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Td corrigé 2265U04 ? Langage Java - Examen corrige pdf

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Texte intégral

(1)

2265U13 – Marchés des progiciels

M. Xavier DARAS

http://m2.perso.cegetel.net.perso.cegetel.net xavier@daras.eu

2006-10-05

Objectifs du cours

 Parfaire la compréhension des techniques informatiques et celles associées à Internet

 Formaliser les différents champs applicatifs associés aux nouvelles technologies

 Analyser les effets induits dans le fonctionnement de l’entreprise : déstructuration (Intranet), ouverture vers de nouveaux marchés (e-économie)

 Apprendre décrypter le « mode d’emploi » des nouvelles technologies

Ce qui n’est pas dans les objectifs : mise en œuvre des techniques de l’informatique ou d’Internet, cours sur les langages informatiques, ni sur les bases de données ou sur l’utilisation basique d’Internet

En d’autres termes, les objectifs sont :

 D’apporter le « bagage technologique »…

Le cours 2006/2007

Modification par rapport à l’année dernière :

Suppressions / modifications sur de nombreux chapitres comme les techniques documentaires Ajout de techniques et applications nouvelles : voix sur IP, la convergence numérique, des nouveautés réglementaires, techniques RSS

Pédagogiques : plus précis sur les unités techniques et économiques, plus d’exemples factuels Vos qualités, vos atouts

A priori : curieux, critique…

Sûrement ambitieux

Esprit de synthèse, sans oublier la forme

Un brin d’audace associé à beaucoup d’imagination Votre chance :

Les nouvelles technologies ne demandent pas (ou peu) de connaissance sur le passé En pratique

Contrôle des connaissances : 7/20 : examen à la fin des cours

6/20 : présence/participation active (individuelle)

Ex : avis ou commentaire ou question suite à la lecture de documents avant le cours 7/20 : recherche / exposé

Exposés/travaux M2

 Les fils RSS techniques et usages

 Que pensez-vous de http://www.netvibes.com

 Techniques de micro-paiements en usage hors de France

(2)

 Techniques permettant une approche « multicanal » au service de la relation client

 Progiciels : vers la facturation sous forme de services ? comparaison des nouvelles formes de facturation des progiciels

 Internet a-t-il une mémoire ?

 L’autodistribution pour un musicien

 Mesures comparatives entre log et marqueurs

 Le web sémantique : théorie et mise en œuvre

 Le poids des associations d’utilisateurs de progiciels

 Les certificats : aspects pratiques et financiers

1. Progiciels, l’offre

Logique de marché, structure de l’offre, cycle de vie

Logiciel : le « sur mesure » Définition de logiciel

Terme générique pour « programme informatique ». En anglais : « software » Rq : il est un nom très générique, mais aussi très imprécis.

Cf : http://www.tv5.org

 logiciel (nom masculin)

(informatique) Ensemble des programmes, procédés et règles, et éventuellement de la documentation, relatifs au fonctionnement d’un ensemble de traitement de données.

(Anglais : software).

 génie logiciel : ensemble des activités de conception et de mise en œuvre des produits et des procédures tendant à rationaliser la production du logiciel et son suivi (Anglais : software engineering).

 (multimédia) Logiciel de navigation : application Internet permettant de consulter à partir de son micro-ordinateur les application…

Progiciel : le « prêt à porter » Définition de progiciel

Ensemble cohérent et indépendant constitué de programmes (logiciels) associés à une documentation et à des services.

Un progiciel est conçu pour développer des traitements informatiques standards.

Sa diffusion revêt un caractère commercial. Son usage doit être autonome.

En anglais : « software package ».

Rq : c’est un produit informatique fait pour être vendu ensuite sur le marché.

Cf : http://www.tv5.org

 Progiciel (nom masculin)

[informatique] Ensemble complet et documenté de programmes conçu pour être fourni à plusieurs utilisateurs, en vue d’une même application ou d’une même fonction.

(3)

(Anglais : package) Exemples :

 Word, Excel…

 Sage (comptabilité)

 Abel (gestion de l’infrastructure)

 Paragon (planification de tournées de transport)

Précisons et Comparons

Logiciel Progiciel

Usage interne d’entreprise Diffusion commerciale Logique de solution spécifique pour un

besoin particulier

Logique de diffusion et d’économie d’échelle

 C’est une solution « sur mesure »  C’est une solution « prêt à porter » Bundle

Progiciel ou CD-ROM diffusé comme un accompagnement gratuit d’un matériel.

Exemple : Des CD-ROM avec un micro-ordinateur.

En pratique, le client n’achète pas le progiciel.

Progiciel : l’offre et ses acteurs Marché

Origine du marché : l’unbundling

1969 : naissance du marché des progiciels

Suite à une décision du gouvernement américain en 1969, IBM est contraint de séparer la facturation du matériel et du logiciel.

« IBM’s decision to stop bundling its software with its hardware turned out to be the catalyst that really launched the commercial software industry and made proprietary control of source code start making sense to the corporate computing world. In 1969, says Mort Bernstein, as the Department of Justice began to prepare its epochal antitrust suit against IBM, IBM decided to engage in some proactive defensive manoeuvers. By unbundling IBM’s software offerings, and charging for them separately, IBM hoped to avoid the accusation that it was unfairly leveraging its monopoly control of the market for mainframes »

Source: http://www.salon.com/tech/fsp/2000/06/22/chapter_2_part_two/index2.html Deux logiques de business :

Logique services : logiciel => obligation de moyens

Rq : le prestataire doit tout mettre en œuvre pour réussir à satisfaire les conditions posées dans le cahier de charge.

Logique produits : progiciel => obligation de résultats Rq : le prestataire doit assurer le résultat cherché.

Description d’un progiciel

(4)

Nom commercial Matériel

Fonction Système d’exploitation

Concepteur Documentation

Editeur Langue(e) d’utilisation

Distributeur Langages et techniques de développement

Prix de cession Des dates importantes : de la création, de la dernière version…

Prix du contrat de suivi (maintenances) Références Rq :

Tout progiciel a un nom commercial et remplit une ou plusieurs fonctions.

Il y a toujours 3 métiers :

 Concepteur : celui qui le programme

 Editeur : celui sous le nom duquel le produit se vend

 Distributeur : celui qui distribue le produit Prix de cession & prix de vente

Une vente implique un transfert de propriété. Or, la cession vers le client se fait sous forme des licences.

Prix du contrat de maintenance

Une fois que le produit est fait, il nécessite une maintenance pendant certain temps (ex : sa durée de vie).

Références : càd les clients déjà adoptés le produit.

