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Stockage : la Révolution Flash

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KEINE ZEIT MEHR VERLIEREN

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DIE FÜNF TOP-THEMEN BEI DER SEPA-UMSTELLUNG

3

SAP ERP IN DREI SCHRITTEN FRIST- GERECHT UMSTELLEN

4

WAS BEI SEPA-DIENSTEN AUS DER CLOUD ZU BEACHTEN IST COMMENT LA FLASH

BOULEVERSE

LE STOCKAGE DE DONNEES

LES DIFFERENTS MOYENS D'UTILISER LA FLASH POUR DOPER LE STOCKAGE

DEPLOIEMENT DE LA FLASH, QUEL IMPACT SUR LE DIMENSIONNEMENT DU RESEAU ET DES SERVEURS ?

STOCKAGE FLASH : AER LINGUS PRÉFÈRE TEGILE À IBM ET EMC

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STOCKAGE FLASH : AER LINGUS PRÉFÈRE TEGILE À IBM ET EMC

Les technologies de stockage à base de silicium comme la mémoire Flash sont en train de bouleverser le monde du stockage et se traduisent par une refonte en profondeur des architectures de stockage. Ce travail, largement entamé par les constructeurs en 2011 commence à avoir un impact sur l’ensemble de la chaîne informatique, des serveurs aux baies de stockage. Les caractéristiques et les performances de la mémoire Flash sont en effet de nature à bouleverser la façon dont les serveurs accèdent aux données et les performances des infrastructures de datacenter.

Dans ce « Guide Essentiel », vous pourrez découvrir pourquoi la Flash a un tel impact sur l’informatique moderne et comment en tirer parti au mieux. Ce guide fait également un inventaire des caractéristiques et particularités des principales baies de stockage 100%

Flash et des principales solutions de stockage pour serveurs à base de cartes Flash PCI-e ou d’UltraDIMM Flash. Enfin, il vous propose de découvrir comment plusieurs entreprises ont déployé la Flash au sein de leurs datacenters.

CHRISTOPHE BARDY

Rédacteur en chef adjoint, TechTarget / LeMagIT

Présentation

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Les technologies de stockage à base de silicium comme la mémoire Flash sont en train de bouleverser en

profondeur le monde du stockage et se traduisent par une refonte en profondeur des architectures de stockage. Ce travail, largement entamé par les constructeurs en 2011 commence à avoir un impact profond sur l’ensemble de la chaîne informatique, des serveurs aux baies de stockage. Les caractéristiques et les performances de la mémoire Flash sont en effet de nature à bouleverser la façon dont les serveurs accèdent aux données et les performances des infrastructures de datacenter.

Le principal attrait de la mémoire Flash tant pour les entreprises que pour les constructeurs s’explique par ses performances. Depuis de nombreuses années, l’évolution des performances des processeurs et de la mémoire s’est faite à un rythme très supérieure à celle des disques durs, qui historiquement ont été les composants essentiels des systèmes de stockage. La Flash du fait de ses

caractéristiques vient combler le trou qui s’est creusé entre les performances de la mémoire et celle des disques durs.

La Flash, chaînon manquant entre la mémoire et les disques durs

Pour faire simple, la performance des processeurs a progressé bien plus rapidement que celle des mémoires et surtout que celle du stockage au cours des 30 dernières années. Selon des estimations du professeur David A.

Paterson de l’Université de Berkeley, la performance moyenne des processeurs a progressé à un rythme moyen de 50 % par an, tandis que la bande passante mémoire progressait de 27 % par an et que celle des disques durs progressait de 28 % par an.

Plus grave, la performance en nombre d’opérations par seconde des disques durs n’a guère évolué au cours des 10 dernières années. Ainsi un disque d’entreprise à 10 000 tr/mn reste péniblement sous la barre des 150 IOPS (opérations d’entrées/sorties par seconde) en accès aléatoires, et un disque SATA peine à franchir la barre des 70 à 80 IOPS. Or, pendant que la performance des disques stagnait, celle des processeurs a été multipliée par 100 au cours des dix dernières années.

