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Ruwenzori, Montagnes de la Lune

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Academic year: 2022

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Ruwenzori, Montagnes de la Lune

SESIANO, Jean

Abstract

Une expédition au Ruwenzori, point culminant des Montagnes de la Lune, par le Zaïre, a permis quelques observations de géomorphologie glaciaire, dans ce massif de roches métamorphiques culminant à plus de 5000 m. Localisé sur l'équateur, il reçoit d'abondantes précipitations.

SESIANO, Jean. Ruwenzori, Montagnes de la Lune. Les Alpes , 1990, no. 4, p. 210-219

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:41269

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(2)

uwenzort,

Fêriê, et encore

lêtiêl Montagnes de la

Lune

Jean Sesiano, Genève

<Mais Monsieur, vous tombez très très mal!

patie encore de dénicher aujourd'hui ven- or"àigô juin 1989, en fin d'après-midi à Kigali' une voiture à louer. Mais il ne sera pas possl- Ëi" O'et.blir I'extension territoriale d'assu- rance pour passer du Rwanda au Za'ire' les bu-

,àrr*

vont fermet. Et puis demain' c'est la fàte nationale, et lundi, comble de malchance

i;;;;;;rs[),

c'est encore iêriê' car c'est le

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o" la Giande Marche pour le Président' et mârOi. cela risque bien d'être encore fermé!

Cela ne s'arrange pas trop, vous voyez!>

- -Cette

logique africaine, déclamée par une gentille seérétaire au large sourire et aux àents éclatantes, me laisse pantois' Tous

iàir,

Michel Vaucher et Hugo Weber' deux hi-

ma hât piti

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Notre caravane' au-dessus du troisième refuge (env. tt3(X)m)

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malayistes, et moi-même, nous nous sommes hâtés depuis Genève pour atteindre Kigali, ca_

pitale du Rwanda, via Nairobi au Kenya] atln

9" gggn-"r le plus rapidement possiblê notre but, les Montagnes de la Lune, le Ruwen=ôri, sur la frontière entre leZa'ire et l,Ouganda. Ei voilà que la même gangrène qui dév-ore les pays industrialisés s'instaile en Afrique: les

<ponts> peuvent paralyser toute vie dans un pays, pour une durée indéterminée parfois.

Approche malgré

tout

Tant pis, nous n'attendrons pas. Après une nuit dans la capitale du Rwand'a, nous entroÀs au Zaïre, à Goma. Hugo y a des amis qui nous hébergent chaleureusement. Le temps de tout préparer, de refaire les charges, d,aiheter de la nourriture, et de nous baijner dans les eaux du lac Kivu, fraîches et dépdurvues de sur_

prises faunistiques désagréables, et nous re_

trouvons une ligne aérienne intérieure reliant Goma à Béni, 300 km plus au nord, mais tou_

jours au Za'ire.

..

Un vol d'après-midi nous permet d'admirer l'ampleur des convections sur l'équateul.

"n- saison <sèche>: nous évoluons parmi des tours gigantesques de cumulo_nimbus, dans un parcours dont le pilote, connaissant notre but, se fera d'ailleyrs un plaisir de dévier pow passer à 5000 m d'altitude, devant les som_

mets que nous nous proposons d,atteindre.

Malgré les nuages, nous distinguons de ma_

gnifiques lacs aux teintes très àiverses, d,ori_

gine glaciaire, des chutes de séracs vomies par.des glaciers suspendus, et quelques tours rocheuses. De quoi nous mettre l,eau à la bouche.

Une camionnette nous attend à l,aéroport de Béni et nous conduit avec nos 100 kg'de bagages à Mutwanga, point de départ àe I'as_

cension, à l'altitude de 1100 m et 2b km à vol d'oiseau à l'ouest du sommet. L'aide appré_

ciée, mais coûteuse, d'un ancien colon, plan_

teur de café, nous permet de réunir une di_

zaine de porteurs et un guide, obligatoire pour se déplacer vers ces sommets faisànt pariie du parc national des Virunga. La forte propor_

tion de porteurs-membres de I'expédiiion' s'explique par le fait qu'à part l,ascension, nous tournerons un film 16mm pour tequel

nous avons deux caméras, les trépieds et 1500 m de pellicule, en plus des accessoires divers et du matériel photographique habituel.

