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L ESPACE POLITIQUE DES VILLES

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Academic year: 2022

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Université catholique de Louvain – UCL Mons Faculté des sciences économiques, sociales, politiques et de

communication

L’

ESPACE POLITIQUE DES VILLES

ÉTUDE SOCIOLOGIQUE DU TRAVAIL DE MISE EN ŒUVRE DE POLITIQUES URBAINES DANS TROIS PETITES VILLES WALLONNES (BELGIQUE)

Damien Vanneste

Thèse réalisée en vue de l’obtention du titre de docteur en sciences politiques et sociales, présentée au cours de l’année académique 2011-2012

Membres du jury :

Prof. Philippe Scieur (UCL-Mons), directeur de thèse

Prof. Bernard Francq (UCL), membre du comité d’accompagnement Prof. Eric Corijn (VUB), membre du comité d’accompagnement Prof. Felice Dassetto (UCL)

Prof. Philippe Hamman (Université de Strasbourg)

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3 REMERCIEMENTS

Cette thèse doit beaucoup au temps écoulé depuis cinq ans pour elle, et en- dehors d’elle. Ce temps est celui de l’isolement, d’un côté, des nombreuses et riches rencontres professionnelles, de l’autre. Ce temps est aussi celui passé à l’ « encontre » de la thèse, à toutes ces petites et grandes choses qui font la vie. J’ai toujours eu le sentiment que, pour un sociologue, ce n’est de toute façon jamais du temps « perdu ».

Je souhaite remercier en premier lieu Philippe Scieur qui m’a accordé sa confiance depuis mon engagement aux Facultés Universitaires Catholiques de Mons (FUCaM). Ma dette intellectuelle à son égard est très grande. En tant que directeur de thèse, il a de plus toujours veillé à m’octroyer un cadre de travail épanouissant.

L’amitié qui s’est créée entre nous participe certainement au plaisir que nous avons à travailler ensemble. De manière complémentaire, cette thèse est également redevable des soutiens réguliers et indéfectibles de Bernard Francq. Son expérience et son imagination sociologique sont souvent apparues salvatrices pour passer à travers mes doutes relatifs à l’accomplissement de ce travail.

J’adresse également mes marques de reconnaissance à l’égard des autres membres de mon jury : lors de chacune de nos rencontres, Eric Corijn, chaleureux et critique, m’a encouragé à prendre du recul par rapport aux évidences qui parsemaient le travail en cours ; Felice Dassetto a accepté l’exercice particulier de lire avec son regard aiguisé la thèse d’un jeune chercheur qu’il avait accompagné par le passé ; Philippe Hamman, enfin, s’est intéressé avec finesse à mon travail valsant entre Villes invisibles et villes wallonnes. Merci également à Nathalie Schiffino pour son soutien personnalisé et son professionnalisme dans l’organisation et la tenue des défenses privée et publique de cette thèse.

La progression dans le travail doit beaucoup aux discussions qui ont eu cours dans différents séminaires et colloques. Les séminaires d’analyse de l’action publique et de sociologie de l’action organisée ont tous deux été des invitations à explorer de nouvelles pistes. Ceci a pu se passer grâce à la qualité des discussions de Françoise Noël et Nathalie Schiffino et à l’esprit, plus scientifique que « scolaire », imprimé par les organisateurs de ces séminaires. Je pense également à ceux qui ont été doctorants en même temps que moi : notamment, Céline Mahieu bien sûr, mais

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aussi Christophe Dubois et ses complices liégeois. Par ailleurs, merci aux membres du CeRIO pour leurs généreux soutiens au cours de ces dernières années.

Cette thèse s’appuie sur un matériau empirique que je n’ai pu constituer que grâce à l’accueil positif qu’on m’a généralement réservé au niveau des villes étudiées. Je remercie toutes les personnes rencontrées et adresse un merci particulier à Martin Jeanmart qui m’a beaucoup aidé au début de ce travail de terrain, ainsi qu’à Catherine Lutzeler qui a participé aux premières récoltes de données. En outre, merci à Jean-Luc Calonger et Pierre Francis de l’AMCV de m’avoir aidé à mieux comprendre les enjeux et intérêts des acteurs urbains et régionaux en Wallonie.

Finaliser une thèse exige une disponibilité d’esprit qu’il est difficile d’acquérir sans supports extérieurs. Aussi, je remercie le Conseil de Recherche des FUCaM de m’avoir octroyé une bourse FSR. Merci également à Vinciane Claus, Sandrine Delhaye, Carine Pecher et Sonia Zeghers pour leurs coups de main administratifs et logistiques lors de ces derniers mois de concrétisation du processus doctoral.

