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L’IRAK, GÉOPOLITIQUE ET POPULATIONS

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L’IRAK, GÉOPOLITIQUE ET POPULATIONS

Gérard-François Dumont, Yves Montenay

To cite this version:

Gérard-François Dumont, Yves Montenay. L’IRAK, GÉOPOLITIQUE ET POPULATIONS.

Popu-lation et avenir, Association PopuPopu-lation et Avenir 2002, pp.4-7 et 20. �halshs-01141303�

(2)

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géopotitiq

ue et poputations

Dans [e contexte

géopolitique

actuel, l'lrak

semble

avoir une importance

considérable.

En fait, sa position géographique

le place

par nature au centÏe de ce que [es Anglais

ont dénommé

le Moyen-Orientl.

lI en résulte

d'une part la diversité

humaine

de ce pays,

et d'autre part, des dynamiques

démographiques

liées aux décisions

nationales

et internationales

résuttant

de cette géopolitique.

lrak dispose d'un terri toire de 438 ooo kilomètres carrés, soit les quatre cin-quièmes de la France métropoli tai ne. Sa population, estim êe à 23, 6 mi[ [ions d'habitants en 2oo2, ,se distingue d'abord en t rois groupes li ngui stiques d'importanc e très différente. Les Arab es, qui s'identifient par une langue sémitique commune, ['arabe, [a langue off icielle du pays, forment le gr oupe le plus nombreux, compos ant l es trois quarts de la populat ion du pays . Le deux ième groupe li ngui s-tique de ['lrak est c elui des Kurdes, peupl e d'origine indo-européenne, environ [ e cinquième de l a popul a-tion, et dispos e d onc de s a propre langue. Enfi n, parmi tes différentes m inorités utilisant d'autres l angues et total isant env iron 5 % de la populati on, l e groupe le plus important s ont les Araméens , dont la l angue a été r econnue officielle en t97o. Cette divisi on l ingui sti que ne recoupe que partietlement la div ersité rel i gi euse qui juxtapose tro is régions principales s éparées par des espaces où se rencontrent plusieurs types de popul a-tions (graphique r et carte p. S).

Chiites,

Sunnites,

Kurdes- Chrétleng...

Les extrémités Nord des déserts de la péninsule Ara-bique et [a partie irakienne du désert de Syri e, donc I'O uest de ['lrak , sont habitées par des Arabes sun-nites'. Les plaines et les marais du Sud-Est sont peuplés d'Arabes chiites. Enfin, au Nord, le versant des chaînes de montagnes séparant la Turquie du croissant fertile, puis ce dernier d e [' lran, c ons titue le peuplement Kurde.

Les vastes espaces intermédiaires entre ces zones relati-veme nt homog ène s du p oin t de vue r eli g ieu x co nna is-sent des peuplements divers. La zone séparant te Sud-Est de I'Ouest, où se trouve la capitale Bagdad, est peuplée à ta fois d'Arabes sunnites et d'Arabes chiites. Au Nord, le peuplement séparant les espaces kurdes des espaces sunnites comprend ces deux types de popula-tions, d'autant que les dirigeants irakiens ont installé des populations pour arabiser les territoires regorgeant de pétrole du piemont kurde. Enfin, ['lrak comporte un certain nombre de minorités religieuses. La population chr étie nne , ré dui te auj our d'hu i à en vi ro n Zoo ooo p er -sonnes (sojt I o/o de la population totale) à la suite d'émi-grations notamment vers la France (lle-de-France et Pro-vence), est en majorité Catholique chaldéenne. Elle se répartit en divers lieux du pays, comme à Mossoul, à la j on ction de s ara be s su nni tes et de s kur des a u No r d, et son patriarcher réside à Bagdad. D'autres populations chr étie nne s ( Nesto rie ns, Syr iaq ues ou O r t hod oxes) appartiennent à des religions séparées de Rome. Au sein de la population kur de, g én éra lemen t de re li gio n mu sul-ma ne sunnite, il fa ut di sting ue r l a mi no rité musu lma ne des Yézidis, I'une des formes du chiisme.

Ce tte r ép arti tio n e n troi s gr oup es p rin cipa ux, auxq uel s s'aj outen t dive rses min or ités, ne doi t p as ma sq ue r des di versité s à [ 'i nté rie ur de ch aq ue g ro upe . Les Ar abe s sunn ite s, q ui dirigent le pays, sont divisés en clan s,

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O Gérard-François Dumont . D'après Jean et André Settier, Aflas des peuples d'Orient, La Découverte, 1993.

