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OFFICE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIOUE ET TECHNIQUE OUTRE MER. c. OORBATH APPLICATION DES PROPRIÉTÉS DE RÉSISTIVITÉ DES TERRAINS

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(1)

APPLICATION DES PROPRIÉTÉS DE RÉSISTIVITÉ DES TERRAINS

D'ALTÉRATION A LA CONNAISSANCE DE LA TECTONIQUE DU MASSIF DE SARAYA (SÉNÉGAL ORIENTAL)

OFFICE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIOUE ET TECHNIQUE OUTRE·MER

1

-tENTRE O.R.SJ.O.M. liE DAKAR·

c.

OORBATH P. FROIDEVAUX A. BLOT

AVRIL 1975

(2)

APPLIC~TION DES PROPRIETES DC RESISTIVITE DES TEHr~\INS D'ALTERATION A LA CONNAISSANCE DE LA TECTONIQUE DU MASSIF DE SARAYA

(Sénégal Orientnl)

C. DORBATH, p. FROIDEVAUX, A. BLOT

Le progrnr.me d6velopp2 9nr cette étude avait pour objet d'étendre les observations et mesures ponctuelles effectuées à KDNDOKHOU dans le cadre des re- cherches sur les nlt~rQtions superficielles des roches. Les travaux de A. BLOT et

M. CfJli! avaient montré que des dykes basiques existaient dans le massif de Sarayn

et qU'ils s'individualisaient nettement du massif par la nature et la profondeur de lùurs alt2rations donnent ainsi des propriét0s de r2sistivit6 électrique très différencï6es.

fi partir de l~, les objectifs étaient de mieux connn1tre ln nature èu remplissage éventuel des accidents tectoniques qui ont affecté le massif de gra- nite de SL4T;UiYA, d'étendre les observations ponctuelles de KONDOKHOU, de cOffi9nrer

ln tectonique dans le r-k~ssif Qvec la classification de KORJ et KNIAJEV établie dans les s6ries voisines.

- Résumé -

Le massif de granite birrimien de Saraya a ~té nffecté postérieurement à sa Dise cn place par une tectonique cassante so Rnnifestant le plus souvent par des venUeS basiques dirigées par cette tectonique birrinienne ~ post-birri:lienne.

Les corps basiques sont des dykcs Jo16ritiques nnis aussi des gabbros pcgc~tiques

et tous les internéùiaires s~ns qu'il soit possible de préciser les rel~tions en~

tre ces diverses fomes, les do16rites sont fréquer1i:lent porphyroblnstiques. Des grès ont 6t6 observ'~S près c1es:1ol6rites. Les accidents ~ renpliss~ge bC'.siqu0 ont ét6 suivi sur vingt kilonètres environ. ln direction c1'ensenble ~st N 30-40°

nais des phases secondaires à cette tectonique principale se traùuisent local~~ent

par ceg r10èificntions dons le dykc principal étudié, ces fractures ~ renplissage bnsique constituent l'nnonnlic Z 10 définie en 1962. L~ place ùes grès est géoné- triquenent à r~p?rocher des acci.rlents nnjeurs nnis il est difficile de les situer par rapport au batholite ùe Sarnya.

(3)

Du ::,oint de vuc:!cs m6tbo(~€s ,Je terrain, il ust montré que l'utilisnt

<~es prù')ri6t6s ('lectrinues ,'es t2rrains superficiels è'nlt,~r[ltion ~ermet'8 ")oser

rn?i~ement un dia3nostic de b. litholosie et c~e pouvoir 8ffectuer une cnrtoST:,,-,hie

?récise s~ns affleurement. Du pjint 0e vue métnllùj[nique quelques essnis ont non- tré Clue les .'ykes basiques n'':tcümt i'ns exem;-;ts (~'nctivit(5 rnrJiométrique mnis i l ne scnble ')t!S y avoir une li::lison (~irecte entre ln r,1ise en "Ince (1es clolérites et une ~)r.rtie_:e la minérnlis<".tion_nifùre~o.. ma13ré b. concon!nnce iles directions.

D'nutre ~~rt les lykes ~ourr~ient fournir des ressources en eau souterr~ine.

(4)

1 - MAT E RIE L

Nous avons disposé de deux appareillages comt1lets de sondage électrique équipés de potentiomètres Cagniard.