Comment la Flash bouleverse le stockage de données

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Autre point d’achoppement, les gains en latence des disques durs ont été ridicules au cours des 25 dernières années. Seagate note ainsi qu’un disque d’entreprise avait un temps d’accès de 60 ms en 1987. Depuis, on est passé à 5 ms pour les disques d’entreprise à 15 000 tr/mn, mais toujours à environ 9 ms pour un disque SATA 7 200 tr/mn. Cette amélioration d’un facteur de 6 à 12 fois peut paraître impressionnante. Sauf que dans le même temps, la latence d’accès à la mémoire a été divisée par plus de 100 000 (pour passer sous la barre de la nanoseconde) et la performance unitaire des processeurs (mesurée en Flops) a été multipliée par plusieurs dizaines de millions de fois.

Le résultat est un déséquilibre croissant : d’un côté, des processeurs capables de performances théoriques croissantes et de l’autre, des goulets d’étranglement terribles en matière d’accès aux données du fait des faibles performances des disques durs.

Lors d’une discussion avec leMagIT fin 2012, Sébastien Verger, le CTO d’EMC France, avait tenté de mettre en perspective ces notions de nano, micro ou millisecondes, qui parlent peu à l’utilisateur moyen. Selon lui, il faut les ramener à des échelles plus courantes pour mieux comprendre le problème. Si l’on ramène ainsi le temps d’accès de la mémoire vive DDR3 (environ 2

nanosecondes) à une seconde, alors celui d’une mémoire Flash est proche de 30 secondes tandis que celui d’un disque dur SAS est de 28 jours et 23 heures. Cela veut dire qu’au lieu d’attendre une seconde pour atteindre une donnée en mémoire vive, le processeur doit attendre 30 secondes, s’il doit la chercher dans une carte flash locale et près d’un mois s’il lui faut aller la lire sur un disque dur… Or pendant qu’il attend des données, le processeur ne travaille pas. Conclusion : en ajoutant de la Flash dans les architectures de stockage, on dope certes la performance du stockage, mais surtout, on dope de façon encore plus intéressante celle d’une architecture informatique complète. En fait, il est parfois plus rentable et moins cher de repenser son architecture de stockage en y insérant un étage de Flash que de remplacer ses serveurs par des modèles plus récents.

La Flash transforme les baies de stockage

Les caractéristiques uniques de la mémoire Flash ont jusqu’à présent contraint les constructeurs de systèmes de stockage à un exercice bien périlleux d’intégration dans leurs architectures existantes. Sans surprise, tous les constructeurs ont commencé par supporter l’insertion de disques à mémoire Flash (ou SSD) dans leurs baies de stockage. Une intégration facile mais qui se fait parfois dans des systèmes dont les architectures internes ne sont pas adaptées à la performance des SSD. La première

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réponse de la plupart des constructeurs a été d’intégrer l’étage de Flash dans leurs baies à leur architecture de cache dopant ainsi l’espace de cache des baies de stockage et donc leurs performances. La plupart des constructeurs ont aussi ajouté des fonctions de tiering à leurs baies de stockage – les données les moins utilisées sont automatiquement migrées vers des disques durs tandis que les plus utilisées et les plus sensibles sont migrées sur des SSD.

La combinaison de ces techniques permet de réduire les coûts d’achat et d’exploitation des baies en réduisant le nombre de disques durs, tout en dopant les performances.

Par exemple, l’usage d’une dose faible de Flash dans des baies de stockage (2,5 à 10% de la capacité, selon la nature des transactions) permet de réduire de façon significative le nombre de disques durs rapides et donc de proposer des baies plus compactes et plus économiques tout en accroissant les performances. Une large majorité des baies de stockage modernes intègrent ainsi un étage de flash pour le cache ou le tiering.

Mais ces adaptations des architectures de baies existantes ont des limites, du fait des capacités des algorithmes de cache mais aussi des limites inhérentes au tiering. Ainsi si une donnée qui aurait besoin de performance n’est pas dans l’étage Flash mais dans l’étage de disque durs

SATA de la baie, les performances deviennent immédiatement calamiteuses, et il faudra quelques minutes ou quelques heures pour que ces données migrent dans l’étage rapide, ce qui peut avoir des conséquences pour certaines applications. Les constructeurs de baies de stockage ont donc commencé à réfléchir à de nouvelles générations de baies 100% Flash aux architectures spécifiquement adaptées à ce support.

