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Tongue cancer: Epidemiology and management [Cancer de la langue : épidémiologie et prise en charge]

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Academic year: 2021

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ARTICLE ORIGINAL / ORIGINAL ARTICLE

Cancer de la langue : épidémiologie et prise en charge

Tongue cancer: epidemiology and management

A. El Bousaadani · M. Abou-Elfadl · R. Abada · S. Rouadi · M. Mahtar · M. Roubal · M. Essaadi · F. Kadiri

Reçu le 21 janvier 2015 ; accepté le 22 février 2015

© Lavoisier SAS 2015

Résumé Le cancer de la langue représente 47% des cancers de la cavité orale à Casablanca. L ’ alcoolo-tabagisme et le mauvais état bucco-dentaire sont les facteurs de risque les plus impliqués. L ’ objectif du travail est de discuter les parti- cularités épidémio-cliniques, les facteurs de risque, les explorations paracliniques et la prise en charge thérapeu- tique.

Nous rapportons une étude descriptive de 92 cas de can- cer de la langue, colligé au service d ’ ORL et de chirurgie cervico-faciale du CHU Ibn Rochd de Casablanca sur une période de 16 ans (1995-2011).

La moyenne d ’ âge est 44 ans avec des extrêmes entre 34 et 80 ans. Le sex-ratio homme/femme est de 1,3. Le délai de consultation de nos patients est de 9 mois en moyenne avec des extrêmes entre un et 11 mois. Le principal motif de consultation est la lésion linguale constatée par le malade.

La langue mobile est le siège de la tumeur dans 81% et la base de langue dans 19%. Une ou plusieurs adénopathies cervicales sont palpables dans 51% des cas. La tomodensi- tométrie cervico-faciale est faite dans 90% et l ’ imagerie par résonance magnétique cervico-faciale (IRM) dans 35% des cas. Le stade T3T4 et/ou N3 représente 44% de nos patients.

La chirurgie est indiquée dans 69% des cas.

Les auteurs insistent sur l ’ intérêt du dépistage des lésions précancéreuses ou le diagnostic précoce du cancer de langue afin d ’ espérer un traitement curatif. La localisation au niveau de la base de langue reste de diagnostic tardif et de traitement palliatif dans notre contexte.

Mots clés Cancer de la langue · Épidémiologie · Clinique · Facteurs de risque · Bilan paraclinique · Prise en charge

Abstract The tongue cancer accounts for 47% of cancers of the oral cavity in Casablanca. The alcohol-tobacco use and

poor oral health are the most risk factors involved. The objective of the paper is to discuss the epidemiological fea- tures, clinical risk factors, explorations, para-clinical and therapeutic management.

We report a descriptive study of 92 cases of tongue can- cer, collected at the Otolaryngology and Neck Surgery unit of Ibn Rochd hospital of Casablanca on a 16-years period (1995-2011).

The average age is 44 years ranging between 34 and 80 years. The sex-ratio male/female is 1.3. The consultation period of our patients was 9 months on average with extre- mes betwen one and 11 months. The main reason for consul- tation is the lingual lesion observed by the patient. Mobile tongue is the site of the tumor in 81% and the base of the tongue in 19%. One or more cervical lymph nodes are pal- pable in 51% of cases. Cervico-Facial is noted in 90% and imaging head and neck magnetic resonance in 35% of cases.

Stage T3T4 and/ or N3 44% of our patients. Surgery is indi- cated in 69% of cases.

The authors emphasize the usefulness of screening and early diagnosis of precancerous lesions to allow a cure.

The location at the base of the tongue rest of delayed diag- nosis and palliative treatment in our context.

Keywords Tongue cancer · Epidemiology · Clinics · Risk factors · Paraclinics · Management

Introduction

Le cancer de la langue représente 24% des cancers de la muqueuse buccale. Il atteint actuellement des sujets de plus en plus jeunes. Selon le registre de cancer de Casablanca, il représente 47% des cancers de la cavité orale. Le carcinome épidermoide est le type histologique le plus fréquent (90%).

Les facteurs de risque sont divers et notamment l ’ alcoolo- tabagisme. L ’ imagerie par résonance magnétique cervico- faciale (IRM) est l ’ examen paraclinique de choix. Le pro- nostic et le traitement dépendent du stade, de la localisation

A. El Bousaadani (*) · M. Abou-Elfadl · R. Abada · S. Rouadi · M. Mahtar · M. Roubal · M. Essaadi · F. Kadiri

Service d’ORL et de chirurgie cervico-faciale,

Hôpital 20 Août 1953, CHU Ibn Rochd de Casablanca, Maroc e-mail : elbousaadani@gmail.com

DOI 10.1007/s12558-015-0374-9

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et des co-morbidités. La concertation pluridisciplinaire per- met une prise en charge collégiale [1,2].