Au Ruwenzori, d'un refuge à l,autre

Le massif du Ruwenzori, qui culmine à plus de 5100 m, est réputé pour ses précipitatibns:

il y pleut presque chaque jour de l,année. Lei nuages enveloppent les sommets dès la fin de la matinée, puis chutes de neige et de grésil, orages et brouillard prennent le relais. ôela se déroule de cette manière aux saisons sèches (décembre à février et juin à août), f a,iiuution

ne faisant que se dégrader, pour autant que faire se puisse, aux saisons des pluies (péu- après les équinoxes, lors du passage dù soleil au zénith du lieu). Ce climat humidé favorise l'explosion d'une végétation exubérante, uiOo_

rescente souvent, s'opposant à une pénétra_

tion facile du massif. C,est pourquoi il aura fallu attendre jusqu'en lg8ti pourque Sir

H. Stanley puisse constater sans équivoque la

présence de sommets enneigés au'Ruwenzori, 35 km au nord de l'équateur,-alors que la ru_

meur seule avait parlé, depuis ptolémée, de l'existence de hautes cimes blanches, les Montagnes de la Lune, alimentant les sources du Nil. Ce massif constitue donc, avec le mont Kenya et le Kilimandjaro, au climat bien plus facile et à la flore bien plus posée, la trilogie des <5000> africains. La conquête des sorî_

mets du Ruwenzori remonte à ,l906, avec l,ex_

pédition du prince Louis Amédée de Savoie, duc des Abruzzes.

Et. c'e9! le départ de Mutwanga. La chaleur est étouffante et l'humidité éleùée. VivemeÀt la forêt épaisse! Son ombre, bienfaisante pow nous, posera cependant quelques problèmes de prise de vue.

Plusieurs heures plus tard et 1200 m plus haut, c'est le premier refuge. Sa rénovàtion vient de s'achever, et la bâ1isse de bois, à

deux chambres et un réfectoire, est très ac_

cueillante. Nos porteurs se mêlent à ceux qui participent à la restauration des autres re_

fuges, tout étant porté à dos d'hommes, et s'installent sous une grande tente à l,écart, ils mangeront et passèront la nuit. ll aura fâllu

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(4)

Cafê, un de nos porteurs, dans la boue du sentier et la végétation de bruyères arborescentes, de lichens et de mousses

En montant au premier refuge

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213

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Gorille d'âge mur, au Ruanda

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Le caln cris d'unr une falais Le lend gressiven vite escar

tardent p rée: elles on pourre mais de v vre peu à

Le lac Noir, sous le troi- sième refuge

Le deuxième refuge, en voie de totale réfection (avec l'aide d'un fonds de la CEE)

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215

des porteurs pour porter la nourriture des por- teurs, mais le plat de résistance du repas s'est porté tout seul: c'est un bouc qui ignorait sans doute que les herbes dont il se gavait à la

montée seraient ses dernières douceurs..' Le calme de la forêt n'est rompu que par les cris d'une troupe de singes batifolant dans une falaise de l'autre côté de la vallée.

Le lendemain, la végétation change pro- gressivement. Si la forêt de bambous est très uite escamotée, les bruyères, quant à elles, ne

tardent pas à prendre une ampleur démesu- rée: elles ont d'énormes troncs dans lesquels on pourrait tailler non seulement des pipes, mais de véritables fourneaux! Le sol se recou- vre peu à peu de mousses, matelas spongieux

de près d'un mètre d'épaisseur, mais qui a été écrasé par le piétinement à l'endroit du sen- tier. On chemine dès lors dans une sorte de tranchée, au fond très souvent boueux, barrée

à tout moment par des racines de bruyère' Le

jeu de la progression consiste à passer, si

t'est

possiblé, d'une racine à l'autre sans des- cendie dans les trous. Lorsqu'elles sont mouil- lées, ce qui arrive souvent puisque la pluie est une habituée des lieux, la situation devient très aléatoire, et toute prévision de trajectoire est impossible.

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En milieu de journée, le second refuge, à

3333 m, est atteint. Nous occuperons le local des porteurs déjà terminé, le bâtiment princi- pal ne l'étant pas encore et tous les travail- leurs y logeant. Une aube splendide nous at- tend, après les intenses averses de la soirée.

