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ARTheque - STEF - ENS Cachan | L'étude des relations formation - emploi : une aide pour l'enseignement ?

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Academic year: 2021

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L'ETUDE DES RELATIONS FORMATION - EMPLOI :

UNE AIDE POUR L'ENSEIGNEMENT ?

JEAN LAMOURE

Nous commencerons par deux propositions.

(a) Les résultats des études sur les relations formation-emploi sont d'une importance réelle pour la compréhension des systèmes éducatifs, non seulement de leur rôle social (ou politique) mais de leurs modes et de leurs règles de fonctionnement. Cela est particulièrement vrai pour les enseignements techniques ou les enseignements supérieurs dans la mesure où leur finalité est plus immédiatement professionnelle que celle des enseignements généraux des collèges et lycées.

(b) L'étude des relations formation-emploi n'est en rien une aide pour l'enseignement - ou pour les enseignants.

Il n'y a pas de contradiction entre (a) et (b), ce que nous allons tenter de préciser. Nous conclurons sur ce qui pourrait être appelé le bon usage des études formation-emploi, aussi bien par les enseignants que par les politiques ou plus généralement les "décideurs".

Entendons nous sur les mots !

L'enseignement, c'est d'abord l'activité habituelle de l'enseignant mais c'est aussi ce qu'il enseigne (les mathématiques, l'électronique ou le français...), donc des programmes, inscrits dans des filières d'enseignement. L'enseignant enseigne, certes, mais il ne fait pas que cela : dans sa relation privilégiée avec "ses" élèves, il est aussi un médiateur, celui qui, toujours de manière particulière, transmet ou donne à voir aux élèves les finalités éducatives, sociales ou professionnelles de l'activité scolaire (LAMOURE, 1985).

La notion de relation formation-emploi est également à préciser car elle est polysémique. Ce peut être le lien établi, à l'école, entre les activités

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d'enseignement et les emplois existants ou dont on imagine l'émergence sous l'influence de l'évolution des technologies, de la division et de l'organisation du travail, par exemple. Ce lien est plus ou moins formalisé, il peut prendre des formes très diverses selon qu'il s'agit du contenu d'une séquence d'enseignement, d'exercices d'application, de travaux pratiques ou d'atelier, de stages en entreprise. Ce peut être aussi le mode d'utilisation des compétences scolaires dans l'activité professionnelle des individus (la secrétaire utilise-t-elle la règle de trois dans son emploi), ce peut être également le rapport (ou la recherche du rapport) qu'entretiennent ou non les systèmes d'éducation et la société, le "système" économique. C'est bien évidemment tout cela et bien d'autres choses encore. Pour contourner la difficulté, nous parlerons des études portant sur la relation formation - emploi, en ce qu'elles ont l'avantage de définir leur objet, de lui donner un sens (plus) précis.

UN PEU D'HISTOIRE, POUR COMMENCER.

Si toute l'histoire de l'enseignement technique est en fait l'histoire des relations entre formation et emploi, l'expression ne semble cependant pas utilisée dans les débats sur l'apprentissage, au début du siècle et avant même, sur les écoles manuelles d'apprentissage: l'enjeu est cependant bien celui là, d'une formalisation des relations entre la formation (des futurs ouvriers) et les emplois dont les industries avaient besoin (GUILLON, 1979).

À défaut de pouvoir retrouver, dater, l'origine de l'expression, on s'en tiendra à la période récente - les années 1960 - car c'est au cours de cette décennie que le problème des relations formation-emploi non seulement est exprimé avec force mais se traduit par un certain nombre d'actions politiques. C'est la création par la puissance publique d'institutions et de systèmes d'information spécialisés qui a permis le développement des recherches dans ce domaine. Ces recherches ont, pour une très large part, été déterminées par les besoins d'une meilleure connaissance des métiers, des professions, de l'évolution du marché du travail; en bref, elles répondent aux besoins de la planification économique et sociale "à la française". On peut situer très précisément l'émergence de tout cela à la fin des années 1960, lors des travaux du VIème Plan et plus particulièrement de l'intergroupe "formation - qualification" qui donnera naissance en 1970 au Centre d'études et de recherches sur les Qualifications (CEREQ), le principal organisme d'études en ce domaine (D'IRIBARNE, 1986).

