• Aucun résultat trouvé

L'espace pliable. Le pli et son rapport à l'espace

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "L'espace pliable. Le pli et son rapport à l'espace"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

Colloque L’Espace Pliable 18 et 19 janvier 2011

à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris - Val de Seine Sous la direction de Aurélie Herbet, Edith Magnan et Patrick Yiu

Colloque organisé conjointement par

la ligne de recherche Art et monde contemporain dirigée par Richard Conte, le CERAP, l’Université Paris-1 Panthéon Sorbonne

et l’ENS d’Architecture de Paris - Val de Seine

avec le soutien de la ligne de recherche Fictions et Interactions, CERAP

Programme détaillé

Mardi 18 janvier 2011

10h00 – Discours d’ouverture

Interventions de Richard Conte (directeur du CERAP, Paris 1), Aurélie Herbet (doctorante contractuelle, Paris 1), Edith Magnan (ATER, Paris 1) et Patrick Yiu (architecte et enseignant, ENSA Paris – Val de Seine).

10h30 – Muriel Berthou Crestey (doctorante en esthétique, Bordeaux 3), « Origamis photographiques »

Une des premières surprises de l'aventure consiste à se sentir déplié. La vie ne vous montre qu'une petite surface d'une feuille pliée un grand nombre de fois sur elle-même.

Hervé Gaymard, Pour Malraux, suivi de Nervures invisibles

En choisissant d’intituler son association artistique « Ne pas plier », Gérard Paris-Clavel insistait sur la dimension interactive de son projet, visant à concevoir un espace de création non pas replié sur lui-même mais déployé en direction de la société. Cet exemple permet d’ancrer l’avènement d’un paradigme contemporain, celui d’un champ artistique tour à tour déplié ou concentré, faisant l’objet d’un déploiement latent. Ainsi une pensée du pli photographique s’impose contre la doxa assimilant la photographie à une surface bidimensionnelle.

Deux mouvements sont mis en œuvre : à l’instar de la lettre volée d’Edgar Poe, le dispositif photographique nous révèle d’une part les aspects saillants des drapés de la perception qui nous étaient alors invisibles. Une réception photographique du pli nécessite les capacités d’un œil interrupteur, focalisant l’attention sur les plissements du visible comme dans les œuvres d’Eric Rondepierre, nécessitant d’ajuster notre regard selon des distances différentes afin de voir tous les aspects d’abord cachés de ses Loupe/Dormeurs.

Associant alternativement l’évidence et ses zones d’ombre, le pli photographique s’apparente d’autre part à un rabat ontologique contenant de multiples couches de sens, permettant de repenser la définition photographique à la manière d’un œil (alternativement fermé et ouvert, pris dans cet entre-deux immobilisé par Erwin Olaf, montrant les yeux plissés, à demi fermés

(2)

de ses modèles) et d’un palimpseste (selon la métaphore freudienne de l’ardoise magique).

Surface modelée, complexe, la photographie permet de cristalliser des problématiques inédites : comment penser l’espace pliable au regard du bidimensionnel ? Comment dépasser la surface apparente des choses pour les revoir sous une autre lumière ? Analysant les jeux de plissés photographiques mis en œuvre par les artistes selon différentes modalités (motifs, poïesis, expérience perceptive), il s’agit d’examiner les zones où s’enclenche un phénomène de dessillement de notre regard, où la photographie révèle des espaces nichés dans un lieu intermédiaire, éprouvé au contact des effervescences artistiques contemporaines.

11h00 – Jean-Jacques Dupas (mathématicien), « Introduction sur le Flexaèdre et les   Aplatoïdes »  

Le Flexaèdre :

Tous les polyèdres sont-ils rigides ? Histoire de ce concept de Cauchy à nos jours. Exemples de polyèdres non rigides. Les polyèdres non flexibles changent-ils de volume ? Conjecture du soufflet.

Les Aplatoïdes :

En cherchant une construction simplifiée des zonaèdres, Jean Pedersen à découvert une classe de polyèdres pliables, une fois dépliées ils approximent les zonaèdres (dodécaèdre rhombique, triacontaèdre rhombique…) mais se replient soit autour de leur équateur soit autour de leurs pôles. Histoire et description de cette nouvelle classe de polyèdres spectaculaire.

