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c est pas très important Comme on peut

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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1. Tous les jeudis Gustave : Tous les jeudis après-midi,

Suzanne : À chaque fois Julie : C’est cinéma.

Igor : On s’réunit Brigitte : À cinq ou six,

Lucien : Et on commente Les six : Et on invente.

Chœur : Tous les jeudis après-midi À chaque fois c’est cinéma.

Même si on n’voit pas les images, On embarque pour le voyage.

Même si on doit imaginer,

On est content d’être embarqué ! On s’réunit à cinq ou six

Et on commente et on invente.

Nous on préfère les films anciens.

Oui les vieux films c’est tell’ment bien.

En couleurs ou en noir et blanc, Pour nous c’est pas très important…

Il y a des films audiodécrits ,ouh

Mais ce sont les films d’aujourd’hui. ouh On préfère choisir ceux qu’on veut. ouh

Alors on s’débrouille comme on peut. Alors on s’débrouille comme on peut, Comme on peut

Les bons classiques c’est ça qu’on aime, Mais c’est justement le problème.

Ils ne sont pas assez en vogue Pour être inscrits au catalogue, Au catalogue.

Tous les jeudis après-midi, Tous les jeudis après-midi, À chaque fois c’est cinéma. À chaque fois c’est cinéma.

Même si on n’voit pas les images, Même si on n’voit pas les images, On embarque pour le voyage. On embarque pour le voyage.

Même si on doit imaginer,

On est content d’être embarqué !

On s’réunit à cinq ou six On s’réunit à cinq ou six

Et on commente et on invente. Et on commente et on invente.

Nous on préfère les films anciens. Nous on préfère les films anciens.

Oui les vieux films c’est tell’ment bien. Oui les vieux films c’est tell’ment bien.

En couleurs ou en noir et blanc, En couleurs ou en noir et blanc,

Pour nous Pour nous, pour nous, pour nous, pour nous…

c’est pas très important… c’est pas très important…

ouh Ceux parmi nous qui furent voyants

ouh Quand ils étaient petits enfants

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ouh Se souviennent encore parfois De tous ces films vus autrefois De tous ces films vus autrefois,

autrefois.

Ils comparent les sons qu’on entend Avec leurs souvenirs d’antan

Et vont puiser dans leur mémoire Quand ils sont perdus dans l’histoire, Dans l’histoire.

Tous les jeudis après-midi, Tous les jeudis après-midi, À chaque fois c’est cinéma. À chaque fois c’est cinéma.

On s’réunit à cinq ou six On s’réunit à cinq ou six

Et on commente et on invente. Et on commente et on invente.

Tous les jeudis après-midi, Tous les jeudis après-midi, À chaque fois c’est cinéma. À chaque fois c’est cinéma.

Même si on n’voit pas les images, Même si on n’voit pas les images, On embarque pour le voyage. On embarque pour le voyage.

Même si on doit imaginer,

On est content d’être embarqué !

On s’réunit à cinq ou six On s’réunit à cinq ou six

Et on commente et on invente. Et on commente et on invente.

Nous on préfère les films anciens. Nous on préfère les films anciens.

Oui les vieux films c’est tell’ment bien. Oui les vieux films c’est tell’ment bien.

En couleurs ou en noir et blanc, En couleurs ou en noir et blanc,

Pour nous Pour nous, pour nous, pour nous, pour nous…

c’est pas très important… c’est pas très important…

Un détail nous a échappé : Qui donc était le meurtrier ?

Parfois passe un aide-soignant Qui reste avec nous gentiment.

Malgré sa bonne volonté, Il peut lui aussi se tromper.

Et pour éclairer nos lanternes, Il nous raconte des balivernes ! Oui des balivernes…

Tous les jeudis après-midi, Tous les jeudis après-midi, À chaque fois c’est cinéma. À chaque fois c’est cinéma.

Même si on n’voit pas les images, Même si on n’voit pas les images, On embarque pour le voyage. On embarque pour le voyage.

Même si on doit imaginer,

On est content d’être embarqué ! D’être embarqué !

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2. Il s’appelle Simon (1) Sarah : C’était il y a bien longtemps, nous étions adolescents

Et dans la cour du lycée, c’était mon préféré.

Mais pour tout l’or d’un empire, je n’aurais osé lui dire Combien il comptait pour moi. Si grand était mon émoi.

Mes copines me disaient : Il faut lui dire ton secret.

Aujourd’hui tu lui dis tout. Aujourd’hui tu lui avoues.

