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La représentation de la Suisse à l'étranger.

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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

p a

Neuvième Année. — N° 6.

P r i x d u n u m é r o 1 0 c e n t i m e s .

Jeudi 17 Janvier 1895.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 2 7 .

ABONNEMENTS

Un an: Six mois:

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. :i»—

Union postale » 12»— » 6»—

On s'abonne a tous les bureaux de poste

Paraissant le Jeudi et le Dimanclie à la Chanx-âe-Fonis.

ANNONSES

l-iOvenant, de la Suisse 20 ct.laligne

» de l'étranger 25 » » Minimum d'une annonce oO cent.

LPS annonces se paient d'avance.

O r g a n e «le I;» K€>eSété i n t c r c a u t o n a J e d e s I n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r e s d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t s p r o f e s s i o n n e l s .

La représentation de la Suisse à l'étranger.

O n d i s t r i b u e a u x é l e c t e u r s s u i s s e s le texte d ' u n e loi f é d é r a l e s u r l a q u e l l e ils s e r o n t a p p e l é s à s e p r o n o n c e r p a r o u i o u p a r n o n le '.\ février p r o c h a i n . C e t t e , loi c o n c e r n e , c o m m e o n s a i t , la r e p r é -

s e n t a t i o n d e la S u i s s e à l ' é t r a n g e r . E n voici les p r i n c i p a l e s d i s p o s i t i o n s :

ArI. I1'1'. La représentation de la Suisse à l'étranger est réglée conformément a la cons- titution ftVlerale et dispositions suivantes.

Art. 2. La création et la suppression des postes diplomatiques permanents sont sou- mises à lu décision de l'assemblée .fédérale par la voie budgétaire cl à la suite de messages spéciaux du Conseil fédéral.

Art. 3. La nomination, le déplacement et la fixation du rang des représentants diploma- tiques et du personnel militaire auxiliaire qui peut leur être adjoint incombent au Conseil fédéral, ainsi que la surveillance et l'organi- sation du service.

L'envoi de commissaires et d'agents diplo- matiques en mission spéciale et temporaire est également du ressort du Conseil fédéral.

Art. 4. La création et la suppression des postes consulaires, de même que la nomina- tion et la tixnlion du r a n g des agents consu- laires, appartiennent au Conseil fédéral.

Les dispositions des articles "2 et 3 s'appli- quent aux consulats de carrière et au personnel qui leur serait attaché.

Haas la r è g l e , les consuls honoraires désignent eux-mêmes le personnel dont ils pourraient avoir besoin. Ils en sont alors res- ponsables.

Art. 5. Le Conseil fédéral règle, par voie d ordonnance, tout ce qui concerne les de- voirs, les compétences, les fonctions et les émoluments des représentants de la Suisse à I étranger.

Art. Ii. Tous les agents diplomatiques ou consulaires et leur personnel sont placés sous la surveillance du Conseil fédéral. Il peut, en tout temps, les rappeler, les relever ou les suspendre de leurs fonctions.

Art. ι. Les crédits nécessaires sont fixés annuellement par voie budgétaire p o u r e h a q u e poste diplomatique ou consulaire. Les sommes affectées aux traitements, indemnités de pla- cement, frais de chancellerie, dépenses extra-

ordinaires, etc., seront mentionnées spéciale- ment. Les traitements seront portés séparé- ment pour chaque fonctionnaire ou employé.

— L a S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e îles i n d u s - t r i e s d u J u r a , q u i a p r i s p o s i t i o n d a n s la q u e s t i o n , v i e n t d e p u b l i e r , p a r l a p l u m e d e s o n p r é s i d e n t M . - R . C o m t e s s e , u n e b r o c h u r e d ' u n e t r e n t a i n e d e p a g e s , d a n s l a q u e l l e l ' a u t e u r r é s u m e l e s m o t i f s q u i m i l i t e n t e n f a v e u r d e l ' a c c e p l a l i o n d e la l o i .