12h00 – Questions et discussion de synthèse 12h30 – Pause déjeuner

14h30 – Antoine Picon (professeur, Graduate School of Design Harvard University), « Le pli et la quête de la continuité dans l’architecture numérique »

La communication portera sur les liens entre la thématique du pli, nourrie de la lecture de Deleuze et la question du continu dans l’architecture contemporaine. Assez paradoxalement, l’avènement du numérique, c’est-à-dire d’un ensemble de technologies fondées sur le maniement de données fondamentalement discontinues, s’accompagne d’une vision plutôt continuiste du monde. On tentera d’identifier les motifs auxquels renvoie ce paradoxe apparent. Le pli, c’est aussi pour l’architecture la possibilité de faire pleinement événement au sein d’un ensemble de champs, de gradients et de forces qui semble a priori s’opposer à l’irruption du nouveau.

15h –Bruno Trentini (philosophe, Paris 1), « De l'autre côté de la pliure : Alice de Markus Raetz »

Pour plier un espace à trois dimensions, il faut nécessairement être baigné dans un hyperespace à quatre dimensions. Ainsi, il ne sera jamais perçu d'espace plié, proprement dit.

Si l'on veut donner sens à la notion d'espace pliable, il faut concevoir la « pliabilité » comme une puissance qui ne sera de fait jamais en acte.

Un espace pliable pourrait alors être un patron « à plat » d'un hyper-espace que l'on ne pourrait jamais obtenir. Puisque tout se passe avec une dimension supérieure, l'espace serait à plier suivant un plan1. Une autre possibilité, peut-être esthétiquement plus tangible, semble se situer dans la subsomption des objets chiraux, ces « solides parfaitement semblables et égaux mais non superposables, comme sont la main gauche et la main droite2 ». En effet, pour concevoir l'objet « main », indépendamment de son orientation, il faut parvenir mentalement à replier la main droite sur la main gauche suivant le plan sagittal qui ferait alors pliure. Il nous

(3)

semble que l'œuvre Alice de Markus Raetz, réalisée en référence aux écrits de Lewis Carroll Alice au pays des merveilles et plus spécifiquement De L'Autre côté du miroir, permet au spectateur d'expérimenter non seulement l'espace pliable, mais surtout le passage de l'autre côté de la pliure. En effet, si Lewis Carroll a exploité le monde qui se cache de l'autre côté du miroir, il n'a pas décrit le moment particulier auquel Alice traverse le miroir, lorsque ses pieds se reflètent dans sa tête, et réciproquement, lorsqu'elle est repliée sur elle-même tout en étant aussi grande que d'habitude. À travers ses anamorphoses et autres anomalies perceptives, Markus Raetz met en oeuvre dans Alice cette expérience et offre au spectateur la possibilité de la vivre selon une autre pliure qui émerge au cours du moment de réception ; comme si l'espace commençait tout de même à vaciller.

1. Certains artistes comme Marcel Duchamp et Salvador Dali ont justement tenté de représenter le patron tridimensionnel d'un hyper-cube.

2. Kant, Emmanuel, Dissertation de 1770, Paris, J.Vrin, 1995, section III, § 15, C, p. 67.

15h30 – Pause

16h00 – Collectif d’artistes Microtruc représenté par Caroline Delieutraz et Julien Levesque, « Microplis »

Nous présenterons nos travaux individuels et collectifs sous «l’angle du pli». Nos pratiques à chacun sont très influencées par le réseau Internet, nous opérons sans arrêt des va-et-vient entre différents médiums et différents espaces. Au sein du collectif Microtruc, nous imaginons des dispositifs qui créent une continuité entre l’espace «virtuel» et l’espace «physique».

S’agit-il de plis, de «microplis» ?

