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Rapport d'activité de l'INRA 2014 - Volume 3

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Rapport d’activité de l’INRA 2014 - Volume 3

. Inra, Francois Houllier

To cite this version:

. Inra, Francois Houllier. Rapport d’activité de l’INRA 2014 - Volume 3 : Les femmes, les hommes,

les ressources. [Interne] 2015, 28 p. �hal-02794852�

(2)

RAPPORT ANNUEL

Les femmes, les hommes

& les ressources

(3)

Inra 2014

CHIFFRES CLÉS

2014

8 290 agents titulaires dont 50,7 % de femmes 1 840 chercheurs titulaires 2 552 stagiaires accueillis & 510 doctorants rémunérés

186 unités de recherche & 49 unités expérimentales

13 départements scientifiques

& 8 métaprogrammes

17

centres de recherche 360dont brevets en stock 67 nouveaux

14 nouvelles variétés

végétales & bases de données déposés27 nouveaux logiciels Budget exécuté : 880,71 M€

77,5 %

des moyens financiers perçus directement par les équipes de recherche

967 000 m

2

de surface utile brute

225

chercheurs, ingénieurs & techniciens recrutés

(4)

Inra 2014

SOMMAIRE

LES FEMMES & LES HOMMES

Interview de Fabrice Marty (directeur des ressources humaines)

LES MOYENS FINANCIERS

Interview de Claude Ronceray (directeur général délégué à l’appui à la recherche)

AMÉLIORER L’ATTRACTIVITÉ

& MODERNISER LA GESTION

Interview de Thierry Boujard (directeur d’unité adjoint de la direction des ressources humaines, Inra centre-siège)

L’ORGANISATION DE L’INSTITUT

Interview de Dominique Pontier (professeur à l’université Claude Bernard, Lyon1)

ÉDITO

Par Claude Ronceray (directeur général délégué à l’appui à la recherche)

6

8

16

28

(5)

Inra 2014

ÉDITO

E

n interaction forte avec son environnement, notre Institut vit des transformations profondes, de nombreux indices en témoignent dans cette livraison 2014 du rapport d’activité.

Côté ressources, la baisse de 5 M€ de la « subvention pour charges de service public » versée par l’État est plus que compensée par l’augmentation des ressources contractuelles, de 13 M€, notamment grâce aux bons résultats des équipes de l’Inra dans les appels à projets ANR et Investissements d’avenir.

Le premier poste des dépenses est la masse salariale, en légère hausse (0,67 %) du seul fait de la revalorisation nationale des catégories B et C. Dans une perspective globale d’érosion des effectifs, le nombre des chercheurs est stable, celui des ingénieurs continue à augmenter (+29), les effectifs de techniciens et agents de catégorieC baissent fortement (-92): le « repyramidage » des emplois de l’Inra est rapide, mais même à ce rythme la structure d’emploi de l’Institut reste durablement originale par rapport aux autres acteurs de la recherche publique, par la proportion importante de ses ingénieurs et techniciens, qui représentent 78 % de l’effectif titulaire. Le nombre des agents contractuels est désormais stabilisé dans l’établissement, et la politique de recrutement et d’accompagnement de ces agents a été explicitée, après avoir été discutée avec les représentants des personnels, notamment au comité technique.

L’établissement a pu maintenir son soutien aux unités de recherche, et son effort d’investissement

reste élevé afin d’achever plusieurs opérations immobilières, en cette dernière année des contrats de plan État-région. La livraison de la plus grosse opération de cette programmation pluriannuelle, les nouveaux locaux de Micalis à Jouy-en-Josas, en est une belle illustration. Dans ce contexte, les équipes d’appui et de soutien à la recherche font des efforts importants d’organisation et de modernisation. La stratégie en matière de systèmes d’information a ainsi franchi une étape importante, avec la livraison d’un premier Data Center, situé à Toulouse mais porteur de nouveaux services nationaux - hébergement de machines, stockage de données… - destinés en particulier à permettre aux unités de recherche d’accéder simplement et à moindre coût, à distance, à des moyens informatiques.

Cette stratégie vise également la réduction de notre facture énergétique et de nos émissions de gaz à effet de serre. À ce titre, la réduction souhaitée par le schéma directeur immobilier entre désormais dans les faits: la surface utile brute a été réduite de 24 400 m² en deux ans. L’ambition des équipes de gestion est d’aider à répondre durablement aux nouveaux défis de la science. Les tendances de la recherche (transversalité des enjeux, conditionnalité des financements, diversité et complexité des technologies et des compétences sollicitées) ont un impact direct sur les métiers de la gestion, dont la technicité est croissante. L’Inra veille notamment à inspirer la confiance des bailleurs de fonds, et souhaite parachever l’effort de mise en qualité des comptes par une certification explicite.

Préserver

la dimension humaine

Par Claude Ronceray,

directeur général délégué à l’appui à la recherche

(6)

Les femmes & les hommes

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

1

(7)

Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

LES FEMMES & LES HOMMES

Effectifs 2014

Au 31 décembre 2014,

l’Inra compte 8 290 agents titulaires rémunérés,

dont 4 201 femmes et 4 089 hommes, ce qui représente

8 031,3 équivalents temps plein (ETP).

Évolution des effectifs titulaires rémunérés au 31 décembre

(source DRH – AD-CG)

CHERCHEURS ET DIRECTION INGÉNIEURS TECHNICIENS TOTAL

Effectifs de féminisation*Taux Effectifs de féminisation*Taux Effectifs de féminisation*Taux Effectifs de féminisation*Taux 2007 1 828 40,6 % 2 427 47,9 % 4 249 51,3 % 8 504 48,0 % 2008 1 820 41,6 % 2 462 48,7 % 4 108 51,7 % 8 390 48,6 % 2009 1 839 42,6 % 2 572 49,7 % 4 121 52 % 8 532 49,2 % 2010 1 837 43,5 % 2 590 50 % 4 061 52,1 % 8 488 49,6 % 2011 1 830 44 % 2 640 50,2 % 4 008 51,8 % 8 478 49,6 % 2012 1 834 45 % 2 628 50 % 3 955 52,1 % 8 417 50,1 % 2013 1 843 45,6 % 2 615 51,3 % 3 898 52,5 % 8 356 50,6 % 2014 1 840 45,6 % 2 644 51,4 % 3 806 52,6 % 8 290 50,7 % * Le taux de féminisation est le rapport du nombre de femmes à l’effectif total.

Au cours de cette même année, l’Inra a accueilli 2 552 stagiaires, et rémunéré 510 doctorants,

25 jeunes scientifiques pré-docs, 11 pré-docs étrangers et 30 post-docs étrangers.

