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JASNA CORA ET LE CULTE DE LA SAINTE VIERGE EN POLOGNE AUX XIVe-XVIIIe SIÈCLES

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V i e s c i e n t i f i q u e 51, 1963 PL ISSN 0001 - 6829

JASNA CORA ET LE CULTE DE LA SAINTE VIERGE EN POLOGNE AUX XIVe-XVIIIe SIÈCLES

Deux colloques tenus à Częstochowa du 13 au 14 décembre 1982 et du 12 au 14 décembre 1983

Le culte de la Sainte Vierge de Częstochowa est dans l’histoire de la Pologne un phénomène d’une telle importance qu’il devrait faire l’objet d’une recherche approfondie, compte tenu de tous ses aspects. C’est l’objectif que visent les participants des colloques tenus au couvent de Jasna Góra à Częstochowa. Leurs organisateurs sont : l’ordre de st Paul, dirigé par le père Józef Płatek, et l’institut de Géographie Historique de l’Eglise de Po­

logne près l’Université Catholique de Lublin, présidé par le professeur Jerzy Kłoczowski.

La première session fut consacrée à l’histoire de l’ordre de st Paul et du centre du culte de la Sainte Vierge à Jasna Góra, depuis ses origines jusqu’au milieu du XVIIe s. Les premières manifestations de ce phénomène remontent aux années 1382- 1384 lorsque les frères de st Paul, arrivés de Hongrie, s’établirent sur une colline près de Częstochowa et reçurent du prince d’Opole, Ladislas, l’image de la Sainte Vierge. Les 22 rapports furent présentés à cette session par des experts des disciplines historiques variées.

Nous n’en citerons que certains, étant donné qu’ils seront tous publiés dans

« Studia Claromontana » et que quelques-uns avaient déjà paru dans les tomes 3 et 4.

J. W i e s i o ł o w s k i a analysé les fondations des couvents de cet ordre datant du XVe s. ; il a souligné notamment le rôle de Ladislas Jagellon dans les débuts de l’histoire de Jasna Góra et a indiqué que les fondateurs d’autres couvents de st Paul avaient eu des connexions avec la cour du roi.

J. G a d o m s k i et A. R ó ż y c k a - B r y z e k se sont penchés sur le

problème controversé de l’origine de l’image de la Sainte Vierge de Często­

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chow a e t de la d a te de sa confection. Les p a rtic ip a n ts ont ém is l’hypothèse su iv a n t laq u elle c e tte im age a u r a it été p ein te en Ita lie v ers le m ilieu du X IV e s. su r une planche s u r laq u elle f ig u ra it une effig ie p lu s an c ie n n e de la M adonne à la q u elle l’a rtis te a u r a it em p ru n té le m odèle iconographique de tra d itio n b y za n tin e . A près sa p ro fa n a tio n e t son en dom m agem ent p a r les h u ssites en 1430, l'icône fu t rénovée à C racovie, sans, p a ra ît-il, q u 'o n y eût ap p o rté des m o difications essentielles. D ans son ra p p o rt consacré au culte des im ages de la V ierge d e tra d itio n ita lo -b y za n tin e en E urope c e n tra le du X IV s., E. Ś n i e ż y ń s k a - S t o l o t a tr a ité ce p ro b lèm e su r un fond plus vaste. A y an t polém iqué c o n tre les a u te u rs des com m unications p récédentes, A. K a m z o w a a étu d ié l’influ en ce ex e rcée p a r l ’im age de C zęstochow a s u r les a u te u rs des copies des M adonnes d u X V Ie et du X V IIe s. Le ra p p o rt d e Z. R o z a n o w p o rta it su r les te x te s les p lu s an c ie n s n a r ra n t l’histoire, ou p lu tô t la légende, de l’im age (le te x te le p lu s an cien est conservé e n une copie d e 1474). P lu sie u rs ra p p o rts c o n c ern aien t le dom aine de l’h isto ire de la litté ra tu re . C itons à ce propos celui de J. B u d z y ń s k i tr a ita n t du poèm e la tin de G rzegorz de S am b o r C e n s t o c h o v a (1568). Les p èlerinages à J a s n a G óra o n t fa it l’o b je t d u ra p p o rt de A. W i t k o w s k a ; a y a n t p rése n té l’év o lu tio n de ce m ouvem ent au cours de la période a lla n t du d é b u t du XVe s. au m ilieu du X V IIe s., l’a u te u r a co n staté l’in ten sificatio n des p èlerin ag e s a p rè s 1430 e t à p a r tir de la m oitié du X VIe s., et a d éterm in é les localités d ’où a fflu a ie n t les p èlerin s (dans la d e rn iè re période, ils v e n a ie n t de tous les coins de la R épublique, m ais a v a n t tout des te rrito ire s situ és à l’ouest de la V istule). U. B o r k o w s k a a an aly sé le p roblèm e de J a s n a G óra sous l’an g le de la p ié té des ro is polonais des X IV e - X V Ie s.