17h00 – Questions et discussion de synthèse

(4)

Mercredi 19 janvier 2011 9h00 – accueil des intervenants

9h30 – Laurence Kimmel (architecte et enseignante, ENSA Normandie), « Les avant- gardes comme source de l’esthétique du pli chez Álvaro Siza : les sculptures de Katarzyna Kobro. »

La théorisation du pli, en sculpture et en architecture, comme générateur d’espace, remonte aux avant-­‐gardes. Elles nous ont apporté la spatialité du Gesamtkunstwerk, l’idée d’un spectateur englobé dans l’œuvre, décrit par Rosalind Krauss par la notion de « sculpture dans le domaine augmenté »1. Une des références importantes sur ce thème sont les écrits de Władysław Strzemiński et dans une moindre mesure Katarzina Kobro2. Sur la base d’une analyse historique des plis égyptien, gothique, et baroque, ils jettent les bases d’une théorie du pli comme créateur d’espace à grande échelle, voire comme espace infini (dans une veine utopique). Dans les sculptures de Kobro, la création d’un pli qui engendre un espace infini repose plastiquement sur un équilibre fragile : les « éléments », définissant des directions et des partitions d’espace, ne doivent pas être perçus comme dissociés (à l’inverse des concepts de d’élémentarisation et d’intégration développés par Yves-­‐Alain Bois dans « The De Stijl Idea »3). La découpe et l’assemblage du métal évoquent le pliage, et la peinture des faces (souvent différentes sur chaque face) est une résistance à l’élémentarisation des parties. Des plans rejoints par une arête commune deviennent le « même » (plan), tout en indiquant des directions différentes et en nous servant de repères pour deux orientations différentes. Cette base théorique et pratique est fondamentale pour le développement de l’architecture moderne.

Álvaro Siza utilise un langage qui reste fidèle aux sources du modernisme. Nous étudierons comment la spatialité engendrée par les plis dans la piscine de Leça da Palmeira, dans l’entrée de la fondation Serralves à Porto, et dans le salon de thé Boa Nova est héritière des expérimentations de Kobro. Dans ces exemples, la plasticité gagne cette ouverture sur le paysage. (Ce que Kobro ne réussit pas à faire en « remplissant » ses sculptures de volumes fonctionnels pour en faire des architectures).

En complément, nous préciserons que ces architectures de Siza ne sont pas réductibles à cette continuité avec les recherches des avant-­‐gardes. Elles se rapprochent paradoxalement d’une idée postérieure au modernisme : l’idée de « dissémination du sens » telle que définie par Bernard Tschumi en référence à Jacques Derrida. Tschumi constate lui-­‐même ces liens de sens spatial4. En cela par exemple, Siza ancre sa pratique sur les théories des avant-­‐gardes (la motivation générale est également fidèle aux aspirations utopiques de ces dernières), et est en même temps « contemporain ». Quel est l’apport de la notion de pli dans ce rapprochement ? Le pli repose sur l’idée du vide au centre du dispositif, sur une non-­‐monumentalité ; il peut par sa configuration et par sa matérialité faire référence à de multiples éléments hétérogènes du contexte, du proche au lointain, qui participent du sens de l’expérience. La notion de pli évolue donc d’un système esthétique à un autre, ce qui laisse présager d’autres évolutions possible.

1. Rosalind Krauss, “Sculpture in the Expanded Field”, October, n. 8, Cambridge, Mass, Spring. 1979.

Publié dans Hal Foster, The AntiAesthetic: Essays on Postmodern Culture, New York : The New Press, 2002.

2. Katarzyna Kobro (26 janvier 1898 -­‐ 21 février 1951), est une artiste constructiviste polonaise, connue pour ses sculptures géométriques et colorées.

Władysław Strzemiński, né le 21 novembre 1893 à Minsk, décédé le 28 décembre 1952 à Lodz, est peintre et théoricien de l'art polonais, un des penseurs du constructivisme. Pionnier de l'avant-­‐garde constructiviste des années 1920-­‐30, il théorisa l'Unisme.

3. Yves Alain-­‐Bois, « The De Stijl Idea », in Painting as model, Cambridge: The MIT press, 1990.

4. Entretien de l’auteure avec Bernard Tschumi le 20 avril 2010.

(5)

10h00 – David Renaud (artiste), « Plis et replis de la carte »

Plis et replis (de la montagne ou de la carte), inflexions du relief et de la perception, strates, grilles et champs colorés qui se superposent pour proposer autant de parcours que de détours… L’ensemble de mon travail artistique oscille entre reproduction du réel et camouflage de la réalité, travaillant à leur confusion ainsi qu’à la relativité du point de vue et à la variation des perceptions. Par le biais du détournement et la réappropriation des codes et des conventions, je propose une géographie baroque des territoires qu’ils soient réels ou imaginaires : réinventant le Mont Everest ou la planète Mars…

10h30 – Clotilde Fromentin-Felix, (designer et doctorante, Lille 3), « Le Kouglof comme pli réglé, “des plis là où l’on ne s’y attend pas”1»

Les réflexions menées dans le cadre de mon doctorat sur les enveloppes de l’homme dans un jeu d’échelle, s’appuient sur un va-et-vient entre une expérimentation exploratoire et une réflexion théorique sur le système de pensée que cette manipulation met en place.