50,7%

49,3%

8 290

agents titulaires

rémunérés

4 201

femmes

4 089

hommes

8 031,3

équivalents temps plein

(ETP)

1 873

contractuels doctorants rémunérés

510

11

pré-docs étrangers

30

post-docs étrangers

25

jeunes scientifiques pré-docs

8 290

Répartition de l’âge des agents titulaires rémunérés selon le genre

et la catégorie de la fonction publique au 31 décembre 2014

Catégorie A Femmes Catégories B et C Femmes Catégorie A Hommes Catégories B et C Hommes 160 120 80 40 0 40 80 120 160 21 23 25 27 29 31 33 35 37 39 41 43 45 47 49 51 53 55 57 59 61 63 65 67 1

Taux de féminisation des fonctions hiérarchiques et du Conseil scientifique

(décembre 2014)

Conseil scientifique

44%

Président de centre

33%

Directeur d’unité

25%

Chef de département

31%

(8)

13

Inra 2014

12

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

LES FEMMES & LES HOMMES

L’Inra a marqué sa volonté de poursuivre sa politique

d’emploi en offrant 225 profils de chercheurs,

d’ingénieurs, de cadres et de techniciens aux concours

externes 2014

Le taux légal d’emploi des travailleurs en situation de

handicap dépassé pour la seconde année consécutive

Ces concours ont regroupé 89 profils de chercheurs et 136 profils d’ingénieurs, de cadres et de techniciens. Avec 643 candidatures pour 39 profils de chargés de recherche de 2e classe, le taux de pression est de 16,5 (moyenne de candidatures par profil). Pour favoriser cette attractivité, l’effort particulier réalisé en 2013 vers l’international a été poursuivi pour une meilleure lisibilité et compréhension du site web des concours par la traduction des profils en langue anglaise ; ce qui a contribué cette année à développer le nombre de candidatures étrangères, notamment chez les chercheurs de 2e classe (41 % des candidatures). Les concours d’ingénieurs, de cadres et de techniciens ont rassemblé 3 955 candidatures pour 136 profils, le taux de pression est de 29 (moyenne des candidatures par profil), soit une hausse de 5 points par rapport à 2013. Des actions de communications ciblées ont été entreprises pour favoriser cet accroissement de viviers de candidatures et ces efforts ont porté leurs fruits sur l’ensemble des corps dans la mesure où les taux de pression ont augmenté dans chacun d’eux avec une très forte percée dans le corps des ingénieurs d’études (taux de pression en augmentation de 13 points).

L’Inra a poursuivi le déploiement de sa politique handicap (recrutement, maintien dans l’emploi, sensibilisation, formation, lien contractuel avec les structures des associations du monde du handicap…) et a atteint pour la seconde année consécutive l’obligation légale posée en faveur de l’inclusion des personnes handicapées. En 2014, l’Inra affiche un taux légal d’emploi de 6,68 % (et un taux direct de 6,05 %). La direction générale, soucieuse de poursuivre ses actions, a souhaité faire auditer sa politique handicap.

Quelles ont été les grandes dates de l’année dans le cadre de la politique RH de l’Institut ?

Présents au quotidien aux côtés des agents et à chaque étape de leur vie professionnelle, les acteurs de la fonction ressources humaines, que ce soit dans les centres, les départements ou au siège, se sont mobilisés pour mettre en œuvre la note de cadrage de la fonction ressources humaines (FRH). Le plan d’action s’est ainsi déployé, pour partie, au cours de l’année 2014 et des actions concrètes multiples en ont découlé : poursuite de la réflexion collective sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) et conception de son utilisation opérationnelle dans la gestion des parcours, évolution du management avec notamment la mise en place d’un compagnonnage des directeurs d’unité, lancement opérationnel de la refonte du cadre de gestion

de nos collègues contractuels, candidature au label HR Excellence sur l’ensemble formé par la note de cadrage

et le plan d’action, lancement de l’audit sur notre politique handicap, accord sur le plan d’action « RPS » (risques psychosociaux), initiation de la réflexion collective sur l’animation de la fonction juridique à l’Inra... Tout ceci a été possible grâce à la mobilisation de tous.

Quels sont les objectifs de la FRH pour les années à venir ?

L’an prochain, la mise en œuvre se poursuivra sur certaines actions, et la réflexion nouvelle sur d’autres. La FRH est donc en ordre de marche vers des objectifs connus et partagés : la déclinaison en termes RH de la politique scientifique de l’Inra, la refonte de ses processus afin d’améliorer leur performance et la qualité de service, et la gestion des motivations et des conditions de vie au travail pour les agents et les collectifs.

Fabrice MARTY

Inra centre-siège Directeur des ressources humaines

La FRH est donc en

ordre de marche vers

des objectifs connus

et partagés

« La fonction ressources

humaines (FRH) en action »

(9)

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources Inra 2014

Le « compagnonnage »

des directeurs d’unité

Ce projet est né d’un besoin d’accompagnement formulé par les nouveaux

directeurs d’unité lors de leur prise de poste, mais a aussi été souligné

lors des assises de la recherche.

Après une phase d’études et d’échanges, tant internes qu’externes, ce nouveau dispositif a vu le jour à l’automne 2014. Cet accompagnement individuel est disponible pour tout directeur d’unité (de recherche, expérimentale, de service ou d’appui) de l’Institut.

Il consiste à appuyer des directeurs d’unité : en préparation de la prise de poste (en complément de leur formation), durant le mandat (besoin ou situation particulière), en préparation de l’après-mandat.

Les modèles extérieurs explorés ont conduit à retenir la consultance interne par des pairs (compréhension de la situation et des réalités, légitimité) comme l’option la plus adaptée. Un premier groupe d’ex-directeurs d’unité a ainsi été constitué. Intéressés et volontaires, ils ont suivi une formation spécifique à la posture (respect de la bonne distance) et adaptée à cette fonction de consultant interne. Une lettre de mission précise les modalités d’exercice de ce « compagnonnage », la déontologie (confidentialité et indépendance) et les engagements.

Vers un cadre rénové

de la gestion des contractuels

L’année 2014 a permis de valoriser le travail collectif engagé en 2013 : validation et diffusion de la charte des contractuels en janvier 2014, note de service examinée favorablement en comité technique en juin, synthèse sur la rénovation de l’arbitrage des moyens et guide de gestion réalisé dans le second semestre 2014. Ces divers éléments mettent en œuvre la politique de transparence et d’accompagnement décidée par la direction générale de l’Institut, conscient des compétences essentielles des contractuels et de leur importance stratégique. Un contrat uniformisé a été conçu, ainsi que les modalités d’un passeport de compétence, prévu comme un sésame pour le monde du travail externe à l’Institut. Ont été également approfondis les aménagements spécifiques à apporter à la politique sociale de l’Institut, à l’offre de formation, à l’orientation professionnelle.

Charte des principes d’organisation

de l’Inra : un document pour tous,

un repère pour chacun

Dans un souci d’amélioration des capacités de projection stratégiques, de la

réactivité, de la cohésion, et des performances de l’Inra, la nouvelle charte

des principes d’organisation de l’Inra, élaborée en 2014, s’efforce de rénover

et d’expliciter l’organisation et le partage des responsabilités dans l’Institut.

La charte expose à chacun - quel que soit son métier, sa structure d’appartenance ou son corps - les valeurs managériales et les repères partagés qui rythment ses activités et sa trajectoire au sein de la communauté Inra et dans ses relations avec les partenaires. Les questions traitées, de par leur complexité, traversent fréquemment les frontières des disciplines et des structures de l’Inra. Cela nécessite aussi une clarification de notre organisation en ce qui concerne les fonctions de programmation, d’animation, d’appui, d’encadrement hiérarchique ou fonctionnel, ainsi que du rôle de chacun et des circuits de l’information et de la décision : c’est là l’objet de la présente charte.

Les logiques de territoires et de sites se sont renforcées. Cela nécessite donc de réaffirmer le caractère national de la mission de l’Inra, qui est une opportunité au profit des territoires et des sites.

La mixité institutionnelle des structures, infrastructures, dispositifs et collectifs s’est

significativement accrue. Le mouvement d’accrétion d’unités de grande taille, tout en maintenant dans notre portefeuille des unités de taille nettement plus petite, induit une hétérogénéité dans leurs forces et leurs fragilités, dans leurs besoins et leur gouvernance.

