• Aucun résultat trouvé

Correction

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Correction"

Copied!
9
0
0

Texte intégral

(1)

Correction du DS n

o

3

La calculatrice est interdite. Durée : 4h

La qualité de la rédaction, la clarté et la précision des raisonnements interviendront pour une part importante dans l’appréciation des copies.

Exercice 2 (EDHEC 2010)

Pour tout entier natureln, on poseun =

n

Y

k=0

1 + 1

2k

= (1 + 1)

1 + 1

2 1 + 1 4

· · ·

1 + 1 2n

. 1. On a u0= 1 +210 = 2 etu1= 1 + 210

1 + 211

= 2×32= 3 etu2= 1 +210

1 +211

1 +212

= 3×54 2. (a) On a un+1 = un×

1 + 1

2n+1

= un + 1

2n+1un >un car un > 0 donc la suite est croissante et commeu0= 2

Conclusion : un>2 : (b) un+1=un×

1 + 1

2n+1

et on a vuConclusion : la suite est croissante 3. (a) Soitg(x) = ln(1 +x)x.

g est dérivable sur ]−1; +∞[ etg(x) = 1

1 +x−1 = −x 1 +x

x −1 − 0 + +∞

g(x) + 0 −

g(x) ր − 0 ց −

Doncg(x)60 etConclusion : ∀x >−1, on a : ln(1 +x)6x.

On pouvait aussi utiliser la concavité de x→ ln (1 +x) dont la courbe est donc en dessous de sa tangente en 0 d’équationy=x

(b) Comme produit de termes strictement positifs, ln (un) =

n

X

k=0

ln

1 + 1 2k

Et comme 1 +21k >1 alors ln

1 + 1 2k

6 1

2k et

n

X

k=0

ln

1 + 1 2k

6

n

X

k=0

1

2k =1−2n+11

1−12 = 2

1− 1 2n+1

62

Conclusion : ln(un).62 pour tout entiern 4. On a doncun6e2.

et comme la suite est croissante et majorée pare2(et minorée par 2),elle converge vers une limite∈ 2, e2 5. On se propose dans cette question de déterminer la nature de la série de terme général (ℓ−un).

(a) Commeℓ >0 alors ln est continue endonc ln (un)→ln (ℓ) Or ln (un) =

n

X

k=0

ln

1 + 1 2k

doncPn

k=0ln 1 +21k

→ln (ℓ) quandn→+∞

ce qui signifie que la sérieX

k>0

ln

1 + 1 2k

converge et que

Conclusion : ln(ℓ) =

+

X

k=0

ln

1 + 1 2k

(2)

(b) Commeun etsont strictement positifs, ln

un

= ln (ℓ)−ln (un)

=

+

X

k=0

ln

1 + 1 2k

n

X

k=0

ln

1 + 1 2k

=

+

X

k=n+1

ln

1 + 1 2k

(c) Et comme ln

1 + 1 2k

6 1

2k alors

+

X

k=n+1

ln

1 + 1 2k

6

+

X

k=n+1

1 2k = 1

2n+1 1 1−12

Conclusion : ∀n∈N,06ln

un

6 1

2n.

(d) On a vu que la suiteuétait croissante doncu>0 et de l’autre coté : un

1−e21n

=−un+ℓe21n et de ln

un

6 1

2n on tire un

6e1/2nsoit une1/2n60 donc −un+ℓe1/2n

e1/2n60 Finalementun 1−e1/2n

60 et

Conclusion : ∀n∈N, 06un6 1−e1/2n . (e) g(x) = 1−e−xxest dérivable surRet g(x) =e−x−1

x −∞ 0 +∞

ex−1 ց+ 0 ց −

g(x) ր − 0 ց −

Doncg(x)6xsurRet pour tout réelx, on a 1ex6x.

1−e1/2n6 1

2n et finalement

Conclusion : ∀n∈N, 06un6 2n. Comme la série de terme général 1

2n est convergente, alors par majoration de termes positifs, Conclusion : la série de terme général (ℓ−un) est également convergente.

Exercice 3 (EML 1998)

On noteNV la variable aléatoire égale au nombre de tirages nécessaires pour obtenir la première boule verte, etNB la variable aléatoire égale au nombre de tirages nécessaires pour obtenir la première boule blanche.