Ces recherches répondaient, d'abord, à une demande d'information sur les conditions d'insertion professionnelle des jeunes issus des formations techniques ou de l'enseignement supérieur. Pour l'enseignement technique, les toutes premières enquêtes ont été effectuées au début des années 1970 sur les élèves sortant des BEI, BEC, et autres diplômes en voie d'extinction ainsi que sur les premières promotions de titulaires de

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nouveaux diplômes, le BEP et le DUT* . Ce n'est pas tant le chômage des jeunes, encore peu important au début des années 1970 que la recherche de l'efficacité des formations techniques qui ont motivé le développement de ces travaux; c'est aussi le souci de compléter les informations existantes pour servir à une planification quantitative plus fiable des besoins de main d'œuvre. L'augmentation des effectifs universitaires, les travaux sectoriels menés au cours des années 1960 sur les besoins en main d'œuvre hautement qualifiée expliquent également, pour une part, le lancement, par le CEREQ, des premières enquêtes sur les étudiants.

Ces recherches répondaient également à une demande d'analyse des emplois dans leurs composantes technologiques et relationnelles devant permettre une meilleure compréhension des effets des innovations technologiques et organisationnelles sur la qualification de la main d'œuvre. La traduction en a été la création du "Répertoire français des emplois" utilisé pour la refonte des nomenclatures d'emploi (INSEE) et l'information des conseillers d'orientation scolaire.

Les dispositifs d'insertion professionnelle et d'analyse des qualifications étaient donc complémentaires, les premiers plus "macro" (pour l'essentiel l'analyse des flux entre école et emploi), les seconds plus "micro", centrés sur l'activité individuelle, ses composantes, ses relations avec le collectif de travail dans une entreprise ou un secteur d'activité économique.

Si tous ces efforts ont effectivement servi à la planification - en particulier dans le cadre des "bilans formatio-emploi" réalisés avec l'INSEE, la crise économique, le développement du chômage, l'abandon de la planification quantifiée et de certaines utopies liées, sont autant de raisons qui ont contribué à limiter, depuis, cet usage spécifique. Sous des formes diverses, ils continuent d'être utilisés et utiles, en particulier dans le cadre national des Commissions Professionnelles Consultatives (CPC) pour la rénovation des programmes de l'enseignement technique ou la création de nouveaux diplômes, et dans les régions, depuis qu'elles ont été dotées de pouvoirs plus étendus en matière de formation.

Le sens de la relation.

Parler de relation formation-emploi, c'est postuler que formation et emploi ont des effets l'un sur l'autre, ou bien qu'il peut exister une influence, plus ou moins grande, de l'un sur l'autre (et dans quel sens ?) ou encore qu'ils sont tous les deux assujettis à de mêmes contraintes externes.

Il est aisé de s'accorder sur le fait qu'éducation et emploi sont déterminés (surdéterminés, pour reprendre une phraséologie qui semble passée de mode) par l'environnement sociétal ; les implications en sont multiples et riches, les travaux sociologiques suffisamment nombreux pour ne pas développer (MAURICE & alii, 1982).

* BEI, : Brevet d'études industrielles ; BEC : Brevet d'études commerciales ; BEP : Brevet d'études professionnelles ; DUT : Diplôme universitaire de technologie.

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La compréhension des influences réciproques de l'éducation et de l'emploi est plus délicate, elle passe d'abord par celle du degré d'indépendance de l'une et de l'autre.