Exemple (source : cxp.fr)

 Nom du progiciel : SILOG NEGOCE

 Fonction : Gestion commerciale pour négoce et ensembliers, multi-dépôt, multidevise et multi-tarif

 Concepteur(s) : SILOG (FR)

 Première installation : 09 1984

 Dernière version : 05 1998 (N°6.03)

 Plates-formes : NETWARE – OS 2 ARP – WINDOWS NT SERVER – WINDOWS NT WS – WINDOWS 2000 – WINDOS 96/98

 Système client:

 …

Le CA 1999 des leaders du marché des progiciels en France

Microsoft 533 M€

SAP 203 M€

Oracle 305 M€

SOPRA 292 M€

Computer Associates 110 M€

Sage 78 M€

Classement des offres

 horizontale :

o gestion industrielle

 GPAO, Outils de suivi de production

 Gestion de la qualité : Acquisition de données, Supervision

 Gestion de parc, Maintenance

(5)

o gestion commerciale

 SAV, centre d’appel, Marketing, action commerciale

 Gestion commerciale, gestion des achats

 Gestion de stock, logistique o gestion comptable et financière

 comptabilité, gestion des immobilisations

 consolidation, gestion des filiales, contrôle de gestion, états financiers et fiscaux

 gestion des effets, remise, rapprochement, analyse et prévision financières

 dettes, emprunts, créances, Trésorerie, salle de marché

 Bourse, titres, portefeuille, Communication banque/clients o ressources humaines – projets

 Paie, Paie et gestion de personnel

 Gestion des ressources humaines, gestion de ?

 Suivi d’affaire

 verticale : par secteur d’activité (santé, agriculture, banque, …)

 techniques informatiques Par matériel

Par système d’exploitation

Les applications « phases » actuellement Internet et surtout les intranets

ERP (Entreprise Resource Planning) ou progiciel intégré SCM (

CRM ASP

ERP : Entreprise Resource Planning (en français : Progiciel de Gestion Intégrée, PGI) Ensemble homogène de programmes pour la gestion informatisée de différentes fonctions de l’entreprise :

 Gestion des ressources humaines,

 Comptabilité,

 Finance,

 Gestion commerciale,

 Achats…

Source : http://www.thelexic.com

SAP détiendrait 37% du marché français des PGI en 2003

(source : http://solutions.journaldunet.com/dossiers/chiffres/erp.shtml)

Oracle, premier revendeur de solutions CRM en Europe de l'Ouest pendant l'année 2005

Tous les chiffres du marché des progiciels : ERP, CRM, Supply Chain... 27/09/2006 DECISIONNEL

Top 4 des éditeurs de solutions de CRM en 2005 dans l'Europe de l'Ouest (en millions d'euros)

Acteur CA 2005

(6)

Oracle 514

SAP 424

SAS Institute 260

Business Objects 110

Source : Pierre Audoin Consultants, septembre 2006

Le marché des solutions décisionnelles dans le monde (en millions de dollars)

Acteur CA 2003 CA 2004 CA 2005

Business Objects 649,9 712,6 795,3

SAS Institute 473,4 514,5 582,4

Cognos 415,5 511,5 567,2

Microsoft 125,0 281,4 353,1

Hyperion Solutions 262,8 258,6 287,1

Oracle 195,2 214,0 247,7

MicroStrategy 142,2 185,0 212,3

SAP AG 123,9 152,2 181,8

SPSS 140,9 158,5 176,2

Information Builders 112,0 140,0 170,0

IBM 163,4 131,2 139,1

Actuate 88,6 88,6 89,9

Hummingbird 38,2 41,4 42,9

Visual Numerics 36,8 37,4 38,7

Fujitsu 31,2 36,5 38,1

Lawson Software 31,0 31,0 35,0

CA 27,4 29,0 29,3

Arcplan 20,0 22,0 23,7

QlikTech 7,2 12,9 22,1

ProClarity 13,0 17,7 21,5

Teradata 16,3 18,4 20,6

Autres 1 444,0 1 548,7 1 660,8

Total 4 557,9 5 143,2 5 734,8

Source : IDC, juillet 2006

GESTION DE LA RELATION CLIENT

Les éditeurs de progiciels CRM en Europe au cours de l'année 2005 (en millions de dollars)

Acteur CA 2004 PdM 2004 CA 2005 PdM 2005 Evolution

SAP 553,9 31,4% 628,5 32,4% +13,5%

Siebel 290,6 16,5% 312,1 16,1% +7,4%

Oracle 140,3 7,9% 121,6 6,3% -13,3%

SAS Institute 55,9 3,2% 72,2 3,7% +29,2%

Amdocs 61,2 3,5% 65,0 3,4% +6,1%

Autres 664,8 38,0% 738,3 38,0% +11,1%

Total 1 766,7 100,0% 1 937,7 100,0% +9,7%

Source Gartner

Top 10 des acteurs du marché du CRM en Allemagne (en millions d'euros)

Position Acteur CA 2005

1 SAP 230

2 IBM 153

3 T-Systems 87

4 Siebel (Oracle) 59

5 SAS Institute 57

6 Accenture 54

7 SBS 47

8 Softlab 38

(7)

9 NCR / Teradata 33

10 CSC 31

Source : Pierre Audoin Consultants, mai 2006

Les éditeurs de progiciels CRM dans le monde en 2005 (en millions de dollars)

Acteur CA 2005 PdM 2005 CA 2004 PdM 2004 Evolution

SAP 1 474,7 25,9% 1 232,8 24,6% +19,6%

Siebel 966,1 17,0% 908,3 18,1% +6,4%

Oracle 367,5 6,4% 416,2 8,3% -11,7%

Salesforce.com 280,7 4,9% 158,0 3,2% +77,7%

Amdocs 276,4 4,9% 225,9 4,5% +22,3%

Autres 2 332,6 40,9% 2 071,7 41,3% +12,6%

Total 5 698,0 100,0% 5 012,8 100,0% +13,7%

Source Gartner

Evolution du marché des solutions de gestion du cycle de vie produit (PLM) dans le monde sur la période 2004-2006

(en milliards de dollars)

CA 2004 CA 2005 CA 2006

9,2 10,4 12,0

Source : Daratech, mars 2006

Le marché des applications OLAP dans le monde (en milliards de dollars)

Année Chiffre d'affaires

2005 4,9

2004 4,3

2003 3,7

2002 3,5

2001 3,3

2000 3,0

1999 2,5

1998 2,0

1997 1,4

1996 1,0

Top 10 des éditeurs d'applications OLAP dans le monde

Editeur PdM 2005 PdM 2004 PdM 2003 PdM 2002 PdM 2001

Microsoft 28,0% 27,4% 26,1% 24,4% 21,1%

Hyperion 19,3% 20,7% 21,9% 23,3% 24%

Cognos 14,0% 14,1% 14,2% 14,7% 13,7%

Business Objects 7,4% 7,2% 7,7% 7,4% 7,6%

Micro Strategy 7,3% 7,1% 6,2% 5,4% 6,8%

SAP 5,9% 6,0% 5,8% 5,2% 5,4%

Cartesis 3,8% 3,0% 3,1% 2,6% 2,4%

Systems Union 3,4% 3,0% 3,0% 2,1% 2,1%

Oracle 3,4% 3,7% 4,0% 4,7% 7,0%

Applix 3,2% 3,1% 3,0% 2,6% 2,5%

Source Optima Publishing

MARCHE DES ERP (PGI)

2,5

milliards de dollars

Soit le chiffre d'affaires généré par les ventes de licences en logiciels décisionnels dans le monde en 2005. En 2009, ce chiffre devrait atteindre 3 milliards de dollars (Source Gartner)

Prévision de croissance annuelle concernant les ventes de licences en logiciels décisionnels sur la période 2004-2009

Région Croissance prévisionnelle 2004-2009 Amérique du Nord, Europe de l'Ouest et

Japon 6,4% - 6,9%

(8)

Amérique latine et Asie / Pacifique 11,3% - 13,6%

Monde 7,3%

Source : Gartner, février 2006

Les éditeurs d'ERP en France

Editeur Part de marché en 2005

SAP 43%

Oracle 22%

Sage/Adonix 5%

Intentia Consulting 5%

SSA 3%

Cegid 3%

Générix 2%

Microsoft Dynamics 2%

Autres 15%

Les acteurs de la TMA en France autour des ERP

Acteur Part de marché en 2005

Unilog 16%

Cap Gemini 14%

Sopra Group 12%

Atos Origin 10%

Accenture 7%

Autres 41%

La croissance du marché des ERP par activité

Activité Croissance 2004-2005

Conseil / Intégration +6,5%

TMA / Infogérance +13,7%

Licences et maintenance +8,6%

Total +8 à 9%

Source PAC

Cycle de vie d’un progiciel (pour l’éditeur)

Rq : le CA est en provenance d’une part du prix de cession et d’autre part du contrat de maintenance.