L ’ objectif du travail est de discuter les particularités épidémio-cliniques, les facteurs de risque, les explorations paracliniques et la prise en charge thérapeutique.

Matériel et méthodes

Notre travail est une étude descriptive rétrospective de 92 cas de cancer de la langue confirmé par l ’ histologie, col- ligés au service d ’ oto-rhino-laryngologie (ORL) et de chirur- gie cervico-faciale. La collecte des données est faite à partir des dossiers médicaux et du suivi des malades en consulta- tion. La période de l ’ étude est étalée sur 16 ans (janvier 1995 à janvier 2011).

Résultats

Données épidémiologiques et facteurs de risque

La fréquence du cancer de la langue au service d ’ ORL de Casablanca est de 47% des cancers de la cavité orale. La moyenne d ’ âge est de 44 ans avec des extrêmes entre 34 et 80 ans. Le sex-ratio homme/femme est de 1,3.

La figure 1 résume les facteurs de risque présents chez nos patients. L ’ alcoolisme et ou le tabagisme représentent 51%.

Clinique

Le délai de consultation de nos patients est de 9 mois en moyenne avec des extrêmes entre un et 11 mois. Les princi- paux motifs de consultation sont résumés dans la figure 2.

La langue mobile est le siège de la tumeur dans 81% et la base de langue dans 19%. L ’ aspect macroscopique des lésions est variable (Figs 3, 4, 5).

Une ou plusieurs adénopathies cervicales sont palpables dans 51% des cas (Fig. 6).

Paraclinique

La biopsie tumorale a confirmé le diagnostic dans tous les cas. Le carcinome épidermoïde est le type histologique dans 90% des cas.

Fig. 1 Facteurs de risque des patients suivis au service d ’ ORL pour cancer de langue au CHU Ibn Rochd de Casablanca (92 cas entre 1995-2011)

Fig. 2 Motifs de consultation des patients suivis au service d ’ ORL pour cancer de langue au CHU Ibn Rochd de Casablanca (92 cas entre 1995-2011)

Fig. 3 Siège du cancer sur la langue mobile (75 parmis 92 cas)

Fig. 4 Aspect macroscopique des lésions cancéreuses (92 cas)

Fig. 5 Aspect macroscopique du cancer de la langue (photos

du service d ’ ORL Casablanca)

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La pan-endoscopie n ’ a pas retrouvé de lésion suspecte concomitante au niveau des voies aéro-digestives supérieures.

Le bilan radiologique est fait chez tous nos patients. La tomodensitométrie cervico-faciale, faite dans 83 cas, soit 90%, a objectivé un processus tumoral dans tous les cas.

L ’ IRM cervico-faciale est demandée dans 32 cas, soit 35%. Elle a permis de mieux étudier l ’ infiltration de la ligne médiane, des parties molles et du plancher buccal. Le siège de la tumeur est au niveau de la langue mobile dans 81%

des cas. La base de langue est le point de départ dans 19%.

Une adénopathie cervicale significative est notée dans 72%

(Figs 7, 8).

La classification TNM de nos patients est comme suit :

• T1T2N0 dans 31%

• T1T2N1N2 dans 35%

• T3T4 et ou N3 dans 44%

Prise en charge thérapeutique

Le traitement de nos patients se fait en concertation multi- disciplinaire entre chirurgien ORL, radiothérapeute, radiolo- gue et anatomo-pathologiste (Figs 9, 10).

Evolution

Après un recul de 18 mois, l ’ évolution est bonne dans 52%, une récidive locale ou locorégionale est notée dans 29%.

Nous soulignons un taux de 19% de perdus de vue. La survie à 5 ans est de 45%. Le taux de perdus de vue est de 34%, alors que 21% des cas sont décédés dont 16% ayant une atteinte de la base de langue.

La chirurgie a été suivie de radiothérapie adjuvante dans 44%. L ’ association radio-chimiothérapie était indiquée en concertation pluridisciplinaire dans 15% (Fig. 10).

Discussion

Le cancer de la cavité buccale représente 275 000 nouveaux cas par an dans le monde; soit 54% des cancers des voies aéro-digestives supérieures dont 40 à 50% au niveau de la langue [1].