La formation est-elle sujette des emplois ? La sociologie de l'éducation a

bien montré comment l'appareil de formation (en particulier ses segments "professionnalisés") est pour une large part déterminé par la sphère de la production dans ses objectifs, ses structures mais aussi ses programmes. Les comportements de ses agents, les enseignants peuvent également en être affectés, non seulement en référence à leur place dans la société (leur soi-disant perte de prestige social) mais aussi dans le regard qu'ils peuvent porter à la fois sur le devenir de leurs élèves et sur la finalité de leur enseignement. Dans l'enseignement technique, en particulier, les exemples abondent : toute création de nouveaux diplômes ou de nouvelles filières est étroitement liée à l'évolution - réelle ou estimée - des emplois. Cela a été l'argument principal lors de la création des BEP et des IUT ; plus récemment, les baccalauréats professionnels prétendent répondre aux besoins d'emplois de niveau IV (techniciens) et compenser le faible nombre de titulaires de baccalauréats technologiques s'orientant vers l'emploi.

Cette détermination de l'éducation par l'"économique" n'est pas absolue et on peut montrer son indépendance relative, comment ses structures résistent et ses agents développent des stratégies autonomes. Un des exemples les plus manifestes en est la résistance victorieuse des classes de techniciens supérieurs (STS) alors qu'elles étaient appelées à disparaître avec la création des IUT. Le moindre coût des STS, les nouveaux pouvoirs de décision des régions en matière de formation professionnelle mais aussi la conjonction d'intérêts entre enseignants, chefs d'établissement attachés au prestige d'enseignements post-baccalauréat dans leur lycée et des employeurs soucieux, entre autre, de limiter les coûts de main d'œuvre sont quelques uns des phénomènes qui ont permis non seulement la survie mais le développement des STS.

Il est enfin possible d'apprécier l'influence inverse, plus particulièrement celle des effets de l'éducation sur l'emploi : l'élévation du niveau d'éducation des jeunes générations a ainsi des effets à la fois sur les comportements des employeurs en ce qu'elle peut modifier à la hausse leurs exigences d'embauche et sur les attentes des jeunes à l'égard du travail [OCDE, 1983].

D'une certaine manière, l'expression "relation formation-emploi" est relativement neutre en ce qu'elle ne préjuge ni du sens et de l'intensité de cette relation, ni de l'usage qui peut en être fait. Cela n'a pas été et n'est pas encore toujours le cas. Marquée du sceau d'un économisme de bon aloi, elle a, jusqu'au milieu des années 1970, été fréquemment remplacée par celle d'"adéquation" formation-emploi, définissant du même coup son usage et son "sens" : l'adaptation de la formation aux besoins d'emploi, ceux-ci déterminant celle-là. Pour l'essentiel, les limites de la planifica-tion et de la prospective en termes de besoins de main d'œuvre ont

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conduit à abandonner, à rejeter même, cette interprétation par trop sim-plificatrice; c'est un "modèle" qui ne fonctionne pas car, entre autres, il ne tient pas compte des stratégies des individus ou des entreprises. Sur le marché du travail, il y a d'autant plus de substituabilité que l'offre d'emploi est rare*

UN PREMIER ESSAI DE CLARIFICATION.

Si les études sur les relations formation-emploi servent encore, quoique de façon plus limitée, aux exercices de planification et aux travaux macro-économiques, ils n'en conservent pas moins tout leur intérêt pour l'actualisation des formations de l'enseignement technique par le biais des instances de concertation, CPC et autres. On assiste même à un regain d'intérêt de l'enseignement supérieur pour ces questions : le Ministère a institué, en 1991, une conférence nationale Formation-Emploi qui devrait avoir un rythme annuel et être une instance de concertation avec les représentants des employeurs sur les problèmes de prévision et d'ajustement des formations supérieures aux besoins d'emploi sectoriels. Nous l'avons dit d'emblée : ce type d'études ou de dispositifs nous semble d'une grande importance pour la compréhension des systèmes éducatifs; non seulement dans un cadre de planification ou de prospective de l'éducation et de l'emploi mais aussi dans ses effets induits, par l'émergence de comportements, d'une culture particulière aidant à mieux comprendre leurs interactions. Ainsi, il y a une bonne dizaine d'années, une certaine presse (mais aussi des partenaires plus éclairés) pouvait sans être démentie accuser l'université de "fabriquer des chômeurs". Ceci n'est plus possible; à tout le moins on est maintenant en mesure de pouvoir argumenter et démontrer que non seulement l'université ne fabrique pas que des chômeurs mais que le passage par l'université, assorti ou non d'une certification (d'un diplôme), aide à trouver un emploi (CHARLOT & POTTIER, 1987). Pour l'étudiant, l'investissement dans l'éducation est donc "rentable", pour parler comme les économistes. Il en est de même pour tous les niveaux ou filières d'enseignement: les conditions d'insertion professionnelle sont plus faciles après une année en STS qu'avec le seul baccalauréat F4, encore meilleures avec deux années même sans diplôme qu'avec une seule année, et bien sûr, plus encore, avec le diplôme. On a pu montrer aussi que le volume de l'offre d'emploi était à cet égard déterminant, quel que soit le diplôme ou la formation des élèves, et bien d'autres choses encore. En bref, il ne peut pas y avoir de définition univoque de la "mauvaise" ou de la "bonne" formation, plus ou moins "adaptée" à des emplois bien déterminés mais des comportements,

