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Développement d’un outil effectif d’évaluation dans un enseignement digital

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

I

République Algérienne Démocratique et Populaire

Ministère de l’Enseignement Supérieure et de la Recherche Scientifique Université Ahmed Draia - Adrar

Faculté des Sciences et de la Technologie Département des Mathématiques et Informatique

Mémoire de fin d’étude, en vue de l’obtention du diplôme de Master en informatique

Option : Réseaux et Systèmes Intelligents

Thème

Développement d’un outil effectif d’évaluation

dans un enseignement digital

Préparés par

Aicha Lakrim et Ikram Ali

Encadré par

Dr. Touabi Abd elkader

(2)

Remerciement

« Qui ne remercie pas les gens ne remerciera pas le Dieu »

Premièrement et avant tous nous remercions ALLAH, qui nos a donné la force et la patience pour

réaliser ce modeste travail.

Nous exprimons toutes nos gratitudes à notre encadreur Dr " A. Touabi ", pour la confiance qu’il nous a accordé pour la réalisation de ce travail.

Nous exprimons notre reconnaissances à tous les

enseignants de département Mathématique et Informatique . Merci pour la bonne formation de base que nous avons

bénéficiés auprès de vous.

Nous tenons à remercier, également, tous ceux qui ont participé de près ou de loin à la réalisation de ce modeste travail.

(3)

V

l

j

Dédicace

Tous mes remerciements à dieu le tout-puissant et que la grâce et paix soient sur notre prophète Mohammed. Je dédie ce mémoire,

A ma chère mère, remède de l’existence qui a éclairé le Ch emin de ma vie que dieu la garde « MASSOUDA » ainsi que mon cher père qui a consacré ses efforts pour le mon bien-être

et celui de mes frères que dieu le garde et le protège « ABDELKRIM ». Et ce travail est aussi dédie à toute personne qui m’a aidé

de loin ou de prés particulièrement à mes sœurs « Yamina, Halima, Omalkhir » et mes frères« Mohammed, Abdelhafid, Abbasse »et mes oncles , mes tantes et à toute ma famille « LAKRIM »,et la famille « FELLAH » à meilleur amie Et mon binôme IKRAM. Et atout mes amies qui

étudier avec moi.

Merci et pardon à tous ceux j’ai oublié

(4)

DEDICACE

C’est avec un très grand honneur que je dédie ce modeste travail aux personnes les plus

chères au monde :

- A celle qui ma tout donnée, la volonté, la tendresse, l’espoir, la patience…. Qui éclaire

ma vie, ma très chère maman Zohra

Dédicace spéciale à qui grâce à lui je suis là, mon Père Ahmed

Rahim Aho Allah

A mes chers Frères Mohammed, Zinelabidine, Abderrahmane, Ilyas, Nabil

A mon chère Sœur Fatima, Aicha, Houria

A mes enfants des frères Inass ; Yasser ;Iyad Ahmed

A mon Oncles et leurs Enfants, et grand-père et grand-mère

A toute la Famille Ali , Slimani, hlifi

A mes meilleurs amis et surtout , mon binôme Aicha

(5)

IV

Résumé :

En parlant de l’éducation, on s’y intéresse généralement à l’impact des changements du niveau d’instruction sur les étudiants et sur les méthodes de l’enseignement. On voit que l’éducation est en train de se dégrader, dû à un manque d’intérêt chez les élèves, ce qui provoque une simplification des cours des professeurs. Il faut donc trouver de nouveaux moyens pour garder l’attention de l’élève tout en le faisant réussir sa carrière scolaire au niveau requis et surtout prendre en considération les moyens d’évaluation de ces étudiants selon le nouveaux besoins exprimés par les partenaires socio-économiques de l’enseignements et de la formation. Notre étude vient justement comme une réponse à ce changement besoins qui cherchent des compétences sur les apprenants. Notre recherche répond justement a l’évaluation par compétences afin de sélectionner ou de faire un choix sur les sorties des écoles de formation et des établissements d’enseignements.

Mots cles :

Evaluation , Evaluation par compétence Abstract:

Speaking of education, it is generally interested in the impact of changes in the

education of students and methods of teaching. We see that education is being degraded due to a lack of interest among students, causing a simplification of current teachers. We must find new ways to keep the attention of students while doing a successful academic career at the required level and especially consider ways of assessing these students according to the needs expressed by partners socio- the economic teachings and training. Our study comes just as a response to this change needs seeking skills learners. Our research is the answer to the evaluation skills to select or make a choice on the outputs of the training schools and educational institutions.