Il y a en général 3 types de coûts :

 Développement informatique

Càd la conception, le développement, la mise à jour et les nouvelles versions

 Marketing

 Vente / distribution

Quel que soit la forme de distribution (directe ou indirecte), il y a des forces de vente.

En conclusion :

 pas de règles absolues

 cycle de vie long

 investissement risqué

Rq : l’arrêt du projet en phase de développement implique la perte totale car les dépenses sont maximales et que rien n’est vendable en tant que produit.

 retour d’investissement en fin de cycle Rq : le coût de reproduction est zéro.

CA

Charges

Dvlpt informatique Marketing

Vente distributeur

Année

(9)

 une logique de revenus rémanents avec le suivi

Formes de facturation des progiciels Les formes de facturation

Enquête : « Licences logicielles : sortez vos calculettes ! »

Source : http://solutions.journaldunet.com/dossiers/licences/sommaire.shtml

 Licence

Pour une longue durée.

Liée à une entreprise et un ordinateur (rarement à un nombre d’utilisateurs)

Le contrat de maintenance est associé pour une durée annuelle renouvelable (souvent un % de l’assiette).

Rq : il est très important de préciser l’assiette de calcul.

 Nombre maximal d’utilisateurs concurrents

Fonction du nombre maximal d’utilisateurs accédant au progiciel à un moment donné

 Unité de puissance

Fonction de la puissance de l’ordinateur sur lequel il est installé.

Ex : calcul en multipliant le nombre de processeurs par leur puissance en mégahertz, puis par un facteur lié au type de processeur.

Par exemple, pour les plates-formes Intel, 1,5 pour les plates-formes RISC, 24 pour les grands systèmes.

Le nombre obtenu sert de base pour calculer le tarif final, qui s’obtient en multipliant les unités de puissance par un facteur dépendant de la durée de la licence et du progiciel acheté.

 Nombre d’utilisateurs nommées

Le nombre d’unités de puissance est divisé par un nombre (30 pour Oracle), ratio calculé pour obtenir le nombre d’utilisateurs nommés « minimal ».

Le chiffre obtenu est ensuite multiplié par un prix unitaire par utilisateur pour une licence.

Ce nombre « minimal » donne donc un tarif plancher directement lié au nombre d’unités de puissance.

Le coût est d’autant plus réduit que le nombre d’utilisateurs nommés est faible (peu d’utilisateurs et bonne puissance processeur)

 Progiciels hébergés (ASP)

Location mensuelle, fonction du nombre d’utilisateurs et des ressources utilisées.

Il comprend l’assistance et la maintenance.

Rq : l’association ou le club des utilisateurs Ex : http://www.aufo.asso.fr/

Par le JDNet Solutions (Benchmark Group)

URL : http://solutions.journaldunet.com/0111/011127_tabloibm.shtml Liens :

« JDN Journal »

(10)

Modèle économique de la facture de maintenance : 17% sur le prix de cession Salesforce : http://www.salesforce.com/fr

Cegid : http://www.cegid.com/societe_investisseur_communiques-presse-fiche.asp?id=2767 Cf. « DB2 »

Les tendances fortes : la complexité

 Facturation à l’usage : à l’utilisateur nommé et à l’unité de puissance

 Le calcul à l’utilisateur nommé (avec des variations par classe d’utilisateurs, par modules…)

 Le calcul par l’unité de puissance (avec des ressources « processeur » difficiles à associer à un progiciel ??

Exemple : les licences multiples de Microsoft

Cf. « MYO, la simplification des licences PME selon Microsoft » Source : http://www.01net.com/rdn?oid=194377&thm=UNDEFINED

Microsoft propose aux PME/PMI des contrats triannuels, payés annuellement.

Pour au minimum de cinq PC et au maximum de 500 postes de travail

 regroupement de tous les contrats de licences en un seul, révisable et payable à échéance annuelle

 une assistance technique incluse, en fonction du niveau de contrat conclu

 toujours la dernière version disponible du produit :

 système d’exploitation (Windows XP)

 outils bureautiques (Office XP, Viso, Project, etc.)

 logiciels serveurs (Windows 2000 Server, Exchange Server, etc.) Au terme de trois ans, les PME gardes ses dernières versions des logiciels.

En pratique, les contrats évoluent vers des modalités de facturation propres aux services tout en gardant la qualification de produit.

ASP : Application Service Provider (ou Fournisseur de Services Applicatifs) non traité

 un ASP est une SSII qui administre les applications, les matériels et les services informatiques depuis un centre d’hébergement et délivre des progiciels sous forme de services en ligne à des usagers distants au moyen du réseau Internet (ou d’un réseau Intranet).

Ne pas confondre avec : ASP (Active Server Pages) http://www.metanext.com/vision/vision_concept.html l’ASP :

o propose une solution à un besoin fonctionnel clairement identifié o assure l’évolution technologique et fonctionnelle dans le temps o fournit le SAV nécessaire au client

L’émergence de ce concept est liées à 2 facteurs prépondérants :

(11)

o l’adoption du standard Internet et

o la mutation des applications de gestion d’E pour ê accessible via un navigateur internet

Les principaux progiciels diffusé par les ASP

o les Progiciels de Gestion Intégrés Etendus (ou ERP, Extended Enterprise Resource Planning)

o Les Progiciels de Gestion de la Relation Client (ou CRM, e-Commercing, …) o …

o

Exemples ASP

Ex : « Gestion de la relation client en ligne » (www.salesforce.com) ASP ou FAH : pour les prestataire

 Les prestataires ASP : SSII, Telco, hébergeurs :

o Pas de coûts de distribution (au sens supports physiques) o Pas de hot line technique, cohérence de la base installée o Pas de versions différentes à gérer

 Pas de copie illicite ou de Piratage Les utilisateur ne télécharge pas…

 Mises à jour instantanées et collectives

 Un revenu récurrent : l’abonnement des utilisateurs ASP : le point de vue de l’entreprise

 pas d’investissement initial (ordinateur, progiciels,…)

 une mise en œuvre légère

 pas de maintenance

 pas de gestion informatique

 une facturation « en fonction de l’usage » un choix de progiciels et services étendus installation rapide et facile : Internet le progiciel est prêt à l’utilisation Des inconvénients :

 la cohérence avec les autres éléments du système d’information

 la pérennité du prestataire est difficile à apprécier

Une disponibilité des progiciels 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7

L’entreprise peut se concentrer sur son métier, la solution ASP permet de :

 contrôler, prévoir et baisser ses dépenses informatiques

 bénéficier d’une grande réactivité

Acteurs et marché de l’ERP

Progiciels comptables et normes IAS

« Premiers progiciels conformes aux normes comptables IAS-IFRS », Xavier Biseul

(12)

Les progiciels de développement de sites WEB

Le logiciel libre

Un constat : de grandes entreprises basculent sous des environnements Linux…

Cf. « Linux, l’électron libre qui inquiète Microsoft » (Le Monde.fr)

« libre » ne veut pas dire « gratuit »

Attention à la confusion de traduction : « free » = libre et gratuit

« modifiable » peut être considéré comme « améliorable ».