Enfin, certaines fonctions stratégiques sont accomplies par des agences indépendantes des établissements. C’est le cas du financement incitatif d’une partie de la recherche et de l’évaluation des collectifs. Le pilotage stratégique de l’Institut passe donc par l’élaboration et l’explicitation à l’échelle de l’Inra et de chaque département d’une stratégie scientifique de moyen terme, hiérarchisée, priorisée, outillée, et déclinée territorialement, qui fournit à chacun un cap partagé.

LES FEMMES & LES HOMMES

(10)

Les moyens financiers

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

2

(11)

Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

Le budget 2014 de l’établissement s’est inscrit dans

un contexte national de redressement des comptes

publics. Le projet de loi de finances pour 2014 réaffirmait

l’objectif d’un retour à l’équilibre structurel des finances

publiques avant la fin de la législature, conformément

à la trajectoire présentée dans la loi de programmation

des finances publiques. Dans ce cadre, l’organisme

a poursuivi les efforts engagés dans les exercices

précédents pour moderniser son fonctionnement

et conforter pour l’avenir une stratégie durable de

financement des moyens de la recherche.

Il s’inscrit dans la démarche d’optimisation des fonctions

supports et d’accroissement des services rendus

à la communauté de l’établissement.

2

LES MOYENS FINANCIERS

Exécution budgétaire

2014

L’exécution budgétaire se caractérise par un volume de crédits ouverts élevé, et des taux d’exécution en recettes et en dépenses améliorés. Les recettes perçues ont été en croissance de 0,5 % (878 M€) et les dépenses exécutées (881 M€) se sont établies à un niveau nettement supérieur à celui de 2013 (+ 9 M€ soit + 1,0 %). Ce bon taux d’exécution se traduit par un montant de crédits disponibles en fin d’exercice sensiblement inférieur à celui observé en 2013 : 65 M€ contre près de 69 M€ l’année précédente, soit environ -6 %.

L’exercice dégage au final un résultat budgétaire négatif (-3,10 M€).

L’établissement avait fait le choix dans son budget initial de prioriser certains axes :

maintenir la masse salariale par rapport à 2013 avec une campagne de recrutement assurant le remplacement des départs à la retraite prévus, privilégiant l’emploi scientifique, maintenant les taux de promotion interne et modulant le recours aux contractuels ;

préserver le niveau des investissements en priorisant l’achèvement des constructions et réhabilitations immobilières prévues dans les contrats de plan État-région et en poursuivant l’effort de requalification des infrastructures informatiques afin de répondre au besoin grandissant en matière de bases de données scientifiques ;

adapter les moyens de fonctionnement de l’établissement, notamment des fonctions de gestion, et dans une moindre mesure les moyens de fonctionnement des unités de recherche, afin de garantir une action efficace et économe de la science et de son appui.

Le budget 2014 a été exécuté en respectant les priorités affichées.

L’évolution des recettes et des dépenses depuis 2010

(en millions d’Euros)

Recettes Dépenses

802,27

Résultat

-17,61M€

819,88

2010

841,86

Résultat

+4,28M€

837,58

2011

834,09

Résultat

-3,09M€

837,18

2012

873,53

Résultat

+1,44M€

+0,5%

+1%

872,12

2013

877,61

Résultat

-3,10M€

880,71

2014

2013/2014

Évolution

(12)

20

21

Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

2

Recettes réalisées

(en millions d’Euros)

Dépenses réalisées

(en millions d’Euros)

Évolution et répartition

des différents postes de recettes

et de dépenses réalisées

877,61

M€

2014

64,15 143,13 670,34

Subventions pour charges de service public Ressources contractuelles Autres ressources propres

873,53

M€

2013

67,81 130,44 675,31

Évolution

2013/2014

-0,74%

+9,73%

-5,40%

Total

+0,46%

880,71

M€

2014

39,76 158,36 682,58 Activités conduites par les UR et les UE Soutien et support Investissement programmé

872,12

M€

2013

39,19 156,61 676,32

Évolution

2013/2014

+0,93%

+1,12%

+1,46%

Total

+0,98%

Évolution de la masse salariale et recrutements

La croissance de la masse salariale en 2014 s’explique par des mesures générales : la révision de la grille indiciaire des catégories B et C, le poids de l’indemnité de garantie individuelle du pouvoir d’achat (Gipa) qui concerne les personnels en fin de carrière, et la hausse des dépenses de charges de l’employeur.

Les effectifs autorisés de l’établissement ont été de 8 695 équivalents temps plein travaillés (ETPT), pour une programmation de 8 728 ETPT. La campagne de concours de chercheurs et d’ingénieurs et de techniciens se trouve bien réalisée avec toutefois quelques prises de fonction différées sur 2015 pour les concours de chargés de recherche. L’Inra a pu aussi poursuivre le plan de revalorisation des emplois de catégorie C s’adressant aux agents techniques. Les crédits ouverts ont permis de financer le rachat CET et la mesure d’indemnité de départ volontaire.

La masse salariale a crû de 0,7 % en 2014, du fait de l’amélioration de la grille indiciaire

des agents des catégories B et C dans l’ensemble de la fonction publique.

Les recrutements et promotions ont été stables par rapport aux années précédentes.

Priorité aux unités de recherche

Cela est rendu possible par la combinaison du soutien sur subvention et de l’apport sur les ressources propres, dont les contrats de recherche. La capacité d’achat et d’équipement (hors rémunérations) des unités de recherche et d’expérimentation a crû en 2014. Les unités opérationnelles ont vu leurs dépenses directes augmenter de 1,9 %, ce qui confirme une priorité vérifiable. Ainsi a été mis en œuvre par arbitrage budgétaire un soutien dédié au financement des dispositifs qu’ils soient technologiques (plateformes) ou agronomiques (unités expérimentales). Par ailleurs, le soutien aux grands programmes scientifiques, et notamment le déploiement des huit métaprogrammes, qui se situent à un niveau stratégique pour l’établissement et se construisent à partir de ses priorités scientifiques, s’est poursuivi.

Chaque métaprogramme mobilise et finance des équipes de recherche et des actions qui relèvent de plusieurs départements, et incite à la prise en compte des thématiques transverses à ces départements et définies comme prioritaires par l’Institut.

Pour ce qui concerne les autres charges de fonctionnement et d’investissement

non programmé, les moyens destinés au bon fonctionnement des unités de recherche

ont été préservés.

(13)

Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

2

Professionnalisation de l’achat :

un chantier qui progresse

LES MOYENS FINANCIERS

L’Inra poursuit une démarche volontaire de professionnalisation

et d’optimisation de son activité d’achat.

Cette démarche repose en premier lieu sur la mutualisation d’achats stratégiques avec d’autres acteurs de la recherche publique à des fins de rationalisation économique et technique des achats. Cette démarche se poursuit également avec les acteurs de l’État : le service des achats de l’État et l’Ugap. La future professionnalisation des achats passera également par le déploiement de moyens mis à la disposition des agents de l’Inra pour sécuriser, faciliter et moderniser les processus : catalogues électroniques en ligne, cartes d’achats et logées, outil de commande en ligne...

Ainsi, un effort particulier a été mené pour renforcer la dématérialisation au sein des processus métier et faciliter les échanges collaboratifs ou la relation aux fournisseurs.