Arabes sunnites

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Arabes

chiites

\\Nl Arabes sunnites et arabes chiites

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Kurdes

Arabes

sunnites

et Kurdes

tieux

saints

du

chiisme

dont c elui des Takritis (de la région d'origine de Sad-dam Hussein, Takr it, s ur le Tigre au Nord de Bagdad) qui ont sous Hussein le quasi-monopole des post es supérieurs. Les C hiites du Sud se distinguent ent re [es habitants des villes saintes (Nadjaf s ur I'Euphrate et Ka rb ala au Sud-O uest de Bagdad) et c eux (les Madan) des m arais du Chatt el-Arabq , où I'on a longtemps s itué le par adis m usulman. Les Chiites sont encadrés par les Su nnites dans diver ses villes et notam ment à Bas sora, sur la r iv e droite du Chatt e[-Arab, à rz o kilomètres d u g olfe A rabo-persique.

7933, et expliquant'le ref us de reconnaître I'ind ép en-dance du KoweiT e n tg6t : le but est d'augmenter [e pouvoi r pétroli er de [ 'lra k, d'é [arg ir le dé bou ché mar iti-me sur le golfe Arabo-persique et, e n mê me temps, de contrer I' infl uence de [a dynastie des Saoudiens (r ival des H achémi tes, la p remiè re dyn astie r égn ant en lr ak de ry32 à rgSB). Le deuxième ob iecti f con st ant est d e récupérer la provi nc e du Kh ouzi stan, ri che en pétrole,

2 . L n rÉe o r*rl !TÉ

Ë ni

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C ette c om plexité [inguistique, ethnique et religieuse e xp lique sans doute la méconnaiss anc e en France de s données humaines de l'lrak, que I'on peut illustrer pa r c ette réflexion de Clemenceau rapportée par Robert d e Caix, du Journal des débats: < Les Anglais m'ont parlé d es Kurdes toute la journée. J e n 'ai rien c ompris . D ites-mo i d e qui il s 'agit. )

-Certes , la vieille histoire mésopetamienne et le pas sé de I' empire ar abe de Bagdad so nt des fact eurs de s en-tim ent nationa[. M ais une tette géographie humaine c o mpor te un risque perm anent de forc es c entrifuges, s u sc eptibles d'être attisées pa r des puissances régio-nal es ou autres. ll en résulte, depuis I'indépendance offic iellement acquise en 193 2. u ne position géopol i -tique quas i- constante fondée sur trois object ifs. Le pre-m ier est I'annexion du Kowelt, réclamé par ['lrak dès

(4)

Hm[, 9éonolitiute

H Ronilalions

au détriment de l'lran. Pour sa part , l'lran, devenu offi -cie llement ûne < république islami que >> en tg7g, sou-hai te étendre I' influenc e c hiite d'autant que l'lrak dis-pose de trois villes saintes pour les Chiites. Enfi n, l es dirigeants irak iens c ontrent régulièrem ent l es menaces ,de séces sion k urde au Nord du pays.

Depuis la pris e du pouv oir de Saddam H ussein en t97g, la poursuite d e ce triple objectif géopotit ique expl i que certaines évolutions démographiques qui restent di ffi-cile à quantifier, faute de sources s ta tisti ques véri table-ment fiables. En effet, la priorité donnée aux ( canons )) sur le < beurre > ne favorise pas la transition démogra-phique, c'est-à-dire les progrès dans la lutte contre la mortalité et I'adaptation en c ons éq uence de l a natatit é selon le proces s rr

t transition démographiques.

Pendant les décennies précédant ['indépendance, sous l'administrat ion ottomane puis britannique, l es terri-toir es de l'actuel lrak , faiblement peupl és, restent dans un régime démographique ancien, a vec une natalité et une mortalité é tev ée. Les Anglais, qui obtiennent en 7920 un mandat sur l'lrak après le démantèlement de I'em pire ottom an, s'y intéress ent surtout parce que ce pays permet de doubler la rout e des Indes sur le plan terr estre. Cet intérêt pour l'lrak se traduit d'ailleurs dans le traité d'Alliance de r93o, préludant à I 'i ndépen-dance, selon lequeI la Grande-Bretagne conserve un dr oi t de regard sur les affaires imp ort antes. S ous le régime Hachémite alors mis en place par les Anglais, l e pays dem eure et sous-peup[é et peu développé. Néanm oins le régime semi colonia[, pui s I'argent du pétrole entraînent un début de modernisation. La mor-tatité commence à baiss er légèrem ent dans le deuxiè-m e quart du XX" s ièc le, m arquant une entrée lente dans

