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OFFICE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE OUTRE MER (O.R.S.T.O.M.)

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(1)

OFFICE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE OUTRE· MER (O.R.S.T.O.M.)

CONTRIBUTION A LA BIOLOGIE DE PHENACOCCUS MANIHOTI MAT. - FER.

RAVAGEUR DU MANIOC AU CONGO

RAPPORT DE STAGE présenté par J. BOUSSIENGUET

Laboratoire d'Entomologie Agricole - O.R.S.T.O.M.

BRAZZAVILLE - CONGO octobre 1979

(2)

.Au- terne de ce. travail réalisé c ens des' conô.i, tions très difficiles, -conë.iti.on8oatérielles d'existence p.r o ch es de la subsistance, conditions i::atérielles d'un 'Laboc-a't oà r-e de cr'éa'ti on z-éc ent e- c'est avecplaisil' que

je sacrifie, avant d'!'exposer les résultats qui font l ' ooj et du présent . néno Lr e, au traditionnel usage de l' avant-p:.::·opos, pour expririer nap2'ofon-

Qe ~.ratitude à ceux qui, deloL~ ou de près riront apporté leur aide.

Ba profonde recoill1aissance va naturelle~entà la Direction générale del"Office de la Recherche Scientifique et Technique Outre-mer _CO.J..S.T.O.H.)

et am: autorités congolaises dont l' L"l'ltervGntion auprès du lr.inistère fra.'I'l- çais de l&coopératioÎl m', a permis de bénéficier d'une bourse de i'echei-che sans Laqu e l Le ·ce raéno i.r e-nf auz-a.i t jamais vu le jour.

pour: avo I r facilité non af'fèct a t.i.on au Centre' de Bz az zavd.Lle, ainsi que pour les facilités qu'il a apportées à la réalise.tion uatérielle

de.

ce ~émoire, je tiens à expriner toute ma prbfonde gre.titude à honsieur E. noth, mon Directeur de recherches.

Ha r-econnaa saanc e 'le. éga.Len en t à 1:onsie'Ll.r il. Robinet, Directeur: ces

~tudes et de la Recherche au Ministère de le. coopération. pour les facili- tés qU'il-a bien voulu ayporter à l'e.ttrioution (d.ifÎici~e) de na bourse.

Je tiens à e)~rimer mes remerc1n6nts à tous ceux auprès de qui jj~i trouvé ani tié 'et compréhension. ) '..c

Ce tr·av ai l ; a été rée.lisé av ec le. coLlabo r-atd.on technique de L.1 Ki~

/

yindou et S.E;pounaj qu'ils veuillent trouver ici le témoigne.ge de ba re connai,s s an c e.

Enfin, "Last but not least", je tiens- à e.ssocier l!:liane, SylYie et Allain à ces remerc1nents, pour leur générosité, et pour toute 12 pati~-

ce dont. ils ont su faire preuve à non égard.

(3)

l E T .c 0 DUC T

r

0 1'1

1

l

,L2. co ch end.Lû e du nanâ oc , Phene.coccus manil10ti semble être dlintroducti.on ::'GCe11 te au Conco. Les pre~ières ooservations rélatives à cette espèce ont e·-, Z2Ïre (Ranh et Uillie.:c.s, -,-~i~o~~) . - 'halS C,es~ ~ ~_. 6 'n:,,_-,--+:';- '_'u~ de 1973 qu'elle co=nen- ce à intéresser les spécialistes.

3;1 1975, cette cochenille sst con sd dér ée corme une e spè e e '-10·lnc e l 1 e . n . : c : : L - '

sible au nand o c en ltÎx'ique, et ce E'est qu ' en 1977 qu ' elle s e r a décl~i-te nar Ee.tile-?el'l'e:::-o sous le non de PhGl~~acoccus ne.:.'l'Îhot:h.J1at.-:;;;erl-'. (Ee.tile-?el're- r o , 19(7).

Au congo, les dégê.ts oc c as i.onné s U2.l'- cette cochenille sur, ' - 'le. vé,ç;étatiOn. u:,'ennent souvent, ffi1 s2ison sèche, des al.Luz es de c at as tz-ophe , cuod.cue Leur

, - " -

-

'incidence sur le pl&"1' écono~ique soit encore nal déÎinie (EZUTI2.

&

Knight, 1975, Leushn er, 1~78, H1'T2.11zé, 1°77- . 1 1 8: 10'78"- ; ;1 , l;la.nt;le-h"'~1'e·"'0... - - l'oc;;_ - ...;.. , 107S)- . 1

. ,

Sa soudaine extension

&

toute l'AÎ~ique éQuato~ialen'a cessé d~puis, è.e 1-'et en il' l'atteniiŒ1 des aut.o rci tés (JJ.2.tioniües et 'η...,ternatibnales).

l·l-ais en ~é"Dit de c etute ';"e'·o,... - ~ ~O'+;'Hc._ u _ u _0'1'- - 0""e'o:';""'''''~''~O·L.1e5 -t:.O.l-'!..LL:;L. ~ et ~e l'impcrtance ~

.

( ' ' )

nOD:Lque presumee sa biologie reste

en-

core Dal c01ll1ue et les seuls travau~ dis~onibles, orientés vers les ~roblè­

nes de lutte biolOGique pa:::- intro~nction d'entoBophages et sélection de va- :::-iétés résistc.21 tes (Nl'ianzé, 1977&78, EZ1.1L1a & Y.night, 1978, Leusbner, 197e).

Il ressort de ces recherches que la pullulation est de règle en saison

" .L d" - - .. . L '

SGcne, uaD 28 que ~es yOpU~a~20ns resuen~ géné::,~leBent linitées à 'lmnivecu plus 'bas en saison des p Luâ ea, Ces étnà_es font égalenel'lt r'es so rtLr l ' e:::isten-

1 !

ce d'une corl'éle.tion entz-e l'iTI1)o:.-tel1ce de J.a pLuvd.oriét rd e et la !'éd1.1.ctia:.1 despopulaiions observées'en saison des pluies.

l ' c.sp èc.t le no Ln s CO:ElU C0l1C8l"Il'e sans doute le Dode cl'.s.ctiol1 de 12. pluie sur la dJ~aDique des populations, et le. question qui reste pend~lte est

celle de l'inÎh:.ence d es variations saisonnières des condi tion;:; cli.":J..e.tiaues -

"

(4)

l'évolution des caractéristiq~esbio-écologiques des générations successives et l'L~itiationdes pullulations.

Le travail que nous présentons ici voudrait apporter quelques éléments con tri butifs à l'étude bio-écologique de P. me..:ninot..; en relation avec les

"fact eur s ab i.o ta ques ",

Sur le plan méthodologique, nous avons retenu une méthode d'élevage sur i'euilles isolées de j eunes plants de rianâoc en pots, pour la déten,ination

exacte de la dur ée è.es stades de d éve'Lo pp en ent st pu:':' con séquent celle des

géné~~tiorts, de la fécondité et de la loneévité des fenelles de génératicns~

successives, d81S les conditions 8~bi[~tes très proches des conditions n~~

De une étude destinée è.. l'influence de la tenpérature sur la durée' des stades de développen~lt

a

été Lffilée drolS les conditions re- lati v en ent stables du labo:.':'atoire; selon Lanême méthode.

