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TADORNE

COLLECTION DIRIGÉE PAR GÉRARD NOIRET

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RECUIAM

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@ éditions ipomée 1985

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maurice ,r'egnaut /

RECUIAM

TADORNE

COLLECTION DIRIGÉE PAR GÉRARD NOIRET

Ce livre a été publié avec le concours du Centre National des Lettres

é d i t i o n s i p o m é e

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à peine en toi et plus que houle et rien qu 'urgence et transe et râle

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Jamais Mer Et toujours, N'es-tu pour nous, Battante et sonnante, Qu'une horloge éternelle, Ou nos heures les plus hautes, N'es-tu pas lasse de nous voir Faire aussi fous ces gestes d'écume Vers tant d'horizon, vers tant d'éphémère, Mer, jamais et toujours pour rien et personne, Qu'être et que dire en vérité, horreur, splendeur, Qui ne soit ni toi et ni moi, mais l'énigme même, Et simplement par soif de sel, de grand vent, de silence ?

(9)

J'ouvrais les yeux : c'était sa main sur mon épaule, il se penchait, je voyais au-dessus de lui les ais du plafond éclairés par la cuisine, à peine me secouait-il que je dressais la tête, il s'en retournait sans rien dire. En m'habillant je l'entendais mettre les bols, les cuillers, replacer les ronds, verser, puis venait un crachat, suivi du râclement du pied sur le ciment. Quand ses brodequins étaient lacés, ma der- nière gorgée était bue, il prenait la musette et, la maison éteinte, en route pour le chantier. Dans le monde encore endormi, obscurité, silence, il n'y avait que lui, devant, et moi, roulant par la nuit que teintait, au fond du ciel, une lueur vague.

Et si c'était ainsi, père, ainsi même, au dernier instant ?

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Rauque.

souillée de sanglots, voix sans dimanche, au dos de coups et de lessives, aux doigts de ciment et d'aiguilles, aux cheveux morts de fatigue, aux tempes de vieux lino, au front de fin de mois, aux rides de mauvais sang, aux yeux pleins de vaisselle cassée, aux joues de soupe froide, aux baisers de Noël,

chante,

vieille va-nu-coeur, chante contre

et pour ce monde, et pourtant,

cette autre voix, cette voix toute autre, oui, plus belle que la mort, mais qui donc ne lui crierait oui, plus innocente que la lumière ?

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Cruauté et deuil dira-t-on

il voyait Il vivait

dira-t-on

déjà et pas encore Suffira-t-il

pour le nommer

du seul poème

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VIOLETINDIGOBLEUVERTJAUNEORANGEROUGE

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Un éléphant vieux de mille ans Couché sur le flanc et sentant Se voiler son œil lentement,

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Qu'ils s'en aillent, tous, toutes, que tout disparaisse, tout, oui, tout, je tombe, vite, je tombe...

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8

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- Ce n'est pas seulement pour que vous me posiez cette question que je vous ai fait venir, vous et personne d'autre, ici, ce matin, c'est encore et surtout qu'il était et qu'il est toujours dans mon intention de ne répondre à personne qu'à vous. Ce qui se passe, ou plutôt ce qui s'est passé, vous le saurez donc, mais il ne sert à rien, comme chacun sait, d'apprendre sans comprendre, aussi ne vous mettrai-je au fait, à proprement parler, qu'une fois parve- nue à ma conclusion. Vous étonnera-t-il de savoir, pour commencer, qu'à cette heure-ci mon mari dort encore ? Il ne va pas tarder pourtant à s'éveiller, s'il me faut en juger par ma quotidienne expérience, et comme avant qu'il n'apparaisse, avant que rien ne soit plus possible, et plus nécessaire également, je voudrais vous avoir tout dit, je vous demanderai de m'écouter sans m'interrompre et, qui plus est, sans rien manifester, si vif, si légitime aussi, que vous puissiez en avoir le désir. Va vous parler non pas votre rivale professionnelle, ou votre consœur, si vous préférez, mais la femme, et vous parler comme aucune femme ne l'a jamais fait à personne, étant clair que parler, au sens mien, si c'est ne taire aucun secret, ce n'est aucunement, pour autant, délivrer son cœur à vau-l'eau, mais le soumettre à réflexion. La femme, ai-je dit, quand nous en serons au terme et que sera comblée une fois de plus votre irrésistible curiosité, c'est la femme en effet qui vous aura finalement révélé, chose évidente et que pourtant même vous, mon cher, n'avez su voir, qu'elle ne supportait plus ce qu'elle n'avait jamais pu supporter, d'être laide. Excusez-moi d'avoir si vite à vous rappeler que ne vous est permise

