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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Baccalauréat de Technicien Électronique (F2)

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(2)

LE RÉSEAU DU CNDP

CRDP (ex. AJACCIO) - Cddp (ex. Avignon)-Cldp (ex. Montluçon).

AIX-MARSEILLE 31, boulevard d'Athènes, 13232 Marseille Cedex 1 Tél.: (91) 91-92-17 Avignon

8, rue Frédéric-Mistral, 84000 Avignon Tél.: (90) 86-49-12

Digne

École maternelle des Ferréols, 2, avenue du Maréchal-Juin, 04000 Digne

Tél.: (92) 31-1)5-87 Gap

14, avenue Maréchal-Foch, 05000 Gap. Tél.: (92) 51-36-84 Saint-Denis de la Réunion 10, rue Jean-Chatel, 97 489 Saint-Denis de la Réunion Tél.: (19-262) 21-35-97 AJACCIO 8, cours du Général-Leclerc, BP 836, 20192 Ajaccio Cedex Tél.: (95) 21-70-68 et 27-72 Bastia Boulevard Benoite-Danesi, 20200 Bastia Tél.: (95) 31-17-92 AMIENS

45, rue Saint-Leu et 1, rue Baudelocque, BP 2605, 80026 Amiens Cedex Tél.: (22) 92-07-08 Beauvais 22, avenue Victor-Hugo, BP 321, 60030 Beauvais Cedex Tél.: (4) 445-25-30 Laon

Avenue de la République, 02000 Laon Tél.: (23) 23-25-02 BESANÇON 11, rue de la Convention, BP 1153, 25003 Besançon Cedex Tél.: (81) 83-41-33 Belfort

Tour des 4-As, rue de l'As-de-Carreau, 90009 Belfort Cedex Tél.: (84) 28-50-27 Lons-le-Saunier 1, rue Anne-Franck, BP 324, 39015 Lons-le-Saunier Tél.: (84) 47-22-86 BORDEAUX 75, cours d'Alsace-Lorraine, 33075 Bordeaux Cedex Tél.: (56) 81-12-92 Agen

48 B, rue René-Cassin, 47000 Agen Tél.: (53) 66-55-86 et 52-60 Bordeaux 75, cours d'Alsace-Lorraine, 33075 Bordeaux Cedex Tél.: (56) 81-12-92 Mont-de-Marsan École du Peyrouat, BP 401, 40012 Mont-de-Marsan Tél.: (58) 75-43-11 Pau 3, avenue Nitot, BP 299, 64016 Pau Cedex Tél.: (59) 30-23-18 Périgueux

École normale mixte, 39, rue Paul-Mazy, CAEN

21, rue du Moulin-au-Roy, 14034 Caen Cedex Tél.: (31) 93-08-60 Alençon

29, rue de l'École normale, 61000 Alençon

Tél.: (32) 29-58-77 Salnt-LO École Jules-Ferry, rue des 29' et 35' Divisions, 50000 Saint-Lô Tél.: (33) 57-52-34 CLERMONT -FERRAND 15, rue d'Amboise, 63037 Clermont-Ferrand Tél.: (73) 91-86-90 Aurillac

100, rue de l'Égalité, 15000 Aurillac Tél.: (71) 48-60-26 Le Puy 2, rue Mouton-Duvernet, BP 132, 43012 Le Puy Cedex Tél.: (71) 09-26-82 Moulins

2, rue Pape-Carpantier, 03000 Moulins Tél.: (70) 46-07-66

Montluçon

29, av. Jules-Ferry, 03100 Montluçon Tél.: (70) 05-14-25

VIchy

Groupe scolaire Pierre-Coulon, allée des Ailes, 03200 Vichy Tél.: (70) 31-50-40 CR~TEIL Cité administrative,

annexe du Rectorat, route de Choisy, 94000 Créteil

Tél.: (1) 207-60-22, poste 21 Créteil

Collège Louis-lssaurat, quartier du Palais,

rue Raymond-Poincaré, 94000 Créteil Tél. : ( 1) 207-86-35 et 27-37 Melun

École normale, rue de l'Hôpital, 77000 Melun

Tél.: (6) 452-52-28 DIJON

Campus universitaire de Montmuzard, bd Gabriel, BP 490, 21013 Dijon Cedex Tél.: (80) 65-46-34

Auxerre

École normale d'instituteurs, 25, avenue Pasteur, 89000 Auxerre Tél.: (86) 52-57-14

MAcon

2. rue Jean-Bouvet, 71000 Mâcon Tél.: (85) 38-71-77

Nevers

1 bis, rue Charles-Roy, 58000 Nevers Tél.: (86) 61-45-90

FORT DE FRANCE École normale, bâtiment IV, Pointe des Nègres, BP 529 ou 677, 97262 Fort-de-France Cedex Tél.: (19-596) 71-85-86 Cayenne

Boulevard de la République, BP 762, 97305 Cayenne Tél.: (19-594) 31-24-90 Pointe-à-Pitre

Cité scolaire de Baimbridge,

GRENOBLE

11, avenue du Générai-Champon, 38031 Grenoble Cedex Tél.: (76) 87-77-61 Annecy

2, rue des Aravis, BP 830, 74016 Annecy Tél.: (50) 23-79-36 Chambéry 289, rue Marcoz, 73018 Chambéry Cedex Tél.: (79) 69-50-72 Privas Rue de la Recluse, BP 713, 07007 Privas Tél.: (75) 64-04-15 Valence

36, avenue de l'École normale, BP 21-10, 26021 Valence Cedex Tél.: (75) 44-55-85 LILLE 3, rue Jean-Bart, BP 199, 59018 Lille Cedex Tél.: (20) 57-78-02 Arras

39, rue aux Ours, 62022 Arras Tél. :(21) 21-60-10 Dunkerque Groupe scolaire Kléber, boulevard du 8-Mai 1945, 59240 Dunkerque Tél.: (28) 69-38-72 Valenclannes 6, rue Jehan-de-Liège, 59326 Valenciennes Tél.: (27) 30-08-70 LIMOGES 23, avenue Alexis-Carrel 87036 Limoges Cedex Tél.: (55) 01-32-50 Tulle Rue Sylvain-Combes, BP 214, 19012 Tulle Cedex Tél.: (55) 26-32-88 LYON 47-49, rue Philippe-de-Lassalle, 69316 Lyon Cedex 1 Tél.: (7) 829-97-75 Bourg-an-Bresse 6, rue Jules-Ferry, 01000 Bourg-en-Bresse Tél. :(74) 21-21-36 Salnt-~tlenne

Jardin des Plantes, Allée Michel-Ange, 42100 Saint-Étienne Tél.: (77) 25-20-91 MONTPELLIER Allée de la Citadelle, 34064 Montpellier Cedex Tél.: (67) 60-74-66 Carcassonne

56, avenue du Docteur Henri-Gout, 11012 Carcassonne

Tél.: (68) 47-05-02 Mende

Avenue du Père-Coudrin, 48005 Mende Tél.: (66) 65-10-32

NI mes

58, rue Rouget-de-Lisle, 30000 Nîmes Tél.: (66) 67-85-19

Perpignan Place Jean-Moulin, 66020 Perpignan Cedex

1.3.82

MINISTÈRE DE

L'ËDUCATION

NATIONALE

Direction des Lycées

baccalauréat de technicien

ELECTRONIQUE

(F2)

(Horaires

et

programmes

des classes de Première

et

Terminale F2)

1982

(3)

Les horaires, programmes et instructions de la classe de Seconde sont définis dans la brochure no 6059 intitulée « Classe de Seconde des lycées ».