Des observations cODp~é~entaires ont été :enireprises dans les conditions de plein chanp au Doyen d'une teclnlique d'infestation artificielle de pieds de m&~ioc indem-~es et d'illle méthode de prélèvement périodique d'échantillons sur l e t erraân,

Les résultats de cette étude ont été comparés à ceux obtenus par é~- vag es au Labo'cat o.i.r-e et dans les' conditions ambiantes, en V·D.e dE:d.étermir.:e:::·.

les périodes favorables à un accr od saem ent 'des popu.l a'td on a,

l'étude (le la répartition des populations dans le t enps et d.ans l' espa- ce a été conduite sur une parcelle de narrioc cultivée selon des tech 11 i q u e s

di testradi tionnelles par le. néthode de "cont rê Le visuelIl' pour ne pel'turbec ni liévolution des popule.tions resté~s à ~~ niveau très fe.i?le en saison des pluies, ni celle de le. végétê.tion; 210US ayons pu ainsi exaaâ.n e.r l' Lnf'Lu enc e des conditions clinatiques sur les fluctuat{ons de popu12tions.

Les observations pr~céde!1tGs ont été conpê.rées à celles relatives è le.

phénologie de l'espèce, et les facteurs de régulation des populations pré-

cisés,:d~lS les li~jtes ~e cette étude.

(5)

3

Blfin, les caractéristiq~esbiologiques utilisés au cours de cette étude (durée des stades de dé7eloppenerrt, durée de Génération, fécondité et

.

longévité des feEelles, pot81tiel net de reproduction etc ••• ) étent suffi-

s~~errt consacrés par l'usage, nous n'avons pas cru devoir alourdir cet ex- posé pal' LU18 rubrique de définitions.

(6)

A, femeile reprodu c tri ce ; B,

fe~ ell e

et 3è De st a de larv aire ;

C, j eun e fer.el l e et -,.LeT s. L .~aG.e -.1.a:rva~r e

(7)

C li API T ~ E PRENIEn

5

ETUDE ET C01mITIOI~S GTI~E?J:.lES DES ZSSJ..IS

1. Pos~tion s~siématicue et mO~Dholo~ie Qe ï 'adulte

Sans errirer d~lS les querelles systématiques qui dépassent le cadre de c 6tt e étud e, nous r et.i.end ron s que P. Banihoti app art.i.ent è. l'ordre des liowop- tères, Super-fanille des Coccoidea, f~ille des pseudococcidae. Cette posi- tion seEble être adnise par la plus part d.es auteùrs.

La fenel~e (fig. 1) de forne ov01d.e est d'une couleur rosée à l'excep-

~ion de la face ventrale qui est plus' claire. Lisse au sortir de la mue ima- ginale, elle se r ecouvr e progr,::ssivement dlun e pruâno aité blanche f'Ln en ent

gr~uleuse. La longueur du corps varie e~tre l et 2,7 Dm; les a~tennes sont longues, de 9 articles, la segmentation visible et l'ovisac court.

Sur la marge, les sécrétions correspondant aux cerarii, se présentent sous f'o rra e de.ir enf'Len ent donnant un aspect dentelé au contour du corps (:i-la- tile-?errero, 1971; fig.

I.e).

/

Originaire semble-t-il du Brézil où ses populations semblent être par- faât en ent contrôlées par les facteurs du milieu, P. na..TJ.ihoti s'est répandu d2llS toute l'Afrique tropicale.

(8)

Sa présence a été signalé au Zaïre, au Gabon, en .Angola (lfilliams,

1978).

Des observations concordantes (Mat{le-?errero,

1977,

Nwanzé,

1977

et coinriunication personnelle) indiquent que cette eapèce semble strictement :Ï!:l'-

féodée au nrolioc (K~~ihot exculenta, Grantz).

3. Les dégâts.

Selon le sévérité et la précocité de 1'attaque, les dégâts se fi anifes- tent par une perte de vigueur, une défoliation plus ou mO~lS importante ou encore lm ren td saenen't ou un a2'l'êt de la c r'oLs aanc e végétatiye. ,:Dé'.i1s ce ~e:rnier ças:;-clarplante présente un z-accour-cd s s era en't caract éz-Lstd.que des inter-nœ udset Une a.l Lur e ..â.e\'balai de so rcâ.è r e,", . , /1'

Les attaques débutent généralenent p~ une infestation des jeID1es pous- ses terminales des points de croissance par les larves mobiles ... et se pour- suit pur l'apparit~on des femelles sur lasurftce inférieure des feuilles, au niveau des nervures principales (surtout) et secondaires.

Les dégâts sont dus semble-t-il à une intoxicatio~ ou -un épuâs eraent

de la plm1te du fait d'un prélèvement excessif de sève.

4. D0i:.1llées générales sur la biologie de l'espèce

-

Les femelles de P. nmlihot~ se reproduisent par parthénogenèse thélyto- que stricte et tous les auteurs affi~ent n'avoir observé aUCID1 mâle

(Ma-

tile-Ferrero,

1977,

Nw~~zé,

1977

etc ••• ).

\. Les œufs sont déposés dans un ovd sac à la surface inférieure (le1 la

.1

feuille. Les individus passent par trois stades larvaires dont seul le pre- mier se:déplace activement.

L'adulte néoténique qui fait suite au troisième stade larvaire passe par une période de naturation des ovarioles qui "arie avec la température •

(9)

7

La fenelle reproductrice secrète d' aD01"d un ovti s ac vide avant le dépôt des , preniers œ ufs.::qui s'effectue généralement d an s les huit heures qui:", suivent.

Elle meurt généralement trois à quatre jours après le dépôt de la dernière ponte.

5.

Conditions générales des essais.

Cette étude a été 'conduite pend81t la canpa~~e 197B11979~ au centre O.R.S.T.O.K. de Brazzaville.

Les observations da."1s la nature ont été effectuées dans l ' ar:dèrepays brazzavillois, à Oorabé , à quelques km au sud,'~~ Djou~. La souche utilisée pour les élevages a été récoltée à Ootabé et z enouve.lé é'périodiquement.

Les conditions de tempéra'tur e et d 'bygrométrie ont été conpar-ab.Les-à c e.lLesd'une année "normale".

Les fluctuations du rég:Lr:e des pluies ont été maz-quéegp ar un écart par rapport aux conditions 'no rmal.es "; nous les avons comparées à celles d'une

"année jaoy enn e" (p.58 ).

En raison d e la diversité des tecblliqùes enp Loyées et des araénag ea errts qu;

~~\.9n.:t @té '::.;ap.portés eompte--Eenu des contraintes expérimentales, ce.l Les-ecd, S:m.t

d~crites dro1S différentes parties du texte.