Mes remerciements à l’adresse des personnes des FUCaM (dorénavant UCL-Mons) devraient être plus larges : passer en revue toutes les catégories de personnel et inclure les étudiants que j’ai côtoyés ces dernières années. Je ne peux malheureusement pas prétendre ici à l’exhaustivité. J’ai évidemment une pensée particulière pour mes collègues scientifiques actuellement doctorants en communication, en sciences politiques, en sociologie, en GRH… De plus, je me dois de quand même citer certaines personnes tant elles ont façonné mon parcours à Mons. Dans l’ordre d’apparition : François Fasseaux, Christophe Majois, Sébastien Deschamps, Jean-Luc Depotte, Jean-Yves Filbien, Solange Verger et Fabien Labondance. Et évidemment mes chères « co-locataires » : Caroline Letor, Céline Mahieu et Aline Kockartz ! J’adresse un clin d’œil au passage aux Ateliers des FUCaM. Ce lieu est devenu un deuxième bureau. Merci à ses « Sœurs » qui veillent à l’accueil du couvent. C’est d’ailleurs là que j’ai pu garder les pieds sur terre – étonnamment d’ailleurs vu l’ « esprit » du lieu – en rencontrant régulièrement de nombreux professionnels de la gestion urbaine et du développement local. Je remercie ces derniers pour les échanges que nous avons eus depuis début 2009.

Une pensée particulière à l’égard de Jean-Christophe Echement, qui m’a depuis lors invité à me « mouiller » sur le terrain délicat de l’élaboration de projets urbains.

L’envie de poursuivre et conclure cette thèse puise enfin dans les relations entretenues avec mes proches. Je pense ici aux tapes dans le dos chaleureuses et amusées de ma famille et à l’accueil de la famille Mouthuy. Avec le recul, je crois aussi que le souvenir de mon grand-père maternel n’est pas anodin dans toute cette histoire. De plus, je remercie particulièrement ma sœur pour sa présence depuis toujours – tout simplement –, mon père pour ses encouragements inlassablement répétés et ma mère, notamment, pour le courage qu’elle a eu de lire tous ces chapitres dans des versions parfois très chaotiques ! Merci aussi aux nombreux amis, souvent réunis pour de multiples conversations détournées. Un clin d’œil particulier à Tony Roupin et Céline Verelst pour nos retours sur expériences sociologiques, à Quentin Ervyn et Julie Dechamps pour nos discussions

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enthousiastes sur la vie politique locale et les dynamiques culturelles des espaces urbains.

Dans cet « inventaire », je me dois de faire une parenthèse au souffle musical qui m’a porté. Lucie Carton, de sa naissance à ses dévoilements scéniques, m’a offert un défoulement, aussi extraordinaire qu’inattendu, à même de contrebalancer l’épreuve parfois folle de la concentration intellectuelle. Mais au-delà de sa puissance d’exutoire, elle m’a permis la découverte, toujours surprenante, d’une autre forme d’expérience de créativité et de travail collectif. Aussi, merci à tous les « membres » de ce groupe ! Nos concerts m’ont d’ailleurs permis de poursuivre une de mes « marottes » : revoir des légendes vivantes, gardiennes de lieux haut en couleur ; bavarder avec des inconnus intarissables, quitte à en perdre la notion du temps…

Enfin, tout ce travail ne tiendrait pas debout sans l’énergie quotidienne que me transmet Laetitia, ma compagne. Il y a d’abord son encouragement sans cesse renouvelé. Ceci demeure pour moi une énigme tant j’ai l’impression de lui dire depuis trop longtemps que « je vais bientôt terminer cette thèse » ! Mais il y aussi le fait qu’on s’est progressivement pris au jeu de la discussion (au carrefour souvent du vécu le plus concret, de la sociologie et de la psychanalyse) qui s’immisce toujours quand on ne l’attend pas, lors d’une balade légère comme autour d’un coin de table.

Enfin, c’est tout simplement à cette étrange et heureuse complicité amoureuse que je dois ma détermination, mes sautes d’humeur et d’humour, bref le désir d’avancer sur une multitude de chemins qu’on ne dessine jamais vraiment seul.