Keywords :

(6)

Figure1 : La certificationC2i………...17

Figure2 : diagramme de séquence pour l’inscription ……….39

Figure3 : diagramme de séquence pour lire les cours ………40

Figure 4:diagramme de séquence pour proposition des examens ……40

Figure5 : diagramme de séquence pour correction des examens………41

Figure 6: diagramme de séquence pour les compétences………42

Figure7 : Diagramme d’activité pour faire des examens……….43

Figure8 : diagramme de classe………44

Figure 9: panneau de gestion du serveur avec les options de MySQL ouvertes………...49

Figure10 : structure général du programme ………50

Figure 11: l’interface principale de l’application………51

Figure12 : la page d’inscription………...52

Figure13 : la page de guide………..53

(7)

VI

Figure15 : la page de spécialité………...54

Figure16 : la page pour changer la spécialité………..54

Figure 17: La page de sujet fin d’étude………...55

Figure18 : La page des cours………...55

Figure19 : la page d’examen pour l’évaluation par module………56

Figure20: la page des réponses d’examen………..57

Figure21 : évaluation par compétences………..57

(8)

Tableau 1 : Domaines, compétences et indicateurs…….…………..18

Tableau 2 : Compétences et maitrise……….21

Tableau 3 : Exemple d’évaluation par module (semestre 1)………25

Tableau 4 : exemple d’évaluation par module (semestre2)…………..26

Tableau 5 : les compétences des modules……...26

(9)

VIII

1. Remerciement ………. ….Ӏ.

2. Dédicaces ……….Π

3. Résumé ………Ш

4. Sommaire ………...IV

5. Liste des figures ………..IX

6. Liste des tableaux……….X

7. Introduction général………...01

Chapitre 1 : Enseignement et digitalisation 1. Introduction………04

2. Définition du Digital Learning………...04

3. Le principe de l’enseignement ………...04

4. Le but de l’apprentissage des langues………...05

5. Caractéristiques des cours de langues………....05

6. Les élèves sont constamment sur internet………....05

7. Ce que l’internet à proposer………...06

8. Comment intégrer l’obligatoire dans le digital………..06

9. la stratégie nationale du numérique dans l’enseignement supérieur…..06

10. les points positifs et les points négatifs ……….07

10.1 Quelques points positifs……….07

10.2 les points négatifs ……….07

11. cours digital au Kalsbeek College……….07

12. L’avis des élèves………08

13. Les résultats observés………....09

14. Ce que l´enseignement digital fait réaliser………..09

(10)

Chapitre 2 : évaluation de l’enseignement digitale

1. Introduction ………...12

2 L’évaluation stratégique des formations en digital learning………...12

2.1 L’évaluation en digital learning est essentielle pour suivre les progrès des apprenants et rendre compte de la performance de l’enseignement……….12

2.2 L’évaluation en digital learning: comme outil de certification……12

2.3 L’évaluation comme outil stratégique………13

3 Qu’est-ce qu’une compétence numérique ?...13

4 Evaluer une compétence……….13

5 Etude un exemple C2i tunisienne………..15

5.1 Qu’est-ce que le C2i ?...15

5.2 La certification C2i ………...………..15

5.3 Le C2i pour l’évaluation des compétences numériques………..…..18

5.4 Principaux résultats………..19

6 Conclusion ………23

Chapitre 3 : Méthode de conception utilisée 1. Introduction………25

2. Evaluation par module ………..25

2.1 Exemple d’évaluation par modules ………...25

3. Evaluation par compétences ……….26

3.1 Exemple d’évaluation compétences……….34

3.1.1 L’algorithme général……….34

3.1.2 Exemple la compétence Mathématique………35

4. Méthode de conception UML ………..38

4.1 les diagrammes de séquence……….38

4.1.1 pour l’inscription………...38

4.1.2 pour lire les cours………..39

(11)

X

4.1.3.1 l’évaluation par module……….40

4.1.3.2 Proposition des examens ….……….40

4.1.3.3 Correction des examens……….41

4.1.3.2 L’évaluation par compétences………...41

4.2 Les diagrammes d’activité ………42

4.3 le diagramme de classe ………44

5 Conclusion ………45

Chapitre 4:Mise en œuvre de l’application 1. Les langages utilisés……….47

1.1 HTML(HypertextMarkupLanguage)……….47

1.2 PHP (Pre Hyertext Processor)………...47

1.3 MySQL………..48

1.4 le serveur WAMP………..48

1.5 Dreamweaver……….49

2. conception et implémentation………50

3. La structure générale de programme……….45

4. description du programme………...51

4.1 Page d’accueil………51

4.2 Page d’inscription………..52

4.3 Page guide………..53

4.4 La page des cours ………..55

4.5 La page d’évaluation………..56

4.5.1 l’évaluation par modules………56

4.5.2 L’évaluation par compétences ………..57

5 Conclusion……….58

6 Conclusion générale………...59

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Introduction générale

Avant l’éducation était un travail difficile et dur et prend beaucoup du temps. Mais avec les nouvelles technologies modernes, qui ont envahi l’éducationla culture, médecine, ...etc. de nouveaux appareils ont vu le jour ne citant que les moyens de communication moderne.

De nos jours, beaucoup de moyen ont été utilisé dans l’enseignement vu que l’éducation est la clé d’un avenir de tout pays. Ce que l’on remarque c’est qu’une connaissance plus que basique des langues devient de plus en plus nécessaire, voire impératif à la communication. Car grâce avec internet, nous pouvons maintenant communiquer avec tout le monde et à travers le monde entier sans devoir se déplacer. Il suffit de s’y mettre derrière son ordinateur.