Une cartographie des achats a été initiée afin d’améliorer la performance de l’Établissement sur les trois volets de la sécurité juridique, des gains économiques et de la prise en compte du développement durable. L’optimisation des achats de l’Inra se traduit enfin par un accompagnement au quotidien des agents concernés par cette activité, et notamment par la diffusion en intranet auprès de tous les agents Inra d’informations sur les achats et marchés (portail achat) et l’organisation de formations générales et spécifiques auprès des différentes populations concernées par l’achat (responsables achats de centre, directeurs et gestionnaires d’unité, chargés de mission en développement durable...).

Vers une meilleure maîtrise

des risques financiers et comptables

L’objectif est d’analyser, de décrire et de hiérarchiser les risques de l’activité financière et comptable, tout en définissant des plans d’action destinés à améliorer la performance. Le contrôle interne budgétaire, financier et comptable, vecteur d’amélioration et de sécurisation de la qualité de l’information produite, est en cours d’approfondissement aux différents niveaux de l’Institut (établissement, centre, unité). Le référentiel de contrôle interne budgétaire, financier et comptable doit permettre de sécuriser les chaînes de travail mais également de contribuer à l’optimisation et à l’harmonisation des processus et des pratiques. Afin de rénover et d’optimiser les fonctions supports au service des finalités de l’Institut, l’établissement s’est fixé trois grands objectifs qui découlent notamment d’éléments de contexte :

Les travaux menés en 2014 ont poursuivi la démarche de structuration du contrôle interne

financier et comptable de l’établissement, engagée depuis l’exercice 2011.

optimiser et adapter les processus de gestion financière de l’Inra aux nouvelles réglementations externes (gestion budgétaire et comptable publique (GBCP), gestion des achats...) ou aux nouvelles exigences de pilotage et de gestion (gestion des projets, comptabilité analytique, restitution de gestion ou de pilotage, intégration des données des partenaires... ;

optimiser les services actuels rendus par le système d’information et développer de nouveaux services orientés vers l’ensemble des utilisateurs potentiels. Cet objectif d’optimisation et d’accroissement du périmètre des services rendus ne concerne pas que le système d’information financier, mais l’ensemble du système d’information de gestion ;

faciliter l’utilisation du système d’information et optimiser son ergonomie.

Phase de finalisation immobilière

dans le cadre du CPER

Le programme d’investissement a été très nettement accéléré en matière de travaux immobiliers : le budget global affecté aux opérations immobilières, 29,12 M€ en 2014, a permis d’entrer en phase de finalisation d’un programme de constructions dans le cadre des contrats de plan État-Région où l’Inra porte avec l’État 40 opérations en cours dont la plupart concourent à une rationalisation du parc immobilier engagée dans le cadre du schéma pluriannuel (supra).

Des constructions importantes, tels Fabelor à Nancy, Micalis à Jouy-en-Josas, le pôle horticulture intégré d’Avignon, sont terminées ou en voie de livraison. Au total, les crédits de paiement annuels ouverts pour l’ensemble des opérations ont été efficacement consommés (93,6 % contre 44,0 % en 2009).

(14)

24

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources Inra 2014

25

2

Schéma pluriannuel de stratégie

immobilière, bilan 2014

LES MOYENS FINANCIERS

Le schéma pluriannuel de stratégie immobilière (SPSI) de l’Inra :

des objectifs ambitieux de réduction et d’amélioration de l’emprise bâtie,

qui font l’objet d’un suivi précis.

L’Inra a réalisé son premier SPSI en 2010, pour la période 2011-2015, et ses orientations ont été approuvées lors du Conseil d’administration du 21 octobre 2011. Avec, en 2012, plus de 130 implantations principales, près de 9 600 ha exploités et 2 200 bâtiments occupés pour 991000 m² de surface utile brute, le patrimoine immobilier de l’Inra est l’un des plus importants parmi les opérateurs publics. Il représente le cadre de travail et de vie des agents de l’Institut et est également ouvert à de nombreux partenaires, qui sollicitent en particulier ses installations expérimentales, lesquelles représentent 54 % des surfaces bâties. Ce patrimoine entraîne des coûts de fonctionnement importants, son taux de vétusté est élevé, sa mise aux normes est indispensable et il doit être adapté aux nouvelles façons de faire de la recherche. Aussi l’engagement principal de l’Inra dans le cadre de son SPSI est de réduire de 10 % ses surfaces bâties de 2011 à 2015 soit un objectif de 1 000 000 m² de surface hors œuvre nette, et de 901100 m² de surface utile brute.

Compte tenu des enjeux, un plan d’action de la fonction immobilière est en préparation. Outre l’amélioration du système d’information et de décision sur les opérations immobilières, il vise à inciter les présidents de centre à rechercher activement les moyens de réaliser les opérations de restructuration nécessaires, y compris en réalisant des cessions.

L’ état de réalisation projeté fin 2014 est encourageant

Indicateurs fixés par France Domaine

Données physiques

2012 2013 2014

Nombre de bâtiments occupés 2 199 2 169 2 114

dont biens propres 1 900 1 880 1 856

dont biens domaniaux 81 81 79

dont prises à bail 99 88 59

dont autres mises à disposition

(ex. : collectivités territoriales) 119 120 120

Surface totale occupée (m² - SUB) 991 337 984 158 966 933

dont biens propres 802 892 797 274 791 916

dont biens domaniaux 39 166 39 166 42 698

dont prises à bail 41 769 39 984 29 285

dont autres mises à disposition

(ex. : collectivités territoriales) 107 510 107 734 103 035

Une projection pour la fin du schéma peut être proposée en analysant les cessions,

déconstructions et constructions prévues entre 2014 et 2015

Cession Déconstruction Total Construction Delta SHON Delta SUB

Bureaux-Labos 14 668 6 628 21 296 10 457 -10 839 -8 996,37

Collectif 5 357 2 237 7 594 720 -6 874 -5 911,64

EXP animales 12 814 21 833 34 647 13 635 -21 012 -1 9961,4

EXP végétales 512 3 996 4 508 8 388 3 880 3 686

Total 33 351 34 694 68 045 33 200 -34 845 -31 183,41

Avec ces éléments, l’évolution de la surface construite à l’Inra deviendrait

en fin de plan

2011 2012 2013 2014 2015 1 050 000 1 000 000 950 000 900 000 850 000 800 000

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Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

2

L’Inra obtient le prix des délais

de paiement

LES MOYENS FINANCIERS

Le 2 juin, à Paris, s’est tenue la première édition des prix des délais

de paiement. L’Inra y a été distingué.

Médiatiser la thématique des délais de paiement, c’est l’objectif principal de la création des prix des délais de paiement, qui visent à récompenser entreprises et organisations adoptant des pratiques vertueuses dans ce domaine. Les premiers ont été remis le 2 juin au ministère de l’Économie, sous l’égide de Jean-Hervé Lorenzi, président de l’Observatoire des délais de paiement. Un évènement qui devrait être reconduit chaque année. En 2014, deux sociétés, une collectivité territoriale et l’Inra ont été récompensés :

Que représente cette distinction pour l’Inra ?

C’est un bel hommage à une stratégie, un réseau, une équipe. À une démarche entamée il y a plusieurs années. Dans un organisme de recherche finalisée comme l’Inra, qui vise à ce que cette recherche se diffuse vers un réseau d’entreprises de taille petite ou intermédiaire, ou encore d’agriculteurs isolés, l’activité de recherche est

très fortement dépendante de toute une chaîne d’acteurs. Cela commence dans les amphithéâtres, les lycées, les universités et les écoles et se poursuit sur des paillasses ou dans des dispositifs au champ, et jusque dans l’entreprise.

