• Aucun résultat trouvé

Présentation IFSI 2017

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Présentation IFSI 2017"

Copied!
17
0
0

Texte intégral

(1)

Présentation IFSI 2017

Olivier DRIGNY

VP CNOI

(2)

Introduction

Compétences

Identité professionnelle

Posture professionnelle

Autonomie professionnelle

Délégation

Coopération dans les soins

Collaboration

Inter disciplinarité

(3)

La démarche éthique

Qu’est ce que l’éthique ?

L’éthique est une réflexion qui vise à déterminer le bien agir en tenant compte des contraintes relatives à des situations déterminées.

L’éthique ne donne pas de réponse visant à l’universalité : elle ne forme pas des principes, mais les questionne afin de les actualiser au regard des situations rencontrées. Il s’agit de questionner l’action sous l’angle des valeurs et ainsi de dépasser une logique d’action purement technique.

Dans le soin et l'accompagnement le malade "est" un être vivant, et la mort comme un processus naturel. Dispenser des soins c'est aussi chercher à éviter les investigations et les traitements déraisonnables. la pratique clinique, l'enseignement et les

travaux de recherche, sont réalisés dans une démarche éthique Savoir soigner / savoir transgresser

Risque de fracture du fémur / certitude de perte d'autonomie?

(4)

Identité (viens de idem)

Ce qui est semblable : c'est aussi ce qui fait la particularité d'une personne qui

se connaît

et qui peut alors

reconnaitre l'autre

(patient ou PS)

1 : L'identité est le caractère de ce qui est identique ou confondu.

2 : L'identité est ce qui fait qu'une chose ou un être vivant est le même qu'un autre. C'est pouvoir regrouper plusieurs de ces choses ou êtres vivants sous un même concept, une même idée.

3 : L'identité

est ce qui permet de différencier, sans confusion possible

, une personne, un animal ou une chose des autres.Ex : carte d'identité, photo d'identité.

Ces informations permettent d'individualiser quelqu'un : nom, prénom, filiation, date et lieu de naissance, empreinte digitale, empreinte génétique, etc.

Tintin / Milou / Archibald haddock =>

En psychologie, l'identité est la conscience que l'on a soi-même, ainsi que par la reconnaissance des autres, de ce que l'on est, de son moi. Elle permet à l'individu de percevoir ce qu'il a d'unique, c'est-à-dire son individualité.

(5)

Historique de la profession

Historiquement

l’infirmière est une interface entre le patient et le médecin

: on subordonne la pratique infirmière à des savoirs médicaux, scientifiques et techniques, extérieurs à la profession naissante et enseignée par des hommes médecins.

L’infirmière devient une traductrice, médiatrice entre le monde (masculin) de la science médicale et le public à la fois ignorant et profane.

Les savoirs d’expérience issus de la pratique sont dévalorisés face aux savoirs scientifiques

provenant des laboratoires de recherche. À

l’origine l’infirmière est une exécutante au service dont les savoirs ne sont pas produits par elles mêmes.

Dans un premier temps la profession est exercée par des

religieuses

et donc les valeurs du soin sont empreintes de notions religieuses, au milieu du XX siècle, des modèles soignants font leur apparition. En France au début du XX siécle Léonie Chaptal va s’inspirer du modèle anglo-saxon tout en

transformant les valeurs religieuses en valeurs morales

constitutives d’une morale professionnelle avec un approche globale du patient : « l’infirmière doit savoir tout du malade, non pas tout de la maladie : la maladie, c’est la science du médecin, le malade, c’est l’art de l infirmière ». Il est à noter qu’elle ne situe pas dans le même champ puisqu’elle détache une pratique, médicale, scientifique d’une pratique infirmière « artistique ». La pratique artistique étant aux antipodes d’une pratique scientifique.