Tous ces changements dans le comportement des habitants du monde demandent une évolution de l’éducation des jeunes élèves du collège et du lycée.

La société moderne fait de son mieux pour mettre au point des méthodes qui nouvelles et intéressantes en utilisant les méthodes digitales dans l’enseignement.

Dans certaines écoles on ne dispose pas encore d’un ‘smartboard’ dans tous les locaux. Mais la plupart des instituts d’enseignement sont équipés pour donner des cours qui sont entièrement digitalisés. Il y a même des écoles qui équipent tous leurs élèves d’un ordinateur portable ou d’un iPad et ne travaillent plus avec la méthode habituelle, cahiers et crayons. On peut donc voir une tendance à migrer des cours ‘à l’ancienne’, où l’on fait venir les élèves au collège le cartable rempli à ras bord de manuels de maths, de géo et de français, vers des cours sur petit écran. Tout doit rentrer dans le cadre de la nouvelle ère, où l’on ne veut plus avoir un risque de problèmes de dos à cause d’un sac trop lourd et où le travail par ordinateur est supposé faciliter la vie.

La question centrale de ce mémoire sera de voir comment les élèves réagissent sur un cours qui a pour but de développer la compétence d’écouter et de voir, afin d’en conclure après une évaluation de cette compétence.

. Il est aussiquestion de savoir si les élèves sont plus enthousiasmés par des cours plus digitaux. Il faut aussi voir si les avantages obtenus par les méthodes digitales sont suffisants

(13)

2 pour faire de choix de se passer entièrement du papier et s’auto-évaluer ou carrément être évaluer aussi vite que la fin de son évaluation est terminée digital. Afin de pouvoir redresser les failles en cas de leurs existences et de simuler une évaluation.

Ce mémoire est organisé en quatre chapitres:

Dans le premier chapitre, nous présenterons la numérisation de l’enseignement :leur principe et l’obligatoire des langues et l’internet dans l’enseignement digital et comment intégrer l’obligatoire dans la digital. Nous discuterons la vis des élèves et les résultats observés ainsi que les points positifs et les points négatifs.

Dans le deuxième chapitre, nous présenterons l’évaluation en digital Learning et la compétence numérique. Nous discuterons un exemple le cas tunisien et leur résultas.

Dans le troisième chapitre, nous présenterons la modélisation de deux modes d’évaluation telle que l’évaluation par compétences ou par module avec des exemples bien sûr en utilisant la méthode UML.

Enfin, le dernier chapitre, nous détaillerons notre application réalisée pour clore le travail par une conclusion.

(14)

Chapitre 1 :

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Chapitre1 : Enseignement et digitalisation

4

Chapitre 1 : Enseignement et digitalisation 1. Introduction [01]

La notion de digital learning désigne la présence du numérique dans les contenus de formation, que cette dernière soit présentielle (en salle) ou e-learning (en ligne). Elle est directement liée à l’omniprésence des nouvelles technologies dans la société, aussi bien dans la vie personnelle que dans la vie professionnelle.

Ce phénomène influence les comportements de l’ensemble des acteurs de la chaîne d’apprentissage : en amont, les équipes de professionnels spécialisés dans la création, la gestion et la diffusion de formations ; en aval, les salariés et autres partenaires qui sont les apprenants.

Le digital learning apporte avec la numérisation des supports de formation plus d’interactivité dans la formation. La présence de la formation à distance depuis les années 1990 contribue largement à l’expansion et l’adoption du digital learning dans les entreprises.

2. Définition du Digital Learning [01]

Le digital learning symbolise une volonté d’exploiter le numérique de manière globale. Il peut être intégré à toutes les modalités pédagogiques : la formation présentielle, la formation distancielle synchrone ou asynchrone mais également dans tous les types de techniques de formation (expositive, participative, auto-réactive, tutorée, etc.).

L'expression "digital learning" se présente aussi comme une modernisation du terme "e learning" pour souligner le passage de la formation sur un ordinateur à la formation sur tous suppports, y compris les tablettes et les téléphones, qui sont digitaux au sens où on les utilise du bout des doigts, de digitus en latin, "le doigt".

3. Le principe de l’enseignement [02]

«Enseignement : action de transmettre des connaissances nouvelles ou savoirs à un élève».

Selon Philippe Dessus dans la Revue Française de Pédagogie, il n’y a pas de définition précise à donner de l’enseignement. En regardant cependant les diverses définitions d’auteurs tout autant divers, on peut trouver les caractéristiques de l’enseignement : une activité relationnelle de communication, centrée sur un but d’apprentissage des élèves à propos d’un contenu donné, dans laquelle le professeur aurait un comportement spécifique et dans laquelle les états mentaux (intentions, croyances) des protagonistes peuvent jouer un rôle important. Le rôle du professeur en tant qu’enseignant, est d’apprendre aux élèves comment se servir des informations transmises. Habituellement cette activité a lieu dans un cadre spatio-temporel où ils existent des règles à suivre, établies par la méthode des manuels scolaires ou encore l’école même.

