Les différents compartiments d'un écosystème
• Vivant = Biotique (Biocénose)
• Non vivant = Abiotique (Biotope)
Biotique Abiotique
Ecosystème
• Assemblage de plusieurs populations, aux mêmes endroit et instant Ø Espèces différentes
Ø Besoins et tolérances semblables
• Espèces qui interagissent avec les autres dans un espace local (Qques m² à plusieurs milliers)
Ø Peu d'espèces sont communes (ie. représentées par beaucoup d'individus)
Ø Beaucoup sont rares (ie. représentées par quelques individus) Ø La plupart ont des populations de tailles intermédiaires
Qu'est-ce qu'une communauté biologique?
Communauté de l'asclépiade commune (Asclepias syriaca, Asclépiadaceae) :
Un modèle pour étudier les interactions biotiques
Les interactions entre espèces concernent :
• Herbivorie
• Prédation
• Parasitoïdisme
• Recyclage de la matière oragnique
Ces interactions peuvent être représentées par une chaîne alimentaire "simple"
Insectes visitent les asclépiades en été et automne pour prospecter
• 14 espèces d'insectes :
– Ressources alimentaires :
Ø Pollen & nectar : abeilles
3, guêpes
2, papillons de nuit
3, papillon de jour (Monarque ; adulte)
1Ø Nectar : fourmis
2Ø Feuilles & bourgeons : papillon de jour (Monarque ; larve)
1- Parasitoïdisme :
Ø Guêpes (Ichneumons)
1et diptères (Trachinides)
1parasitoïdes sur œufs et larves des insectes et araignées
• 1espèce d'arachnide (araignée-crabe qui prédate les insectes visiteurs)
Communauté de l'asclépiade commune (Eté)
L'assemblage d'espèces est différent, et regroupe 8 espèces :
• Pucerons
1et moustiques
1consomment les sèves
• Punaises
1sucent les graines en développement
• Coléoptères
1consomment les feuilles
• Araignée-crabe
1et guêpe
1prédatent les visiteurs
• Ichneumons
2sont des parasitoïdes
• Opilionide
1consomme les restes d'insectes, prédate de petites proies, et consomme le nectar des quelques fleurs restantes
Communauté de l'asclépiade commune (Automne)
Asclépiade
Larve de papillon de jour (Monarque)
1Diptère Trachinide
2Guêpe Ichneumonide
1Araignée-crabe
1Abeilles
2Fourmis
2Guêpes
1Papillons de nuit
3Producteur Consommateurs I
airesConsommateurs II
airesRéseau trophique lié à l'asclépiade
(Feuilles) (Tiges) (Fleurs)
Pucerons
1Moustiques
1Coléoptère
1Opilionide
1Ad u lte d e p ap illon de jour (Monarque)
1Part. 1 Part. 2 Nom Exemples
BENEFICE
Réciproque + + Mutualisme;
Symbiose; …
— Plantes / pollinisateurs
— Flore intestinale
Unique + 0 Commensalisme — Héron garde-bœufs / Vache
— Epiphytes + support
+ - Prédation;
parasitisme; … Loups / moutons; Grippe; …
COUT
Réciproque - - Compétition
(inter & intraspécifiques)
— ≠ espèces d'arbres
— Hyènes & vautours sur proie Unique - 0 Amensalisme Piétinement d'une pelouse
Les différents types d'interactions biologiques
Interactions à bénéfices réciproques (+ / +): Mutualisme
Contrepartie= Ressources offertes par la plante:
Nourriture:
Nectaires extra-floraux
à Orientation des patrouilles
Symbiose plantes-fourmis Protection des fourmis
contre les herbivores Hébergement:
Domatie (tige creuse)
Prostoma (entrée)
= "filtre"
Interactions à bénéfice unique (+ / …):
Commensalisme (+ / 0):
Prédation / parasitisme (+ / -):
Interactions à coûts réciproques (- / -): Compétition
Inter & intra spécifiques
Interactions à coût unique (- / 0): Amensalisme
I) Parasitisme & relation prédateur / proie Différenciation entre parasite et prédateur
à Limite floue…
Prédateur Parasite
Partenaire Proie Hôte
Mise à mort du partenaire Immédiate • Pas nécessaire
• Indirecte Nombre de partenaires
rencontrés
Beaucoup à "Généraliste"
1 à quelques à "Spécialiste"
Taille relative / partenaire
