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V A L I D A T I O N S C I E N T I F I Q U E

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Academic year: 2022

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(1)

V A L I D A T I O N

S C I E N T I F I Q U E

(2)

U N A L L I É B I E N Ê T R E _

Points forts, points faibles, Reflex-ON® permet à

votre équipe de libérer tout son potentiel cérébral et

de se sentir bien!

(3)

_ P O U R E N S AV O I R P L U S

• Anguera, J.A., Boccanfuso, J., Rintoul, J.L., Al-Hashimi, O., Faraji, F., Janowich, J., Kong, E., Larraburo, Y., Rolle, C., Johnston, E., & Gazzaley, A. (2013) Video game training en- hances cognitive control in older adults. Nature, 501, 97–101.

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tiple object-tracking (3D-MOT) paradigm improves attention in students with a neurode-

velopmental condition: a randomized controlled trial. Dev. Sci., 21, e12670.

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_ A N N E X E 1

Attention - Multiple Object Tracking (M.O.T.)

Un certain nombre de boules bleues ainsi qu’une quantité inférieure de boules jaunes se trouvent dans l’espace d’entraînement (fig 1).

Après un temps définis de quelques secondes, les boules jaunes deviennent également bleues et l’ensemble des boules se met en mouvement durant un certain temps (fig 2).

Une fois ce laps de temps écoulé, les boules se figent et l’utilisateur doit toucher les boules jaunes (fig 3). Si celui-ci se trompe, c’est-à-dire s’il fait au minimum une erreur en touchant une boule bleue, celle-ci devient alors rouge et la partie est considérée comme échouée.

Au plus l’utilisateur gagne, au plus la difficulté augmente en augmentant par exemple, la vitesse de déplacement des boules, le laps de temps de déplacement, le nombre de boules jaunes à retenir, le nombre de boules bleus, etc.

Il y a également des éléments perturbateurs tels qu’une boule rouge parasite que se déplace, un plan qui traverse la figure, le cube de référence qui tourne sur lui-même selon les axes afin de rendre la tâche plus difficile à l’utilisateur.

Les fonctions cognitives ont été évaluées par des équipes universitaires canadiennes (Par- sons et al., 2016) durant des séances comparables à notre entraînement MOT et ce à l’aide de tests neuropsychologiques et de l’électroencéphalographie quantitative (qEEG) comparable à ceux que nous avons réalisés à l’Université Libre de Bruxelles (voir ci-contre). Les résultats indiquent que 10 séances de 3D-MOT améliorent la mémoire de travail, l’attention, la vitesse de traitement de l’information visuelle et entraînent également des changements quanti- fiables dans la fonction cérébrale neuroélectrique au repos.

Le score de MOT est décrit dans la littérature scientifique comme un indicateur fiable et per- formant de mesure des habiletés visuelles et attentionnelles du sujet.

Habiletés visuelles sollicitées :

• Perception des profondeurs : capacité à percevoir et interpréter une vitesse de déplace- ment d’un objet dans un espace donné

• Flexibilité visuelle : convergence et divergence oculaire

• Tracking : suivi et poursuite d’objets en mouvement

• Vision périphérique : ouverture du champ visuel

• Accommodation visuelle : capacité de l’œil à faire la mise au point de près ou de loin sur

des objets en mouvement

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Habiletés attentionnelles développées :

• Attention soutenue : capacité à maintenir un niveau de concentration élevé dans la du- rée

• Attention sélective : capacité à porter son attention sur des informations pertinentes de l’environnement

• Attention divisée : capacité à partager son attention

• Attention focalisée : capacité à porter intensément son attention sur un point particulier

• Flexibilité attentionnelle : capacité à transférer son attention rapidement et avec effica- cité d’un point à un autre.

L’entraînement avec 3D-MOT a aussi augmenté l’attention sélective chez les élèves souffrant de troubles neuro-développementaux (Tullo et al., 2018). Ces résultats indiquent que des exercices non-verbaux comme MOT peuvent agir sur l’attention générale des enfants en développement atypique. avec une tâche non verbale et visuelle en milieu scolaire et acces- sible aux élèves ayant des difficultés d’attention.