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Chapitre1 : Enseignement et digitalisation

4. Le but de l’apprentissage des langues [ 02]

De nouveau basé sur le CECR (Cadre européen commun de référence), nous pouvons remarquer qu’apprendre une langue ne consiste pas seulement en apprendre des mots, des phrases ou des figures de style. Une langue est plus que ça. Une langue est souvent voire toujours caractéristique pour le pays duquel elle représente les personnes. Les Nations Unies s´investissent autant dans la promotion du multilinguisme que les professeurs des écoles secondaires le tentent.

Sur une page web spécialement dédiée à la journée de la langue française, Les Nations Unies exposent les caractéristiques d’une langue nationale, à savoir : le reflet d’une histoire collective, une mode de pensée et un mode de comportements.

C’est tout à fait vrai et c’est pourquoi il est plus qu’important d’apprendre aux jeunes non seulement la langue, mais aussi les valeurs et les aspects culturels qui sont propres à cette langue.

5. Caractéristiques des cours de langues [02]

Différentes écoles ont de différentes approches. Au sein du département de français, un professeur a lui-même sa propre manière d’enseigner. Là où l’un donne ses cours depuis le premier moment entièrement dans la langue de la matière, un autre peut s’en tenir au strict minimum. Les différentes méthodes sont aussi de grandes influences sur le comportement du professeur. Les cours de langues étrangères sont soutenus par ces méthodes qui consistent en images, exercices, textes, petites vidéos ou chansons occasionnellement. Car depuis un certain temps, les méthodes écrites sont soutenus par accès à la méthode en ligne, qui livre donc des vidéos, exercices d’écoute et moyens d’apprentissage de grammaire ou de vocabulaire. Un élève peut en théorie accéder au site depuis son bureau à la maison. Dans la pratique il n’est pas tenté de le faire. Ce que doit faire un professeur avec tous ces moyens qui lui sont proposés, c’est de rendre le plus intéressant possibles, les cours qu’il donne à ses élèves.

6. Les élèves sont constamment sur internet [02]

C’est une tâche difficile, car les élèves préfèrent être au courant de ce qui se passe dans le monde, que ce soit dans l’école ou sur internet. Une fois rentré à la maison, un élève va s’installer derrière son ordinateur pour contrôler ses messages, son facebook et son twitter. Et comme les États-Unis sont plus proches (à cause de la langue anglaise et sa présence par les stars) on va plutôt s’intéresser à Justin Bieber qu’à Garou ou Nolwenn Leroy. En tant que professeur il faut savoir se servir d’internet à son avantage. Un élève ne sait pas trouver les stars françaises, même s’il souhaitait le faire.

Retrouver une chanson française sur YouTube n’est pas une tâche facile si l’on ne sait pas comment écrire le titre ou le nom du chanteur. Et c’est là qu’un enseignant de langue peut trouver son approche.

Se mettre au niveau de l’élève et se servir de ses domaines d’intérêt afin de faire vivre le cours autrement si ennuyeux. Enseigner devient donc un art.

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Chapitre1 : Enseignement et digitalisation

6 L’internet ne doit pas seulement être vu comme un obstacle ou une distraction. Sur la toile on peut déjà trouver un bon nombre de moyens afin de rendre ses cours plus intéressants. Ce besoin existe car les méthodes utilisées par les écoles ne sont pas assez diversifiés pour les élèves. Bien que chaque chapitre est basé sur un thème nouveau, les images et les exercices sont toujours les mêmes. Des fois on peut choisir d’avoir recours à la méthode en ligne, qui propose les mêmes exercices et des romans-photos sous forme digitale, mais il est alors difficile de garder l’ordre dans la classe et de vérifier que chaque élève peut contribuer au cours et donc apprendre quelque chose. C’est là que l’on voit alors à quel point la digitalisation de l’enseignement est jeune et en voie de développement.

8. Comment intégrer l’obligatoire dans le digital [02]

En surfant sur la toile on trouve des sites qui proposent des exercices afin de développer ses compétences dans une langue (talenwijzer.nl, digischool.nl). Ce sont des sites qui sont officiels et parfois moins officiels, développés par des particuliers. On constate que les jeunes vont de plus en plus sur des blogs, où on se pose des questions entre élèves sur une matière ou sur la meilleure façon d’apprendre sa leçon ou encore où trouver le nécessaire pour se préparer pour ses examens. Les exercices proposés tentent donc de répondre à cette demande. Les sites trouvables sont tout autant accessibles pour les élèves que pour les professeurs, parfois en séparant les deux, parfois en proposant tout simplement des directives.

9. la stratégie nationale du numérique dans l’enseignement supérieur[ 03]

La plateforme France Université Numérique (FUN) doit constituer le vecteur principal de la stratégie française et pourrait également constituer une base pour l’Europe. Il s’avère nécessaire d’améliorer les statuts et la gouvernance de FUN. Par ailleurs des formes nouvelles de certifications doivent être créées.

