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Où installer les détecteurs de fumée dans les habitations

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Academic year: 2021

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Publisher’s version / Version de l'éditeur: Note sur la construction, 1986-06-01

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Où installer les détecteurs de fumée dans les habitations

Halliwell, R. E.; Sultan, M. A.

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(2)

.-

>. Ref S e r

mI

N2

74 no, 42F BLDG

CMwell national

National Research

1+1

de

rrchenches Canada

Council

Canada lnstitut de recherche en construction Institute for Research in Construction

IRC PUB

Note

sur

la construction

Ou

ins

les

hat

aller les detecteurs de furnee dans

bitations

par R.E. Hal liwell et

M.A. Sultan

BPN

62F

NRC

-

c m

f R C

L I B R A R Y

DEE

4 ;!E7

B I B L I O T H ~ Q U E

I R C

CNRC - ICIST

(3)

ANALYZED

par R.E. Ralliwell

Section d'acouscique

et M.A. Sultan

Section d'gtude du feu

fnstitut de recherche en construction

BPN 62F

ISSN 0830-8268

Ottawa, juin 1986

@

Conseil national de rocherches Canada 1986

(4)

TABLE DES H B T I ~ S I&sLT~/ABsTRAcT

INTRODUCTION

DETECTION

AUDIBILITE

CALCUL DES NIVEAUX SONORES CONCLUSION

(5)

Ce document dgcrit: une d t h o d e simple

a

employer pour dgterminer l e s

meilleurs endroits oil i a s t a l l e r des d&tecteurs de fmEe dans l e s batiments d'habitatfon. On y Qtudfe la dgtection des incendies et l W a u d i b i l i t i 5 de

1

'

alanm,

A sfmple procedure to determine the b e s t l o c a t i o n s for the installation of smoke detectors in residential buildings is presented, Consideration is

(6)

Les statistiques dgmontrent que 90

X

des d6cGs par le f e u surviennent dans

les batiments d'habitation et que 4 0 3 5 0

Z

de c e s dEcSs pourraient Gtre

& v i t g s gr3ce $ un bon a p p a r e i l ou rgseau di5tecteur et avertisseur

d'incendie. Etant donni5 qu'il existe des d&tecteurs de fumh

a

sonnerie

incorpork relativement peu cofiteuxl p2, t o u s les batiments d'habitation

devrafent en &re munis.

Ces dgtecteurs de futu6e ne sont efficaces que s m i l s sont install& aux endroits a p p r o p r i k . Il convient 3 cat: Egsrd de sc demander oa placer

Irappareil pour d e u x dstecter l'incendie et assurer ltaudibi1it6 de

1' alarm.

k dEtecteur de f u d e devrait, cela va de soi, Etre sit& pr2s dee endroits

03 le feu a 1e plus de chances dteclater. Une Qtude a montrs que 43 % des

incendles prennent naissance dans le salon, 22 X dans la chambrc, et 18 X

dam la cuisine ou la salle

a

manger. Ces lieux devraient &re consid5rGs

comme particuliSrement vuldrables*

La plupart des incendfes d'habitations surviennent lorsque les gens donaent;

79 X des sinistres Eclatent entre 2 0 h et 8 h, et 40 X entre minuit et 4 h. Sf on n'installe qu'un dgtecteur, ce devrait: &tre dans le corridor E n a n t aux chambres, le p l u s p r b possible de celles-ci, et les portes des chambres

devraient rester ouvertes. Si un incendie se dgclarait dam une chambre

dont la porte e a t fern&, la

E m &

ne pourrait sW6cbapper

et l'occupant d e la piSce pourraip mourir avant que le dgtecteur ne d g d l e la fumge et que l'alarme ne se dklenche. DE &me, lorsquvun dgtecteur e s t i n s t a l l 6 3

chaque &age dlune habitation dont toures les chambres sont B llBtage

s u p k i e u r , $1 faut placer l e dktecteur dam le corridor du haut.

M

encore,

les portes devtafent &tre laissses ouvertes. ZR dgtecteur de l'stage principal devrait atre sit& dans Te corridor adjacent au salon et

a

la salle 3 manger; celui du sous-sol devrait Ctre placE au plafond, prSa de

l1 es calf er menant 3 1 'Stage principal,

Afia de rEduire les risques de fausaes alarmes, 11 ne faudrait p a s placer le

dstecteur trop p r k de la salle de bain car la vapeur peut dklencher ltappareil, ni trop pres de la cuisine car les wapeurs de cufsson peuvent

provoquer la &me r k c t i o n .