Points positifs

Pas de coût de licence, mais…

Un contrat avec un prestataire qui passe de la notion de produit à celle de service logiciel.

 un ensemble de services

fourniture de CD d’installation (la documentation techniques sur papier des applications et de l’OS), et support technique (hotline téléphonique ou Internet)

 une tarification par serveur Quelques caractéristiques :

 la flexibilité

 la fiabilité des solutions logicielles libres

une forte adhésion des développeurs pour « le libre »

 killer application : les serveurs web Apache et MySQL (systèmes de gestion des bases de données, source libre): coût annuel de l’ordre de 50% environ par rapport à des solutions équivalentes de types propriétaire

Des inconvénients

 Les progiciels de gestion (ERP, CRM, etc.) ou encore de bureautique (Microsoft Office) sont très limités

 Des frais de maintenance

 Attachement fort avec le prestataire : beaucoup de développements spécifiques libres Rq : une espèce de dépendance par rapport au prestataire, même plus fort que les progiciels.

 La programmation dans les environnements libres requiert des compétences pointues.

Cf. « Pourquoi Auchan migre ses serveurs d’infrastructure vers une architecture 100% Open Source »

…appliquer une technologie Open Source afin de ne pas se retrouver dépendant d’un modèle de licence propriétaire…

…la difficulté majeure a été de convaincre la direction qu’un produit qui ne coute rien en licence pouvait avoir les mêmes fonctions qu’un solution propriétaire…

Réflexion :

Que sont les raisons pour lesquelles les logiciels libres ne s’imposent pas rapidement de nos jours aux logiciels propriétaires ?

Le cas red hat : Red hat

(13)

L’intégrateur de progiciel

Sté qui assure tout ou partie des tâches suivantes :

 l’étude et la mise en place des principes d’organisation Rq : un métier de forte valeur ajoutée.

 le paramétrage

 les interfaces

Rq : plusieurs fonctions intégrées

 la mise en place technique

Rq : l’entreprise ne voit qu’un seule tête de l’intégrateur le long du processus.

2. Progiciels, la demande

Méthode d’informatisation et de choix, formes de facturation, contrat et enjeux par rapport une solution « logiciel spécifique »

Méthode d’informatisation traditionnelle Méthode traditionnelle

Source : norme AFNOR NF X 50-151

 Cahier des charges

Document par lequel le demandeur exprime son besoin en terme de fonctions, de services et de contraintes.

 Analyse fonctionnelle

C’est une démarche qui consiste à rechercher, ordonner, caractériser, hiérarchiser et / ou valoriser les fonctions du produit attendu par l’utilisateur.

L’analyse fonctionnelle laisse ouvert le choix des solutions.

L’analyse fonctionnelle ne limite par les recherches aux seules solutions existantes.

Cette étape organise les échanges entre acteurs d’un projet.

 Analyse organique

Elle détermine l’architecture logicielle, le détail des tâches, la description des données, les interfaces.

 Programmation, documentation

 Tests

 Formation et mise en place

 Maintenance d’innovation, curative et de suivi technologique Liens :

Annuaire des logiciels pros

http://solutionsebusiness.journaldunet.com/

Cartographie des progiciels: marché, chiffres et acteurs en 2006

http://www.zdnet.fr/entreprise/gestion-finances/progiciel/0,50007180,39363544,00.htm?

xtor=EPR-108

2006-10-13

Méthode d’informatisation par les progiciels Etape 1 : Etude préalable du besoin

Un document de consensus

(14)

Définition de consensus :

Acceptation générale signifiant l’absence d’opposition ferme d’une partie importante des intéressés à l’encontre de l’essentiel du sujet.

Méthode de parapluie :

 Prendre l’initiative d’un réunion en faisant venir tous les intervenants concernés (direction financière, direction comptable, contrôle de gestion, direction du système informatique)

 Demander sur les attentes de toutes ces parties (juste une présentation des points de vue de chaque partie et non un compromis)

 Etablir un compte-rendu et envoyer à toutes les parties pour se faire protéger des inattendus ultérieurs

Etape 2 : Observation du marché

Recensement large, recueil d’information UNE LOGIQUE D’OUVERTURE Rq : un recensement total sans tenir en compte l’étape 1

Exemples de site Internet : CXP

Etape 3 : Formalisation du besoin par rapport à l’offre

L’entreprise découvre de nouvelles fonctionnalités (non exprimées dans l’étape 1), des contraintes…

Rq : la question est de se demander si toutes les fonctionnalités sont utiles pour l’entreprise.

Etape 4 : Présélection de quelques progiciels Une logique d’élimination sur critères

Rq : dans cette étape, on sélectionne en tenant en compte des exigences de tous les parties prenantes.

Si on se trouve dans la situation où toutes les possibilités sont exclues, on peut abandonner le choix d’un progiciel et préconiser le choix d’un logiciel « sur mesure ».

Etape 5 : La sélection

Le choix du « meilleur » produit par rapport aux besoins de l’entreprise.

Rq : le meilleure progiciel du monde n’est pas forcément aussi bon pour toute entreprise.

Etape 6 : Acquisition, mise place

Une affaire d’organisation qui soit souvent « se plier » au produit

Rq : comme il s’agit d’un progiciel qui a un certain degré de rigidité, l’entreprise pourrait être amené à se plier pour adapter le produit.

Les progiciels horizontaux :

Ils sont valables pour tous les secteurs. (la fonction comptable, gestion des fiches de paie).

(15)

Les offres verticales sont des progiciels spécifiques pour chaque secteur.

Les progiciels techniques : tous les utilitaires et les bases de données. Tous ce qui sont fait pour les informaticiens à développer les logiciels.

Sites des catalogues :

 « softscout »

 Business ?

Budget logiciel / progiciel

Comparaison de la structure de la dépense

Rq : « logiciel » : il y a tjs un temps très important dans le développement. Le temps d’attente et de réalisation est très important.

Le coût de maintenance augmente avec le temps parce que l’environnement et la technique évoluent.

« progiciel » : les coûts initiaux sont les coûts liés aux choix du progiciel et la cession de licence. Il est moins cher et lié souvent à la formation d’utilisation (ex : la complexité de paramétrage du progiciel) et à la mise en service.

Comparaison

Logiciel Progiciel

Cahier des charges 10 Choix du progiciel 5

Conception détaillée et analyse 35 Cession 20

Développement 40

Formation 5 Formation 10

Mise en œuvre 10 Mise en œuvre 10

Total 100 Total 45

Maintenance cumulée sur 5 ans 100 Maintenance cumulée sur 5 ans 27

Rq : le prix de maintenance est lié au prix de cession. Ici, on prend environ 11% du prix de cession comme le coût de maintenance annuel.

