. 2) L'in- dustrialisation et l'urbanisation des rives restreignent les sites de nidifica- tion situés sur la terre ferme. De nouvelles barrières physiques sont créées:

routes, villages, industries, etc. , qui affectent les couvées au cours de leur déplacement entre le nid et le marais. 3) La quiétude étant nécessaire aux canards pour la reproduction et lors des migrations, ceux-ci sont particuliè- rement affectés par les bateaux de plaisance qui pénètrent dans les secteurs marécageux lors de la crue printanière. 4) Les pique-niqueurs qui visitent les flots utilisés pour la nidification sont souvent responsables de l'abandon des nids par les femelles.

II. Canards plongeurs et becs-scies

Les canards plongeurs et les becs-scies sont des oiseaux robustes qui fréquentent les grands plans d'eau. Ils recherchent particulièrement les hauts fonds où sont localisés des tapis de végétation submergée, des bancs de moules ou de poissons. Ce n'est qu'en période de migration que ces oi- seaux abondent dans le couloir fluvial (Appendices 2 et 3).

Quelques garrots communs (Bucephala clangula) et morillons d collier (Aythya collaris) se reproduisent le long du fleuve Saint-Laurent. Les gar __

rots nichent dans les arbres morts et élèvent leurs canetons dans lés petites rivières et les chenaux, alors que les morillons à collier nichent en bordure des baies marécageuses où leurs jeunes sont élevés.

(11)

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Les perturbations qui affectent l'écologie des hauts-fonds ont pour conséquence de réduire l'habitat disponible à ces oiseaux et concourent à écour- ter leur passage dans le sud du Québec.

Les secteurs visités par ces oiseaux sont représentés aux figures 3 et 4. La délimitation de ces secteurs a surtout été basée sur la présence ou l'absence de hauts-fonds et de nouvelles vérifications sur le terrain seraient nécessaires pour confirmer l'exactitude des cartes ainsi tracées.

III, Bernache canadienne

Les grandes volées de bernaches canadiennes (Branta canadensis) font partie du visage printanier de la vallée du Saint-Laurent. Elles visitent le fleuve du début d'avril à la mi-mai et du début d'octobre à la mi-novembre.

Elles se rassemblent dans les grandes baies marécageuses pour y passer la nuit. Au coucher et au lever du soleil, elles effectuent d'importants mouve- ments pour aller s'alimenter dans les champs. Ces mouvements les entraî- nent parfois près des cours d'eau, mais le plus régulièrement à des distan- ces de 8 km (5 mi) et plus à l'intérieur des terres.

A l'automne, leur visite dans la plaine du Saint-Laurent est beaucoup plus courte. Les voiliers sont poursuivis par les chasseurs et ce harcèle- ment contribue à hâter leur départ vers le sud.

Une grande quiétude est nécessaire aux bernaches canadiennes dans les aires de repos où elles passent la nuit. Toute activité intensive près de ces aires devrait être éVitée. Les endroits fréquentés par les bernaches sont présentés aux figures 5 et G.

(12)

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1V. Goélands et sternes

Quelques colonies de goélands à bec cerclé (Larus delawarensis) et de sternes communes (Sterna hirundo) sont établies dans le couloir fluvial

(Fig. 5 et 6). Certaines colonies de goélands sont formées d'environ 400 individus. Elles sont situées sur des flots ou sur la pointe d'fles. Les nids sont bâtis sur le sol, dans la végétation herbacée. Contrairement aux ca- nards, ces oiseaux demeurent dans le nid jusqu'à l'âge de l'envol et sont nourris par les parents. Les colonies sont donc actives du départ des gla- ces en avril jusqu'à la fin de juillet.

Ces colonies sont très sensibles aux perturbations causées par les villégiateurs. Le tumulte engendré par les visites a pour conséquence le bris de plusieurs oeufs et la mort d'oisillons.