* L'usage de la notion d'"adéquation" perdure ici et là, en particulier dans quelques provinces ou pays en voie de développement toujours chargée du même sens, avec le même souci : quelles formations organiser pour satisfaire à la demande de qualifications. On peut être frappé de voir comment ce sont d'abord les agents de l'éducation (enseignants, conseillers d'orientation) qui ont le mieux intégré ce modèle et le maintiennent en vie alors même que le discours patronal s'en est détaché.

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des stratégies d'acteurs (les élèves, leurs familles, les employeurs publics ou privés) qui déterminent un usage social de la formation, beaucoup plus complexe (et riche de potentialités de recherche) que son seul usage "technique".

C'est dire, plus concrètement, que le travail le plus acharné puisse-t-il être de définition de référentiels de formation ne peut compenser l'étroitesse du marché du travail; plus encore, qu'en période de fort chômage une définition trop précise de ces référentiels, en rapport avec des emplois ou des métiers, risque de limiter d'autant les possibili tés de substitution des formations, à l'entrée sur le marché du travail.

Enfin, et ce peut être un apport non négligeable de la recherche aux politiques éducatives, les études formation-emploi ont pu mettre en évidence combien les inégalités sociales devant et dans l'école ne s'arrêtaient pas à son seuil mais perduraient lors de l'insertion professionnelle voire (en France du moins) tout au long de la "carrière".

UN DEUXIEME ESSAI DE CLARIFICATION.

On comprend ainsi mieux pourquoi l'étude des relations formation -emploi n'est en rien une aide pour l'enseignement - ou pour les enseignants. Certes la définition des programmes de l'enseignement technique ne peut se faire sans une connaissance - la plus grande possible - des qualifications et des conditions d'insertion professionnelle des jeunes mais tout cela est en perpétuelle et rapide évolution et la prospective, dans ces domaines, relève pour une part de la gageure: aucun employeur ne se risquera à préciser ses besoins d'emploi (en qualité et surtout en quantité) à un horizon au delà de deux ans: le temps de réponse de tout système éducatif est à l'évidence sans commune mesure. La connaissance acquise sur les relations formation - emploi ne peut donc servir que de cadrage général. Ce n'est en rien diminuer l'intérêt de ces études mais montrer leurs limites: qui nierait l'importance de ce genre de garde-fous ?

Ce qui est vrai de la conception des programmes l'est encore plus de l'activité de l'enseignant. Les résultats de toutes ces études ne l'aideront pas dans sa classe sauf à lui éviter la désespérance : il saura (ou devrait désormais savoir) qu'en particulier dans le contexte économique et social actuel il prépare moins ses élèves à un métier qu'à leur faciliter l'entrée dans la vie active ; que si les cours de comptabilité ne sont d'aucun usage immédiat pour le titulaire d'un BEP employé à garnir les gondoles d'un supermarché, son diplôme lui a certainement permis d'éviter la margina-lisation du chômage, ce qui est une garantie de conserver une probabilité non nulle d'exercer, ultérieurement, un emploi correspondant à sa forma-tion. Là encore ce sont - entre autres - des études formation- emploi qui ont montré combien il était réducteur de ne s'en tenir qu'à l'analyse des premiers emplois occupés par les jeunes issus du système scolaire en même temps que le caractère "déqualifiant",individuellement et

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sociale-ment, d'une période d'inactivité prolongée (GRAPIN & LAMOURE, 1979).

