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ARTheque - STEF - ENS Cachan | L'animation scientifique : un vecteur pour diffuser la culture scientifique auprès du plus grand nombre

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Academic year: 2021

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L'ANIMATION SCIENTIFIQUE : UN VECTEUR POUR DIFFUSER

LA CULTURE SCIENTIFIQUE VERS LE PLUS GRAND NOMBRE

Karine GODOT

Erté Maths à modeler/Association Sciences et malice

MOTS-CLÉS : ANIMATION – CULTURE SCIENTIFIQUE – VULGARISATION – MÉDIATION

RÉSUMÉ : Au cours de cet atelier, nous avons défini tout d’abord plus précisément les composantes de l’animation scientifique, ses différents acteurs, leurs particularités, leurs démarches, leurs outils… Ensuite, différents types d’actions spécifiques mises en place afin de combler les inégalités existantes vis-à-vis de l’accès à la culture scientifique et technique ont été développés, notamment des animations que nous avons proposées autour des mathématiques. Les participants ont enfin été mis en situation afin de les sensibiliser à l’« esprit » de l’animation scientifique.

ABSTRACT : During this workshop, we defined more precisely the components of scientific animation, its different actors, their characteristics, their approaches, their tools… Then, various types of specific actions realised in order to fill the existing inequalities with the access to the scientific culture were developed, in particular of animations which we proposed about mathematics. The participants were then put in situation in order to sensitize them with the “spirit”

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1. INTRODUCTION

Née après la seconde guerre mondiale de la mouvance « éducation populaire », l’animation scientifique n’a cessé de se développer depuis, tant par ses acteurs, ses supports, et ses champs d’actions. Grâce à ses origines, elle s’avère être un média essentiel pour sensibiliser les plus jeunes à regarder le monde à travers l’œil du scientifique. Elle amène notamment les sciences vers ceux de quartiers dits sensibles et contribue ainsi à mettre les connaissances scientifiques à la portée du plus grand nombre. Concrètement, elle s’impose peu à peu comme un des vecteurs de la diffusion de la culture scientifique et technique. Cependant, elle est encore peu reconnue d’un point de vue institutionnel car peu connue. Aussi, allons-nous nous attacher à présenter plus précisément les caractéristiques de cette forme d’animation spécifique, ses composantes, ses différents acteurs, leurs particularités, leurs démarches, leurs outils, ainsi que différents types d’actions mises en place afin de combler les inégalités existantes vis-à-vis de l’accès à la culture scientifique et technique, notamment des animations que nous proposons autour des mathématiques.

2. QU’EST CE QUE L’ANIMATION SCIENTIFIQUE ? 2.1. Petit historique et grands principes

Nous regroupons sous les termes « animation scientifique », une forme de vulgarisation des sciences mise en œuvre dans le cadre d’activités socioculturelles. Elle trouve ses origines dans la mouvance « éducation populaire », née au XIXe siècle à travers la volonté d'une démocratisation du savoir. Parallèlement au développement de l'école primaire destinée à former les jeunes esprits à la société industrielle naissante, ce mouvement se mit en place à travers diverses actions afin d'aider les travailleurs manuels à conquérir le savoir. Le succès de ces initiatives est dû à deux facteurs. Tout d'abord, l'histoire de l'éducation populaire va de pair avec l'histoire de la conquête des loisirs par la mise en place des congés payés en 1936. Les Français eurent alors plus de temps à consacrer à des formations complémentaires extérieures à leur travail. La Libération, les mouvements de lutte pour la personne humaine nés dans la Résistance, l'esprit corporatif, donnent, par ailleurs, à l'éducation populaire des structures et la possibilité d'exister officiellement dans la France en reconstruction. Dès lors, de nombreuses associations vont voir le jour à l'initiative de bénévoles. Parmi les nombreuses structures nées de ce mouvement, certaines d'entre elles centrèrent leurs actions sur des activités liées au développement des jeunes. Elles organisèrent alors des colonies de vacances et participèrent par la suite à l'aménagement du temps périscolaire.

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2.2. Qui ?

Il est difficile de dresser une liste exhaustive de l’ensemble des acteurs de l’animation scientifique tant les initiatives locales sont nombreuses. Parmi les acteurs de l’animation socioculturelle, certains furent particulièrement sensibles à l'importance du développement d'une culture scientifique chez les enfants et complétèrent leurs actions par des activités liées aux sciences. Citons notamment les C.E.M.E.A (créés en 1938), les Francas (1944), ou les MJC (1948). Pour certaines, la popularisation des sciences est l’objectif principal de l’association, comme pour Planète Sciences (ex-ANSTJ, créée en 1962), les Petits Débrouillards (1986), MATHs. en JEANS (1989), Graines de chimistes (1990), Ebullisciences (1995), Sciences et malice (2000), les Atomes Crochus (2002)… Loin d'être en compétition, mais bien souvent travaillant en partenariat, chacune d'entre elles propose aux enfants une approche des sciences qui lui est propre.

