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“Une semaine - une ville”. À la recherche d’une expressivité de l’urbain

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Academic year: 2021

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Submitted on 12 Jun 2020

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“Une semaine - une ville”. À la recherche d’une

expressivité de l’urbain

Laurent Devisme

To cite this version:

Laurent Devisme. “Une semaine - une ville”. À la recherche d’une expressivité de l’urbain. Lieux Communs - Les Cahiers du LAUA, LAUA (Langages, Actions Urbaines, Altérités - Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nantes), 2009, L’altérité, entre condition urbaine et condition du monde, pp.179-185. �hal-02866738�

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“Une semaine - une ville”. À la recherche d’une expressivité de l’urbain Laurent Devisme

Lieux Communs n° 12 (2009), P. 179-185

Portrait de soi déplacé tout autant que portrait rapporté et fragmentaire d’une ville située, “une semaine - une ville” est un protocole de test de l’écriture in situ, de la description ramassée de ce qui s’observe dans une ville non familière. Au gré d’une opportunité, du réseau d’untel nous conviant à, de l’accompagnement d’un collègue sur son projet de recherche, on saisit l’occasion de se déplacer en s’obligeant à une certaine réflexivité quant à la ville saillante que l’on parcourt. C’est une traversée plus qu’un arpentage, motivée par le pari que la ville qui se donne à voir “à tout le monde”, au

quotidien, par ses espaces publics, est susceptible de nous en apprendre sur la condition urbaine, qu’en somme le titre “les grandes villes et la vie de l’esprit” du texte du début du XXe siècle de G. Simmel reste un programme de recherche d’actualité, questionnant évidemment toujours les capacités du passant sans rôle manifeste, qu’est le chercheur en cette occasion, à restituer des éléments de

connaissance, enchâssés dans des percepts et affects1. L’enjeu est ici de faire monter, modestement et sans gommer le caractère proliférant de tout florilège, un premier rangement issu d’un ensemble de captures photographiques.

Florilège

Miami, ce n’est pas rien et les connotations affluent d’emblée : Miami vice, deux flics à Miami, le parc de Disney, les gated communities… On rangerait facilement la ville en compagnie de “Beverly Hills” à Los Angeles et Las Vegas en Arizona, des toponymes à forte charge symbolique autant que des géotypes. Mais cela pourrait aussi commencer par des vues aériennes produites par Alex Mac Lean au-dessus de Palm beach ou de Miami, témoignant de séries de maisons avec piscines, ou bien encore sous la bannière d’une brève livrée par le Monde (en l’occurrence l’édition du 13 Février 2009) : “MIAMI. Un homme de 51 ans a été exécuté par injection, mercredi 11 Février, en Floride pour le viol et le meurtre d’une jeune fille de 15 ans en 1983. Un total de 66 condamnés à mort ont été

exécutés en Floride depuis le rétablissement de la peine de mort dans l’Etat, en 1979.” (AFP). Du côté de la science des villes, retenons de Miami qu’elle est la ville du tourisme mondial, que sa

démographie dépend principalement de la force de l’immigration depuis les Caraïbes, que c’est enfin la ville postmoderne archétypale. Entre condition urbaine et condition du monde, nous y sommes. On l’a compris, nous avons tendance à partir “chargé” à Miami. Pour ma part, cela dit, je n’ai pu voir aucun épisode de la fameuse série Les experts : Miami avant mon départ2mais suis en revanche parti

1 On peut se référer à la restitution d’une recherche de cet ordre via les Relations de voyage à Montpellier d’É.

Pasquier et É. Volpe (2002). Quant au carnet de bord ici ramassé, il constitue la trame d’un rapport de recherche disponible au LAUA.

2 De retour, l’analyse de quelques bandes annonces des différentes saisons de la série est loin d’être

inintéressante. Outre de retrouver chaque fois les “décors” des piscines, du marais des Everglades et du skyline de Miami Beach, les intrigues instaurent plus ou moins des vérités Miamiesques dont celle annoncée en voix off au début de « Dangerous son” (6ème saison) : “In Miami, nothing stays the same, nothing is off limits, nothing can protect you from the son”. cf. http://www.lesexpertsmiami.fr/home.php?page=video601

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avec quelques textes d’ordre sociologique et géographique et les réflexions qui les accompagnent. Notamment ce texte de Jan Nijman interrogeant Miami comme ville paradigmatique succédant à Los Angeles, rien que ça. La ville émergente, descriptible, témoigne-t-elle d’une telle hypothèse ? Brossons-en un tableau, non pas à la manière dont on brosse ses chaussures car Miami brille déjà, mais plutôt dans l’idée de préparer une problématique pour la ville, qui assurément raterait son objectif si elle n’intégrait pas cette vérité selon laquelle “l’imaginaire, ce n’est pas l’irréel, mais

l’indiscernabilité du réel et de l’irréel” (Deleuze, 1972-1990, p.93).