La sterne noire (Chlidonias niger) est aussi très abondante dans les régions marécageuses du sud du Québec. Cette espèce niche en petites colo- nies. Les nids sont généralement placés sur de la végétation flottante à Pin- térieur d'un marais. Quelques jours après l'éclosion, les jeunes sont capa- bles de se camoufler dans la végétation palustre.

La distribution de la sterne noire dans le couloir fluvial correspond grossièrement à celle des baies marécageuses.

V. Hérons et poules d'eau

Parmi les grands échassiers du sud du Québec, le grand héron (Ardea herodias) est le plus commun. Il niche surtout en colonies, au farte des grands arbres. Aucune colonie n'a été localisée lors de nos travaux, mais il est pos-

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(17)

12

sible que quelques-unes existent dans les fies du lac Saint-Pierre. La con- servation des secteurs boisés revêt donc une grande importance pour ces oiseaux.

Le grand héron s'alimente dans les marais et en bordure des cours d'eau. C'est aussi l'habitat des autres échassiers présents entre Montréal et Sorel, tel que le butor américain (Botaurus lentiginosus), le bihoreau à couronne noire (Nycticorax nycticorax), le héron vert (Butorides virescens) et le petit butor (Ixobrychus exilis).

Les espèces appelées vulgairement poules d'eau, c'est-à-dire les foulques, les gallinules et les raies ont une distribution restreinte aux ma- rais. Au total, cinq espèces se reproduisent dans le sud du Québec.

Les hérons et les poules d'eau ont une grande importance dans l'écolo- gie des marais. Ce sont aussi des espèces fort prisées des observateurs

d'oiseaux.

VI. Bécassine

La bécassine ordinaire (Capella gallinago) est une espèce de gibier commune le long du Saint-Laurent. Elle se reproduit en terrain générale- ment humide mais non inondé. En migration d'automne, la zone comprise

entre le niveau des eaux du printemps et de l'automne est très fréquentée par cet oiseau. Le remplissage des berges jusqu'il la limite des eaux de la fin de l'été détruit donc son habitat.

La chasse

La chasse aux canards et aux bernaches débute normalement à la troi- sième fin de semaine de septembre pour se terminer légalement à la fin de

(18)

13

décenr)re, Cependant en pratique, la chasse se termine à la fin de novem- bre avec la prise des glaces dans la baies et en bordure des cours d'eau.

Sans entrer dans les détails, notons que la chasse aux différentes espèces, c'est-à-dire aux canards barboteurs, aux canards plongeurs et aux berna- ches, fait appel à des techniques et un équipement différents.

Le nombre de permis vendus pour la chasse aux oiseaux migrateurs au Québec a été de 57,000 en 1973. La récolte pour le Québec au cours de cette même année a été de 500,000 oiseaux (canards et oies) (Environnement Canada, 1974). Une étude quinquennale entreprise par le Service canadien de la Faune sur la composition de la pression de chasse au Québec de 1967 à 1971 indique que 50 pour cent des oiseaux sont abattus dans le secteur allant

du lac Saint-François à Gentilly (Environnement Canada, 1973).

L'inventaire des affûts de chasse aux canards qui a eu lieu la journée de l'ouverture de la chasse le 21 septembre 1974, entre le pont Jacques-Cartier et Pile Saint-Ours à Contrecoeur, a permis de dénombrer 477 affûts, soit un minimum de 954 chasseurs dans cette région. Le secteur Contrecoeur - lac Saint-Pierre n'a pu être inventorié en raison des problèmes techniques que po- se un recensement dans un tel milieu.

L'impact économique de la chasse aux oiseaux migrateurs est énorme.

Aucune étude détaillée nous permet d'évaluer les sommes dépensées par chas- seur au cours d'une saison. Cependant, des travaux ont démontré que chaque chasseur qui participe à la chasse contrôlée à l'oie blanche au cap Tourmente dépense en moyenne $122.00 pour une journée de chasse (Laperle, 1973).

(19)

14

La surabondance des chasseurs dans les marais, particulièrement lors de la journée de l'ouverture, a pour conséquence le mécontentement des chas- seurs, un faible succès de chasse et une augmentation du risque des accidents.