(ie. Échelle spatiale)
Du même ordre de
grandeur Très petite
à "microparasite"
Durée cycle de vie / partenaire
(ie. Echelle temporelle)
Plus long, mais du même ordre de grandeur
Très court ;
Taux de multiplication ää
Cycle monoxène ou holoxène (= 1 seul hôte)
Caractérisation des différents types de cycles pour les parasites
Hôte définitif
Larves ou propagules
Reproduction sexuée Parasite
adulte
Cycles hétéroxènes (= plusieurs hôtes)
• Avec 1 hôte intermédiaire
(à permet d'attendre l'hôte définitif) • Avec 2 hôtes intermédiaires
Hôte définitif
Millions d'oeufs Reproduction
sexuée Parasite
adulte
Hôte intermédiaire
Larves
Multiplication asexuée
Hôte définitif
Millions d'œufs (miracidiums) Reproduction
sexuée Parasite
adulte
1er hôte intermédiaire
Cercaires
Multiplication asexuée
2ème hôte intermédiaire
Enkystement (métacercaires)
Epine-Vinette (Berberis vulgaris)
Exemple de cycle hétéroxène : Puccinia graminis
Rouille :
• Parasite "spécialiste" de ses hôtes
• Hôtes peuvent être taxonomiquement très différents (Monocotylédones / Dicotylédones)
Blé
(Triticum aestivum)
1) Mécanismes de résistance aux pathogènes / prédateurs
a) Défenses directes
(è partie intégrante de la plante, avant agression)- Mécaniques
: empêchent ou gênent l'accès à l'hôte / proieSubstances Effets
Lignines Durcissent les tissus ; Gênent la digestion
Cuticule Rend les feuilles coriaces
Epines Empêchent la consommation des tissus
Poils Rendent les tissus non appétissants
Cires Peuvent contenir des substances toxiques
(Stachys lanata) (Aloe vera)
(Cycas cycas)
(Quercus ilex)
1) Mécanismes de résistance aux pathogènes / prédateurs
a) Défenses directes
(è partie intégrante de la plante, avant agression)- Chimiques
: Empêchent la consommation et / ou la digestion des tissusSubstances Effets
Tanins Bloquent les enzymes digestives
Inhibiteurs de
protéase Bloquent l'activité des enzymes digestives
Cyanure Bloque la chaîne des transporteurs dans la respiration cellulaire
Cardénolides ; Alcaloïdes
Produisent des troubles intestinaux, un arrêt cardiaque ou la mort
Histamine Entraîne une réaction allergique
(Quercus robur)
(Graines de pêche, cerise, abricot, pomme, …)
(Muguet : Convallaria majalis)
(Urtica dioica)
(Souvent compartiment sauvage des plantes cultivées (Gycine soja))
1) Mécanismes de résistance aux pathogènes
Pathogène
Hôte
(= reconnaissance)
1) Eliciteurs
2) Nécroses
a) Hypersensibilité
Eliciteurs = protéines effectrices chez pathogènes (champignons, bactéries, virus) pour leur capacité pathogèneEffecteurs dans cellules è Détection spécifique par l'hôte : activation d'une réponse immunitaire ("Effector-Triggered-Immunity" ; ETI) = production d'une protéine de résistance ou mort cellulaire
Déclenchement d'une réponse d'hypersensibilité :
Mort cellulaire programmée ("Programmed Cell Death" ; PCD) = Zone de protection de cellules mortes autour de la zone d'infestation du pathogène
Le pathogène ne peut pas se développer dans des cellules mortes, qui perdent leur interconnexions à stoppent la progression du pathogène
è Hypersensibilité = Mécanisme de résistance!
Plante (Gène de résistance)
R r
Bactérie (gène effecteur)
A
Résistance Maladie
a
Maladie Maladie
Le modèle "Gène pour gène" de l'immunité des plantes
1) Mécanismes de résistance aux pathogènes b) Défense indirecte
Par le némotode entomopathogène Heterorhabditis megidis :
Larve de Diabrotica virgifera (Coleoptera) à consomment les racines (Imago à consomment les feuilles)
à Attirance de H. megidis par chimiotactisme
Larves de D. virgifera Larve infestée
Larve saine
Infestation par H. megidis
Uniquement chez maïs européen!