3. L'AcËRGIssE n$i ËtrT

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l a pr emi èr e étap e de la transition démog r ap hiq ue. La p opu lati on attei nt l es 5 millions a u mi lie u du XX" si ècle . L 'évolu tion s'accé lèr e ensu ite, co mme d an s ['e nsem ble du tiers-monde, avec la poursuite de la baisse de ta mo rta lité e t un accroissement na tur el de 3"/o par an, qui per met une élé vatio n de [a po pul ati on à ro m illi on s e n t9 75 pu is au-delà de zo millions d ans les années r ggo , ma lgr é l es fre ins dé mo gr aph iqu es cités ci - apr ès. C o mme da ns I'e nse mbl e d u mo nd e ar abe , mai s plu s t ar di-vement que la moyenne et assez lentement, la fécondité baisse depuis les années 7ggo, passant de 6,5 enfants par femme en 1987 à 4,8 en 2oo1 (Graphique z), soit à un niveau qui reste élevé. Mais un tel chiffre est sans doute surestimé en raison du recul apparent des mariages et de ['augmentation des pratiques antinatales6. Néanmoins, compte tdnu de sa tardive transition démographique, le potentiel de peuplement de ['lrak est important en dépit du coût humain des guerres externes et des conflits internes.

Apr ès [e renversement sang lan t de s Hachémites en 795 8,l a di spar iti on de I'influence an gla ise , [ 'lr ak con naî t d e s ré gimes au tori tai res, voi re di ctator iau x, don t ta po li-tique fait prévaloir l'usage de la force à ['extérieur et à I 'inté rie ur. L'i nstal lati on e n ry79 de Saddamf]ussein est ma rqu ée p ar 5oo exécutions q ui en précéderont bi en d'a utres (officiers su périeu rs, m i n istres, reli gieux...). D'une part, pour s'imposer à I'intérieur, [e régime organise de s r ép ressio ns pér iod iqu es. Rap pel on s I 'u t ili sa t ion d'armes chimiques sur [a ville kurde de Halabja en 1988, causant 5 ooo morfs environ. Ce genre d'actions vaut à un haut dignitaire du régime d'être surnommé [e < boucher du Kurdistan >. À d'autres périodes, c'est le rasage de quar-tiers enquar-tiers de villes saintes chiites ou de villes du Sud. Aussi, pour protéger les populations du Sud, la France, [e Royaume-Uniet les États-Unis instaurent-its le z6 aoûtt99z une zone d'exclusion aérienne au Sud du 32" parallèle. D'a utre p art , afin de satisfaire ses a mb itio ns gé op ot i-ti qu es, S add am H ussei n e nta me de ux g ue r r es par t i cu -l iè remen t me urt riè res, fa isan t p lusi eur s c en t ain es de mill ie rs d e victimes. L es h uit années de g uer r e avec ['lra n (r 98o -r9 88 ), q ui se termineront pa r le statu quo anté rie ur à [a gu err e, compo rten t d e nombreux ép i-so des é voq uan t les méthodes et les pertes des bata ille s de tranchées du fr ont français de la première gu err e mondiale. L'année 1984 marque le premier emplo i d'ar me s chimiqu es. Fi nal ement , le no mbr e d e tués ira kien s e st e stimé à 3oo ooo personnes. L a de uxiè me gu err e extér ieu re de Saddam Hu ssein est dé clench ée a vec I'i nvasio n du KoweiT p ar ['lrak [e

(5)

2 a oû t t9go. Cette invasion , donnant lieu à ce que I'on appelle la guerr e du Golfe,.alors qu'ils'agit de la secon-de guerre du Golfe, est contrée par une coalition an ti -irak ienne de zB pays. Pour l'lrak, [e coût humain direct es t es tim é à zo ooo décès de m ilitaires irak iens , auquel il faut ajouter 59 ooo, civils souvent utilis és par le régi-me irakien com me bouclier.

Puis c et te guerre du Golfe donne tieu à une révolte des lrak iens s ouhaitant se débarrass er de leurs dirigean ts ; le régi me d'H us sei n organise alo rs une répres sion s évè-re c ausant envir on 30 ooo victim es civ iles et décl en-chant une im portante vague d'émigration, d'où une baiss e de [a population irak ie nne en 7gg7 (graphique 3). La destination principale de l'émigration irakienne , qui se pr és ente com me demandeuse d'asile, es t l'Euro pe, et s ur tout l'Europe s êpten trionale=D ans les années 7g9o,les imm igrants irakien s représentènt en Suède le deuxième flux d'immigration après les ressortissants de [' e x -Y ougoslavie. En t999t, les personnes origina ires d' lrak sont estimées à 43 ooo en Suède, et quelques mill iers en Finlande et en Norv ège. Deux ième pay s d' ac-cueil, les Pays-Bas, avec ao ooo ressortissants, devan-çant [e D anemark, 13 ooo ressortissants. On c ompte également quelques m illiers d'lrak iens en France , au Roy aume-U ni et aux États-Unis.