À cela s'ajoute une fréquence plus élevée de bris à la propriété privée. Seul un contrôle plus rigoureux de la chasse pourra régler ces problèmes. L'éta- blissement de secteurs de chasse contrôlée sur les terrains qui sont ou seront acquis par le Gouvernement du Québec devrait être étudié dans l'avenir.

Recommandations

Quelques recommandations générales peuvent être formulées en vue de la planification des activités dans le couloir fluvial.

1- Une attention spéciale devra être accordée à la conservation des milieux marécageux vu leur haute valeur pour la faune ailée (alimentation, re- production, aires de repos). Même s'il n'est pas de notre ressort de démontrer l'importance de ces marais dans la dépollution des cours d'eau, il nous semble souhaitable de souligner cet aspect particulier de l'écologie des marais ripariens.

2- Toute la zone comprise entre les hautes eaux moyennes du printemps et les basses eaux moyennes de l'été devrait être protégée intégrale- ment. Cette zone est très utilisée lors du retrait des eaux comme aire d'alimentation par les canards, les bernaches, les hérons, les poules d'eau et les bécassines.

3- Dans le cas de certaines fies cultivées, une ceinture de végétation na- turelle d'au moins 60 m (200 pi) de largeur devrait être conservée à la limite supérieure du niveau moyen des hautes eaux printanières.

(20)

15

Cette ceinture de végétation permettrait la reproduction des oiseaux migrateurs. Cependant, en raison des grandes variations qui exis- tent dans la topographie des fies, cette règle générale ne saurait être appliquée intégralement. Advenant l'achat de certaines îles par le Gouvernement du Québec, un zonage à cet égard devrait être prépa- ré pour chaque fle.

4- Les flots de superficie trop restreinte pour y permettre la culture devraient être protégés intégralement en raison des colonies de ca- nards, de goélands et de sternes qui s'y reproduisent. Une fois ces flots acquis, un règlement et des affiches appropriés devraient en interdire l'accès de la mi-avril à la fin juillet.

5- Les activités intensives telles que la promenade en embarcation moteur, en canot ou en moto devraient avoir lieu hors des sites qui ont une valeur élevée pour les oiseaux migrateurs.

6- La déposition des matériaux de dragage en bordure des fies déjà exis- tantes peut dans certains cas être favorable à; la faune ailée et ich=

thyologique. Nous proposons que le Service de l'Aménagement de la Faune du Québec soit consulté pour exprimer son avis sur les futurs sites de déposition de matériaux.

(21)

16

Bibliographie

AIMA, 1969. Possibilités des terres pour la faune - Sauvagine. Inventai- re des Terres du Canada. Canada, Ottawa. Cartes: Montréal 31 H et Trois-Rivières 31 1.

Environnement Canada. 1973. Étude quinquennale de la composition de la pression de chasse et caractéristiques de tenure 1967 - 1971. Servi- ce canadien de la Faune, carte.

Environnement Canada. 1974. Rapport à' l'intention des chasseurs. Service canadien de la Faune. Brochure. 28 pp.

Fédération québécoise de la Faune. 1971. Un fleuve, un parc. Dossier éco- logique du fleuve Saint-Laurent, de ses fies et de ses rives de Longueuil à Sorel. Fédération québécoise de la Faune. 409 pp.

Laperle, M. 1969. A Waterfowl Ecological Nesting Study at Iles-de-la-Paix, Lake St-Louis, Québec. Department of Indian Affairs and Northern Development, Canadian Wildlife Service. Unpublished Report. 65 pp.

Laperle, M. 1973. Controlled Hunt for Waterfowl - 1972 - Cap Tourmente National Wildlife Area, Quebec. Paper presented to Northeast Wild- life Conference, Dover, Vermont, June 1973. 24 pp.

Lepage, M. 1977. Utilisation des fies de Boucherville par les oiseaux mi- grateurs. Québec, Ministère du Tourisme, de la Chasse et de la Pê- che, Service de l'Aménagement de la Faune. 46 pp.