Pour faciliter le transport en brousse chaque appareillage et ses piles était installé dans une caisse sp4ciale. Une des caisses s'adaptait \ une brouette construite pour la mission.

Chaque appareillage était équipé d'un interrupteur commun au circuit de mesure et à l'injection du courant, ce qui permet d'effectuer les mesures plus

rapidement et même en présence d'une légère dérive due ~ la polarisation spontanée.

Pour remédier q la très forte résistance de prise fréquemment rencontrée dans cette région et à

\8

sensibilité un peu faible des galvanomètres utilisés, l~

brouette était équipée de

la

piles de 90 V permettant, dans les cas limites, d'u- tiliser une tension de 900 V. L'autre caisse comprenait un adaptateur d'imoédance (amplificateur de courant) qui permettait de ne jamais injecter plus de 270 V et réduisait considérablement le poids de l'appareillage.

I I - MET H 0 DES

Les précédentes études effectuées à Kondokhou ont montré que la pros- pection électrique pouvait efficacement révéler la présence de corps basiques dans le massif granitique : en effet les courbes de sondage électrique sur dolé- rite ont une forme très particulière nvec un V très marqué correspondant ~ des valeurs minimum des résistivit6s apparentes toujours <50.Sl-m, tombant parfois q 10S'"Cm, et un. remontée très r63ulière de pente souvent;> 45°.

~ig. ~

Cette forte pente, qui rend l~s sondages ininterprétables quantitative- ment, est vraisemblablement due ~u}~ discontinuités lntérales : les filons bnsiques

étant gén6r~lement larges de 20 2 100 m et les sondages étant effectués nvec des lignes de longueur AB/2 mn%i~un d2 100 q 150 m, le sous-sol ne peut être considéré tnbulnire.

Par contre, les sondages effectués sur granites présentent des courbes en fond de bnteau assez pl~t correspondant \ des résistivités apparentes ninimnles

de~150 à 200}L.1'J ct des reJ:'10nt8cs assez félibles dues à une altérntion plus pro- fonde ct un pnssage moins franc d2 ln roche altérée ~ ln roche sainc.~ig.

2

(5)

Une étude pré.cédente (y, Albouy, J,C. Piao, J.M. Wnckermnn, 1970) donne les valeurs des résistivit6s des terrains ~n fonction de 10 nature des minéraux ~r8ilcu~ de néogén~sc liJC très certnineuent Q ln nature de ln roche nèrc.

nrgiles gonflantes 6 :::;- P .....:::- 14 c:1rgi les gonfbntes

+

knolinite 15 c.:=: P c::::: 25

kaolinite 20 :5 P ,,~: 30

c.rènc 50 c:::= P <::100

Résisi~ivité moyenne des mantenux d'nlt2rntion en~i~m

(ALBOUY, PIOH, vlACKERHANN)

On voit sur ce tnbleau que le ~Glonge argiles gonflnntes-kaolinite et les argiles gonflantes pures, ici cnractéristiques du Dode d'nltérntion des roches bnsiques, donnent des r~sistivit6s beaucoup plus basses que ln knolinit2 pure, produit d'oltérntion des granites.

D'nutre port, si on Jli!îine le terr~in superficiel, le sondage 6lectrique sur do16ritc ; l'ollure d'une courbe 3 terrnins dont le 1er sernit ln cuirnsse, le second 13 lithonnrge et le 3ènc ln roche snine. Or les puits prouvent qu1il existe un 4èDe terrnin entre 1:1 lithonnrge et 1.:1 roche saine, l 'orè'1e, qui contient ln nn~pe phr6ntique constnntc sur les roches basiques ne 10 région. Ln r1sistivit6 de cette orène étnnt forte (cf. té1blenu) pé1r rnpport 2. celle de ln lithonorge, ce

terr~in n'n~);)û.rnit pns dans le. n,nontée de ln courbe vers les très grc.ndes r8sis- tivit6s de ln roche saine.

LG D2thode de tr~vnil c~ployée n ét~ 8ise nu Doint ~ Kondokhou où l'abondance des ?uits et tranchées pour une étude des nltérntions penlettent de contrôler les résultnts. Les ~lesures électriques effcctu6es pnr M. Corn l'nvoient nnen6 à choisir ~our ses train6es des longueurs de lignes AB/2

=

10 m!l et AB/2

=

320.