Elles ont mis à mal deux couples d'ltaliens pour qui I'aventure s'est muée en cauchemar.

Au Ruwenzori,le déplacement matinal est dé- cidément fortement conseillél Le parcours- santé de la veille se poursuit. Néanmoins, vers 3900 m, les séneçons et autres lobélies com- mencent à apparaître dans le brouillard; avec les buissons d'immortelles, ils nous tiendront compagnie jusque vers 4400 m.

Bientôt, la silhouette fantomatique du troi- sième refuge apparaît. ll est très sommaire, mais un empilement de planches nous an- nonce une réfection prochaine. Une heure plus tard, le ciel se dégage, et le lac Noir, ma- gnifique plan d'eau occupant une cuvette de surcreusement glaciaire, apparaît 300 m sous le refuge. La météorologie restant stable, nous décidons de poursuivre notre route, après avoir arraché l'accord des porteurs. En

effet, le sentier contourne d'abord un éperon équipé d'un câble, passage sûr mais un peu aérien, avant de descendre une barre ro- cheuse boueuse et glissante. Une prime sup- plémentaire est attribuée à ceux qui nous ac- compagneront: loin de nous l'idée de nous comporter en (négriers>, mais c'est la cou- tume de procéder ainsi. Nous hâtons le pas,

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La pointe Margherita

(5109 m), face sud, dans une éclaircie fugace

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ons le pas,

Séracs sur l'arête sud de la pointe Alexandra

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Descente de la pointe Alexandra

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car le soleil descend, et nos porteurs doivent encore faire le trajet de retour. L'endroit déli- cat est franchi sans problème, même si c'est à

la limite de la voltige et, après avoir longé le lac Vert et traversé un vallon densément peu- plé de séneçons, nous atteignons le lac Gris à

4300 m. Le refuge de la Moraine se trouve au

col, 150 m plus haut, mais son état délabré nous incite à planter nos tentes sur les rives du lac, jouissant ainsi d'un point d'eau à proxi- mité. Les porteurs se défont prestement de leurs charges avant de nous quitter, un ren- dez-vous leur ayant été fixé deux jours plus tard.

Le calme est retombé sur le massif (nous retrouvons le cadre des Alpes, séneçons mis à

part), avec ses parois maintenant livides et ses glaciers suspendus. Le ciel est totalement dé- gagé, tout semble évoluer vers un temps sta- ble.

Sommet et nuages

Samedi B juillet: une aube limpide et froide, du givre partout. Le camp s'active, il s'agit de partir le plus vite possible, car l'échauffement diurne et ses ascendances ne vont certaine- ment pas faire la grasse matinée. Les rayons solaires passent encore loin au-dessus de nous, car nous sommes en face ouest. Nous cheminons le long du lac Blanc, puis sur des rochers moutonnés. lls sont formés de roches cristallines métamorphiques, très anciennes (environ 2 milliards d'années), similaires à celles, bien plus jeunes, que I'on trouve dans les Alpes valaisannes. Peu après, nous pre- nons pied sur la langue du glacier ouest de Stanley. Les conditions de cramponnage sont excellentes. La pente, d'abord raide, s'adoucit à I'approche du col de Stanley. Les crevasses semblent débonnaires, bien qu'une jambe ait passé au travers d'un pont. Le rythme ralentit au fur et à mesure du gain d'altitude. D'un coup, le soleil nous aveugle, alors que nous sommes à cheval sur la ligne séparant leZa'ire de l'Ouganda. Sur le versant est, c'est déjà la cavalcade silencieuse des monstrueuses bulles cotonneuses venant engloutir les contreforts de la montagne. Toujours encor-

dés, nous suivons en direction du nord I'arête qui s'élève régulièrement vers la pointe Alexandra, à 5091 m. Une barre de séracs est franchie, des rochers recouverts d'énormes tours de crème Chantilly sont contournés ou traversés, quelques éboulis, et le sommet est sous nos pieds, alors que des masses de brouillard tournoient maintenant autour de nous. Une éclaircie fugace nous permet d'apercevoir en face le point culminant du massif, la pointe Margherita, à 5109 m. Une brèche, profonde et hargneuse semble-t-il, nous en sépare. ll s'agit en fait d'une selle nei- geuse d'où dévale un glacier de chaque côté.