Cet entrainement MOT, implique la perception périphérique, la vitesse de traitement de l’in- formation visuelle dynamique liée aux mouvements des cibles et induit des courbes d’ap- prentissage robuste quelques soient les populations envisagées (jeunes adultes, personnes âgées, athlètes). Ces dernières démontrent donc que MOT est capable d’induire une plasti- cité cérébrale dès les cinq premières séances traitement visuel dynamique et a montré un potentiel pour promouvoir la plasticité cérébrale, ainsi que la fonction cognitive chez l’adulte de la MOT dans diverses populations (Faubert, 2013)

Chermann et al., (2018) ont démontré que cet entrainement MOT aide de façon significative au rétablissement des capacités perceptuelle et cognitive après une commotion cérébrale liées au sport chez les athlètes professionnels.

Il a également été démontré que l’entrainement MOT (Romeas et al., 2019) pouvait être as- socié à une autre tâche de décision motrice et que malgré ce paradigme de double tâche l’amélioration de la performance sportive restait significative.

Le problème général du transfert :

Malgré les nombreuses démonstrations que l’entraînement de MOT ainsi que les autres

modalités d’entraînement présentées par REFLEXON améliorent les performances de la mé-

moire de travail, les effets de transfert vers les performances en dehors des tests en labora-

toire méritent d’être envisagés (Harris et al., 2020) à plus grandes échelles. Il s’agit là d’une

tâche difficile étant donné les nombreux paramètres liés à la compétition en milieux réels. Ce

qui fait qu’à ce jour il y a eu peu de démonstration de transfert à des tâches représentatives

dans les environnements de haute performance du monde réel (Bender et al., 2017).

(6)

L E S N O U V E L L E S

T E C H N O L O G I E S

A U S E R V I C E D U

B I E N - Ê T R E _

(7)
(8)

16

9RII\T¯VMIRGISVMKMREPITSYVXIWXIVPưIDzGEGMX¯HIPE WXEXMSRHưIRXVEµRIQIRXG¯V¯FVEP7IDZI\4R®

Professeur Guy Cheron1

Des expériences préliminaires ont été réalisées au sein du Laboratoire de Neurophysiologie et de Biomécanique du Mouvement de l’Université Libre de Bruxelles. Elles ont été réalisées après l’accord du Comité d’Ethique de l’Hôpital Brugmann (n°B077201939557/I/U).

6YEXVIWYNIXWZSPSRXEMVISRXYXMPMW¯PEWXEXMSR7IDZI\4R® durant 20 minutes et ce chaque jour d’une semaine. Leur activité cérébrale a été enregistrée et ensuite analysée avant et après la semaine d’entraînement dans la station 7IDZI\4R®5SYVTSYZSMVXIWXIVPIWIǯIXWHI7IDZI\4R® sur les capacités cérébrales nous allons devoir utiliser un XIWXMQTPMUYERXPIWUYEPMX¯WHưLEFMPMX¯WWIRWSVMQSXVMGIWWIRWEXMSRIXEGXMSRQSXVMGIIXGSKRMXMZIWQ¯QSVMWEXMSR et décision).

Protocole

Le protocole consiste à analyser l’activité cérébrale par l’électroencéphalographie (EEG) à haute densité

¯PIGXVSHIWHYVERXYRIEGXMZMX¯GSKRMXMZIIXWIR WSVMQSXVMGIUYMGSRWMWXI¦MRHMUYIVWMHIY\MQEKIWWM multanées d’un dé proviennent bien du même dé et qu’elles résultent d’une transformation spatiale (rota tion mentale) réaliste (Fig 1A) ou non de ce dé (Fig. 1B).

Ce test n’est pas facile car il exige de la part du sujet XSYXHưEFSVHYRIGIVXEMRIGSRGIRXVEXMSREǰRHIVIGSR naître le nombre de symboles abstraits présents sur le dé (points noirs) ainsi que leurs distributions spatiales dans une représentation tridimensionnelle.

