• Aucun résultat trouvé

Programme coopératif en histoire : petit mais sélect

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "Programme coopératif en histoire : petit mais sélect"

Copied!
1
0
0

Texte intégral

(1)

volume

18,

numéro 1

5

Programme

coopératif

en

histoire

:

petit

mais

sélect

L'article

suivant

est

tiré

d

’un article paru

dans la

Gazette del’

Université d’Ottawa

le

4 octobre

1991.

L'auteurest

Alexander

Wooley.

Si la plupart des intervenants des études supérieures connaissent bien l’engage­ ment ferme des facultés de Sciences et de Génie envers la formation coopérative, ou les programmes «co-op», peu d’entre eux sont aussi bien informés sur le programme coopératif en histoire de l’Université d’Ottawa, l’un des premiers du genre dans les facultés des Arts du pays.

Lancé au semestre d’automne de 1988 par les professeurs Paul Lachance et Jean- Guy Daigle, le programme demeure la responsabilité de ce dernier, à titre de coordonnateur et de «parent». Depuis les débuts modestes avec trois postulants jusqu’au groupe de douze étudiants inté­ ressés cet automne, le concept de pro­ gramme coopératif s’est trouvé un créneau en insistant sur une certaine exclusivité. Selon Jean-Guy Daigle:

«Notre programme présente un degré de qualité élevé. Sept étudiants seront acceptés ce semestre. Nos normes sont strictes: les étudiants des programmes de spécialisation postulent habituellement au début de leur seconde année et doivent présenter une moyenne générale de 6.0 et avoir accumulé 54 crédits. Ils doivent également produire deux lettres de recom­ mandation de professeurs du département et avoir suivi au moins un cours de méthodologie.»

Avis aux intéressés/es

Nous avons un surplus de brochures des séries Brochures historiques et

Les groupes ethniques du Canada à

écouler. Les brochures se vendent 2,50 $ l’unité ou 2,00 $ l’exemplaire pour 10 copies ou plus. Les univer­ sités bénéficient de tarifs spéciaux. Pour obtenir les listes des brochures disponibles, veuillez communiquer avec le bureau de la Société au 395, rue Wellington, Ottawa, Ontario, K1A 0N3. Téléphone: (613)233-7885. Télécopieur: (613)567-3110.

Les étudiants retirent des avantages du programme, notamment une précieuse expérience de travail, la chance d’établir des contacts en milieu de travail, des avantages financiers et en prime, des compétences linguistiques améliorées, puisque le programme a lieu dans une région bilingue. Toutefois, la voie est semée d’embûches et M. Daigle avoue deux inconvénients: «Il leur faut cinq ans pour décrocher leur diplôme (il y a quatre semestres de travail en alternance avec les études) et ces étudiants ne prennent jamais de vacances!»

Jean-Guy Daigle rencontre un étudiant et ses superviseurs trois ou quatre fois pen­ dant le semestre de travail. Les étudiants du programme doivent soumettre un rap­ port de 15 à 20 pages à la fin du stage, en décrivant les compétences acquises et comment leurs efforts ont fait d’eux de meilleurs historiens.

L’employeur reçoit un étudiant qui possède les qualités acquises dans le cadre du

L

’excursion annuelle du Groupe

d’études

en

histoire autochtone,

vendredi 29 mai

1992

Le Groupe d’études en histoire autochtone organise une excursion qui aura pour but de montrer quelques aspects de la vie des Micmacs sur l’Ile-du-Prince-Edouard. Cette excursion aura lieu le vendredi 29 mai 1992, soit la veille de l’ouverture officielle du congrès de la S.H.C. qui se tiendra à Charlottetown.

Les personnes qui prendront part à cette excursion pourront assiter à la cérémonie de dévoilement d’une plaque commémora­ tive indiquant le site où ont été ensevelis les os d’un squelette de Micmac. Ces os vieux de 400 ans ont été rapatriés de l’Université Memorial l’été dernier. Il est également possible que les participants puissent faire l’expérience d’un “sweat- lodge” micmac.

Les participants devront faire leurs propres arrangements de voyage et devraient

programme d’histoire de premier cycle: compétences en recherche, esprit d’ana­ lyse, capacité de filtrer les données pour ne retenir que celles qui sont pertinentes, et la capacité de rédiger des lettres effi­ caces et des rapports exhaustifs. Jusqu’à maintenant, la plupart des employeurs sont des ministères et organismes fédéraux, mais le professeur Daigle espère bientôt élargir le bassin d’employeurs pour y inclure le secteur privé.

Quant à l’avenir de l’histoire et de tous les programmes coopératifs en Arts, Jean-Guy Daigle montre un optimisme réservé: «Les réductions budgétaires du gouvernement fédéral nous obligent à être prudents. Nos étudiants rencontreront de plus en plus de concurrence des autres universités (sur­ tout Waterloo et Sherbrooke), des étu­ diants et des organismes, pour un nombre de postes de plus en plus restreint. Nous nous inquiétons pour l’avenir, mais nous survivrons. Nous ne voulons pas trop grossir: le programme doit demeurer petit et insister sur la qualité.»

prévoir réserver des chambres près de Charlottetown pour les nuits du 28 et du 29 mai. Des renseignements supplémen­ taires seront disponibles dans le prochain bulletin du Groupe d’études en histoire autochtone et dans celui du printemps de la S.H.C. On peut également communi­ quer avec Lisa Patterson au (613) 725- 9490.

Décès

Gordon A. Calver du Royaume-Uni, est décédé en 1991. Il était membre de la Société depuis 1988.

Evelyn Eager de Régina, membre depuis 1950.

Références

Documents relatifs

Trouver quel doit être le rapport de la hauteur h du cylindre au rayon r de sa base pour que les deux pendules coinposés obtenus en faisant osciller le cy- lindre autour

IL On envisage, dans le plan de la variable com- plexe z, Vorigine O des coordonnées, le cercle C de rayon R et de centre O, les deux points y, z = 1 et y', Z = — 1 ; enfin un contour

— Un anneau circulaire, infini- ment mince, homogène et pesant, de masse et de rayon égaux à 3, est mobile dans un plan vertical fixe. Il reste tangent à une droite horizontale fixe

couche sphérique homogène, soustraite à Vaction de toute force extérieure, peut tourner autour d'un de ses points O, qui est fixe; à V instant initial, elle tourne avec une

ÉPREU\E ÉCRITE. — Un tube rectiligne homogène AB, de section infiniment petite de longueur 2 a et de masse M, est placé sur un plan horizontal, sur lequel il peut glisse/'

Lorsqu'une figure plane, limitée par une ligne fermée, possède un axe de symétrie A, si l'on fait tourner cette figure autour d'un axe parallèle à A, le moment d'inertie I,

— Un point matériel dont la niasse est prise pour unité se meut sans frottement sur une surface de révolution dont l'axe est vertical et dont, le méridien a pour équation, dans le

Nos lecteurs comprendront que, dans leur propre i n - térêt comme dans celui du journal, il nous serait impos- sible de reproduire désormais tous les sujets de compo- sition