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La qualité de vie sexuelle des patients marocains avant et après mise en place d’une prothèse totale de hanche.

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Academic year: 2022

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D O SS I E R

Revue Marocaine de Rhumatologie Disponible en ligne sur www.smr.ma

A R T I C L E O R I G I N A L

La qualité de vie sexuelle des patients marocains avant et après mise en place d’une prothèse totale de hanche.

The quality of sex life of Moroccan patients before and after a total hip replacement.

Siham Zahi, Laila Mahir, Fatima Lmidman, Abdellatif El Fatimi

Service de Médecine Physique et Réadaptation Fonctionnelle, CHU Ibn Rochd, Casablanca - Maroc.

Résumé

Introduction : La vie sexuelle est une composante importante de la qualité de vie et demeure un domaine fréquemment négligé chez les patients atteints d’arthrose de la hanche. Les objectifs de l’étude étaient d’évaluer l’influence de la maladie et la chirurgie par la prothèse totale de la hanche (PTH) sur la qualité de la vie sexuelle chez ces patients.

Méthodes : Une étude rétrospective à l’aide d’un questionnaire anonyme administré à 148 patients lors d’un entretien en face-à-face au département de médecine physique et de réadaptation.

Résultats : L’âge moyen quand les difficultés sexuelles ont apparue a été de 45 ans (21-63) deux ans après la douleur de la hanche. Les difficultés sexuelles étaient graves à majeurs pour 19% des patients. Les principales causes des difficultés sexuelles étaient la douleur, puis la rigidité articulaire. Les patients ayant les répercussions sexuelles les plus prononcées et les plus précoces étaient les jeunes femmes atteintes de dysplasie de la hanche.

Selon les patients, la mise en place de PTH améliore les relations sexuelles. La fréquence des rapports sexuels est augmentée après PTH. Seulement 17% des patients avaient eu des informations sur l’activité sexuelle avant / après PTH.

Conclusion : Notre étude suggère l’importance de l’impact de la PTH sur l’activité sexuelle des patients . Les difficultés sexuelles ne doivent pas être marginalisées, mais doivent être évaluées avant et après la chirurgie de PTH. Une équipe multidisciplinaire : chirurgien, médecin rééducateur et physiothérapeute devraient aborder cet aspect avec le patient.

Mots clés

:

Prothèse totale de hanche ; Activité sexuelle ; position sexuelle ; qualité de vie.

Abstract

Introduction: Sexual life is an important component of the quality of life and is still a frequently neglected domain in patients with hip osteoarthritis. The aims of the study was to evaluate the influence of diseases and the total hip replacement (THR) surgery on quality of sexual life patients.

Material and methods: a prospective study using an anonymous questionnaire administered to 270 patients in a face-to-face interview at physical medicine and rehabilitation department.

Results: The mean age when sexual difficulties began was 45 years (range: 21-63) two years after hip pain occurred. Sexual difficulties were considered severe to major by 19% of patients. The main causes of sexual difficulties were pain, and joint stiffness. Patients with the most pronounced and early sexual repercussions were young women with hip dysplasia. In patients’ opinion, the implementation of THR improves sexual relations.

The frequency of intercourse was increased after THR significantly more frequently in women than in men, due to a change in coital position. Only 17% of patients had information about sexual activity before/after THR.

CONCLuSION : Sexual difficulties should not be marginalized, but should be assessed before and after surgery. It is the role of a multidisciplinary team: surgeon, physiatrist and physiotherapist.

Key words

:

Total hip replacement; Sexual activity;

sex position; quality of life.

Rev Mar Rhum 2018; 44:58-61

Correspondance à adresser à : Dr. S. Zahi Email : zasi1986@hotmail.com

DOI: 10.24398/A.284.2018

Plus de 1 million de Prothèse totale de hanche (PTH) sont réalisées par an, et ce chiffre aura tendance à doubler au cours des 2 prochaines décades [1–3]. L’objectif est d’acquérir l’indolence, la mobilité de la hanche et l’amélioration de la qualité de vie.