L’ensemble des acteurs de cette chaîne contribuent à la création de la valeur. Nous sommes, et nous en avons conscience, dépendants de cette chaîne de la valeur ajoutée, qui doit s’appuyer sur des valeurs partagées. L’Inra s’inscrit dans une action responsable dont la qualité de la relation avec ses fournisseurs fait partie.

Qu’est-ce qui fait la particularité de l’organisation de l’Institut ?

L’organisation de l’Inra est extrêmement décentralisée, nous sommes présents sur plus de 200 sites : la direction financière et des affaires générales (Difag) et l’Agence comptable principale animent ensemble un réseau de services financiers et comptables en région, réseau qui se poursuit et se réticule vers chacune de nos 148 unités de recherche propres ou mixtes. C’est l’ensemble de ce réseau qui prend en charge l’objectif, qui est de payer à 20 jours nos fournisseurs.

Quels moyens, quels outils permettent la réalisation de cet objectif ?

Nous avons été parmi les premiers opérateurs publics à investir très

fortement dans les systèmes d’information, dans la qualité des données et pas seulement des logiciels. Si aujourd’hui l’Inra paye bien ses fournisseurs - mais aussi ses salariés-, c’est parce que l’investissement a été et reste fort pour mobiliser l’information nécessaire au pilotage, aux différentes échelles de l’établissement. Claude RONCERAY

Inra centre-siège Directeur général délégué à l’appui à la recherche

Cette stratégie s’appuie

sur une organisation

extrêmement

décentralisée

Respecter l’ensemble

de la chaîne d’achat

prix PME : Sealock, fabricant de colles industrielles, 23 salariés, Pas-de-Calais

prix grande entreprise / ETI : GDF-Suez, fournisseur d’énergie, 147 200 collaborateurs

prix organisme public : Institut national de recherche agronomique, 8 478 salariés

prix territoire : Conseil général de la Vendée.

Claude Ronceray, 4e en partant de la gauche, entouré des lauréats des prix des délais de paiement.

© C

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Améliorer l’attractivité

& moderniser la gestion

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

3

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Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

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Un gage d’attractivité

internationale

AMÉLIORER L’ATTRACTIVITÉ ET MODERNISER LA GESTION

L’adhésion de l’Inra à la charte européenne du chercheur traduit son engagement à afficher

en toute transparence ses priorités d’action en ressources humaines (RH), notamment

en termes d’ouverture de sa politique de recrutement et de développement de carrière,

de politique sociale et d’environnement de la recherche.

L’Inra est le seul organisme français de recherche à avoir obtenu le logo « HR Excellence in Research » attribué en 2010 par la Commission européenne, signe d’une reconnaissance de la Commission quant à la politique RH menée à l’égard des chercheurs.

L’Inra, 33

e

dans le top 100 des employeurs

préférés des ingénieurs

Pour la quatrième année consécutive, l’Inra figure parmi les employeurs les plus attractifs en France pour les étudiants. C’est ce que révèle l’édition Ingénieurs du classement des top employeurs 2014 de l’Institut Trendence. Le classement top employeurs est élaboré à partir des résultats d’une étude annuelle, le baromètre étudiants, réalisée auprès de 20 000 futurs managers et ingénieurs français. Les résultats 2014 sont marqués par un bond dans le classement des organisations du secteur public. L’Inra progresse ainsi de la 68e place en 2013 au 33e rang des employeurs les plus convoités par les 11 000 futurs ingénieurs interrogés. Cela reflète l’importance du critère de la sécurité de l’emploi dans les recherches d’emploi des étudiants d’une part, et l’amélioration de la communication des organisations du secteur public pour faire davantage connaître leur métier, d’autre part. De manière générale, l’étude indique que les missions intéressantes, les possibilités d’évolution de carrières restent les critères de choix les plus importants lorsque les étudiants choisissent leurs futurs employeurs. L’ambiance de travail devient par ailleurs de plus en plus importante chez les futurs diplômés.

Ancrage international des projets de formation

L’internationalisation de l’établissement est l’un des enjeux majeurs de l’Inra pour les cinq ans à venir. C’est en effet à l’échelle mondiale que s’acquiert la reconnaissance scientifique, que se jouent les enjeux des recherches de l’Inra (alimentation, changement climatique, biodiversité...) et que se mettent en place des lieux politiques où se discutent ces problèmes, mobilisant un éclairage scientifique. C’est pourquoi l’équipe FormaSciences-FPN (formation permanente nationale) encourage tous les porteurs de projets de formations à s’interroger systématiquement sur la pertinence de l’ouverture de leur action à l’international tant pour les participants que pour les intervenants, voire même pour les membres des comités d’organisation des actions. C’est ainsi qu’une première école internationale a été élaborée en appui du métaprogramme SMaCH (gestion durable de la santé des cultures). Elle s’est déroulée en Italie début 2014 et a réuni des intervenants et des participants majoritairement étrangers.

Des méthodes pédagogiques innovantes

Déployer de nouvelles modalités d’apprentissage, renforcer l’accès à la formation, diffuser largement les savoirs... Depuis trois ans, la formation permanente de l’Inra est engagée dans le déploiement de ressources et dispositifs de formation en e-learning. Cette démarche se concrétise par une gamme d’actions et de supports numériques, dont la plateforme de téléformation. Accessible à tous les agents de l’Inra, elle permet de diffuser des ressources multimédia et dispositifs de formation dans différents domaines : sciences, informatique, prévention, gestion... Une illustration emblématique de ce développement est celle concernant l’université virtuelle en agroécologie, discipline prioritaire inscrite dans le contrat d’objectifs 2010-2020 de l’Inra.

Thierry BOUJARD

Inra centre-siège Directeur d’unité adjoint de la direction des ressources humaines

Quelle démarche depuis l’obtention du logo ?

Au cours de ces quatre années, l’Inra s’est attaché, à travers deux plans d’action successifs, à énoncer ses objectifs RH et à rendre compte de leur réalisation : améliorer notre capacité de recrutement et d’évaluation des compétences des candidats ; renforcer notre attractivité, y compris à l’égard des personnels non permanents ; conforter la politique menée en matière de santé, de sécurité et d’environnement sont quelques-uns des objectifs réalisés.

Quel regard d’ensemble porté par la Commission européenne ?

L’année 2014 a été celle de l’évaluation par la Commission européenne de notre démarche menée depuis l’obtention du logo en 2010. Tout l’enjeu était de voir renouvelée la reconnaissance de la Commission obtenue en 2010 et d’asseoir ainsi notre place au sein du paysage européen de la recherche, y compris pour notre

politique RH. Défi relevé avec un retour très positif de la part de la Commission européenne et des encouragements à

poursuivre notre politique en RH qui s’appuie désormais sur des objectifs renouvelés et un nouveau cadre stratégique.

La démarche HRS4R : quels bénéfices pour l’Inra et ses chercheurs ?

La démarche engagée nous a donné de nouveaux points de repères et nous a permis d’améliorer la visibilité d’ensemble de notre politique RH pour les chercheurs. Des réformes profondes ont été conduites qui, intégrées

Asseoir notre place

au sein du paysage

européen de la

recherche

à la démarche, constituent le socle de notre plan d’action RH.

Quelles perspectives ?

Le processus proposé par la Commission européenne a vocation à se poursuivre, chaque étape se répétant dans une logique d’amélioration continue : auto-évaluation en 2016, évaluation externe en 2018. À l’avenir  : des

objectifs stratégiques renouvelés en matière de politique RH pour les chercheurs, et affichés

via un nouveau plan

d’action qui a vocation à concerner l’ensemble des personnels de l’Inra, toutes catégories confondues. Ainsi, la note de cadrage stratégique de la fonction RH pour la période 2013-2017, associée à un plan d’action, serviront désormais de point d’ancrage de la politique menée en RH et seront la référence de notre politique en matière de ressources humaines auprès de la Commission européenne.