Mais je repoussais la chose, et dans mes rêves moroses, J’enfermais ce bel amour sans lui faire voir le jour.

Il s’appelait Simon. Oui, c’est un beau prénom.

Et je l’aimais, c’est vrai… C’était mon grand secret.

Tel un soleil d’hiver, telle une merveille princière Déployant ses rayons, épuisant mes raisons.

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3. Fanny par Sarah Sarah : Un voilier, un port au soleil.

Quelqu’un : Mais quel port ? Sarah : Le port de Marseille

Et une foule devant un café, une jeune femme inanimée

Quelqu’un : Évanouie ? Est-ce que c’est Fanny ? Sarah : Un homme emporte la jeune fille

Quelqu’un1 : Mais quel homme ? Sarah : Ah, restez tranquilles !

Je ne peux pas tout vous expliquer, si vous ne me laissez pas parler ! Je n’peux pas travailler comme ça !

Le chœur : Vont et viennent les questions pendant la projection.

On pleure et on rigole sur Fanny de Pagnol.

Sarah : Enfin on le voit de tout près.

C’est Raimu, on le reconnaît.

Quelqu’un : Qui c’est Raimu, comment le sais- tu ?

Sarah2 : Eh bien pardi il est connu.

Quelqu’un : J’comprends pas, c’est qui celui-là ? Quelqu’un : Mais Raimu, c’est le nom de

l’acteur.

Tu vas nous induire en erreur.

Faut donner l’nom de son personnage, Ou décrire sa taille et son âge.

Simplement, comme dans un roman.

Sarah : Allez d’accord, je recommence.

Julie : Allons-y ! Et maint’nant on avance ! Sarah : Chemise blanche, cravate défaite,

Casquette à l’arrière de la tête.

Quelqu’un : Il a quel âge ? Sarah : La cinquantaine à peine.

Sarah : On appelle cet homme César, et c’est lui le héros d’l’histoire.

Il accompagne Fanny chez sa maman, pour qu’elle s’occupe de son enfant.

Dites-moi : j’raconte bien comme ça ?

Le chœur : Vont et viennent les questions pendant la projection.

On pleure et on rigole sur Fanny de Pagnol.

Sarah : Mais Fanny a un gros chagrin. Son Marius est parti c’matin.

Je sais pourquoi elle ne va pas bien : elle est enceinte de son marin ! Quoi encore ? Qu’est-ce qui ne va pas ?

Erreur sans doute dans la partition, où il est écrit « chœur » ici.

1

Manquant dans la partition.

2

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Le chœur : Mais pourquoi tu dis ça maint’nant.

Tu nous gâches le plus important.

Ça, c’est le film qui doit nous le dire, Sans quoi il n’y a plus de plaisir.

Là Sarah, c’est n’importe quoi ! Sarah : Donc Fanny a un chagrin. Son mari est parti c’matin Pendant cinq ans sur la « Malaisie ». Elle en fait tout une maladie.

Le chœur : Là ça va, c’est bien mieux comme ça !

Le chœur : Vont et viennent les questions pendant la projection.

On pleure et on rigole sur Fanny de Pagnol.

Sur Fanny de Pagnol.

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4. Les descriptions

Avec Sarah on peut enfin comprendre mieux, On voit par ses yeux.

Avec Sarah, c’est vrai, on a enfin accès Aux détails et aux faits.

Avec Sarah on peut enfin comprendre mieux.

Tout devient lumineux…

Avec Sarah, c’est vrai, c’est comme si on y était !

Quel est ce bateau : une pirogue

Quel est ce bateau ? Ou un mauvais petit rafiot ?

Tout ce qui n’est pas le dialogue, Ce qui ne passe pas par les mots.

ouh Il faut que Sarah, psychologue,

ouh Choisisse seul’ment ce qu’il faut.

Seulement…… ce qu’il faut ! Seulement ce qu’il faut ! Écoutant Sarah,

On devine les traits d’un visage, l’expression : Écoutant Sarah,

On devine l’expression : Celui-là fait une drôle de mine.

Et (celui) celui-ci a des soupçons.

C’est une chose qu’on imagine.

C’est une question d’interprétation.

Il faut bien du vocabulaire

Pour nommer les choses à l’écran.

Décrire un costume, quelle affaire ! En quelques mots succinctement.

Entre les dialogues, quel enfer ! Entre les dialogues, quel enfer !

Il n’y a pas toujours le temps. Il n’y a pas, il n’y a pas toujours les temps.