Figure 1 :Exemple d’une rotation réaliste provenant du même dé en A, et d’une rotation irréaliste donc prove- RERXHIHIY\H¯WHMǯ¯VIRXWIR'

1E TVEXMUYI UYSXMHMIRRI HI 7IDZI\4R® EXIPPI YR IǯIXQIWYVEFPIWYVPIGIVZIEY$

Nous allons donc voir si la pratique de la station Re DZI\4R® améliore le score des sujets et si l’activité cérébrale qui accompagne la réalisation du test dé QSRXVIPETV¯WIRGIHưYRIǯIXHIPETVEXMUYIHIPEWXE XMSR7IDZI\4R® sur l’activité cérébrale et ce après une semaine de pratique quotidienne. Pour ce faire nous devions utiliser un test déjà validé dans la littérature IXUYMRIWSMXTEWTV¯WIRXHERWPIWHMǯ¯VIRXWI\IVGMGIW TVSTSW¯WTEVPEWXEXMSR7IDZI\4R®*RIǯIXWMGIPEEY VEMX¯X¯PIGEWRSYWEYVMSRWXSYXWMQTPIQIRXQIWYV¯

PưIǯIXHưYRIRXVEµRIQIRXHIPEV¯T¯XMXMSRUYSXMHMIRRI HưYRQ°QII\IVGMGIGIUYMSRPIWEMXEQ¯PMSVISFPMKE XSMVIQIRXPIWGSVI)SRGPIXIWXHIWH¯WE¯X¯YXMPMW¯

parce qu’il a été validé par une équipe de chercheurs EYXVMGLMIRW -ERWPQE]V IX EP PSVW HưYRI ¯XYHI WYV PIW IǯIXW HưYR IRXVEµRIQIRX TEV FMSJIIHFEGO WYV les performances cognitives des sujets.

Ces chercheurs ont notamment démontré une amé PMSVEXMSRWMKRMǰGEXMZIHIGIXIRXVEµRIQIRXTEVFMSJIIH FEGOWYVPIWGETEGMX¯WGSKRMXMZIWHIWWYNIXWEMRWMUYI sur le renforcement de la puissance du rythme alpha (Fig. 2) considéré comme un marqueur neurophysio PSKMUYI HI PE TIVJSVQERGI (LIVSR IX EP 1I rythme alpha correspond à une oscillation cérébrale UYMWITVSHYMX¦PEJV¯UYIRGIHIG]GPITEVWIGSRHI elle participe à un état de relaxation et d’économie HY GIVZIEY M PưSR JIVQI PIW ]IY\ PE TYMWWERGI HI ce rythme augmente et elle diminue au moment où l’on ouvre les yeux. Un alpha de plus grande ampli tude avant l’accomplissement d’une action améliore la qualité et la performance de cette action.

A B

_ A N N E X E 2

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9RII\T¯VMIRGISVMKMREPITSYVXIWXIVPưIDzGEGMX¯HIPE WXEXMSRHưIRXVEµRIQIRXG¯V¯FVEP7IDZI\4R®

Professeur Guy Cheron1

Des expériences préliminaires ont été réalisées au sein du Laboratoire de Neurophysiologie et de Biomécanique du Mouvement de l’Université Libre de Bruxelles. Elles ont été réalisées après l’accord du Comité d’Ethique de l’Hôpital Brugmann (n°B077201939557/I/U).

6YEXVIWYNIXWZSPSRXEMVISRXYXMPMW¯PEWXEXMSR7IDZI\4R® durant 20 minutes et ce chaque jour d’une semaine. Leur activité cérébrale a été enregistrée et ensuite analysée avant et après la semaine d’entraînement dans la station 7IDZI\4R®5SYVTSYZSMVXIWXIVPIWIǯIXWHI7IDZI\4R® sur les capacités cérébrales nous allons devoir utiliser un XIWXMQTPMUYERXPIWUYEPMX¯WHưLEFMPMX¯WWIRWSVMQSXVMGIWWIRWEXMSRIXEGXMSRQSXVMGIIXGSKRMXMZIWQ¯QSVMWEXMSR et décision).