Tout cela ne favorise guère te développement écono-miq ue d'autant que I'Onu organise un embargo pour ess ayer de faire res pecter les résolutions du Conseil de sé c urité. M algré les trafics et [a c ontrebande, la popul a-ti on s ' appauvrit, les condition s hygiéniques s' aggravent,

lilml, géonoliti[Ue

GI

[orulations

les possibilités nutritives se réduisent. Et ['lrak connaît la plus forte mortalité du Moyen-Orient (avec le Yémen resté à un niveau de faible développement). Le pétrole, dont les principaux ch amps se trou vent da ns [a rég ion de Kirkuk, au bord de [a région kurde, et dans la région de Bassora aurait pu être [a chance du pays. ll semble, j usqu' à présent , n'a voir ré ussi qu 'à faire so n malh eur . Ai nsi, tandis que le peuplement d iffé ren cié de l'lr ak s' expl ique princi pa lemen t par sa géographie, l 'évol u-ti on démographi que des dernières d écen nie s, ca ra cté -ri sée par une transition ta rdi ve e t u ne surmor tali té, e st la conséquence d ire cte d e la si tua tion po liti que et g éo-pot iti que de ce pa ys. O

r. Cf. carte et commentaire de ce terme p. 24.

z. Rappelons que les rnusulmans sunnites reconnaissent dès ['ori-gine comme successeur de Mohamed les quatre premiers califes, alors que les Chiites se reconnaissent dans la succession d'Ali, cou-sin, fils adoptif et beau-frère de Mahomet.

3. Ce terme est un titre honorifique donné dans l'église latine à quelquès évêques de sièges importants ou anciens.

4. Large voie d'eau formée par la confluence du Tigre et de I'Eu-phrate et débouchant sur [e golfe Arabo-persique, seu] débouché maritime de l'lrak. ,

5. Dumont Gérard-François, les populotions du monde, Paris, Edi-tions Armand Colin, zoor.

6. Cf. Courbage Youssef, Nouveaux horizons démogrophiques en Méditerranée, Paris, PUF, t999.

T.Tendances des migrations internationoles zoot, Paris, 0CDE, zoor.

h coleclitn

2001

n" 65,| . Les formes de dépopulation rurale. . La population de I'Allemagne (dossier pédagogique, programme de terminale). Cité dans INTEBCDIn'111 n'652 . Écologie et vieillissement de la population. . Les évolutions démographiques et l'organisation du territoire au Royaume-Uni (dossier pédagogique, programme de première). n" 653 . Les populations européennes, . Différences de fécondité et inégalités de développement (dossier pédagogique, programme de seconde ou terminale). noffi4 . Départements: l esnsix rFr an ce. . Population et dévelop-pement en IndeJdossier pédagogique, programme de cinquièmel. Cité dans INTEBCDIn" 114

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.Dosiersoécial: h géographie mondiale des populalions. . l-e peuplemerit des grandes villes (dossier pédagogique, programme de seconde). Crté dans INIEBCDIn" 116 La collection

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Le Moyen-Orient, intitulé géographique d'origine anglaise (Middle East), se définit gén éralement comme I 'ensemble de s pa ys d e I'Asie du Sud -Ou est, de [ a Turquie à l' lran, com prenant la pé n insul e ar abi que et t'Ég ypte.

Superficie : I'Arabie saoudite est le plus vaste pays du Moyen-Orient, devant ['lran et t'Égypte. L'l rak se situe à ta sixiè me p lace der riè re la Tur qui e e t le Yé me n.

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Population : ['l rak com pte la q ua tri ème pop ula tio n du Moyen -Or ien t, apr è s l'Égy pte, [a T urquie, I' l ran, à éga tit é ave c l'Ar ab ie saou di te.

Dens ité : l es densi tés les pl us él e vé es se con st aten t da ns les pa ys co mp ta nt de moindres superf ici es (B ahrein, L iban , Terr itoi re s pal estin ien s, lsra ël) . L'l r ak c ompte la douzième densi té des r 9 p ays d u Mo yen- Ori ent. Les d en si tés na t io -nales moyennes recouvrent de gr an des di ffére nce s à I'in tér ieu r des pays.

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Références

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