Au cours du xx siècle la profession accède à un diplôme reconnu, à des niveaux d ‘entrée en formation, à la

mise en

place d’un rôle propre

. Ces faits font partie de la reconnaissance institutionnelle d’une profession. L'ordre Infirmier est un autre aspect de cette reconnaissance. (Code de déontologie)

(6)

Le fondement de l'identité professionnelle des infirmières

identité professionnelle des infirmières, partage commun de la profession et base de son identité. ( C'est un concept)

De nos jours, l'infirmière ou l'infirmier est une « personne qui donne en application du rôle propre qui lui est dévolu des soins infirmiers. Ceux-ci peuvent faire suite à une prescription de soins, d'examens ou de traitement . L'infirmière ou l'infirmier réalise / participe à différentes actions, notamment en matière de prévention, d'éducation de la santé et de formation ou d'encadrement. » (interprétation du code de la Santé Publique).

Elle possède donc un rôle prescrit, et un rôle propre, (ou rôle autonome), intimement liés

. Sa profession est définit par le code de la santé publique, réglementée par des lois, des décrets, des règles professionnelles, un code de déontologie , qui spécifient notamment les obligations pour exercer.

Une approche dite fonctionnaliste qui caractérise l’individu par le rôle et le statut que lui donne l’ensemble de la société. A chaque statut (avocat, médecin, infirmier) est associé non seulement des compétences, des savoirs mais aussi des attributs (stéthoscope), un rôle. Ce rôle est un ensemble de comportements attendus de la part d’une personne par la société. Toute la société pousse chaque personne à intégrer un rôle, des comportements attendus. Dans cette vision c’est la culture commune, la société qui va permettre la construction d’une identité.

La limite de cette approche est que l’individu ne fait que se conformer à une norme. Il n’a de choix que dans l’acceptation des attributs que ceux que la société lui confère. Depuis les années 2000 elles refusent « d’être appréciées en fonction de qualités attendues comme le dévouement ou la gentillesse, elles ne veulent plus être considérées comme des subordonnés et réclament une réelle acceptation de leur professionnalité ».

c'est un concept qui n'existe qu'entre un IDE et un patient dans un contexte donné (dépends entre autre de la distance)

(7)

Construction de l’identité infirmière 1

La construction de l’identité professionnelle pour les étudiants en soins infirmiers est décrite par le sociologue F DAVIS en 1958. Il la présente en 6 étapes :

L 'innocence initiale qui est la phase durant laquelle l’étudiant est rempli de ses certitudes (fiéreté de son savoir) La reconnaissance de l’incongruité : choc avec la réalité et la confrontation entre leurs représentations et les

attentes du monde professionnel (ce que je sais devoir faire et ce que l'on attends de moi (technique de soins)) Le déclic : prise de conscience des attentes et comment répondre aux mieux à ses attentes

La simulation du rôle : la mise en œuvre du rôle attendu avec une « aliénation de soi », l’étudiant répond aux attentes du groupe et plus il joue à l’infirmier moins il a conscience de jouer un rôle, il se persuade de son authenticité.

(perte de valeurs éthiques?)

L’intériorisation provisoire: l’intériorisation provisoire se caractérise par des périodes de doutes sur les capacités, avec deux pivots essentiels à l intériorisation stable qui sont la rhétorique professionnelle et l’émergence de modèles de référence infirmiers.

L’Intériorisation stable consiste à ignorer certains aspects de soi au profit sa nouvelle identité.

(8)

Construction de l’identité infirmière 2

Le passage d’une identité à une autre est donc le conflit entre une représentation et la conformation à une autre identité, pour pouvoir être accepté par le groupe auquel l’étudiant aspire. D’après cet enchainement il y a un passage d’un état pré infirmier à un état de comme un infirmier, or dans la situation, il y a un autre « déclic », qui correspond à la découverte de valeurs soignantes, de références culturelles . Cependant l’identité infirmière en tant que telle est une notion en débat puisque nous sommes une profession para médical

non médical

(ou PS ), c’est à dire à coté du médical avec un système de valeurs qui se veut différent, des savoirs différents et des modèles théoriques différents dans un monde qui lui aussi évolue.