2013 : l’année des baies 100% Flash

Chez les grands constructeurs, EMC a ainsi lancé au premier semestre 2013 sa baie XtremIO, née du rachat de la start-up éponyme. NetApp a entamé le développement de sa baie FlashRay, désormais attendue pour la fin 2014.

HP a quant à lui adapté son architecture 3Par pour produire une baie 3Par StorServ 100% Flash (la 7450). Et des start-ups comme Pure Storage, SolidFire, Kaminario ou Violin se sont aussi lancées à l’assaut des géants du marché avec de nouvelles architectures adaptées à la Flash.

La plupart de ces baies combinent l’usage de la mémoire Flash comme support de stockage avec un usage systématique de technique d’optimisation de données (compression et déduplication) afin de minimiser l’usure de la Flash mais aussi d’optimiser l’usage de la capacité,

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donc le coût par Go – avec la baisse des prix de la Flash, certaines de ces baies affichent d’ailleurs des coûts au gigaoctet assez proches de ceux des baies traditionnelles des grands constructeurs. Toutes proposent des services avancés de données basés sur une gestion fine et intelligente des métadonnées (notamment pour optimiser les snapshots, la réplication, la gestion de la qualité de service…). Selon les fournisseurs, les performances vont de plusieurs centaines de milliers d’IOPS à plusieurs millions d’IOPS avec des temps de latence fréquemment sous la barre de la milliseconde.

La Flash de bout en bout

La mémoire Flash n’affecte toutefois pas que les baies de stockage. Elle s’insère dans l’ensemble de la chaîne reliant les serveurs au stockage. C’est Fusion-IO (depuis racheté par SanDisk, l’un des géants de la Flash) qui a notamment initié cette tendance avec ses cartes PCI-e avant d’attirer l’attention d’EMC qui a introduit à l’été 2012 les cartes VFCache. Depuis, la plupart des constructeurs ont suivi avec des offres plus ou moins similaires.

Récemment la consolidation s’est accélérée sur le marché avec le rachat récent des activités Flash de LSI (et notamment sa ligne de cartes PCI-e et de disques SSD à

interface PCI-e par Seagate), celui de l’activité carte Flash PCIe de Violin par Hynix et un peu plus tôt celui de Virident (fournisseur OEM des cartes VF Cache d’EMC) par Western Digital, et celui d’OCZ par Toshiba.

Les cartes PCI-express Flash s’installent directement dans les serveurs qui accèdent aux données, et offrent des performances optimales car le bus sur lequel elles sont installées (PCI-express) a une latence bien inférieure aux connexions SAN. Elles peuvent être utilisées à la fois comme un étage de stockage local à très hautes performances ou comme un cache vers les données stockées sur les baies de stockage (dans ce cas un pilote logiciel adapté gère le cache à l’échelle du serveur ou d’un cluster de serveurs équipés de cartes Flash). La proximité de la Flash du processeur permet notamment de minimiser la latence d’accès et de répondre aux besoins des applications les plus sensibles à la latence comme les applications transactionnelles, les bases de données…

Pour tirer parti de ces cartes, plusieurs éditeurs ont aussi développé des solutions de gestion de cache distribuées qui permettent à un cluster Hyper-V ou VMware de s’appuyer sur plusieurs cartes PCI-e installées dans certains serveurs, pour optimiser les temps d’accès en lecture et en écriture vers les baies de stockage. Ces logiciels ont l’avantage de permettre aux serveurs de tirer

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parti de la faible latence des cartes PCI-e et donc de bénéficier de performances optimales, tout en continuant à permettre de s’appuyer sur les fonctions et services des baies pour le stockage en « back-end ».

L’une des solutions les plus remarquables en la matière est celle de Pernix Data, une société fondée par des anciens de l’équipe de stockage VMware et qui fonctionne comme un pilote intégré au noyau de VMware pour doper les performances d’accès au SAN des cluster vSphere. L’une des moins coûteuses est celle d’Infinio, limitée toutefois au cache en lecture et aux baies NAS.