Qu’est-ce là, une théière

Ou une cafetière qu’on entend ?

Ça n’a l’air de rien, non pas l’air… Ça n’a l’air de rien, non pas l’air…

Mais c’est parfois très important.

Oui, très important !

Car d’un personnage l’univers Car d’un personnage l’univers Est ainsi posé parfait-ment.

Avec Sarah on peut enfin comprendre mieux On voit par ses yeux.

Avec Sarah, c’est vrai, on a enfin accès Aux détails et aux faits.

Avec Sarah, c’est vrai, c’est comme si on y était !

Dans la scène finale, sur le pont

Dans la scène finale, Quand le héros meurt au combat

Est-ce un regard de compassion que sa fiancée lui envoie ? Ou un regard fou d’affliction,

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ouh Du genre : « je ne m’en r’mettrai pas ».

« Je ne m’en remettrai pas ! »

Il y a aussi dans le ton, Il y a aussi,

Dans les changements de la voix, Dans les chang’ments de la voix, Toutes sortes d’indications que les mots seuls

Ne donnent pas

Soyons attentifs aux façons, aux subtils accents De Sarah.

Avec Sarah Avec Sarah on peut enfin comprendre mieux.

C’est mieux… On voit par ses yeux.

Avec Sarah, c’est vrai, on a enfin accès Avec Sarah

Aux détails et aux faits. C’est vrai…

la la la la Avec Sarah on peut enfin comprendre mieux.

Tout devient lumineux. la la la la

Avec Sarah, c’est vrai, c’est comme si on y était !

la la la la padabadaba padabadabada

C’est mieux… On voit par ses yeux.

padabadaba padabadabada la la la la

Les détails et les faits. C’est vrai…

la la la la padabadaba padabadabada

Tout devient lumineux la la la la

Avec Sarah, c’est vrai, c’est comme si on y était !

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5. Le petit groupe (1)

Au départ, ils sont six, mais les rangs se grossissent.

Chacune, chacun, ramène quelqu’un.

Mais petit à petit, le groupe s’agrandit.

Au départ, Au départ, au départ,

Ils sont six, Au départ ils ne sont que six,

Mais les rangs se grossissent. Mais les rangs se grossissent, se grossissent.

Chacune, chacun, ramène quelqu’un. Chacune, chacun, ramène quelqu’un.

Mais petit à petit, le groupe s’agrandit.

Gustave : Je m’appelle Gustave.

Le chœur : Il est bien brave, Mais ne maîtrise pas ses nerfs.

Je me mets vite en colère.

Il a ramené Raymond, Qui n’a pas osé dire non.

Lucien : Moi, c’est Lucien, je suis le doyen.

Fou de musique classique.

C’est lui le plus nostalgique.

Il a ramené Arnaud.

Un monsieur très comme il faut.

[Chœur vx 1] Au départ, [Chœur vx 2] Au départ, au départ,

Ils sont six, Au départ ils ne sont que six,

Mais les rangs se grossissent. Mais les rangs se grossissent, se grossissent.

Chacune, chacun, ramène quelqu’un. Chacune, chacun, ramène quelqu’un.

Mais petit à petit, le groupe s’agrandit.

Au départ, Au départ, au départ,

Ils sont six, Au départ ils ne sont que six,

Mais les rangs se grossissent. Mais les rangs se grossissent, se grossissent.

Chacune, chacun, ramène quelqu’un. Chacune, chacun, ramène quelqu’un.

Mais petit à petit, le groupe s’agrandit.

Brigitte : Je m’appelle Brigitte.

Chœur : Sacrée Brigitte.

« Bonjour à tous moi c’est Brigitte »

Qui parle, qui parle, qui parle trop vite.

On ne comprend pas tout, pas tout ce qu’elle dit

Avec un pareil débit.

« Je vous ai ramené Julienne, Une ancienne parisienne… »

Suzanne : Bonjour, moi, c’est Suzanne.

La belle Suzanne, avec sa canne.

Il lui reste au fond des yeux De quoi voir encore un peu.

Je vous ai ramené Lucie, Lucie,

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Pour nous tenir compagnie.

[Chœur vx 1] Au départ, [Chœur vx 2] Au départ, au départ,

Ils sont six, Au départ ils ne sont que six,

Mais les rangs se grossissent. Mais les rangs se grossissent, se grossissent.

Chacune, chacun, ramène quelqu’un. Chacune, chacun, ramène quelqu’un.

Mais petit à petit, le groupe s’agrandit.