L’activité sexuelle fait partie intégrante de la qualité de vie et l’affecte. [4,5] Un dysfonctionnement de l’activité sexuelle est connu fortement associé à une insatisfaction physique et émotionnelle, et une dépression [6]. La

limitation articulaire, associée à la douleur et la peur de luxer la prothèse, affecte l’activité sexuelle [7].

La PTH améliore de manière significative la qualité de vie des individus par rapport aux patients non traités avec des coxarthroses sévères [8]. Une satisfaction sexuelle ainsi qu’une amélioration de la performance a été rapporté chez la plupart des patients après PTH réussite dans plusieurs études traitant spécifiquement la fonction sexuelle après PTH [7,9-11]. Toutefois, il est clair que les

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problèmes de l’activité sexuelle chez les patients porteurs de PTH sont sous-estimés et devraient être recherchés par le personnel médical, même si les patients eux-mêmes ne l’abordent pas explicitement [12].

MATéRIELS ET MéThODES

C’est une étude prospective ayant porté sur une cohorte de 148 patients réalisée au sein du service de médecine physique et réadaptation de Casablanca. Nous avons inclus tous patients suivis en notre service pour PTH datant d’au moins 6 mois et dont l’âge est inférieur à 65 ans. Les reprises de PTH ou une PTH pour fracture du col du fémur ont été exclus. Les patients ont été classés, selon la classification de Charnley [13] en A, B et C.

L’étude a été faite à l’aide d’un questionnaire anonyme remplie auprès des patients au cours d’une consultation de suivi. Notre questionnaire reprenait les items contenus dans le questionnaire de Currey [11] et dans celui de Meyer et al. [14], associé à l’échelle fonctionnelle du Womac [15] et l’indice algo-fonctionnel de Lesquene. [16].

Afin de faciliter l’interprétation, les réponses proposées pour le questionnaire de Currey étaient adaptées à l’échelle de Lickert en cinq points, en mettant une croix dans une des cases (aucun, minime, modéré, important, majeur) correspondant respectivement aux scores de 0, 1, 2, 3 et 4.

Les postures sexuelles les plus confortables en préopératoire et postopératoire ont été recherchées parmi les 12 postures

utilisées dans l’article rapporté par Dham et al. [16].

L’analyse statistique a été réalisée grâce au logiciel Statview® (version 5.0, Californie, États-Unis). Les variables quantitatives ont été comparées à l’aide du test non paramétrique de Wilcoxon ou du test U de Mann-Whitney [17]. Le test de Khi-2 ou le test exact de Fischer ont été utilisés pour la comparaison des variables qualitatives. Le seuil de signification statistique retenu était un p inférieur à 0,05.

RéSuLTATS

Nous avons eu 148 patients, de 63 femmes et 85 hommes.

Les principales caractéristiques des patients sont résumées sur le Tableau 1. L’âge de début des difficultés sexuelles était de 45 ans en moyenne (extrêmes : 21–63), soit en moyenne deux ans et demi après le début des douleurs de hanche (Tableau 2). La sexualité est altérée plus précocement, de manière statistiquement significative, dans la dysplasie de hanche par rapport à la coxarthrose primaire (p = 0,003), à l’ostéonécrose aseptique (p = 0,03) et à la coxarthrose secondaire (p = 0,07). La dysplasie de hanche, qui touche préférentiellement les jeunes femmes, est la maladie qui a la répercussion sexuelle la plus précoce, tandis que la coxarthrose primaire est celle ayant la répercussion sexuelle la plus tardive. Les douleurs chroniques de hanche avaient eu une répercussion importante à majeure sur la sexualité chez 19% des patients; 7%des patients estimaient avoir souffert de tensions ou d’insatisfaction dans leur relation

Charactéristiques Nombre des patients (%)

Sexe

Homme 154 (57%)

Femme 116 (43%)

Age (moyenne, min-max) 51,5 ( 21-65)

Temps après PTH

6 mo–1 an 78 (28,8%)

1–2 ans 97 (36%)

> 2 ans 95(35,2%)

Diagnostic

Ostéonécrose de la tête fémorale 98 (36,3%)

Coxarthrose primaire 112 (41,5%)

Coxarthrose secondaire 18 (6,7%)

Dysplasie de la hanche 30 (11,1%)

Polyarthrite rhumatoïde 12 (4,4%)

Tableau 1 : Caractéristiques démographiques des patients:

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S.Zahi, et al.

avec leur partenaire.