L ad islas Ja g e llo n y tie n t la p re m iè re place : en effet, dès le d é b u t de son règne, il a au g m e n té le m o n ta n t des d o n atio n s accordées au x frè re s de st P a u l de C zęstochow a (1393) ; il a v isité le u r co u v en t m a in te s fois e t ne lui m é n ag e ait p as ses prébendes. A ussi, a -t-o n co n staté p en d a n t la discussion que l ’ex iste n ce d a n s l’E tat d ’u n c e n tre du cu lte m a ria l p o u v ait s e rv ir très b ien les in té rê ts d u roi, p u isq u e l’ennem i de la P ologne é ta it l’o rd re des C h e v aliers te u to n iq u e s qui a v a it adopté le nom de l’o rd re de la T rè s S ainte V ierge M arie et a v a it son siège à « M arien b o u rg ». S. B y l i n a a cerné le p ro b lèm e de la d évotion à la S a in te V ierge p ra tiq u é e en Bohêm e, H ongrie e t e n P ologne à p a r ti r du m ilieu du X IV e s. ju sq u ’à la fin du X V e s. A yant m e n tio n n é l’in te rd é p e n d a n c e des processus observés d a n s ces pays, S. B ylina a p ré se n té l ’év o lu tio n des n o uvelles form es de d évotion qui sig n ifiaien t un ra p p ro c h e m e n t d a n s ce dom aine des élite s et des m asses. T. T r a j d o s s’est p enché su r le culte des effig ies de la V ierge M arie su r les te rrito ire s ru th è n e s de la C o u ro n n e et de la L itu a n ie de la m oitié du X IV e s. ju s q u ’à la m o itié du XVe s. Il a in d iq u é la p a re n té e x is ta n t e n tre la dév o tio n à la V ierge d an s les d eu x Eglises, o rthodoxe e t catholique. J . T a z b i r a clos les d é b a ts p a r son r a p p o rt : « L a R éform e e t le cu lte m a ria l en P ologne ».

L ’a u te u r a co n staté n o ta m m e n t que les p ro te sta n ts a v a ie n t a tta q u é a v a n t to u t celles p a rm i les m a n ife sta tio n s d u cu lte que les cath o liq u es m êm es

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p o u rra ie n t co n sid érer com m e de m auvais goût. Le protestantism e polonais a v a it suivi en p a rtie la voie du com prom is avec la dévotion du type cath o ­ lique, m ais au X V IIe s. il a cap itu lé dev an t le culte m arial.

A la deuxièm e session qui a eu lieu u n a n après, le même sujet a été rep o rté sur la p ério d e a lla n t de la seconde moitié du X V IIe à la fin du X V IIIe s. P arm i les 24 rap p o rts présentés, il y eu t des rap p o rts qui suivent.

J. Z b u d n i e w e k a p a rlé de la fon d atio n des couvents de st P au l en Pologne a u x X V IIe e t X V IIIe s., sans o m e ttre les fondations qui fu re n t un échec. H. G a p s k i s’est penché su r le rec ru te m e n t des religieux de ces couvents et a souligné, e n tre au tre s, q u ’un g rand nom bre d 'en tre eux étaien t d ’origine bourgeoise. A. M ą c z a k a présenté Ja sn a G óra comme un des fa c te u rs ré a lisa n t au X V IIe s. l’union de toutes les provinces de la Pologne la q u elle m a n ife sta it à cette époque-là une fo rte tendance à la désintégration.

A ucun a u te u r n ’a ab o rd é la fam euse défense du couvent de Czę stochowa co n tre les Suédois, en 1655 ; p a r contre, W. K ę d e r a mis en relief le rôle de ce couvent d an s les lu tte s au cours de la C onfédération de Bar, en m et­