Cette expérimentation est née du besoin de mettre à plat au sens propre l’habit, la première enveloppe conçue, la couverture et de questionner les liens, les relations, visibles ou invisibles, matérielles ou imaginaires qu’il tisse avec le corps. Je pars d’une simple surface textile et y interviens de façon très basique, primitive, la plus ténue possible pour qu’une rencontre corps habit puisse avoir lieu : des trous, des tubes, des plis, ... Peu à peu, les premières entités évoluent, des mises en forme se croisent, des figures plus complexes apparaissent, objets, espaces, un paysage se construit peu à peu. Le Kougloff que je voudrais évoquer ici est une figure surgie au cours de ce processus, qui m'intéresse particulièrement pour sa capacité à être multiple, pour les univers et questionnements qu’elle développe. Il s’agit de la relecture textile du tore mathématique mis en “mouvement” grâce aux plis préservés en son centre lors de sa mise en forme, lesquels plis permettent l’articulation de lui- même et sa transformation continue, mais aussi l’ouverture au sens propre comme figuré vers d’autres spatialités.

J’ai surnommé cette figure le Kouglof en référence à la fameuse brioche alsacienne annulaire.

D’après une légende, cette pâtisserie aurait été créée pour la première fois par les Rois Mages pour remercier un pâtissier de Ribeauvillé du nom de Kugel de son hospitalité, sa forme reprenant celle de leurs turbans (Kugel-hof). Ces coiffes étaient formées d’un textile roulé sur lui-même en anneau, formant des inévitables plis, ce que la forme de la brioche symbolise par ses cannelures concentriques. Dès lors, la fabrication du moule à Kouglof à partir d’une feuille de cuivre s’acharne à faire disparaître les plis indésirables et incontrôlés qui surgissent lors du martelage, pour en faire apparaître d’autres, figuratifs. Le moule reproduira ainsi à l’identique comme des produits industriels des brioches aux plis stylisés tous semblables.

Mais les brioches sont-elles meilleures ainsi? A l’image du modèle mathématique qui s’est développé dans les années 1970 et a inspiré le design radical, le Kouglof peut en être vu comme la version “non-standard”, voire même “naturelle” si l’on se réfère aux récentes théories des sciences de la nature2. Lorsque des plis se développent là où l’on ne s’y attend pas, et ouvrent ainsi un espace de jeu, le kouglof peut-il constituer un outil de pensée pour l’habiter du XXIe siècle?

1 - Je reprends ici l’intitulé d’un paragraphe du prologue de Ecumes, Sphérologie plurielle, Peter Sloterdijk, tr. de l’allemand par Olivier Mannoni, Hachette, 2005, « De l’air à un endroit inattendu » où l’auteur décrit comment l’explicitation de l’air au cours du XXème siècle se constitue en nouveau paradigme pour habiter le monde.

2 - Vers une nouvelle philosophie de la nature, Actualités mathématiques, physiques et biologiques, collectif sous la direction de Joseph Kouneiher, Hermann, 2010

(6)

11h00 Delphine Jacob (architecte et doctorante en Histoire de l’architecture, Paris 1),

« Pierre Guariche, créateur d’illusions »

Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, la France est confrontée à une grave crise du logement. Les causes ne sont pas seulement dues aux conséquences de l’offensive de 1940 mais aussi aux bombardements alliés qui durent sur une grande partie du territoire jusqu’aux débarquements de Normandie et de Provence en 1944 et qui ne finissent qu’avec la totale libération de la France métropolitaine. Durant cette période, on enregistre la destruction de 500 000 logements ainsi que des dégâts importants sur près d’un million d’habitations.