L’animation scientifique est également présente sous forme d’atelier d’accompagnement aux expositions au sein du réseau des CCSTI (créés en 1979) ainsi que dans les musées scientifiques. Certains chercheurs tels que Pierre Aldebert, Didier Delabouglise, Sylvain Gravier (1) si l’on se réfère à l’agglomération grenobloise, utilisent également cette forme de médiation pour diffuser leurs travaux.

2-3. Comment ?

Il s’agit de mettre en place sur le temps du loisir un rapport particulier avec les jeunes de 3 à 18 ans en vue de leur transmettre des connaissances scientifiques, avec une volonté de laïcité, de solidarité, de développement de la citoyenneté ainsi que d’éducation et du plaisir d’apprendre. L'animateur n'a pas un statut de détenteur de savoirs mais est considéré comme un guide. Le public est actif, l’animateur favorise les échanges entre les participants, est à l’écoute de chacun, leur laisse une grande part d'initiative et cherche à développer leur créativité, leur curiosité, leur esprit critique, leur personnalité, leur rapport au monde, en s'appuyant souvent sur le jeu.

Les rencontres peuvent se faire sous forme d’ateliers ponctuels, réguliers, de clubs, de stages pendant les vacances, d’ateliers flash lors d’événements « grand public » (Fête de la science), avoir lieu sur le temps du loisir (mercredi, vacances), le temps périscolaire (PEL), à l’école mais aussi dans divers lieux publics (bibliothèques, rue…).

2.4. L’animateur scientifique et comment le devenir

L’animateur scientifique, indispensable à toute animation scientifique au sens où nous l’entendons, est d’origines diverses. Ce peut être un animateur curieux de sciences, un étudiant ou un chercheur en sciences désireux de transmettre sa passion, ou un « monsieur tout le monde » qui trouve là un

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L’animation scientifique bénéficie de très peu d’offres de formations professionnelles. La majorité est proposée dans le cadre de la formation au Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur (BAFA) et est principalement orientée vers l’éducation à l’environnement. Certaines Directions Départementale de Jeunesse et Sports (DDJS) organisent des formations continues pour les animateurs socioculturels mais à ce jour, il n’est pas prévu de brevet professionnel « animation scientifique ». Une spécialisation est proposée lors de la formation au Brevet d'État d'Animateur Technicien de l'Éducation Populaire (BPJEPS) option « loisirs » pour tous cependant moins de cinq organismes de formation dispensent ce certificat pour toute la France. La principale offre de formation s’avère donc être les formations internes aux associations spécialisées.

3. LA DÉMARCHE EXPÉRIMENTALE COMME VECTEUR DE MÉDIATION

Parmi toutes les démarches mises en place par les différents acteurs de l’animation scientifique, nous nous attacherons à présenter plus particulièrement les actions dites « expérimentalisées » (Sousa do Nascimento et alii, 2002, pp 41) où il est « proposé aux participants d'expérimenter les

sciences et les techniques à travers des manipulations, des productions d'objets techniques », dans

l’intention de les sensibiliser à la démarche expérimentale. Nous avons identifié trois types d’approche, classées par degré croissant d’initiative laissée au public :

• Des animations-démonstrations : l’animateur montre des expériences au public, le fait interagir, comme Pierre Aldebert lors de ses « goûters des sciences ».

• Des protocoles à suivre : par exemple les animations proposées par Graine de chimistes. En plus de connaissances scientifiques, il s’agit de permettre aux enfants l’acquisition d’habileté gestuelle, sous la direction de l’animateur.

• Des ateliers où les participants pratiquent la démarche expérimentale, ce sont eux qui formulent les hypothèses, qui déterminent les protocoles expérimentaux, en collaboration avec l’animateur, comme dans les ateliers Petits débrouillards.

Comme R-E Eastes, nous pensons que « ce sont ces activités qui auront l’impact éducatif le plus

fort et seront à l’origine des plus grandes motivations, étant celles qui permettent au participant de s’impliquer le plus largement » (Eastes, 2004, pp 32). Aussi allons-nous nous attacher à présenter

deux exemples d’ateliers de pratiques expérimentales basés sur la gratuité, le volontariat, mis en place afin de combler les disparités vis-à-vis de l’accès à la culture scientifique.

