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Sur une méthode d'approximation pour les trajectoires sinueuses des lentilles très convergentes

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Academic year: 2021

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Sur une méthode d’approximation pour les trajectoires

sinueuses des lentilles très convergentes

F. Bertein

To cite this version:

(2)

309

SUR

UNE

MÉTHODE

D’APPROXIMATION

POUR LES TRAJECTOIRES SINUEUSES DES LENTILLES

TRÈS

CONVERGENTES

Par F. BERTEIN.

La méthode

d’approximation exposée

en

[1]

s’ap-plique

mal aux

trajectoires

s(z)

des lentilles les

plus

convergentes,

car ces

trajectoires présentent

une

forme sinueuse et

sont,

de ce

fait,

difficilement

repré-sentables par des

polynomes

simples.

On cherchera alors à faire

figurer

a

priori

dans

l’expression approchée

de

s(z)

une fonction

présentant

cette sinuosité.

Soit,

pour fixer les

idées,

le cas

d’une lentille

élec-trostatique

de révolution dont le

potentiel

v

(z)

est

symé-trique

en z; en mettant en évidence les deux

premiers

termes du

développement

de ce

potentiel

Cherchons tout d’abord la

trajectoire

fondamentale

s(z)

impaire

en z. On connaît cette

solution,

soit ce

(z),

dans le cas où u

(z)

z- o

(il s’agit

alors du

champ

dit

hyperbolique);

pour

les valeurs de z non voisines

de zéro

(telles

que l’on ait

U2z2 >i), oc (z)

s’écrit

(*,

symbole

de

conjugaison)

Revenant à la loi

(1)

complète,

la

trajectoire

s

(z)

cherchée est très voisine de

ex (z)

dans sa

partie

sinueuse;

l’on

cherchera,

par

suite,

à la

représenter

à l’aide du

développement

limité

c’est-à-dire dans les mêmes conditions de validité de

(2)

Les coefficients s, et S5 seront calculés suivant le

procédé

[1].

A cet effet on considère tout d’abord

l’expression

obtenue en substituant

(3)

dans le

premier

membre de

l’équation

des

trajectoires;

c’est là une

forme bilinéaire p

(s,

U)

vis-à-vis des fonctions s et v

et que l’on

peut

écrire

l’expression (2) pouvant

être utilisée dans le

premier

terme.

Il en résulte les

expressions

suivantes pour les

divers «

moments »

Pi de p

(les

moments Ul et VI des fonctions u et v se ramènent les uns aux autres et sont aisément calculables dans le cas le

plus fréquent

où u

(z)

peut

s’écrire sous forme d’un

polynome

simple).

Il suffit d’annuler deux des moments

Pi,

en

principe

ceux d’indices i =

1, 3 pour obtenir un

système

linéaire déterminant s3 et S5

les 2e membres étant connus.

L’obtention de la

trajectoire fondamentale paire

en z serait

analogue;

l’on aurait alors Sw =

(2 "V )w

et

les termes

supplémentaires

à faire

figurer

en

(3)

seraient

s4z4

+ S6 Z6; on

peut

annuler ici les moment Pi

d’indices i = 1, 2.

Une méthode voisine

permettrait

la détermination des

trajectoires fondamentales

des

miroirs

électrosta-tiques

très

convergents.

[1]

BERTEIN F. - J. Physique Rad.,

I952, 13, 4I A.

Manuscrit reçu le 10 mars 19 52.

SUR LE RAYONNEMENT DE CONVERSION INTERNE DU 232Th

Par MIle G.

ALBOUY,

Institut du

Radium,

Laboratoire Curie.

Nous avons étudié le

rayonnement

de conversion interne du Th232 au moyen d’émulsions Ilford G5 200 P. sensibles aux

trajectoires

individuelles d’électrons. Ces

émulsions,

préalablement

débarrassées de leurs

« électrons de fond n

[1]

ont été

imprégnées

et

déve-loppées

suivant les

techniques déjà

utilisées

[2].

M. Bouissières nous a fourni du chlorure de Th

pratiquement exempt

de RTh. Par

transformation

en nitrate et addition de citrate de

soude,

nous

avons

obtenu un

complexe

soluble

particulièrement

stable dans un

large

domaine de

pH

[3]

et

qui

nous a assuré

une bonne

pénétration.

De

plus,au pH

utilisé

(pH 7

à

8)

la sensibilité est

parfaitement

conservée.

Nous avons mesuré dans une

plaque 375o

trajec-toires «

parallèles

au

plan

de l’émulsion et toutes attribuables au Th

d’après

leur parcours. Parmi ces

trajectoires, 780

ont ùne

origine

commune avec celle d’un électron. Tous ces électrons

peuvent

être consi-dérés comme associés à la transition

Th-->MsThI,

car la

probabilité

d’obtenir

un fi

de

désintégration

du MsThII est

négligeable

(1).

La

figure

1 donne la

répartition

du parcours de ces électrons. Elle

présente

deux maxima vers 17 li et 27 p.,

correspondant

à des

énergies respectives

de l’ordre de 55 keV et 70 keV et dont la différence est

grossièrement égale

à la différence des

énergies

de liaison des couches L et M du MsThI.

(1) Le

rayonnement

électronique

du MsThI a une

énergie

trop faible

[4]

pour

qu’il

soit nécessaire d’en tenir compte.

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