Examinons, pour carottage principal, le registre photographique. Environ 200 photos ont été ramenées, sous forme numérique, prises chaque jour tantôt par moi-piéton, cycliste, automobiliste ou encore usager de transports en commun : variation de l’unité véhiculaire mais avec peu ou prou la même conscience visuelle à l’œuvre (le même moi ? Peut-être mais un soi toujours situé donc toujours un peu différent).

Matières à photographier, matières à penser ?

Des véhicules justement, on trouve des voitures de police en action qui barrent une route en travers – signe du caractère caïd du chauffeur (“Miami vice” obviously) – préalable à une scène d’arrestation (qui d’emblée me renvoie à “eviction struggle” du photographe Jeff Wall), un bus scolaire, un camion de déménagement dans une banlieue résidentielle, des quatre quatre en pagaille et autres hummers, limousine break (répondant au nom de “king of diamonds”), l’inner loop sur son monorail desservant le CBD sur fond de bateaux de croisière, un hors-bord “thriller” à quai dans “Miamarina”, un camion transportant des plantes, un père Noel embroché par un pare-choc, un passage à niveaux, un camion 33 tonnes coca cola, un camion de pompiers Miami dade fire rescue, une chevrolet sur une pelouse, un bus désaffecté pour le transport de touristes dans les Everglades, des airboats pour naviguer dans les marais.

Du côté des formes édifiées, plusieurs signes de désaffection dont il m’est difficile de saisir la part liée à la crise des subprimes3 : des bâtiments souvent abandonnés (l’hôtel “campanile”) ou qui n’ont visiblement pas trouvé preneur depuis quelques temps, des condominiums à vendre, bureaux à louer, en même temps que d’étroites parcelles de terrain proposées à la vente (avec droits à construire jusqu’à 6 étages est-il mentionné sur une pancarte), deux ou trois maisons visiblement squattées sans atteindre à l’intégrité du voisinage, un immeuble de Franck Gehry en cours de construction dans le cadre du city center redevelopment project. Sans oublier les bâtiments à l’architecture “streamline”, hôtels sur Ocean Drive mais aussi ailleurs, hôtels “Delano”, “Marseille” tous chargés d’une people-histoire, des contrastes typologiques entre pavillons et tours de logements et de bureaux, une ruelle glauque à quelques encablures de la promenade principale, l’immeuble de la bank of america, le motel San Juan, des bâtiments arabisants d’un quartier Nord vaguement utopique dans les années 20 – “Opa Locka”, le Sunset Place, centre commercial de l’époque “new urbanism”.

Dans le registre des activités et des humains, on repère l’intérieur d’un dépanneur hispanique dans lequel on trouve aussi bien de la boulangerie que des cartes postales, palmiers, bouées et autres produits de première nécessité ; une boulangerie “Paul” (so frenchie) ; la sainte Bible de l’hôtel accompagnée des prix proposés pour l’american breakfast, un lavomatique de plein air dans le quartier cubain, la librairie Mapou dans le quartier Haïtien jouxtant l’annonce d’Unitransfer de Unibank Haïti

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(“transferts d’argent et de nourriture”), des courts de tennis en série sur le campus de la Florida International University, un prédicateur dans le même lieu, blouson de motard et annonces moralistes (“read the bible, god will judge you”) détourné par un étudiant à ses côtés montrant au public son carnet (“robots need love too” “jesus vs hercules” “my hands are cold”), des talons aiguilles suspendus à un fil électrique, un cab attendant un passager à la sortie d’une exposition de la foire d’art

contemporain, un autre prédicateur sur Ocean drive, solitaire et bien matinal, à quelques mètres d’une installation de Kawamata, un bateau de plaisance coulé dans une marina, un rangement à étages de bateaux, l’équipement d’un petit parc témoignage d’un moment communautaire des années 1970, une fête gaie sur la plage, des hommes et femmes à la rue, ma collègue avec deux post-diplômes (dont l’une m’avait d’emblée laissé sa carte : “artist and writer”, que demander d’autre ?), un cadre endormi dans un bus, une femme avec chiens en laisse enrubannés de drapeaux américains ;la forêt brûlée sur the edge et, toujours à la lisière de la ville, de nouveaux lotissements, des installations domestiques de Noël disproportionnées, un casino indien rempli de retraités game addict (le “MikkoSukkee bingo and gaming”).