Pour obtenir une profession para médicale

non médicale

possédant les caractéristiques d’une profession autonome Une profession paramédicale

non médicale

peut atteindre le degré d’autonomie d’une profession à la condition de contrôler un domaine d’activité disjoint qui peut être isolé du champ global de la médecine et où la pratique n’exige pas le contact quotidien avec le médecin ni le recours à leur autorité.

On retrouve la question du rôle propre infirmier, les limites de son champ d’action

(9)

Le rôle propre en question 1

En 1978, le métier infirmier accède à une part d’autonomie avec la reconnaissance d’un rôle propre. Ce rôle propre est un passage d’un métier à celui de profession. Il permet une autonomie de décisions, d’actions et donc d’évaluation de ses actions à l’infirmier.

Depuis plus de vingt ans on entend parler de crise identitaire. Il est vrai que l’identité ne devient une préoccupation et un objet d’analyse que « lorsqu’elle ne va plus de soi, que le sens commun n’est plus donné d’avance et que les acteurs n’arrivent plus à s’accorder sur la signification de la situation et les rôles qu’ils sont censés tenir. » Le changement de repères dans un système en constante évolution, la perte de modèles antérieurs provoquent une certaine incertitude, un déséquilibre.

En demandant l’instauration officielle d’un rôle propre, les infirmiers cherchaient la reconnaissance d’une zone d’autonomie voire d’indépendance dans leur exercice. Mais aujourd’hui, les infirmiers ont toujours une autonomie limitée : du point de vue juridique comme sociétal, le pouvoir est resté médical.

Pourtant, l’autonomie est l’une des finalités de la professionnalisation, en tous cas, celle voulu par les professionnels.

(10)

Le rôle propre en question 2

1 Par l’appropriation du rôle propre 2 Par le partage de mêmes valeurs

3 Par le développement d’une attitude professionnelle en fonction de l’éthique 4 Par l’élaboration d’un raisonnement

5 Par la connaissance de techniques à utiliser en fonction des pathologies

Ainsi, les étudiants infirmiers, pour devenir professionnels, doivent apprendre à prendre des initiatives, à s’émanciper pour prendre seul des décisions adaptées.

Il semble évident qu’à l’intérieur d’un domaine spécialisé tels que les soins infirmiers, on ne peut s’adapter et créer sans posséder déjà le savoir-faire technique. Or tout soin est singulier et unique alors ne devient-on pas infirmier en même temps qu’on devient adaptable et créatif ?

Ces deux notions d’adaptabilité et de créativité implique que l’étudiant doit apprendre à s’autoriser, « à se situer lui-même comme étant à l’origine, à la source de son propre devenir ». Mais la formation initiale d’aujourd’hui permet-elle un apprentissage dans cette logique ? Comment évoluent les étudiants en soins infirmiers au cours de leur formation en regard des postures d’agent, d’acteur et d’auteur ? Quelle identité construisez vous ?

(11)

Collaboration

Collaboration c'est travailler ensemble dans un même objectif (collaboration libérale incompatible avec salariat pour les libéraux il y a des contrats avec clauses obligatoires.

Coopération entre PS article 51 lois HPST

(12)

Délégation 1

La délégation vient du latin délégation. C’est une procuration, un mandat pour agir à la place de quelqu’un. C’est un acte juridique : délégation de pouvoir ou de signature (modèle de Taylorisme).

Le délégant ou délégateur, est la personne qui donne une délégation.

Le délégataire est la personne qui reçoit la délégation, chargée de réaliser celle ci.

Mieux comprendre les rouages de la délégation permet de mieux en apprécier les enjeux.

En aucun cas il ne s’agit de se débarrasser de missions jugées fastidieuses par le cadre, ou dévalorisantes (présence à une réunion « rasante » !). Le délégataire ressent parfaitement l’importance ou la non importance de sa mission.

Abandonner un collaborateur à des missions difficiles et complexes n’est pas non plus la solution pour générer une dynamique d’équipe ! Le caractère « délégable » de la situation est examiné avec attention pour éviter les dérives et les échecs.

