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Deux types de versants periglaciaires de Haute Belgique

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(1)

QUAESTIONES CEOGRAPHICAE • 1995 SI'ECIALISSUE. 4

DEUX

TYPES DE VERSANTS

PERIGLACIAIRES

DE HAUTE

BELGIQUE

ALBERT PISSART

Universite de Liege, Cćornorphologie et Geologie du Quatcmaire. Belgiquo

Manuscript received 13th February 1995 Revised version 7th July 1995

Pissart A., 1995. Deux types de versants pćriglaciaires de Haute Belgique. QUl/esliolles Ccogruphicae, Speciallssue 4,Adam Mickiewicz University Press, POZni1J11995, pp. 241-245, Figs. 4.ISI3N 83-232-0685-6. ISSN0137-477X.

ARSTRACT. Ali slopes in Belgiurn experienced important modifications during the periglacial conditions ofthe Pleistocene. Two such siopes are described here:

1.The very gentIl' slopes in the Famenne (cryopediments with agradient belów 2 degrees). This was dcnuded by slopewash which removed the smali fragments produced by gelifraction ofthe underlying Famennian shales,

2.A slope near l3eauregard (l3oncelles. south of Liege). This consists ofa regular gentle slope (6degrees over a 400 meters distance) which reflects the accumulation of gelifluction deposits.

A/beri Pissarl=Cćoinorphologic etGeologie du QUlllemaire. Ullivcrsil,; deLicg«,7,Placcdu20-Aboill. 4000 LiL~ge,Be/giquc.

I

ntro

duction

Dans les rćgions actuellement periglaciaires, les etudes se rapportant aux versants restent relative-ment rares (French et Harry, 1992) et peu de pentes caractćristiques du faconnement sous climat froid ont ćtć dćcrites. L'etude rćcente que nous venons de mentionner le demontrę clairement. Elle porte sur une region du Canada, le Yukon septentrional qui n'a jamais ete recouverte de glaciers et OU les au-teurs decrivent des pediments remarquables incli-nes de 5

a

90 qui sont recouvcrts de depóts de

soli-fluction. L'interprćtation de ces versants est toutefois difficile. Les auteurs pensent gue ces formes ont etć faęonnees au cours de pćriodes plus humides que celle que nous connaissons aujourd'-hui et donc qu'il s'agit de formes fossiles sur les-quelles on ne peut pas observer de nos jours les pro-cessus genetiques qui leur ont denne naissance. French et Harry restent en consequence tres pru-dents et ne se prononcent pas sur l'origine premierę de ces formes, tandis que Priesnitz (1988) qui a etu-die ćgalement les memes pćdiments du Yukon eten donne des photos remarguables, considere la plana-tion comme un processus periglaciaire caractćristi-gue quoiqu'il ne puisse clairement definir les pro-cessus qui en sont responsables.

Cet exemple montre bien que l'etude des ver-sants en rćgions pćriglaciaires ne permet pas tou-jours de reconnairtre leur origine et donc qu'ils ne sont pas nćcessairement plus riches d'enseigne-ments que l'etude des formes fossiles d'Europe Oc-cidentale. Ces dernieres conservent donc un intćret considerable bien gue les etudes realisees dans l' Arctigue sesoient multiplićes.

Lorsque P.Macar prćsidait dans les annees 1960 la Commission des Versants de l'u.e.L, un tres grand effort a ete consacrć

a

I'etude des versarus de la Belgique. La cartographie g~omorphologigue qui se dćveloppait alors etait sous-tendue par l'espoir d'apporter une contribution significative, non seule-ment ił ladescription des formes de terrain, mais en outre ił 1'explication de leur genese. Trente ans plus tard, on arealiść gue Ies versants portant la marque d'lm seul processus sont extrernernent rares et que les dćpóts correlatifs restent indispensables pour reconnaitre l'ćvolution complexe qui a abouti au modele des versants que nous observons aujourd' -hui. Les versants sont en effet, comme chacun le sait, des formes polygenćtiques qui ont evolue plus ou moins rapidement sous 1'action des diffćrents processus qui ont agi au cours du Quaternaire.