ta n t su rto u t l’accen t su r la co n trib u tio n de K azim ierz P u łaski, com m andant de c e tte forteresse. L. P i e t r a s a p rése n té la bibliothèque de Ja sn a Góra au x X V IIe e t X V IIIe s. (la collection de livres si bien conservée ainsi que la belle salle de le c tu re de la p re m iè re m oitié du X V IIIe s. sont en Pologne un re liq u a t unique). R. Ł u k a s z u k a expliqué com m ent les théologues du X V IIe s. a v a ie n t enseigné la théologie de l ’im age de la S ainte V ierge de Czę stochow a. L ’a tte n tio n a été p o rtée su r les tra its originaux de cette théologie de l’im age m iracu leu se professée p a r les frè re s de st Paul, laquelle se ra p p ro c h a it de celle des orthodoxes. A. W i t k o w s k a a tra ité de la litté ra tu re p asto ra le liée au culte m aria] p ra tiq u é à Ja sn a Góra. S. L i t a k a p rése n té un ra p p o rt su r le cu lte d e la S ain te V ierge de Czę stochowa à la lum ière des visites p asto ra le s au X V IIIe s. Des copies de l ’im age de Jasna G óra se tro u v a ie n t d an s les églises de tous les diocèses de la R épublique, et, a v a n t tout, d an s celles de C racovie (une effigie sur trois paroisses). Elles é ta ie n t exposées soit su r l’au tel soit ailleurs. II. R u t k o w s k i a présenté Ja sn a G óra d an s les descrip tio n s de la Pologne publiées ju sq u ’à la moitié du XVIIe s. C elles-ci m o n tra ie n t bien que p arm i les lieux de pèlerinage en Pologne C zęstochow a a v a it une p rio rité absolue, dev an çan t même le couvent des bén éd ictin s de Ś w ięty K rzyż à Lysiec. En ce qui concerne l'histoire de l’a rt, M. K a r p o w i c z a analysé la d écoration sc ulpturale de Ja sn a Góra et J. S a m e k s’est concentré su r l ’o rfè v re rie baroque, tandis que A. K u n - c z y ń s k a - I r a c k a a p rése n té les objets du culte populaire et l’a r t des­

tinés a u x p èlerin s v en u s des cam pagnes, a u x X V IIe e t X V IIIe s. L ’au te u r a a ttiré l’a tte n tio n su r la fa b ric a tio n m assive p a r l’a rtisa n a t de Częstochowa de to u te s sortes de copies de la V ierge de J a s n a Góra.

H enryk R u tk o wski

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L ’EU ROPE AU TEM PS DE LA DÉLIVRANCE DE VIENNE Du 2 au 5 se p tem b re 1983, le Com ité des Sciences H isto riq u es et l’in s ti­

tu t d ’H isto ire de l’A cadém ie P olonaise des Sciences ont organisé un colloque consacré au su je t f ig u ra n t d an s le titre . Des c h e rch eu rs a u tric h ie n s y ont ég alem en t p ris p a r t à côté des h isto rien s polonais. L es débats ont eu lieu successivem ent à l’in s titu t d ’H isto ire à V arsovie, d an s l’an cienne résidence de J e a n III S obieski au p a la is de W ilanów et à l’U n iversité Jag ello n n e à C racovie.

Les séances o n t é té in a u g u ré es p a r le P ré sid e n t de l'A cadém ie Polonaise des Sciences, A lek san d e r G ieysztor. En é v o q u a n t la victo ire de V ienne, il a a ttir é l’a tte n tio n s u r les d e u x p rin c ip a u x aspects de celle-ci : le succès de la co o pération e n tre la R épublique n o b iliaire e t l’E m pire dans les do­

m ain es p o litiq u e e t m ilita ire , e t la c o n fro n tatio n de d e u x c u ltu res d iffé re n ­ tes, c h ré tie n n e e t m usulm ane, re p ré se n ta n t d eux m ondes d istin cts de v a ­ leurs. Le p re m ie r jo u r, cinq ra p p o rts ont été présentés. D ans son com m u­

n iq u é in titu lé « J e a n III Sobieski, chef m ilita ire e t hom m e p o litiq u e », Z. W ó j c i k (Varsovie), l’a u te u r d ’une nouvelle b iographie du v a in q u e u r de la b a ta ille de V ienne, a an a ly sé l ’ac tiv ité politiq u e et d ip lo m atiq u e du souverain. Il a co n staté que ju s q u ’ici ces dom aines n ’a v a ie n t pas é té su ffi­

sam m en t m is en re lie f p a r les h isto rio g rap h es. En m êm e tem ps, il a souligné q ue sous le rè g n e de S obieski l ’ex p a n sio n des H ohen zo llern en P ru sse - O rie n ta le fu t e n ra y é e et a évoqué l’a p p o rt de la P ologne à l’écrase m en t d é fin itif de la p u issan ce tu rq u e à la fin d u X V IIe s. D ans le ra p p o rt su i­

v a n t — « La b a ta ille de V ienne d an s l’h isto ire de l’E urope » — J. W i m m e r (V arsovie) a esquissé la situ a tio n in te rn a tio n a le à la veille du g rand com bat au x ab o rd s de V ienne en a c c e n tu a n t le processus de d é sin té g ra tio n p ro g re s­

sive des p ay s g o u v ern és p a r la P orte. E nsuite, d an s son ra p p o rt in titu lé