L’exercice professionnel infirmier bénéficie d’une abondance de textes juridiques et législatifs. Le non respect de ceux ci entraîne la faute (de service, pénale, civile, disciplinaire, voire déontologique) et implique donc la responsabilité, la culpabilité.

La grande force de cette profession est qu’elle peut ainsi déléguer (ou plutôt « prescrire ») un certain nombre d’actes qui sont tracés, identifiés et précisés [1] Toutefois, notons aussi que pour savoir déléguer aux aides-soignants il faudrait que le vide législatif soit comblé en terme de compétences de ces derniers !

La délégation née de la réflexion

(13)

Délégation 2

Les conditions de réalisation de la délégation pour qu’elle ait toutes les chances de réussir => Le contrat La délégation est un contrat , un consentement bilatéral.

La délégation discrétionnaire est un principe de non justification du choix du délégataire et du contenu de la délégation.

Avant de décider de déléguer, une période probatoire peut être envisagée. C’est le cas, notamment, des « faisant fonction » de cadre, délégataires de la direction des soins qui met à l’épreuve certains professionnels (sous le contrôle « délégué » d’un cadre supérieur). Les composantes de cette délégation sont vecteurs de « l’autre » comme être humain reconnu, dynamique de changement dans l’évolution des mentalités. La mission doit être précisée. Pour apprécier les capacités des collaborateurs choisis, il est important de baliser l’exercice de la délégation.

La compréhension de la mission : il faut avant tout s’en assurer. Les compétences techniques ou intellectuelles sont évaluées, complétées si besoin (formation) pour permettre au délégataire de réaliser ce contrat. La plupart du temps, la délégation reste orale (contrat?) . Toutefois, il est possible, et même souhaitable, de formaliser ces dispositions.

(14)

L’interdisciplinarité 1

Les principes d’un travail en interdisciplinarité :

Définir clairement les rôles et les missions de chacun.

Tenter d’utiliser un langage commun. Le jargon professionnel est improductif.

Exprimer de manière explicite ses besoins, ses attentes et inviter nos interlocuteurs à clarifier leurs besoins, leurs attentes.

Faire preuve d’authenticité, d’honnêteté.

Reconnaître ses propres limites en terme de connaissances, de compétences et de niveaux de responsabilité.

Porter un regard réflexif sur soi : « est ce que j’écoute l’autre ? » ; « est ce que je respecte ses valeurs et ses idées qui diffèrent des miennes ? » ; « est-ce que je connais le champ d’action de l’autre et reconnais ses compétences ? » ; « est-ce que j’ai confiance en l’autre ? »

Structurer l’information au travers du dossier de soin du patient, du carnet de transmission à domicile.

Ces outils permettent d’assurer la continuité des soins

(15)

L’interdisciplinarité 2

Les principes d’un travail en interdisciplinarité :

Définir clairement les rôles et les missions de chacun.

Tenter d’utiliser un langage commun. Le jargon professionnel est improductif.

Exprimer de manière explicite ses besoins, ses attentes et inviter nos interlocuteurs à clarifier leurs besoins, leurs attentes.

Faire preuve d’authenticité, d’honnêteté.

Reconnaître ses propres limites en terme de connaissances, de compétences et de niveaux de responsabilité.

Porter un regard réflexif sur soi : « est ce que j’écoute l’autre ? » ; « est ce que je respecte ses valeurs et ses idées qui diffèrent des miennes ? » ; « est-ce que je connais le champ d’action de l’autre et reconnais ses compétences ? » ; « est-ce que j’ai confiance en l’autre ? »

Structurer l’information au travers du dossier de soin infirmier du patient pour assurer la continuité des soins .

(16)

Inter-professionnalité

Inter-professionnalité / Pluri-professionnalité

Cela consiste à faire travailler ensemble différents professionnels du même domaine mais issue de professions

différentes dans un intérêt commun par la complémentarité, la mise en synergie des compétences, l’échange et le partage des compétences.