Le développement des Universités numériques thématiques (UNT) doit être intégré dans le cadre de la stratégie nationale. Celle-ci doit s’appuyer aussi bien sur FUN que sur les UNT qui doivent être accompagnées. Ce développement est nécessaire pour l’accès à l’enseignement supérieur des territoires enclavés de la métropole comme de l’Outre-mer.

La protection des données personnelles pourrait se concrétiser par la réalisation, par la CNIL, d’un guide pratique.

Toujours dans le domaine de la stratégie, la France doit favoriser les initiatives de pédagogie numérique dans l’espace francophone. FUN peut en constituer un des piliers.

Dans le cadre de la formation continue, les SPOC (Small Private Online Courses) sont appelés à devenir le principal outil de développement dans les établissements d’enseignement supérieur.

10. les points positifs et les points négatifs [03] 10.1Quelques points positifs qui sont nommés :

Google Earth par exemple fait plus vivre les cours de géographie que les atlas à l’ancienne ou encore la possibilité de donner du feedback à un élève plus rapidement. Le directeur du collège pense que la méthode digitale offre plus de possibilités. Il dit entre autre que le travail par les élèves dans un groupe se passe maintenant plus de manière collective qu’avant

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Chapitre1 : Enseignement et digitalisation

10.2 Les points négatifs :

Les points qui sont nommés contre la digitalisation de l’enseignement ne sont pas des choses à prendre à la légère ; on ne peut pas tout simplement passer du livre à un équivalent digital. Pour un professeur cela présente un véritable défi car il faut vraiment savoir comment se servir au mieux des méthodes digitales proposées. Un expert de l’éducation trouve qu’on perd la communication non verbale (le langage corporel accompagnant le parler) en passant complètement au digital. Il n’y a plus assez d’espace pour une réunion physique. Un autre gros inconvénient : la présence de divertissement sur l’iPad présente aux élèves la possibilité de ne plus payer attention au cours et d’être occupé à battre son score à Angry Birds.

11. Le cours digital au Kalsbeek College[03]

Un cours a été mis au point qui mettait l’accent sur la compétence d’écouter et de voir. Les élèves devaient remplir un texte à trous qui accompagnait une bande-annonce du film

Nos jours heureux. Ensuite ils recevaient des explications complémentaires sur des mots

dans le texte ainsi que sur les mots qu’ils ne comprenaient pas.

Suite au cours réalisé, un questionnaire a été passé dans la même classe.

Le but du questionnaire était de voir si les élèves avaient trouvé autant positif cette expérience qu’elle était censé l’être. Les questions posées concernaient les connaissances que les élèves avaient obtenues lors de ce cours. Un exemple du questionnaire. Il en est sorti que sur les vingt-huit élèves interrogés, vingt-cinq ont été capables de se rappeler d’au moins cinq mots de l’exercice. L’un se souvenait plus des gros mots qui ont passé la revue, alors qu’un autre s’était plus ouvert sur le reste du vocabulaire également.

Le questionnaire permet aussi de voir qu’il y a toujours des élèves qui ne participent pas vraiment ; ils se rappellent que l’on leur a expliqué quelques mots, et de cela ils se souviennent, mais la signification qu’ils donnent à ces mots sont souvent embrouillés.

Certains élèves avaient demandé plus d’explications sur des mots. Par exemple le mot valise, mot qu’ils avaient entendu à trois reprises mais dont ils ne savaient pas la signification, leur a été expliqué lors du cours, à l’oral. Ce mot en est un de ceux qu’ils ont retenu. Par contre, la signification du mot leur est échappée.

12. L’avis des élèves [03]

L’une des questions les plus importantes posées aux élèves était de savoir s’ils avaient eux-mêmes l’impression d’avoir appris plus que par un exercice du manuel habituel.

Des vingt-huit enquêtes, huit ont livré des réponses intéressantes. Ci-dessous on rapportera 3 études de cas Pour commencer, 2 avis positifs. Ces deux élèves ont une bonne moyenne, autour de 9, et sont motivés pour la matière de français.

Grâce à cette motivation, leur intérêt pour autres genres d’exercices est grand. La réponse à la question s’ils avaient l’impression d’avoir appris plus que par un exercice du livre était la suivante :

- C’est un bon exercice pour l’écoute et là on apprend vraiment les mots dans une conversation. Dans le livre on apprend plus des mots. Je l’ai trouvé pratique.’

- Oui, ce ne sont pas les petites phrases standards du livre et comme on explique presque tout le texte ensuite, on apprend également plus sur la grammaire.’

(19)

Chapitre1 : Enseignement et digitalisation

8 Cependant il y avait aussi des réponses négatives à cette question. L’une est traitée ici :

- Non, c’est moins clair, mais un avantage est qu’on connait tout de suite la prononciation.