En effet, sur les courbes de sonde.gc sur doléritc effectuées l Kondùkh'_'u, le. nesure de pé1 pO'..lr AB/2 = 10 l":l se situe e.u fond du V ct celh: de fin pour AB/2

=

32 D d,'-\ns

ln renontfe de ln courbe, nais nvec une valeur nettenent inférieure \ celle corres- pondnnt il un sondage sur grnnite.

Conne v6rificntion, nous avons effectuG une trainée le long d'u" ali- gnencnt ùe 15 puits coupnnt un filon de dolérite ct scs bordures [!ig.

~J.

Ln con-

cordnncc des r6sultnts est qun5iL~ent pnrfnite et ln l-12thode utilisée --,en',Gt ùe si- tuer le contact dolérite-grnnitc à noins de 2 TI près.

Il faut cependant rer.1nrquer que si ces 2 longueurs de ligne sont Dnr- fniteucnt nJnpt6cs nu caS de KonJokhou, il n'en est Dns toujours de nêne : et

(6)

"

- , j -

ailleurs l'2?aisseur des terr~ins su~erficie1s - sol et cuirasse - Deut être telle que ln Desure de AB/2

=

10 n se situe parfois très hnut dans la r:1escent', de la couri)c, cA.rnctérisnnt :11ors non 1.1 1ithonarge Y1Qis ln cuirasse. nlors que::

ln mesure Je AB/2

=

32 Y:, situ6c dans ln 1ithonnrge, donne des valeurs très

r- -, Î- - - - ,

faibles. \ Fig. 4 ] \Fig.. _.r. '.. __ 15;_

Nous n'Ions aussi du l'!oclifier notre intcr;)rf,::ntion de cert::lins son:~,':\gQS

en

-v

<.K)ins nets que les sondages sur do1érite ty~)e L\;1r~S vérificntion 1")é).r ~;ui·;:s sur ce que :,GUS Su~)po90ns être un filon de roche b::lsiquG et qui s 'est rév'21~e un

granite fortement 1nnin6. L!ie. 16~J

Ln méthode de tr.-.vni 1 uti1isle durant tout::: 1::,. rJiss ion '1 donc ét2 ln

mesure des r8sistivitt::s aÔ);Jt].rcntes par trainées, L'VGC 2 mesures (AB/2

=

10 ~J. j'liN

=

2 n et AB/'?.

=

32 n, l'IN

=

10 n) :~;ûur chacune c~es stntioEs équivn1entes (le 32 m. Les nnamn1ies conductrices ainsi r8)er~eS ont été vérifiRCS par sondnges é12ctriques

com,~}lets, seuf bien sûr lorsqu'il s'ngiss':'.it du ~)ro1ongement cl'un filon. :)'1r ln rrésence éventuelle d'affleurGDeuts ~ux environs, ou ~nr le creuseucnt de ryuits.

Le but de notre tr~v~il 6tait de re?pre~les quelques anoua1ies, essayer de 12s relier entre elles et donner l'orientntion (les clykes ainsi définis, en effectuant de grandes trnin&es perpendiculaires ~ ln direction .1es anon~lies do ln carte nngnétique.

Deux emp1acenents ont donné lieu ~ un travail de détail q Cnuse '0 1~

comp 1exité ùes nnomnlies con,-'uctrices r)rob,~ble t8moignnge d' une Dise en 'llnce -.Jlus camplm~E: que l' ensenb1e ùes cor)s fi loniens b,~siques.

Profitant des recherches du CEA dans ln r(eion nous avons effectué quelques layons radionétriques ~insi que ln coupe de quelques puits.

Il n'a pas été nnssib1e J'effectuer une prospection magn6tiquc pnr nbsence de nntGriel ce qui 11 limité ù'une nnnière importante le nrogranme initial.

III - RES li L T A T S

En 2 mois de terr':'.in no'lS "1V'Jns effectu·S:.environ 50 km de train3es et une quarantaine de sonènges électriques reDr~sentnnt ~lr~s de 4000 nesures.

5 gr~nùes trainées transversales (900 N ou 1200 N) ncus ont peITJis de suivre sur une vingtnine de km 3 fi 10ns -lrh,cinaux, rrécisés :}~r (1'autres train6€s ~lus courtes.