Les dgtecteurs de f u d e peuvent €itre installgs au p l d o n d ou en partie haute dtun mur mais non pas 18 oa il y a de lr"air mort", par exemple

a

moins de 100 mm d'un angle. On n'a note aucune difference entre le temps de

r h c t i o n des dEtectetirs fi* au plafond e t celui des dgtecteurs muraux.

Etant d o n d que la majorit6 des incedfea surviennent lorspue les gens dorment, le signal dtalarme doit &tre suffis-nt puissant pour les ri5veiller.

(7)

11 est toujours p o s s i b l e de produire un niveau sonore assez 6levS pour

rgveiller d m e les personnes au sommeil lourd. Cependant, i l y a peu d e

chances qu'un t e l niveau convienne; il e s t s o i t t r o p d i f f i c i l e

a

atteindre dans un petit appareil, soit trop coateux pour le proprietaire moyen. Si le bruit de fond est f a i b l e , un nfveau de 75 dBA 3 la rEception est suffisant pour r6velllar l a majorit6 des gens; ce nfveau est considgrg come niveau

minimum acceptable pour les chambres.

.En raison du bruit de fond eleve provenant des appareils de cuisine, le

niveau du signal d'alarme d o l t Stre suffisamment .6lev6 pour etre entendu dans cetEe piSce; c'est pourquoi un niveau de 7 5 dBA e s t jugC convenable

pour les cuisines.

Il faut done vfser un niveau sonore de 75 d8A dans les chambres et la

cuiaine, et de 65 dBA dans les autres p i k e s . On ne tient pas compte de la

salle de b d n , car il e s t peu rgaliste de produire un niveau sonore assez gle* pour alerter une personae s e trowant sous l a douche.

Le niveau sonore d'un signal d'alarme nCest pas une proprfete fondamentale

de llalarme. LE m h dEtecteur de fm6e produira des nfveaux sonores

d i f fgrents sail e s t plac6 dans des pi2ces 'de dimensions d i f fgrentes ou

neublks differemmeet. Pm revanche; l a puissance sonore, qui e s t l a mesure de ltSnerg3e acoustique Emise par I1alarme, en est une propri6tE

fondamentale. In rappart entre la puissance sonore et le rulveau sonore peut

Ctre f l l u s t r 6 par llexemple de l'ampoule B l e c t r i q u e . Il suffit de comparer la puissance sonore

3

la puissance en watts de laampoule, et le niveau

sonore

Zl

l'iclairage produit par celle-ci. Taut en ayant la &me puissance,

l'ampoule de 60 watts &lairera mieux un petit local qu'un grand, ou une piece en miroirs qu'une p s c e peinte en noir.

Halheureusement, 11 n'existe pas dwStfquetage nomalisE, et on ne p e u t pas

toujours connaTtre la puissance.sonore drun apparel1 dons, La norme S531

des taboratoires des assurwrs du Canada exige que tous lee Gtecteurs de

fm6e 3 sormerie incorpork prodfifeeat, dans des c o n d i t i o n s dtessai

p 6 c i s e s , un niveau sonore minimal de. 85 dBA

B

3 m de distance. Cependant,

deux dEtecteurs peuvent produire un niveau sonore de 85 dBA mais avoir des

puissances sonores diffgrentes s ' i l s ne propagent: pas 1e son de la &me manisre.

La majoritE des dgtecteurs de fumEe p w r habitations ont une puissance

sonore de 95 3 105 dBA. h e puissance infsrieure

3

95 dBA peut &tre

insuffisante dans certaines circonstances; la puissance minimale acceptable

est donc de 95 dBA. Un dgtecteur de f d satisfaisant B la nome ULGS531

pwrrait avoir m e pulesauce souore aussi f a i b l e que 90 dBA, valeur quf e s t

de toUte gvidenee infgrieure au midm acceptable,

Le calcul du niveau sonore d'un dstecteur de fm6e pour chaque p i g c e d'une maison peut sleffectuer en plusieurs Eiiapes facfles. Tout d'abord, le

niveau sonore e s t grabli en Eonctio? de la p i S c e dans laquelle se trouve

llappareil. h i s on calmle dans quelle mesure ce niveau sonore e s t r&luit tors du passage d'une pisce

a

une autre.