(22)

17

Appendice 1

Canards barboteurs utilisant le couloir fluvial entre Montréal et le lac Saint-Pierre

Espèce Migrations Nidification et

élevage

Canard malard (Anas platyrhynchos) *** ***

Canard noir (Anas rubripes) *** ***

Canard chipeau (Anas strepera)

* *

Canard pilet (Anas acuta) *** **

Sarcelle à. ailes vertes (Anas carolinensis) **

Sarcelle à ailes bleues (Anas discors) *** **

Canard siffleur d'Amérique (Mareca aniericana) ** **

Canard souchet (Spatula clypeata) **

Canard huppé (Aix sponsa) **

Peu abondant

** Fréquent

*** Très abondant

(23)

18

Appendice 2

Canards plongeurs et becs-scies utilisant le couloir fluvial entre Montréal et le lac Saint-Pierre

Espèce Migrations Nidification et

élevage Morillon `à tête rouge (Aythya americana)

*

Morillon à collier (Aythya collaris) **

*

Morillon à dos blanc (Aythya valisineria) *

Grand morillon (Aythya marna) ***

Petit morillon (Aythya affinis) ***

Garrot commun (Bucephala clangula) ***

Petit garrot (Bucephala albeola)

**

Macreuse à ailes blanches (Melanitta deglandi)

*

Macreuse à front blanc (Melanitta perspicillata)

*

Macreuse à bec jaune (Oidernia nigra)

*

Bec-scie couronné (Lophodytes cucullatus)

Bec-scie commun (Mergus merganser) **

Bec-scie à poitrine rousse (Mergus serrator)

*

Peu abondant

** Fréquent

*** Très abondant

(24)

Appendice 3

Habitats utilisés par divers oiseaux migrateurs le long du couloir fluvial entre Montréal et le inr Saint-Pierre

Habitat Groupes d'oiseaux

migration printanière nidification élevage des jeunes migration automnale

reproducteurs marais flots marais marais

Canards barboteurs

locaux

reproducteurs non locaux

champs inondés

marais

champs inondés

bordures des champs et des boisés

champs cultivés humides

marais

champs cultivés humides reproducteurs

locaux

hauts fonds boisés rivières et marais hauts fonds

Canards plongeurs

reproducteurs non locaux

hauts fonds hauts fonds

Bernaches canadiennes marais

champs inondés

marais champs

Goélands et sternes grèves et eau libre flots flots grèves et eau libre

Hérons et poules d'eau marais, bordure des cours d, eau

marais et boisés marais et boisés marais, bordures des cours d'eau

Bécassines terrains humides terrains humides terrains humides terrains humides

(25)

20

Appendice 4

Classification des secteurs utilisés par les canards barboteurs Les secteurs utilisés par les oiseaux migrateurs ont été divisés en trois classes: secteurs de nidification, secteurs d'élevage et secteurs utili- sés en migration. Chaque classe est divisée en sous-classes, chacune indi- quant l'intensité de l'utilisation que font les oiseaux du secteur.

Classe Description

N Secteurs de nidification des canards

Ces milieux sont normalement situés au-dessus de la ligne des hautes eaux printanières. Ils sont ca- ractérisés par une végétation herbacée, arbustive et quelquefois arborescente. Les meilleurs secteurs sont les fies où l'activité humaine est restreinte et où le pâturage n'a pas détruit complètement le couvert végé- tal.

Note: Tous les endroits agricoles situés jusqu'à plu- sieurs milles à l'intérieur des terres sont su- jets à être utilisés pour la nidification. Les nids y sont très dispersés afin d'éviter la pré- dation.

N1 Zones où la densité des nids est très élevée.

N2 Zones très favorables à la nidification, cependant l'ac- tivité humaine y a pour conséquence une plus faible den- sité des nids.

(26)

E1

E 2

E 3

M

21

E Secteurs d'élevage des canetons

Les secteurs d'élevage sont des marais où la végétation émergente est généralement dense. Les canetons y sont conduits quelques heures après l'éclo- sion.