Depuis 2005, le registre de cancer de Casablanca permet de suivre l ’ épidémiologie locale. Selon le registre de popu- lation du grand Casablanca, l ’ incidence annuelle nationale du cancer est estimée à 35 000 nouveaux cas de cancer par an dont seulement 12 000 sont pris en charge, soit 34,3%.

Parmi lesquels 77 nouveaux cas de cancer de langue [2]. Ce dernier est un des cancers ORL de pronostic réservé surtout lorsque la base de langue est atteinte [3].

Les facteurs de risques sont divers ; l ’ alcoolo-tabagisme, la mauvaise hygiène bucco-dentaire, les microtraumatismes.

Fig. 6 Photos de cancer de la langue mobile droite (flèche au niveau de la bouche) avec énormes adénopathies cervicales (flè- che au niveau du cou)

Fig. 8 Aspect IRM du cancer de la langue mobile avec infiltration de la base de langue et de la ligne médiane de droite à gauche : coupes coronale, axiale énorme tumeur infiltrant la base de langue et la ligne médiane à gauche néo de la base droite (collection de ser- vice d ’ ORL Casablanca)

Fig. 9 Vue opératoire après hémiglossectomie transversale anté- rieure droite (à gauche) et la pièce opératoire (à droite)

Fig. 7 Aspect scannographique du cancer de la langue mobile (a),

base de langue (b) et d ’ une adénopathie jugulo-carotidienne basse

droite (c) (collection de service d ’ ORL Casablanca)

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La sérologie du virus Human Papilloma Virus (HPV) sous type 16 est positive dans 23,5% des cas déclarés du cancer lingual. La prédisposition génétique est actuellement l ’ une des voies de la recherche. Plus de 20% des patients n ’ ont aucun facteur de risque expliquant la lésion cancéreuse [4,5].

Les lésions précancéreuses sont la leucoplasie, l ’ érythro- plasie, la kératose et la stomatite congestive. Elles devraient être dépistées afin de prévenir le stade de cancer de langue [6-8].

Le principal motif de consultation est la lésion linguale trainante depuis plus d ’ un mois voire cinq mois. Elle est souvent douloureuse. Les autres signes cliniques sont la paresthésie, l ’ otalgie unilatérale, la perturbation des fonc- tions de mastication, de déglutition ou d ’ élocution. L ’ aspect macroscopique peut être ulcéreux, végétant ou infiltrant. Les adénopathies cervicales palpables depuis l ’ admission sont

un facteur de mauvais pronostic. Des adénopathies sont notées dans presque 75% des cas témoignant de sa grande lymphophilie [3,8].

La classification TNM du cancer de la langue est résumée dans la figure 11 [6,9].

Le bilan endoscopique des voies aéro-digestives sup- érieures est systématique. D ’ après une étude britannique menée en 2007, une lésion cancéreuse ORL ou broncho- œ sophagienne est concomitante au cancer de la langue dans 12% [4]. Notre étude n ’ a pas retrouvé de lésion associée mais la bronchoscopie et l ’œ sophagoscopie ne sont pas demandées systématiquement chez nos patients.

L ’ IRM cervico-faciale a prouvé sa supériorité par rapport à la tomodensitométrie (TDM) quant à l ’ étude de l ’ extension locale de la tumeur linguale, le degré d ’ infiltration de la ligne médiane et l ’ atteinte éventuelle du plancher buccal. L ’ étude des adénopathies cervicales est assurée par la TDM ou l ’ IRM.

L ’ adénopathie est suspecte lorsqu ’ elle dépasse 1cm, nécrosée et rehaussée après injection du produit de contraste (Fig. 7).

L ’ échographie endo-buccale est méticuleuse dans l ’ étude du plancher buccal et l ’ infiltration de la ligne médiane. Elle peut aider le chirurgien en per-opératoire. La tomographie par émission de positon (TEP) n ’ est pas encore de pratique courante dans notre contexte. Elle pourrait avoir un intérêt en cas de récidives ou maladie résiduelle. Ses limites principa- les restent l ’ inflammation et la radionécrose [9,10].

A côté de la classification TNM, des facteurs de sévérité sémiologique et de la comorbidité, l ’ appréciation du carac- tère infiltratif de la tumeur est importante pour l ’ indication thérapeutique.

Nous résumons les indications thérapeutiques dans le cancer limité à la langue mobile qui reste généralement opé- rable dans notre contexte.