Sommaire

Pages

Rt:GLEMENT . G~N~RAL DES BACCALAUR~ATS DE TECHNICIEN

DÉLIVRANCE DU TITRE DE BACHELIER TECHNICIEN . . . 7 ÉPREUVES ANTICIPÉES DE FRANÇAIS ... .'.... 13

CLASSES PR~PARANT AU B. Tn ~LECTRONIQUE {F 2)

OBJECTIFS DE FORMATION . . . 17

ORGANISATION ET HORAIRES 20

PROGRAMMES :

Enseignements obligatoires

Français (classe de Première) . . . 22 Philosophie .. 0 • 0 •• • • 0 • • • • •• • •• • • •• 0 • • • • • • • • • • ••• • • • • 0 • 26 Histoire, géographie, instruction civique 0 • • • • • • • • • • • • • • • 27

Langues vivantes . 0 0 • • • • 0 0 • • •• 0 ••• • •••• • •• 0 0 • • • 0. 0. • • • • 28 Sciences physiques appliquées à l'électronique :

Programme .. 0 •• • • • • • ••• • • ••••• 0 • • •• 0 0 • • • • • • • • • • • • • 28 Commentaires ... 0 0 ••• 0.. . .. . .. .. . . .. . .... 34 Mathématiques : Programme ... 0 •••••• • • 0 ••••• 0 • • • • 0 • • • • • • • • • • • • • • 42 Commentaires ...• ·.,... 47 Technologie : Programme ... 0 • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • 52 Commentaires . . . 60

(4)

Pages

Enseignements optionnels complém~talres :

Education artistique . . . 62 Préparation à la vie sociale et familiale . . . 71 Français· (classe Jerminale) . . . 80

Règlement

général

des

baccalauréats

.

de

technicien

(5)

LISTE ET R~F~RENCES DES TEXTES OFFICIELS

RELATIFS AU R~GLEMENT G~N~RAL DES BACCALAUR~ATS

DE TECHNICIEN Décret no 68-1008 du 20 novembre 1968 B. O. n° 42 du 28 novembre 1968, p. 3121 Décret no 69-180 du 13 février 1969 B. O. 9 bis du 27 février 1969, p. 835 Décret no 69-1018 du 12 novembre 1969 B. O. n° 44 du 20 novembre 1969, p. 3421 Décret no 69-1090 du 5 décembre 1969 B. O. n° 47 du 11 décembre 1969, p. 3586 Décret no 71-648 du 28 juillet 1971 B. O. n° 31 du 26 août 1971, p. 2040 Décret n° 72-93 du 31 janvier 1972 B. O. n° 6 du 10 février 1972, p. 408 Arrêté du 31 janvier 1972 B. O. n° 6 du 10 février 1972, p. 406 Décret no 80-165 du 21 février 1980 B. O. n° 10 du 13 mars 1980, p. 757

D~LIVRANCE DU TITRE DE

BACHELIER

TECHNICIEN

Décret n° 68-1008 du 20 novembre 1968

(Président de la République ; Premier ministre ; Education nationale) Vu L. no 66-892 du 3-12-1966; D. no 59-57 du 6-1-1959, mod. not.

par D. no 65-438 du 10-6-1965; D. 14-9-1956; avis Cons. sup. Edu~. nat.

Article premier. - Des examens publics sont institués en vue de

l'obtention du baccalauréat de technicien.

Le baccalauréat de technicien délivré aux candidats qui subissent avec succès les épreuves de l'examen porte mention de la spécialité profes-sionnelle ; la possession du baccalauréat' de technicien confère le grade de bachelier technicien et la qualité de technicien ou toute autre appella-tion en usage dans la profession considérée pour définir un niveau équi-· valent.

Art. 2 nouveau (décret n° 71-648 du 28 juillet 1971 ). - Les candidats issus d'un établissement d'enseignement à temps plein doivent avoir suivi, à la date de la session d'examen, la scolarité complète du second cycle long (trois ans) dont, sauf dérogation, celle des classes de Première et Terminale préparatoires au baccalauréat de technicien de la spécialité considérée.

Art. 3. - Les candidats qui se présentent au titre de la promotion sociale doivent :

Soit, au 1~' janvier de l'année de l'examen, être âgés de vingt ans au moins et justifier de deux ans à temps plein de pratique professionnelle

de leur spécialité ; .

Soit justifier de la scolarité requise des candidats visés à l'article 2 et d'un an à temps plein de pratique professionnelle de leur spécialité au

1"' janvier de l'année de l'examen.

Art. 4. - Sauf dérogation accordée par les recteurs, les candidats visés à l'article 2 doivent se présenter dans le centre d'examen correspondant à l'établissement où ils ont accompli leur dernière année d'études, et les candidats visés à l'article 3 dans le centre de l'examen correspondant à leur résidence.

(6)

Art. 5 nouveau (remplacé par les décrets n° 69-180 du 13 février 1969, n° 69-1090 du 5 décembre 1969 et n° 72-93 du 31 janvier 1972).-Les épreu-ves du baccalauréat de technicien sont subies à l'issue de la classe Terminale ou, par anticipation, un an avant les autres épreuves.

Les candidats qui le demandent subiront, dans les épreuves du deuxième groupe faisant partie de la session d'examen organisée à l'issue de la classe Terminale, des épreuves orales de contrôle correspondant aux épreuves anticipées.

Les notes obtenues aux épreuves anticipées ou aux épreuves orales de contrôle correspondantes sont prises en compte au titre de la session organisée à l'issue de la classe Terminale. Ces épreuves font partie intégrante de cette session. La meilleure des notes obtenues à l'épreuve subie par anticipation et éventuellement à l'oral de contrôle, est retenue pour le calcul de la moyenne.

Les candidats qui n'auront pas subi les épreuves par anticipation les subiront lors de la session de la classe Terminale sous la forme prévue par le règlement d'examen.

Un arrêté ministériel fixera la liste des épreuves subies par anticipation ainsi que les conditions dans lesquelles des dérogations pourraient être accordées aux candidats.

La session d'examen fixée à l'issue de la classe Terminale ainsi que les épreuves anticipées sont organisées dans le cadre de l'académie ou d'un grotWement d'académies. Leurs dates sont arrêtées par le ministre de même que la liste des baccalauréats de technicien pour lesquels une session d'examen est organisée.

La liste des centres et les modalités d'inscription sont arrêtées par les recteurs.

Art. 6 nouveau (modifié par les décrets n·• 69-180 du 13 février 1969, 69-1090 du 5 décembre 1969, 72-93 du 31 janvier 1972 et 80-165 du 21

février 1980). - L'examen comporte des épreuves obligatoires et,

éven-tuellement, des épreuves facultatives. Les épreuves obligatoires comprennent :

D'une part : 1° des épreuves d'enseignement général dont notamment une épreuve de français et une épreuve de langue vivante étrangère ;

2° Une épreuve d'éducation physique et sportive. Les candidats qui ne peuvent subir l'épreuve physique et sportive pour une raison de santé sont dispensés de cette épreuve à condition de produire un certificat délivré par un médecin de la santé publique concourant à l'exercice des tâches médico-scolaires. Les candidats reconnus handicapés physiques et déclarés aptes à subir l'épreuve d'éducation physique et sportive à la suite du contrôle médical prévu par le décret no 77-554 du 27 mai 1977 peuvent, s'ils ne désirent pas bénéficier de la dispense, demander à participer à une

épreuve d'éducation physique et sportive selon des modalités qui seront précisées par un arrêté du ministre de l'Education, du ministre de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs et du ministre de la Santé et de la Sécurité sociale.

D'autre part, des épreuves à caractère professionnel comportant notam-ment une ou plusieurs épreuves pratiques.

Ces épreuves obligatoires sont réparties en deux groupes successifs. Les candidats qui le demandent subiront dans les épreuves du deuxième groupe des épreuves de contrôle :

Une ou deux épreuves d'enseignement général choisies parmi deux. épreuves portant sur les disciplines ayant fait l'objet d'épreuves du premier

-groupe; _

Une épreuve portant sur une discipline figurant au premier groupe parmi les épreuves à caractère professionnel.