Les principales raisons des difficultés sexuelles étaient la douleur et la raideur articulaire. En préopératoire, les femmes étaient significativement plus handicapées sur le plan de leur sexualité que les hommes (p = 0,004). Mais en postopératoire, cette différence entre les femmes et les hommes disparaissait (p = 0,13). Cela n’était pas associé à une plus grande motivation de la part des femmes à bénéficier de la mise en place d’une PTH (p = 0,33). En effet, les difficultés sexuelles n’étaient un élément de décision pour la PTH de la part du patient que chez 18,5% des patients. Ce pourcentage atteint 36% chez les patients ayant une dysplasie de hanche.

La reprise des relations sexuelles est survenue en moyenne 66,5 jours (extrêmes : 4–365) après la PTH, mais trois patients n’ont jamais repris leurs activités sexuelles. La reprise des activités sexuelles s’est faite significativement plus tard pour les femmes (87 jours) par rapport aux hommes (54 jours, p = 0,0005). Le diagnostic n’a pas eu d’influence sur le délai de reprise de la sexualité. Le pourcentage de patients n’ayant pas de difficultés sexuelles ou des difficultés minimes était de 54% avant la PTH et 74% après la PTH.

Après la mise en place de la PTH, la fréquence des relations sexuelles avait augmenté chez 18,5% des patients, diminué chez 11,5% des patients et n’avait pas varié chez 70% des patients. Parmi les patients pour lesquels la fréquence des relations sexuelles avait augmenté après la mise en place de la PTH, on trouvait significativement plus de femmes que d’hommes (p = 0,02). Les patients n’ayant que peu ou pas de difficultés sexuelles avaient un score fonctionnel réduit du Womac significativement meilleur que ceux ayant des difficultés sexuelles modérées (p = 0,002). Cette différence n’était présente que chez les femmes.

Du point de vue des postures sexuelles, les douleurs de hanche n’avaient que peu d’influence chez les hommes qui utilisaient les mêmes postures avant et après la PTH. En revanche, les femmes utilisaient avant la PTH, en comparaison à la période postopératoire, des postures ne nécessitant pas d’abduction et rotation externe de hanche.

Notre étude a permis de montrer que seulement 17,3%

des patients avaient reçu une information concernant les activités sexuelles avant et/ou après PTH et que seulement 10,5% étaient informés de la nécessité d’attendre un délai avant la reprise d’une activité sexuelle. Dans la plupart des cas, cette information avait été fournie par le médecin rééducateur et le kinésithérapeute ayant en charge la rééducation postopératoire dans notre service. Les patients estimaient que c’était le chirurgien, suivi par le médecin rééducateur puis le kinésithérapeute, qui était le mieux placé pour délivrer ce type d’information.

DISCuSSION

Plusieurs études montrent que plus de la moitié des patients souffrent de difficultés sexuelles directement liées à des douleurs chroniques de hanche [10,11]. Chez certains patients, entre 5 et 10% [9,10,11], cela entraîne un arrêt des relations sexuelles. Les principales causes en sont la douleur, l’appréhension d’avoir mal, l’asthénie et la raideur articulaire [9,19]. D’autres facteurs peuvent intervenir [11,19,20] : une baisse de la libido, une atteinte d’autres articulations, comme celles du rachis [21], que l’on observe précocement dans les rhumatismes inflammatoires chroniques chez des sujets jeunes [22].