, ./

(10)

C HA PIT R E II

Selon

W.

Thalenhorst

(1950),

les variations dl abondance ou gradations d"une population dl insectes sont le résultat d 'une suite de f'act eu rs dont 11.

en~embl~ constitue le, gradocène de 1'1espèce considé:rée.

ce

système con sd.ste en une inter-action ent z-e 11insecte et les facteurs de son gradocène d'une part, et entre ces facteurs eux-nièmes, dl autre p ar-t , LI étude des gradations

ço~~iste ainsi à prendre en compte les c02pos81tesde ce jeu de forces et à ex- pliquer l es règles selon lesquelles elles S.I a r-ti cuLen t dans le t ehl:ps et dan s l'espace.

La présente étude, vo Lont aâ r-ement limitée à l ' inn uen c e des facteurs abiotiques SUl' .La dynamique des populations de P .m811; hoti a pour 'Dut è.'eza- maner les relations entre le potentiel biotique de l'insecte ( vitesse de dé-

"

veloppement, mo:rtalité, fécondiié ect ••• ) et les facteurs climato-trophiques.

1. ETUDE DES CARACTE~ISTIQUES BIO-ECOLOGJQUES

Décri te pour la première f'od s par Hat)iïle -}"'el"rerO en 1977 sous le nom de Phenacoc'cus m8ühoti~ tI'ès peu de traYal.1.x ont été consacrés à cette co chend Ls-

~U1 . "

le malgré l'importance des dégâts qui/Gontattribués; -sa biologie est de ce fait Dal connue. Les seuls travaux disponibles à ce propos sont eeux de E~:~'~:

Leuchner et K.F. N'wanzé

(1978)

orientés vers l~s problèmes de lutte biologi- que par introduction d'entomophages et sélection de variétés résistant§s.

Ainsi que le suggère K.F. Nllanzé (communication personnèlle), nos obser- vation sur le terrain et nos tentatives d'élevage sur végétaux de substitution

(poIlllile de terre notamment) semblent Lndâ qu er- que P. ma.:::1;hot; .est s·;tr,ictément

~ - l "'- - - ~r

inféodé aux espèces du genre Ha.YJ.ihot, et dans ce :;enre, à E. e:x:c:u).,@.t~.G.J:.a.rrt1o. :tt

not amm en't ,

~ Nous avons observé des colonies de F~manihotisurN811ihot glasiovi, espè- ce voisine' de r,~., ~:tcl11e1ltr> ~~ÇJ.tili::;ée au Congo comme plante dl agtément.

(11)

9

1.i.· I.e cycle évoi utif

De l'oeUI~ à l'adulte, p, mrulihoti pàsse·par trois stades lar~aires dont seul le prenier se déplace activenentL

1 "

Les ce ufs, oblongs, meeu.r en t : environ 0,6 mm de longueù.rsur 0, 2 mI:raC~-.

/

diamètre. Ils sont déposés d~lS rul ovisac court, généralement à la surface inféri6ure' des feuilles.

Opalescents à la ponte, ils deviennent jalL~âtres à naturité, les yeux des·j eunes Laz-ves étant visibles deux à t:-ois j.ours avent l'éclosion•.

La f en e.Ll e , strictenent ovd.par e se l'epl'oduii; par parthénogenèse thé- Ly'toqu c .. et aUClL'1 nâle n'a été observé, ni sur le terrain, ni dan s nos éle-;o.

vage.

Si l'opinion générale est que la saison édes pluies, est préjudiciable

audéveloppe~entde P, maninot; alors Que la saison sèche lui est favorable, on ne. dispose que de peu d' él énent s sur l'évolution saisonnière des caracté- ristiques biologiques de la cochenille, D'Où l'intérêt de l'étude ·des généra- tions successives en foIictions des modifications des éléments du D2.CrO- climat.

Nous ~vons pour ce faire utilisé une technique d'infestation ~rtifi­

cielle sur le terrain.

Technique

Pour chaque génération, nous avons procéclé pal' infestation c.. {,...:,~:::c2

CIe

plants de merri.oc irider,ules à l'eide de femelles mûz-os prélevées surl-e ter:rà~' .Après 24h de ponte, les .fen el Le s sont sac:dfiéès, les ovd.aac s laissés surpla-

ce. Les observations et les. notations son.t -J.'~~tes "~e ~~~ ~ _O~s. par semaine,lors. de la sortie hebdonadaâ r s sur le terrain. Lor s d'un contrôle, la

.:» -.

(12)

...

La présence d'un stade à. plus de 5af, à.e l'effectif total}indique le passage à ce stad e (le la population étudiée•.

-Résul tats •

.,

Le tableau nOl indique pour chacune à.es 5 générations étudiées, la durée ainsi que la ~iison de développement correspondmlte. Cette durée varie ent~e 35j (en saison chaude) et 42j en saison fraîche•

.

Génération Du~ée des stades de

Sais0n aéve1opuene.,...,t

GI

35

j chaude

GII

35

J chaude

GIll

35

j chaude

GIV

35

j chaude ..

..

GV 42 j fraîche

-

Tab.l. . -I>urée des stades de développenent (de l' ŒUf à.

la femelle nûr e ) de 5 générations successives en fonction de la saison.

1.1.2. Etude du Cycle biologique au laboratoire

Nous avons utilisé pour cette étude deux méthodes d'élevage sur feuillœ isolées de p.l ants de nanioc en pot: élevage dans les condi tions am.bia..'I'ltes~et élevage dans les conditions tanpoIlllées du laboratoire.

1~1.2.a. Elevage dans les conditions ambiantes-

Cette méthod e a été utilisée pour la ô ét errri.na td.on exacte de la mortalit_é enbr3Tonnaireet lar-vaire, de la durée des stades de développement, de la fé- condité et de la longévité des femelles de générations successives, dans des.

conditions très proches des conditions naturelles;

(13)

té, de la fécondité p.lants en pois. 'Sur anneau de glue à la

I l

Nous avons utilisé de jeunes plants de manioc en pots, au stade deux feuilles, disposés dans une cage ajourée en toile de moustiquaire à mailles

" '

-

/

fines. La cage est' placée à l'extérieure, sous une ombrière où sorl!- en r egd st

r-èes

la tenpérature et l'hygrométrie.

L'éle-vage sur feuilles isolées supprime les facteurs secondr-es qui, dans' les conditions de p~ein champ, influent sur la durée des stades" la morta- li té et la fécondité des femelles. La toile moustd quedre met les Lns ect es é- levés à l'abri des prédateurs éventuels et de l'action' du ven t, tandis que le toit de l'onbl'iè:r'e les préserve de l'action méc and que de la pluie. E:1fin, lerenouvellernen t des pots à chaque généI'ation permet d'éliminel' les facteurs dontl'inflence est difficile à contrôler (modification de l'état physiologi- que de la plante notamment) ~

pour chag,ue génération, la manipulation peut être décomposée en deux temps:

-Pour l'étude .de la durée des stades de dével opp em entL'èt leurviabil.i- mx et la longévité lx des femelles, on dispose de 15 ..,' chacune des 30 feuilles ainsi disponibles, isolée par un be,sedu pétiole, on dispose 3 femelles prélevées dan s la nature. Les femelles pondent pendant

4b

s1viron, puis elles' sont saèrifiées

et les ŒUfs d ét rùâts à l'exception d'un seul. On obtient ainsi

30

œrf's de mê- me âge à raison. d'un œ-uf par feuille.