La réponse de cet élève, qui est resté anonyme, nous donne justement un des grands avantages de ce genre d’exercice. On peut comprendre qu’un élève ne voit pas cet avantage car il n’a rien de concret à apprendre ; il faut se fier à ses oreilles et à ce qu’on voit sans qu’on puisse voir par écrit ce que l’on entend. nous pouvons trouver les graphiques représentant les résultats des autres questions composantes du questionnaire. Ce que nous pouvons conclure de ces graphiques c’est que presque tous les élèves sont capables de se rappeler d’au moins 4 mots. On peut voir également qu’environ deux tiers de la classe a retenu des mots ainsi que sa traduction. Par contre ce qui est dommage, c’est que seulement un quart de la classe se souvient d’un mot dans les deux langues alors que le reste de la classe, soit trois quarts, se souvient d’un mot en français mais pas de sa traduction. La question qu’on peut se poser en rapport avec ce dernier résultat : est-ce que le manque de savoir est dû à un manque de concentration ou à un manque du professeur. Où est-ce que cet élève reçoit plus de bénéfices de la méthode écrite et a-t-il seulement besoin de plus de ce genre d’exercices d’écoute comme dans le cours effectué pour la recherche?

13. Les résultats observés [03]

En observant une classe faire cet exercice on peut déjà très bien voir s’ils sont motivés, intéressés, captivés par ce qu’ils voient et entendent. On voit qu’ils veulent vraiment savoir ce qui se passe, suivre ce qui est dit et reproduire ce qu’ils entendent. Chaque fois que la bande-annonce recommençait du début, ils étaient silencieux et ils écoutaient en même temps qu’ils étaient amusés par ce qu’ils voyaient. L’atmosphère était positive et non pas frustré parce qu’ils ne comprenaient pas. On leur donnait une possibilité de trouver les significations par eux-mêmes. Ajoutant à tout cela le fait de transmettre un peu de culture française dans une classe qui a le besoin de faire vivre ce qu’ils apprennent on voit que ce genre d’exercices est quelque chose à refaire plus souvent.

Pendant le cours, un autre professeur de langues était présent pour observation. Elle était tellement enthousiaste de l’exercice qu’elle compte l’intégrer dans son cours d’allemand.

Par le biais des citations ci-dessus on voit aussi que les élèves ont du profit d’avoir entendu les mots avant de les avoir lus. En leur redemandant la prononciation des mots le cours d’après, on pouvait tout à fait entendre que les élèves savaient parfaitement prononcer les mots. D’habitude ils lisent une liste de vocabulaire et ils restent scotchés à la prononciation qu’ils s’imaginent aller avec ce qu’ils lisent. Cela rend la correction de la prononciation extrêmement difficile. On espère dans le cas présent, que même dans un mois, ces élèves pourront toujours reproduire des mots en les prononçant correctement.

14. Ce que l´enseignement digital fait réaliser [03]

On le voit très bien ; l’enseignement digital propose de nombreuses possibilités qui sont déjà prêtes à l’emploi ou que l’on peut adapter à nos besoins. Dans un article sur accountant.nl il est expliqué que désormais les profs et souvent de bons profs, proposent leurs services par internet. Le marché livre du matériel digital, souvent gratuit, ce qui stimule

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Chapitre1 : Enseignement et digitalisation

l’auto apprentissage. Le but est justement d’améliorer l’éducation par ces innovations et c’est cela qui enthousiasme tellement le monde de l’enseignement. D’un côté on a peur que des emplois vont disparaître et que le digital ne fera pas mieux réussir un élève. D’un autre côté on a tellement plus de choses à offrir à nos étudiants et nos collégiens que cela ne peut qu’enthousiasmer. L’usage des iPads dans les écoles primaires ne fait qu’augmenter. Sur le site ipadindeschool.nl, une courte vidéo transmet le témoignage d’une classe qui travaille depuis peu avec des iPads pour les cours de physique-chimie et de biologie. Le professeur ainsi que les élèves sont enthousiastes de la nouvelle méthode et ils souhaitent que l’école introduise cette méthode de manière définitive et standard dans cette école.

Même si on ne fait que la promotion de l’enseignement digital, on continue cependant de stresser le fait que ce n’est pas l’enseignement par la voie digitale qui doit dominer le cours. C’est toujours un professeur qui fait le cours et c’est la manière dont il se sert des moyens qui lui sont donnés que son cours est un succès ou ne l’est pas. Et le problème réside souvent là : les élèves mêmes voient souvent que leur professeur ne possède pas les moyens de se débrouiller avec les méthodes digitales, ce qui rend plus difficile le succès garanti de ces moyens et exercices.

15. Conclusion

Le terme englobant de « enseignement digital » renvoie à des mutations qui concernent tous les acteurs (étudiants et auditeurs de formation continue, enseignants, dirigeants des établissements, gestionnaires administratifs et de data). Ces mutations conduisent à faire largement évoluer les cours, l’évaluation, les bibliothèques et la mobilisation du savoir, le tout selon des modalités de plus en plus ouvertes et collaboratives. Le développement émergent des cours de masse ouverts en ligne (MOOC (Massive Online Open Courses)) et le digital learning avec la numérisation des supports de formation et plus d’interactivité dans la formation. L’évaluation de ces cours avec un outil dont la stabilisation tant technique qu’économique doit accroitre l’enseignement dans le chapitre suivant, on s’intéressera à l’évaluation de ces cours et leur performance dans l’enseignement digitalisé.