Notons pour terminer que la Flash n’est pas la dernière étape dans la course aux performances. De nouvelles technologies de stockage non volatiles à base de mémoire sont en effet en cours de développement telles que la mémoire à changement de phase (ou PCM) par des constructeurs comme IBM, Micron et Samsung ou le Memristor (HP et Hynix), qui promettent des performances encore meilleures et une consommation d’énergie réduite.

Pas de quoi sonner le glas des disques durs, qui resteront durablement le moyen de stockage en masse des données, mais de quoi accélérer encore un peu plus le

développement d’un étage de stockage ultra rapide, dans des baies ou dans des serveurs, pour faire face aux besoins des nouvelles applications gourmandes en performances dans le domaine du cloud, du HPC, du Big Data et de l’analytique.

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Il existe aujourd’hui plusieurs moyens de déployer la Flash dans l’infrastructure de son datacenter, que ce soit au sein même des serveurs, ou dans des baies de

stockage. Dans tous les cas, l’objectif est le même : réduire la latence et améliorer les performances, tant en matière d’IOPS qu’en matière de bande passante. L’un des bénéfices secondaires est souvent la réduction du coût du stockage, la mise en œuvre de la Flash permettant d’utiliser moins de disques durs ou d’opter pour un système de stockage moins coûteux – sans compter les bénéfices annexes en matière de réduction d’espace au sein du datacenter et de réduction de la consommation électrique. Dans cet article, nous passons en revue cinq scénarios d'utilisation de la Flash afin d'optimiser les performances du stockage au sein du datacenter.

La Flash sous forme de carte PCI ou de SSD NVME au sein d’un serveur comme étage de cache ou de stockage.

Le fait de placer une carte Flash PCIe ou un SSD NVME au sein d’un serveur permet à la Flash de résider au plus près du processeur et donc de réduire la latence d’accès à la Flash à sa plus simple expression. C’est aujourd’hui la façon la plus efficace de maximiser le nombre d’IOPS avec la latence la plus faible. Utilisée comme stockage

primaire , la flash sur SSD ou carte PCI-e permet de maximiser les performances des applications et notamment les applications transactionnelles massives et les applications analytiques.

Utilisée comme cache, la Flash PCI-e permet d’accélérer l’accès aux volumes SAN ou NAS (grâce au logiciel ad hoc installé sur le serveur). Et ce cache est d’autant plus efficace que la Flash est proche du CPU.

Il est à noter que l’usage de la Flash aussi près du CPU se traduit souvent par une hausse de la consommation CPU et que du fait du coût des cartes PCI-e et de celui des disques NVME, les capacités sont contraintes. Dans le cas de l’usage de la Flash comme cache, la principale limite est celle des capacités du logiciel de cache.

Nombre des logiciels du marché sont limités à un serveur, tandis que d’autres permettent de mettre en œuvre un cache distribué notamment dans les environnements distribués (cas d’une solution comme celle de PernixData en lecture/écriture ou d’Infinio en lecture).

La Flash en tant que cache dans une baie de stockage.

L’usage de la Flash en tant que cache par les baies de

Les différents moyens d'utiliser la Flash pour doper le stockage

UTILISER LA FLASH POUR DOPER LE

STOCKAGE

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stockage est devenu courant au cours des trois dernières années. Certains constructeurs, comme NetApp, ont par exemple recours à des cartes Flash PCI-e pour créer un étage de cache en lecture à très haute performance qui vient suppléer l’espace de cache habituel en mémoire vive. De facto cet espace Flash agit comme un accélérateur et permettant de maintenir en cache une quantité bien plus importante de données.

D’autres constructeurs utilisent des SSD traditionnelles au format SAS pour servir d’étage de cache en lecture et en écriture. Leur performance est moindre que celle des cartes PCI-e Flash, mais reste très supérieure à celle des disques de telle sorte qu’il est préférable de stocker des données dans le cache Flash que de les voir évincer du cache en mémoire vive.