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3.1. La « science en bas de chez soi », deux exemples d’actions

Maths et malice

Né du partenariat entre l’ERTé « Maths à modeler » et de l’association Sciences et Malice, le projet « Maths et Malice » a pour objectif d’organiser des rencontres avec les mathématiques sur le temps du loisir, en les montrant sous leur aspect expérimental. Plus de 150 enfants de quartiers prioritaires se sont vus proposer pour certains des ateliers sur le temps de cantine, pour d’autres à la MPT pendant les vacances, au cours desquels ils se sont retrouvés « apprentis chercheurs » en mathématiques, et ont été amenés à émettre des hypothèses, raisonner, rechercher des stratégies, des éléments de preuve, fabriquer des objets mathématiques, des jeux…

Cités Débrouillardes

Depuis 10 ans, l’opération « Cités Débrouillardes » mise en place par les Petits Débrouillards donne l’occasion à des jeunes qui ne partent pas en vacances de participer à des ateliers scientifiques liés à leur environnement. Pendant une semaine, des animateurs s’installent dans un quartier et transforment le terrain de jeu habituel des jeunes en laboratoire d’expérimentation sur un projet commun. Au-delà d’une sensibilisation aux disciplines scientifiques, l’objectif est de rendre les participants curieux sur le monde qui les entoure. Par ce biais, en 2005, 60 000 jeunes de 6 à 15 ans ont eu l’occasion d’enrichir leur culture scientifique dans plus de 150 quartiers en France.

3-2. Productions des participants

Au cours de l’atelier, les participants ont été mis en situation afin de les sensibiliser à l’« esprit » de l’animation scientifique. Ils ont pu choisir entre deux situations recherche en mathématiques, et un défi physicochimique. Trois groupes ont choisi les mathématiques, les autres avaient à trouver le plus de façons possibles de gonfler avec du gaz un ballon sans la bouche à l’aide du matériel disponible (voir détail en annexe). Une dizaine de solutions ont été découvertes sur les 15 que nous avions en tête. La salle « Hannenkam-Meije » de l’École Nationale de Ski et d’Alpinisme (ENSA) de Chamonix s’est transformée en petit laboratoire de sciences : hypothèses, expérimentations, conclusions, discussions et nouvelles hypothèses…

4. DISCUSSIONS ET PERSPECTIVES

Ainsi, comme le soulignent S. Sousa do Nascimento et alii, « l'originalité de l'animation

scientifique réside essentiellement dans le fait qu'elle propose des activités en dehors des contraintes scolaires ; les enfants peuvent y vivre des expériences originales, susceptibles d'enrichir

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s'exprime par une attention soutenue et par le nombre d'échanges réussis et satisfaits au cours des séances d'animation observées, est manifeste » (S. Sousa do Nascimento et alii, 2002, pp. 62).

Cependant, malgré les multiples associations, le nombre de projets mis en place pour diffuser la culture scientifique auprès du plus grand nombre, elle souffre encore d’un manque de reconnaissance institutionnelle. Le manque de formations professionnalisantes relègue bien souvent le métier d’animateur scientifique au statut de « petit boulot ». Lors des demandes de financement, les projets scientifiques se trouvent en concurrence avec les autres activités reconnues par tous comme des activités culturelles (sports, théâtre, danse, musique, arts plastiques…) L’animation scientifique doit donc « convaincre ».

Notre expérience de praticienne nous le montre, il y a de multiples apports à la rencontre régulière des sciences par le biais de l’animation scientifique. Certains enfants viennent même plusieurs années. Nous estimons, comme R.-E. Eastes, que « dans les activités dites « interactives »,

c’est-à-dire laissant au public un espace d’expression ou d’expérimentation (comme lors des séances

autour de la démarche expérimentale, ndlr), une certaine « construction » de savoirs pourra même

être entreprise » (Eastes, 2004, pp 32). Mais comment évaluer ? À notre connaissance, peu de

recherches ont été entreprises pour étudier ces apports. Au cours des échanges avec les participants de l’atelier, le problème de financement a été soulevé, la difficulté d’étude due au fait de la diversité des acteurs, de leur relatif cloisonnement, des contextes d’actions, du cadre informel et du manque d’outils d’analyse. Toutefois, une reconnaissance de ce domaine de recherche se dessine comme l’a souligné J.-L. Martinand lors des discussions. L’ANR étudie un appel à projet autour de la thématique « Science et société », qui pourrait être un cadre à une étude plus approfondie des pratiques de l’animation scientifique et de ses apports pour combler les inégalités dans la diffusion de la culture scientifique. Dès lors, elle gagnerait en crédibilité aux yeux des acteurs et trouverait dans les institutions la reconnaissance qu’elle a déjà aux yeux des enfants, des parents et des acteurs du temps du loisir qui la pratiquent.