(7)

Les r6sultnts sont pr~sent~s sur une c~rte;Fic. 5 dessinée \ ~nrtir

L_

(1es ~;hotos o.5rienncs \ une (;che Ile cl'environ 1/44000e l,r6sent.'1nt le résc<':lu bT-~ru- 3ra~hiquc, les villages, les }istes principales ct qucl~les pistes second~ircs.

Nous y :wons cnlé les principales trainoes et los er_1lJ1ncements des filons, re')ort~

h p lU1Jart des sonc1nges (, lectric!ues, les affleureuents ohservés et les i)uits creus6s nu cours ùe cette nission.

1.- Au Suè secteur Bnciouln-Kolondons6

Le dyke le plus i~)ortGnt, recou~é pnr 5 train~es Dnrallèles entre Ba~ioub nu Sucl et D::mtilla au Hard, passe \ KolonJons:i: 0'" il atu.dnt une !nr2;cur ,le 500 ra. Sn clirection est 40° l'l, r-piS. 6.7.B.et 14 On peut remnrquer C!ue le

l _

tracé ~e 10. vallée du Dinl16, bien que proche de celui du dyke basique en est in- clépencbnt. De manière l) lus G·jn'~rnle les er.l~)lacenents des c~ykes ne sont mnrqu6s par aucune ?articul~rit~ toposra~hiqueet on peut constater : (carte 5) que ln dolérite est rarement soulisn6e pnr le réseau hydrographique, bien que celui-ci prGsente nettement 2 directions ~ 400 N et 3200 N.

Le résenu pourrait ;Jlutôt souligner les Iii Iles "sèches"cbns le cranite qui, en général, s'altère ;)lus ;)rofond6ment que ln 'lolérite.

c'est ce c'yke qui ava.it (!.té étudié en 1964-1965 par le PNUD cn 2,jochinie et par la CGG en géophysique.

Locnlenent les étuJcs 2:~(1,.,hysiques avaient const.'lté la super-..,osition .j'une nnomalie conductrice cvec un cours d'enu et (l'une nnonalie mngnétiçue 2t ln prenièrc intcr;.Jrétntion nvcit chcrch6 une explication ~:nr flnt pour retenir fina- lenent une hypothétique zone broyée nrgilifiée ')lus satisfnisnnte clnns une r(~3ion

~ alluvions rares.

2.- Pnrtie centrnle SGcteur Dantilia

A ln hauteur de Dantilia, la train6e 4 recou~e 2 filons lnrecs Je 50

~ 100 n, ènns le prc) longer:,ent (lU fi Ion de Ko lonrJonsé. Des ncsures fni tes sont insuffisantes pour snvoir s'il s'n3it d'un JéGoublcnent du filon précédent o~' si un nouveau filon ~l')l)nrnit. Les autres filons observés sont be3ucou~'1 :)lus étroits.

Un cxcnp le type est montré sur ln figure 17. Cert3ins 'Juits de trninées ',résentent

;Jnrfois des valeurs faibles 'Jar ra~)port 2 ln moyenne ('es vnleurs sur srnnite nor- males, mais restant de l'ordre (le 100.;'.n. Ln fi:3urc 9 l)r6sente deux excoples Je ce cns sur h train6~ 2 ct 80 ~ nu su~ dans une direction 1300 N sur une oetite trai- née parallèle. On retrouve nussi cette anomalie sur ln train6e 1 dans ln èirection 1300 N.

1.;:;s sondn8C:s effectués sur les 2 anoma lies ont une fonne en

-v

p lus ou-

vert (;UC les sonso.13es do lé:rite-dy!w et leur remont'Je, quoique for:~e, est inf5rieure

(8)

,._-

h 45°. L~i8. lü.J. Le 3ène sonJage, fait entre elles, est cnract2ristioue ctu granite.

Le puits creuss ~ l'en~lacenent du S.E. 24 ~ I,is en évidence un 2Tanite altéré fortcnent orienté ct lnuin6 nvec une nappe dont le toit est J. 3 Ll. Ces

observations peroettent de sU;.J?oser la présence dans le gr.:1nite, d'une zone faillé2 de nêne cHrection que les dykes snns injection de roche bo':lsique, les nnaüc.lics (~C

ce type sont signa16es sur ln fig. 5 ~ar un figur6 sr~cinl.