Deux types de contrat

Contrat de Logiciel Contrat de Progiciel Le client rédige le Cahier

des charges

Le fournisseur propose les spécifications du progiciel

acquisition maintenance

Logiciel Progiciel

Prix

année

Prix

année

(16)

Rq : le cahier de charges est très important pour le client d’autant plus que la facture est basée sur le cahier de charges. Chaque fois qu’un cahier de charge est changé, il peut être considéré comme une perte du client vis-à-vis de l’éditeur.

Rq : en cas du logiciel,

Le contrat de progiciel : responsabilités et obligations de parties

 Le fournisseur n’assume aucune obligation de moyens

 Le fournisseur ne peut être tenu comme responsable de l’usage

 Les engagements du fournisseur se limitent à celles spécifiées dans le contrat Il dit que :

 « il appartient au client de s’assurer que le progiciel convient bien à ses besoins »

 « il doit disposer du personnel qualifié… »

 Il s’engage à mettre le personnel et les moyens matériels… »

 « il désigne la personne… » Durée et réalisation du contrat

 Durée (de 1 jour à indéterminée)

 Le scénario en cas d’arrêt de la part de chacun des contractants

Rq : un bon contrat est celui qui prévoit bien toutes les anomalies possibles dans la vie du contrat, notamment sa fin.

Services de mise en œuvre

 la formation : nature, lieu, nombre de personnes

Rq : « lieu » : en fonction des personnes à former, on doit décider de faire la formation chez le fournisseur ou chez les clients. il peut en déduire des coûts supplémentaires en cas de malentendu.

 l’assistance du fournisseur

Identification du progiciel

 définition d’une version et d’une sous-version

 obligation par le client d’utiliser « l’édition en cours »

Rq : c’est l’obligation pour les clients d’utiliser toujours la dernière version, ce qui permet à l’éditeur d’optimiser les coûts de maintenance.

Objet de la licence

 Licence non cessible

Rq : ce qui explique pourquoi il n’y a pas de progiciel d’occasion entre les entreprises utilisateurs.

 Notion d’exemplaire

Rq : toute grande entreprise exige un « backup » d’exemplaire sur des sites de recours pour le souci de la continuité d’activité en cas de sinistres.

Nature de la licence

 pour le seul usage du client

Rq : le client n’a pas droit de l’utiliser au profit des tiers.

 sur un ordinateur désigné

 l’usage de la documentation

(17)

Durée et résiliation de la licence

 En cas d’inexécution…du paiement des droits par exemple

 Notion de préavis Le suivi de progiciel

 nature

 prix (assiette du prix)

Rq : 12% du prix de cession. Un mauvais contrat est celui qui n’a pas précisé l’assiette du prix qui peut être le prix du catalogue ou le prix négocié.

Redevance

 mode de facturation et de paiement

 calendrier Aspects techniques

 mise en place et installation (par qui ?)

 le jeu d’essai

Rq : le but est de vérifier que le progiciel ou le logiciel fonctionne. Avant tout fonctionnement effectif, on doit effectuer des essais avec des données fictives qui peuvent viennent du coté du fournisseur et du coté du client.

Comme le fichier fictif offert par le fournisseur fonctionne forcément, la charge d’un vrai essai pèse sur le client.

Ex : la fonction de correction rétroactive.

 la définition de la réception « 30 jours pour spécifier les éventuelles anomalies »

 la « hot line »

Rq : il est très difficile de prévoir le temps de traitement en cas d’anomalie recueillie par la « hot line ».

Et enfin

 le mode de protection du progiciel

 la non sollicitation du personnel

Rq : le fournisseur peut solliciter un personnel du client pour sa compétence spécifique dans l’utilisation du progiciel. Cette clause interdit au fournisseur d’emboucher une personne venant de son client.

 les clauses de révision de prix

 le secret professionnel

La durée de vie des applications

Exemple de catalogues de progiciels, scout, the business software

Contrat de progiciel, exemple

(18)

Label sur les progiciels ? Définitions

Standard… du marché : windows, word, acrobat…

Norme… oficielle et depose (Afnor, ISO): jpeg, signature électronique…

Label… de qualité, logique marketing Les attentes du clients

 Garantie de qualité : erreurs, services associés…

 Pérennité assurée

 Qualité du produit comme du fournisseur

En d’autres termes : acheter en toute confiance…les yeux fermés Les attentes du fournisseur

 Un objectif commercial

 Une question d’image Les obstacles

 le coût du label

Rq : c’est l’éditeur de payer la labellisation et c’est aussi lui qui paie de ne pas l’avoir. Le fait de recourir à un cabinet neutre génère un coût colossale et aussi un risque d’avoir un avis négatif à la fin.

 une profession peu organisée

 une évolution technologique trop rapide

Rq : comme la labellisation est donnée de façon très précise à un produit donné (ex : tel éditeur, tel produit, tel version, etc.) et que l’évolution technologique est très rapide, il est difficile d’amortir tous ces coûts.

Ebauches de solutions

 Vérifier le dépôt de nom de marques

 Vérifier le dépôt chez un tiers

Ex : Agence pour la Protection des Programmes (APP) http://app.legalis.net/

 Dans le contrat prévoir la cessation d’activité du fournisseur

 Pourquoi pas le dépôt certifié et pérennisé ?

Qu’est-ce qu’un standard ? Standards et standards…

« standards propriétaires » versus les autres standards »

Un standard est un progiciel, un matériel ou des spécifications logicielles dont les caractéristiques techniques sont utilisées par un grand nombre d’utilisateurs ou d’industriels.

Son avantage : permettre l’interopérabilité

(19)

Standards « propriétaires ou de fait » : ils sont élaborés par une entreprise commerciale qui a

« de fait » réussi à imposer au marché les spécifications de son produit Ex : Winzip, PDF, Word (et .doc), Windows

Un standard non propriétaire a été élaboré et validé par un organisme indépendant des éditeurs ou constructeurs.

Ex d’organismes : l’Internet Engineering Task Force (IETF) et le World Wide Web Consortium (W3C)

Ex de standards: IP, XTML, XML, LDAP…

Contre-exemples : Java et Unix En conclusion :

 un standard n’est pas une norme

Rq : une norme est publié par un organisme de normalisation.

 un standard « propriétaire » est « payant »

 un standard « non propriétaire » est gratuit

 la notion de standard en informatique est avant tout pragmatique

Le piratage (non traité)

Qualités techniques d’un progiciel

 Portabilité sur :

o De nombreux matériels (CPU) du PC bas de gamme ou plus grands systèmes o De nombreux systèmes d’exploitation

 Sans « bogues »

=> de nombreuses références en sont un témoignage

 Associé à des standards techniques : o Comme garantie de pérennité

o Comme disposant de systèmes de fichiers « ouverts »

=> SGBD comme Oracle, MySQL, DB2 ou Acces Langage de programmation (Java) Associables à des EAI

 Compatibilité technique ascendante

 les nouvelles versions sont compatibles avec les précédentes

 Ouvert vers le monde Internet

=> interface Web, ASP

 Upgrade facile

Commentaire des textes :

« Facturation des progiciels »

Il y a un contre pouvoir qui se développe. Des clubs des utilisateurs s’organisent pour faire des pressions sur les fournisseurs.