Note :

(1) Pierre Aldebert est chercheur et médiateur scientifique au département Sciences Chimiques du CNRS, Didier Delabouglisse est chercheur en biochimie à l’ENSEEG/INPG, Sylvain Gravier est chercheur en mathématiques discrètes au CNRS et à l’initiative du projet Maths à modeler. Ils sont tous les trois rattachés à l’université Joseph Fourier à Grenoble.

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BIBLIOGRAPHIE

EASTES R-E [2004], Contribuer au partage de la culture scientifique, in l’Actualité chimique, n° 280-281, pp 29-35, novembre-décembre 2004.

SOUSA DO NASCIMENTO S [1999], L’animation scientifique : essai d’objectivisation de la

pratique des associations de culture scientifique et technique françaises. Thèse de

l’Université Pierre et Marie Curie, Paris 6.

SOUSA DO NASCIMENTO S., WEIL-BARAIS A., [2002], L’animation scientifique : des démarches éducatives différentes ? in Hétérogénéité et différenciation, Aster n° 35, INRP, Paris.

GODOT K. [1999] Étude de la communication scientifique destinée à la jeunesse, mémoire de DESS CST, Université Stendhal, Grenoble.

GODOT K. [2005] Situations recherche et jeux mathématiques pour la formation et la vulgarisation, Thèse de l’Université Joseph Fourier, Grenoble.

GODOT K. [2007] Maths à modeler, un projet qui met en relation la recherche en mathématiques et l'école, 28e Journées Internationales sur la Communication, l'Éducation et la culture

Scientifiques, techniques et industrielles, Chamonix, avril 2007.

SIGNIFICATION DES SIGLES

ANSTJ : Association Nationale Sciences et Technique Jeunesse ANR : Agence Nationale pour la Recherche

BAFA : Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur

BEATEP : Brevet d'État d'Animateur Technicien de l'Éducation Populaire

BPJEPS : Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’Éducation Populaire et du Sport C.E.M.E.A : Centres d'Entraînement aux Méthodes d'Éducation Active

DDJS : Direction Départementale de Jeunesse et Sports ERTé : Équipe Recherche en Technologie de l’Éducation

MATHs En JEANS : Méthode d'Apprentissage des Théories mathématiques en Jumelant des Établissements pour une Approche Nouvelle du Savoir

MJC : Maisons des Jeunes et de la Culture PEL : Projet Éducatif Local

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ANNEXE

SITUATIONS RECHERCHE PROPOSÉES EN MATHÉMATIQUES Pavages

Cette situation est issue de problèmes de recouvrement. Paver signifie recouvrir une forme donnée par plusieurs formes plus petites et toutes identiques, sans laisser de trous et sans que ça déborde. À l’heure actuelle, les chercheurs ne savent pas résoudre ce genre de problèmes, ils ne savent pas dire si a priori cela va être possible ou pas. La seule façon de trancher est d’étudier tous les possibles via un ordinateur. Considérons un cas plus simple : le pavage d’une grille carrée par un domino.

Dans le cas d’une grille de côté pair, très vite, on s’aperçoit que cela s’avère impossible…alors rajoutons un trou. Le problème devient : selon la place du trou est-il toujours possible de paver ? Pour les grilles « paires », est-ce toujours possible si l’on remplace un domino par deux trous, non nécessairement contigus ?

Parcours eulériens

À partir d’une configuration donnée, est-il possible de relier tous les points en passant une seule fois sur chaque trait et sans lever son crayon ?

Selon les cas, on y parvient facilement, quel que soit le point de départ, pour d’autres, il faut déterminer par où commencer, pour d’autres enfin, on a beau essayer, le chemin semble beaucoup plus difficile à trouver. Reste donc à déterminer les conditions nécessaires et suffisantes à l’existence d’un parcours eulérien.

DÉFI PHYSICOCHIMIQUE : GONFLER UN BALLON SANS LA BOUCHE

Matériel disponible : bouteilles plastique, bouteilles verre, bougies, bouilloire, sèche cheveux, bouteille remplie d’eau, bocaux verre, gobelets plastique, tuyau, aquarium, seringues, pompe à vide, sel, poivre, sucre, vinaigre, bicarbonate, huile, farine, lessive, bouchons, scotch, élastiques, allumettes, pâte à modeler, ballons, pailles.

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