NV est le rang du premierV dans une suite de tirages indépendants avec P (V) =p(équiprobabilité des boules) à chaque tirage.

Conclusion : DoncNV ֒→ G(p) et de même NB֒→ G(1−p)

1. (a) X(Ω) =N et (X=k) signifie que l’on ak verte puis une blanche ou inversement.

Donc

P (X =k) = P ((NV =k+ 1)∪(NB =k+ 1))

= P (NV =k+ 1) + P (NB=k+ 1)

= (1−p)kp+pk(1−p)

(3)

(b) X a une espérance si la série suivante est absoulment convergente, ce qui équivaut à la convergence simple car les termes sont tous positifs.

M

X

k=1

kP (X=k) =

M

X

k=1

kh

(1−p)kp+pk(1−p)i

= p

M

X

k=1

k(1−p)k+ (1−p)

M

X

k=1

kpk

= p

M

X

k=0

k(1−p)k+ (1−p)

M

X

k=0

kpk

p 1−p

(1−1 +p)2 = (1−p) p (1−p)2 car|p|<1 et|1−p|<1.

Conclusion : X admet une espérance et queE(X) =1pp+1pp . (c) On étudie les variations deE(X) fonction dep:

f(p) = 1−pp +1pp.

f est dérivable sur ]0,1[ et

f(p) = 1−p+p

(1−p)2 +−p−1 +p p2

= 1

(1−p)2 − 1 p2

= 2p−1 p2(1−p)2

Donc

p 0 12 1

2p−1 − 0 + affine

f(p) − +

f(p) ց ր

avecf 12

= 2

Conclusion : E(X) est minimale lorsquep= 12, et vaut alors 2

C’est quand on a les mêmes proportion de vertes et de blanches que l’on a en moyenne, les listes monocolore le splus courtes.

2. Pour tout (i, j) de (Nn)2:

(X =iet Y =j) = (B1∩ · · · ∩BiVi+1∩ · · · ∩Vi+jBi+j+1)

∪(V1∩ · · · ∩ViBi+1∩ · · · ∩Bi+jVi+j+1) les deux () étant incompatibles, et les tirages indépendants, on a

P (X=iet Y =j) =pi+1(1−p)j+ (1−p)i+1pj 3. (a) La loi de Y est la seconde loi marginale :

Y (Ω) =N et pour toutk∈N: P (Y =j) =

+

X

i=1

P(X =iet Y =j)

=

+

X

i=1

hpi+1(1−p)j+ (1−p)i+1pji

M

X

i=1

” = (1−p)jp

M

X

i=1

pi+pj(1−p)

M

X

i=1

(1−p)i

→ (1−p)jp 1

1−p−1

+pj(1−p) 1

p−1

donc P (Y =j) = (1−p)j1p2+pj−1(1−p)2

(4)

(b) La convergence absolue de la sérieP

j≥1jP (Y =j) équivaut à sa convergence simple.

M

X

j=1

jP (Y =j) =

M

X

j=1

j(1−p)j1p2+

M

X

j=1

jpj1(1−p)2

= p2 1−p

M

X

j=1

j(1−p)j+(1−p)2 p

M

X

j=1

jpj

p2 1−p

1−p

p2 +(1−p)2 p

p

(1−p)2 = 2 Conclusion : Y admet une espérance etE(Y) = 2

4. (a) Si p6= 12, et

P (X = 1∩Y = 1) = p2(1−p) + (1p)2p

= (1−p) p2+ (1−p)p

= p(1−p)

P (X = 1) P (Y = 1) = [(1−p)p+p(1−p)]h

p2+ (1−p)2i

= 2 (1−p)p

2p2−2p+ 1 (1)−(2) = (1−p)p

1−2 2p2−2p+ 1

= (1−p)p

−4p2+ 4p−1

= −(1−p)p[2p−1]2 et commep6= 1/2 P (X= 1∩Y = 1)6= P (X = 1) P (Y = 1) Conclusion : sip6=12 alorsX et Y ne sont pas indépendantes (b) Sip= 12,

P (X =i) =

"

1−1

2 i 1

2+ 1

2 i 1

2

#

= 1

2 i

P (Y =j) = 1

2 j

P (X=iet Y =j) = 1

2 i+1

1 2

j

+ 1

2 i+1

1 2

j

= 1

2 i+j

= P (X =i) P (Y =j)

Conclusion : sip=12 les variables aléatoiresX etY sont indépendantes.