Cotesia marginiventris
Zea Mays
(sesquiterpènes hydrocarbonés)
c) Défenses & réseau tritrophique :
L'exemple Brassicaceae / pucerons / coccinelles
Glucosinolate (Sinigrine) Sinapis alba
(ie. moutarde)
Myrosinase
( β -thioglucoside glucohydrolase)
Allyl-isothiocyanate
Consommation : Broyage des tissus à mise en contact
Molécule soufrée
Myrosinase
Consommation :
Broyage des tissus à mise en contact
Allyl-isothiocyanate
Brevicoryne brassicae
Réseau "tritrophique" :
Brassica
Larve de pucerons Coccinelles
(Sinigrine)
Sinigrine : détournement & séquestration
Appareil piqueur : pas de mise en contact
Adalia bipunctata
Cas des Brassicaceae / pucerons / coccinelles
Adaptation à la stratégie d'évitement des prédateurs :
• Aptères
Appareil piqueur : pas de mise en contact
Myrosinase
Consommation :
Broyage des tissus à mise en contact
Allyl-isothiocyanate
Pucerons adult es
Coccinelles
Sinigrine est excrétée ; ≈ 0
• Ailés
Envol dès que menacés
Sinigrine : détournement & séquestration
Investissement différentiel dans la stratégie
d'évitement des prédateurs!
Notions de "Coévolution" et "Reine Rouge"
Valeur sélective (= transmission des gènes aux générations suivantes) è tend à être maximisée par sélection naturelle
Or : Environnement ne reste pas constant!
• A long terme : Conditions abiotiques (glaciations, climat, …)
• A court terme (changements les plus importants) : Conditions biotiques ; si autres espèces améliorent leur performance, il faut également le faire pour rester compétitif ("è course aux armements")
Course évolutive : Modèle de la "Reine Rouge" ("Red Queen of Alice" ; Van Valen, 1973)
è Référence aux roman de L. Carroll "De l'autre côté du miroir" ; ("Course sur place") :
La reine et Alice doivent courir de plus en plus vite pour rester sur place, sous peine d'être distancées par le décor qui défile…
Notion de "Coévolution" :
Lorsque 2 (ou plusieurs) espèces :
§ Exercent des pressions de sélection l'une sur l'autre
§ Evoluent en réponse à l'autre
Ø Crible environnemental (environnement sélectif) en constant changement
Quand y a-t-il coévolution?
Pression de sélection la plus forte quand il y a une relation écologique étroite (implique habituellement des spécialistes plutôt que des généralistes)
Exemple : Prédateur / Proie ; parasite / Hôte ; Mutualistes ; Compétiteurs
2) Défense & virulence : modèle de la Reine Rouge
• Introduit en 1859 (chasse, nourriture, …): 24 individus (12 couples)!
• Après 80 ans: 600 millions d'individus!
Dévastent les pâturages à désertification
Menacent d'extinction les marsupiaux Moyens de lutte envisagés:
• Millions de kms de grillages à D
• Introduction du renard à quasi-éradication des marsupiaux!
a) Lapin et Myxomatose en Australie
1950 : Introduction de la myxomatose (Virulence très élevée) à
99% d'éradication en 2 ans!