Protocole

Le protocole consiste à analyser l’activité cérébrale par l’électroencéphalographie (EEG) à haute densité

¯PIGXVSHIWHYVERXYRIEGXMZMX¯GSKRMXMZIIXWIR WSVMQSXVMGIUYMGSRWMWXI¦MRHMUYIVWMHIY\MQEKIWWM multanées d’un dé proviennent bien du même dé et qu’elles résultent d’une transformation spatiale (rota tion mentale) réaliste (Fig 1A) ou non de ce dé (Fig. 1B).

Ce test n’est pas facile car il exige de la part du sujet XSYXHưEFSVHYRIGIVXEMRIGSRGIRXVEXMSREǰRHIVIGSR naître le nombre de symboles abstraits présents sur le dé (points noirs) ainsi que leurs distributions spatiales dans une représentation tridimensionnelle.

Figure 1 :Exemple d’une rotation réaliste provenant du même dé en A, et d’une rotation irréaliste donc prove- RERXHIHIY\H¯WHMǯ¯VIRXWIR'

1E TVEXMUYI UYSXMHMIRRI HI 7IDZI\4R® EXIPPI YR IǯIXQIWYVEFPIWYVPIGIVZIEY$

Nous allons donc voir si la pratique de la station Re DZI\4R® améliore le score des sujets et si l’activité cérébrale qui accompagne la réalisation du test dé QSRXVIPETV¯WIRGIHưYRIǯIXHIPETVEXMUYIHIPEWXE XMSR7IDZI\4R® sur l’activité cérébrale et ce après une semaine de pratique quotidienne. Pour ce faire nous devions utiliser un test déjà validé dans la littérature IXUYMRIWSMXTEWTV¯WIRXHERWPIWHMǯ¯VIRXWI\IVGMGIW TVSTSW¯WTEVPEWXEXMSR7IDZI\4R®*RIǯIXWMGIPEEY VEMX¯X¯PIGEWRSYWEYVMSRWXSYXWMQTPIQIRXQIWYV¯

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parce qu’il a été validé par une équipe de chercheurs EYXVMGLMIRW -ERWPQE]V IX EP PSVW HưYRI ¯XYHI WYV PIW IǯIXW HưYR IRXVEµRIQIRX TEV FMSJIIHFEGO WYV les performances cognitives des sujets.

Ces chercheurs ont notamment démontré une amé PMSVEXMSRWMKRMǰGEXMZIHIGIXIRXVEµRIQIRXTEVFMSJIIH FEGOWYVPIWGETEGMX¯WGSKRMXMZIWHIWWYNIXWEMRWMUYI sur le renforcement de la puissance du rythme alpha (Fig. 2) considéré comme un marqueur neurophysio PSKMUYI HI PE TIVJSVQERGI (LIVSR IX EP 1I rythme alpha correspond à une oscillation cérébrale UYMWITVSHYMX¦PEJV¯UYIRGIHIG]GPITEVWIGSRHI elle participe à un état de relaxation et d’économie HY GIVZIEY M PưSR JIVQI PIW ]IY\ PE TYMWWERGI HI ce rythme augmente et elle diminue au moment où l’on ouvre les yeux. Un alpha de plus grande ampli tude avant l’accomplissement d’une action améliore la qualité et la performance de cette action.

A B

17 Figure 2 :*ǯIXWHưYRIRXVEµRIQIRXTEVRIYVSJIIHFEGO

sur la puissance du rythme alpha avant et après le H¯FYXHYXIWXHIWH¯WVSXEXMSRQIRXEPI(IXXIǰKYVI TVSZMIRX HI Pư¯XYHI HI -ERWPQE]V IX EP .P IWX intéressant de noter que certains sujets n’ont pas été WIRWMFPIW RSRVIWTSRHIVW ¦ PưIRXVEµRIQIRX TEV RIY- VSJIIHFEGO5SYVGIWWYNIXWRSRV¯TSRHERXWPIWWGSVIW ne se sont pas améliorés et la puissance du rythme EPTLEIWXVIWX¯IPEQ°QI

Il est donc prouvé que le test du dé peut dévoiler les IǯIXWHưYRIRXVEµRIQIRXTEVFMSJIIHFEGO PEUYIWXMSR est de savoir si ce test est capable de démontrer un IǯIXGSQTEVEFPIPSVWHIPETVEXMUYIHIPEWXEXMSR7I DZI\4R®? Cette étude préliminaire va démontrer que GưIWXIǯIGXMZIQIRXTSWWMFPI

Notre hypothèse de travail est donc la suivante : si la TVEXMUYI HI 7IDZI\4R® est capable d’améliorer les TIVJSVQERGIW GSKRMXMZIW HIW YXMPMWEXIYVW EPSVW RSYW devrions pouvoir mettre en évidence une amélioration du score au paradigme des dés ainsi que d’une aug mentation de la puissance du rythme alpha en relation à la présentation des dés.