Exercice 4 (ECRICOM 2005)

On effectue une suite de lancers d’une pièce de monnaie. On suppose que les résultats des lancers sont indé- pendants et qu’à chaque lancer, la pièce donne pile avec la probabilitép(0< p <1) et face avec la probabilité q= 1−p.

On s’intéresse dans cet exercice à l’apparition de deux piles consécutifs.

Pour tout entier naturelnnon nul, on noteAnl’événement :“deux piles consécutifs sont réalisés pour la première fois aux lancers numéronet n+ 1“.

On définit alors la suite (an)n∈Ndes probabilités des événementsAn par :

Pour tout entier naturel nnon nul :an=p(An)

avec la convention a0= 0

(5)

1. Encadrement des racines de l’équation caractéristique.

On considère la fonction polynomialef de la variable réellexdéfinie par : f(x) =x2q xp q

1. f(x) = 0 est une équation du second dégré qui a pour discriminant : ∆ =q2+ 4pq >0 Donc elle a deux racines distinctes :r1=q2 etr2=q+2 (pour quer1< r2 )

⋆ r1+r2=q−

2 +q+

2 =q

⋆ r1×r2=q2q+2 = q242 = q24 =q2q244pq =−p q 2. A voire la suite (valeurs intermédiaires) , on détermine les signes :

⋆ f(1) = 1−qp q=pp q=p(1−q) =p2>0

⋆ f(−1) = 1 +qpq= 1 +q(1−p) = 1 +q2>0

⋆ f(0) =−p q <0

3. Commef est continue et que 0∈]f(0), f(−1)[ alors il existex∈]−1,0[ tel quef(x) = 0 et de même il existex∈]0,1[ tel quef(x) = 0.

Commef(x) = 0 n’a pour racines quer1 etr2alors−1< r1<0< r2<1 Variante: le tableau de variation defest : x r1 r2

f(x) +ց 0 ց − ր 0 ր+ commef(0)<

0, f(1)>0 etf(−1)>0 on a par exclusion :−1< r1<0< r2<1 Donc|r2|<1 et|r1|<1

Enfin, commer2>0 etr1<0 :|r2|=r2 et|r1|=−r1

Et commeq >0 :−r1= 2q <q+2 =r2

Conclusion : |r1|<|r2|<1

2. Equivalent dean quandn tend vers l’infini.

1. On décompose les événements pour calculer leurs proabbiltiés en notantP1P2pour P1P2

On a a1=p(A1) =p(P1P2) =p(P1)p(P2) car les lancers sont indépendants. Donca1=p2

⋆ A2=”premier PP au 2lancer” on a alorsP2P3et on ne peut pas avoir P1 (sinon on aA1 et pas A2)

DoncA2=F1P2P3 eta2=p(F1P2P3) =q p2

Si A3alorsP3P4.Si on aP1 il faut alorsF2 sinon on aA1.Si on aF1alors il faut F2 sinon on aA2

DoncA3= (P1F2P3P4)∪(F1F2P3P4) incompatibles et

a3=p(P1F2P3P4) +p(F1F2P3P4) =pqp2+q2p2=qp3(p+q) =qp3 2. Pour la réalisation de An+2:

ou bien on a P1 auquel cas il ne faut pas avoirP2 sinon on aA1.