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TABLE DES MATIERES

INTRODUCTION ... 13

1. La démocratie urbaine sans vision intégratrice, le cas des petites villes ... 16

2. Une expérience de recherche et un pacte de lecture... 28

PARTIE I–OBSERVER ET INTERPRÉTER LESPACE POLITIQUE DES VILLES ... 37

Chapitre 1 – L’espace politique de la ville, une approche heuristique41 1.1 Définition heuristique de l’espace politique de la ville ... 41

1.1.1. L’apport de Rancière à l’analyse de l’action publique urbaine 42 1.1.2. L’espace politique comme horizon balisé et indéterminé44 1.1.3. La ville ou tenter de « faire société » ... 47

1.1.4. Pour une définition heuristique de l’espace politique de la ville 49 1.2. Le transcodage comme instrument d’opérationnalisation .... 50

1.2.1. De la polémique et de la controverse, un rapprochement épistémologique et politique ... 51

1.2.2. De la traduction au transcodage, une sociologie de l’action publique ... 53

1.2.3. La question de la subjectivité, un désaccord ontologique57 1.3. Comprendre l’espace politique des villes à partir de trois dimensions ... 61

1.3.1. Appréhender l’espace politique des villes ... 62

1.3.2. Les supports de l’espace politique de la ville ... 64

1.3.3. La représentation de l’espace politique de la ville ... 66

1.3.4. L’expérience de l’espace politique de la ville ... 68

Chapitre 2 – L’espace politique des villes. Entre gouvernance ordinaire, localisme institutionnel et interrogation démocratique .... 71

2.1. La gouvernance ordinaire, une mise en cohérence du gouvernement de la ville ... 73

2.1.1. Les registres de sens de la gouvernance et leurs implications analytiques ... 74

2.1.2. La gouvernance ordinaire comme processus d’innovation des modes de gouvernement ... 82

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2.1.3. L’ordinaire de la gouvernance ou l’action publique urbaine au travail ... 85 2.1.4. L’inaboutissement structurel de la gouvernance ordinaire89 2.2. Le localisme institutionnel, des jeux d’échelles

incontournables ... 94 2.2.1. Les localismes comme formes sociales spontanées et la globalisation... 96 2.2.2. Un localisme institutionnel ... 101 2.2.3. Le localisme institutionnel, un imbroglio d’opportunités et de contraintes ... 108 2.3. L’interrogation démocratique, un rappel de l’égalité dans une société divisée ... 112 2.4. Proposition de modélisation analytique de l’espace politique des villes 119

Chapitre 3 – De la résonance des cas au raisonnement comparatif123 3.1. La recherche sociologique, un va-et-vient entre empirie, analyse et écriture... 124

3.1.1. Le raisonnement sociologique : un processus subjectif, un produit objectivé ... 124 3.1.2. Des monographies aux cas. Introduire le raisonnement126 3.1.3. Du particulier et du général. Attribuer des faits et du

sens 129

3.1.4. La pensée par cas et le roman. Rendre intelligible des modes d’existence ... 133 3.1.5. La comparaison, processus ou finalité ? ... 136 3.2. Les cas. Quelles différences ? Quelles similitudes ? ... 139

3.2.1. La diversification maximale, un principe au cœur d’une logique de recherche inductive ... 140 3.2.2. Repérer les traits de similitude entre les cas, circonscrire la portée de la recherche ... 151 3.2.3. Jouer avec les différences et les similitudes, un travail en boucle 158

PARTIE II–TROIS ORIENTATIONS DESPACE POLITIQUE DE LA VILLE ... 161 Chapitre 4 – Isaura et l’opacification ... 167 4.1. Isaura, ancien bastion industriel... 167 4.2. Comment s’est monté le projet « Ville durable – Isaura 2009 » ? Continuités et discontinuités du projet. ... 168

4.2.1. Elaborer le programme fédéral Politique des grandes villes 2009. Traduire le référentiel de la ville durable et susciter des visions de l’action urbaine ... 168 4.2.2. Monter le projet. Recourir au travail de l’expert et, au final, mobiliser les partenaires ... 171 4.2.3. Remplir le dossier. La tâche de la coordination locale et les allers-retours rapides avec le fédéral ... 173 4.2.4. Finaliser la convention. Le pragmatisme de

l’administration fédérale et l’éviction de l’Échevin libéral ... 177 4.2.5. Evaluer la programmation 2005-2007. Critiquer la coordination locale et donner des pistes d’innovation urbaine... 178

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4.3. Les catégories de transcodage des « Directives générales du Programme Politique des grandes villes – Année 2009 » ... 181

4.3.1. L’expert – Traduire des référentiels globaux ... 181 4.3.2. Le Bourgmestre – Garder le monopole des dépenses communales ... 183 4.3.3. La coordination locale – Rentrer dans les temps un dossier de financement ... 186 4.3.4. Administration PGV – Assurer l’effectivité et la visibilité des dépenses ... 189 4.4. Combinaisons et confrontations des catégories de

transcodage – Du projet urbain n au retour au projet n -1, production systémique de l’opacité ... 192

4.4.1. De la combinaison des catégories de transcodage à la formation de logiques d’action communes ... 193 4.4.2. Logiques d’action effectives versus principes d’action encouragés ... 200 4.4.3. La mise hors-jeu de l’expert et de l’Échevin... 203 4.4.4. La clandestinité comme mode de gouvernement,

l’opacité comme principe du localisme – Le cas des bastions socialistes 206

4.5. Entre politiques urbaines innovantes et reproduction de l’ordre local, l’opacification de l’espace politique de la ville... 211