Nous allons nous demander tout d’abord si la pratique HI 7IDZI\4R® améliore les performances des sujets à un test qui n’a été réalisé qu’une première fois avant PEWIQEMRIHưIRXVEµRIQIRXHERWPEWXEXMSR7IDZI\4R®.

Les quatre sujets investigués dans cette étude préli minaire ont montré une amélioration de leur perfor QERGIGSKRMXMZIETV®WW¯ERGIWHI7IDZI\4R®. La ǰKYVI MPPYWXVI PưEYKQIRXEXMSR HIW WGSVIW I\TVMQ¯I en % pour chacun des sujets après la pratique de Re DZI\4R®4RRSXIYRIEYKQIRXEXMSRTVSGLIHIW après une pratique régulière pendant une semaine de 7IDZI\4R®.

Figure 3 :*ZSPYXMSRHIWWGSVIWEYXIWXHIWH¯WEZERXIXETV®WW¯ERGIWHI7IDZI\4R®

Upper & NFT Responders 9TTIV3+8RSR7IWTSRHIVW

Subject 1 Subject 2 Subject 1 Subject 1

(47*

(10)

18 6YI WI TEWWIXMP EZIG PI V]XLQI EPTLE EZERX IX

ETV®WPETVEXMUYIHI7*+1*<43$

1E ǰKYVI IQTVYRX¯I EY\ XVEZEY\ HI -ERWPQE]V IX EPH¯QSRXVIIRIǯIXYRIEYKQIRXEXMSRHIPE puissance du rythme alpha avant le début du test des H¯WPSVWUYIPIWYNIXE¯X¯IRXVEµR¯TEVRIYVSJIIHFEGO TEV VETTSVX ¦ PE WMXYEXMSR GSRXV»PI 4R GSRWXEXI ¯KE PIQIRX HERW GIXXI ǰKYVI UYI ¦ TEVXMV HY XIQTW ^®VS et durant le test la puissance du rythme alpha dimi RYIJSVXIQIRXSRTEVPIEPSVWHIH¯W]RGLVSRMWEXMSRHI PưEPTLEPM¯I¦Pư¯Z®RIQIRX*7)1EHMǯ¯VIRGIIRXVIPE puissance de l’alpha avant et pendant le test est donc un critère important pour démontrer l’existence d’un IǯIXHIPưIRXVEµRIQIRXWYVPEH]REQMUYIEPTLE(ưIWX exactement ce que nous avons réalisé et présenté à la ǰKYVI1EǰKYVIMPPYWXVIGLI^YRWYNIXVITV¯WIRXEXMJ YRHIWIǯIXWQENIYVHIPETVEXMUYIHI7IDZI\4R® sur PIXIWXHIVSXEXMSRQIRXEPI4RGSRWXEXIPETV¯WIRGI d’une augmentation de la mise en phase du rythme alpha avant le début du test des dés (voir étoile rouge à la Fig. 4B). Les 4 pics de l’oscillation alpha présents sur la période illustrée de 0.5 secondes présentent une amplitude double par rapport à l’enregistrement V¯EPMW¯ EZERX PE TVEXMUYI HI 7IDZI\4R® (Fig. 4A). Cet IǯIXWưI\TPMUYITEVYRIQMWIIRTLEWITV¯TEVEXSMVIHY rythme alpha qui précède le début du test des dés.

(IXIǯIXHIQMWIIRTLEWIHYV]XLQIEPTLEGSVVIW pond à ce que l’on décrit lors de la réalisation des per formances optimales.