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aucune manifestation, ce qui manifestement vous paraît excessif, voire absurde, à tel point qu'une faveur va vous être accordée et que cette règle aura son exception, mais cette exception sera la seule, et vous n'aurez le droit d'intervenir, sur le mode qui vous conviendra, que s'il y a de ma part, au préalable, un manquement à cette même règle, aussi léger soit-il, si ma main par exemple a ne serait-ce qu'un semblant de geste, ou ma lèvre un sourire, ou ma voix même un tremblement. Laide est un mot, me diriez-vous, mais loin, comme on dit, de n'être qu'un mot, ce mot, c'est moi, de même qu'est moi cette voix qui le prononce, à cet instant-ci comme à tout instant : laide, laide, et de ma naissance à ma mort, je n'aurai été que ce mot, ses os, sa chair, son corps, la laideur est venue au monde et c'est la laideur qui vous parle. Aussi profond que je remonte en mon enfance, aussi scrupuleusement, com- ment aurais-je pu me faire illusion, moi qui ai toujours su ? C'est pour savoir que je suis née et l'enfant que j'étais pouvait bien par moments se révolter, tenir sa laideur pour une injustice, une étrange logique existait que l'enfant savait toute-puissante et sitôt, en effet, qu'alors elle se regardait, comme elle le faisait du matin au soir, dans sa glace de poche, à la dérobée, il lui sautait aux yeux qu'une telle laideur ne pouvait prétendre à quoi que ce soit d'autre et ne méritait incontestablement que ce qu'elle était. La haine, au cœur de tout ce que j'ai jamais pu éprouver, voilà ce que toujours j'ai su, que je me haïssais, que cette intelligence en moi n'était rien d'autre, impi- toyablement, que la capacité de me connaître laide et de comprendre, au lieu de nier ou d'implorer, qu'il n'y avait pour moi qu'à me haïr. Quand l'adolescence est venue, avec elle pourtant le doute a fait rage et nuit après nuit, si j'ai pu tenir, c'est en me répétant qu'à toute cette détresse, à l'horreur de toute cette absurdité, ma raison ne pourrait survivre, et j'allais jusqu 'à rire enfin de la folle alors que je serais, jusqu'à reconnaître absolument juste, admirable même en un sens, que la laideur soit destinée à la folie.

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Autour de moi, celles de mon âge, à les trouver chaque jour plus femmes, et chaque jour plus dédaigneusement, non seulement la nuit je ne pouvais dormir, mais parfois l'angoisse était si puissante, au matin, que selon que la force ou non me restait de ne pas vérifier dans ma glace, ou bien manger, parler, sortir, je ne pouvais rien, ou bien par- venue, en ne les regardant pas, jusqu'au milieu d'elles, une telle douleur soudain me tenaillait, par toute la poi- trine, à hurler, que je finissais par lever les yeux, par les voir toutes, et c'était en larmes la fuite et je m'enfermais, les jours passaient, les semaines parfois, dans la terreur de les revoir, toutes trop heureuses. Et vous, n'êtes-vous pas de ceux qui n'ont jamais eu, eux non plus, le moindre soupçon de ce qu'il faut subir, quand tout ce qu'on sait, c'est non seulement qu'on ne sait plus qui on est, mais qu'on ne doit s'attendre à rien de personne ? Il y a eu ce que j'ai cru être une illumination, la nuit où d'un seul coup m'est apparu que chaque autre femme étant réelle- ment ce que je ne serais jamais, cette beauté pouvait, comme on dit, être mienne, et cette nuit-là n'a été toute entière, inoubliablement, qu'un vertige à la fois d'émer- veillement et d'inquiétude, à la fois de comprendre enfin et de ne pas avoir compris plus tôt que cet amour-là m'était réservé, l'amour de femme à femme, et que le des- tin de la laideur, que le sens de tout, pour moi, c'était lui.