La ville saillante laisse la part belle à la ville des signes. Il y a d’abord la signalétique normative du rivage : no bikes, no rollerskates, no alcohol, no skateboards, no animals ; les joggeurs disciplinés dans le même lieu, qui se doublent selon le code de la route. Mais on trouve aussi la signalétique agressive dissuadant les intrusions dans les propriétés privées : annonces de neighborhood watch program, pancartes “bad dog no trespassing” “trespassing is a crime – violators will be prosecuted” et autres “zero tolerance area” (je resonge aux analyses implacables de Loïc Wacquant sur l’exportation du concept de “tolérance zéro”). Mais aussi un vigile de plage avec son i-phone et, vers Opa-Locka, une consigne “anti pantalons larges portés sous la ceinture”. Mais encore : une église le long d’un mail nous annonçant que “god is still speaking” (jouxtant un bâtiment de la chambre de commerce), le mannequin de spider man, des “Obama Biden” affichées ostensiblement sur quelques pelouses privées de même que des supporters de Tomas Regalado, candidat au Miami county, les drapeaux des 50 Etats couvrant le toit d’un centre commercial, l’effigie de Mac Donald remisée avec des bennes à ordures, la doctrine de la Rubell Family : “we only show art we own”, le Martin Luther King business center, un récupérateur-répérateur annonçant qu’il achète de l’or (mais à qui donc ? ), une installation de pots d’échappement, des plans de ville, ceux de Miami en construction, ceux d’une utopie panaméricaine exposée, une gigantesque publicité pour Stella artois, le bar “fan club de l’équipe de France” à proximité de Cocowalk et son emblème du flamand rose, une exposition “thoughts on democracy” au wolfsonian museum mettant en scène un certain BHL, un petit avion tirant la banderole “I’m the best in the west” imputée à un certain Patrick Mimran…

Miami est sous les tropiques et le chercheur est bousculé à l’occasion par l’œil touristique qui lui fait capter des éléments naturels inconnus en climat tempéré : une présence vigoureuse de bananiers, un écureuil dans un palmier, des arbres aux racines proéminentes, un criquet sur un trottoir, la nature puissante dans coral gables, un paon et dans les everglades, bien sûr, des crocodiles…

En croisant cet ensemble fourmillant avec le journal de bord, dégageons quelques thématiques de ce croisement simmelien évoqué de prime abord.

Seen from the window

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A l’image de ce que suggère la série photographique de Beat Streuli dans ce numéro, Miami se saisit d’abord derrière des vitres, celles des voitures, celles de buildings panoramiques, celles du metro circulaire, l’inner loop, qui me rappelle une unité véhiculaire du même genre desservant les docklands à Londres et qui passe au-dessus de the isle of dog, celles de l’hôtel dans lequel je loge bien sûr. C’est vrai que l’expérience touristique va de pair avec cet esprit panoramique (Bossé, 2008), aussi Miami intègre-t-elle dans sa conception même, un regard d’ensemble, comme ce que suggère le site Internet de la ville : “Miami, where worlds meet”, certes, mais de préférence avec un certain contrôle. De manière figurée, les vitres ce sont aussi les verres déformants de cette presse livrée chaque matin devant la porte de chambre. Miami Herald contient tous les jours de nombreux suppléments dont “el nuevo Herald”, on parle il est vrai autant espagnol ici qu’anglais. Les autres morceaux de cette presse fondée en 1903 : “metro and state”, “sur de la florida”, “tropical life”, “business”, “sport”.

Les vitres, ce sont aussi celles protectrices de la Chrysler de location qui nous fait avaler des kilomètres de la “banlieue” miamiesque, à partir desquelles on photographie à l’aise, presque en paparazzo parfois.

Air conditioning

Image 3926

Il est vrai que les propos de Koolhaas sur la ville générique coïncident assez bien avec certaines réalités observables. Miami Beach est en quelque sorte un vaste paquebot de croisière resté à quai. “Au cours de la matinée, je fais un tour à Bayside Market, “miamarina” depuis laquelle on aperçoit les bateaux de croisière et yachts. Le ciel est laiteux ; on aurait la nausée, entre la vision des bâtiments de la royal caribbean cruises et les boutiques et restau de la marina.” (carnet de bord). Le campus de la FIU – Florida International University - est à plus d’une demi-heure de voiture de down-town et, là aussi, le conditionnement est frappant. “Il y a quelque chose de surréaliste sur ce campus. Chaque discipline y occupe une “case” ; sur les bords, le bruit constant des voitures ; une profusion de terrains de sport. Et au milieu une petite galerie marchande. La FIU y tient un magasin avec toutes sortes de produits dérivés (tee-shirts, bates de base ball…). Sans oublier un musée flambant neuf. Mais qui vient là ?” (idem).