Commentaire :

(20)

« CV anonyme : comment sera-t-il géré par les progiciels RH ? »

« Contrat de cession de progiciel »

Les points importants pendant la négociation avec le fournisseurs à connaître !

3. Informatique d’entreprise, points de repère généraux

Qu’est-ce qu’un DSI

Les alternatives informatiques

Le TCO (Total Cost of Ownership) (non traité)

C’est le cout total d’appropriation ou cout de propriété d’un micro-ordinateur ou poste client.

Il comprend :

 coûts en capital matériel, réseau et progiciel pour les nouvelles acquisitions et mises à niveau

 coûts de gestion ou administration des systèmes et réseaux

 coûts du support technique du PC

 la formation aux utilisateurs, dispensée en interne ou en externe,

 les développements spécifiques : logiciel + maintenance Illustration : « TCO, la traque des coûts cachés » (non traité)

Comment choisir la meilleure solution télécoms dans une perspective dynamique ? indicateur global de rentabilité du SI, le TCO éclaire les décision à prendre.

« Faites-vous une idée sur Windows et Linux »

Windows 2000 comparé à Linux dans l’informatique d’entreprise

Le coût total de possession de Linux se traduit par des dépenses plus importantes Les serveurs WinTel sont 10 fois moins coûteux à gérer que les mainframes Linux L’infogérance ou facilites management (FM) (non traité)

Définition : externalisation ou sous-traitance complète ou partielle de services informatiques sur une durée généralement longue

D’où la nécessité de prévoir :

 des mécanismes permettant une certaine évolution de la prestation

 la réversibilité du service informatique en fin de contrat Rq : General Moters  EDS

Contrats pluriannuels, renouvelables par tacite reconduction. Les durées minimales sont de 3 ou 4 ans et peuvent aller jusqu’à 10 ans.

(21)

Une justification à cette longue durée : la nécessité d’amortir les dépenses importantes.

Illustration : « Les informaticiens de Schneider Electric toujours en colère »

Au final « Le Directeur du Système d’Information (DSI) devient un account manager » Les prestataires :

 Mondiaux : EDS, CSC, Unisys…

 Grandes SSII françaises : AtosOrigin, Cap-Gemini-Ernst&Young…

 Les grand constructeurs : IBM, HP…

Vers la « webisation » généralisée

Le navigateur, associé au réseau Internet, devient l’outil client universel pour accéder à l’ensemble des applications.

Rq : une tendance actuelle.

Avantages techniques :

 une seule version de logiciel à mettre à jour, celle du serveur WEB

 une grande facilité de connexions de tous les utilisateurs y compris les potentiels et les nomades : une « simple » connexion Internet suffit

Rq : notion des clients « lourds » et « légers ».

 une maintenance facile du système d’information

 complémentarité des web services

 l’ASP

Avantages financiers :

 la logique « licence par poste » est difficile à mesurer ; extensibilité du nombre d’utilisateurs

 les outils « logiciels libres » associés au serveurs

 formation plus rapide (même ergonomie pour toutes les applications)

 amélioration du TCO Commentaire du texte :

« Peoplesoft 8, un grand pas vers la ‘webisation’ »

Rq : « client léger » est contraire à un client « lourd » (qui est un poste de travail dans lequel on va faire installer tous les logiciels nécessaires pour travailler).

Client lourd est efficace dans la mesure où la personne n’a pas besoin de connecter tout le temps pour pouvoir travailler. Mais, s’il y a une modification, on doit effectuer une adaptation par poste.

Or, pour un client léger, il n’y a aucun logiciel préinstallé. Toute opération s’effectue grâce à une connexion permanente avec le serveur. Tout ficher est stocké sur le serveur.

4. Multimédia : concepts, marchés et usages

Définition de Multimédia

Terme générique pour désigner des services ou contenus associant sur une même support numérique : données de type texte ou chiffres, images fixes ou animées, son et logiciel.

(22)

Ces services ou contenus sont liés à un usage de nature interactive.

La conjonction technologique

 Les puces : vitesse doublée tous les 18 mois : « loi de Moore »

 Stockage : pourle même prix capacité de disques durs doublés tous les deux ans

 Réseau : débits multiplié par 5 tous les 5 ans

 Support optique : vitesse d’accès a doublé tous les 3,5 ans CR-ROM  CD-R DVD  et la diode bleue…

 Compression numérique : 30 fois plus de place en 5 ans (cf. straming audio et vidéo)

Traitement des données numériques qui réduit leur volume.

Le « Big Bang » des technologies de l’information

Avant, en terme de support, chaque des mondes sont isolés d’un à autre :

 Livre

 Journal

 Téléphone

 Photo

 Film

 Radio/TV

 Informatique

Après, vers le passage d’un ordre structuré par la nature du support (l’atome) à un celui d’un support commun : le numérique

« …l’opérateur va proposer à partir de la même prise l’accès à Internet, la télévision et le téléphone sur IP… » (source : www.01net.com, 27 octobre 2000

Du big bang au big crunch Rq : « prévision & prospective » Le secteur multimédia existe-t-il ?

Multimédia : concepts et marchés Virtuel et création

5. Internet : Principe de fonctionnement du réseau et principales applications

Histoire objective d’Internet

 1981 : annonce de l’IBM PC (PC 5150) et sortie conjointe du MS-DOS

 1991 : Développement du Web par Tim Bernes – Lee ingénieur au CERN de Genève

 1992 : Al Gore lance le programme des autoroutes de l’information

(23)

 1993 : Microsoft développe son service en ligne avec MSN, un réseau propriétaire concurrent de ceux d’AOL, de CompuServe et de Prodigy, mais aussi concurrent d’Internet

 1995 : Microsoft se lance dans la course Internet

o Le 7 décembre 1995, Microsoft annonce qu’il fabriquera son propre navigateur o Qu’il transfère MSN sur le Web dont il adopte définitivement…

 …

A partir d’une connexion Internet…

 Le WEB…via un navigateur

 L’email Le FTP

 Les newsgroups

 Les applications génériques : Real Audio, le Chat (IRC)…

 Les applications spécifiques : Access ou tout autre progiciel

Il est impératif de différencier Internet et le Web

Ces deux mots correspondent à deux notions très différentes

Internet est le nom donné à un ensemble d’ordinateurs connectées les uns aux autres (le réseau), selon différents modes (satellite, fibre optique…), et référencés de manière très précise (attribution d’une adresse IP à chaque ordinateurs).

On dit Internet, que c’est un « réseau physique » (des ordinateurs reliés par des câbles).

Le Web (la toile d’araignée) est une application géante, qui utilise le réseau Internet, et rend possible l’échange d’informations sur ce réseau, notamment grâce à l’utilisation d’un navigateur et du langage HTML.

On dit du Web, que c’est une « couche logique d’Internet »

Par analogie, lorsque deux personnes discutent entre elles, elles ont besoin de différents outils :

 du matériel, qui permet physiquement l’échange de données : bouche, cordes vocales, oreilles (Internet).

 d’un mode de communication : une langue commune, qui leur permet de se comprendre, et rend possible l’échange d’idées (le Web).

Comprendre les concepts

Page web

Le push et le pull

(24)

PULL ou TIRER est un acte volontaire d’aller chercher l’information à n’importe quel moment. Ex : trouver un site web

PUSH ou RECEVOIR : l’information va vers l’utilisateur. Elle est attendue, souhaitée ou non.