Reconnaitre l'action d'un processus qui s'est exerce sous un climat particulier et est responsable

(2)

242

de la forme dun versant. est donc, et restera tout

a

fait exceptionneJ. On ne peut esperer en trouver des exemples que lorsque I'ćvolution sous l'action d'un processus a etć suffisamment importante pom que la genese en soit evidente,

Dans le prćsent article nous decrivons deux

types de versants de Belgique faconnćs sur des

roches palćozoiques et dont l'origine periglaciaire est etablie. l'une par sa morphologie et I'autre. par lesdćpóts corrćlatifs qui y sont associes.

1.Les pćdiments pćriglaciaires en tres faible

pen

t

e dćveloppćs

dans des roches schisłeuses de la Famenne. Exemple: la dćpression de Focanł

Les schistes tendres du Famennien (Devonien

superieur) sont excavćs en une grande dćpression,

la depression de Fagne-Famenne, qui s'etend sur

une centaine de kilometres entre au sud. une band e de roches calcaires du Dćvonien moyen, et au nord, les psammites famenniens du Condroz. Proforide -ment enfonces par rapport

a

ces reliefs qui la bor-dent. cette dćpression a ćte creusee pendant le Qua-ternaire. Elle est en effet faconnće bien en dessous de l'altitude des plus hautes terrasses quaternaires des rivieres qui la traversent,

a

savoir la Meuse. la Lesse et l'Ourthe.

La dćpression de Focant (figure 1) qui constitue une partie de cette grande unite morphologique de

la Famenne, s'etend

a

l'Est de Beauraing sur une

longueur de 10 km et une largeur qui atteint par en-droit 4 km. La pente longitudinale de cette dćpres-sion est extrernement faible (± 0,5%), et les pentes transversales nont que quelques degres, La roche en place schisteuse es t, en general, pratiquement

a

Ileur du sol, ćtabiissant que cette immense

depres-sion est une forme derosion (Seret in Macar et

Alexandre. 1958, p.103).

Fig. 1.Carte de la depression de Focant developpće entre les schistes greseux dl! Condroz au Net les calcaires du Dóvonien

moven au S(d'apres Seret et de Bćthune, 1966)

APISSART

La morphologie de cette dćpression ćvoque im -mćdiatement un relief pćdimentaire et le terrne "cryopćdiment" lui a

ć

t

ć

attribuć lors dunc excu r-sion de la Commission des Versants de l'U.G.I. (Se -ret et de Bethune, 1966). L'origine periglaciaire de cette forme nc fait aucun doute. Elle rćsulte de l 'ac-tion de deux processus

a

savoir: a) la dćsagrćgation en menus fragments de la roche par le gej; b) l'ćv a-cuation de ces fragments par le ruissellement.

La dćsagrćgation des schistes famenniens par le gel est extremernent efficace. Peu resistants sous le marteau, les fins feuillets de schistes se dćsagregent au gel en de petits fragments millirnetriques que le ruissellement peut emporter. Des accumulations epaisses de ces fragments desagrćgćs ont etć explo i-tćes par des briqueteries au pied de versants etdans des picges sćdimentaires. comme le rneandre rec ou-pe de la Lesse

a

Wanlin. Ces accumulations attes -tent de l'efficacitć de cette desagregatlon au cours des ćpisodes froids du Quaternaire. Le contróle li-thologique strict de l'extension des pentes faibies s'explique par cette fragilitć extreme des schistes

a

la dćsagrćgation.