3.- Partie Nord - Secteur Kondokhou

D.:1ns ln partie aval du nnrigot Bouroufnni près de son confluent avec le Snndounc1ou, le relief très accidenté, du S::111S ,Joute ~ un rnjeunissenent, n

pen~lis de fnire un certain nonbrcs d'observations. On Q trouvÉ: 4 affleurcncnts de c1olérit:: en place, dont 3 sont dans le prolongc",wnt (~'un nêne filon. De ch.:'.C1ue côté de ces nffleurencnts, le gr...nite :::Incaissnnt nren,J une couleur rouge t,....nJis que les micns disparaissent sur une dizaine de n de ~nrt et J'autre de ln dolGrite.

D'autres nffleurenents d'un tel granite ont été vus ailleurs ~ proxinité ùe filons basiques repêrés .Hectriquencnt sans que ln do lérite affleure.

On n obs(~rvé, égnleL1ent (,lans le Bourouf::lni, 3 affleurements de gr8s dont l'un est rrl1'1nrqunble :)::\r l'ir11Jortnnce et surtout ?~r le fnit qu'il borl)e un filon de roche basique. Dans le prolon3ement ùes 2 nutres, on a observé ln présence de clolérite. Il senblc Jonc exister une lbison clans l'espace entre grès et do16rite : ~eut @trc le Br~s a-t-il ~t6 prot686 ~c l'~rosion par le rejet ~es

failles verticales ùrlns lesquelles se sernit injectée la do16rite.

4.- Les faciès de roches intrusives

Les affleureraents de roches bnsiques obscrrés sont de 2 types : gabbro, en deux affleurements qui, ~tnnt donné leur alignement sur une direction 40° N, senblent C1;J")nrtenir ~ un nêr,1c filon. I l se présente en boules Je 1 ~ 2 rJ cIe dianè- tre;ùolGritc, en boules 6gnlenent, nais ùe tnille benucoup plus réduite, observée aussi en )lnce nnis très Dltér6e et Jinclnssée, et nncroscopiquenent iùentique ~

celle trouvée dnns les puits de Kondokhou avec les ~hénoblnstes felJs~;~tiques.

5.- Tectonique

Deux ~ecteurs (voir encn~r6s ùe la cnrte 5) ont été plus pnrticulièrenent étudi6s en rnison de ln géométrie com~liquée des nnanalies conJuctrices.

L'un se trouve entre 2 et 5 Kn nU nord "le Kondokhou dans ln l1ircction de Missirn ct peut être décrit ~ 3 6chclles différentes :

(9)

Ill' échelle ki lomé;trique on observe une f:1i lIe décrochement c1extre et c:u direction' ?8U pr,s perpenJiculnir~nu dyke (cnrtc 5).

A l'échelle hectométrique (cnrte 11) on observe un système (18 flmmre!

:1vec des oricntl'.tions (_1'un filon:>' l'::lutre vnrinnt de 250 '" 340° E,-1onnnnt l'im- pression d'un système de fnilles en éventail. Ceci explique le rn?procheuent des filons l'un pnr rapport ~ l'nutre.

Ù l'é.chelle ùécan~triquc (cnrte 12) (Jn observe une série de petits ,_':!:- croche"lents en relais que l'un :Jeut éGnlenent voir sur les nffleurenents ,')li3n:~s

ùu Bourourani : la direction c:es trois nffleureE:ents est de 70° E et celle cles contacts 3ranite-dol~riteest de 100 ~ 120° E.

L'autre secteur 6tu(~iG en dÉ;tail se trouve 2 Kolondonsé(carte 13) : sur le bord occièental du filon )ricipal, a9parennent rectilisne, viennent un filon 6troit de roche basique ct6j~ rep6r5 plus nu n0rù (SE 30) et une zone de faible résistivité qui dessine une sorte Je Savant ùe recou~cr le filon principel. Les sondn3es 6lectriques effectu6s sur C::lrtes ~c faihle r&sistivit~ sont tout \ fnit Coml'o.rGbL,s ~ ceux obtenus sur ;3ro.nite très forter.lent orienté, lo.uiné.

Les tro.inées effectuées sur ln bordure orientnle du dyke principal ne flontrent aucune nnonn lie con':luctrice.

IV - A P PLI C h T ION S

1. - Méthodologie

DQns une région ~ relief peu DnrquG co~rrle le unssif de grnnite de Snrnyn où l'~ltéro.tionpuis le cuir~sse8ent ne lnissent que peu ù'nffleurcuents nccessibles nous o.vons nontr~ qu'il fallait plus cor~tcr sur les u~tho0csindlrectes

et les nffleurenents nrtificiels (~uits et trnnchée) que sur l'observntiondlrecte.