Donc on a alorsF2et il faut le premierP P nlancers pus tard (i.e.An est réalisé) ou

on aF1 et le premierP P doit intervenirn+ 1 lancers plus tard (i.e.An+1 est réalisé.) Doncp(An+2) =p(P1F2)p(An) +p(F1)p(An+1)

car premierP P nlancers pus tard est indépendant deP1F2 et e premierP P doit intervenirn+ 1 lancers plus tard est indépendant deF1

D’oùan+2=q an+1+p q anetan+2−q an+1−p q an = 0 qui est encore vraie pourn= 0 (a2−qa1−p q0 = 0) 3. Voir TP (suite récurrente linéaire d’ordre 2)

4. La suiteaest récurente linéaire d’ordre 2 à coefficients constants.

Son équation caractéritique est :x2q x+pq= 0 qui a pour racinesr1 etr2

Donc pour tout entiern≥1, an =α r1n+β r2n avecαet β déterminés para0 eta1

(6)

pour n= 0 :rp2

2r1

r02r01

= 0 =a0

et pourn= 1 : r2p2r1 r12r11

=p2=a1

Donc les solutions sontα=−rp2

2r1 et β=rp2

2r1

Variante : on résoud directement

a0= 0 =α+β

a1=p2=α r1+β r2 d’où

β=−α p2=α(r1r2) et α=r2p2r1 et β=r2p2r1

Conclusion : pour toutn≥1 :an=rp2

2−r1[rn2r1n] et également pourn= 0 5. On a

an = p2 r2r1

[rn2rn1]

= p2rn2

r2r1

1−

r1

r2

n

et comme

r1 r2

<1 alors

r1

r2

n

→0 d’oùh 1−

r1

r2

ni

→1 et

Conclusion : (an) est équivalente à (bn) lorsquentend vers plus l’infini oùbn= p2r2n

r2r1

3. Expression dean en fonction de n par une méthode matricielle.

On définit les matricesAet P par : A=

r1+r2 −r1r2

1 0

, P =

r1 r2

1 1

ainsi que les matrices unicolonnesXn par :

Pour tout entier natureln: Xn=

an+1

an

1. On a pour tout entiern:Xn+1=

an+2

an+1

=

q an+1+p q an

an+1

=

q p q

1 0

an+1

an

et commer1+r2=qet−r1r2=p qon a bien alors Xn+1=A Xn

2. Ar1I=

r2 −r1r2

1 −r1

et comme la seconde colonne est−r1 la première, elles sont liées et la matrice est non inversible.

Ar2I=

r1 −r1r2

1 −r2

et comme la seconde colonne est−r2 la première, elles sont liées et la matrice est non inversible.

3. Doncr1 etr2sont valeurs propres deA.

Comme elles sont distinctes et que Aest de taille 2 alorsAest diagonalisable.

4. Au vu de la suite, on se doute queP est la matrice de passage et on test donc ses colonnes comme colonnes propres :

r1+r2 −r1r2

1 0

r1

1

= r21

r1

=r1

r1

1

donc elle est colonne propre associée àr1

r1+r2 −r1r2

1 0

r2

1

= r22

r2

=r2

r2

1

donc elle est colonne propre associée àr2

Donc la concaténation de ces 2 colonnes propres associées à des valeurs propres distinctes fomre une matrice inversible

et A=P D P1 avecD=

r1 0 0 r2

On calculeP1,par Gauss :

(7)

r1 r2 1 0

1 1 0 1

L2

L1 ⇐⇒

1 1 0 1 r1 r2 1 0

L1

L2r1L1

⇐⇒

1 1 0 1 0 r2r1 1 −r1

L1L2/(r2r1) L2/(r2r1)

⇐⇒

1 0 −r 1

2r1

r2

r2r1

0 1 r 1

2−r1

r1

r2−r1

L1L2/(r2r1) L2/(r2r1) doncP1= 1

r2r1

−1 r2

1 −r1

5. On a vu que D=

r1 0 0 r2

6. Par récurrence :

pour n= 0 :P D0P1X0=I X0=X0

Soitn≥0 tel queXn=P DnP1X0

alorsXn+1=A Xn=P DP1P DnP1X0=P D DnP1X0=P Dn+1P1X0

Donc pour tout entier n:Xn=P DnP1X0

7. CommeD est diagonale,Dn=

rn1 0 0 rn2

et Xn = P Dn

−1 r2

1 −r1

p2 0

= 1

r2r1

P

rn1 0 0 rn2

−p2 p2

= 1

r2r1

r1 r2

1 1

−rn1p2 rn2p2

= 1

r2r1

(r1r2nr2r1n)p2 (r2nrn1)p2

dont la seconde composante estan= p2 r2r1

[rn2rn1] (qui est bien le résultat trouvé précédemment)

4. Etude du temps d’attente du premier double pile .

On désigne par T l’application associant à toute suite de lancers successifs le numéro du lancer où pour la première fois on obtient un double pile.