Les notes obtenues à ces épreuves de contrôle se substitueront aux notes des épreuves correspondantes du premier groupe si elles leur sont supérieures.

Les candidats ayant obtenu au premier groupe à la fois une note moyenne égale ou supérieure

à

8 sur 20 aux épreuves d'enseignement général et une moyenne égale ou supérieure à 8 sur 20 aux épreuves à caractère professionnel sont admis à subir les épreuves du second groupe.

A l'issue des épreuves du premier groupe, QPUr les candidats se présentant au titre de l'article 2 du présent décret qui auront obtenu au premier groupe d'épreuves une moyenne supérieure à 10 sur 20, d'une part aux épreuves d'enseignement général, d'autre part aux épreuves à carac

-tère professionnel ou à l'une de ces catégories d'épreuves, le jury devra procéder à un examen individuel des dossiers scolaires. Cet examen portera sur les résultats obtenus au cours de la scolarité et, tout parti-culièrement, dans les disciplines correspondant au deuxième groupe.

Le jury prendra, à l'issue de cette étude, dans des conditions définies par l'arrêté prévu à l'article 15 ci-dessous, l'une des trois décisions suivantes : Soit les déclarer admis sans qu'ils aient à subir les épreuves du deuxième groupe ;

Soit les dispenser d'une partie des épreuves du deuxième groupe ; Soit les soumettre aux épreuves du deuxième groupe ainsi que cela est prévu pour les candidats ayant obtenu une moyenne supérieure à 8, conformément aux dispositions fixées ci-dessus.

Pour chaque candidat il est établi deux notes moyennes, l'une pour toutes les épreuves d'enseignement général, l'autre pour toutes les épreuves

à caractère professionnel. ·

En ce qui concerne l'épreuve d'éducation physique et sportive, seule entre en ligne de compte la différence entre la note obtenue et la note

(7)

10 sur 20 ; si la note est supérieure à 10, cette différence s'ajoute au total des points obtenus aux épreuves d'enseignement général à l'issue du deuxième groupe d'épreuves; si la note est inférieure à 10, la différence est retranchée de ce total de points, sauf si le dossier du candidat comprend une attestation d'assiduité et d'application aux cours d'éducation physique émanant du chef d'établissement. Le nouveau total de points est divisé par le total des coefficients de façon à obtenir la moyenne du candidat aux épreuves d'enseignement général. En ce qui concerne les candidats handicapés physiques l'attestation d'assiduité et d'application ne sera pas exigée et seules les notes supérieures à 10 seront prises en compte.

Art.

7. -

Les candidats qui se présentent au titre de la promotion sociale peuvent, sur leur demande, être dispensés de l'épreuve d'éducation physique et sportive. Pour certaines spécialités, ils peuvent être également dispensés, dans des conditions définies par l'arrêté ministériel prévu à l'article 15, de l'épreuve obligatoire de langue vivante étrangère.

Pour ces candidats dispensés de l'épreuve de langue vivante, le coeffi-cient de cette épreuve s'ajoutera à celui d'une des épreuves profession-nelles écrites ou pratiques ; cette épreuve sera désignée dans l'arrêté

ministériel précité. ' .

En outre, pour l'épreuve écrite de français, ces candidats auront à traiter un sujet plus directement adapté aux conditions de leur expérience profes-sionnelle.

Art. 8 (abrogé par le décret no 69-180 du 13 février 1969).

Art. 9 (remplacé par le décret n° 69-180 du 13 février 1969). - Pour être déclaré admis au baccalauréat de technicien, les candidats devront avoir obtenu une moyenne égale ou supérieure à 10 sur 20, d'une part aux épreuves d'enseignement général, d'autre part aux épreuves ·à caractère professionnel. Si - mise à part l'épreuve de contrôle - aucune épreuve

à caractère professionnel ne figure dans le deuxième groupe, la moyenne exigée lors de l'admission est une moyenne générale de·10 _sur 20.

Art. 10 (remplacé par les décrets n° 69-180 du 13 février 1969 et n° 69-1090 du 5 décembre 1969). - Les candidats qui, pour une cause de force majeure dûment constatée, n'ont pu subir les épreuves de la session organisée à la fin de l'année scolaire, peuvent avec l'autorisation du recteur, subir des épreuves de remplacement organisées en septembre dans des centres inter-académiques désignés par. décision ministérielle.

Si l'empêchement est motivé par une raison de santé, ils doivent fournir un certificat délivré par un médecin concourant à l'exercice des tâches médico-scolaires.

Ces dispositions sont applicables aux candidats qui n'ont pu subir la totalité des épreuves obligatoires à la session organisée à la fin de l'année

scolaire, mais qui ont obtenu pour l'ensemble des épreuves subies une note moyenne au moins égale à 8 sur 20. Ces candidats subissent la totalité des épreuves de remplacement, à l'exception toutefois des candidats autorisés

à subir les épreuves du second groupe qui -subissent seulement les épreuves de ce deuxième groupe.

Entrent en ligne de compte, pour la détermination de la note moyenne des candidats, outre les notes qu'ils ont obtenues aux épreuves obliga-toires, les notes éventuellement obtenues lors de la session normale à l'épreuve d'éducation physique et aux épreuves facultatives. La session de remplacement ne comporte pas d'épreuve d'éducation physique ni d'épreu-ves facultatid'épreu-ves.

Les épreuves subies par anticipation donnent lieu à l'organisation d'une session de remplacement réservée aux candidats qui ne peuvent faire valoir un cas de force majeure. Ces candidats subissent à cette session la ou les épreuves non subies à la session normale et conservent, éventuel-lement, la ou les notes obtenues à cette session.

Art. 11 nouveau (remplacé par les décrets n° 69-180 du 13 février 1969, n° 69-1018 du 12 novembre 1969, n° 69-1090 du 5 décembre 1969 et n° 72-93 du 31 janvier 1972). - Les candidats qui ont obtenu à l'ensemble des épreuves d'enseignement général du premier et du deuxième groupes une note moyenne égale ou supérieure à 10 sur 20 en conservent le bénéfice :

1° S'ils sont candidats au titre de l'article 2, pour l'une des trois se·ssions consécütives à l'examen ;

2° S'ils sont candidats au titre de l'article· 3, pour les cinq sessions consécutives à l'examen.

Ils n'ont donc plus à subir, lors de cette ou ces sessions, que les épreuves à caractère professionnel.

Cette disposition s'applique également aux candidats qui, en raison des résultats obtenus au premier groupe d'épreuves, ont été dispensés d'une partie des épreuves du second groupe en application de l'article 6 (huitième alinéa).

Les candidats conservent dans les mêmes conditions le bénéfice du maintien des notes obtenues à l'ensemble des épreuves à caractère

profes-,sionnel ; ils n'ont donc plus à subir, lors de la ou des sessions consécutives

à l'examen, que les épreuves d'enseignement général prévues à l'article 6 ci-dessus.

Art. 12 (remplacé par le décret n° 69-180 du 13 février 1969). - Les candidats se présentant au titre de l'article 2 du présent décret, et qui auront été ajournés, recevront, s'ils ont obtenu une note moyenne égale ou supérieure à 8 sur 20 à l'ensemble des épreuves d'enseignement général et à l'ensemble des épreuves à caractère professionnel, un certificat de fin d'études professionnelles secondaires. Ce certificat leur sera délivré par

(8)

le recteur de l'académie dans laquelle a été su.b~ l'examen suivant. des modalités fixées par arrêté ministériel.

Art. 13. - Les sujets des ·épreuves sont choisis par le ministre de l'Edu -cation nationale ou, par délégatLon, par lés recteurs d'académie.