(21)

Evaluation de l’enseignement digital

Chapitre 2 :

Évaluation de l’enseignement

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Evaluation de l’enseignement digital

1. Introduction

L’Enseignement Digital est une nouvelle éducation qui obtenu pour changer l’étude de l’étudiant avec des moyens plus efficace et marche avec la civilisation comme le tableau Blanche, la Tablette …etc.

L’évaluation de cette enseignement prend une grande place sur la technologie et surtout dans le domaine de l’informatique parce que on va tester touts les possibilités ou comment on peut appliquer cette éducation sans des erreurs et sans des problèmes avec des nouveaux moyens, des compétences tel que des compétences sur les modules ou autre chose.

Pour l’appliquer à une science, on va tester touts les compétences et les possibilités matérielles sur le quel en s’applique cet enseignement .on parle alors d’évaluation sur l’enseignement digital.

2. L’évaluation stratégique des formations en digital Learning[04]

2.1L’évaluation en digital learning est essentielle pour suivre les progrès des apprenants et rendre compte de la performance de l’enseignement

Un avantage majeur de la formation digitale est de pouvoir solliciter des feed-back continus de la part des apprenants et du système. Pour le directeur RH, c’est l’occasion de repérer les points forts ou les difficultés éventuelles. C’est aussi l’opportunité d’analyser l’efficacité du formateur et de la formation en temps réel.

2.2L’évaluation en digital learning : comme outil de certification

L’évaluation permet de:

 Suivre la progression des équipes et des différents collaborateurs. Les forces et éventuelles faiblesses sont décelées immédiatement et les ajustements peuvent être décidés très rapidement.

 Comprendre les motivations des apprenants, les thématiques qui suscitent leur attention afin d’éventuellement les rediriger vers des formations complémentaires.

 Vérifier et certifier l’acquisition des compétences censées être assimilées. Cette certification confirme l’assimilation de données théoriques, techniques, de protocoles, d’utilisation du matériel, obligatoires dans certains secteurs, comme la recherche pharmaceutique, par exemple.

2.3L’évaluation comme outil stratégique

La mise en place d’un programme de digital learning est le résultat d’une réflexion qui engage des moyens humains et financiers importants pour l’entreprise. Afin d’assurer le

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Evaluation de l’enseignement digital

12 rendement de la formation, il convient de suivre les performances du système et du formateur, via enquête.

De plus, l’évaluation offre l’avantage de comprendre les facilités (ou les difficultés) digitales de ses équipes. A l’heure de la transformation digitale des entreprises, saisir l’avancement numérique des collaborateurs est utile avant de lancer de grandes innovations techniques ou de nouveaux outils.

L’évaluation permet donc également de:

 Pérenniser les investissements consentis.

 Mesurer l’état de la transformation digitale de l’entreprise.

 D’adopter les mesures les plus efficaces, en concertation avec les premiers

intéressés, sans donner la sensation de les « imposer ».

3. Qu’est-ce qu’une compétence numérique ?[05]

La compétence numérique est la capacité à maîtriser les Technologies de l’Information et de la Communication par un individu dans la formation, au travail ou dans la société. Sa finalité est de rendre cet individu autonome dans l’usage de l’informatique (ordinateurs, périphériques, téléphones cellulaires, etc.) et des technologies courantes. Cette compétence se traduit par l’accès et l’utilisation d’un certain type de matériels et par son usage dans un contexte spécifique et dans des contextes variés.

Les compétences numériques sont des compétences mettant l’accent sur la spécificité des pratiques intégrant les TIC. Elles comportent différents savoirs, savoir-faire et conduites mais ne s’y réduisent pas. Elles impliquent des techniques et des didactiques et sont regroupées dans un référentiel C2i. Ces compétences présupposent l’utilisation particulière de l’ordinateur, des téléphones portables et des tablettes tactiles pour obtenir, évaluer, stocker, produire, présenter et échanger des informations, et pour communiquer et participer via l’internet à des réseaux de collaboration.

4. Evaluer une compétence [05]

Faisant l’objet de nombreux travaux (Delorme, 1987), la notion d’évaluation est, dans le champ de l’éducation, très largement débattue (Meyer, 1991). Le fait de décerner un brevet ou une attestation fait bien partie de ce qui est considéré comme un acte d’évaluation marqué par l’usage du terme « validé » employé à plusieurs reprises.

La maîtrise d’une compétence est validée, dans une situation donnée, par divers enseignants lorsqu’il y a concordance entre un niveau d’exigence défini, au préalable, et une action menée par l’apprenant, à un moment de son parcours d’apprentissage. Elle est validée lorsque tous les items qui la composent sont évalués sans exiger que l’apprenant les maîtrise en totalité. Cette incomplète maîtrise d’une compétence induit une stratégie de remédiation pour le compte de l’apprenant.