-La mortalité embryonnaire est déterminée sur les 30 Geufs précédent~ et 70 autres choisis au hasard et pondus dan s les mêmes conditions sur 5 pâ.ants

en pots/complémentaires.

Par la suite, on examine les feuilles et on effectue les notations tou- tes les 2A-h pendant les 30j environ que dure le développement larvaire et la 'matu,ri té des femelles. Les jours suiv2.!J.ts , 'on d étàche les ovisacs/à ':he;';'re

fixe/toutes.les 2411/e11 évit@1t de dér@1ger ~es femelles,' et On comptè les pon- tes.

Une fois fixés, les individus se déplacent' très peu comme l'a déjà signa- l~ K. ~'. Hwa..'1zé et se main tiennen t généralement de façon satisfaisante sur les feuilles. lies premâ er s stades beaucoup .pl.ua mobiles à l'éclosion sont rempla- cés par ::., ' des Lnd i.vd d us des 5 pl81i ts complémentaires, lorsqu'on constate leur disparition. Les quelques individus qui ont néanmoins disparus de l'élevage ont été e~clus de l'établissement des tables de vie.

(14)

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40

20 30

II

II III IV V VI Générations

:::-iE.2- ;)u::'ée noy enn e des différents stades de déveLoppem en ttd e 6 G6nC3l'<:- tians successiv02,. L'évolution des durées de développenent est comparée à celle de la tenpérature et de +:hygrornétrie moyenne

des périodes correspondantes.

(15)

- , - ' . L -

-:te sul'taus.

1a 6.11:,&e ë.es successiyss

et

5

générations co=~~ètes ont ev8'.L. ' " .,.,

e ruc.a e e s ,

ce tab , ~2..1j.,

., ..

.

. . -

ces CC~Ql~lO~5 ~~

...'\...

.'-~...

, " .

-: er;~::c ::.~::--.1-

ne ~es te=pératuTes et de l'by;:,o28t:'ie quoi~die~e des périodes COTTes- . pond ant es,E:

les résulte..is z-eprésent és sous !'o::-::e cle gre..:phiqu.e (fig.2) aont r ent que la dUTée totale des stades de déYeloppe~ent varie e~ raison iUïers€ de

cée par l tt.:rgronét:--ie.

•• Eesurée pa2' le

%

d'·éclosion

tous les st ad es h .etr e

S011S p~oI:i~ité

(16)

Générations

l' 'II I I I TV "V Yl

" ';

période 22/11 au du 25/12 du 1,0/2 du 26/3 du 2/5 du 13/6 correspondante 29/12 -; au 28/1 au 17/3 au '29/4 au'10/6 au 18/7

~tbre de larves él ev , 30 30 27 35· 30 58

rlorta1. embryon. (%) , 98 97

99

98

99

96

W 9,1 8,9 8,7 8,,1 8,8 10,1

Durée raoy enn e Ll 6,8 7,1 6;9 6,5 6,5 8.,6

des différents

stades de dév, L2 4,7 4,1 4,5 4,3 5 7,8

L3 5.,4 .5,2 5,1 , 5,4 6,1 7',2,

9

6,5 5,9 5,8 6,1 7J. 8,3

.-

Durée totale du dév. 32,5 31,2 3I 30,4 33,5 42

t.s:!' ' :l:

±

:l: ± == :l:

+ 0,7 1 0,9 0,5 0,4 1,1

,

.

,Tableau 2 Mortalité embryonnaire et'durée.desdifférents stades de développenent de 6 générations successives.

N.B. :-la durée de déval.opp enen't jindri quée pour Les femel-

" .

les correspond à la période de maturation des.oeufs.

-Les dates indiquées correspondent à~~ période qui s'écoule entre lamîse en incubation desœUÎs et ~ le passage des individus au stade fenelle reproductrice.

-l'intervalle de confi~"Ilce des Doyennes est de

5%

(17)

Tèmpérature Gn

oc•.

'CDCD A~

18\ 1 1\7,

, ,

\

\

,

2 25 ',1), 30

~---».

-.---

35

\

Fig.3.-Irtfluence de la température sur la durée de l'incuhation dcs œufs de :P,manihoti élevés à une hygT0métrie constante voisine de 100%a Tempérà.tures constantes de 20, 25, 27,

-'--

30~et 340C.

(18)

-Technioues

Afin de recueillir quelques do~nées d'ordre auto-écologiques, nous avons dans un prenier temps cherché à étudier l' Lnf Len c e de la température suz'

la durée de l'incubation en célevilllt des œufs d'âge iden~ique pondus et choi- sis au hasard selon le m~!!1e principe que précédennent (P.ll ).

Les oeufs sont placés dans des cellules d'élevage, ' constituées de 3 épaisseurs de papier filtre reposllilt au fond d'un tube en plastique de 25 TIn de dia~ètre sur 20 mE de hauteur/sur illle couche de coton hygrophile im- bibée d'eau. Les cellules d'élevage sont fe~méGs par un couvercle constitué par un disque ~e soie à blutter à nailles fines maintenu par des boulettes de paraffine. Les unités d'élevage ~dont le pr~cipe est inspiré des logettes

1

utilisées par Hickel (1960) pour l'étude des 'l'e't2'2nYC2.UeG- ainsi équipées! son t disposées dans des étuves thernostatées.

'Si l'on prend soin de réhumidiiier le coton toutes les 24h, le papier filtre sur lequel repose les œufs reste légèrement mouillé; affilS ces condi- tions, l'incubation se fait de façon satisfaisa~te~'eton peut considérer que les œcu f's l'estent maintenus à un e hygrométrie constante voisine de 100%.

D'autres essais ont été ensui te ent.rep rf.s afin de déterminer l'infhienée:"

de_'lé.:,t:empéra.türe è t d és ccond.it.ion s trophiques (~e de feuilles) sur la Yi- iesse de développement dffilS les conditions ~elativeDent stables du laboratoi- re.

Pour l'étude d e 11influence de la tenpératur-e SUl' la vi tesse de d~velop­

pement , nous avons p rocéd é de la mêne façon élue pour l'étude du cycle biole-- gique 'dans' les conditions ambimltes, par élevage sur jeunes plants de manioc en pots. Les conditions themo-hygror:étriques sont mesurées à l'aide d'un therllo-hygromètre enregistreur penèllilt toute la durée de l'essai.