Des rochers croulants et de la caillasse nous déposent 100 mètres plus bas sur la neige. Re- monter en face est plus délicat, une fine couche de neige non adhérente recouvrant la

glace. Une longueur nous permet de quitter un inquiétant sérac surplombant pour gagner une vire en mauvais rocher. Celle-ci rejoint l'arête et quelques minutes plus tard, c'est la joie de la réussite, même si le panorama n'est

pas celui que nous avions escompté. ll ne faut pas être trop difficile au Ruwenzori!

Nous aurions tort de nous attarder, car du grésil se met à nous cingler le visage. Nous re- joignons I'autre sommet, puis l'arête sud, poursuivons dans d'éphémères éclaircies qui nous permettent néanmoins de spectaculaires prises de vue. Le soleil est maintenant haut dans le ciel, insidieusement il a ramolli la

neige. Plusieurs fois nous sombrons jusqu'à la taille au travers de ponts qui n'en ont plus que le nom, et un coup d'æil vers le fond des cre- vasses a vite fait de leur faire perdre leur ap- parence amicale du matin. Bientôt, c'est le ro- cher qui nous reçoit. Le ciel s'est découvert;

dommage pour la vue du sommet! Demain, nous tenterons une voie plus technique sur la

pointe Moebius, sommet rocheux culminant à

plus de 4900 m, de l'autre côté du glacier.

L'homme propose, la nature dispose Au milieu de la nuit, la pluie tambourine sur nos tentes, puis tout s'apaise et le calme s'empare à nouveau du site du lac. Sournoise- ment, la température s'est abaissée, et une aube blafarde s'installe après avoir tiré un lin- ceul de neige et de brouillard sur le camp en- dormi.

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Au réveil, le contraste est stupéfiant avec le paysage de la veille: séneçons et lobélies se sont recroquevillés, tout est figé, la nature s'est endormie dans un semblant d'hiver, qui ne sera d'ailleurs qu'éphémère. Nous faisons un peu de cuisine, puis démontons le camp tranquillement, ayant abandonné nos projets de la veille. Les charges sont préparées et mises à l'abri sous un rocher, car il neige tou- jours. Nous irons à la rencontre des porteurs, tout en portant des charges, car nous pres- sentons qu'il y aura des défections: la neige mouillée, la boue, le passage du câble... Eh bien non! lls sont tous qui arrivent à notre rencontre, dans des sandalettes ou des chaus- sures à courants d'air, une feuille de plastique ou un anorak trempé sur les épaules. lls auront bien mérité une double prime. Nous équipons d'une corde le passage glissant et arrivons sans encombre au troisième refuge.

La neige s'est muée en pluie, le brouillard est toujours aussi tenace, et nos vêtements ad hoc toujours aussi peu imperméables. Nous descendons directement au second refuge, les porteurs le préférant à cause de son confort et de son altitude moindre. Le temps s'arrange, et c'est le soleil qui clôt cette jour- née mouvementée.

Le lendemain, la descente se poursuit sans histoire, si ce n'est la rencontre avec un ver de terre, modèle Ruwenzori: tout à fait semblable à nos lombrics, mais d'une longueur de 80 cm et d'un diamètre de 4 cm! De quoi faire frétil- ler d'envie tous les amateurs de compost et

Des immortelles (Heli- crysum Stuhlmannii), à

environ tl0fi) m

autres jardiniers amoureux des méthodes douces d'aération du sol!

Nous retrouvons la lourde chaleur de la

plaine, le monde des hommes et ses affaires mercantiles. Avant de rejoindre la douceur des rives du lac Kivu, nous aurons encore à

subir quelques hôtels douteux où la complicité de la nuit remplacera des toilettes inexis- tantes, et où I'absence de lumière dans les chambres nous évitera de vérifier l'efficacité des poudres à lessive locales. Finalement, c'est avec les gorilles du Rwanda que nous prendrons congé du continent: le sommet du crâne de ce vieux mâle, aux reflets argentés tranchant avec la noirceur de sa fourrure, n'est-il pas similaire à ces lambeaux de blan- cheur posés sur l'échine aride de l'Afrique noire, et qui ont pour nom Ruwenzori?

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