« Les m otifs de l’a c tiv ité p o litiq u e de Léopold Ier, de J e a n III S obieski et de K a ra M ustafa », W. L e i t s c h (Vienne) a croqué les silhouettes d es trois p erso n n ag es selon lui les p lu s im p o rta n ts qui a v a ie n t p articip é a u x év é n e­

m ents de 1683. Il a c a ra c té risé les ré s u lta ts de la g u e rre : po u r le G ran d v iz ir ce fu t une d é fa ite m ilita ire e t po u r le roi Je a n III — une chance perd u e p o u r la P ologne d e g a rd e r une place de p re m ie r ra n g s u r l’a rè n e politiq u e européenne. S eul Léopold Ier a r e tiré de c e tte g u erre des a v a n ta g es réels p u isq u ’il a sa u v é l’A u trich e e t a an n e x é à l ’E m pire la H ongrie. D ans son com m uniqué « L ’an n é e 1683 d an s les tra c ts e t p u b lic atio n s non périodiques d e la p resse eu ro p é en n e », K. Z a w a d z k i (V arsovie) a tr a ité un su je t peu b an al. A y an t exp lo ité d ’ab o n d a n ts m a té ria u x , il a p rése n té l’in té rê t m a n ifesté p a r l ’E urope co n tem p o rain e p o u r les p érip é tie s e t le ré s u lta t de la b a ta ille . L a séance du p re m ie r jo u r fu t close p a r le ra p p o rt de W. F i ­ j a ł k o w s k i (V arsovie) : « J e a n III S obieski d an s l’a r t des p eu p les de l’E urope ». L ’a u te u r s ’est in sp iré de l’ex p osition o rg an isée à l’occasion du 300e a n n iv e rsa ire de la v ic to ire de V ienne à W ilanów : « Eloge e t g lo rifi­

ca tio n de J e a n III d an s l’a r t e t la litté r a tu re des X V IIe - X X e s. ».

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Le d euxièm e jo u r du colloque, ses p articip a n ts ont entendu les com ­ m un iq u és de trois histo rien s a u trich ie n s : I. A c k e r l , M. K ö h b a c h et K. V o c e l k a . Ils contenaient, e n tre autres, une analyse des causes qui ont poussé K a ra M ustafa à e n tre p re n d re le siège de Vienne, et une description de la situ atio n de la p opulation de cette ville d u ra n t le siège et les op éra­

tions de défense. J. G i e r o w s k i (Cracovie) a cerné le problèm e des rela tio n s polon o -tu rq u es au X V IIIe s. Il a soutenu la thèse qu’à cette ép o q u e-là les rela tio n s e n tre les deux pays éta ie n t dictées p ar la raison d ’E tat. O r cette thèse conteste l’opinion g énérale suiv an t laquelle pendant les p a rta g e s la T u rq u ie a u ra it été la seule à défendre la souveraineté de la Pologne. D ans sa p o litiq u e à l’ég a rd de la Russie, la T urquie faisait preuve de prag m atism e et c ’est d an s de telles catégories q u ’il convient d ’exam iner ses réa ctio n s à la ch u te de l’E tat polonais. J. T a z b i r (Varsovie) a étudié le problèm e in té re ssa n t de la d éliv ran ce d e V ienne à la lum ière de la lé­

gende historique. C elle-ci n a q u it au ssitô t ap rès cet événem ent, tan t dans sa v ersion apologétique que critique. L ’a u te u r a dém ontré que la victoire de V ienne a essen tiellem en t c o n trib u é au sa lu t de la civilisation européenne ; au x y eux des Polonais, elle est d evenue un sym bole de victoire resté vivant au m oins ju sq u ’au rec o u v re m en t de l’indépendance. D ans son rap p o rt « Le régim e et la d o ctrin e p olitique e t ju rid iq u e dans la Pologne de Sobieski », H. O l s z e w s k i (Poznań) a p rése n té en résum é l’effet de ses longues rech erch es su r le rôle de la D iète et des d iétines dans la théorie et la p ra tiq u e politiq u e de la R épublique au X V IIe s. Les débats furent clos par T. W a s i l e w s k i (Varsovie) qui s’est penché su r les faits peu connus co n c ern an t la m auvaise volonté q u e l’opposition litu an ien n e avait m anifestée à l’égard des p lan s de Je a n III.