De même, llinfluence de l'âge des feuilles a été étudiée en élevant des larves néonates d'âge identique SiDu1tllilémen t sur feuilles âgées et sur très

1

jeunes feuilles de na~ioc en pots, respectivement au stade la feuilles, et au stade 2 feuille~Dans les deux cas, les ma~ipulations sont les m~mes que celles llldiquées page

(19)

17 -?.ésu1tats

Le tableau n~3 indique pour chaque température liée à une hygrométrie constante voisine de 100%, la durée calculée de l'incubation ainsi que la mortalité embryonnaire correspond~~te. Les résultats obtenus (fig.~ )

montrent que la durée de l'incubation diminue loysque la température aUgBen- te. Sur une large gaome de températures, la courbe obtenue peut être assi~

milée à une hyperbole équilatère, ce qui semble ll1diquer qu'il existe ~~e

relation linéaire entre la température et la durée de l'incubation (résul- ta t classique).

D'après le tableau nO 3, la température la plus favorable au développe~ent

erab ryonn a.ir-e semble être située entre 25 et 30 o

e;

on oo s e.rv e un e nette augr:en- tation de la mortalité au delà de cet intervalle.

Quoiqu'il' en soit, le po ui centag e d'6closion est très élevé (97 à 99%), st proche de celui obtenu sous ombrière, d&ls des conditions de te~pérature

vo.i aâ.n as •

Dur ée<:d€

--

,--

d'

œufs '-"'-'

Tenpérature Hhre

%

d'éclosion l'1ncube.ticin (j)

34° C 200 97,5 6,3±

0,9

30 "

"

200 98 7,1;1; 0,6

27'1

"

200 99: 8,1= 0,8

25"

"

200 96,5 9,5= 1,1

20"

"

200 80,5 17,8:i; 0,7

"-.-.

Tao. 3. -Survie et durée de développenen;t enbryonnaires des œufs élevés à différentes tenpératures liées à une hygrooétrie constante voisine de 100%.

Le tableau n~> indique la durée des différents stad es de développement aux températures moyennes de 27±loC et 25±loC liées à une hygrométrie moyen- ne de 75:1:5%.

pour chaque stade, la durée de développement ,diminue lorsque la tempé- rature aUgEente, ce qui confirme les résultats obtenus lors des-élevages sous

orabr-i.èr-e,

Les résultats du tableau nO 4peuvent être comparés à ceux obtenus par

(20)

IrW2.!lzé (1978) en élevage de laboratoire, à une "t empér-atur-e noyenn e journa- lière de 25,9°C (et une hygrométrie non précisée). Dans ces conditions, Ifwanzé obtient une durée. totale des stades de déveâopp em ent de 26j (21-30),

avec une incubation de 8j (7 - 9). Ces résultats sont pàr conséq~ent très v od s â.n s des nôtres, et 11écart observé p eut êh'e a't t r.ibué à une différence de conditions expér;~entales '

:Te::pérature

" 25± l 27= l

moy, 'ouot.(oC) -'

Nbre d'indiv.

30 x 3 30 "V' 3

éLev é.s ,L.

-tO

9,2 (8-10 ) 8,1 (6':'9)

Durée moyenne LI 6,5 (7-9) 6,0 (5-8)

cies stades: de L2 4,9 (4-6) . 4,1 (4-5 ) d év e I , (e~.j)

L3 5,4 (5-6) 4,8 (4-6)

't

5,7 (5-6 ). 5,0 (4-6)

Durée totale

31,7 -=- 1,1 28

±

0,9

de dév61o"j)". . _

..

Tab.4.-Durée des stades de développement de P. ran;noti de l'œuf à la femelle reproductrice aux tenpératures de 25

&

280C liées

~

une

i:iygr~~1ét';i~ ~o3re~~

de

75~S.

Inten'alle de confLan c s des noyennes:5%.

Nous avons dlautre part effectué des cODparaisons avec les durées de dé- v eLopp em ent ob t enu , avec la même méthode dl élevage, mais da:6:s':dée côJià.iiioiù~­

pro~hès~àes

conditions natu.relles (élevages sous onbrière). Pour une

~empératurE

',-> - cie 25,3°C, et une bygronétrie moyenn e ë.e

7ff1."

la è.u- rée à.e développement est de 32,5jJ pour une température Doyenne de 27,3 liée à une bygrométrie moyenne de 81,1%, elle est de 30,4j. La vitesse de dévelop- p en en t dans les conditions relativeraent stables du laboratoire est paT c on sé-.

quen-t ~rès proche de celle obtenue dans les conditions ne.turelles lorsque la température et l' hygronétrie moyennes sont:,,!-o±sines des conditions th:;,rno-b;y- grométriques moyennes joul~alières du. laborato~re.

Le tablee.u nO 5 présente la durée des différents stades de développement sur feuilles jeunes et sur feuilles agées.La durée totale de développema~t e enb Leenmov,enn'6· plus cou-r-be SU'T f euill es ..âgées .qu e .sur ,j sunel:!-.f_euilJ..~s.. , _,'_

. . . . - - . "••• _ . " ' - " - - . '-"-'-'~-'.•• - ~-,-'. - " - ' • . _ •• -. " ' j . - ." •. j _ -

(21)

19

dans des conditions identiques d' hYgl'o8é:f:rie et de tenpé:cature.

" ,

3.ôe e s j eunes ,feuilles·

11ère c e lo.l~V~S

éI evé es

des 0.i:::'i' ér ent s

(e:c j)

:Durée totale de'"

dév eLop , ± 2f

D

'-'III

60

6,2

6,1

21,5

0,9

Tableau

5.-

Durée des stades ~c..rvaires en fonction de l'âge

durée indiquée pour 1.e .s t ad e femelle r-eprés errt e le te~ps qui. s'é- coule ffi1tre la TIue iEaGinale et la naturation des femelles. Inter- valle de confi~lce des ~oye~~es,

5%.

En d'autres ternes, même si ce denlier résult,at doit être pris avec circonspection, il sCl·':ble::-ai t que le dévelolrpenent s0:bt,·P1,.1:!s::'rapide< sur feuilles âgées ~s Sli~ je'~~es feuille~ st ce d'aut~1t plus que ~a ten-·

pérature es~ élevée.

On renarquera que cette situa~~on se produit au Dois de juin, lors du passage de la saison des p:'..uies à la saison sèche, lo:rsque le déficit hydr i.qu e provoque l' arr0t du 6.év-elop:?el'lent végétatif et la sé::J.éscencec.es feuilles, .aloh3 que J.a ter.1pél'atu:::,e re st e encore élevée.

(22)

1.1.3-niscussion.

Les deux méthodes utilisées ( inf'estations artificielles et élevage dans les conditio~s anbâ an tes et~u labox-atoire)c3.onnen t d es r ésul tats concordants: la durée des difféx-enis stades c3.edéveloppement varie en aens. -~ de inverse de la température•. La durée totale de développe~entvgrièl30j en- v i.z'on'<en . saison chaude ~L 42j environ en saison fraîche.

~Sa dininùtion avec l'élé~ationdé la température constitue bien enteudu un résultat pré-;."isible •..