Le SPAM est communication de type « PUSH ».

Mode asynchrone : par l’e-mail un message personnalisée ou non (Newletter) ou alerte (Ebay : un article correspondant à des critères)

Rq : il y a un temps de décalage entre le temps

Mode synchrone : le téléphone, le FAX, le SMS (quasi synchrone), fil RSS Rq : quasiment en temps réel

Qualités d’un « bon » site web d’entreprise

7. Composantes techniques de bases d’Internet (web, email, FTP)

La lenteur d’Internet : des raisons multiples

 Equipement de l’utilisateur

Micro-ordinateur, progiciels et modem (vitesse)

 Usage demandé mal adapté à la configuration utilisateur Plug in, vidéo…

 Fournisseur d’accès saturé (FAI ou ISP en anglais) Modem, équipement ordinateur et bande passante louée

 Réseau saturé Trop d’utilisateurs

» adaptation permanente du réseau à la croissance du trafic

 Service défaillant et trop lent

Sous-équipement devant trop d’accès simultanés Le coupable : le maillon le plus faible, mais lequel ? Lien : http://www.bandwidthplace.com/speedtest/

Lenteur, pourquoi ?

Les techniques d’E-mailing

Moteurs/annuaires : la pratique efficace La recherche avancée

Recherches Google -- Principes de base

(25)

Recherche simple

Pour soumettre une requête à Google, tapez un ou plusieurs mots décrivant les informations recherchées et appuyez sur la touche « Entrée » du clavier (ou cliquez sur le bouton « Recherche Google ») : en moins d'une seconde, Google affiche une liste de pages Web correspondant à cette requête. Si vous tapez plusieurs mots, séparez-les par un espace.

Pour retrouver les pages qui correspondent au mieux à votre requête, Google fait appel à des mécanismes évolués de correspondance de texte. Par exemple, lorsque Google analyse une page, il tient compte de l'option exprimée sur celle-ci par les pages qui lui sont liées. Par ailleurs, Google privilégie les pages dans lesquelles vos termes de recherche apparaissent aussi près que possible les uns des autres.

Inclusion automatique de l'opérateur « AND »

Si votre recherche porte sur plusieurs termes, Google signale uniquement les pages qui comportent TOUS ces termes, mais pas nécessairement à la suite les uns des autres (équivalent de l'opérateur « AND », mais il n'est pas nécessaire de spécifier celui-ci entre les termes). Pour affiner une recherche, il suffit de spécifier d'autres termes.

Termes ignorés

Google ignore les chaînes de caractères dont le poids sémantique est trop faible (également désignés « mots vides » ou « bruit ») : le, la, les, du, avec, vous, etc., mais aussi des mots spécialisés tels que « http » et « .com » et les lettres/chiffres d'un seul caractère, qui jouent rarement un rôle intéressant dans les recherches et risquent de ralentir notablement le processus.

Pour forcer l'inclusion d'un mot vide dans une recherche, il suffit de le faire précéder du signe plus ( + ), lui- même précédé d'un espace. [Vous pouvez également inclure le signe plus ( + ) dans une recherche d'expression, par exemple « +sur +le perron +de +la femme +du boulanger +de Nevers » .]

Présentation des termes de recherche dans leur contexte

Chaque élément des résultats de recherche Google présente une ou plusieurs occurrences du ou des termes de recherche dans le contexte de leur page Web.

Lemmatisation

Pour garantir des résultats aussi précis que possible, Google n'applique pas de « lemmatisation » (réduction des mots au masculin et/ou au singulier, à l'infinitif, etc.) et ne supporte pas les recherches à base de caractères joker/wildcard. Autrement dit, Google utilise les mots exactement tels que vous les entrez dans le champ de recherche. Exemple : Si vous entrez le terme « cheval » ou « cheva* », Google ne fait pas porter la recherche sur

« chevaux », « chevaline » ou « chevalerie », mais uniquement sur le terme « cheval » ou « cheva* » (soit la chaîne de caractères « cheva » suivie d'un astérisque). Pour plus de sûreté, entrez les formes qui vous intéressent, par exemple : « cheval » et « chevalerie ».

MAJUSCULES, minuscules et accents

Les recherches Google ne tiennent pas compte de la « casse » des lettres (MAJUSCULES/minuscules). Quelle que soit la typographie utilisée, Google interprète toujours les lettres composant vos termes de recherche comme des minuscules. Exemple : Si vous lancez différentes recherches en spécifiant tour à tour le terme « cheval »,

« Cheval » et « CHEVAL », la liste des pages Web correspondant aux résultats de recherche sera identique dans les trois cas car elle porte uniquement sur la chaîne « cheval ».

Par défaut, les recherches Google ne tiennent pas compte des accents ou autres signes diacritiques (cédille, tilde espagnol, umlaut allemand, etc.). Ainsi, les termes [FRANÇAIS] et [FRANCAIS] retrouvent les mêmes pages.

Pour indiquer que ces deux termes ont une signification différente, utilisez un signe plus ( + ), soit les termes de recherche [+FRANÇAIS] et [+FRANCAIS].

La plugins (flash, realplayer, quicktime…)

Logiciel complémentaire permettant d’accroitre les performances d’un navigateur pour lui adjoindre de nouvelles fonctions.

(26)

Téléchargeables, ils sont utilisés dans les navigateurs comme Netscape ou Internet Explorer.

Ils sont de plus en plus intégrés dans les nouvelles version des navigateurs. Ils sont gratuits.

Ex :

 Realplayer : lecteur audio et vidéo

 QuickTime : lecteur audio et vidéo d’Apple

 Windows Media Player : lecteur audio et vidéo de Microsoft

 Acrobat Reader : lecteur des fichiers PDF d’acrobat

La compression numérique

8. Techniques (avancées) Internet

Le protocole IP

Internet Protocol (IP) est le protocole spécifique à l’Internet.

Caractéristiques :

délivrance non fiable des paquets : « remise au mieux » (best effort delivery) sans information pour l’émetteur ni le récepteur

la transmission est non connecté : chaque paquet est indépendant de ceux qui le précèdent et le suivent.

Exemple : deux paquets issus de la même machine et ayant la même destination peuvent ne pas suivre obligatoirement le même chemin.

Le routage IP

Fonctionnalité qui consiste à choisir la manière de transmettre un paquet IP à travers les divers réseaux d’un internet.

On appellera :

ordinateur un équipement relié à un seul réseau o soit il émet un paquet vers l’expéditeur initial o soit il est le destinataire final d’un paquet

routeur un équipement relié à au moins deux réseaux (ou un ordinateur)

Ainsi un routeur réémettra des datagrammes venus d’une de ses interfaces ers une autre, alos qu’un ordinateur sera :

 soit l’expéditeur initial

 soit le destinataire final d’un datagramme Définition d’un routeur

Une table de routage :::

Introduction à IPv6

Deux conséquences à l’explosion de l’Internet (la taille double tous les 12 mois)

 consommation des adresses accélérée  on commence à parler d’épuisement des adresses IPv4 (la « fin du monde IPv4 » est estimée aux environs de 2008)

(27)

 taille des tables de routage devenue gigantesque Quelques caractéristiques de IPv6

Le formt de l’adresse sur 16 octets (au lieu des 4 octets de IPv4) Ou encore : IPv4 : 32 bits et IPv6 : 128 bits

L’adressage est hiérarchique : organisé par zone géographique et/ou par prestataire de services…

Java

Java et javascript

JAVA : Langage de programmation Pour Sun, créateur du langage JAVA :

 conception d’applications indépendantes du système d’exploitation des postes clients

 peu encombrant

 usage d’un compilateur (code source  code objet  donc invisible) l’applet Java (le programme) est préalablement compilée

une machine virtuelle interprète le code (côté du client)

 un certain ralentissement

 pas d’écriture sur le disque dur

JavaScript est un langage de programmation, aux capacités assez limitées, mais utile afin d’améliorer l’interactivité des pages web

Le JavaScript est interprété par tous les navigateurs compatibles, qui décodent la page HTML où est inséré le programme, appelé script.

 pas de compilateur,

 le code est directement écrit dans la page HTML (donc visible) Un script est une portion de code qui vient s’insérer dans une page HTML.