Lapin et Myxomatose en Australie
à Lapins: résistance aux virus
à Virus: æ de la virulence (= ä chances de transmission)
Risques d'une nouvelle invasion! (1995 : 300 millions)
1995 : Introduction du virus Calicivirus (fièvre hémorragique) à De nouveau æ des populations à un très bas niveau
Coévolution entre les 2 partenaires
100
80
60
40
20
0 1 2 3 4 5 6 7
Mortalité (%)
Nombre d'épidémies subies
Séquestration des composés toxiques chez Heliconius
b) Passiflora et Heliconius
Mimétisme d'œufs d'Heliconius sur tige et feuille : nectaires qui
attirent fourmis et abeilles (prédation d'œufs)
= f(espèce de passiflore)
3) Parasitisme et manipulation de l'hôte (= favorisation)
Pollinisateur :
Bombus terrestris (diptera)
Microbotryum et Silene (cycle monoxène)
Fleur infecté
e
Contamination d'une fleur non
infectée
Développement du champignon dans la partie
végétative de la plante
Fleur ♂ saine Fleur ♂ infectée
3) Parasitisme et manipulation de l'hôte (= favorisation) Microbotryum et Silene (cycle monoxène)
Fleur ♂ saine Fleur ♀ saine Fleur ♀ infectée
• Nombre de fleurs ä : ä le taux de dispersion du parasite
• Plantes infestées sont plus précoces :
Ø Début de saison de floraison = pollinisateurs (encore jeunes ; inexpérimentés) moins sélectifs entre plantes saines et infestées = ä transmission du parasite
Ø humidité élevée (fin automne / début printemps) : développement du champignon favorisé (chez Silene acaulis : champignon prolonge la floraison jusqu'au début de l'hiver = bénéficie de l'humidité des premières neiges)
• Masculinisation des plantes ♀ : champignon transmis que par voie ♂ (pollen) Ø Si infestation de ♀ : masculinisation pour ä dispersion des spores
Ø Production de nectar ä
Ø Taille des fleurs æ
Ø Nombre de fleurs ä
Ø Apparition d'étamines
caractéristiques des fleurs ♂ de Silene latifolia è Syndrome de la masculinisation
a) Le "suicide" du grillon des bois (Nemobius sylvestris), suivi de l'émergence du parasite Paragordius tricuspidatus
Exemples de favorisation et manipulation de l'hôte
Exemples de favorisation (Cycles hétéroxènes)
b) Petite douve et fourmis
• Sporocystes très colorés et mobiles
• Partie des sporocystes logées dans les tentacules du gastéropodes, mouvements pulsatiles (à aspect de chenille)
• à attirer l'attention d'un oiseau (= hôte final)
Sporocystes isolés Individu infesté
(à sporocystes dans tentacules) Individu sain
c) Trématode Leucochloridium paradoxum /gastéropode Succinea sp.
4) Angiospermes parasites d'autres angiospermes
Viscum album
Hypotrophie de la tige parasitée
Exemple d'un hémiparasite: Le gui
Euphrasia officinale
Melampyrum lineare
Alectra vogellii
Les hémiparasites
Angiospermes parasites d'autres angiospermes
Angiospermes parasites d'autres angiospermes
Cuscuta epiphytum sur du thym Orobanche cernua ayant infesté
un champ de tournesol
Exemple d'holoparasites: L'Orobanche et la Cuscute
Thonningia sanguinea
Cytinus ruber
Rafflesia micropylora
Quelques holoparasites…
II) Les symbioses
= Associations durables et réciproquement profitables entre deux
organismes vivants à Mutualisme
= interactions à bénéfices réciproques
Fusion plus ou moins intime des partenaires d'espèces différentes
• Le plus petit = "symbio(n)te"
• L'autre = "hôte"
Nodules de Rhizobium sur racines de pois
1) Les symbioses racinaires
Nodules aériens de Rhizobium, sur tiges de Sesbania rostrata
a) Bactériennes: Rhizobium
Association essentiellement avec des espèces de la famille des Betulaceae Nodules sur racines d'aulne
1) Les symbioses racinaires
a) Bactériennes: Frankia
Lobe dorsal de la fougère aquatique Azolla filliculoïdes, montrant des poches vert-sombre remplies avec le microsymbionte Anabaena azollae
Racines coralloïdes sur Macrozamia spp. (cycadophyte)
1) Les symbioses racinaires
a) Bactériennes: Cyanobactéries
Réseau de Hartig
entre les cellules corticales
1) Les symbioses racinaires
b) Fongiques : Ectomycorhizes
Schéma d'ectomycorhizes
manteau hyphes externes
truffe
ectomycorhizes
cèpe
cordon mycélien
mycélium intercellulaire
Ectomycorhizes :
• 3 % des taxons végétaux
• Essences forestières des zones tempérées, boréales, et montagneuses
(èbiomasse énorme!)