En

l,'evanche, l'accélé:cation du cyc Ls bio- lQgique constatée senbl?-t-il sur feuilles âgées paraît plus caractéris~

tique de l'espèce. 'Ellè pourrait être en r e.l a'td.on avec les néc anf.sraes d' initiation des pullulations qui co!.nciden t av ec l'arl~êt du développement végétat:i.f de la plante hôte, consécutive 8. la chutes des p:cécipi tations

". . ' - .

en début de saison' sèche. Ce phénomène .peut êt:ce da...~ la présence. dans les.

feuilles âgées de plus fortes teneurs en acides aQinés libres .-et donc disponibles pour le déve.Lopp em ent vd.e la c'ochenille-liée: à une baâsse

de la protée-synthèse dans les vieilles,f eud.Ll.ea..(Eoffnan.et Sanish, 19 69)0

l.~. Longévité et fécondité des fenelles.

1.2.1. Techniques.

. Parallèl emen t à l'étude précédente, des observations ont été effectuées<

su~ la fécondité et la longévité des femelles dans les conditions ambian- tes (proches d e s conditions de plein chanp ) et dans les,conditionsrelat:i- v en en t stablESdu laboratoire.

La manipulation consiste, après les 30j environ qUi sé~al~ènt l'incu- bation des œufs 41a natur ataon des femelles, à détacher lesovisacs à 'heure.

fixe)toute les. , l '

24h,

en évitant de dérallger les femelles, • 'Les

œ~fs Tr~~s

- ~ aiIi- s~ pre_eves sont consex-vés au refrigérateur (ce gui pernet d'en différer le conptaé?e): et les f'em e l I es considérées COEne mortes après le dépêt de la dernière ponte.

(23)

j

-21-

r

I I III

-,A-

IV

v

1,10_ f""v .

r

I I I I I IV

-B-

v

;::i.g. 4.-Com.pal'aisŒl de I l évoLuti on de la lonGévité (il..) et de la fécon- dité

(B)

des fenel1es de 5 générations succes&ives en fonction c.e la tenpérature (échelle de t enpér a tur s inversée).

(24)

l!ous avons dressé les ta1:>les de vie cO]Jp~ètes de 5 des 6 génél'ations élevéès sous onbrière. Le détail des calculs a'été do~~é à titre d'eYe~- ple pour üne génération élevée au laboratoire (c=o Tab~7 ).

les résultats ont été regroupés dans le. tru)leaunP6c ~

La vie nédia:ne des fer:elles reproductrices (ou noi-:;:,rE: de jou:::s de Yie de. 5Vi':fY~ des -;''''01- _.-e'- -1os)~ -,-~,,;p\c- __~

La ponte moyenne~lxJn:;:: (où. lxrep:césente la survie E"C m.:,: la pont e œcyen-, ne pax' fe=elle ct par jour) 'a2ie/qu~1t à ells/entre 599,5 et 673,6.

Générati'on-s nb:'e de.c.? vi e nédd.ane

Ponte

éï e',~ées desC;'(i) r;o:yenn e

.. --_. ...

r

30 27

,

~ 627,4

..._-. ..-

.. .. .. .. --_.

.. .'"•.-

I I 30 26,5 612

I I I 27 26,1 599,5---

I"/ 35 25,9 .. 60.9'_2 ..- -

'v

30 29f l 673,6

;Te.bï eau ".-f'éconclité et longévité des fen e.ILes de ..-5 générations succ es-.

sives de P. n~Dihot; élevées dro1s les conditions enbiantes o 1a vicnédiane donnée ici correspond à la survie de 5~~ de, fenelles en âge de se reproduire.

Nous avons conparé l'évolution de ces deux paraDètres avec la tenpé-

t ' . L . 1 " . .

ra ure Doyenne corresponaenv pour c~aque gener~"CIon:

-au déroulement du cycle biologique/pour la longévité,

-aux de~~ prenières seDaines de ponte (c'est-à~direà l~ période COr-

(25)

23

Me ,~l" Qe., ~ Hb:'e d.1oeufs

en stl~~·ri~· ~ p2.:('~ et

jOUl'S v ant es par' jou:.'

-- --"--- ....

, ~: l~:E~: ~ x,J.x •D::

.-

.J..- ..J - o

0-)1 1

° ° °

32 l 26,3 26,3 841,.6

33 l 43,4 43,4 1432,2

".34

l 36,4 36,4 1237,6

35 ,

r

37, "5 37,3 1305,5

36

r

36,1 36,1 1299,6

37

r

32,7 32,7 "T"''''-'C C

.L~UJ'-'

3e·

r

28,5 23,5 IOe3

39 0,96 ,,~c: l,eu 26,6 1037,4

40 0,93 2E;,I 26, l 1044

liT 0,93 31,2 2~~ IlE,9

.~

42 0,93 30,3 23,1 1;1:80,2

43 0,93 32,6 30,3 1302,9

/,/. 0,93 27,9 25,9 1135,6

~-.

.1.- 0,93 51,2 29 1305

.J

46 0,93 35,4 -,. ... a)~'J 151),4

47

° ,

0:.; 2t~,8 22,3 104.6,

r

48 0,86 ïO- J' ./":::: 16,5 792

49 0,83 19,7 -~1 0 , )

-

798,7

50 0,76 TO- . . 1 ' . 1C 14,1 735

51 0,73 17;-"l..c..,c,.. 652,8

52 0,7 :~I~~'3 10,7 556,4

53 0,66 16,8 I I 583

54 0,5 13,4 6,7 35I,8

55 0,43 13,2 5,6 308

56 0,33 10,7 3,5 196

57 0,I6 6,4

r

57

he 0,1 6,.1 0,61 35,)

.lU

59 0,06 4,5 0,3 17,7

60 . 0,e6 3,2 0,19 1,1

61 0,03

r

0,03 1,8

62 0,03 ï 0,03 1,9

63

..

0,. -'

° ° °

~limÀ- Ro=590,7~ m ~}:. !~-.TI,· ~ 41, l " r - .Loge Râ - 0'5

1= - ; -0-- - ,.1

z'l.~}: .T

Tableaù~7""~"Tabl~'"dé·:vie c oripLèt e cl '1.m.e Génél'atiol1. à.e P. man.i.hotâ

élévée au laboyatoire à une teEpérature ~oyenne journalière de 26T lOC liée à W18 hYb~ométritDoyenne joul~alière à.e 75""

5%.

Déte.il des calculs (noZJ.bre cie fen eLl.es élevées,60) ..

(26)

~espondant a~ dépâot de 59% de la ponte tot~\~),Pourlafécondité; ce~ in- tervalle de temps étallt _considéré conne ét an'tz p.Lus susceptible de rendre compte de l'influence de-la téI:',pére.ture sur la fécondité (Gutierréz~1975).

On reaar-qu er a e.insi, _que les femelles lie la 5è DG

gén é.catdon

(~f. tab~2,

~p.12) qui sont arrivées à naturité dans la première quinzaL~edu_noi~de jui..~ subissent ie-rafraîchisseaent progressif dea rterapéza'tuz-e s de la deu-

- ,

:dème quinzaine de juin (et de déht~t juillet').