De plus les conùitions clir~ntiques nnciennes ont pernis une nltérntion ùes roches qui ne pemet pns cl'identifier c1ès ln surfnce 13 nnture de ln roche sous j.ecente.

Les trnvnu:: sur les nltérntions des roches ont contr;S clue, c}nns le unssif l~e SarnYQ, le contrnste de cou~osition étnit net jus~u'~ l~ anse ùu cuirnssement entre les deux ~oles litholo3iques étudiées ici : les dol~rites Ylontrent une 3r~ilifico.tion

totale nu cours ùe l' o.ltér'-.tion surtout montmorlllonitique nlors que les 3rtlnites

(~onnent une :1rène kno linitir;ue. Les ùifférents puits ,l'étude Demettent cl' im1i(]uer

(10)

une coupe qui a orienté le choi~~ des quadripoles utilisés: les terrains r·~sis­

tants de surfnce (sol hypersilicieux, cuirasse et c~rnpace) ne se retrouvent )as en dessous (.18 3,5 mètres ; en cc qui concerne l(:s roches "é lectriquement sr\ines"

leur :)rof::mèeur est varinb le '-~'une diznine :Je Dètres pour les do lérites ch:t l'altération est brutale q plusieurs dizaines de uètres ?our les granites. CGci n orient,~ llettenent le choix (les c1inensions du quadripole en utilisant le ~1iS:10­

sitif le noins encoI'lbrnnt ~)ossible pour le problè':.K; pos'? C'est égnlenent ·:~cs

dispositifs courts qui ont ~t6 utilis6s par les recherches de zone de quartzifi- cntion T'ar les géophysiciens soviétiques A B H N avec ilB

=

20 n, B1'1

=

~.Q n et MN

=

20 :; ou encore il H N B avec !.3 = 60 n et MN

=

20 1:1. On peut é1.jouter oue les recouvrenents sont rares sur la grande partie du Sénégal Oriental et que le nas- que superficiel est le ?lus souvent soit une cuirasse, soit le ~lrüJuit c~e c1~uan­

te lleuent de cette cuirasse l' ensenb le d,~passnnt rnrcnent quelcues nètres.

On peut ainsi souligner l'intérêt du couplage Je l'étude des alt~rQtions

ùes roches è~ns une région ~rospectée avec d'autres oéthoJes, ?ar exeople ici ln pros?ection électrique ce qui peruet un étnlonnQge et par conséquent une cn~to8ra­

phie.

2. - Tectonique

D'n~rès ln nature des roches qui rer~lisscnt les fractures N 30° - 40°

et leur cOG~~rnisonpossible; avec les ~utres effusions de ln région il senble que les ,}ykes soient nettenent :)()st birrir-:liens. Ln ?hnse tectonique NW - SE ne sccble pas so traùuire ~ar des cor?s filoniens nais déforme locnlenent les dykcs nnt6r ce qui ?eut être considéré COnFJe une chronologie.

La phase tectonique N 30° - 40° se IDnrqu8 Jonc nettement par des cor~s

filoniens tr~s nllong~s de roches basiques ayant de quelques mètres ~ 500 m~tres

de puiss~ncc. Ces corps filoniens sont ncs Jolérites, Jes do16ritûs pcrphyroblns-

gressifs entre ces faciès. Ces èif~Grents faciès J'une nême effusion tr~(!uisent

une évolution des conditions rle cristnllisntion .,vec .:lU ncins 2 phnses :Jri.nci):J.les.

Nous r;:ltt!1cherons l,rovisoirc;nent cette phase tectonique N 30 - 400 JI ln

~hnse tectonique post-birrinienne que KORJ et KNIAJEV ont J6fini dnns les s6ries de Di:J.lé et de Ho.l<.ü. Les corl's ')<'-5ic;ues c~rtogrQ~,hi6s ex:) liquent les anoni1 lies rectilignes de ln carte n6ro223n5tique.

Les corps bnsi(}ues r-.llongés et leur défornntion orthogonnle sont vrni- senblablcuent ln cnuse de l'nnoetlli8 Z1J;14- c16finic :"'1r CGG en 1962 et le c"rtogrn- i,hie au 1/200 000 du BRGH pourrait être nodifiée c,unnt il ln place des 1'.cci(~ents

tectoniques supposés.