Les épreuves sont corrigées sous le couvert de l'anonymat. Les noms des candidats ne sont portés à la connaissance du jury qu'après la déli-bération. Aucun candidat ne peut être ajourné sans que le président du · jury ait porté à la connaissance des autres membres de ce jury le contenu de son dossier scolaire. Mention en est portée au dossier scolaire sous la signature du président du jury.

Le jury est souverain. Aucun recours n'est recevable contre les décisions qu'il a prises conformément aux dispositions r~glementaires.

Art. '14. - Pour chaque spécialité, le jury est nommé par le recteur et présidé par un membre des enseignements supérieurs.

Outre le président et les membres appartenant à l'enseignement public,

· le jury comprend au moins un membre de l'enseignement privé et, pour un tiers du nombre total des membres, des représentants de la profession intéressée (employeurs et salariés).

Art. 15 (remplacé par le décret n° 69-180 du 13 février 1969). - Pour chaque baccalauréat de technicien, les dispositions nécessaires à l'appli-cation du présent décret sont fixées par arrêté du ministre de l'Education nationale.

Art. 16. - Le diplôme de bachelier technicien, délivré par le reçteur de l'académie, portera mention de la session ou des sessions auxquelles le candidat aura satisfait aux épreuves d'enseignement général et aux épreuves professionnelles.

Art. 17. - Les dispositions du présent décret entreront en application à compter de l'année scolaire 1968-1969.

~PREUVES

ANTICIPUS DE FRANÇAIS

Arrêté du 31 janvier

1972

(Education nationale)

Vu D. n° 68-1008 du 20-11-1968 mod.; A. 5-12-1969; Cons. ens. gén. et techn. ent. ; Cons. sup. Educ. nat. ent.

Article premier. - En application de l'article 5 (nouveau) du décret du 20 novembre 1968 modifié relatif à la délivrance du titre de bachelier technicien, des épreuves écrite et orale anticipées de français du bacca-lauréat de technicien sont subies, sauf dérogations prévues au présent arrêté, un an avant les autres· épreuves. Les notes obtenues sont prises en compte au titre de la session dont l'épreuve anticipée fait partie intégrante.

Art. 2. - Sont autorisés à subir à la même session du baccalauréat de

technicien toutes les épreuves, y compris l'épreuve de français : Les candidats vi~és à l'article 3 du décret du 20 novembre 1968; Les candidats régulièrement inscrits à l'épreuve anticipée et admis en classe Terminale qui n'auraient pu subir cette épreuve pour raison de force

majeure dûment constatée à la session normale et à la session de

remplacement ;

Les candidats qui ont ·SUbi les épreuves anticipées de français du baccalauréat de technicien qui ne sont pas inscrits au baccalauréat de technicien l'année suivante e't qui ne peuvent bénéficier d'une dérogation prévue à l'article 3 du présent arrêté ;

Les candidats ayant échoué au baccalauréat de technicien et se pré

-sentant de nouveau ;

Les candidats titulaires d'un baccalauréat de technicien d'une autre spécialité, d'un baccalauréat de l'enseignement du second degré ou d'un brevet de technicien, ou ayant échoué à ces examens (sous réserve qu'ils aient obtenu une dérogation à l'article 2 du décret du 20 novembre 1968 modifié pour se présenter au baccalauréat de technicien considéré) ;

Les candidats titulaires d'un diplôme étranger sanctionnant des études · d'un niveau et d'une durée comparables à ceux des études secondaires

(9)

Art. 3.-Pourront, sur leur demande, conserver pour la session suivante le bénéfice des épreuves anticipées de français :

l:.es candidats ayant échoué au baccalauréat de technicien et se pré-sentant de nouveau ;

Les candidats régulièrement inscrits au baccalauréat de technicien

mais qui n'auraient pu subir tout ou partie des épreuves de la session

normale et de la session de remplacement pour une raison de force majeure

dûment constatée ;

Les candidats séjournant temporairement hors de France après avoir

subi en France les épreuves anticipées de français conservent le bénéfice

de ces épreuves pour l'une des deux sessions suivantes.

Art. 4. - L'arrêté du 5 décembre 1969 relatif à l'épreuve anticipée du baccalauréat de technicien est abrogé.

Classes

préparant

au

(10)

LISTE ET R~F~RENCES DES TEXTES OFFICIELS

RELATIFS AUX CLASSES PR~PARANT AU B. Tn ~LECTRONIQUE (F:

Arrêté du 9 mars 1982

B. O. n•• spécial 3 du 22 avril 1982, spécial 4 du 29 avril1982 et sp~cial 5 du 24 juin 1982 ArrAté du 16 mars 1982 B. O.

no

17 du 29 avril 1982, p. 1410 Arrêté du 8 Juin 1982 B. O. n° 33 du 23 septembre 1982, p. 2975 Arrêté du 12 Juillet 1982 B. O. n° 3Q du 2 septembre 1982, p. 2554 Arrêté du 12 Juillet 1982 B. O. n° 33 du 23 septembre 1982, p. 2977

OBJECTIFS DE FORMATION

1. LA DOUBLE FINALITË DE LA FORMATION

La possession du baccalauréat de technicien confère à. sori titulaire :

D'une part le grade de bachelier technicien qui autorise la poursuite d'études généralement de caractère technologique (B.T. S., O. U. T., ... ) ; D'autre part la qualité de technicien ou toute autre appellation définissant un niveau équivalent, ce qui situe son titulaire dans le marché du travail lorsqu'il occupe un emploi (voir article premier du décret n° 68-1008 du 20 novembre 1968).

Cette double finalité impose de réaliser un équilibre judicieux entre les enseignements des disciplines générales et ceux des disciplines techno-logiques. Elle impose également dans le cadre d'une action pédagogique interdisciplinaire cohérente, un enchaînement logique des faits enseignés entre disciplines différentes aboutissant à fournir à l'adolescent en fin d'études non seulement un aspect harmonieux et logique du monde où il va vivre, mais aussi une aptitude à une vision globale des problèmes qu'il aura à résoudre, notamment dans sa vie professionnelle.

2. LA PLACE DU TECHNICIEN ËLECTRONICIEN DANS L'INDUSTRIE Pour ce qui concerne la définition des orientations relatives à la forma-tion professionnelle du bachelier F 2, il convient de s'intéresser aux différents secteurs de l'activité économique concernés par l'électronique sous ses différents aspects.

L'industrie électronique recouvre trois secteurs distincts :

Une industrie de biens de consommation dont la production est destinée essentiellement aux usages domestiques, aux personnes : récepteurs radio, téléviseurs, chaînes de haute fidélité, magnétophones, magnétoscopes, jeux électroniques divers, etc. ;

Une industrie de biens intermédiaires (celle des composants

électroni-ques) qui produit un grand nombre de dispositifs que l'on regroupe en deux catégories :

Composants actifs (technologies discrètes : diodes, transistors divers,

etc. ; technologies intégrées : circuits intégrés linéaires et logiques,

(11)

Composants passifs (éléments résistifs, bobines, èondensateurs, trans-formateurs, commutateurs, haut-parleurs, cablâges et circuits imprimés, etc.) ;

Une industrie de biens d'équipement dont la production extrêmement

variée touche tous les secteurs de l'économie. Elle concerne des matériels et éq'uipe,ments de complexité diverses à caractère industriel ne faisant généralement pas l'objet de grandes séries (par opposition aux productions de biens de consommation). A titre indicatif on peut citer les systèmes de radiocommunications (radiodiffusions, télévision à réception directe ou par satellites, etc.), les systèmes de traitement de l'information, les systèmes de mesure, de contrôle, de régulation intégrés aux unités de production de toutes les activités du secteur secondaire, etc.

Le bachelier technicien F 2 est en général concerné par l'industriè des biens d'équipement. Pour une· très faible part, l'industrie des biens de consommation l'emploie également et sa présence est peu marquée dans l'industrie des biens intermédiaires.