U n c e r t a i n n o m b r e d,'.exemplaires d e c e t t e b r o c h u r e s o n t d é p o s é s a u s e c r é t a - r i a t d e la C h a m b r e c a n t o n a l e d u c o m - m e r c e , à la C h a u x - d c - F o n d s .

Un rêve d'ouvrier

IL i . Connais.

Création de connais de carrière protégeant efficacement nos nationaux sur chaque place importante de commerce à l'étranger, afin que nos montres soient vendues directement par nous, Suisses producteurs, au lieu de passer par 3 ou 4 intermédiaires, avant d'ar- river dans la poche de l'acheteur.

2. Grossistes étrangers et grossistes , suisses.

Départ pour l'étranger de quelques centaines de jeunes horlogers capables et sérieux, allant nous créer de bons débouchés, nous permet- tant de nous passer des grossistes do Londres.

P a r i s , New-York, Vienne ou Berlin, qui, s'ils ont les gros risques, ont aussi les gros bénéfices.

3. Ventes forcées et achats au-dessous du cours.

Nos gi'os négociants ont aussi compris que leur ruine allait de pair avec celle des petits, du train dont ça marchait. Ils refusent tout achat à 5, 1 0 o u l 5 ° / o au-dessous des cours n o r m a u x : dès lors les ventes forcées j o u r n a - lières ont cessé, faute d'acheteurs, et les bro- canteurs d'horlogerie ont disparu totalement.

Celui qui ne peut vendre sa marchandise la garde, mais ne la donne plus.

Les acheteurs non sérieux de l'étranger ont aussi beaucoup diminué leurs visites sur nos places d'achat.

4- Fabricants et termineurs.

N o s fabricants refusent toute commande offerte au-dessous du prix normal et ainsi ho sont plus obligés d'avoir recours a u x termi- neurs, qui, eux. entreprenaient la fabrication do ces montres souvent forcément et sachant que le gain serait nul à peu de chose près.

• Les termineurs sont rentrés, pour la plupart, visiteurs ou bons remonteurs, payés suivant leurs capacités, dans les places qu'ils avaient dû quitter. Les repassages, démontages et re- montages étant trop mal p a y é s , ils avaient essayé de la fabrication. N'ayant pas de capi- taux suffisants pour faire un certain stock, ils avaient tous les soucis des échéance et la perspective des gains incertains, car chacun sait qu'en horlogerie, le plus petit fabricant devrait posséder fr. 20,000 au m i n i m u m , pour n'être pas à la merci de son acheteur.

On a ainsi 500 fabricants de moins, mais c'est un b i e n : aussi quel soulagement pour l'ouvrier travaillant à domicile, pour le chef d'atelier, d'oser livrer 1 carton de plantages, ou 6 boites d'or, sachant que, sûrement, ils seront payés, comme dans le bon vieux temps, sauf le cas de perte réelle ou de faillite sérieuse, deux choses qui vont avec le monde, que. le plus sage ne pourra éviter, mais dont le nom- bre a considérablement diminué.

5. Escomptes et billets.

P o u r tout ce qui est de la fabrication de la montre, delà façon delà boite au contre-pivot, l'escompte a vécu.

On fixe des prix entre fabricant et fournis- seur ou ouvriers, on accepte ou non, mais cent francs, c'est cent francs et non plus 95 ou 1)7 francs.

Personne ne crée ni n'accepte plus ni traites ni effets que les négociants inscrits au registre du commerce: les banques ont peut-être per- du une certaine clientèle, mais le papier en cours est plus solide, plus sérieux, les échéan- ces à 4 ou 5 mois ont totalement disparu, c'est du 90 jours au m a x i m u m ou du comptant 3°/o pour le commerçant.

P e r s o n n e ne faiblit devant l'argument que les acheteurs étrangers imposent de plus longs crédits.