Figure 4 : *ǯIXW HI PưIRXVEµRIQIRX 7IDZI\4R® sur le V]XLQIEPTLEIRVIKMWXV¯EZERXIXHYVERXPIXIWXHIWH¯W

*R&MPPYWXVEXMSRHYTSXIRXMIP¯ZSUY¯IRVIKMWXV¯EYRM- ZIEYHIPư¯PIGXVSHI54^UYMWIWMXYIHERWPE^SRISÀPI V]XLQIEPTLEIWXPITPYWMQTSVXERXZSMVǰKYVMRIHIPE X°XIVITVIRERXPITPEGIQIRXHIWHMǯ¯VIRXIW¯PIGXVSHIW WYV PI WGEPT *R ' Q°QI TV¯WIRXEXMSR UYưIR& QEMW ETV®WPIWW¯ERGIWHI7IDZI\4R®4RRSXIZSMV¯XSMPI la présence des oscillations alpha dans la période qui TV¯G®HIPIH¯FYXHYXIWXHIWH¯W8IQTW^¯VS Ces expériences préliminaires ont également pu dé

montrer une augmentation de la capacité de désyn chronisation (ERD) du rythme alpha durant le test des H®W ETV®W PưIRXVEµRIQIRX 7IDZI\4R® (Fig. 5). Le ren forcement de l’ERD alpha montre une augmentation de l’implication du cerveau lors de la tâche de rota tion mentale et ceci après l’entraînement. La ligne FPIYIHIPEǰKYVIQEVUYIPETV¯WIRGIHưYR*7)IX WSRVIRJSVGIQIRXGLI^HIWWYNIXW1IVI GIRXVEKI WYV PI V]XLQI EPTLE GLI^ GIW WYNIXW H¯

QSRXVIYRIǯIXQENIYVHIPETVEXMUYIHI7IDZI\4R®.

(LI^ PI WYNIX PE TVEXMUYI HI 7IDZI\4R® induit une augmentation de l’ERD moins soutenue dans la FERHIF°XE-^IXKEQQE#-^(IGMRSYWMR HMUYIUYIHIWHMǯ¯VIRGIWMRXIVMRHMZMHYIPPIWTIYZIRX survenir et qu’il est aussi possible que des sujets puissent ne pas répondre selon la même dynamique G¯V¯FVEPI ¦ PưIRXVEµRIQIRX 7IDZI\4R® HI PE Q°QI manière qu’il existe des sujets répondants ou non aux EYXVIWQERġYZVIWYXMPMW¯IWIRRIYVSPSKMIZSMVǰKYVI -ERWPQE]VIXEP

Figure 5 : .PPYWXVEXMSR HIW ZEVMEXMSRW V]XLQMUYIW HI Pư**,HERWPEV¯KMSRTEVM¯XSSGGMTMXEPIPSVWHYXIWXHIW H¯W V¯EPMW¯ EZERX IX ETV®W PE TVEXMUYI HI 7IDZI\4R®- GLI^WYNIXWGSRXV»PIW5SYVGLEUYIWYNIXPIWWGL¯- mas du haut correspondent aux variations spectrales en terme de puissance des oscillations allant des fré- UYIRGIWPIWTPYWPIRXIWb-^EY\TPYWVETMHIW -^EPSVWUYIPIWWGL¯QEWHYFEWVITV¯WIRXIPư.8(PI VSYKIPITPYWMRXIRWI" HIGSL¯VIRGIHITLEWI HIWSWGMPPEXMSRW1ư¯QIVKIRGIGLI^HIWWYNIXWHưYR VIRJSVGIQIRXHIPư*7)EPTLEWIQERMJIWXITEVPEPMKRI FPIYIUYMH¯FYXIH®WPIH¯FYXHYXIWXHIWH¯W Conclusions

&ZERX7IDZI\4Rq &TV®W7IDZI\4Rq

Subject 1 Subject 2

Subject 3 Subject 4

(11)