(8)
(9)
(10)

Une fois connu l'affaiblissement acousCique dlune p i k e 3 l'autre, iI y a

deux autres facteum

a

considgrer. Premi2rement, sf. la porte sgparant les p i k e s e s t

fern&,

51 f aut enlever 10 dBA au niveau sonore. DeuxiZrnement

,

le rgseau de gaines des gGn6rateurs d'air c k u d pulsi5 pemet Egalment au

son de passer d'une pi8ce 3 l'autre. &ant donng que la plupart des maisons

sont dot6es d'un systame de ce genre, on en a tenu compte dans les tableaux.

Par contre, si l'habitstian ne cbmporte p a s de chauffage p a r a i r pulsg, il faut soustraire s i x autres dBA. Donc, dans l'exemple cf-dessus, si la porte

e s t fern&, oa soustrait 10 dB&, ce q u i donne 67 dBA, e t sf Ifhabitation

n'est pas chauffge par air pul&, on rgduit le niveau sonore de 6 dBA; on obtieat donc 61 dBA pour la chamhre.

Le niveau sonore dlune p u c e est simplement la difference eatre le niveau

sonore de la premisre p i h e et llaffaiblissement entre les d e w . Ce aiveau

de base sert ensuite au -calcuf du.niveau sonore de la p S c e suivante. Cette m e h o d e e s t ilLustrEe ci-dessous.

Prenans le cas de la maison uaifamiliale reprtisentbe b la figure 1. L e s renseignements nkessaires peuvent &t re imcrits dans un tableau, e t

l'affaiblissement aeoustique d i k e m i &

a

Ifaide du tableau 3,

Tableau 4 Affaiblissement acaustique pour lea pisces de la figure 1

P i k c e Snperficie CatGgorie Affaibl. Forte Affaibl. combing,

m2 de pi2ce dBA f e d e dBA

CUISINE SALOWSALLE

A

MANGER VEST1 RULE CORRI

W R

DU

BAS C O r n W R DU HAUT CfIAMBBE 1 cHAmBE 2 CHAMBRE 3

S U E

DE BAIN Mormale Absorbante: Absorbante Absorbant e:

Aux f i n s

de

cet exemple, on suppose que seules l e s portes de la salle de

bafn et du vestibule sont normalement f e d s .

Sf d'autrea

portes sont

normalement fe&es, il y a lieu de modifier le tableau. Oa suppose

Egalenuzgt que la maison e s t d o r e d'un chauffage p a r a i r pulsd; dans le cas contraire, l'affaiblissemerrt final serait de 6 dBA plus 6leviS pour routes les p i k e s .

11 e s t maintenant facile de calculer le niveau sonore de n'importe quelle

p i k e de la maison. Si le dstecteur de fmSe e s t i n s t a l l 5 dans le corridor

du hauc, cre qui reprgsente une pisce de 7,8 m2, le niveau sonore de c e t t e

p i k e (selon le tableau 2) e s t de 92,0 dBA, en supposant que lc dstectcur

(11)

corridor du haut, il f a u t traverser le corridor du bas; par consgquent, pour

calculer le niveau sonore d e la c u i s i n e , on doit trouver l'affaiblissement

entre le corridor du haut et celui du bas, p u i s l'affaiblissement entre le

corridor du bas et la cuisine.

MUR 2

SALLE A MANGER

VERS LE HAUT

Nivaau sonore du corridor du haut Affaiblissement entre ca corridor

et celul du bas (tableau 4)

Niveau sonore du corridor du bas

Affaiblissement entre ce corridor

et la cuisine (tableau 4 )

Mveau sonore de la cuisine

Le niveau sonore des autres piaces de la maison peut &tre calculS de la &me

f *on.

CORRIDOR DU HAUT .92,0 dBA

CORRIDOR DU BAS {CORRIDOR DU W T

+

CORRIDOR DU BAS) 92,O

-

10 = 8 2 dBA

SALON-SALLE ji MANGER ( C O ~ D D R ~ 1 3 HAW + CORRIDOR DU BAS -, SALOWSALLE

li

MANGER) 92,O

-

10

-

15 = 67 dBA

VESTIBUL~ {CORRIDOR DU HWT + CORRIDOR DU BAS -+

VESTIBULE)

92,O

-

10

-

16 = 66 dBA

CHAMBRE 1 CORRIDOR DU HAUT + CBAPiSRE 1

I

t

92,O

-

13 = 79 dBA

cHAM8BE 2 CORlUDOB DU UDT + CHAMBRE 2 92,O

-

1 5 = 77,O dBA

CHMBRE 3 CORRIDOR DU HAUT -t CHAMBW 3 92,O

-

12 = 80 dBA

(12)