Excellents secteurs d'élevage en raison de la végéta- tion présente. Ces secteurs sont généralement de grande dimension et l'accès y est difficile.

Secteurs d'élevage de valeur moyenne où la qualité du milieu ne permet pas de supporter de grandes quan- tités de couvées.

Secteurs d'élevage utilisés par un nombre restreint de couvées en raison de leur faible superficie, d'une pauvre qualité du couvert végétal ou de la proximité d'activités humaines intenses.

Secteurs fréquentés lors des périodes de migration Ces secteurs comprennent toutes les terres marécageuses ainsi que les champs inondés au prin- temps.

M1 Secteurs utilisés intensément. La végétation aquati- que émergente y est habituellement dense. La grande superficie de ces terrains et leur accès difficile assu- rent aux oiseaux la tranquilité.

(27)

22

M2 Secteurs d'utilisation moyenne. Leur superficie res- treinte et l'activité humaine y limitent la fréquentation par les oiseaux.

M3 Secteurs utilisés de façon irrégulière par les oiseaux.

Les marais sont de faible superficie et de pauvre quali- té. Les dérangements dus aux humains y sont fréquents.

(28)

Ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche Service de l'Aménagement et de l'Exploitation de la Faune

Région administrative de Montréal 5075 rue Fullum

Montréal, Canada H2H 2K3

RAPPORTS TECHNIQUES* 1974 - ISSN 0704-4577

N° 06-1

N o

06-2

N° 06-3

N° 06-4

N° 06-5

N° 06-6

N0 06-7 N° 06-8

N° 06-9

Répartition géographique des poissons, leur abondance relative et bathymétrie de la région du lac Saint-Pierre. (1974) Gérard Massé et

Jean-

René Mongeau

Frayères à poissons d'eau chaude du couloir

fluvial-, entre Montréal

et le lac Saint-Pierre.

(1974) Gérard Massé

Enquête sur le piégeage du rat musqué dans le couloir fluvial, entre Montréal et le lac Saint- Pierre. (1974) Robert Parent

Cartes de répartition géographique des espèces de poissons au sud du Québec, d'après les inven- taires ichthyologiques effectués de 1963 à 1972.

(1974) Jean-René Mongeau, Albert Courtemanche, Gérard Massé et Bernard Vincent

L'implantation de la truite brune, Salmo trutta, dans les eaux de la plaine de Montréal. (1975)

Jean-René Mongeau

Les oiseaux migrateurs dans le couloir

fluvial

entre Montréal et le lac Saint-Pierre. (1975)

Michel Lepage

Étude écologique du lac Beauchamp. (1975) Pierre

Fournier, Bernard

Vincent et Jacques F. Bergeron La dynamique de la population de grands brochets Esox lucius L., du lac Imp, Parc du Mont-Tremblant.

(1976) Jean-René Mongeau

Méthodes de pêche

expérimentale,

en eau douce, à l'usage du biologiste et du technicien de la faune. (1976)

Jean-René

Mongeau

* La numérotation des rapports techniques a commencé août 1979. Les rapports techniques comprenantee 1 à 24 inclusivement, distribués avant cette date portent pas de numéros.

en

numéros ne

06 Correspond à la région administrative de - monte6à u..

Gouvernement du Québec.

(29)

No 06-10' Influence de la navigation maritime sur la répar- tition géographique et l'abondance relative des poissons du fleuve Saint-Laurent, entre Longueuil et Sorel. (1976) Gérard Massé et Jean-René Mongeau N° 06-11 La ouananiche, Salmo salar, du lac Tremblant,

Québec. (1976) Jean-Paul Biais et Vianney Legendre N° 06-12 Clef d'identification des principaux poiSsons

d'eau douce du Québec. (1976) Jacques Brousseau et Jean Leclerc

N° 06-13 Les poissons de la région de Montréal, la pêche sportive et commerciale, les ensemencements, les frayères, la contamination par le mercure et les PCB. (1976) Jean-René Mongeau et Gérard Massé N° 06-14 Les ressources fauniques du bassin inférieur de

la rivière Saint-François: évolution des popu- lations en dix ans, 1965 - 1974. (1976) Jean- René Mongeau et Vianney Legendre

