HAL Id: jpa-00234530
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Submitted on 1 Jan 1952
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L’indice de réfraction du tétrachlorure de carbone de 5 à
15 µ
Ramadier-Delbès
To cite this version:
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Les mesures
thermomagnétiques
ont confirméce résultat. Les coefficients d’aimantation ont été mesurés entre la
température
ordinaire et 5ooo C environ. L’échantillon était enfermédans
uneampoule
de verre vidée et scellée.
Tous les
alliages
ont montré de faibles aimantationsparamagnétiques,
variant peu avec latempérature,
correspondant
sensiblement à l’additivité des valeurs données par le lanthane et lemaganèse,
en tenantcompte
desproportions
des deux métaux.L’étude
magnétique
confirme donc lediagramme
d’état établi par Rolla et landelli
[3].
Ces auteurs onttrouvé,
parl’analyse
métallographique
et parune étude des
diagrammes
depoudre
aux rayonsX,
qu’il
ne se forme aucuncomposé
défini par fusiondes deux
métaux; quelles
que soient lesproportions
du
mélange,
on retrouvetoujours
deuxphases
inso-lubles l’une dans l’autre et il existe même une lacune de miscibilité à l’étatliquide
entre 38 et74 pour
100de
manganèse.
-[1] SERRES A. 2014 J.
Physique Rad., I938, 9, 337. [2] TROMBE F. -
Thèse, Paris, I936.
[3] ROLLA et IANDELLI. 2014 Ber. dtsch. Chem.
Ges., I942,
75, 209I.
Manuscrit reçu le I7 novembre I95I.
Manuscrit reçu lue 17 novembre 1951.
L’INDICE DE
RÉFRACTION DU TÉTRACHLORURE
DE CARBONE DE 5 A
15 03BC
Par MmeRAMADIER-DELBÈS,
Laboratoire Infra rouge, P. C. B.L’indice de réfraction du tétrachlorure de carbone
a été calculé à
partir
desspectres
cannelés d’inter-férences obtenus en éclairant une mince couche deliquide comprise
entre les lames d’un interféromètre.Les mesures
d’épaisseur
de la couche mince, ladéter-mination des ordres d’interférences et les effets dus
aux
semi-métallisations,
ont été décrits dans, des articlesprécédents [1], [2], [3].
Les résultats mettent en évidence la
dispersion
anomale du tétrachlorure de carbone auvoisinage
de la bande
d’absorption
située vers 800 cm-1; ilspermettent
deprolonger
la courbe obtenue par Pfund[4]
par la méthode duprisme
et derejoindre
celle de I. Simon
[5],
qui
déterminela
dispersion
du tétrachlorure de carbone à l’intérieur de la banded’absorption
par une méthode deréflexion,
[1]
J. Physique Rad., I950, 11, 622.[2] C. R. Acad. Sc., I95I, 232, II94. [3] C. R. Acad. Sc., I95I, 232, I920.
[4] PFUND. 2014 J. Opt. Soc. Amer., I935, 25, 352.
[5]
SIMON I. - J.Opt. Soc.
Amer.,
I95I, 41, 336. Manuscrit reçu le 26 novembre 195 r.SUR LE POTENTIEL AXIAL DE LA LENTILLE
A TROIS ÉLECTRODES
Par MM. PIERRE GRIVET et MICHEL
BERNARD,
Laboratoire de Radioélectricité de l’E. N.S.,
1. Il est
possible
de faire l’étudethéorique
d’une lentilleélectrostatique
énreprésentant
la fonctioncaractéristique
T = 03A6
de
celle-ci par uneexpression
approchée qui
soit assezsimple
pourpermettre
l’inté-gration
del’équation
de Picht[1] qui
fournit les éléments dupremier
ordre et des formules deStur-rock
[2]
qui
donnent les coefficients d’aberration.Dans le cas de la lentille à trois
électrodes,
onpeut
choisir,
pourreprésenter
la fonctionT,
la formulesimple
.Les deux courbes
représentatives
ont des formesanalogues
et nous déterminerons les deuxparamètres
To
et a en écrivant que la courbe
approchée
et la courbeexacte ont le même
maximum,
de coordonnées z,,, etT,,,;
on obtiendra sans difficulté2. On ne
éonnaît
pasd’expression rigoureuse
dupotentiel
axial d’une lentille à troisélectrodes,
maisRegenstreif [3]
a donné récemment une formulesemi-théorique qui
cadre bien avec les mesures faitesà la cuve. En
prenant
pour unité la distance de l’élec-trode centrale à l’une des électrodes extérieureset en
appelant a
lerapport
despotentiels appliqués
à la
lentille,
on ay étant une fonction transcendante
compliquée
dont lareprésentation graphique
est une courbe en clocheet
qui
nedépend
que de lagéométrie
de la lentille. On trouvera sonexpression
dans le Mémoire deRegenstreif.
Lacomplexité
de cette formule rendimpossible
le calcul des coordonnées zn2 etTn2,
sauf dans des casparticuliers
et ce que nouscherchons,
c’est un