A près un jo u r d ’in te rv a lle consacré à la v isite d ’une exposition au C h â te au Royal à V arsovie et d ’une a u tre au W awel à Cracovie, les p artic i­

p a n ts ont re p ris le u rs séances. A C racovie, c’est Z. A b r a m o w i c z (Cra­

covie) qui a p ris la p arole le p re m ie r en p ré se n ta n t les résu ltats de ses rec h erch es d an s le ra p p o rt « Le P ro ch e-O rien t, la R épublique, l’Europe.

R e lations économ iques et cu ltu re lle s ». Il a fait re m a rq u e r que m algré les d issen tio n s et les conflits on y co n state une in te rp é n é tra tio n des influences d a n s les dom aines précités. E nsuite A. P r z y b o ś (Cracovie) a caractérisé l ’h isto rio g ra p h ie de l’époque d an s u n passé plus loin tain et plus proche. La conférence de M. K a r p o w i c z (Varsovie) « L ’a r t polonais du XVIIe s. » — illu stré e p a r des d iap o sitifs a év eillé un v if in térêt. L ’a u te u r a appelé l’a t­

ten tio n su r l’o rig in a lité et les tr a its ca ractéristiq u es de la p einture et de l’a rc h ite c tu re polonaises de c e tte période-là. Il a réservé une place im por­

ta n te au p o rtra it fu n é ra ire polonais qui, d ’après lui, représente une form e d ’ex p ressio n a rtis tiq u e uniq u e d an s son genre. Il a égalem ent tra ité de la p e in tu re b aro q u e illu sio n n iste polonaise qui se d istin g u ait p ar son niveau élevé e t ses élém e n ts n o v ateu rs à l’échelle européenne. Le d ern ie r rapport,

« Les liens c u ltu re ls polo n o -au trich ien s au X V IIe s. », fu t présenté par K. M a t w i j o w s k i (W rocław). L ’a u te u r a dém ontré, e n tre autres, que

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les liens m a trim o n ia u x qui u n issaie n t les ro is polonais de la d y n astie des V asa avec des re p ré se n ta n ts de la M aison d ’A u trich e a v a ie n t co n trib u é à ra v iv e r les co n tacts p o litiq u es e t c u ltu re ls e n tre la R épub liq u e e t l’Em pire.

S. G rzybow ski (Cracovie) a f a it le poin t d es d élib ératio n s. T out en a t ti­

r a n t l’a tte n tio n s u r l’a m p le u r de la th é m a tiq u e des rap p o rts, il a in d iq u é des d o m ain es qui n é c e ssite ra ie n t encore des rec h erch es en profondeur.

Il a ég a le m en t p réconisé l ’o rg an isa tio n des conférences de ce type avec la p a rtic ip a tio n de sp écialistes de dom aines variés. Ce d e rn ie r p o stu lat a été p ré se n té au cours de la discussion. P arm i les p a rtic ip a n ts les uns se sont prononcés p o u r une conception globale d e la victo ire de V ienne su r le fond de la situ a tio n socio-économ ique, c u ltu re lle e t p o litiq u e de l ’Europe, ta n d is que d ’a u tre s ont p roposé d ’a tta q u e r des su je ts encore peu connus ou tra ité s d an s un e s p rit n o v ateu r.

L es q u elq u es ex p o sitio n s e t concerts de m usique b aro q u e ont é té un com plém ent p réc ieu x au colloque.

W ojciech B iliń sk i, A ndrzej K arpiński

SM ALL AND G R EA T FATH ERLA N D IN M EDIEVAL POLAND R eport on th e C onference, 10-11 N ovem ber 1983, L ublin

O n th e in itia tiv e of the P o lish H isto ric al S ociety’s M edieval C om m ission and of th e In s titu te of H istory, M aria C u rie-S k ło d o w sk a U n iv ersity , a session w as held on th e S m a l l a n d G r e a t F a t h e r l a n d in M e d i e v a l P o land, N ovem ber 10- 11, 1983. T he session h ea rd th re e pap ers. B rygida K ü rb is in h e r p ap e r P a tria and te r r a in M edieval H isto rio g rap h y an aly sed th e co n tex t an d scope of th e n otions : fa th e rla n d —la n d —r egio ap p e a ra in g in th e m ost im p o rta n t Polish chronicles. T h e C h r o n ic l e of G allu s A nonym us w as d e a lt w ith p a r tic u la r atte n tio n . Ms K ü b ris m ad e th e philological a n d co n ten ts a n a ly se s of som e selected fra g m e n ts of G a llu s’ C h r o n ic l e , th e oldest one am ong th e P olish chronicles, a n d th u s o u tlin ed th e scope of th e n o tio n of p a tr ia . She also d efin e d th e d iffe re n c e b e tw e e n th e m eanings of th e w o rd s p a tr ia and terra/ regio. H e r co n sid e ra tio n s g rounded on a rich co m p arativ e m a te ria l have lead h e r to th e conclusion th a t in th e C h r o n ic l e th e w ord reg io /terra is u su a lly used to d e n o te a c e rta in se p arate d are a, w h ile p a tr ia a p p e a rs w hen a n em otional a ttitu d e to a geographical u n it is expressed, fo r in stan ce to a co u n try , d istric t, place. A n em otional a ttitu d e a d d s a touch of colour to th e c o n ten ts connected w ith th e n otion of fa th e rla n d and th u s m a k es it a u n iq u e co u n try , d istin g u ish e d by God an d th e N atu re . T he discussion w h ich follow ed p o in te d to th e f a c t th a t fa th e rla n d is alw ay s a som ebody’s