Sachez qu'une expérience a suivi, que par conséquent la nôtre, mon cher, n'était pas la première, et comprenez comment, tant votre sourire était sans mystère et fausse alors votre question, je vous ai menti sans pourtant mentir, mon seul vrai mensonge ayant consisté à me louer de cette expérience, au lendemain de laquelle, en vérité, je me suis retrouvée amèrement sans rien, plaisir, désir, espoir, défi- nitivement laide. Il ne restait que le travail, c'est lui, et lui seul, qui m'aura gardée, et c'est grâce à lui que j'ai décou- vert, avec, au début, quel bonheur naïf, que penser, ce n'était pas seulement ce qui sans fin me confrontait à ma laideur, c'était aussi ce qui pouvait me la rendre invisible,

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à condition perpétuellement d'une telle urgence et d'une telle gravité qu'il n'y ait pas même, un matin, l'instant, face au miroir, l'instant sans pensée où soudain, dans le regard vide, à nouveau la laideur est là, elle qui jamais n'avait été absente, instant terrible et qu'il faut tant de temps pour effacer, tant de travail, pour oublier, tant jour et nuit. J'ai voulu être en tout la meilleure afin de pouvoir imposer mon choix, et j'ai choisi cette profession, elle et nulle autre, afin d'être la première femme à l'exercer, la première chirurgienne, et ce poste de direction que vous étiez en droit notoirement d'espérer, vous dont j'ai moi- même apprécié l'aptitude, à mon arrivée, et la générosité, vous pour qui, bien que vous ayez ensuite offert votre assis- tance ailleurs, j'ai conservé toute mon estime, oui, c'est à moi qu'est revenu ce titre et, comme alors vous m'avez dit, j'ai triomphé, mais ce triomphe aux yeux de tous, c'est le triomphe, je sais, de la laideur, je sais qu'il suffit qu'une femme apparaisse en toute splendeur, poitrine pleine et cheveux épais, sang aux lèvres, éblouissante douceur de peau, pour que le froid me paralyse et que je ne sois plus rien que cette certitude, en tout lieu, de tout temps, que je n'existe pas. Cette femme qui ne peut que s'aimer, qui ne peut qu'être aimée et qui va ainsi, sûre de soi, dans l'évi- dence à tous de sa beauté, si le vrai triomphe, si le seul, partout et toujours, c'est le sien, comment alors, pour qui ne peut s'aimer soi-même, être aimé serait-il possible ? Et c'est pour la haine, moi, que je suis née, et je n'ai jamais été en rêve autre que moi, jamais moins laide, et depuis l'enfance, aussi bien de jour qu'au fond du sommeil, l'image de bonheur qui toujours me hante, et toujours la même, est celle d'un homme, entendez-vous, d'un homme qui vient, magnifique, en effet, qui m'emporte avec lui toute une nuit dans le noir, qui le matin, sans un regard, a disparu. Comprenez-vous enfin que mon insis- tance à vous répéter, pendant notre nuit, qu'il n'y en aurait aucune autre, était loin, comme jusqu'au bout vous l'avez cru, d'être l'indice en moi de je ne sais quelle roue-