Les pentes extremernent faibies de la dćpression ćtudiee. (figure 2) ne peuvent s'expliquer que par l'action du ruissellement. Seul celui-ci a pu prendre en charge et evacuer les petits dćbris rćsultant de la gelivation. Apremierę vue, ce ruissellement ne s'est pas necessairernent produit sous un climat froid, mai s il atteste de l'existence dune pćriode rćcente pendant laquelle il ne devait pas y avoir de cou ver-ture vćgćtale. Au cours des dernieres centaines de milliers dannćes. epoque pendant laquelle se sont faconnćes les basses terrasses auxquelles se ratta -chent les larges depressions etudićes. seules des conditions periglaciaires peuvent expliquer l'a b-sence de vegćtation. Par ailleurs sur ces schistes si fragiles de la Famenne, les terrasses des rivieres qui la traversent, sont habituellement en inversion de relief. Le ruissellement est en effet incapable de de -placer les cailloux de roches rćsistantes (gres, quart -zites) que les rivieres ont amenć de l' Ardenne et que Je gel ne peut reduire. Ce sont ces ćlements qui ont protćgć le substraturn fragile de toute ćrosion poste-rieure. Soulignons enfin que la prćsence dun perg ć-lisol n'ćtait absolument pas nćcessaire poUl' former ces tres longues pentes faibles, l'action des geis/ de -gels superficieis, associćs

a

une absence de vćgć ta-tion etait suffisante.

Jean Alexandre en 1957 a largement decrit

a

la bordure N de l' Ardenne ces "cryopćdiments" pćri-glaciaires, sous le nom "daplanissernents partiels quaternaires". Il avait attribue aux processus pćri -glaciaires ces surfaces en pente faible, toujours de-veloppees sur des lithologies favorables don tI'i ncli-naison minimum va de O,2() dans les schistes

a

(3)

DEUX TYPESDEVERSANT5I'ERIGLAClAIRES DEHALlTE BELGIQUE 243

FIg, 2, Vue vers lesud du cryopćdiment deg.lgćd.ms les schistes de la Famcnne etqlllconstitue la dćpression de Focant. Levrliage lle

Focant apparait au nulieu de lapiloto

dans les calcaires. Il mettait un certain nombre de

ces surfaces en relation directe avec les terrasses

flu-viales, la surface plane se raceordant au sommet de

la terrasse. Bien que cette recherche de

J

.

Alexandre

(1958) ait constitue un travail pionnier, il reste peu

connu dans la litterature pćriglaciaire. sans doute

parce que cette publication a ćtć faite en langue

franęaise.

2.Les pentes pćriglaciaires rectilignes inclinćes

d'environ 6° et constitućes de dćpóts

de congćlifluxion. Exemple de la

Roche-aux - Faucons (Boncelles)

Une autre pente pćriglaciaire typique est consti

-tuće par les versants rectilignes inclines denviron

6°, Une etude rnorphometrique des versants des

vallees de la Meuse et de la Semois au travers de

l' Ardenne (A. Pissart. 1962) a montre la frequence

des pentes prćsentant cette inclinaison, valeur qui se rerrouve systematiquernent

a

la surface des

rem-blaiements qui ont colmate les mćandres abandon -nćs de la Semois. Des versants rectilignes prese

n-tant les memes valeurs ont ete retrouvćs en des

en-droits tres divers de Belgique. Nous en montrerons

un exemple particulierement dćmonstratif.

a

savoir

un versant situć

a

proximite de la Roche aux

-Faucons,

a

3 km au S du campus de l'Universitć de

Liege au Sart-Tilman.

Comme le montre le scherna donnć sur la figure

3 et la photo 4, ils'agit du versant situe au N d'un

petit cours deau, le ruisseau de "Trawe L' Aiwe"

qui est draine souterrainement, car la vallee etudiee

suit un synclirial calcaire dont I'axe est orientć vers

..

.

N

Fig.J. Le giaCl:, pćngl.icrarre ue idKocne-aux-raucons dprOXilni

-tć du campus universrtaire du Sart-Tilman est localise par les

pointilles, L'Ourthe visible au SE de lafigure est une centaine de

(4)

24

4

A.I'ISSART

Fig. 4. Vue du glacis pćriglaciaire de la Roche-aux-Faucons pres du campus de l'Uu iversite de l.icge au Sart-Tilma n:pcnte rectilignc de plus de300 m,recouvertc dedćpóts de congćlifluxion

l'ENE. Le ruisseau qui disparnit dans des cavites karstiques, a developpe une ćrosion regressive

a

partir des endroits Ol.I l'eau disparalt dans le cal

-caire. Une entaille verticale s'est ainsi developpće devoilant les dćpóts meubles, (dćpóts limoneux comprenant ćpars, des cailloux et des blocs de roches parfois volumineux) auxquels correspond le

versant rectiligne sur lequel no ue voulons attirer

l'attention.