6. Ecoles d'horlogerie.

Les règlements de nos écoles d'horlogerie ont été complètement réformés ; on a compris qu'étant subventionnées par la Confédération, l'Etat et les communes, ce sont des établisse- ments nationaux. Les étrangers ne résidant que temporairement au pays y sont nd-

•-• - l .

(2)

·. , '

28 L A F E D E R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E

mis en payant t'r. 10 d'écolage par jour, ce qui permet d'y admettre, à peu près gratis, de nombreux jeunes gens pauvres du pays et de diminuer les frais que t'ont les communes pour ces utiles établissements.

On a bien craint, au début, que cette me- sure nous fassent perdre des clients: mais maintenant que nous allons nous-mêmes ven- dre nos montres à l'étranger, que les ache- teurs ne viennent plus nous faire faire la queue à leur porte d'hôtel, que peut nous faire qu'il en vienne m o i n s , étudier dans nos écoles d'horlogerie le prix de revient d'une montre à LOcts. prés, ou nos outillages dans nos écoles de mécanique, pour nous faire la barbe en- suite, comme c'était encore le cas en 1894?

7 . Rhabillews.

P o u r le rhabillage, vu que nous étions trop nombreux en fabrique, nous sommes allés nous établir à l'étranger et rhabiller nos mon- tres sur place. Ces rhabilleurs sont devenus des vendeurs qui sont connus, qui ont laissé une famille au pays, dont plusieurs représen- tent leur père, leur frère, leur ami. En répa- rant bien la montre suisse, ils l'ont fait mieux connaître, apprécier, eL vendent chaque jour de plus grandes quantités.

C'est un bien dont nous ne saurions assez nous féliciter, car, en face de la concurrence étrangère, il s'agissait de veiller au grain, en luttant surtout par la qualité et non pas tou- jours par le franc en plus ou en moins, sys- tème déplorable, qui nous avait mis au bord de l'abîme.

8. Fabriques.

En 187(>. un fabricant du Locle, revenant de l'Exposition de Philadelphie, ayant visité les fabriques américaines d'horlogerie vint jeter un cri d'alarme dans tout le pays.

Gréonsdcsfabriqucs complètes, tel fui le cri général : et les fabriques poussèrent comme des champignons. Le plus petit village voulut avoir la s i e n n e ; beaucoup ne firent pas même les frais généraux, ayant une production trop restreinte et une absence complète de connais- sances commerciales. Les fabriquesde blancs existantes, de peur de voir des manufactures faisant la montre complète, accaparer la pro- duction et supplanter leurs clients les fabri- cants d'horlogerie produisant à l'ancien sys- tème, transformèrent leur outillage méca- nique et ainsi on se trouva en face d'une sur- production effrayante.

Le pas était fait, inutile de reculer de songer à faire de nouveau la montre à la main, la machine remplace la main d'oeuvre dans toutes les industries et nous subissons la loi com- m u n e .

D'ailleurs, beaucoup de pièces détachées de la montre gagnent en qualité et exactitude a être construites mécaniquement : seulement, à coté île la surproduction existait un mal, auquel il s'agissait de p a r e r : c'est que trois ouvriers travaillant à la machine font souvent le travail de 6 à 7 ouvriers produisant, en vertu du système employé il y a 25 a n s .

Il-a fallu forcément diminuer le personnel de chaque fabrique ou atelier, mais augmen- ter la valeur des travailleurs. Les ouvriers travaillant a u x machines sont mieux payés, car maintenant ils sont plus sérieux et plus capables, ils ont fait de bons apprentissages et possèdent tous les éléments de la science mécanique.

ç). Ouvriers incapables.