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33

Inra 2014

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Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

3

AMÉLIORER L’ATTRACTIVITÉ ET MODERNISER LA GESTION

Sécurisation des services

d’informations stratégiques

L’Inauguration en 2014 du Data center national Francis Sevila est une action

prioritaire du schéma directeur des systèmes d’information.

La réalisation du programme d’investissement pour l’informatique scientifique, avec la construction du premier Data center de l’Institut, à Toulouse, constitue une étape importante de déploiement d’une offre de service informatique puissante et agile, adaptée aux projets et aux besoins de la recherche opérée par les acteurs et partenaires de l’Inra. Le projet de Data center national F. Sevila est l’un des succès de l’année, officiellement inauguré le 5 juin 2014. Les enjeux majeurs auront été de sécuriser les systèmes d’information (SI) Inra en hébergeant les SI stratégiques existant dans les unités de recherche, de relever le défi du déluge de données et de déployer l’offre nationale de services collectifs (IAAS, PAAS ) sur ce premier Data center, de mutualiser et d’optimiser les ressources et d’assurer l’éco-responsabilité et de minorer l’empreinte carbone de l’Inra.

Une première offre de services de stockage à la demande et de base de données a également été déployée sur une architecture multilocalisée en mode cluster. Les projets se poursuivront sur l’année 2015 pour l’ensemble des catégories de services collectifs et notamment pour la mise en œuvre du second Data center national.

Indicateurs clefs :

360 m2 de superficie

32 baies d’hébergement

capacité : 500 serveurs, 3 PO de données soit 9 M€ d’équipements

3 M€ de bâtiments

redondance des infrastructures électriques et climatiques

contrôle d’accès

labellisé COC : label éco-responsable délivré par l’Union européenne

Free cooling

efficacité énergétique : PUE = 1,4

Orientation professionnelle, nouvelle formule

Les conseillers en orientation professionnelle ont accompagné plus de 600 agents par an sur ces trois dernières années. Pour les agents titulaires, ces demandes sont en grande majorité des souhaits d’évolution professionnelle, de mobilité, de repositionnement, mais également des demandes suite à des problèmes de santé et/ou des souhaits de reconversion. Les demandes d’accompagnement liées à des modifications d’organisation d’un collectif (réorganisation/fusion/fermeture d’unité) sont en augmentation. Les agents contractuels sollicitent l’aide des conseillers dans le cadre de leur recherche d’emploi dans la perspective de leur fin de contrat. En complément des entretiens de face à face et de la mise en œuvre des bilans de compétences (32 bilans réalisés en 2014), le service orientation professionnelle a développé et déployé des sessions collectives (initiation à la notion de trajectoire professionnelle, savoir analyser son activité professionnelle ou analyser l’ensemble de son expérience professionnelle) soit 13 sessions en 2014 avec 110 participants. Par ailleurs, les interventions des conseillers en orientation professionnelle se sont développées autour d’actions discutées au sein des réunions des missions RH de centres. Outre le signe d’une bonne intégration des conseillers aux côtés des autres acteurs RH, cette complémentarité des actions et des compétences des acteurs mobilisés lors d’accompagnement de situations individuelles ou collectives, permet d’accroître significativement l’efficience de la résolution de ces situations.

Un meilleur accès au logement

pour les nouveaux recrutés

Depuis 2012, l’Inra s’engage à faciliter l’accès au logement des nouveaux recrutés, en prenant en charge la prime du contrat d’assurance de « Garantie des risques locatifs », pour tout bailleur acceptant de loger l’un de ses agents dans le parc privé. En 2014, ce dispositif de prise en charge a été ouvert à un public plus large et notamment aux attachés scientifiques contractuels, aux chercheurs contractuels, aux CDD sur emplois permanents ou encore aux personnels sur convention de recherche.

Dans le but d’accompagner le plus grand nombre d’agents, le service d’orientation

professionnelle a diversifié ses modalités d’intervention.

Jean-Michel PEREZ-CANO

Inra centre-siège

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Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

Un manuel pour la politique

santé-sécurité-environnement

Les activités de recherche et d’expérimentation de l’Inra ainsi que d’appui à la recherche peuvent être génératrices de risques pour les personnes, l’environnement et les biens. L’Institut, ayant la responsabilité de maîtriser ces risques et leurs impacts, a renouvelé sa politique santé, sécurité, environnement (SSE) dans l’objectif de supprimer ou de limiter la survenue des phénomènes dangereux, leur gravité et leurs conséquences. La démarche de prévention à l’Inra inclut la sécurité des personnes, la protection de l’environnement et des biens tout en répondant à plusieurs enjeux sur le plan humain, social, environnemental, économique et juridique. Ces enjeux intègrent l’obligation morale en matière de sécurité, de préservation de la santé, de qualité de vie au travail et de protection de l’environnement, renforçant ainsi le dialogue social et la cohésion des équipes. Au-delà de répondre aux obligations réglementaires, la maîtrise des risques concourt à la performance de la recherche et à l’image de marque de l’Institut. Un manuel SSE a été élaboré en 2014 et sera diffusé auprès des agents avec pour objectif de permettre l’appropriation, par les personnels, de la politique SSE de l’Institut, et de faciliter sa mise en œuvre. Il présente l’organisation en place afin de satisfaire aux exigences que l’Institut se fixe en matière de SSE.

3

AMÉLIORER L’ATTRACTIVITÉ ET MODERNISER LA GESTION

Compte-rendu d’exécution 2014

du contrat d’objectifs

Concernant le « grain » département, le nouveau cycle d’évaluation des 13 départements initié fin 2012 s’est poursuivi en 2014, avec les évaluations du département Santé animale qui a donné lieu à un avis du Conseil scientifique (CS) de l’Institut lors de sa séance des 23-24 mai) et des départements Environnement et agronomie, Santé des plantes et environnement (dont les conclusions ont été présentées au CS des 13-14 novembre 2014 ). Les évaluations des départements Physiologie animale et systèmes d’élevage, Génétique animale et Biologie et amélioration des plantes ont été réalisées entre décembre 2014 et le premier trimestre 2015. Ces évaluations de département visent en premier lieu à disposer d’un regard externe sur leur productivité et leur positionnement national et international et à recueillir un avis sur la mise en œuvre des schémas stratégiques de département. Elles permettent aussi d’examiner la valeur ajoutée des départements dans la définition et la déclinaison de la politique scientifique de l’Institut par rapport à la somme des unités qui les composent. Les principaux enseignements de ce cycle d’évaluations seront discutés dans le cadre de la préparation de l’évaluation de l’Institut prévue en 2015.

L’évaluation scientifique joue un rôle déterminant dans le pilotage stratégique

de la recherche. Elle doit permettre à l’établissement de vérifier que les orientations

définies sur la période 2010-2020 sont mises en œuvre.

L’Inra préserve sa politique d’action sociale

En 2014, l’État a dû suspendre certaines prestations d’action sociale ou tranche d’intervention pour des raisons d’économie budgétaire. L’Institut a décidé de maintenir la tranche supérieure des Cesu « garde d’enfants de moins de six ans » ainsi que l’aide à l’installation des personnels (AIP). Pour répondre à un nouveau besoin, le montant attribué dans le cadre des Cesu a été majoré de 20 % s’agissant des agents en situation monoparentale (parents isolés).