Les femmes sont touchées plus souvent que les hommes par ces difficultés sexuelles, tant en fréquence, qu’en intensité et qu’en terme d’âge de survenue au cours de la maladie [9-11]. Cela est particulièrement le cas dans la dysplasie de hanche. Dans ces cas, la mise en place d’une PTH entraîne habituellement un soulagement durable des symptômes [9,22]. Pour Stern et al. [9], une augmentation de la fréquence des relations sexuelles après PTH permet de démontrer les effets bénéfiques de la chirurgie sur la sexualité des patients. Notre étude confirme ces résultats, mais une augmentation de cette fréquence n’était retrouvée que chez moins de 20% de nos patients. Dans notre étude, les relations sexuelles reprenaient plus de trois mois après la chirurgie. Les hommes semblaient reprendre leurs activités sexuelles plus tôt que les femmes, en partie du fait que, lors de l’acte sexuel chez l’homme, la mobilité articulaire Total

(min-max) Ostéonécrose de

la tête fémorale Coxarthrose

primaire Coxarthrose secondaire

Dysplasie de la hanche

Polyarthrite rhumatoïde Âge de début des

douleurs de hanche 42,6 (9–65) 41,5 (18–56) 45,6 (20–65) 36,0 (9–60) 33,3 (9–52) 43,7 (33–52) Âge de début des

difficultés sexuelles 45 (21-63) 42,2 (21–58) 49,4 (28–65) 45,3 (30–61) 33,3 (24–52) 39,5 (36–43) Délai de reprise des

activités sexuelles 66,4 (4–365) 61,8 (5–210) 69,9 (8–365) 62,4 (4–180) 75,5 (21–

120) 45,7 (35–60) Tableau 2 : Âge lors du début des douleurs de hanche et lors de l’apparition des difficultés sexuelles (ans), et délai de reprise des activités sexuelles (jours).

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intervient moins que chez la femme (pas d’abduction ni rotation externe de hanche). Nous avons aussi trouvé que les hommes utilisaient les mêmes postures avant et après PTH.

À l’inverse, chez les femmes les postures sont très différentes entre la période préopératoire, où les postures choisies ne nécessitent qu’une faible mobilité articulaire, et la période après la chirurgie où les postures avec abduction et rotation externe en position de décubitus dorsal sont préférées. Elles présentent un faible risque de luxation de prothèse qui représente la principale crainte dans les relations sexuelles après mise en place d’une PTH. Ces postures peuvent donc être reprises précocement sans risque. Il est nécessaire de respecter une période d’un mois pour permettre la cicatrisation des tissus périarticulaires (surtout les éléments postérieurs stabilisateurs), de la peau et du tissu sous-cutané.

Les relations sexuelles peuvent être reprises en toute sécurité après un délai postopératoire de un à deux mois [9] pour la position en décubitus dorsal et après trois mois quelque soit la position, à l’exception des postures les plus extrêmes.

Il existe une réelle lacune dans l’information concernant les difficultés sexuelles induites par les maladies chroniques de la hanche [11]. Dahm et al. [18] soulignent le manque d’intérêt porté à ce sujet par 80% des praticiens qui ne parlent que rarement, sinon jamais, de la sexualité après PTH avec leurs patients. Cela peut être une source de tension, d’insatisfaction, parfois très marquées [11]. Ce manque d’information est un problème noté par nombre d’auteurs [7,9-11,14,18]. Plus de trois-quart des patients souhaiteraient que soit délivrée une information concernant les relations sexuelles après mise en place d’une PTH et les deux-tiers pensent qu’un dialogue avec le chirurgien les aiderait [11]. L’information doit concerner le délai de reprise des activités sexuelles et les postures permises sans risque de complication mécanique de la PTH.

Dans la période postopératoire précoce, le rôle du chirurgien, du kinésithérapeute, puis du médecin de rééducation, doit être de rassurer le patient sur ses possibilités, tout en lui fournissant des informations claires et détaillées pour limiter les risques de luxation de prothèse lors des activités de la vie courante, mais aussi lors des activités sexuelles.

CONCLuSION

L'activité sexuelle est une dimension importante de la qualité de la vie. Bien que les patients porteurs de PTH n’abordent pas ce sujet souvent avec leurs médecins, ils ont des préoccupations. Fournir aux patients des informations pertinentes est susceptible d'atténuer leurs inquiétudes et d'améliorer leur satisfaction.

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