L’usage de la Flash comme cache permet de repousser au maximum l’accès aux disques durs. Mais ce n’est pas une panacée. À un moment où à un autre il faudra lire une donnée qui n’est pas en cache ce qui se traduira par un effondrement des performances. Dans la pratique le cache en Flash est particulièrement intéressant pour certaines applications comme le VDI ou l’e-mail. Il peut aussi améliorer les performances des applications de bases de données, les index et les fichiers les plus accédés étant souvent en cache.

La Flash comme stockage de classe « Tier 0 » dans une baie de stockage NAS ou SAN.

La Flash peut être utilisée sous forme de disques SSD afin de fournir une classe de stockage à haute performance dans une baie de stockage. Cette à très haute performance peut être utilisée pour stocker les données les plus critiques (index de bases de données, fichiers VDI…) ou pour participer à une architecture de tiering.

Dans ce dernier cas, la baie de stockage gère automatiquement les mouvements de données entre classes de stockage pour garantir que les données ayant besoin de performance soient placées sur la classe la plus rapide et que les données les moins fréquemment utilisées soit placées sur la classe la plus lente (typiquement un pool de disques SATA à 7200 tr/mn).

L’usage de la Flash comme une classe rapide permet de mutualiser une ressource performante mais coûteuse entre plusieurs serveurs et se révèle une alternative économique à l’usage systématique de cartes PCI-e. Mais les algorithmes de tiering ont leurs limites et si une donnée ne se trouve pas positionnée sur la classe désirée, la performance peut s’en trouver très diminuée.

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La Flash dans des baies de stockage 100%Flash

Les baies 100% Flash sont aujourd’hui les systèmes de stockage en réseau les plus performants du marché. Leur prix est souvent assez élevé mais l’usage de technologies comme la compression et la déduplication permet de ramener le coût au gigaoctet à un niveau comparable à celui d’une baie de milieu de gamme. Les niveaux de performances pour une baie 100%Flash approchent souvent les 250 000 à 500 000 par baie de 3 à 4 U, un niveau de performance qu’une baie de disque traditionnelle ne pouvait espérer qu’avec une grande quantité de disque nécessitant souvent un rack plein de datacenter.

Le principal bénéfice des baies 100%Flash est leur performance qui permet de doper les applications. Ce sont aussi des dispositifs bien plus simples à administrer et à exploiter que les baies de stockage traditionnelles.

Les gains en matière de consommation et de refroidissement sont importants de même que les gains d’espace dans le datacenter. En revanche, ces baies ne sont pas adaptées au stockage de très grandes quantités de données, une fonction qui reste l’apanage des baies de stockage à base de disque dur.

La Flash dans des appliance de cache en réseau

La Flash peut aussi être déployée au sein d’appliance de cache en réseau afin de doper l’accès au stockage SAN ou NAS ou au sein d’appliance de stockage permettant l’accès au cloud. Avere par exemple fait usage de Flash pour doper l’accès aux baies NAS, (ce que faisait aussi Alacritech avec ses appliances ANX) tandis que des constructeurs comme StorSimple ou TwinStrata utilisent des SSD comme espace de stockage et de cache local pour des données dont la vocation est à terme de migrer vers un service de stockage en cloud comme Azure Storage ou Amazon S3.

UTILISER LA FLASH POUR DOPER LE

STOCKAGE

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STOCKAGE FLASH : AER LINGUS PRÉFÈRE TEGILE À IBM ET EMC

Le stockage Flash présente la caractéristique intéressante de permettre de lutter contre les phénomènes de goulets d'étranglement qui affectent les systèmes de stockage, mais cette capacité arrive avec son lot de contre- indications. Ainsi, la mise en œuvre de capacités de stockage Flash révèle souvent d’autres goulets d'étranglement dans les infrastructures où elles sont déployés. En s’appuyant sur les tests que nous avons mené dans notre laboratoire au cours des deux dernières années, je voudrais mettre l'accent sur deux domaines de l'infrastructure informatique qui peuvent être affectée lorsque les SSD sont déployés : le réseau et le CPU.