(11)

- 8 -

3. - Hydrolo;:;ie

On a pu reI"ln.r1uer b. constance .J'une n;1~)?e l)hr'~ntiC\ue dans les cor')s basiQues alors que dans les Jranites il faut rechercher ~ cha~ue fois de nouvcll~s

nappes :)our l'ouverture de ,?uits hyc1r'1uli~ue.

Cet aquifère constant nnintenant c"1lé sur le terrain pourrtlÎt être un appoint aux ressources en cau existantes ~our les besoins villageois. Dens le secteur suJ il serait int~ress~nt d'en ~tudier les ~ossibilit~s r6elles ~our

l'a linentc.tion peronnente (.le l' nrr:)nc1issenent 'le S'1rnya chns ln nesurc Gl~l les res- sources 10--:a138 senblent toutes utilisées.

4. - Métalloyénie

Un seul élément utile ,'1 ,sté reconnu en inc'ic.:cs dnns 1'1 réGion, il s'ac;it de l'uraniuD après les recherches du CEA en~59-1960.

Une des directions :1e ninéro.lisntion semble être celle des èykes (~o16ri­

tiques dont l'un dlentre eux J~vrnit recouncr la zone ~es travaux superficiels de 1960. Llautre direction, ortho~onnle ~ la nr6c~Jente est mieux minéralis~eet ne senb le né:!S se T!larquer par ,les efEus ions spéc if iques.

Quelques layons raJiQl.]8trifjues ont ~té: effectués suivant les layons cle nrospcction ~lectrique ainsi que le profil de puits sur dol~rite et eranitc. Loca-

la~ent la dolérite montre une activité plus inportante que le 3ranite avec en ?nr- ticulier un ')ic \ la base les niveaux enrichis en fer (base de la cara"nce, o.r3iles grnvillonnaires). On Deut Denser ra?idement que cette nctivité localement ~,lus

forte Jcs ùoléritcs pourrait être une conséquence (lu cuirassement zénéralisé èe ln rée ion où les niveaux enrichis en fer ont des teneurs plus fortes en Fe que les mêmes niveamc sur granite. Ce',endant, des différencintions intra-dyke :)euvent aussi se m~rquer par ~es diff6rences d'activit~ not~bles.

On ne ?eut nctuelleuent 0liminer les ~hases tectoniques qui ont nis en

~lace les ('ykes NE-SW et les ont c1éfonnp.s (NW-SE) dans une cO'1tribution ~. l' cx- pression (~es minéralisations IIIIIP..if,2res "e Snrnya.~

L'ilf'lénite peut conné'.1tre une certaine concentration DOUVt'l.nt s' é'.ssiniler 1 des flats lorsque l' n lt6rntion é'. perois une ?lifilin,'1tion nuissnnte ,les ninGr'1ux prinnires <les roches basiques nV8C concentration sur 1)lace des n.inérnux r6sist:1nts coI'1l'1e l'iln(2nite ;:Jnr exen~1le. 110is il heu. n.robnble de fJouvoir trouverest (~es concen- trations Gconomiques les cor~s basiques étant 'lunn:.~ même cl'extension ré(1uite.

Cepen:l.'1nt 10. présence è1i ln2nitc, r:hns les concentrés de sa 1 est un boa indicateur n'un substrJtun doléritique ~ gnbbrotque.

(12)

- 9 -

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Ménoire BRGM nO 44 Paris.

(13)

Table des figures

1 et 1 bis - Sondages électriques sur dolérite SE 17 27 23,27

2 - Sondage électrique sur granite SE 15

3 - trainée électrique

4 - trainée électrique

la coupe de la ligne des puits 141-150 ~ Kondokhou

5 - Carte d'ensemble des résultats au 1/44 000

6 - trainée électrique nO 2

7 - trainée électrique nO 3

8 - traînée électrique nO 1

9 - trainée électrique nO 2

10 - Sondngcs électriques

11 - Carte de détail Nord Kondokhou

12 - Carte de détail Nord Kondokhou

13 - Carte de détail Kolondos6

14 - Sondages électriques

15 - Sondages électriques

16 - Sondages électriques

SE 21, 22

SE 10, 11

SE 5, 6

17 - trainée électrique nO 2

(14)

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(18)

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(24)

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(25)

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(26)

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