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fa th e rla n d and on th is account aq u ires, as if by itself, some em otional values (H. R utkow ski). T he discussion also pointed to the exhaustive and innovatory set of problem s th a t w ere d ea lt w ith by Ms K ü bris in connection w ith the analysed co nnotation of th e w ord pa tr ia and th e m edieval patriotic feelings (H. Sam sonow icz, J . Bieniak).

J. B ieniak rea d a p a p e r on L a n d , P r in c ip a lity , K i n g d o m in the S t r u c t u r e o f th e 1 3 t h - 1 5 t h C e n t u r y S t a t e in w hich he discussed th e problem of taking shape of th e basic te rrito ria l u n its in th e sta te stru ctu re, th a t is, the lands.

T he d isin teg ratio n of Poland into d istric ts—th e Kingdom w as dism em bered into a n u m b e r of p rin c ip a litie s—considerably con trib u ted to the process of c re atio n of th e lands, but it cannot be considered the only reason. T herefore an essen tial q u estio n arise s how f a r these lands w ere created as a resu lt of th e in itia tiv e developed on th e low est level, historically and socially con­

d itioned, th a t is by th e com m unities, and how fa r they w ere established by th e political decisions of the sovereigns. T he discussion held at the con­

ference show ed th a t this problem had not been clear and required fu rth e r studies (S. Russocki). T he d istin ct c h a ra c te r of the lands and a drive for th e sta te ’s u n ific atio n w as a n o th e r su b ject discussed at the conference.

It w as stated th a t it had been r a th e r p artic u la rism th a n separatism th at lied a t the basis of c e n trifu g al tendencies, o b structing th e process of u n ifi­

cation of th e state. T hose p a rtic ip a n ts in th e discussion w ho m ade refe­

rences to th e p a p e r by J. B ieniak claim ed th a t th e developm ent of the form s of e s ta te re p re se n ta tio n led to th e consolidation of regional ties and thus w eakened th e p a trim o n ia l system of in te rn a l relatio n s (dom inance of personal ties) (S. G aw las). Som e p a rtic ip a n ts in th e discussion m entioned M azovia and S ilesia as those d istric ts w hich w ere constructing th e ir own regional aw a re n ess in ad d itio n to the tra d itio n s of the Kingdom (the face of th e S ilesian se p aratism , a pro b lem of B ohem ia—II. M anikow ska, R. G ład- kiewicz, M azovian leaning to w ard th e C row n and M azovian regionalism — M. W ilska). S. K. K uczyński discussed a w eightly im portance of a symbolic rep rese n tatio n (coats-of-arm s, flags of the lands) for th e origins of the local tra d itio n s and for th e arisin g of a co ntention about the K ingdom ’s unity w hich em braced its m any lands. R. M ichałow ski in his p ap e r "The D ynasty and F a th e rla n d ” in th e ideology of th e E arly P iasts presented a very in te restin g rec o n stru ctio n of th e ideology of the P iast House w hich w as developed in th e C hronicle by G allus. M ichałow ski studied the m yth on the origins of th e ro y al fam ily an d show ed an essential analogy betw een the P olish ex am p le an d the ta le of P a u l th e D iacon saying about the origins of th e C arolingians. T h e g enerosity rew ard ed by God essentially entitles both th e son of P ia s t—S iem ow it and th e son of A rn u lf—A nschisus to wield power. T he co n tac t of th e H ouse w ith th e s a c r u m entered upon for th e first tim e w as renew ed d u rin g th e successive y ea rs of th e H ouse’s rule. The cre d it fo r th is w en t to tw o p a irs of ru le rs : M ieszko I and his son B oleslaus the B ra v e and to L ad islau s H erm a n and his son Boleslaus the W rym outh.

Each fa th e r received a special grace from God and each son was an out­

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sta n d in g sovereign. So R. M ichałow ski showed how G allus A nonym us, w ho w ro te his C h r o n ic l e a t th e co u rt of B oleslaus th e W rym outh cre ate d th e ideology according to w hich a success of th e Polish K ingdom w as bound to be linked w ith th e presence of th e P ia st H ouse of th e Polish throne.