Un exemple de Javascript

<html>

<head>

<title>Compteur de visites par cookies</title>

<script type="text/javascript" language="JavaScript">

<!—

function EcrireCookie(nom, valeur) // voir le détail de la fonction...

...

function getCookieVal(offset) // voir le détail de la fonction...

...

function LireCookie(nom) // voir le détail de la fonction...

...

//-->

</script>

</head>

<body>

...

ASP (Active Pages Serveur) Site dynamique (PHP/ASP)

(28)

Objectif : créer et gérer des sites web avec des contenus dynamiques 2 techniques quasi équivalentes et concurrentes

 ASP : Technique de Microsoft

 PHP : Technologie libre

Une page web en ASP ou PHP aura un contenu pouvant varier selon certains paramètres (ex : numéro de client).

C’est un langage de script (ou langage interprété) exécuté sur le serveur.

Les scripts PHP ou ASP sont intégrables au sein d’une page Web en HTML à l’aide de balises spéciales

1/ Appel d’une page contenant un script et la référence de l’article

2/ Construction de la page HTML/PHP de façon dynamique à partir d’une base de données MySQL sur le serveur

3/ Renvoie de la page demandée.

Cf. « Technologie PHP pour site dynamique » http://fr.wikipedia.org/wiki/Php

Cf. « Stie statique-site dynamique : le match (complément) »

http://www.journaldunet.com/0411/041105statiquedynamique.shtml

XML : un langage universel de structuration des données xmlfr.org

XMetal, XML Spy, xcooktop dans le monde freeware

XML : nouveau standard  langage universel, eXtensible Markup Language Limites de HTML :

 HTML ne distingue pas les informations de présentation et de structure d’un document.

 Une balise HTML hiérarchise un élément autant qu’elle le présente visuellement.

 L’échange de document structurés est difficile.

 L’origine de XML : SGML, un standard exploité pour structurer des documentations complexes.

Exemple :

« Au dix neuvième siècle, la sortie de Hernani de Victor Hugo a provoqué des mouvements de foule. »

Cette phrase est fortement porteuse d’information mais comment la trouver ? Tout simplement en la parsemant de balises :

Au <époque>dix neuvième siècle</époque>, la sortie de <titre>Hernani</titre> de

<auteur>Victor Hugo</auteur> a provoqué des mouvements de foule Une fois structurée de cette façon on peut :

(29)

 Rechercher : tout ce qui concerne une époque, tout ce qui concerne Victor Hugo en tant qu’auteur, et tout ce qui est rattaché à Hernani

 Exporter le contenu vers une base de données puisqu’on connaît la nature de l’information située entre les balises DEBUT DE (<.>)

Caractéristique majeure : le nombre de ses balises (ou tag » en anglais) est extensible à volonté.

XML contraint le concepteur à séparer le contenu d’un document (ses données et sa structure) de sa représentation physique (sur l’écran d’un PC (HTML pour les navigateurs), sur un imprimante (PDF), sur l’écran d’un téléphone portable (WML), etc.

Objectif : un format de données homogène pour :

 l’échange de données

 la structuration et représentation physique

 l’économie de production

 l’affichage …

DRM

DRM – Digitals Rights Management ou MTP Mesures Techniques de Protection

Technique qui permet de diffuser des contenus sonores, textuels, des logiciels etc. par vole numérique tout en protégeant les droits d’auteur associés.

Ces dispositifs placés dans les CD et les fichiers numériques, et associés ou non au lecteurs, Objectifs : limiter le nombre de copies et contrôler l’usage des biens culturels acquis légalement.

Applications : I-Tunes, Windows Média, Livercycle Policy Server d’Adobe, Pour sa boutique vidéo, Google a son propre DRM associé à son lecteur vidéo.

3 remarques :

 incompatibilité des DRM qui sont de propriétaires différents (équipements incompatibles)

Rq : il n’y a pas de technique de protection unique.

 Contournement

Rq : la protection n’est pas sans faillite.

ADVESTIGO (http://www.advestigo.com/) Le logiciel de comparaison d’emprunt

 la copie privée (cf. redevance sur les supports)

Rq : protéger le consommateur qui peut le mettre sur plusieurs supports pour des usages personnels.

Pourquoi aujourd’hui ?

Obligation de la transposition dans le droit français de la directive européenne datant de 2001.

Triple niveau de protection :

 le droit d’auteur

 la mesure technique qui rend effectif le droit d’auteur

(30)

 la protection juridique accordée aux mesures techniques. Sanction de la violation des mesures techniques

le retard français entraînant des pénalités.

Exemple : « Akamai héberge les droits numériques des sites Web » Deux philosophies s’affrontent :

 les auteurs, éditeurs, distributeurs de contenus culturels  les majors de la musique et du cinéma

 les usagers adeptes du téléchargement ??

Avantages de Windows Media DRM (source Microsoft), une plate-forme qui permet :

 Aux propriétaires (auteurs, interprètes) de protéger leur ?

Exemple : « le recours aux DRM, une impasse pour la sécurité informatique et la protection de la vie privée » (Libération.fr)

Web 2.0

« Le Web 2.0 est une intention d’innovation et de changement »

Notion d’écosystème : association de services ou applications ou contenus très divers

eBay ou Amazon  systèmes de notation, ranking, suggestions, personnalisation, élargissement du stock sur un réseau de tiers (stocks chez les partenaires pour les livres d’occasion), paypal chez e-bay…

Google  Web 2.0 par son algorythme d’affichage (le monde du 23/11/06) Exemples :

Flickr ou Fotolia pour les photos YouTube et Dailymotion

Wikipédia

e-commerce distribué et les micro-revenus de notoriété : Zlio

Web 2.0  un environnement diffus dans lequel interagissent des services et des individus tout en même temps prospects, clients et prescripteurs.

« Il se traduit également par des systèmes de navigation basés sur les tags, des mots-clés qui servent de balises pour retrouver l’inforamtion et ui sont souvent entrés par les utilisateurs.

Tags de navigation

Pourquoi aujourd’hui le Web 2.0 ?

Le haut débit  confort d’utilisation de l’Internet, en permanence ? Deux types de mesure de trafic d’un site Web

Les méthodologies de mesure d’audience ou d’études quantitatives de la fréquentation des médias et d’acquisition de données de profil (*)

Les mesures de fréquentation à partir des serveurs  « site centric »

 l’usage de marqueurs (Weborama, E-stat, Xiti…)  serveur tiers

Références

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