Ainsi, pour tout entier natureln,

p[T =n+ 1] =an

1. On calcule la somme partielle :

N

X

n=1

p[T =n+ 1] =

N

X

n=1

an

=

N

X

n=1

p2 r2r1

[r2nrn1]

= p2

r2r1

" N X

n=1

rn2

N

X

n=1

r1n

#

= p2

r2r1

" N X

n=0

rn2 −1−

N

X

n=0

r1n+ 1

#

p2 r2r1

1 1−r2

− 1 1−r1

(8)

converge car|r1|<1 et|r2|<1 doncP+

n=1p[T=n+ 1] converge et vaut :

+

X

n=1

p[T=n+ 1] = p2 r2r1

1 1−r2

− 1 1−r1

= p2

r2r1

r2r1

(1−r2) (1−r1)

= p2

1−(r1+r2) +r1r2

= p2

1−qp q = p2 pp q

= p

1−q = p p

= 1 DoncT est une variable aléatoire.

2. T a une espérance siP+

n=1(n+ 1)p[T =n+ 1] est absolument convergente. (ce qui équivaut à la conver- gence simple puisque les valeurs deT sont toutes positives)

N

X

n=1

(n+ 1)p[T =n+ 1] =

N

X

n=1

(n+ 1)an

=

N

X

n=1

n an+

N

X

n=1

an

= p2

r2r1 N

X

n=1

n[r2nrn1] +

N

X

n=1

an

= p2

r2r1

" N X

n=0

n rn2 −0−

N

X

n=0

n rn1 + 0

# +

N

X

n=1

an

p2 r2r1

"

r2

(1−r2)2r1

(1−r1)2

# + 1 DoncT a une espérance qui vaut

E(T) = p2 r2r1

"

r2

(1−r2)2r1

(1−r1)2

# + 1

= p2

r2r1

"

r2(1−r1)2r1(1−r2)2 [(1−r2) (1−r1)]2

# + 1 avec

(1−r2) (1−r1) = 1−(r1+r2) +r1r2= 1−qpq

= ppq=p(1−q) =p2 et

r2(1−r1)2r1(1−r2)2 = r2 1−2r1+r21

r1 1−2r2+r22

= r2−2r1r2+r2r21r1+ 2r1r2r1r22

= r2+r2r21r1r1r22

= r2r1+r1r2(r1r2)

= (r2r1) (1−r1r2)

= (r2r1) (1 +pq)

(9)

donc

E(T) = p2 r2r1

"

r2(1−r1)2r1(1−r2)2 [(1−r2) (1−r1)]2

# + 1

= p2

r2r1

(r2r1) (1 +p q)

p4 + 1

= 1 +p q

p2 + 1 = 1 +pq+p2 p2

= 1 +p(q+p) p2

= 1 +p p2

Références

Documents relatifs

La pression de l’air contenue dans la seringue est donc plus importante que la pression atmosphérique.. 5- La pression atmosphérique se mesure avec

Il faut que la somme indiquée sur chaque carré se vérifie pour chaque ligne, chaque colonne et chaque diagonale.. Calcule

( Ils peuvent être écrits de gauche à droite et de haut en bas.)... ( Ils peuvent être écrits de gauche à droite et de haut

( Ils peuvent être écrits de gauche à droite et de haut en bas.)... ( Ils peuvent être écrits de gauche à droite et de haut

( Ils peuvent être écrits de gauche à droite et de haut en bas.)... ( Ils peuvent être écrits de gauche à droite et de haut

Question 1. Pour r´ epondre ` a cette question, il faudrait s’assurer que les trois hypoth` eses du mod` ele sont v´ erifi´ ees. Malheureusement nous ne pourrons pas le faire

le nombre de matelas que l’entreprise doit produire chaque jour pour que le coût total de production journalière soit de 30 000 (.. Nous cherchons l’abscisse du point de la courbe

Pour déterminer quelles sont les valeurs de la production mensuelle pour lesquelles le bénéfice est de 400 euros, traçons la droite d’équation y = 400 et lisons les abscisses