N° 06-15 Utilisation-des berges de la région de Montréal, par les goélands

et les

échassiers. (1976) Yves Gauthier et Michel Lepage

N0 06-16 Zones de concentration des mammifères semi- aquatiques dans la région de Montréal. (1977) Raymond Bergeron

N° 06-17 Utilisation des îles de Boucherville par les oiseaux migrateurs. (1977) Michel Lepage

N° 06-10 Répartition géographique du touladi, Salvelinus namaycush, dans le district des Laurentides.

(1973) Michèle Gaudreault et Bernard Vincent N° 06-19 Tentative de création d'eau à ouananiches: les

introduction des saumons atlantiques, salmo salar, marins et dulcicoles

dans les eaux douces

du Québec, 1867 - 1977. (1978)

Jean-Paul Biais

et Vianney Legendre

06-20 Population et habitat du ravage de cerf de Virginie du mont Rigaud, hiver 1977 - 1978.

(1978) Robert Parent

N° 06-21 Répartition géographique

du maskinongé

Esox masquinongy, dans le district des Laurentides.

Compilation 1972. (1974) Bernard Vincent et

Vianney Legendre

(30)

N° 06-22

N0 06-23

N 0 06-24

NO 06-25

No 06-26

N° 06-27

No 06-28

N° 06-29

No 06-30

NO 06-31

Les poissons du bassin de drainage de la rivière Yamaska, 1963 â 1975. (1979) Jean-René Mongeau Les poissons du bassin de drainage de la rivière Châteauguay, leur milieu naturel, leur répartition géographique et leur abondance relative. (1979) Jean-René Mongeau, Jean Leclerc et Jocelyne Brisebois

Dossiers des poissons du bassin versant de la baie Missisquoi et de la rivière Richelieu, 1954 â 1977. (1979) Jean-René Mongeau

Recensement des poissons du lac Saint-François comtés de Huntingdon et Vaudreuil-Soulanges, pêche sportive et commerciale, ensemencements de

maskinongés, 1963 à 1977. (1979) Jean-René Mongeau

Schéma d'aménagement régional. Région administra- tive de Montréal (no 06). Secteur faune. (1979) S.A.E.F. ISBN 2-550-00382-9

Les salmonidés des eaux de la Plaine de Montréal.

1. Historique, 1534 - 1977. (1979) Vianney Legendre, Jean-René Mongeau, Jean Leclerc et Jocelyne

Brisebois ISBN 2-550-00631-3

Les salmonidés des eaux de la Plaine de Montréal.

2. Biométrie, biogéographie, 1970 - 1975, et registre des pêches 1941 - 1976. (1979) Jean- René Mongeau, Vianney Legendre, Jean-Leclerc et Jocelyne Brisebois ISBN 2-550-00352-7 Deuxième édition (1980) ISBN 2-550-01086-8

La répartition géographique des poissons, les ensemencements, la pêche sportive et commerciale,

les frayères et la bathymétrie du fleuve Saint-

Laurent dans le Bassin de La Prairie et les Rapides de Lachine. (1980) Jean-René Mongeau, Jean

Leclerc et Jocelyne Brisebois ISBN 2-550-00452-3 Les métaux lourds et les composés organochlorés

dans la chair des poissons du bassin versant de la Yamaska. (1979) Gilles Harvey

ISBN 2-550-00628-3

Les poissons du bassin de drainage de la rivière Maskinongé, la bathymétrie, la répartitionet l'abon- dance relative des espèces, la croissance du

maskinongé, les ensemencements, les frayères et la pêche sportive. (1980) Jean-René Mongeau, Jean Leclerc et Jocelyne Brisebois ISBN 2-550-015177'7

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Achevé d'imprimer à Montréal en mai 1981, sur

les presses du Service des impressions en régie du Ministère des Communications

du Québec

Références

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