Igor : C’est mon tour ? C’est à moi ? C’est à mon tour, la présentation ? Igor : Moi, je suis Igor. Je suis ténor. Ah-ah !

Je chante à hue et à dia.

Le chœur : On peut dire qu’il aime ça.

Il a ramené Henriette.

C’est ma conquête.

Julie : Moi c’est Julie.

Ce n’est pas la plus polie.

On s’est pris tell’ment de vestes De cette petite peste. brrr Je n’ai ramené personne.

Eh ben ? Ça vous étonne ?

[Chœur vx 1] Au départ, [Chœur vx 2] Au départ, au départ,

Ils sont six, Au départ ils ne sont que six,

Mais les rangs se grossissent. Mais les rangs se grossissent, se grossissent.

Chacune, chacun, ramène quelqu’un. Chacune, chacun, ramène quelqu’un.

Mais petit à petit, le groupe s’agrandit.

OUI !

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6. Oublier Igor : Quand s’est éteint la flamme, quand vint la cécité, Au souvenir de ma femme je me suis raccroché.

Mais c’était là le drame, je voulais conserver L’image de ma dame qui allait s’effacer.

Le chœur : ouh ouh ouh ouh Car le temps allait prendre, cela je le savais,

Jusqu’à la moindre cendre du passé qui restait.

Le teint de sa peau tendre, ce visage que j’aimais, Et ses yeux en amandes, doucement disparaissaient.

Oublier les images, oublier les visages, Autant… en apporte le temps.

Oublier les images, oublier les visages, Rien ne doit rester.

Oublier les images, oublier les visages, Autant… en apporte le temps.

Oublier les images, oublier les visages, Rien ne doit rester de la vie passée.

Et je me refusais à cet inéluctable,

Où le monde concret chute dans l’ineffable.

Je luttais pied à pied. Je me berçais de fables.

La nappe était rangée, j’étais encore à table.

Le chœur : ouh ouh ouh ouh Je ne comprenais pas, dans mon agitation,

Qu’il valait mieux pour moi dire oui plutôt que non.

Accepter que l’oubli brule toutes les moissons.

Accepter cette folie, cette folie de la disparition.

Oublier les images, oublier les visages, ouh

Autant… en apporte le temps. ouh

Oublier les images, oublier les visages, ouh

Rien ne doit rester. Rien ne doit rester

Oublier les images, oublier les visages, Autant… en apporte le temps.

Oublier les images,

Oublier les visages, Oublier

Rien ne doit rester de la vie passée. Les visages.

Un jour vint final’ment où je capitulai

Devant ma vie d’avant douc’ment qui s’en allait.

Quelle surprise fut mienne alors de constater Que la place soudaine qui s’était libérée…

Le chœur : ouh

Laissait entrer en moi, tant d’émotions nouvelles.

En fait j’avais le choix, la vie devenait belle.

J’ai vécu pleinement, joies et peines mêlées, Disponible au présent et à ma destinée.

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7. Les voix des acteurs

ouh Les accents, les voix Les accents, les voix, des stars et vedettes, Nous montent à la tête toutes à la fois. Nous montent à la tête toutes les fois.

Ah, quelle langueur. Ah, se laisser bercer. Ah, quelle langueur. Se laisser bercer.

Se laisser emporter par nos chers acteurs ! Se laisser emporter par nos chers acteurs ! Je reconnais entre mille la voix de Jean-Paul Belmondo.

Ou bien encore plus facile Deneuve dans le Dernier Métro.

Et cette voix nasillarde, est-ce Bourvil dans La Grande Vadrouille ?

But alors, you are

french ?

Mais non, bien sûr ! C’est De Funès. J’ai confondu, quelle andouille ! Cette tchache, ce débit, c’est sûr, c’est Jamel Debouzze.

Ça ne peut être que lui. En tout cas c’est pas Tom Cruise ! Y’en a une que j’aime bien, c’est la p’tite Audrey Tautou, Dans le film Amélie Poulain elle est mignonn’ comm’ tout.

Les accents, les voix, des stars, des vedettes ouh Les accents, les voix

Nous montent à la tête toutes à la fois. Nous montent à la tête toutes à la fois.

Ah, quelle langueur. Se laisser bercer. Ah, quelle langueur. Ah, se laisser bercer.

Se laisser emporter par nos chers acteurs ! Se laisser emporter par nos chers acteurs ! Ah, le timbre et la diction, du grand Gérard Depardieu.

Cette voix fluette, ce ton, si ça n’est pas merveilleux.

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