T he A fric an analogies w ith th e e a rly m edieval concepts of pow er w ere discussed by M. T ym ow ski. T he legend ex p lain in g th e ro y al c a re e r of the P ia sts w as also discussed.

Jacek D anaszkiew icz

G ERM ANY AND POLA N D IN T H E MIDDLE AGES Sym posium held a t K iekrz, 14 - 16 N ovem ber, 1983

T h e a p p e a ra n c e in 1981 of th e lo n g -aw aited synthesis on th e history of G e r m a n y 1 served as a re m in d e r of th e serious om issions and o n e­

sidedness p e rp e tra te d in P olish re se a rc h on th is subject. T he e a rlie r history, in p a rtic u la r, of G erm a n y w as research ed b y P olish academ ics chiefly fro m th e p o in t of v iew of P o lish - (P o m eran ian -) G erm a n connections ; se lf-c o n tain e d P o lish w orks concerning p u re ly G erm a n affa irs, o r ap ­ pro ach in g th e issues of G erm a n h isto ry fro m the p o in t of view of com ­ p a ra tiv e h isto ry a re v e ry m uch in th e m inority.

O n 14 - 16 Nov., 1983 a t K iek rz n e a r P oznań, an all-P o lish academ ic conference w as held, organized u n d e r th e n am e given in th e above title by th e D e p a rtm e n t of H isto ry of th e A dam M ickiew icz U n iv ersity in P oznań. It w as conceived as a w o rk in g m eeting, devoted like previous c o n fe re n c e s2 to th e ex c h an g e of view s and rese arch re su lts as w ell as of d elib eratio n s, in th e sp h e re of th e h isto ry of G erm a n y and P o lish -G erm an rela tio n s.

T h e firs t gro u p of p ap e rs concerned selected issues from th e h istory of G erm a n y itself, in th e M iddle Ages. T he conference w as opened by S ta n is ła w R ussocki (W arsaw ), w ith an a tte m p t to ex p la in th e m eaning of such ca te g o rie s as L a n d , L a n d s t ä n d e , S t ä n d e v e r s a m m l u n g e n , S t ä n d e t a g u n ­ g en. T om asz Ja siń sk i (Poznań) spoke on socio-econom ic re la tio n s betw een

1 W. C z a p l i ń s k i , A. G a l o s, W. K o r t a, H is to r ia Niem iec [A History of Ge rmany], W rocław 1901.

2 “ M ethodological P ro b le m s R e la tin g to th e H isto ry of G e rm an y ”—19T7. "T h e C oncepts of Volk a n d N ation in G e rm an H isto ry ”—1979. “ T he P o la b la n S lavs in th e C o n tex t of th e H isto ry o f G erm an y a n d P o la n d ”—1980. "T h e B alkan S tates in the P o litics of G e rm an Im p erialism ”—1980. “ The Rôle of th e G erm an M inority in In te r- W ar E u ro p e”—1982.

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T eu to n ic P russia and W estphalia in the 13th and 15th centuries. A p aper by R om an M ichałow ski (W arsaw) w as devoted to the in stitution of the p riv a te m o n astery in G erm any d u rin g the period from the 9th to the 12 th c e n tu ries, understood as a religious and social phenom enon. Antoni B ar- c ia k (Katow ice) p rese n ted the political situ atio n in the G erm an Em pire d u rin g th e second half of the 13th century, and in m ore concrete te rm s—

riv a lry fo r th e G erm a n thro n e d u rin g the period of the G reat Interregnum , w ith p a rtic u la r reg a rd to the fig u re and policy of O ttocar II.

T he chief them e of the s u b je c t-m a tte r of the proceedings concerned P o lish -G erm an histo rical ties in th e M iddle Ages. The following problem a re a s w ere considered : th e political and dem ographic expansion of G er­

m any, the so-called “N ew M arch colloquium ”, and legal, cultural, dynastie a n d socio-econom ic lin k s 3. A p ap e r by G erard L abuda (Poznań) on Polish- G e rm a n political law rela tio n s in the M iddle Ages w as devoted to the p roblem s of G erm a n expansion. A rep o rt by Jerzy H auziński (W rocław ) concerning politico-legal ties b etw een Poland (including Silesia) and the E m pire in th e 12th and 13th ce n tu ries served as som ething of an extensive gloss on th is paper. M arek C etw iński (W rocław ) d ealt w ith the problem of G erm a n influences am ongst th e S ilesian knighthood up to the mid

14th century.