Les différentes activités étant relatées, il est important de préciser comment, pour y remplir quelles fonctions, le bachelier F 2 est impliqué dans les activités du secteur de biens d'équipement qui le concernent, puis dans ceux où sa participation est faible.

Faire référence à l'industrie électronique des biens d'équipement (cela vaut aussi pour les biens de consommation), c'est en fait évoquer la produc·

tian de ces biens, mais également l'utilisation de ces biens avec ce que

cela entraîne : installation, entre.tien préventif, dépannage, modification, amé-lioration, transformation, etc. Ce second aspect est le plus conséquent par

le nombre de techniciens qu'il occupe.

Des recoupements d'informations statistiques nationales émanants de sources professionnelles vérifiées montrent que :

Dix à €1Uinze pour cent (10 à 15 °/o) au maximum des techniciens électroniciens sont employés dans l'industrie de production de biens d'équi· pement;

Quatre-vingt-cinq

à

quatre-vingt-dix pour cent (85

à

90 11/o) sont employéf

chez les utilisateurs de biens d'équipement : entreprises industriellef diverses, aéronautique, automobile, informatique, télécommunications, trans· ports aériens et terrestres (S. N. C. F.), etc.

Il faut préciser que les techniciens employés dans l'industrie de produc tian des biens d'équipement, s'ils contribuent

à

la conception, la prépara·

tion des fabrications, aux contrôles et mises au point, ne sont pas dirècte

ment concernés par la fabrication proprement dite. Un certain nombn d'entre eux occupe un emploi d'entretien préventif, dépannage, etc., ana logue à celui d'une branche industrielle utilisatrice· d'équipements électro niques. Ces deux remarques restent valables pour caractériser les activité! du technicien dans l'industrie productrice de biens de consommation alon que pour l'industrie productrice de biens intermédiaires, seule la dernièn e~t

à

retenir.

3. OBJECTIFS DE LA FORMATION

Le bachelier F 2 doit être capable, dans les domaines de la production et de l'utilisation des systèmes électroniques :

a) De traduire en actions les décisions prises par l'ingénieur et le tech-nicien supérieur, au niveau de la conception, de la fabrication ou de l'agen-cement des matériels, appareils ou composants divers ;

b) D'étudier les dossiers techniques, scbémas, dessins et de les modifier si nécessaire ;

c) De mettre en œuvre, à son niveau, les moyens et équipements néces-saires à la réalisation des systèmes électroniques ;

d) D'élaborer les plans d'exécution de travaux, d'entretien, de mainte-nance, d'approvisionnement en matériel ;

e) De réaliser les mesures et les essais sur les systèmes électroniques en vue des réglages et des dépannages nécessités par les installations et aussi d'effectuer le choix judicieux de certains composants.

Compte tenu de ces objectifs, les enseignements technologiques doivent nécessairement s'organiser autour des disciplines fonctionnellement liées.

(12)

ORGANISATION ET HORAIRES

Arrêté du 12 juillet 1982 (Lycée : bureau DL 3)

Vu Code ens. techn.; L. n" 71-577 du 16-7-1971 ; L. n" 75-620 du 11-7-1975; D. no 59-57 du 6-1-1959 mod. not. par D. n"" 65-438 du 10-6-1965 et 68-639 du 9-7-1968; D. n" 68-1008 du 20-11-1968 mod. not. par D. n" 72-93

du 31-1-1972; D. no 76-1304 du 28-12-1976; A. 31-7-1967 mod. par A. 30-7-1969, 27-3-1973 et 9-7-1980; A. 31-10-1980 mod. not.

par A. 5-10-1981 et 24-11-1981 ; A. 29-12-1981 ;

Comm. profess. consult. comp. ent. ; Cons. ens. gén. et techn. ent.

Article premier. - L~accès aux classes de Première de la section F 2 (électronique) est ouvert aux seuls élèves ayant suivi en classe de Seconde l'enseignement optionnel technologique spécialisé de technologies industrielles.

L'accès aux classes Terminales de la section F 2 est subordonné à l'accomplissement de la scolarité de Première dans cette section.

Art. 2. - Un élève ne remplissant pas les conditions mentionnées à l'article premier ci-dessus pour l'admission dans la section F 2 peut être admis dans celle-ci par le chef d'établissement après examen du livret scolaire si, cumulativement :

Il bénéficie d'un avis favorable motivé spécialement formulé par le conseil de classe de l'établissement dont il est issu ;

Il satisfait, le cas échéant, aux contrôles organisés à cet effet confor-mément aux instructions du ministre de l'Education nationale.

Art. 3. - L'organisation et les horaires des enseignements dispensés dans les classes de Première et les classes Terminales de la section F.2 sont indiqués dans les tableaux 1 et Il annexés au présent arrêté.

Dans le tableau 1 annexé, la part de l'horaire qui, le cas échéant, fait l'objet d'un enseignement par groupe d'effectif limité est mentionnée entre parenthèses ; l'utilisation au cours de l'année des contingents annuels correspondants peut être modulée en fonction de la progression pédago-gique des élèves.

Art. 4. - Les dispositions du présent arrêté entrent en application à la rentrée 1982 en ce qui concerne les classes de Première et à la rentrée 1983 en ·ce qui concerne les classes Terminales. En tant que de besoin, le ministre de l'Education nationale fixe les dispositions transitoires applicables lors de ces rentrées, aux élèves admis à redoubler les classes correspon-dantes.

Toutes dispositions contraires sont abrogées aux dates d'application indiquées ci-dessus. ANNEXE TABLEAU No 1 Enseignements obligatoires Disciplines Français (a) Philosophie (*) .. 0 0 • • · : • • • • • • • • • • • • • • • • 0 0 0 • • •

Histoire, Géographie, Instruction civique ... 0

Langue vivante ... 0 • • 0 • •• 0 0 • 0 ••• • •• 0 • 0 • • 0 • • • •

Sciences. physiques ... 0 • 0 • •• •• • • •• • •• •• 0 • •

Mathématiques (a) Education physique Technologie :

A. Etude des constructions (b) ... 0 0 •

B. Mise en œuvre :

8.1. Préparation et organisation : Technologie des systèmes électro-niques (b) ... . 8.2. Réalisation et contrôle des systèmes électroniques (c) ... . Première (Heures) 2

+

(1) 2 2 5

+

(3) 2

+

(2) 2 4

+

(2) 0

+

(4) 0

+

(5) Terminale (Heures) 2 2 6

+

(4) 2

+

(1,5) 2 4

+

(2) 0

+

(5) 0

+

(6) (a) L'horaire entre parenthèses correspond à un enseignement en travaux dirigés. (b) L'horaire entre parenthèses correspond à un enseignement en travaux pratiques.

(c) L'horaire entre ):>arenthèses correspond à des activités technologiques (enseignement par groupe d'atelier).

(*) La mise en œuvre de cet enseignement est différée jusqu'à ce que les conditions nécessaires soient réunies. La date et la modalité de cette mise en œuvre seront fixées ulté-·rieure'ment par le ministre de l'Education nationale.

TABLEAU No Il

Enseignements optionnels complémentaires Disciplines

Education artistique ... .

Préparation à la vie sociale et familiale ... . Français 0 . 0 0 • • • • • • • • • 0 •• • • •• • • • •• ••• • •• • •• •• Première (Heures) 1 (*) 0

+

(1) Terminale (Heures) 1 (*) 0

+

(1) (*) 2 (*) L'horaire .pourra être porté à deux heures par. décision du ministre de l'Education nationale.

(13)

PROGRAMMES

*

(Arrêtés des 9 mars 1982, 16 mars 1982,

8 juin 1982 et 12 juillet 1982)

FRANÇAIS

CLASSE DE PREMI~RE

Le programme d'enseignement du français en Seconde et en Première prend son sens à la lumière des finalités et des objectifs qui, dans le domaine des principes, en situent la portée, et des instructions qui, dans le domaine pratique, en explicitent et en complètent le contenu. Les finalités et les objectifs, d'une part, les instructions, d'autre part, font l'objet de documents spécifiques (1) auxquels on se reportera pour utiliser le programme.