Pour reconstruire le pays, le Gouvernement provisoire de la République Française, alors dirigée par le Général de Gaulle, crée, le 16 novembre 1944, le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme qui devient le principal maître d'ouvrage de ce vaste chantier.

En 1947, le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (M.R.U.) veut atteindre un objectif ambitieux : l’industrialisation de la construction. C'est pourquoi, il lance des concours expérimentaux afin d'inciter les architectes à orienter leurs recherches vers la standardisation de la construction. C’est ainsi que des procédés techniques, comme la préfabrication lourde, se développent à partir de leurs travaux, et permettent alors de rationaliser les techniques de production. Elles engendrent de manière systématique, la répétition des mêmes types de cellule dans les grands ensembles. La normalisation fait alors son apparition. Tout d'abord, le logement se divise en deux zones distinctes : jour / nuit ; résultat du travail de techniciens soucieux de regrouper les fluides. De ce fait, le plan type suivant se banalise : la cuisine désormais fait face à la salle à manger ou au séjour ; de même, le regroupement des pièces humides est de rigueur.

La même année, le Ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme organise l’Exposition Internationale de l’Urbanisme et de l’Habitation au Grand Palais. Cette manifestation a pour objectif d’encourager la conception et la production d’équipements de série de bonne facture, destinées à l’aménagement intérieur des programmes d’habitation de la reconstruction. Les meubles, créés à cette époque, sont transformables, de faible encombrement, pour répondre à de multiples fonctions dues, entre autres, à l’exiguïté des espaces souvent plurifonctionnels. Ainsi, la salle de séjour fait classiquement office de salon, voire de bureau, mais également de chambre à coucher, et ce, grâce aux banquettes et aux canapés-lits convertibles.

En conséquence, cette contribution se propose de mettre en avant l’œuvre de Pierre Guariche, décorateur-créateur d’ensemble, dont les meubles, produits en série au début des années 50, correspondent aux nouveaux impératifs spatiaux des habitations standardisées. Ils ne se contentent pas seulement d’une fonction décorative, ils meublent aussi de manière rationnelle. Nous étudierons ses objets pliables afin de comprendre de quelle manière ils répondent plastiquement et techniquement à ces nouvelles contraintes. Cet écrit se basera sur différents modèles produits en série destinés à équiper un salon, comme un système de rangement constitué de tubes métalliques ronds emboîtables, des luminaires rabattables, une table en bois avec deux allonges escamotables et des chaises empilables.

11h30 – Questions et discussion de synthèse 12h00 – clôture du colloque

 

Références

Documents relatifs

Boukri- Benaissa

Pour vérifier la validité de cette théorie du critique littéraire, engageons une étude de ce mythe dit de la ‘Connaissance’ dans l’œuvre romanesque de Amélie Nothomb

Autrement dit, notre souci, par le biais de ces deux textes donc deux discours de deux écrivains, tous deux natifs d’Oran ; tous deux ressentant une appartenance à ce

En effet, les espaces parcourus par les personnages centraux ne sont que le signe d’un autre espace : le véritable espace, l’espace originel qui est l’espace de la

Dès lors, le Manuscrit trouvé à Saragosse s’apparente en bien des points à un vaste laboratoire dans lequel des personnages cobayes subissent l’expérience

Mais toute sa vie elle aspire à un ailleurs mythique et quand, enfin, le docteur, à l’indépendance, propose de lui donner sa maison, elle refuse le cadeau malgré

« Le propre de la représentation est déterminé par le fait qu’elle se fonde sur la relation interpersonnelle, ici et mainte- nant, qui se réalise entre la scène et la salle à

نــﻋ ثﻴدــﺤﻝا ﻰــﻝإ ﺎــﻤﺘﺤ ﻲــﻀﻔﻴ ﺎــﻤ وــﻫو ،بوــﺘﻜﻤو قوــطﻨﻤ وــﻫ ﺎــﻤ لوﻘﻝﺎــﺒ دــﺼﻘﻨو ،ﻩدﺎــﻘﺘﻋا لــﻴﻠﺤﺘ مــﺜ ﻪــﻝوﻗ لــﻴﻠﺤﺘ نــﻤ ةرـﻜﻓ لوـﺤ