4.5.1. Digression sur l’opacité et la théorie du complot ... 211 4.5.2. L’opacité et les fonctions du secret... 215 4.5.3. Le travail des politiques urbaines et l’espace politique de la ville sous l’angle de l’opacification ... 220 Chapitre 5 – Foedora et la modernisation ... 229 5.1. Foedora, une commune en quête d’identité ... 229 5.2. Comment sortir du projet Urban2 de Foedora et en

pérenniser les acquis ? ... 230 5.2.1. Le montage d’un projet urbain, une ascension politique230 5.2.2. L’architecture complexe du projet Urban2 de Foedora231 5.2.3. L’enjeu du partenariat et la valorisation de métiers de coordination ... 232 5.2.4. Le maillage des projets de l’axe 3 ... 234 5.2.5. L’irrésolution politique et le départ des agents de

développement et de coordination... 238 5.3. Les catégories de transcodage du projet Urban2 ... 240 5.3.1. La nouvelle équipe maïorale – Le tremplin politique et la réforme locale ... 240 5.3.2. Les professionnels de la gestion urbaine – La

mobilisation et les désillusions ... 244 5.3.3. Les habitants – Les frustrations et le maintien de l’espoir248 5.3.4. Les institutions et associations locales – Entre

opportunité sociale et organisationnelle... 252 5.4. Urban2 comme clé d’opportunité méthodologique... 255

5.4.1. De la combinaison de catégories de transcodage à la formation de logiques d’action communes ... 256

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5.4.2. De l’innovation par les instruments à l’empilage de dispositifs 261

5.4.3. De la mobilisation à l’exigence d’exemplarité... 262 5.4.4. La modernisation par le localisme – De l’utopie à

l’idéologie 265

5.5. L’horizon normatif des politiques urbaines et la modernisation de l’espace politique de la ville ... 268

5.5.1. Digression sur la modernisation et le malaise du

sociologue dans la cité ... 269 5.5.2. La modernisation et les fonctions de la rationalité

organisatrice ... 272 5.5.3. Le travail des politiques urbaines et l’espace politique de la ville sous l’angle de la modernisation... 278 Chapitre 6 – Léandra et la personnalisation ... 283 6.1. Léandra, la petite ville marquée par le périurbain et l’attrait de la campagne ... 283 6.2. De l’Opération de développement rural au Programme

communal de développement rural de Léandra ... 284 6.2.1. Encourager le développement rural et la participation – Un décret wallon du début des années 1990 ... 285 6.2.2. Entamer une Opération de développement rural ... 288 6.2.3. Le rôle du dispositif des Quartiers dans la mise en œuvre de la participation... 291 6.2.4. Les réunions thématiques – Un brainstorming avec les

« acteurs-clés » ... 293 6.2.5. Les réunions de quartier – La portion congrue dévolue au PCDR 297

6.3. Un différentiel de mobilisation autour du PCDR ... 300 6.3.1. Les nouveaux services communaux – Susciter

l’élaboration de projets ... 300 6.3.2. Le Bourgmestre – Choisir ensemble des projets

finançables 302

6.3.3. Les habitants – Résoudre prioritairement la gestion du quotidien 307

6.3.4. Les représentants de quartier – Préciser les attentes des habitants, traduire celles du politique ... 309 6.3.5. Les conseillers communaux – Parler en politicien ou se taire ? 312

6.4. Le PCDR comme observatoire de l’espace politique de Léandra – L’encouragement à la participation et la production de leaders locaux... 316

6.4.1. De la combinaison de catégories de transcodage à la formation de logiques d’action communes ... 317 6.4.2. De l’ambiguïté de la définition des quartiers à

l’imbrication des registres politiques ... 327 6.4.3. Des paradoxes de la responsabilisation à une

pragmatique du pouvoir ... 333

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6.4.4. Réinventer une communauté locale ou démocratiser l’espace politique ? – La personnalisation comme principe du localisme 336

6.5. Instrumentation de l’action locale par les politiques urbaines et personnalisation de l’espace politique de la ville ... 340

6.5.1. Digression sur la participation et les mots de la démocratie 340

6.5.2. La personnalisation et les fonctions de la « participation institutionnalisée » ... 345 6.5.3. Le travail des politiques urbaines et l’espace politique de la ville sous l’angle de la personnalisation ... 351 CONCLUSIONS ... 359 1. Retour sur la logique de recherche ... 361 2. La démocratie et les villes – Entre simplicité et intelligibilité de l’action publique ... 369 BIBLIOGRAPHIE... 383 TABLE DES ABRÉVIATIONS ... 409

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