On rappelle sommairement ici que, dans les classes considérées, l'ensei-gnement du français se propose :

De perfectionner les capacités de communication et d'expression à l'oral et à l'écrit ;

De développer l'usage de techniques et de méthodes qui favorisent la compréhension, le jugement, la créativité ;

D'approfondir l'appropriation d'une culture accordée à la société de notre temps.

Certaines des indications figurant dans le programme ont été abordées dans la scolarité antérieure (2), mais il peut être utile de les reprendre au lycée à un niveau différent ; d'autres, entièrement nouvelles, méritent une attention particulière. Les instructions fournissent des suggestions sur ces points.

Dans l'enseignement du français, le programme n'a pas le même caractère que dans les disciplines à progression linéaire. Il ne définit pas une somme de connaissances qu'il faudrait nécessairement et successi-vement acquérir. Il désigne des champs d'investigation qu'il est profitable' d'ouvrir aux élèves selon leurs besoins, leurs intérêts, leurs capacités. S'il comporte des rubriques assez nombreuses, cette abondance ne doit pas susciter d'appréhension : parmi les possibilités qui lui sont offertes, le professeur choisit en fonction de l'opportunité et de son dessein péda-gogique.

*

Ces programmes entrent en application à la rentrée de l'année scolaire 1982-1983 en

ce qui concerne la classe de Première et de l'année scolaire 1983-1984 en ce qui concerne la

classe Terminale.

Toutes dispositions contraires sont abrogées aux dates d'application Indiquées cl-dessus.

(1) Voir la brochure C. N. D. P. n• 6011 : Français, langues anciennes ; classes de Seconde,

Première et Terminale.

(2) Voir la brochure C. N. D. P. n• ·6092 : Français, langues anciennes, classes des co/lèges,

Il fixe, d'après les mêmes critères, l'ordre d'exploitation qu'il juge le mieux adapté.

Le programme est établi pour la Seconde et la Première. Les profes-seurs des deux classes se concertent pour assurer une nécessaire pro-gression.

1. Communication et expression

La pratique raisonnée des moyens de communication et d'expression contribue à former la personnalité.

Les notions théoriques mentionnées ci-après n'ont pas à être enseignées pour elles-mêmes ; elles sont essentiellement destinées à éclairer cette pratique.

En tout domaine, le professeur s'attache à définir des interventions prioritaires.

COMMUN/CA T/ON, LANGAGE, DISCOURS

Signes et codes. Communication non verbale, communication verbale (pouvoirs et limites). Le 'langage comme faculté et comme réalisation. Langage et langue.

Situations de communication orale et de communication écrite ; intelli-gibilité, grammaticalité, acceptabilité ; registres de langue. ·

Fonctions du langage. Langage et personne ; langage et soci~té.

La notion de discours ; nature et moyens du discours. Enonciation et énoncé.

MANIEMENT ET CONNAISSANCE DE LA LANGUE

Applications pratiques de données phonétiques ; prononciatipn (y com-pris les liaisons). Intonation. .

Emploi raisonné des principaux systèmes morphologiques.

Emploi raisonné des principales modalités syntaxiques : nature et valeur. Structures de la phrase complexe.

Syntaxe et sémantique. Explorations sémantiques : sens lexical et sens contextuel (polysémie) ; dénotation et connotation ; la synonymie et ses limites. r:.exique commun, lexiques spécialisé's ; lexique de la vie affective ; lexique de la pensée conceptuelle ; lexique des activités sociales, économiques, politiques ; lexique des arts, des sciences, des techniques ; lexique des études littéraires. La vie des mots : étude diachronique des sens et des formes, emprunts, néologismes. Observation comparée de divers types de dictionnaires, notions de lexicographie.

Réflexion critique sur la manière dont les faits de langue sont désignés par la terminologie (1).

(1) Les éléments de référence seront empruntés à la Nomenclature grammaticale pour l'en

-seignement du français dans le second degré, S.E.V.P.E.N. 1975, brochure n• 6082, deuxième

(14)

Consolidation de l'orthographe : ortographe lexicale (on insistera sur

les mots appartenant aux domaines sémantiques explorés) ; orthographe

grammaticale (principes et modalités de l'accord, doubles possibilités selon le sens, cas particuliers) ; l'accentuation en tant que marque ortho-graphique et grammaticale. La consolidation de l'orthographe s'appuiera su-r tout exercice pratique approprié et donnera lieu à des recherches de rationalité.

Rôle logique et stylistique de la ponctuation. RHtTORIQUE ET STYLISTIQUE

La rhétorique constitutive du discours ; visées de la rhétorique ancienne, apports de la rhétorique moderne.

Les sources de l'invention.

La composition comme moyen de présentation et comme stimulant de l'invention.

L'élocution et le style : les divers tons (notamment pathétique, drama-tique, tragique ; comique, ironique, humoristique) ; sens et style (choix et place des mots, images, figures, sonorités, rythmes). Style et époque ; style personnel ; la notion d' « écart "·

Genres littéraires : caractéristiques, évolution ; limites de cette notion. Types de discours (notamment narratif, didactique, démonstratif, polé-mique, oratoire).

La poésie et le poétique. Prose et poésie. Principales formes poétiques ; éléments de métrique française. La chanson.

JI. Techniques et méthodes Opérations de compréhension et de représentation.

Opérations de relation. Opérations de créativité.

Ces opérations sont mises en œuvre à titre individuel ou en équipes

ou à l'occasion d'activités collectives.

Elles sont décrites dans les instructions.

Ill. Culture

Toutes les activités de la classe de français sont des activités de culture au sens où ce terme est défini dans le chapitre consacré aux objectifs et aux finalités de cet enseignement. Les plus complètes sont celles qui s'accomplissent au contact des textes. D'autres ont pour origine des contacts avec les arts et des contacts avec le monde.

A) CONTACT AVEC /,.ES TEXTES Auteurs français

Dans le temps limité dont on· dispose, il importe de retenir -avant. tout les œuvres d'autéur~ franÇais qui, du Moyen âge à nos jours, ménagent aux élèves les meilleures chances de développement personnel ·; on s'attaehera particulièrement à ceiles qui se recommandent par 'feur caractère repré-·

sent-atif ou par leur originalité.

Certa,ins auteurs dont . la fréquentation est particulièrement formatrice ont été rencor1trés aU cours de la scolarité antérieure. .Cependant,· en Seconde et en Première, ils ·offrent matière à des investigations plus fines et à des découvertes plus fructueuses. C'est le cas, par exemple, de La Fontaine, Molière ou Racine, de '\/oltaire ou Rousseau, de Chateaubriand, Balzac ou Victor Hugo, de plusieurs écrivains du

xx

·

siècle. JI est naturel qu'on les retrouve à ce niveau. ·

D'autres ont produit des œuvres d'une grande richesse dont l'accès eût été difficile plus tôt, du moins sous leurs aspects les plus significatifs. A la sensibilité et à la réflexi.on des adolescents, ils apportent des aliments

nouveaux. C'est le cas, par exemple, de Montaigne, Pascal, Diderot,

Baude-laire, et de poètes, de romanciers ou de dramaturges contemporains. JI convient de leur réserver une place de choix.

·Ces deux séries de références n'épuisent pas le champ dès

possibi-lités : la littérature française fournit bien des ressources, y compris dans

ses aspects régionaux, qui répondent aux besoins, aux intérêts et aux

capacité~ des élèves.

Le professeur situera les œuvres d'une façon précise dans leur temps et dans l'histoire.

Autres auteurs Auteurs étrangers d'expression française. Auteurs anciens traduits (1 ).

Auteurs étrangers traduits (1 ).