On a mis le holà à la nécessité qu'il y avait, vu les prix anciens, de prendre un m a n œ u v r e incapable pour une machine et recevoir pour ce travail fr. 1.50 par jour, au détriment des bons ouvriers. Chaque ouvrier, maintenant, homme ou femme, doit avoir les capacités re- quises par le métier: n'est plus horloger qui veut ; il faut savoir faire les accessoires de ses machines : fraises, tarauds, burins, filière,

etc. L'ouvrier a vu son salaire s'augmenter, sa dignité grandir : les fabricants, dotés d'un personnel plus capable et mieux payé, pro- duisent une qualité supérieure qui se vend beaucoup m i e u x : l'ouvrage mal fait, étant trop mal payé, a presque disparu et les inca- pables ont fui nos ateliers.

ίο. Conférences borlogères.

Depuis ,1895, chaque hiver, toute localité horlogère du J u r a suisse reçoit la visite de personnes capables et de bonne volonté, qui donnent des conférences publiques et g r a - tuites sur tous les sujets traitant des intérêts généraux de notre horlogerie. Ces conféren- ciers ne sont défrayés par l'Etat que de leurs frais de voyage.

Statistique horlogère, réforme dans la fabri- cation, émigration h o r l o g è r e . création de bibliothèques horlogères dans chaque village, création de syndicats sur de nouvelles bases, caisses de prévoyance. d'assurance en cas d'accidents ou de c h ô m a g e , relations entre patrons et ouvriers, questions de salaires, conditions de paiements, tout est passé en re- vue : ou instruit ainsi le peuple horloger, en lui faisant sentir sa responsabilité, ses droits et ses devoirs, et de très bons résultats pratiques sont sortis de cette innovation, qui coûte peu et produit beaucoup.

i i . Métiers abîmant l'horlogerie.

Une des questions les plus complexes et qui a donné le plus de mal à résoudre, était

•celle des paysans horlogers, contrebandiers hprlogers, épiciers horlogers, etc., en un mot, de tous ceux qui ne faisant de l'horlogerie qu'un métier accessoire pour obtenir un sur- croît de gains, allaient baisser les prix, ne permettant plus de vivre à ceux qui, Λ côté d'eux, s'occupaient exclusivement d'horloge- rie.

On citait tel paysan, ayant domaine à lui, ue payant aucune location , qui faisait des plantages à "25V0 au-dessous du prix n o r m a l .

Et les contrebandiers de la frontière fran- çaise, qui innondaient le J u r a suisse de leurs produits de mauvaise qualité en pièces déta- chées surtout, ouvrage fait entre deux expé- ditions de contrebande et vendu à tels prix que le gain en était calculé à raison de douze centimes l'heure. Et ces produits ne payaient pas même le droit d'entrée dérisoire de un franc par kilo de pierres, ni de roues de cy- lindre, tandis que nos nationaux ne pouvaient aller à Morteau faire voir 12 cadrans ou 36 ressorts d'échantillons, sans avoir patente française en poche, coûtant fr. :500 ! Abus criant qui a été réformé.

Les paysans , contrebandiers . épiciers et aubergistes ont éLé laissésà leurs occupations respectives par nos fabricants : on ne fait plus de l'horlogerie une industrie accessoire, au détriment de ceux qui ne vivent que d'elle.

On a réformé un abus qui, s'il avait continué, aurait obligé chaque fabricant de montres courantes, chaque ouvrier y travaillant, à être dotés, par la munificence de l'Etal, d'un do- maine de 5 à fi vaches, l'aidant à vivre et à élever sa famille honnêtement !

i-j. Apprentis.

La question des apprentis a aussi été exami- née à fond.

De 18U0 à 1894·, une quantité d'ateliers ne possédaient pas d'ouvriers. Tous les G mois, on faisait une nouvelle fournée d'apprentis non payés, travaillant mal, mais permettant à celui qui les employait de livrerde l'ouvrage 20°/» meilleur marché que la concurrence.

Une des conséquences directes de ce système était aussi la surproduction de personnel hor- loger incapable, dans un moment, où il aurait fallu, au contraire. Ie restreindre.

(A suivre.)