Un mot, enfin, sur les conseillers d'orientation (et sur cette fonction exercée de façon informelle par les enseignants). Les études formation -emploi, mal utilisées, ont pu faire beaucoup de mal (aux élèves); on a pu voir, assez fréquemment, leurs résultats pris au pied de la lettre par ces personnels, sans aucune distanciation ou pondération, disons d'une manière strictement techniciste. Il existe certes des spécialités de forma-tion à l'issue desquelles le risque de chômage est plus élevé qu'après d'autres mais est-ce suffisant pour conseiller l'orientation dans telle ou telle autre filière ? En réalité, les critères d'appréciation sont multiples et doivent se combiner, c'est la difficulté inhérente à la construction d'indicateurs dans ce domaine particulier. Fort heureusement, il semblerait que ces comportements relèvent pour l'essentiel d'une période révolue.

ET UNE CONCLUSION PROVISOIRE.

Tout cela esquisse ce qui pourrait être le bon usage des études formation-emploi, aussi bien par les enseignants que par les décideurs institu-tionnels. On ne peut qu'être frappé de la prégnance des modèles simples, de l'absence de mémoire collective dans ce domaine ou de la difficulté à la faire vivre. L'utopie qu'il puisse exister des instruments ou techniques fiables permettant de réguler les flux d'élèves en fonction des perspectives d'emploi semble avoir encore de beaux jours devant elle. On oublie trop souvent qu'il est plus difficile d'interpréter l'information que de la créer et que, si utile puisse-t-elle être à la décision, elle ne peut s'y substituer. Ceci vaut, nous semble-t-il, aussi bien pour les institutions que pour les individus.

Les études sur les relations formation-emploi ne sont pas immédiatement utilisables, non plus que dans les autres domaines de recherche. Leurs résultats peuvent, par contre, être un puissant moyen de réflexion par acquisition d'une... culture technique, par la compréhension des rapports, des liens de dépendance et d'interdépendance qu'entretiennent ces deux systèmes, plus justement : ces deux complexes.

Cela vaut également, nous semble-t-il, pour les élèves: on sait l'impor-tance que peuvent avoir leurs représentations du travail scolaire sur leurs comportements à son endroit et sur ses résultats: un bon usage de ces études ne serait-il pas de contribuer à les aider à préciser leurs représenta-tions à l'égard de leur future vie professionnelle et, partant, leur regard sur l'École ?

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REFERENCES

CHARLOT A. & POTTIER F. (1987). Les universités ne forment pas que des chômeurs. Projet, N° 205, 39-53

GRAPIN P. & LAMOURE J. (1979). Les premiers emplois : formation et expérience professionnelle. Insertion professionnelle des jeunes,

apparitions de nouvelles fonctions sociales. Paris : Association des

Ages.

GUILLON R. (1979). Enseignement et organisation du travail du

XIXème siècle à nos jours. Paris : La Documentation Française.

D'IRIBARNE A. (1986). L'insertion des jeunes dans la vie active : des problématiques de recherche qui restent à construire . In (sous la direction de) L. Tanguy, L'introuvable relation formation-emploi (pp. 89-101), Paris : La Documentation Française.

LAMOURE J. (1985). L'enseignant de l'école secondaire: un rôle déterminant dans les pratiques de l'information et de l'orientation.:

Colloque européen sur l'orientation universitaire. Paris : DESUP.

MAURICE M., SELLIER F., SILVESTRE J.J. (1982). Politique

d'éducation et organisation industrielle en France et en Allemagne. Essai d'analyse sociétale. Paris : PUF.

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