Textes non spécifiquement littéraires

Dans l'ensemble des domaines visés, la liberté d'initiative qui revient au professeur engage, pour le choix de tout texte, sa responsabilité.

*

'**

Sur l'approche et l'exploitation des textes et sur l'utilisation éventuelle de thèmes comme adjuvants à la lecture, on consultera les instructions.

Des exemples de thèmes sont présentés ci-dessous à titre de sug-gestions.

(15)

L'amour. Le souvenir. Le rêve et la rêverie. Le bonheur. La solitude. Le temps. La mort.

L'homme et la nature. L'homme et l'univers. L'homme et l'histoire.

Sciences et techniques.

Le travail. L'argent. Justice, injustice. Tolérance, intolérance. Autorité

et liberté. La guerre et la paix. Valeurs morales et contexte social.

L'épopée jadis et aujourd'hui. Le 'ragique au théâtre. Comique, ironie,

humour. La poléll?ique et la satire. Art gratuit, art engagé. La poésie et le

poétique. Images,· musiques.

B) CONTACTS AVEC LES ARTS

Selon son dessein pédagogique et les occasions propices, le professeur

de français établit des contacts avec les arts et tire parti de ceux que les

élèves peuvent avoir par eux-mêmes, notamment avec les créations diverses

des arts modernes.

Voir les instructions.

C) CONTACT.$. AVEC LE MONDE

Contacts indirects, par l'intermédiaire de la presse et des moyens

audio-oraux et audio-visuels de communication : utilisation critique de leurs apports.

Contacts directs : visites, enquêtes, appel à l'expérience des élèves ;

intérêt documentaire, valeur éducative (connaissance réfléchie des réalités

contemporaines, recherche de l'objectivité, développement du sens de la

solidarité).

Voir les instructions.

PHILOSOPHIE

CLASSE TERMINALE

La mise en œuvre de cet enseignement est différée jusqu'à ce que les

conditions nécessaires soient réunies. La date et la modalité de cette

mise en œuvre seront fixées ultérieurement par le ministre de l'Education

nationale.

HISTOIRE, GËOGRAPHIE, INSTRUCTION CIVIQUE

CLASSE DE PREMit:RE

1. De 1914 à nos jours

Le monde en 1914.

Le cadre chronologique de l'évolution ; les conséquences des deux

guerres mondiales ; le déclin de l'Europe ; la redistribution de la

puis-sance ; l'émancipation des peuples dépendants ; les relations actuelles

entre les puissances.

Il. Etude par grands ensembles géographiques

1. De l'originalité et de la diversité des civilisations contemporaines.

Au choix : L'Islam; L'Afrique noire ; L'Inde; La Chine; Le Japon; L'Amérique latine.

La diversité ne s'analysant bien que par comparaison, il est souhaitable

que deux exemples, au moins, soient retenus.

2. Des inégalités de la puissance dans le monde d'aujourd'hui.

A) Fondements, aspects, rayonnement de la puissance, à travers l'exem

-ple d'une grande puissance, au choix.

B) Le monde sous-développé : les critères de sous-développement,

les voies du développement.

.

3. Des problèmes du monde d'aujourd'hui.

Proche-Orient.

Péninsule indochinoise ...

Ill. Etude par thèmes de quelques grandes questions d'actualité

Politiques, économiques, sociales, culturelles, morales.

IV. Etude d'un sujet Inspiré par les spécialités de l'établissement ou de la section

(16)

LANGUES VIVANTES

Les programmes de langues vivantes des classes de Première et Terminale sont publiés aux B. O. n"' spécial 4 du 29 avril 1982 et spécial 5 du 24 juin 1982. Ils font également l'objet des brochures C.

N. D. P.

·

N° 6019 : Allemand ; N° 6014 : Anglais ; N° 6015, : Espagnol ; N° 6023 Italien ; N° 6016 : Russe.

SCIENCES PHYSIQUES APPLIQUËES

A L'ËLECTRONIQUE

Programme

L'enseignement des sciences physiques (électricité, électronique, vibra-tions, optique) est dispensé par un professeur de sciences physiques (option « physique et électricité appliquée ••).

Cet enseignement a un caractère résolume11t expérimental qui s'affirme tant à l'occasion d'expériences réalisées par le professeur que lors de l'expérimentation individuelle des élèves. L'étude théorique avec la division entière et ·l'étude expérimentale avec les différents groupes forment un

ensemble cohérent et doivent être confiées à un seul professeur qui

prend en charge l'ens_emble du programme.

Cet enseignement dans les classes de Première et Terminale F 2 a une double finalité. D'une part, il se propose d'assurer une solide forma-tion scientifique de base. D'autre part, dans un domaine particulier qui est celui de l'électronique, il veut développer des connaissances en élec-tricité appliquée qui permettront aux élèves d'établir une relation étroite

entre l'en~eignement scientifique et l'enseignement technologique. Une

coordination indispensable est assurée entre les enseignements scienti -fiques et les autres enseignements. Lorsqu'une question figure à la fois dans le programme d'électricité et électronique et dans le programme de technologie, l'aspect théorique est toujours présenté par le professeur de sciences physiques et abordé en général préalablement, en accord avec le professeur de technologie.

Certaines questions de physique fondamentale, comme la physique des semiconducteurs, celle du rayonnement sous ses aspects ondulatoire et corpusculaire ou des thermocouples etc., sont d'un niveau trop élevé pour faire partie du programme d'examen. Ces questions suscitent toute-fois une curiosité légitime de la part des élèves, d'autant plus qu'elles sont

couramment mises en œuvre dans nombre de réalisations technologiques (familles diverses de circuits intégrés, rayonnement thermique des boîtiers et dissipateurs, effacement des ·mémoires, capteurs de température, etel Dans ce cas, à la demande, le professeur de sciences physiques traite ces questions, selon une pédagogie de vulgarisation rigoureuse et sobre. Afin de développer l'aptitude au travail autorwme des élèves, le pro-fesseur de sciences physiques, pour sa part, facilite, avec l'aide du centre de documentation et d'information de l'établissement, l'accès à des docu-ments scientifiques et technologiques ainsi que leu·r exploitation.

Les commentaires ont pour but de préciser les limites du programme, notamment aux auteurs de sujets d'examens. Dans sa classe, le profes-seur conserve une grande liberté dans le choix de la progression, mais il doit répartir le volume horaire annuel qui lui est attribué de manière à traiter intégralement le programme. Le temps à consacrer aux différents chapitres n'est pas nécessairement en relation avec la longueur du com-mentaire correspondant. Il· convient que la progression soit établie en concertation avec les professeurs d'enseignement technologique pour tenir compte des contraintes propres à cet enseignement.

Mesures physiqu

es

(Optique, électricité, électronique)

CLASSES DE PREMI~RE ET TERMINALE

L'étude expérimentale est le fondement de la formation de l'esprit scientifique. A ce tif~e. en section électronique, elle permet notamment l'acquisition de connaissances, de méthodes rationnelles de travail ; l'aptitl!de à maîtriser le langage scientifique ; la capacité de concevoir, de mettre en œuvre, d'exploiter et de faire l'analyse critique d'une expé-rimentation ; la prise de conscience des possibilités .de généralisation et des limites de certaines méthodes et de certains modèles conduisant les élèves à une confiance lucide en ces modèles.

L'étude expérimentale peut conduire à deux démarches : une démarche déductive et une démarche inductive s'enrichissant mutUellement.

(17)

Pour les montages d'électronique, on n'utilise que des composants actuels répandus sur le marché.

On doit toujours avoir coinme règle d'insister plus particulièrement sur

les notions permanentes d'électronique qui subsistent même quand

hi

technologie évolue.

