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Corrigé de l’exercice 1 de l’épreuve E6 -France métropolitaine - 2005 --------------------------

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Texte intégral

(1)

Corrigé de l’exercice 1 de l’épreuve E6 -France métropolitaine - 2005

--- Partie A

1°) a) Considérons l’épreuve consistant à faire tourner la roue. Nous noterons Ω l’ensemble des issues possibles (univers) de cette expérience aléatoire. Lorsque la roue s’arrête sur les secteurs 3 et 9, l’événement A est réalisé. Ainsi parmi les 12 issues équiprobables possibles de Ω, seules 2 d’entre elles réalisent A donc la probabilité de A est :

12 ) 2 (A =

p soit :

6 ) 1 (A = p

b) L’arbre de probabilités suivant modélise la situation décrite dans l’énoncé.

(2)

2°) a) p(GA)= p(A)×pA(G) 4

1 6 ) 1 (GA = × p

donc :

24 ) 1 (GA = p

b) D’après l’arbre de probabilités ci-dessus : p(G)= p(GA)+ p(GA)

24 ) 3 (

10 1 6 5 24 ) 1 (

=

× +

= G p

G p

Conclusion :

8 ) 1 (G = p

3°) Nous devons calculer la probabilité que le billet tiré provienne de l’urneA sachant qu’il est gagnant, soit la probabilité conditionnelle :pG(A).

) (

) ) (

( p G

A G A p

pG =

24 8 8 1 24

1 )

(A = =

pG donc :

3 ) 1 (A = pG .

Partie B

1°) Considérons l’épreuve consistant à faire tourner la roue puis à tirer un billet.

Deux issues contraires sont possibles :

soit le billet est gagnant (succès) avec une probabilité

8 ) 1

( =

= p G

p ;

soit le billet est perdant (échec) avec une probabilité

8 1 =7

= p

q .

(Ce type d’épreuve est parfois appelé « épreuve de Bernoulli ».) Cette même épreuve est répétée, de façon indépendante, n=10 fois.

A

A

G

Ω

1/6

1/4

9/10 1/10 3/4

5/6

G G

G

(3)

Alors la variable aléatoire X égale au nombre de billets gagnants en 10 épreuves suit la loi binomiale de paramètres n=10 et

8

= 1 p .

La probabilité d’obtenir k succès sur 10 épreuves ( k entier naturel compris entre 0 et 10 inclus) est :

k k

k k X p

×

×

⎟⎟

⎜⎜

=

=

10

8 7 8

10 1 )

( .

2°) Calculons alors p(X =5) et p(X 1):

5 5

8 7 8

1 5 ) 10 5

(

×

×

⎟⎟

⎜⎜

=

= X p

alors : p(X =5)=0,0039 à 10-4 près.

L’événement contraire de (X 1) est (X <1) soit (X =0) donc : )

0 ( 1 ) 1

(X = p X = p

10 0

8 7 8

1 0 1 10 ) 1

(

×

×

⎟⎟

⎜⎜

=

X p

10

8 1 7 ) 1

(

=

X p

alors : p(X 1)=0,7369 à 10-4 près.

(4)

Corrigé de l’exercice 2 de l’épreuve E6 – Antilles–Guyane - 2005

(5)

---

(6)

Partie A

1°) Les solutions sur I de l’équation g(x)=0 sont les abscisses des points d’intersection de la courbe (Cg) et de l’axe des abscisses. Nous observons que ce sont les nombres

6 π et

2 π .

L’ensemble des solutions est par conséquent :

; 2 6

π π .

2°) Nous observons la position de la courbe (Cg) par rapport à l’axe des abscisses.

Sur [0 ; 6

π [, (Cg) est au-dessus de l’axe des abscisses. Donc sur [0 ; 6

π [, g(x) est strictement positif.

Sur]

6 π ;

2

π [, (Cg) est au dessous de l’axe des abscisses. Donc sur ] 6 π ;

2

π [, g(x) est strictement négatif.

(Cg) coupe l’axe des abscisses aux points d’abscisses 6 π et

2

π . Donc pour x= 6 π et x=

2 π g(x) est nul.

Partie B

1°) Toute fonction f définie sur IR par : f(x)=sin (ax + b) est dérivable sur IR et pour tout x réel, f’(x)=a cos (ax + b).

La fonction f définie sur I par : f (x)=sin (3x) est de ce type avec : a = 3 et b = 0.

Donc f est dérivable sur I et pour tout x de I, f ’(x)=3 cos (3x).

2°) On a : pour tout x de I, f’(x)=g(x).

D’après la partie A, - pour x de [ 0 ;

6

π [, g (x)>0 soit f’(x)>0 donc f est strictement croissante sur [ 0 ; 6 π [.

- pour x de ] 6 π ;

2

π [, g (x)<0 soit f’(x)<0 donc f est strictement décroissante sur

l'intervalle ] 6 π ;

2 π [.

Par ailleurs f’ s’annule en 6 π et

2 π .

Tableau des variations

x 0 6

π 2 π signe

de f’(x)

+ -

f(x)

0 0

-1 1

0

(7)

f(0)=sin(3×0)=0 f(6

π )=sin(3×

6

π )=sin(

2 π )=1

f(2

π )=sin(3×

2

π )=1

3°)

a)

x 0

6 π

4 π

3 π

2 π

f(x) 0 1 0,7 0 -1 b)

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