T he “New M arch colloquium ”, as w as rig h tly em phasized in the discus­

sion a t th e conference, opened out—to the b e n e fit of the whole—to include W estern P o m eran ia an d c e rta in o th e r are as of the M arch of Brandenburg.

An in tro d u ctio n to th e colloquium w as provided by the paper by K a­

zim ierz M yśliński (Lublin) on P o lish -S a x o n rela tio n s in the 12th century, w hich is to say d u rin g th e period w hen th e foundations w ere laid for the su b se q u en t grow th of G erm a n y ’s e a ste rn b o rderlands. W łodzim ierz S zkud- la re k (P oznań-Z ielona G óra), m ade an a tte m p t to objectively assess the fig u re of B olesław R ogatka, by m eans of a re la tiv istic appraisal of his in te n tio n s and a c tiv ity leading to P o lan d ’s losing th e D istrict of Lubusz in th e m id 13th ce n tu ry . Józef S p o r s 4 (Słupsk) raised the controversial topic of th e circu m stan ces and chronology of the beginnings of B randen­

b u rg ’s suprem acy o v er W estern P om eran ia, ag ain st the background of riv a lry fo r th e la n d s on th e m iddle O dra and the low er W arta. Kazim ierz B obow ski’s (W rocław) rep o rt on W estern P o m e ra n ia ’s public law relations w ith B ran d e n b u rg in th e 13th cen tu ry , also re fe rre d to this problem , though on c e rta in p oints it cam e to d iffe re n t conclusions. E dw ard R ym ar (Pyrzyce) m ade an in te restin g a tte m p t to id en tify th e supposed k iller of King P rze­

m ysł II, J a n K aszuba, in d icatin g th e possibility of a connection w ith the G re ifen h a g en fam ily and placing th e h istory of this G erm an fam ily w ithin th e b road com pass of B ran d e n b u rg expansion w ith in the New March.

Je rz y W alachow icz (Poznań) p rese n ted th e ch a racteristic features and dif- 3 It w as n ot possible to realize th e en tire program m e in view of the fact that several a u th o rs w ith d rew from th e ir proposed topics.

4 P a p e r read in th e a u th o r's absence.

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ferences of la te -m e d ie v a l te rrito ria l a d m in istra tio n in th e are a s of R ügen, W estern P o m eran ia an d the N ew M arch. J a n P iskorski (Szczecin) outlined th e rôle of th e M agdeburg law in th e tow ns of W estern P o m eran ia in th e 13th an d 14th cen tu ries.

T he su b je cts of tw o legal h isto ry p a p e rs w ere : P olish law in th e T eutonic sta te (W itold M aisel, Poznań), and th e law of C hełm no in th e sam e a re a d u rin g th e period 1233 - 1454 (A ntoni C zacharow ski, Toruń).

T he la st th e m a tic gro u p co n tain e d p ap e rs an d re p o rts of v ary in g con­

tent, K azim ierz Ja siń sk i (Toruń) spoke on P o lish -G erm an dy n astic ties in the M iddle Ages. H e n ry k S am sonow icz (W arsaw )—on stereo ty p es of P o ­ land an d Poles in m edieval G erm a n y . K rzysztof B ączkow ski (K raków ) p rese n ted a topic co m p a ra tiv e ly seldom considered in P oland : P o lish - S axon p o litical re la tio n s to w ard s th e end of th e M iddle Ages. M ichał K aczm arek (W rocław ) p rese n ted a p a p e r on rese arch by him self an d o th e r academ ics into lin k s b etw een th e p ra y e rs of th e L ow er S ilesian C isterc ian m onks an d G erm a n households. Som e a r t h isto ria n s p re se n te d a n insp irin g group of pap ers. A lic ja K arło w sk a-K am zo w a (Poznań) introduced some co n tro v e rsial re m a rk s on th e topic of th e id e n tity and ra n g e of in fluence of the G e rm a n G othic style. M a ria n K u tz n e r (Toruń) spoke on the influ en ce of G erm a n a r t and its a ttra c tio n s fo r societies in c e n tra l Europe. U sing the e x a m p le of m in o r fo rm s of a r tis tic h a n d ic ra ft (jew ellery), R a in e r S achs (W rocław) p rese n ted som e of th e ideological th em es p ro p ag a ted w ith in the s ta te o f th e T eu to n ic O rd e r (especially th e social ran g e of th e cu lt of the V irgin M ary, and th e ev olution of som e of its form s).

As can be seen fro m th e above, th e conference fa irly fa ith fu lly reflected th e tre n d s in re se a rc h on th e e a rlie r h isto ry of G erm a n y p rev a ilin g in P oland a t th e p re se n t tim e. M aterial from th e conference w ill be published.

Je rzy S trzelczyk

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