L'horlogerie et la reprise des négociations commerciales avec la France

M e r c r e d i s o i r a eu l i e u , à B e s a n ç o n , à l ' H ô t e l d e Aille, l ' a s s e m b l é e g é n é r a l e d u S y n d i c a l d e la f a b r i q u e

V o i c i , d ' a p r è s la Franche-Comté, la m o t i o n q u i a é l é a d o p t é e à L ' u n a n i m i t é .

« S u r la q u e s t i o n d e la r e p r i s e d e s r e - l a t i o n s c o m m e r c i a l e s a v e c la S u i s s e :

« L e c o m i t é m i x l e e s t i m e :

u Q u e s'il esl d é s i r a b l e en p r i n c i p e q u e d e b o n n e s r e l a t i o n s c o m m e r c i a l e s s o i e n t r é t a b l i e s e n t r e la F r a n c e et la S u i s s e :

« U n ' y a l i e u à r e p r e n d r e les n é g o - c i a t i o n s d a n s ce b u t q u e l o r s q u e l'in- d u s t r i e h o r l o g è r e s u i s s e a u r a e x p r i m é u n s e m b l a b l e s e n t i m e n t ;

« E l au c a s é c h é a n t d e la r e p r i s e ell'ec- livc d e s n é g o c i a t i o n s , (pie les p o u v o i r s p u b l i c s en F r a n c e c o n s u l t e n t p r é a l a b l e - m e n t l e u r s n a t i o n a u x i n t é r e s s é s s u r la b a s e à a d m e t t r e p o u r l e s d i t e s n é g o c i a - l i o n s , c e t t e n o u v e l l e c o n s u l t a t i o n é t a n t r e n d u e n é c e s s a i r e p a r la n o u v e l l e s i t u a -

lion é c o n o m i q u e d e l ' i n d u s t r i e h o r l o g è r e f r a n ç a i s e telle q u ' e l l e r é s u l t e d u fonc- t i o n n e m e n t d u r é g i m e d o u a n i e r a c t u e l . »

Syndicats obligatoires en Allemagne

R é p o n d a n t à u n e i n t e r p e l l a t i o n rela- tive à la c r é a t i o n d e c h a m b r e s d e m é - t i e r s ou d ' i n d u s t r i e s , le s o u s - s e c r é t a i r e d ' E t a l d e ' B œ l l i c h e r dit q u e le g o u v e r n e - m e n t a t o u j o u r s r e c o n n u la n é c e s s i t é d ' u n e o r g a n i s a t i o n d e s i n d u s t r i e s , m a i s q u e s e s i d é e s a u sujet d e s s y n d i c a t s obli- g a t o i r e s n e s o n t p a s e n c o r e (ixées. Il a j o u t e (pie le g o u v e r n e m e n t n e n é g l i g e r a a u c u n m o y e n p o u r r e n d r e à l ' i n d u s t r i e le t e r r a i n p e r d u .

Téléphone

A c t u e l l e m e n t d e s l i g n e s t é l é p h o n i q u e s e n t r e la F r a n c e et la S u i s s e e x i s t e n t d e G e n è v e à S t - J u l i e n et d e G e n è v e à A n - n e m a s s e . Le K> c o u r a n t a é l é o u v e r t le s e r v i c e t é l é p h o n i q u e d e C h a u x - d e - F o n d s M o r l e a u - B e s a n ç o n , ce q u i p e r m e t t r a d ' é t u d i e r la p o s s i b i l i t é d e c o m m u n i c a - t i o n s t é l é p h o n i q u e s a v e c P a r i s . E n l i n , o n s ' o c c u p e a c t u e l l e m e n t d e la q u e s t i o n d e s c o m m u n i c a t i o n s t é l é p h o n i q u e s e n t r e G e n è v e et L y o n .

Déclarations de douane

U ne ordonnance mise récemment eu vigueur par l'administration des douanes espagnoles punit de fortes amendes les inexactitudes com- mises dans la déclaration des marchandises.