18 6YI WI TEWWIXMP EZIG PI V]XLQI EPTLE EZERX IX

ETV®WPETVEXMUYIHI7*+1*<43$

1E ǰKYVI IQTVYRX¯I EY\ XVEZEY\ HI -ERWPQE]V IX EPH¯QSRXVIIRIǯIXYRIEYKQIRXEXMSRHIPE puissance du rythme alpha avant le début du test des H¯WPSVWUYIPIWYNIXE¯X¯IRXVEµR¯TEVRIYVSJIIHFEGO TEV VETTSVX ¦ PE WMXYEXMSR GSRXV»PI 4R GSRWXEXI ¯KE PIQIRX HERW GIXXI ǰKYVI UYI ¦ TEVXMV HY XIQTW ^®VS et durant le test la puissance du rythme alpha dimi RYIJSVXIQIRXSRTEVPIEPSVWHIH¯W]RGLVSRMWEXMSRHI PưEPTLEPM¯I¦Pư¯Z®RIQIRX*7)1EHMǯ¯VIRGIIRXVIPE puissance de l’alpha avant et pendant le test est donc un critère important pour démontrer l’existence d’un IǯIXHIPưIRXVEµRIQIRXWYVPEH]REQMUYIEPTLE(ưIWX exactement ce que nous avons réalisé et présenté à la ǰKYVI1EǰKYVIMPPYWXVIGLI^YRWYNIXVITV¯WIRXEXMJ YRHIWIǯIXWQENIYVHIPETVEXMUYIHI7IDZI\4R® sur PIXIWXHIVSXEXMSRQIRXEPI4RGSRWXEXIPETV¯WIRGI d’une augmentation de la mise en phase du rythme alpha avant le début du test des dés (voir étoile rouge à la Fig. 4B). Les 4 pics de l’oscillation alpha présents sur la période illustrée de 0.5 secondes présentent une amplitude double par rapport à l’enregistrement V¯EPMW¯ EZERX PE TVEXMUYI HI 7IDZI\4R® (Fig. 4A). Cet IǯIXWưI\TPMUYITEVYRIQMWIIRTLEWITV¯TEVEXSMVIHY rythme alpha qui précède le début du test des dés.

(IXIǯIXHIQMWIIRTLEWIHYV]XLQIEPTLEGSVVIW pond à ce que l’on décrit lors de la réalisation des per formances optimales.

Figure 4 : *ǯIXW HI PưIRXVEµRIQIRX 7IDZI\4R® sur le V]XLQIEPTLEIRVIKMWXV¯EZERXIXHYVERXPIXIWXHIWH¯W

*R&MPPYWXVEXMSRHYTSXIRXMIP¯ZSUY¯IRVIKMWXV¯EYRM- ZIEYHIPư¯PIGXVSHI54^UYMWIWMXYIHERWPE^SRISÀPI V]XLQIEPTLEIWXPITPYWMQTSVXERXZSMVǰKYVMRIHIPE X°XIVITVIRERXPITPEGIQIRXHIWHMǯ¯VIRXIW¯PIGXVSHIW WYV PI WGEPT *R ' Q°QI TV¯WIRXEXMSR UYưIR& QEMW ETV®WPIWW¯ERGIWHI7IDZI\4R®4RRSXIZSMV¯XSMPI la présence des oscillations alpha dans la période qui TV¯G®HIPIH¯FYXHYXIWXHIWH¯W8IQTW^¯VS Ces expériences préliminaires ont également pu dé

montrer une augmentation de la capacité de désyn chronisation (ERD) du rythme alpha durant le test des H®W ETV®W PưIRXVEµRIQIRX 7IDZI\4R® (Fig. 5). Le ren forcement de l’ERD alpha montre une augmentation de l’implication du cerveau lors de la tâche de rota tion mentale et ceci après l’entraînement. La ligne FPIYIHIPEǰKYVIQEVUYIPETV¯WIRGIHưYR*7)IX WSRVIRJSVGIQIRXGLI^HIWWYNIXW1IVI GIRXVEKI WYV PI V]XLQI EPTLE GLI^ GIW WYNIXW H¯

QSRXVIYRIǯIXQENIYVHIPETVEXMUYIHI7IDZI\4R®.