Ces chiffres rnontxeat clairerncnt que tolites les chambres B coucher dgpassent le minimum de 75 dBA exigi5 et que l e s autres pieces dgpassent l e s 6 5 dBA

recommand'es. Ces niveaux ne sont toutefois gas beaucoup plus g l e v h que 1e

minimum, et si un appareil s t 6 S o ou un tglgviseur fonctionnait dans le

salon, le s i g n a l d'alarme ne serait peut-Qtre p a s audible. Dans la cuisine,

le aiveau est infErieur au niveau recommandE de 75 dBA et un appareil Qlectrdnager en marche empacherait peut-&re d'entendre la sonnerie. En

pareil cas, il serait plus prudent d'installer un second detecteur dans le corridor du bas. Par a i l l e u r s , il ast 3 noter que si les portes des

chambres g t a i e n t f e d e s

,

les niveaux sanores ne seraient pas aasee Qlevgs

pour rsveiller les occupants. h n s lea laaisons aa les portes des chambres sont habituellemenr fermges, il faudrait i n s t a l l e r un detecteur de f u d e

dans chaque chambre e t interconnecter l e s a p p a r e i l s a f i n qugils se

dgclenchent tous en &me t a p s ; sinon, 11 e s t peu probable que les occupants

puissent &tre alert& en cas d ' i n c e d i e .

La prgsence d'un s e u l dgtecteur de f d e dans le corridor du bas

d i d n u e r a i t de 11 dBA le niveau sonore des chambres, par rapport au signal produft par un dgtecteur plac6 dans le corridor du haut. Cela ne suffirait

p r o b a b l m n t pas 3 rsveiller les occupants.

Cet exemple ne fait aucune mention du sous-sol, mais

il

e s t facile dren calculer les nlveaux sonores. S ' i l y avait un s e u l dEtecteur dans le corridor du bas, la rEductlon serait de 15 dBA pour le vestibule, plus

10 dBA pour chaque porte f e d (une dans le vestibule e t une en haut de I'escalier d u sous-sol). Il s1agit 13 d'une rgduction de 35 dBA, &me sans

compter l'affaiblissement entre le vestibule et le sou-sol. Ainsi, le

sous-sol ntauralt qu'un niveau sonore de 57 dBA; si le d6tecteur Q t a l t

install6 au d e u x i h e Qtage, le niveau serait encore moins dlevE. Ik toute

gvidence, certe installatton n'alerterait pas une personne se trowant au

sms-801. Pour qu'un dormeur s o i t averti d'un incendie qui a iEclat6 au

sous-sol, il e s t impi5ratif qu'un dbtecteur y soit installE. Cependant, le

signal d r a l a m e ne serait: pas entendu dans les chsnrbres. Dans ce cas, on

reconrmande dtinterconnecter

les

dgtecteurs de f d e de f a p n qu'ils se

dklenchent tous en &me temps.

les calculs e f f e c r d s dans cet exemple sont fondgs sur lvhypothOse voulant que le dstecteur de fumk ait un niveau de puissance sonore de 95 dBA. Si

celui-ci n'gtait que 90 dm, le niveau sonme de toutes les pisces devrait &re rBduit de 5 dBA; il se situerait ainsi sous le seuil recol~mandE de

75 d3A. 11 faudrait alms installer un dstecteur dans chaque chambre a f l n dtobcenir la protection nEcesgaire. Ce p r o b l b e n'est pas facile 3 rboudre

et if ne sera pas rgsolu taut quton ne fixera pas m e puissance sonore

minimale ou que tous les dstecteurs de fum& ne porceront pas une etiquette indiquant clairement la puissance sonore.

Si on c o n n d t la puissance sonore d'un dgtecteur de f u d e , on p e u t utiliser la msthode propas& dans ce document pour assurer la protection a d h u a t e des

(13)

1. McGuire, J.H. " k s dgtecteurs dlfncendie dans les habitations". Mote

d'information sur la construction 9F, Divfsion des recherches sur le

bdtiment, Conseil national de recherches Canada, O t t a w a (1980).

2. Sultan, M.A. et Feldrnan, W.H. " W k e Ale- in the Home: What Every Physician Should bow". Revue de llAssociation m a i c a l e canadienne,

Figure

Tableau  4  Affaiblissement acaustique  pour  lea  pisces  de  la  figure  1  P i k c e   Snperficie  CatGgorie  Affaibl

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