Les couz-be s obt enu es (fig.4) font apparaître qu'entre 24 et 28°C de température Eoyenne, la longévité et la fécondité des fenelles varient en rai- son i~nverse de la température.

1.2.2.b.Etude au laboratoire

Co~e pour l'étude précédente, nous avons déter~iné la fécondité et la longévité des fenelles de P. man;hoti dans les conditions relativenènt tam- ponnées du laboratoire, à une température de 2'6± 1°C liée à- une h3.grométrie_m~­

yenn e de 75±

57;.

La figure n~, résume 1e.3 r-ésulbats obtenus; le détail des calcul est donné (à titre d'exemple) :pc':' le tableau nO?

Coi:u::.elesfemelles -se reproduisent par par thénog'enè se thélytoqlle, la ponte moy erin e par fenelle (~lxn:J est -éGale au potentiel -net de r epr-oduc tf.on

(R-o~lxnx)" ce qui facil-i t-e l ïétablissement des tables de vie. En raison des, très faibles mortalités embryonnaire) et larvaire obtenues, nous avons en- outre convenu, pour simplifier les calculs, de considérer conm e nulle la >-

mortalité des stades de-développement.

L'analyse de résultats montre que le nombre d'oeuf,s pondus par f en e Ls- le théorique ($t par conséquent Ro) est très élevé (Ro=590'1-!;ces très for- .fes pontes ont c ertaânen ent tille très grande incidence SUl' 1\3 potentiel-bio-

tiqu-ede l'espèce.

(27)

o

- il..0

i -- -

...

• •

""

.

".

~'"

1

."

\..,--,...

" , "

" , , ,

'~\

1 \ 1 1

'k

ponte rnoy, par)~

- - -- - -- -et par j \lxmx . -.f . . . .ponte totale par

f>

" ( lxmx)

- 1 " - - - -...

~'"---

_ _--..,..:

,

,

50 roc

"~

8

-, 6 600

\", )

é.lev éo au laboratoire à une température moyenne jOUl'na- lière de 26... laC liée à une hycrométrie moyenna de 75""5~t. ~

Détermination "Graphiquo de la

dUJ~'éo

cl'un

o

génération (T

c=40j).

J\.)

\J1

(28)

, Le nombre lr~~ d'oeufs pondus par femelle théorique et par jour au- gnente rapidement, se stabilise autour de 30, puis diminue assez rapide- n ent ,

La survie lxdes f en e'l Lea -décri t une -cou.rbe convexe] de type "négati- vely -sk eew r ec tiangut.az-")qu~ ind.ique que tous les Lndi,vidus ont à peu' près lanêne duréè~de vie.

La vie médirole des f~ôelles8 (23j) est très longue en compàraison avec-la durée totale de déve.Lo pp eo cn t à la Bême température (31j). Un ch ev auchem ent important desGél1él~atioDSd ens ~.a nature est donc probable aux condi tionsd 'hygroméü-iè et de te;;lpératul~evoisines o,e celles qui, sont étudiées ici.

Nous avons étuQié l'influence d 9 l'âge ~es feuilles sur la fécondi- -té et la longévité des femelles au laboratoire. Les courbes des figures 6 et 7 r epr-é s entent lesvariat'ion de la i'éconël.ité etde la longévité des :snelles en fonction ~e l'âge d e s feuilles. -

C~s €rap~~quesfqnt apparaître que les femy~les élevées sur feuilles âgées pondent en_moyenne plus d'œufs par fenelle et par' jour que celles élevées sur jeunes _feuilles. Cette différence de fécondité semble aff ect.er . la totalité de la périodè d e ponte. _

De nêne, la vie nédianedesfenelles (dé:te:r:oinée graphiqueElent( cf.

fig.

1)

est 'sensiblenent plus courte sur feuilles jeunes

(23,3j)

que sur f euâIû è's âGé~~ (25j).

Ces-, résultais semblent indiquer une nette tendance à l'augmentation au po't en tdel net ,de reproduction (R o=~lrn:lP où 0x èst -égal ici au nonb r s d'oeufs pondus par f en eLl.e et par jour) chez les femelles élevées sur feuilles

(29)

()1 p8.2'~et pu j

27

.

1

D~élevées sur:

feuilles âgées

'. ...

.,

....

ICiéleVé~s

,.. ....

sur

....

, Jeunes ·feuilles

~ 1

-

1 1

i

~

-.

r-

.. ....

,

-

i ~

.

-

r:

... ...

.

'~ tn rnOnni1

1

. ,

J 1 1

,

30 40 50'

10 20

l Survie (50

5 JO 15

,Jours q.eponte

25 30.

~élevées sur

...;...---- f:èuilles-â,gées: j ' :

Sélevées sur - - - - j e1ll1es feuilles

lb

l 15 20

Jou:..'s de v.i s (;.e8 ~

-pig. 6&7- Influence de l'âge des feuilles sur la fécondité et la longé-"i té 60 _

·10(4 .,.... ..

des fenelles de P. manihoti élévées.da~s des conditions identiques de température et d'hygrométrie.

(30)

1.2.3.-Discussion.

Les variations·à.e la longév-ité et de la fécondité des femelles (et par conséquent du potentiel net de reproduction ~o) en raison invers- se de la tennérature constituent~ " ·bi~1 entendu. un résultat n_révisible.

, ,

Les '::':lOntes noyenn es par feL1elle,: 8t par j ou.r obtenues aulô.boratoi:::'e,

pour une tenpératUl'e TIO;Y-6lli18 journalière du Labor a'to â.r e de 25,9°C, Hi'l<mzé obtient une v-ie médiane des f en e.l Les de l'ordre de 24J alors que nous obtenons 23j. Ces ré::mltatssont par conséquent très voisins.

, pour

Ainsi qu'on'l'a constaté ;'.1 ce quiconcel'ne la.durée des stades de clével·opp·ement, .d an s nos conditions, expérinentales,les élevage ef'f ect'ués .

~ . , - , . . , . "'l.... t ~ . ..,. , ;,.e.'. d·.l.' t ' ;. , .. , d

sur reuaLres age es s eno.ien JJlG..~quer que .L,a rscon a ne e .ia .i.ong evat e .' es fe:;}elles (et Q.onc le.potent:i.el net de reproduction) y sont' plus élevés que SUl' ,jeunes feuilles.

Cette élévation du potentiel net de reproduction corrélative à

la sé21escenc·e des feuilles paraît originale et caractéristique de l'espèce, i l'étude de l)influence de l'~ge des feuilles sur 'la fécondité des arthro~:­

à.es LÏJtontraJJ:tt généralenent '" une augn ent a't i.on du nonbr e d'oeufs pondus chez les Lnd.ivâ.due élevés sur je1U1ès i'eui;Lles (:genclerson & al., 1942;

Jeppson.