(LI^ PI WYNIX PE TVEXMUYI HI 7IDZI\4R® induit une augmentation de l’ERD moins soutenue dans la FERHIF°XE-^IXKEQQE#-^(IGMRSYWMR HMUYIUYIHIWHMǯ¯VIRGIWMRXIVMRHMZMHYIPPIWTIYZIRX survenir et qu’il est aussi possible que des sujets puissent ne pas répondre selon la même dynamique G¯V¯FVEPI ¦ PưIRXVEµRIQIRX 7IDZI\4R® HI PE Q°QI manière qu’il existe des sujets répondants ou non aux EYXVIWQERġYZVIWYXMPMW¯IWIRRIYVSPSKMIZSMVǰKYVI -ERWPQE]VIXEP

Figure 5 : .PPYWXVEXMSR HIW ZEVMEXMSRW V]XLQMUYIW HI Pư**,HERWPEV¯KMSRTEVM¯XSSGGMTMXEPIPSVWHYXIWXHIW H¯W V¯EPMW¯ EZERX IX ETV®W PE TVEXMUYI HI 7IDZI\4R®- GLI^WYNIXWGSRXV»PIW5SYVGLEUYIWYNIXPIWWGL¯- mas du haut correspondent aux variations spectrales en terme de puissance des oscillations allant des fré- UYIRGIWPIWTPYWPIRXIWb-^EY\TPYWVETMHIW -^EPSVWUYIPIWWGL¯QEWHYFEWVITV¯WIRXIPư.8(PI VSYKIPITPYWMRXIRWI" HIGSL¯VIRGIHITLEWI HIWSWGMPPEXMSRW1ư¯QIVKIRGIGLI^HIWWYNIXWHưYR VIRJSVGIQIRXHIPư*7)EPTLEWIQERMJIWXITEVPEPMKRI FPIYIUYMH¯FYXIH®WPIH¯FYXHYXIWXHIWH¯W Conclusions

&ZERX7IDZI\4Rq &TV®W7IDZI\4Rq

Subject 1 Subject 2

Subject 3 Subject 4

19 Ces résultats préliminaires devront être reproduit sur

YR TPYW KVERH RSQFVI HI WYNIXW QEMW MPW MRHMUYIRX H¯N¦YRMRX¯V°XQENIYVTSYVPưYXMPMWEXMSRHI7IDZI\4R®

IXGSRǰVQIRSXVIL]TSXL®WIHIXVEZEMPUYI7IDZI\4R®

est capable d’entrainer les capacités cognitives des sujets en agissant sur la rythmique cérébrale en indui WERX YRI VIGSRǰKYVEXMSR HY V]XLQI EPTLE WSYXIRERX YRIEQ¯PMSVEXMSRHIWTIVJSVQERGIWRIYVSGSKRMXMZIW mises en évidence par le test des dés et ce en accord EZIGPEPMXX¯VEXYVIHYHSQEMRI-ERWPQE]VIXEP (LIVSR (LIVSRIXEP (IFSPPEIXEP

7¯J¯VIRGIW

MQSR -ERWPQE]V 5EYP EYWIRK 2MGLEIP )STTIP QE]V2ERYIPGLEFYWERH;SPJKERK0PMQIWGL Increasing Individual Upper Alpha Power by Neuro JIIHFEGO.QTVSZIW(SKRMXMZI5IVJSVQERGIMR-YQER YFNIGXW&TTPMIH5W]GLSTL]WMSPSK]ERH'MSJIIHFEGO :SP 3S 2EVGL )4. W

2.Cheron G1How to Measure the Psychological

«Flow»? A Neuroscience Perspective. Front Psychol.

)IG HSM JTW]K eCollection 2016.

(LIVSR,5IXMX,(LIVSR/1IVS]&(IFSPPE&(I ZEPPSW ( 5IXMIEY 2 -SIPPMRKIV 8 >EVOE ) (PEVMRZEP

&2 )ER ' 'VEMR 4WGMPPEXMSRW MR TSVX 8S[EVH **, 'MSQEVOIVW SJ 5IVJSVQERGI +VSRX 5W]GLSP +IF HSM JTW]K I(SPPIGXMSR 2016. Review.

(IFSPPE&25EPQIVSSPIV1IVS]&(LIVSR, EEG Spectral Generators Involved in Motor Imagery: A W[147*8& XYH] +VSRX 5W]GLSP )IG HSMJTW]KI(SPPIGXMSR

(12)

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