Eccentricities Image 3905

Le moment de ma visite tient à l’accompagnement d’Emmanuelle qui revient dans ces lieux au moment de LA foire d’art contemporain, la “art basel”. Cette temporalité a des conséquences quant à l’observation de la richesse exhibée. Lors de telle ou telle inauguration d’exposition, c’est un peu le Paris Match planétaire qui se dévoile, avec le cortège nécessaire d’amateurs d’arts, de collectionneurs et plus largement de ceux qui aiment “se rincer l’œil”, quitte à se moquer éperdument de tel ou tel “moment” de l’art contemporain (à l’été 2009, la visite de la série photographique “Luxury” de Martin Parr et Caroline Cartier à Arles est tout-à-fait la tonalité qui correspond à ces choses vues). Sur South Beach, deux jeunes femmes s’apprêtent à jeter à la benne le catalogue d’ensemble, trop lourd à traîner pour leur soirée qui ne fait que commencer, elles me le donnent bien volontiers. Le soir, les extérieurs des hôtels bourdonnent, entre musique techno, concerts véritables, cocktail et champagne. On me dit pourtant que la crise financière est palpable, les journaux s’inquiètent quelque peu de la fortune de cette édition de la foire… Les corps sont très présents, corps refaits de femmes rutilantes, corps

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exhibés d’homosexuels paradant dans une enceinte payante sur la plage un dimanche après-midi : quelles règles pour ce parc humain ? Cela contribue de manière forte à l’impression théâtrale. Jeux, provocations, séductions. Mais les excentricités ne sont pas réservées à ces espaces, que dire en effet de ces installations de noël chez des particuliers dans la banlieue, qui dissimuleraient presque les pavillons ? Ou bien telle femme promenant ses chiens drapés aux couleurs de l’Amérique ? Ou encore un quasi abîme civilisationnel au casino à la lisière de la ville (car il y a bien une lisière à Miami, avant les Evergaldes, à l’Ouest de la ville) géré par des indiens et dans lequel de jeunes retraités viennent tenter la chance à défaut d’avoir pu tabler sur les hedge funds ?

Under control

Image 3902

C’est d’abord la gestion des populations en transit à l’aéroport qui revient à un contrôle strict. On nous prévient dans l’avion puis on laisse photo et empreintes digitales à l’entrée sur le territoire – les terroristes du 11 Septembre 2001 n’étaient-ils pas entrés par cette porte ? Les voitures de police sur la plage témoignent aussi d’une volonté de contrôle. Ceux qui sont à la rue et dorment en bord de rivage, à l’arrière des hôtels de South beach, se comptent par dizaine et la police est là, dès l’aube, pour reprendre et tenir les lieux : permettre aux joggeurs leur activité matinale en diminuant les risques de dé troussage. La police veille aussi au bon déroulement des excentricités convenues que sont les vernissages et fêtes du même acabit. Afin de maintenir l’air conditionné spécifique du vernissage, il faut tenir à l’écart les déviants et marginaux qui, aux abords, reluquent, fulminent, échafaudent quelques autres scenarii.

Ces propositions thématiques, anglicisées comme il se doit lorsque l’on est amené à penser d’abord anglais dans un pays anglophone, sont seulement des amorces de ce qui relève plus globalement d’une herméneutique de la surface. Elles relèvent toutes de la question de la transformation de l’expérience dans l’univers d’une métropole. Dans l’objectif de rendre expressif l’urbain contemporain, elles sollicitent nos capacités descriptives et narratives. Le protocole “une semaine – une ville” n’a probablement pas d’autre but que d’aiguiser cette sollicitation.

Références bibliographiques

AUGUSTIN, J-P., 2004, “Miami, tourisme et fragmentation ethnique” in Urbanisme n°339 BOSSÉ, A., 2008, “Panoramic, what a spirit” in Lieux communs n°11, pp 25-42.

CHEVRIER, J-F., 2006, Jeff Wall, Paris, Hazan

DEAR, M., FLUSTY, S., 1998, “Postmodern urbanism”, in Annals of the association of american geographers, vol 88, n°1, pp50-72.

DELEUZE, G., 1972-1990, Pourparlers, Paris, Minuit MAC LEAN, A., 2003, L’arpenteur du ciel, Paris, Textuel

NIJMAN, J., 2000, “The paradigmatic city”, in Annals of the association of american geographers, vol 90 n°1, pp135-145

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PASQUIER, É., VOLPE, É., 2002, Une semaine, une ville : relations de voyage à Montpellier, LAUA, ENSA Nantes, Versailles, VRD

PARR, M., Luxury, à paraître

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