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L’organisation de l’Institut

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

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Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

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Forte mobilisation

pour les élections professionnelles

L’ORGANISATION DE L’INSTITUT

Les personnels de l’Inra se distinguent par une forte participation au scrutin du 4 décembre dernier destiné

à renouveler les instances de concertation locales, nationales ou ministérielles. En effet, 59,94 % des agents

en fonction au sein de l’établissement ont participé aux élections pour le Comité technique ministériel, et 59,80 %

pour le renouvellement du Comité technique de l’Inra. Pour le renouvellement des CAPN, 64,40 % d’agents

ont participé au scrutin et 31,59 % de personnels contractuels ont donné leur voix pour le renouvellement

de la Commission consultative paritaire (CCP) des agents contractuels.

Élection des représentants du personnel aux Commissions administratives paritaires

(CAPN) des chercheurs, des ingénieurs et des techniciens (IT)

Élection des représentants du personnel à la Commission consultative paritaire

des agents contractuels de l’Inra

Élection des représentants du personnel au Comité technique de l’Inra

Nombre d’électeurs inscrits : 8 410

Nombre d’électeurs votants : 5 416

Taux de participation général (tous centres confondus) : 64,40 %

Nombre d’électeurs inscrits : 1 456

Nombre d’électeurs votants : 460

Taux de participation général (tous centres confondus) : 31,59 %

Nombre de sièges de représentants titulaires à pourvoir : 10

Nombre d’électeurs inscrits : 9 784

Nombre d’électeurs votants : 5 851

Taux de participation général (tous centres confondus) : 59,80 %

Collège des chercheurs

Nombre de sièges de représentants titulaires à pourvoir : 2

Collège des ITA

Nombre de sièges de représentants titulaires à pourvoir : 3

Suffrages obtenus par chaque organisation syndicale

Bulletins nuls : 163 Bulletins blancs : 77 Suffrages exprimés : 5 176 Bulletins nuls : 117 Bulletins blancs : 89 Suffrages exprimés : 5 645

CAPN participationTaux de Electeurs inscrits Suffrages exprimés Voix/SiègesCGT-INRA Voix/SiègesCFTC-INRA SUD-Re. EPSTVoix/Sièges CFDT-INRAVoix/Sièges

DR 55,57 % 763 346 84 1 # 0 65 0 197 3 CR 53,28 % 1083 561 163 1 77 0 96 1 225 2 IR 64,66 % 798 504 120 1 100 1 82 0 202 2 IE 62,47 % 986 602 183 1 102 1 101 0 216 2 AI 70,96 % 885 605 168 1 105 0 105 0 227 1 TR 70,24 % 2752 1861 657 3 256 1 344 1 604 2 AT 64,04 % 1143 697 294 2 95 0 103 1 205 1 Total 64,40% 8410 5176 1669 10 735 3 896 3 1876 13

Pourcentage par rapport aux suffrages exprimés 32,24 % 14,20 % 17,31 % 36,24 %

CGT - INRA CFTC -I NRA SUD-Recherche

EPST - INRA CFDT - INRA

Nombre total de voix obtenues par chaque liste 1 764 831 1 025 2 025

% par rapport aux suffrages exprimés 31,25 % 14,72 % 18,16 % 35,87 %

Nombre total de sièges obtenus 3 1 2 4

Organisations syndicales candidates CGT - INRA CFTC -I NRA SUD-Recherche EPST - INRA CFDT - INRA

Nombre total de voix obtenues par chaque liste 43 14 24 21

% par rapport aux suffrages exprimés 42,16 % 13,73 % 23,53 % 20,59 %

Nombre total de sièges obtenus 1 0 1 0

Organisations syndicales candidates CGT - INRA CFTC -INRA SUD-Recherche EPST - INRA CFDT - INRA

Nombre total de voix obtenues par chaque liste 126 50 75 78

% par rapport aux suffrages exprimés 38,30 % 15,20 % 22,80 % 23,71 %

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Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

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L’ORGANISATION DE L’INSTITUT

Élection des représentants du personnel du Comité technique ministériel de l’enseignement

supérieur et de la recherche (CTMESR)

Nombre d’électeurs inscrits : 9 784

Nombre d’électeurs votants : 5 865

Taux de participation général (tous centres confondus) : 59,94 %

Résultats pour l’Inra

Bulletins nuls : 26

Bulletins blancs : 137

Suffrages exprimés : 5 702

Choix Voix obtenues % des suffrages valablement exprimés

1 Liste Fonctions Publiques - CGC 213 3,74 %

2 Liste Sgen-CFDT 1 659 29,10 %

3 Liste SNALC, SPLEN-SUP (FGAF) 31 0,54 %

4 Liste SUPAUTONOME-FO, SNPREES-FO, FNEC-FP-FO 81 1,42 %

5 Liste SPEG 30 0,53 %

6 Liste UNSA Education 43 0,75 %

7 Liste CFTC-EPR 903 15,84 %

8 Liste SNPTES 48 0,84 %

9 Liste FSU 61 1,07 %

10 Liste SA GES et SNAPAI (FAEN) 10 0,18 %

11 Liste SUD EDUCATION et SUD RECHERCHE EPST 1 003 17,59 %

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Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

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Fin de mandature

pour le Conseil scientifique

L’ORGANISATION DE L’INSTITUT

Le Conseil scientifique de l’Inra a tenu en novembre la dernière réunion

de la mandature actuelle.

Au cours de ces quatre années, il s’est réuni à 16 reprises pour débattre de différents sujets concernant la vie scientifique de l’organisme, dont 4 fois dans des centres de province (Clermont-Theix, Montpellier, Dijon, Avignon). Un part significative de ses travaux concerne des activités à caractère institutionnel, donnant lieu à des « avis » officiels du Conseil scientifique (CS).

En plus de ces avis institutionnels, le Conseil scientifique s’est « auto-saisi » de plusieurs sujets sur : les objectifs de l’évaluation des départements, le rôle du Conseil dans ce processus, et la non brevetabilité des plantes. Deux rapports de prospective ont été produits et adoptés par le CS, à l’issue de travaux menés au sein de groupes de travail spécifiques : le premier sur la gestion et le partage des données scientifiques à l’Inra (dans le contexte des « Big data ») et le second sur les impacts des stratégies de protection intellectuelle dans la recherche sur le végétal.

De nombreuses questions scientifiques, prospectives ou organisationnelles ont été débattues au CS : prospective DuALIne (Durabilité de l’alimentation face à de nouveaux enjeux, Questions à la recherche) ; Wheat initiative (initiative internationale sur le blé, lancée suite au G20 agricole de 2011) ; projet Asirpa (analyse socio-économique des impacts de la recherche publique agronomique)  ; chantiers scientifiques interdisciplinaires relatifs à l’agroécologie et à la biologie prédictive  ; orientation des recherches relatives à la bioéconomie ; édition scientifique ; prospective Agrimonde-Terra ; projets du programme Investissements d’avenir ; alliances nationales de recherche ; prime d’excellence scientifique ; infrastructures de recherche et unités expérimentales ; charte de déontologie...

Le Conseil scientifique a également adopté 7 motions à l’initiative de ses membres élus :

sur le budget de l’Inra, sur la loi ESR du 22 juillet 2013 et sur la loi d’avenir pour l’agriculture de 2014, sur les publications scientifiques et sur la prime d’excellence scientifique.