&

al., 1961; Tbiem,1958 ect ••• )

... / ...

(31)

29

1.3.-Autres caracté~istiques; sy~thèse et, conclusions.

1.3.l.-Durée et succession des générations

l'iOllS avons utilisé un e né t.hod e éi'échantillonnage, pour I létude

de la succession des générations sur le terrain (dffi1S les conditions na- turE;lles) •

-Tech..:.'1iaue.

La métho d e d' échan tillonnage ut a Lasée est Ln spâ.ré e des travaux de 3énassy. Elle consiste en 11.'1 prélèvement périod.ique de f'eui.I'Les et d'apex bien Lnf e st és , Vensenble des inè.iviéi.us ainsi récoltés est vz-anené au laboratoire, il'ié sous loupe, bi.no cu.La.i.re , et classé en larves mobiles et premiers stades, deuxième et troisième stades larvaires et femelles.

L'ac~roissementrelatif de l'un quelconque de ces stades entre deux comptages indique le pass~ge à ce stade de la population étudiée.

Toutefois, conne Le signale Fabres (1967), cette méthode Dise au' point pour les populations qui se développent en milieu tenpéré n'est trro1sposables en milieu tropical qu'à condition de s'accomoder d'un che- vauchement inport&~t des générations qui complique 11 interprétation des

courbes obtenues.

(32)

100

-~

,

\

, /

. - . _ /

A .2 IN"""-"""

,.,f-60-P>

~

f.

80

' ,

l 1 \

1 \ 1 \

60

1 1 \\

J \

,J -,

1

...

'\ (\

40

,

1

10 20

8/3 15 22 29 :14' 12 19 2S

"Vh

J.:J -l-0 31 8/6:, 14 21 28

51l

1.2 19

Dates l,'ie;. 8-Va:ciatiollS de l'effectif relatif des p.r en l ers stades et des femelles

en fonction de la dato de p~él~verncnt vl

o

(33)

En pratique, nous avons effectué un prélèvement hebdomadàirede feuil- . les,'et d'apex'bien infesté, et conpt é a."Y1Vir0l1 500 cochenille par échantil-

Ion.

-Résultats.

Les' résultats:ont été regroupés sous .forme de graphique. La figure 8 indique l'évolution l"elative des différe:b.ts stàdes de développement, en

fonction, du temps.

t'analyse di.r-ec t e des courbes obt enu es est .d 'autant moins aisée qu'aucun 'facteur, du milieu ne semble Lnt ez-vend r de f aç on sélective i:c~i, -.

pour, aSSUI':er une certaine honog é n é âaat a on d e la population (cf. & 2.2.2.)~-

}Téannoân a, laÔ,suce ession des sommets d e premi·ers stades ( éclosions massives' de' , .début de génération::;) et de f emeLl es (passat;ede la po puLa'ttion au stade-

ir:aginal} pèrmet:, de séparer les gén éz-at i.cn s successives. -

La figure 9 représente 11évolution du rapport du total' de jeunes stades (J S) au total des femelles (F). Oe rappo r t qui est .mand.fest eraent

. " . , .

raanaxunven début de génération,dilJ.;-nue progressivement et passe par

un

mi- nimum en fin de généiation (passage"dela;'populatioD au sat ad e adulte)e , Ainsi,'

le t.enps qui s~écouleentredeux maxima équâv aut à iad.urée d'une génération', définie COI!l1!ie le temps .moyen vs 'écoulant- o:'e la. ncissance des parents à la naissance de,' la descenè.ance CAndrevi'al"iaet ,Birch, 1954).

Ce,regroupemént ,des données permetllile meilleure apprbçhe du temps de génératiorique lion peut ainsi éva.luer entre

5

ei-6 semaiDès

(35à42j)

en saiso'n chauô e (février à mai) et 6 à 7semaiDes'(42 à 49j) en saison 'fraîche ( JUlllà août) • .

Cet' allongement 'du tèmpsde génération .en saison fraîche c01ncide - bien,' avec' lé"r~lentissement. de la vitesse de développement obs e r-vé par ,ail- leurs, consécutivement au rafraîchissement des -températur ee,

'" Au total, on peut' estira er que 6 générations se 'sont succédeée de février à 'août, et, ;i l'on tient compte du rechauffe~1entp robab ï.e des te:l- pératureau mois de septenbre, on -peut raisonnablement évaLuez- à 10 ou 11 le.nonbrede générations par an • .

(34)

~

l

12

10

8

6

4

2

8/3 15' 22 .29'

5/4

12

19

26 16 17 24 31 . 8/6

14

21 28 5/7. 12

DATES

la'..1.

V:i.C' •.3.-E\!olution" du r apnott JJi en fonction (Je ln dE'.to de préLàvenont ,

" .

L'intervalle' do '~emps cœ"pl':.Î.f:l entre' deux IM'.:d.nc, donne une' npprû(Üation:'

, l,

de la durée d "un o génération'.

" Ivl

f\.1

(35)

33

1.3.1.2. Etude au laboratoire.

 tit::ce d'.exemple, nous avons donné (T~b. nOi ) la table de vie cOlllplè- te co~respondant à ID1' élevage (dans les conditiorrsrelativement stables du'la- b6ratoi~e) à une température -moyenne journalière de 25~ lOC liée à Q~e hygro~

n é trtie unoyenn e journalière de_.75==

5%.

A

partir des données précédentes, nous -avons calculé la durée exacte d'une g énéra t.i.on • La mortali té des stades de déveloPi)eBent étant .trè s :faible, nous avons c on sâ ô ér é que la survie lx des femelles au 3(jène jour. est de 100%0 L'~spèce se reproduisant par parthénogenèse th~lytoque, le nombre mx d'oeufs destinés 2. donner des fenelles ,.:-_pondû.s -_nar femell e et par jOU~1 est. év.i.denaent

égal au nombre d'oeufs déposés' quotd dd enn ement par f eme.l Le , La var eur de TIl X est

~1ullé

dt;.-ler au 32è rn e j'blU", puisque la durée des stad es de-développenent est de.)1,7 jours.-

La table de vie fournit di r-ect eaen t l~ poten-tiel net de reproà.uction (Ro ) . La durée moyenne de la génératiàncorrespondante

(Tr::a

été o btenue pàr. 11 exp r ea- sion

. T .•..•V~myX· , Ro

soi t T= 4a,~ jours,. ce qui co r r es pond bien aux 5 à 6 .s enaân es de durée noyen- ne d'une Génération dans la natur8,-da!'ls des conditions thermo-h:ygromét::-ioues

. ' " -

1.3.2.' Taux intrinsèoue d'accroissement, s~~thèse et conclusions.

Le taux d' acc r oâ s s emen t (rci~ qui c ar act ér Ls e /1e pouvoir r eproducteur de l'espèce a été calculé sur la base des données précéden tes ~-partir de

rD = Loge ::to

T •

Pour Ro=590~7 et '1=

41,1.-,

on obti-ent une v a.l eur de rr.r, égale à O,l~

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