• Une lésion ulcéro-infitrante T1T2N0 est plutôt traitée chirurgicalement avec un curage sélectif cervical des niveaux I, II et III. Il est homolatéral pour les tumeurs des deux tiers postérieurs de la langue, bilatéral pour celles du tiers antérieur et/ou franchissant la ligne médiane. En effet, le curage triangulaire supraomohyoidien peut mettre en évidence des métastases ganglionnaires occultes ou des microadénopathies métastatiques dans 30-70% des cas.

Douze pour cent de ces adénopathies métastatiques sont en rupture capsulaire. Une radiothérapie complémentaire peut être proposée sur la zone d ’ exérèse tumorale, si les recoupes chirurgicales sont pathologiques, par « curiethéra- pie de barrage » ou radiothérapie externe. Les aires gan- glionnaires cervicales sont irradiées si les adénopathies sont envahies (N+). Une lésion bien limitée et/ou exophy- tique est plutôt traitée par curiethérapie avec un curage sélectif cervical des niveaux I, II et III homolatéral, au cours de la mise en place des tubes-guides ou 6 semai- nes après la curiethérapie. Une radiothérapie externe Fig. 11 Classification TNM du cancer de la langue (UICC 2002)

Fig. 10 Prise en charge pluri-disciplinaire du cancer de la langue

et les modalités du traitement chirurgical (nombre de patients opé-

rés : 63 cas soit 69%)

(5)

complémentaire est proposée sur les aires ganglionnaires si les adénopathies sont envahies (N+) [11-14].

• Tumeurs classées T1T2 N1-N3 : Le traitement est plus volontiers chirurgical, vis-à-vis de la tumeur et des aires ganglionnaires dans le même temps opératoire. La radio- thérapie complémentaire délivre un surdosage en cas de rupture capsulaire (R+) des adénopathies ou de recoupes chirurgicales pathologiques. Une curiethérapie sur la tumeur primitive est proposée si la lésion est bien limitée et/ou exophytique. Un curage ganglionnaire cervical peut être pratiqué au cours de la mise en place des tubes guides [12,14].

• Tumeurs classées T3T4 : si la lésion est ulcéo-inflltrante et opérable, une hémiglossectomie, une hémi- pelvi-glossectomie ou même une glossectomie totale transversale antérieure conservant la base de la langue peuvent être réalisées. Un curage ganglionnaire cervical bilatéral est effectué dans le même temps en raison de la fréquence du franchissement de la ligne médiane et de l ’ extension ganglionnaire bilatérale. La radiothérapie complémentaire s ’ adresse à la zone d ’ exérèse tumorale par « curiethérapie de barrage » ou radiothérapie externe postopératoire. Les aires ganglionnaires cervicales sont irradiées si les adénopathies sont métastatiques (N+). Si la lésion T3 est limitée et/ou exophytique, une curiethéra- pie tumorale peut être associée à un curage ganglionnaire cervical bilatéral au cours de la mise en place des tubes- guides. La radiothérapie externe s ’ adresse secondaire- ment aux aires ganglionnaires cervicales envahies (N+).

Si le malade est inopérable pour des raisons générales ou locales, une chimioradiothérapie concomitante ou une radiothérapie externe seule est indiquée [9,15].

Les indications thérapeutiques dans le cancer de la base de la langue sont variables fonction des moyens disponibles.

Dans les pays développés, plusieurs facteurs locorégio- naux sont à prendre en compte également pour l ’ indication thérapeutique : le stade TNM, le caractère infiltrant ou non de la tumeur, le déficit fonctionnel potentiel d ’ une exérèse chirurgicale de la base de la langue.

La radiothérapie et la curiethérapie s ’ adressent préféren- tiellement à des tumeurs limitées de la base de la langue classées T1 T2. Pour les lésions plus importantes, l ’ associa- tion radio-chirurgicale reste l ’ indication préférentielle.

Actuellement, les stratégies de radio-chimiothérapie conco- mitante sont en cours d ’ évaluation [9]. Dans notre contexte les tumeurs de la base de langue ne sont pas traitées chirur- gicalement, faute de moyens.

Malgré les progrès en chirurgie et en radiothérapie la sur- vie à 5 ans est de 37 à 45%. Ce qui argue en faveur du dépistage des lésions précancéreuses ou au moins le diag- nostic précoce [9,16].

Conclusion

Les auteurs insistent sur l ’ intérêt du dépistage et le diagnos- tic précoce des lésions précancéreuses afin de permettre un traitement curatif. Les facteurs de risque sont divers. Le can- cer de la base de langue reste de diagnostic tardif et de trai- tement palliatif dans notre contexte. La prise en charge du cancer lingual passe obligatoirement en concertation multidisciplinaire.

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