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rie ou quelle peur ? Ce que nous avons ensemble vécu, moi seule en savais le sens véritable, et pourtant, si vos let- tres, par la suite, en dépit de leur folle fréquence et de leur ton, n'attestaient guère, outre un savoir-vivre on ne peut plus formel, que le désarroi d'un amour-propre habitué au beau rôle, il y a eu toute une période, après votre retour de cure, où j'inclinais presque à penser que votre souffrance était vraie, et qu'elle avait peut-être un nom, jalousie, il y a même eu, juste avant mon mariage, un moment, je l'avoue, où j'ai failli douter, mais finalement vous avez accepté d'être le témoin de mon mari, quand lui et moi vous en avons prié, et votre silence absolu, depuis mon mariage, est indéniablement la preuve, inutile au fond, qu'une femme comme moi ne peut pas commettre d'erreur, même sur l'homme qui voulait mourir, disait-il, s'il ne pouvait l'aimer. Tout aurait pu être plus simple, avec mon mari, rien en lui n'importait au rêve, et même quand j'éprouvais quelque désir, parfois, comme il était hors de question que j'aie un seul geste, un seul mot qui lui dise : viens, ma laideur veut être heureuse, hors de question que ce ne soit pas lui qui vienne et de lui-même, il venait, sans non plus que jamais j'aie employé la moindre ruse, il venait miraculeusement, c'est ce qu'alors j'étais prête à croire, et débordant de plus en plus de passion et de gratitude, et les premiers temps ont passé ainsi, c'était en moi comme une sûreté sans plus savoir, comme un calme obscur, jusqu'au jour où tout s'est éclairé, où j'ai compris, à ma satisfaction et ma honte à la fois, que l'inimaginable, aveuglant d'être si banal, que l'impossible, il l'était, lui, qu'en réalité il m'aimait. Ma laideur, son amour n'en était nullement la reconnaissance, il ne la voyait pas, son amour me laissait ma laideur à moi seule et me laissait seule avec elle, et ce qui par là même était jour après jour vérifié, c'est ce que même dans l'oubli je ne pourrais être sans savoir, moi, qu'être laide est cette solitude où l'amour n'a que faire, et lui, sans cet amour, m'aurait-il jamais désirée ? Il m'aimait, il venait, que pouvait-il obtenir d'autre, à quel

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échange aurais-je pu consentir, moi qui n'avais à lui don- ner que ce qui pour lui était sans existence, et que j'étais seule à pouvoir haïr ? Que de fois j'ai souhaité qu'il vienne au bord du lit, qu'il reste debout, qu'il me raille et m'insulte et me fustige et me lacère, alors ma haine aurait été la sienne, alors qui sait, peut-être aurais-je fini, moi, par l'aimer ? J'ai eu beau tout faire, absolument tout, pour qu'il en intéresse une autre, à ses yeux la plus belle, et qu'ils soient ensemble, elle et lui, malgré moi, face à moi, que la vie ainsi se retrouve en ordre, il m'aimait, il m'aimait, j'aurais pu journellement être plus dure encore à son égard, pour son travail, plus humiliante, il m'aimait, il m'aimait, chaque mot de lui, chaque geste, chaque regard, disait : je t'aime, insupportablement. Quelle rai- son faire entendre à qui croit que le temps existe, à qui n'est lui-même, en toute équité, que le même mensonge à n'en plus finir ? L'amour à l'amour, la haine à la haine, il n'y a que cette vérité, mais de lui-même il ne l'aurait jamais compris, jamais, ni que la laideur est un crime, à perpétrer chaque jour, jusqu'au dernier, contre soi-même, et je ne pouvais plus rien que faire enfin ce que j'ai fait.

Me voici à ma conclusion, ce qui s'est passé, je vais vous l'apprendre, et satisfaire ainsi, comme on dit, votre curio- sité, si curiosité ou je ne sais quoi d'autre il y a, vu que vous n'avez strictement rien manifesté, jusqu'à présent, témoignage vous en soit rendu. Vous en savez assez pour tout comprendre et mon mari va s'éveiller d'un instant à l'autre, il va venir ici, face à vous, mais peut-être, avant même qu'il n'apparaisse, entendrons-nous un cri. Vous rappelez-vous m'avoir avoué, au matin, quelle était la seule opération que pourtant vous regretteriez, le jour de votre mort, de n'avoir jamais pratiquée ? Oui, regardez- moi, regardez, laide, laide, et sachez que cette nuit, seule évidemment, j'ai opéré à domicile et sur la personne même de mon mari, qu'après l'avoir dûment anesthésié, lui mon anesthésiste (et là je me permets pour vous un sou- rire, un seul), j'ai procédé à l'émasculation.

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Et le cœur n'en voulant plus mie, Dame, on est d'âge, Tout rapport redevient de force,

« en signe de quoi la tête du canard baigne dans le vert chatoyant, couleur d'illusion ».

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CE LIVRE A ÉTÉ RÉALISÉ SUR LES PRESSES DE L'IMPRIMERIE BEAUFILS À MOULINS ACHEVÉ D'IMPRIMER LE 21 MARS 1985 COMPOSITION IPOMÉE

Dépôt légal avril 1985 ISBN 2-86485-038-9 - éditions ipomée moulins 03000

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