Dans le domaine de la santé, l’inter professionnalité est un ensemble de relations et d’interactions qui permettent à des professionnels de mettre en commun, de partager leurs connaissances, leur expertise, leur expérience pour les mettre de façon concomitante au service des clients et pour le plus grand bien de ceux-ci.

Travail en équipe / Travail d'équipe

Le travail en équipe est un moyen efficace permettant de faire des apprentissages liés à un domaine de formation; c'est un moyen d'apprentissage é dans la plupart des

programmes de formation générale ou professionnelle.

Le travail en équipe est aussi un moyen efficace pour faciliter l'épanouissement personnel de l'individu, pour développer des habiletés et des attitudes favorisant l'affirmation de soi et les relations saines avec les autres. En ce sens, le travail en équipe est un outil de formation personnelle et sociale 'il fournit à l'individu des occasions d'apprendre à se connaître, à reconnaître ses limites, à utiliser son

leadership, à se responsabiliser face à d'autres personnes, à faire valoir ses idées et ses points de vue, à s'ouvrir aux autres, à écouter et à questionner les idées des autres.

Une équipe peut être définie comme étant un groupe de personnes interagissantafin de se donner ou d'accomplir une cible commune, laquelle implique une répartition de tâches et la convergence des efforts des membres de l'équipe. Cette définition fait ressortir trois caractéristiques essentielles que présente une équipe de travail:

une cible commune: un but ultime à atteindre, un produit final à réaliser;

une tâche à opérationnaliser : une opération qui s'appuie sur les moyens, ressources et outils de chacune ainsi que sur une procédure spécifique à suivre;

la convergence des efforts de chacun des membres: une collaboration, lors de

la réalisation des tâches, qui s'exerce dans un climat de travail sain et de

(17)

Travail en équipe / Travail d'équipe

Le travail en équipe est un moyen efficace permettant de faire des apprentissages liés à un domaine de formation; c'est un moyen d'apprentissage é dans la plupart des

programmes de formation générale ou professionnelle.

Le travail en équipe est aussi un moyen efficace pour faciliter l'épanouissement personnel de l'individu, pour développer des habiletés et des attitudes favorisant

l'affirmation de soi et les relations saines avec les autres. Il permet aussi d'utiliser son leadership, à se responsabiliser face à d'autres personnes, à faire valoir ses idées et ses points de vue, à s'ouvrir aux autres, à écouter et à questionner les idées des autres.

Une équipe peut être définie comme étant un groupe de personnes interagissantafin de

se donner ou d'accomplir une cible commune, laquelle implique une répartition de tâches

et la convergence des efforts des membres de l'équipe. Cette définition fait ressortir trois

caractéristiques essentielles que présente une équipe de travail:

Références

Documents relatifs

Tout au long d’une rencontre, les participants modifient la relation qu’ils entretiennent avec la cible commune.. Ils s’expriment, se taisent, sont parfois distraits ou

Il s'agit d'accompagner les familles éligibles (allocataires CAF selon quotient familial) dans l’élaboration de leur projet vacances en famille ou pour un départ enfant

Avec tamazight, nous avons l’exemple d’une langue en situation de minorisation sur le marché linguistique national, mais qui, cependant, a fait l’objet d’une

Le Mali a su également tirer profit du Cadre intégré renforcé (CIR) grâce à l'opérationnalisation de son Unité de mise en oeuvre, à travers laquelle

• Fièvre au retour d’un pays en zone d’endémie palustre = accès palustre jusqu’à preuve du contraire. • Accès palustre = potentiellement mortel =

L’objectif principal de réduire les quantités de cuivre métal ( 1,4 kg en 2019) est en bonne voie avec le travail fait sur les préparations de plantes. Aisé à gérer lors

Les demandeurs invités à soumettre un formulaire complet de demande suite à la présélection de la Note succincte de présentation doivent le faire à l’aide de la partie B

- L'eau municipale dont les caractéristiques chimiques sont à retirer auprès du service municipal des eaux doit comporter une teneur en ions sulfate largement inférieure à 100 mg.L -1