Stockage Flash et dimensionnement du réseau

Selon la nature des applications auxquelles il est appliqué, le stockage Flash peut avoir un effet notable sur le réseau. Parce que les SSD offrent des performances nettement améliorées par rapport aux disques durs, plus d'opérations d’entrées/sorties peuvent être réalisées en moins de temps. Cela peut se traduire par un accroissement massif de la charge exercée par l’application sur le réseau. Dans certains cas, cette charge accrue du réseau n'est pas un problème car elle amène

tout simplement l’application à tirer le plein potentiel de la capacité réseau disponible. Dans d'autres cas, les performances des applications peuvent s’accroitre à un point tel que le lien réseau devient le nouveau goulet d’étranglement pour l’application. Il faudra alors réfléchir à doper la bande passante disponible (soit par ajout de nouvelles cartes réseaux soit par passage au 10 Gbit) pour fournir une bande passante.

Dans l'un de nos tests, simulant une application web sur un serveur équipé d’une carte Flash SSD PCI-express, nous avons augmenté la charge de trafic à des niveaux très élevés mais sommes restés perplexes face à la performance relativement faible constatée. Une analyse plus poussée, nous a fait réaliser que même si nous utilisions une agrégation de quatre cartes Gigabit vers le serveur, la bande passante réseau n’était plus suffisante pour faire face au nouveau potentiel du serveur. Nous avons donc reconfiguré notre serveur de test avec des cartes 10 Gigabit et avons aussi passé les clients au 10 gigabit. Ce n'est qu’alors que nous avons pu tirer le plein potentiel du stockage Flash PCIe. Nous sommes à un point d'inflexion intéressant dans notre secteur: nous constatons l'adoption accrue des réseaux 10gigabit en même temps nous voyons l'adoption accrue des SSD.

Mon observation personnelle est que les SSD et réseaux 10gigabit sont faits pour s'entendre.

Déploiement de la Flash, quel impact sur le dimensionnement du réseau et des serveurs ?

QUEL IMPACT

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La technologie SSD et l'utilisation du processeur

Quand un seul système d'exploitation fonctionne sur serveur physique non virtualisé, le taux d’utilisation CPU sur une machine moderne est très souvent assez faible - souvent bien moins de 20% - ce qui veut dire que les capacités CPU du serveur sont largement sous-utilisées.

Dans les environnements virtualisés, l'utilisation du processeur s’accroit généralement à un niveau plus élevé.

Lors de nos tests menés avec du stockage flash , nous nous ont conduit à des niveaux de performance des applications plus, nous avons certes remarqué un accroissement des performances des applications du fait des performances accrues et de la latence réduite du stockage flash. Mais dans de nombreux cas, ces résultats se sont aussi traduits par un bond du taux d’usage du processeur.

Dans certains de nos tests, nous avons vu l'utilisation du processeur passer de 10% avec des disques classiques à plus de 50% avec des SSD. Bien sûr, l’usage des SSD permet d’effectuer bien plus d’opérations et cette hausse est logique. Cependant il faut absolument prendre en compte cette évolution dans le cas de configurations

virtualisées car les abaques traditionnels de nombre de VM par serveur pourraient bien ne plus être adaptées aux nouvelles performances en entrées/sorties.

Les SSD peuvent se déplacer les goulets d'étranglement

En résumé, il faut absolument prendre en compte le fait que l’usage du stockage flash peut déplacer les goulets d'étranglement. L'équilibre habituel entre les performances du processeur, de la mémoire, du réseau et du stockage est largement modifié quand les SSD sont déployés.

Et comme le stockage Flash est de plus en plus adopté, les administrateurs systèmes, réseau et stockage doivent rester prudents en ajustant leurs calculs habituels en matière de dimensionnement et de gestion des capacités.

Dennis Martin, président du cabinet d'analyses et de test Demartek

DÉPLOIEMENT DE LA FLASH, QUEL IMPACT

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La compagnie irlandaise Aer Lingus a déployé une solution de stockage hybride Flash de 80 To, préférant la start-up aux géants du secteur que sont IBM et EMC. A la clé, un projet de 500 000 € pour supporter d’importants déploiements en matière de virtualisation et de terminaux mobiles. Pour le CTO de la compagnie aérienne, Tegile constituait d’une part l’option la moins couteuse, mais également la plus facile à déployer au sein d’une architecture de stockage existante très complexe.