1) Les symbioses racinaires
b) Fongiques : Endomycorhizes
Schéma d'endomycorhizes
Arbuscule (= "peloton") Cylindre central
Endomycorhizes des hélianthèmes et des bruyères
Endomycorhizes à arbuscule des orchidées
Endomycorhizes :
80 % des taxons végétaux
Plantes herbacées et ligneuses
Neottia nidus-avis
Endomycorhizes : le cas particulier de la Néottie
Endomycorhizes à peloton
Ectomycorhize Endomycorhize
Plante "mycohétérotrophe"…
Basidiomycète
Arbre Neottia
Matière organique (sucres, …)
Matière minérales (azote, phosphore, …) Matière minérales (azote, phosphore, …)
Matière organique (sucres, …)
1) Les symbioses racinaires b) Fongiques : Ectendomycorhizes ;
Mycorhizes Vésiculaires Arbusculaires (= VAM)
Schéma d'ectendomycorhizes (= "VAM")
Ectendoomycorhizes à vesicules et arbuscules
Spore externe arbuscule
vesicule
Organisation générale des 2 partenaires dans un lichen
vit librement "en populations"
(eumycètes) (bleue ou verte )
≈ 16500 espèces
à15
ained'espèces d'algues
2) symbiose champignons / algues : les lichens
Pourquoi les lichens sont-ils de bon bioindicateurs?
• Pas de cuticule = contact direct avec l'atmosphère
• Actif toute l'année après chaque pluie
• Alimentation sous la dépendance de l'air et de l'eau de pluie
• Absence de système de régulation des entrées et des sortie.
• Reproduction par des structures aériennes ayant un contact immédiat avec les polluants de l'air ,
• Hyphes issues de la germination immédiatement au contact de l'air
Contrairement aux végétaux supérieurs, les lichens ne possèdent pas les structures leur permettant de limiter les conséquences de la pollution atmosphérique:
Ø (cuticules, Ø stomates,
Ø téguments et dormances des graines, …)
"Organisme ou ensemble d'organismes qui, par référence à des variables,
biochimiques, biologiques, physiologiques, éthologiques, permet de façon
pratique et sûre de caractériser l'état d'un écosystème ou d'un
écocomplexe et de mettre en évidence aussi précocement que possible
leurs modifications naturelles ou provoquées" (Blandin, 1986).
REPÈRE PARAMÈTRES
MICROSTATIONNELS OBSERVATIONS EXEMPLES
1 paroi ombragée favorable aux sciaphiles Collema
2 roche calcaire favorable aux calcicoles Aspicilia calcarea 3 roche siliceuse favorable aux silicicoles Parmelia conspersa,
Umbilicaria 4 Rocher v a r i a t i o n s s e l o n
l'exposition et l'humidité Caloplaca, Ramalina 5 pierraille, éboulis support instable Parmelia mougeofii
6 pierre Caloplaca, Lecidea
7 lumière héliophiles Buellia epipolia
8 mortier support basique différent
des pierres du mur Diploicia canescens 9 torchis, pisé lichens ± humicoles selon
le matériau
10 tuiles Phaeophyscia orbicularis
11 tôles de fibro-ciment Candelarlella, Caloplaca
12 suintements Dermatocarpon
13 déjections d'oiseaux favorables aux nitrophiles Physcia, Caloplaca, Xanthoria
Les lichens comme bioindicateurs de la qualité du substrat
Qualité
de l'air Lichens bio-indicateurs Leurs caractéristiques V
Lichens du genre Usnea Lichen à branches cylindriques
Ramalina fraxinea Lichen à lanières unicolores et à apothécies latérales Anaptychia ciliaris Lichen à lanières ciliées
IV
Ramalina farinacea Lichen à lanières unicolores sans apothécies Ramalina farinacea Lichen à lanières unicolores et à apothécies
terminales
Parmelia acetabulum Lichen en " feuilles " et d'une couleur vert-brun Parmelia glabratula Lichen en " feuilles " et d'une couleur brun
Parmelia caperata Lichen en " feuilles " et d'une couleur vert-jaune III Pseudevernia furfuracea Lichen en lanières bicolores (vert-noir)
Evernia prunastri Lichen en lanières bicolores (vert-blanc)
II
Parmelia sulcata
Lichens en " feuilles " et d'une couleur gris Hypogymnia physodes
Lichens du genre Physcia
Xanthoria parietina Lichens en " feuilles " et d'une couleur jaune
I Lichens en " croûte "
Pollution