Le Yéti fait condamner un préfet qui veut virer un délinquant !
Le préfet du Maine-et-Loire vient d’être condamné pour avoir refusé un titre de séjour à un clandestin.
https://www.bvoltaire.fr/crise-migratoire-un-prefet-condamne -pour-avoir-refuse-un-titre-de-sejour-a-un-sans-papier- multi-recidiviste/
La France est vraiment méchante et raciste avec les clandestins. Ah oui, celui-ci était multirécidiviste. Ce Marocain de 54 ans avait un casier judiciaire long comme le bras : escroquerie, trafic de stupéfiants, vol. Il est vrai que les dernières condamnations remontaient à 2007.
L’homme s’était assagi. Ou alors la justice, qui n’a pas les moyens de poursuivre tout le monde, s’était assoupie et n’avait plus rien vu.
On peut quand même supposer que le préfet, qui connaît son métier, avait de bonnes raisons pour vouloir expulser le Marocain. Mais le tribunal administratif aux ordres, collabo-mur-des-cons-Dupond-Moretti, en a décidé autrement.
C’est la justice devenue folle.
Sous prétexte que le délinquant multirécidiviste marocain menait une vie de famille, le voilà autorisé à rester en France. Le tribunal administratif aux ordres n’a pas trouvé d’autre raison de retoquer la décision du préfet, qui a deux mois pour lui donner un titre de séjour.
Comme les délinquants étrangers ont en général une pléthore de familles, on peut s’attendre au pire désormais.
Cette décision ubuesque risque de faire jurisprudence.
Il paraît qu’en matière d’expulsion la vie de famille vaut plus que le casier judiciaire, c’est du moins ce que titre
le Journal de l’Ouest.
E s t - c e q u ’ e n m a t i è r e p a r e x e m p l e d e d é c l a r a t i o n administrative ou fiscale la vie de famille vaut mieux que tout le reste, aussi ? Cela pourrait être intéressant pour tout le monde.
Cette notion de vie de famille est bien pratique. Prenez un adepte de la secte allahakhbaresque, il lui suffit de convoler avec plusieurs femmes, quatre s’il suit « le beau modèle ». Quatre femmes, quarante enfants au moins, familles qu’on tolère de manière courante en France bien que ce soit tout à fait contraire à nos mœurs, à notre histoire et à notre tradition juridique.
Et ainsi il mène la vie de famille, entre terreur semée chez les professeurs de collèges, et autres lycées dont le niveau est, grâce à ces familles, plus bas que terre, trafics de d r o g u e , A M E , e t b i e n s û r l a C A F q u i p a i e , p a r l’intermédiaire des concubines, ce qui fait que l’homme n’a pas besoin de travailler entre deux tours en prison… mais elle est pas belle, la vie des caïds ?
Et en convolant avec ses quatre femmes, il ne risque plus de se faire expulser.
Le mariage et la vie de famille, remèdes à l’expulsion : qui dit mieux ?
À ce compte-là (ou ce conte de fée pour caïds) on ne pourra plus expulser personne. La France deviendra un pays de délinquants subventionnés et amnistiés sous prétexte de famille.
Ce n’est pas une première. Un délinquant avait été relaxé de sa condamnation pour excès de vitesse, et relaxé également de sa suspension de permis, pour la bonne raison, par lui invoquée, qu’il devait avoir la possibilité d’honorer les unes après les autres le plus régulièrement possible ses
trois épouses, distantes de plusieurs kilomètres. Les juges avaient cédé à une si honnête et touchante requête.
Les juges ont le cœur tendre et on ne va pas le leur reprocher, si ?…
On aurait pu espérer un meilleur avenir pour la vie de famille, ainsi dévoyée. Que fait la Manif pour tous ? Où sont les féministes ? Car les féminicides vont bien sûr augmenter. On sait qui les commet, majoritairement.
Gilbert Collard a écrit sur Facebook : « État de droit ou État de Troie ? Bienvenue au loup dans la bergerie ! » C’est bien dit.
L a F r a n c e , l e p a y s d e s d r o i t s d e l ’ a u t r e , d i t u n commentateur. C’est bien dit aussi.
Car, en même temps que la religion covidiste, on est en pleine religion des droits de l’homme : François Furet a été l’un des premiers à dire que la religion des droits de l’homme était devenue la nouvelle utopie, remplaçant le communisme et devant instaurer le règne du bien.
Le professeur de droit Jean-Louis Harouel est de cet avis : dans « Les droits de l’homme contre le peuple » (titre qui dit tout), il estime que le thème de la libre migration constitue aujourd’hui un des grands axes des droits de l’homme, qui deviennent les droits des étrangers, de préférence aux nôtres…
Que va-t-on faire maintenant ? Laisser les juges fous Dupond-Moretti continuer leurs violences, car nous imposer des gens qui sont entrés en France sans permission est une violence ? Les laisser continuer leur violation des droits de l’homme des Français ? Car les Français ont des droits de l’homme aussi, dont le droit de vouloir se protéger des multiples méfaits du sanspapiérisme.
Pourquoi ne pas, carrément, expulser plutôt le préfet qui fait son travail sérieusement ?… Au point d’incohérence où nous sommes arrivés, d’inversion des valeurs, de décisions stupides, plus rien ne nous étonnerait.
Dans la France d’aujourd’hui, pour la classe politique, à part les gens lucides comme Zemmour, il est devenu impossible de reconnaître que les délinquants étrangers n’ont strictement rien à faire chez nous.
Sophie Durand