Aer Lingus - qui opère 58 appareils sur 116 itinéraires et sert plus de 11 millions de passagers par an - a mis en place plusieurs projets qui impliquent une augmentation des capacités de stockage et de son provisionement. Cela comprend notamment la migration de Microsoft XP vers Windows 7 ; la numérisation des dossiers des appareils ; la mise à disposition d’iPad auprès de l’équipage à bord pour une cockpit sans papier ; une mise à jour des bases de données clients ; une implémentation d’ERP Oracle pour les opérations aux sols et le déploiement d’une flotte de mobiles.

Même si la compagnie était incapable de s’éloigner de solutions d’IBM et d’EMC dans certains cas, comme avec les systèmes mainframe et les bases de données pour le système de réservation des passagers, Aer Lingus, qui dispose de deux datacenters opérés par IBM à Dublin, a

évalué plusieurs fournisseurs de technologies de stockage alternatifs et a retenu Tegile sur la base des coûts et des fonctionnalités, explique Ravi Simhambhalta, le directeur technique de l’Irlandais.

« De toute évidence, si nous avons besoin de davantage de stockage pour le mainframe, nous utilisons les solutions IBM et certaines briques du système de réservation doivent rester sur EMC, mais Tegile est désormais le seul système avec lequel nous travaillons pour chaque nouvel environnement de stockage car nous obtenons les mêmes performances qu’avec IBM et EMC, et ce avec des coûts plus bas. Les licences sont bien plus chères avec IBM et EMC », raconte Ravi Simhambhalta, mais la vitesse de provisioning était également un point important pour la compagnie aérienne.

Mais qu’est qui rend Tegile plus rapide pour le provisioning ? « Nous pouvons déployer le stockage, pour des environnements de postes de travail virtuels ou de Business Intelligence, bien plus rapidement avec Tegile, ajoute le CTO. Tout est question de rapidité dans les consoles d’administration et dans le provisionning. »

« Tous les systèmes de stockage proposent les mêmes processus et nous avons fait les mêmes opérations avec

Aer Lingus préfère Tegile à IBM et EMC pour son stockage Flash

TEGILE À IBM ET EMC

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EMC. Mais la somme de manipulations pour provisionner et assembler les LUNs était plus élevée qu’avec Tegile. Cela est du aux fonctions et à la façon dont est architecturé l’environnement de stockage existant. »

Riva Simhambhalta a pensé que se reposer sur des composants de stockage complètement nouveaux permettrait une plus grande facilité d’utilisation que d’avoir à s’adosser sur l’environnement existant qui a évolué au fil du temps vers une architecture complexe.

Deux baies Flash hybride Tegile Zebi HA2800

Aer Lingus a déployé deux baies Flash hybride Tegile Zebi HA2800 pour une capacité totale de 80 To dans ses deux datacenters. Les baies se reposent sur l’association de cache DRAM, des unités de stockage MLC et SLC et de disques rotatifs SAS. Ses contrôleurs s’appuient sur un OS à base de ZFS, adapté par Tegile pour proposer la déduplication de données, des possibilités de compression, des améliorations côté RAID et une augmentation des performances avec une fonction baptisée Metadata Accelerated Storage System (Mass).

Cette dernière permet aux données injectées d’être

manipulées via leurs metadonnées plutôt que via les données entières. Elles sont montées dans le cache ou placées dans l’unité de stockage Flash.

Cela permet de revendiquer des capacités et des performances de type entreprise pour environ 10% du coût proposé par certains des six plus gros fournisseurs de baies de stockage du marché.

La gamme Zebi HA comprend l’entrée de gamme HA2100 avec 600 Go de flash pour une capacité totale de 22 To brute (jusqu’à 5 fois plus avec la déduplication et la compression) jusqu’au HA 2800 avec 4 400 Go de Flash et 44 To de capacité brute.

— Cyrille Chausson, Rédacteur en Chef du MagIT

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DEPLOIEMENT DE LA FLASH, QUEL IMPACT SUR LE DIMENSIONNEMENT DU RESEAU ET DES SERVEURS ?

STOCKAGE FLASH : AER LINGUS PRÉFÈRE TEGILE À IBM ET EMC

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