À titre personnel, que retiendrez-vous de cette mandature 2011-2014 ?

Je pense avoir apporté un autre regard sur le fonctionnement de l’Institut que si j’avais été un membre de l’Inra. Et inversement, à titre personnel, j’en ai tiré des bénéfices : la nouveauté et la richesse des débats liés à la diversité des personnalités présentes

et des sujets abordés. Cela m’a permis de voir différemment ma propre institution de recherche.

Le contexte d’un institut finalisé offre aussi l’opportunité de voir fonctionner l’interdisciplinarité, ce qui m’a amenée à mieux structurer ma réflexion et ma pratique dans ce domaine.

Les questions posées et les débats étaient très ouverts. Tout cela est probablement la conséquence de la manière dont la présidence a été assurée, garantissant un véritable fonctionnement démocratique où l’opinion de chacun a été prise en compte.

Le changement de personnalité du président s’est accompagné d’évolutions dans la forme mais pas dans le fond des débats. Leur qualité a toujours été excellente. Les deux mandatures m’ont laissé une bonne empreinte scientifique. Le temps investi était loin d’être perdu.

Vous avez produit un rapport sur le partage des données durant ce mandat. Vous pouvez nous en décrire les principales conclusions ?

L’un des intérêts majeurs de ce travail est d’avoir eu plusieurs approches scientifiques et techniques bien sûr, et aussi un point de vue juridique. Ce rapport nous a permis d’évaluer la grande diversité des démarches et des besoins, diversité qu’il me semble souhaitable de maintenir. Au terme de son analyse, le groupe de travail a proposé neuf recommandations : 1) Définir la politique de l’établissement et la communiquer.

2) Mettre en place un comité d’évaluation des données produites par l’Inra. 3) S’impliquer dans les comités internationaux de standardisation. 4) Développer un portail d’accès à un ensemble de ressources distribuées.

5) Prendre en compte le cycle de vie des données dès l’élaboration des projets de recherche. 6) Définir un cahier des charges pour les plateformes.

7) Doter l’Inra d’infrastructures dimensionnées pour les stockages et les calculs hautes performances. 8) S’engager dans une politique de gestion des compétences répondant aux besoins en émergence. 9) Conduire une réflexion inter-organismes pour promouvoir une politique nationale et locale en matière de gestion et de partage de données. Dominique PONTIER

Professeur, université Claude Bernard - Lyon 1

UMR CNRS, laboratoire de Biométrie et biologie évolutive

L’opportunité

de voir fonctionner

l’interdisciplinarité

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Inra 2014

Rapport annuel Les femmes, les hommes & les ressources

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Composition du nouveau

Conseil scientifique

Mandat : 4 ans à compter du 29 décembre 2014

PRÉSIDENT

Frédéric DARDEL

Président de l’université Paris V - Descartes

MEMBRES DE DROIT

François HOULLIER

Inra, président-directeur général

Olivier LE GALL

Inra, directeur général délégué aux affaires scientifiques Ministère de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt

Mireille RIOU-CANALS

Directrice générale de l’enseignement et de la recherche Ministère chargé de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche

Simone BONNAFOUS

Directrice générale pour l’enseignement supérieur et l’insertion professionnelle

Ministère chargé de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche

Roger GENET

Directeur général pour la recherche et l’innovation

MEMBRES NOMMÉS

Frédéric DARDEL

Président du Conseil scientifique Université Paris V-Descartes

Hélène BARBIER-BRYGOO

Directrice de l’Institut des sciences du végétal

Daniel BARTHELEMY

Directeur scientifique du département Bios du Cirad

Nosha BENHAJEL-BOUJEMAA

Directrice du centre de recherche Inria-Saclay

Dominique BUREAU

Délégué général

Conseil économique pour le développement durable

Thomas HIRTH

Fraunhofer-Institut für Grenzflächen- und Bioverfahrenstechnik

Krotoum KONATE

Directrice

Institut technique de l’agriculture biologique

Philippe LECOUVEY

Directeur général de l’Acta

Annick MERCENIER

Group leader Nestlé Research Centre

Marie-Laure NAVAS

Directrice déléguée aux formations et à la politique scientifique Montpellier AgroSup

Gilles PINAY

Université de Rennes 1 Ecobio - Osur Campus de Beaulieu

John R. PORTER

Professeur

Department of Agriculture and Ecology - Faculty of Life Sciences University of Copenhagen

Marie-Hélène SANIEZ-DEGRAVE

Directrice nutrition Groupe Roquette

MEMBRES ÉLUS

Secteur 1 : Environnement et agronomie, écologie des forêts, prairies et milieux aquatiques

Philippe ROZENBERG

Amélioration, génétique et physiologie forestières Inra Val de Loire

Jean-Louis DURAND

Écophysiologie des plantes fourragères Inra Poitou-Charentes

Secteur 2 : Santé des plantes et environnement

Didier ANDRIVON

Institut de génétique, environnement et protection des plantes

Inra Rennes

Thierry CANDRESSE

Biologie du fruit et pathologie Inra Bordeaux-Aquitaine

Secteur 3 : Génétique et amélioration des plantes ; Biologie végétale ; Groupe d’étude et de contrôle des variétés et des semences

Taline ELMAYAN

Institut Jean-Pierre Bourgin Inra Versailles-Grignon

Denis LECLERCQ

Fourrages environnement ruminants Inra Poitou-Charentes

Secteur 4 : Caractérisation et élaboration des produits issus de l’agriculture

Jean-Michel SALMON

Sciences pour l’œnologie Inra Montpellier

Véronique PLANCHOT

Biopolymères, Interactions Assemblages Inra Angers-Nantes

Secteur 5 : Physiologie animale et systèmes d’élevage

Juliette SALVAING

Biologie du développement et reproduction Inra Jouy-en-Josas

Joëlle DUPONT

Physiologie de la reproduction et des comportements Inra Val de Loire

Secteur 6 : Santé animale, Génétique animale

Isabelle OSWALD

Toxicologie alimentaire Inra Toulouse Midi-Pyrénées

Claire ROGEL- GAILLARD

Génétique animale et biologie intégrative Inra Jouy-en Josas

Secteur 7 : Alimentation humaine, microbiologie et chaîne alimentaire

Laurent FERRIER

Toxicologie alimentaire Inra Toulouse Midi-Pyrénées

Isabelle DENIS

Neurobiologie de l’olfaction Inra Jouy-en-Josas

Secteur 8 : Sciences sociales, agriculture et alimentation, espace et environnement ;Mathématiques et informatique appliquées ; Sciences pour l’action et le développement

Vincent MARTINET

Économie publique Inra Versailles-Grignon

Muriel TICHIT

Sciences pour l’action et le développement : activités, produits, territoires

Inra Versailles-Grignon

Secteur 9 : Services d’appui à la recherche ; Administration centrale ; Documentation et publications ; Informatique

Nicolas MAURIN

Délégation à l’évaluation Inra centre-siège

Yves FOLL

Services déconcentrés d’appui à la recherche Inra Paca

OBSERVATEURS SYNDICAUX

CFDT - Inra Jamila ANBA-MONDOLINI Jamila.Anba@jouy.inra.fr CFTC - Inra Thierry MAGALLON Thierry.Magallon@tours.inra.fr CGT - Inra Hendrik DAVI hendrik.davi@avignon.inra.fr SUD-RECHERCHE EPST Isabelle GOLDRINGER isabelle.goldringer@moulon.inra.fr

Suppléant : Jean-François HUMBERT

Humbert@biologie.ens.fr

Références

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