Ces amendes sont exigibles même quand les ayants droits font abandon des envois, car l'abandon exempte seulement du payement des droits d'entrée.

Commo ces dispositions peuvent causer des dommages sérieux au public, en cas de décla- ration inexacte, il est dans son intérêt que les déclarations de douane relatives aux colis

(3)

.

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 29

postaux et aux articles de messagerie à desti- nation de l'Espagne soient rédigées avec la plus grande exactitude. De simples dénomi- nations comme; ((Nouveautés», «Articles de P a r i s » , « P r o d u i t s c h i m i q u e s » , etc., sonteon- sidérés comme déclaration inexacte.

Les offices de poste doivent autant que pos- sible rendre les expéditeurs attentifs a u x dis- positions ci-dessus. Cependant, nous taisons expressément remarquer que les expéditeurs sont seuls responsables de toutes les consé- quences d'indications incomplètes ou inexntes du contenu dans les déclarations de douane et que l'administration décline toute respon- sabilité à ce sujet.

Mise en garde

Nous mettons le public eu garde contre toutes les agences financières ou autres qui, de Paris ou d'ailleurs, offrent des firèts d'ar- gent sur signature, effets de commerce, etc., etc., ol nous engageons les intéresés à ne pas traiter de semblables affaires avant de s'être renseignés au préalable, auprès de la légation ou du consulat de Suisse existant dans le pays ou les dites agences sont établies.

Ln presse est priée de vouloir bien repro- duire cette notice.

(Feuille o/jic. suisse du, commerce).

La situation des grandes banques

continue a être extrêmement forte. Ln Banque d'Angleterre a perdu, en quelques semaines,' (i millions de livres, mais elle possède encore S millions de livres d'or de plus que ce qu'elle en possédai! il y a un a n ; elle a reçu 17 mil- lions et en a retenu la moitié à titre d'addition à sa réserve, u n dit (pie les directeurs n'ont pas désiré en retenir une plus grande quantité :

le prix des rentes leur a y a n t paru trop élevé pour pousser plus loin les placements. On les blâme pour cette politique: elle nous paraît cependant bien motivée.

La Banque, de F r a n c e est encore plus forte : elle a vu sa réserve métallique augmenter, pendant l'année, de 2 0 % , et ce n ' e s l q u ' à l a f i n de l'année qu'elle a subi un léger recul. On voudrait accroître la circulation d'or du p a y s : nous n'y voyons aucun avantage. Le point faible de la banque est, qu'elle possède trop de métal blanc.

La Banque d'Autriche-Hongrie ne nous parait pas agir rationnellement en refusant des prêts sur des dépôts solides au lieu d'aug- menter l'intérêt en même temps que le taux de l'escompte. Lc véritable besoin du pays, est la diminution des billets d'Etat pour en finir avec l'agio, c'est-à-dire des billets de δ florins et de plus : cela n'a rien à voir avec l'œuvre presque enfantine consistant à rem- placer par du billon les petits billets de 1 florin. Il n'est avantageux pour personne que l'on remette cette réforme sous prétexte que l'accord n'est pas encore établi a u sujet du renouvellement de la charte de la Banque.

LTn taux d'escompte eu hausse, muis encore aussi bas que 7/8> à Londres, l1/'- à P a r i s , 17/s à Berlin, est un gage d'abondance pour l'avenir. En dernier lieu, on signale de Londres, de nouveau, les cours suivants, très modiques: 9/1β 0L pour le jour, seulement

l/i à V2· I' est évident que la condition essen- tielle pour une avance continue des cours n'a p a s cessé d'exister.

(Le Monde économique.)