L'erosion actuelle, en climat interglaciaire, a pour effet de detruire cette pente rćguliere de 6°, dune part par l'incision des ruisseaux dont nous

venons de parler et dautre part par I'apparition de

dćpressions karstiques qui s'agrandissent dannees

en annees,

Le glacis que nous etud ions, est figurć en poin -tilles sur la figure 3. IIest apparu au moment ou l'e

-volution geomorphologigue etait autre que celle

gue nous connaissons maintenant. et cette evolution

differente na pu exister gue sous des conditions pe -riglaciaires. Ainsi peuvent etre expliques I'arret des

soutirages karstiques interrornpus par la formation d'un pergelisol et aussi l'accumulation des mate

-riaux descenduś par congćlifluxion. Ce processus

est bien identifie parce quil a dćplace de tres gros blocs de poudingue du Dćvonien inferieur (Burn o-tien) qui ont etć transportćs sur cette pente relative

-men t faible de 60. Quand, ce grand glacis se cons

ti-tuait. J'ecoulernent du ruisseau se faisait en surface

et les altitudes des cols situćs entre les differentes

pertes karstiques qui ont troncenne Je cours d' eau. permettent de retracer la pente longitudinale du

cours subaerien qui existait El la fin de la perlode

froide.

L'origine pćriglaciaire du versant est donc ici

bien etablie, non seulernent par I'arrćt pendant les

periodes interglaciaires des phćnomenes karstiqucs,

mais encore par les caracteres des dćpóts accumulćs

pendant les periodes froides, dćpóts de congć

li-fIuxion provenant El la fois de id desagregation du

bedrock, mais aussi de l'apport important de Iimons

eoliens.

II reste

a

expliquer pourquoi cette accurnulation

de sedirnents pćriglaciaires a ćdifić une pen te de

l'ordre de 6°. Au moment de laccumulation, le ru i

s-seau subaerien etait visiblement incapablc de trans

-porter tous les elernents qu'apportait la gelifJuxion.

Les apports etaient plus importants que la possibil

i-te de transport du ruisseau. "Le niveau de base" du

ruisseau etait de ce fait stabilise. Par ailleurs I'ćtude

de pentes dans l'Arctique canadicn. nous a arnene

(A. Pissart, 1966)

a

considćrer gue les pentes de 6El

8° correspondent probablement

a

lapente lirnite de ia

(5)

DEUX TYPESDE VERSANTSI'ERIGLAClAIRES DE HAUTE BELGIQUE

245

que la

solifl

uxion en nappe. Cette pente limite c

.

'un

pro

c

ess

us p

eut correspondre

Et

une pente frequente

sur le

terrai

n comme le montre la pente de l'eboulis

(voisi

ne de

30

0)

qui ne constitue pas une pente finale

devol

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de versant

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seul

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r

ont avec le temps

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un processus particulier sont rares en

Ha

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Dans

l'etat actuel des

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c

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types de versants peuvent etre

aise-rnen

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:

1) les p

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diments periglaciaires en

pen

t

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a

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ble resultant de l'ac

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ion du

ruisselle-ment

qu

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t exerce quand le froid ne permettait

pas le

deve

lopp

e

ment d'une couverture vegetale

suffisa

nte; 2)

les glacis p

ć

riglaciaires inclines de 6

Et

8

0

qui

corre

spondent

Et

des versants ou se sont

accu-mules

des d

e

ts de cong

ć

lifluxion

.

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Figure

Fig. 1. Carte de la depression de Focant developpće entre les schistes greseux dl! Condroz au N et les calcaires du Dóvonien
Fig. J. Le giaCl:, pćngl.icrarre ue id Kocne-aux-raucons d prOXilni-
Fig. 4. Vue du glacis pćriglaciaire de la Roche-aux-Faucons pres du campus de l'Uu iversite de l.icge au Sart-Tilma n: pcnte rectilignc de plus de 300 m, recouvertc de dćpóts de congćlifluxion

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