Un des buts de l'expérimentation est l'apprentissage de méthodes fondamentales de mesurage et de ·l'utilisation rationnelle des appareils de ·

mesurage professionnels. Il est nécessaire de faire prendre consciènce aux élèves que si ·les modes opératoires peuvent être très variés, car adaptés aux conditions dans lesquelles ils s'effectuent, ils relèvent néan

-moins d'un nombre limité de méthodes exploitées tant pour l'expérimen

-tation en électricité et électroniQUe que pour les essais et mesures de sous-ensembles en électronique appliquée.

Les apprentissages des méthodes de mesurage se font sur des struc-tures simples en première année. En seconde année, le champ d'application s'élargissant par l'étude de structures plus complexes, il sera procédé à un approfondissement des méthodes et des modes opératoires.

L'étude expérimentale et les mesures sont effectuées sur les circuits qui remplissent. des fonctions faisant l'objet de l'étude théorique.

Les calculs 'd'incertitudes traditionnels donnent des résultats qui pré-sentent peu d'intérêt en général. Ils seront avantageusement remplacés, à

l'occasion de certaines mesures physiques, par une analyse de.s résultats

obtenus conduisant à tenir compte de l'influence des appareils et du choix des méthodes. Dans quelques cas, la prise en considération de la dispersion des résultats permet de donner un caractère quantitatif à cette analyse.

Lors du mesurage d'une grandeur caractéristique d'un composant, ou du relevé expérimental, par les élèves, d'une courbe dont le graphe typique est fourni par le constructeur, on n'omet pas de faire noter les écarts entre mesures et valeurs typiques. On en déduit la nécessité de se prémunir, lors de la phase de construction, contre cette dispersion des

caractéristoiqu~s.

Les composants mis en œuvre sont notamment : Différents types de diodes ; redresseurs commandés ; Transistors (à jonctions, à effet de champ) ;

Circuits intégrés linéaires (amplificateurs, régulateurs) ;

Circuits intégrés logiques de différentes familles (opérateurs logiques élémentaires, bascules, mémoires, microprocesseurs) ;

Capteurs;

Coupleurs optoélectroniques ;

Convertisseurs analogiques-numériques et numériques-analogiques.

Le laboratoire d'électronique doit nécessairement disposer des

appa-reils suivants Voltmètres ; Ampèremètres ; Wattmètres.; Générateurs de signaux ; Oscillographes ; Tables traçantes ; Pont d'impédances; Phasemètres ; Fréquencemètres ; Stroboscopes ; Distorsiomètres ;

Dispositifs de développement pour microprocesseurs ; Machines tournantes de faible puissance ;

Calculatrices programmables.

CLASSE DE PREMit:RE

1. VIbrations, propagation, ondes

1. Mise en évidence expérimentale de ·la . propagation d'un signal ; célérité.

2. Etudè expérimentale des phénomènes vibratoires entretenus et de

leur propagation : période, fréquence, longueur d'onde.

3. Excitation d'un oscillateur. Résonance.

4. Etude des principes physiques mis en œuvre dans quelques trans-ducteurs : piézoélectriques, optoélectroniques, électrodynamiques, jauges extensométriques.

Il. Electrlclté et électronique

1. CHAMP ET ~NERG/E ~LECTRIQUES

1.1. Champ électrostatique ; champ uniforme. Travail de la force

élec-trostatique agissant sur 1.me charge placée dans un champ électrostatique

uniforme ; différence de potentiel.

1.2. Loi d'Ohm pour une portion de circuit comportant un électromoteur. Analyse d'un circuit plus général. ·

1.3. Source de tension. Source de courant. Modèles de Thévenin et de Norton. Théorème de Thévenin.

1.4. Puissance électrique reçue par un dipôle. Conducteur ohmique en régime permanent. Loi de Joule. Bilan énergétique dans .un circuit élec-trique. Résistance thermique.

(18)

1.5. Condensateurs. Capacité. Energie emmagasinée. Groupements de condensateurs.

1.6. Couple oxydoréducteur formé par un ion métalliqué eh solution

et le métal correspondant. Classification éle.ctrochimlque qualitative.

Notions sur les piles et accumulateurs.

2. LE CHAMP MAGN~T/QUE

2.1. Mise en évidence d'un champ magnétique par son action sur un

faisceau d'électrons, sur un conducteur parcouru par un courant, -sur un

aimant. Visualisation des lignes de champ (spectres magnétiques).

2.2. Etude expérimentale de la trajectoire d,'une particule chargée dans

un champ magnétique u!).iforme. Force subie. Vecteur champ magnétique.

Mesurage

à

l'aide d'une sonde

à

effet Hall.

2.3. Action d'un champ magnétique uniforme sur un élément de circuit

parcouru par un courant : loi de Laplace. Applications.

2.4. Flux du vecteur champ magnétique à travers un circuit fermé.

Règle du flux maximal.

2.5. Les courants sources de champs magnétiques. Proportionnalité

du champ magnétique à l'intensité du courant SJUi le crée ; expression du

champ magnétique produit par un solénoïde infiniment long.

3. INDUCTION ~LECTRQMAGN~TIQUE

3.1. a) Mise en évidence expérimëntale de l'induction

électromagné-tique dans un circuit fixe placé dans un champ magnétique variable au

cours du temps ; expression de la force électromotrice induite.

3.1. b) Induction· par déplacement d'un conducteur dans un champ

magnétique indépendant du temps ; force électror:notrice inauite.

3.2. Induction mutuelle de deux' circuits. Inductance mutuelle.

3.3. Auto-induction ; mise en

éyi~ence

expérimentale ; force

électro-motrice d'auto-induction ; coefficient d'auto-inductance. Energie

emmaga-sinée.

4. R~GIMES VARIABLES

4.1. Régimes transitoires :

4.1.1. Etude expérimentale de la charge et de la décharge d'un

conden-sateur à travers un élément résistif non inductif.

4.1.2. Etude expérimentale de la variation d'un courant dans une bobine.

4.1.3. Etude expérimentale de la charge et de la décharge d'un

conden-sateur dans un circuit inductif.

4.2. Régimes sinusoïdaux : ,

4.2.1. Le courant sinusoïdal, étude de ses propriétés, période, fréquence,

pulsation. Intensité instantanée et intensité efficace. Tension instantanée

et tension efficace.

4.2.2. Vecteur de Fresnel et grandeur complexe associés à une grandeur

sinusoïdale.

4.2.3. Dipôles linéaires élémentaires en régime sinusoïdal. Impédance. Admittance.

Groupements en série et en dérivation des dipôles précédents.

Résonances. Facteur de qualité.

4.2.4. Puissance active ; puissance réactive ; puissance apparente.

Facteur de puissance. ·

4.3. Systèmes triphasés équilibrés. Montages en étoile et en triangle.

Puissance.

5. ~LECTRONIQUE

5.1. Introduction à la fonction tedressement.

5.2. Introduction à la fonction amplification.

5.3. Introduction à la commutation et aux fonctions logiques.

ClASSE TERMINALE

1. VIbrations, propagations, ondes (optique, acoustique)

1. Dispersion de la lumière.

2. Analyse et synthèse de la lumière blanche. Trichromie.

3. Son. Qualités physiologiques des sons.

4. Interférences.

Il. Electricité et électronique

1. CIRCUITS ~LECTRIQUES

1.1. Etude des circuits linéaires en régime sinusoïdal à fréquence

constante. Notation complexe. Modèles de Thévenin et -de Norton. Ponts

d'impédances.

1.2. Puissance absorbée par un dipôle. Facteur de qualité.

2. FONCTIONS DE L'~LECTRONiQUE

2.1. Fonctions analogiques : fonction amplification de différence,

addi-tion, multiplicaaddi-tion, dérivaaddi-tion,· intégration, filtrage, retard, Association de

telles fo~ctions. ·

2.2. Fonctions logiques : comparaison, mémorisation, génération de

signaux périodiques (horloges), temporisation (monostable et bistable).

Association de telles fonctions.

Figure

TABLEAU  No  Il

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