Nouvelles diverses

B â l e - V i l l e . — Dimanche soir a eu lieu une.

réunion socialiste, sous la présidence du doc-

teur-professeur Adler. L'assemblée.a examiné le projet soumis par le Conseil d'Etat au Grand Conseil, relatif à l'assurance obligatoire contre le chômage. Le projet a été favorablement accueilli en principe- Les représentants socia- listes au Grand Conseil devront chercher à obtenir que les primes à payer par les ouvriers soient réduites de 50°/» et que Ia subvention de 40,000 francs à payer par l'Etat soit a u g - mentée en conséquence.

Procédés industriels

G r a i s s e i n d u s t r i e l l e . — La base essen- tielle de ce produit, imaginé par M. Paul Giffard, est un mélange à chaud d'huile végé- tale et de graisse animale, à l'exclusion de toutes huiles ou graisses minérales. On peut l'obtenir p a r le mélange à chaud d'huile de ricin fine fleur et de graisse de mouton épurée fondue au bain-marie. Le mélange se fait à une température d'environ 80°: et, après re- froidissement, il est.suivi d'un léger broyage.

Les proportions sont v a r i a b l e s : voici pour- tant, d'après la « R e v u e scientifique», trois types de graisses fréquemment employées :

A. Graisse fluide pour coussinets: !)() °/o d'huile de ricin et 1 0 % de graisse de mouton épurée, fondue au bain-marie.

B. Graisse consistante pour piston en caout- chouc et a u t r e s : 8 0 % d'huile de ricin e t 2 0 % de graisse de mouton.

C. Graisse très consistante pour axes en- grenages, voitures : 00 % d'huile de ricin et 4 0 % de graisse de mouton.

Le graissage dos pistons de machines et des organes en caoutchouc nu moyen d'un de ces mélanges donne de bons résultats.

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2. Bon & G

ie

, Routier.

3. Buëche & Boillat, Œ^econvilHer.

4. Charles Emonot, §orvUiei\

5. F a b r i q u e d'.Ebauches, §oncebo%.

6. F l u r y F r è r e s , 'Mienne.

7. Frêne & G a r r a u x , Œ^econv illier.

8. Juillard frères, Corlébert.

9. Kocher, Hânni & Kûnzli, Court.

10. K u h n & Tiôche, Œfeconvillier.

11. Ed. K u m m e r , Œeii/ac/i.

d u C o m p t o i r g é n é r a l d e s E b a u c h e s

12. Manzoni fils & C

ie

, e&rogno.

13. E. Manche & C

ie

, Zoverêsse.

14. P . Obrecht & C

ic

, granges.

15. Parrenin & Marguet, Villers-le-Xac

IG. Société coopérative d'horlogerie, Tonlenet.

17. Société d'horlogerie, ÎLanaendorf.

18. Société industrielle, Routier.

19. A. Schlâfli, gefyach.

20. Jean S c h w a r z e n t r u b , granges.

21. L.-P. J a p y & C

ie

, Berne par geloncourL 22. Simon Burger & Gressot, ÇPorren/rt/y.

Le comptoir fournira, aux acheteurs d'ébauches et finissages, les produits de leur choix, soit les produits des fabriques qu'ils entendent spécialement utiliser. Il ne sera introduit d'autre changement dans les relations telles qu'elles étaient antérieurement pratiquées, que celui résultant de la réception et de l'exécution de tous les ordres des clients par l'entremise du Comptoir central ou de ses dépôts et des règlements de compte qui seront effectués de même aux dits organes.

Le Comptoir est donc substitué aux fabriques dans tous les cas où il s agit de leurs relations commerciales avec les tiers.

Ceux-ci trouvent dans la nouvelle organisation un avantage marqué, puisque le Comptoir pourra livrer tous les genres quelconques et dans les meilleures qua- lités, et qu'ils n'auront plus ainsi, qu'un seul fournisseur et un seul correspondant.

Les ébauches et finissages sont toujours facturés aux prix et conditions du tarif en rigueur.

Toutes modifications aux prix du tarif et aux conditions de paiement, sont communiquées a la clientèle'

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