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Evaluation de l’enseignement digital

L’évaluation d’une compétence nécessite la construction d’une grille de référence qui fournit des indicateurs de ce qui est évaluable. Des vade‐mecum fournissent des aides pour la façon d’évaluer et s’assurer que l’évaluation porte bien sur des compétences. Elle doit bien vérifier la maîtrise de la compétence lors de la résolution d’un problème nouveau dans une situation particulière mais ne doit pas se réduire au constat d’une capacité appliquée à une situation déjà vue. « La compétence n’est pas un contenu connu, absolu et attaché par exemple à une procédure, elle est en permanence l’évaluation sociale d’un protocole effectif, individuel, de l’action, et à travers cette évaluation, l’appréciation des qualités de l’individu en rapport à une norme sociale d’activité » Hillau (1994). Il s’agit d’un processus permanent d’évaluation, qu’on gagnerait mieux à évaluer.

Pour ce qui est des compétences numériques, différentes méthodes permettent leur mesure. Il peut s’agir de tests de performance directement sur ordinateur, comme des tests basés sur les connaissances ou encore de questionnaires d’auto évaluation. Ces évaluations, le plus souvent informatisées, sont jugées efficientes, notamment à cause de leur composante interactive ainsi que de leur possible alignement selon le niveau de compétences.

Le certificat de compétence n’est pas défini par un programme d’enseignement ou par un processus de formation. Il comporte des domaines ou des classes de compétences et des niveaux ou des exigences. Il n’est pas exclusivement axé sur des connaissances et des savoirs mais défini par un référentiel de compétences. Ce certificat est validé et décerné par une autorité agrée qui atteste de la « possession » d’une totalité de compétences d’un niveau ou de plusieurs niveaux.

Cependant, il est nécessaire de faire la distinction entre les « tâches simples » qui mettent les apprenants dans des situations où ils sont contraints à reproduire des procédures qui leur laissent très peu d’initiative et les « tâches complexes » qui mènent ces apprenants à gérer des situations qui mobilisent des connaissances, des capacités et des attitudes. Elles permettent de les motiver et de développer des stratégies de résolution personnelles.

5. Etude un exemple C2i tunisienne [05] 5.1Qu’est-ce que le C2i ?

Le programme de ce certificat « Informatique et Internet » porte sur les compétences transversales, indépendantes de la discipline suivie par l’étudiant, et de ses connaissances en matière d’informatique. Il est destiné aux étudiants ou diplômés de l’enseignement supérieur ainsi qu’aux candidats titulaires du baccalauréat ou d’un diplôme admis en équivalence. Ce certificat mesure le degré d’atteinte de compétences utiles à l’étudiant pour mener les activités qu’exige aujourd’hui un cursus d’enseignement supérieur et notamment : la recherche, la création, la manipulation et la gestion de l’information, la récupération et le traitement des données, la gestion de données, la sauvegarde, l’archivage et la recherche de données, la présentation en présentiel et à distance du résultat d’un travail, les échanges et les communications à distance ainsi que la production en situation de travail collaboratif. L’apprenant C2i est initié à la plateforme moodle et y suit des cours en lisant le guide

(25)

Evaluation de l’enseignement digital

14 descriptif (déposer un fichier, récupérer l’activité, respecter les délais de dépôts,…). Il suit le planning de la formation et les directives de son enseignant-tuteur, s’auto-forme en lisant les chapitres du référentiel C2i et en réalisant les activités d’apprentissage ainsi que des travaux (activités sur la PF, projet, tests, DS, etc.).

5.2 La certification C2i

La formation s’étale sur 15 semaines. L’enseignement est essentiellement à distance. Les cours sont dispensés en ligne. Les étudiants auront des tuteurs qui suivent leur évolution. Des échanges par E-mail et des séances de chats en directs sont assurés en petits groupes. Il s’agit d’une formation qui se déroule « dans un contexte particulier où les TIC sont utilisées à la fois comme l’outil et l’objet d’apprentissage » (Karsenti, Larose 2001). Des séances présentielles au nombre de cinq sont également prévues pour permettre aux étudiants de discuter directement entre eux et avec leurs enseignants. Ces séances se déroulent aux centres d’accès de l’université virtuelle tunisienne.

L’épreuve de certification est composée de deux parties :

 Une épreuve théorique de validation des compétences sur la base de réponses apportées à un questionnaire, composé de 45 questions, couvrant les 9 domaines du référentiel national. Ce questionnaire est constitué par recours à la banque de questions. L’évaluation correspondant à cette partie est comptabilisée un tiers dans l’évaluation totale.

 Une épreuve pratique de validation des compétences couvre les 9 domaines de compétences spécifiques et instrumentales du référentiel national correspondant au référentiel français. L’évaluation correspondant à cette partie est comptabilisée deux tiers dans l’évaluation totale. La validation de l’épreuve pratique étant faite par compétence et non par la validation de chaque domaine de compétence.

La certification C2i est attribuée après obtention de chacune des deux parties. Les modalités précises de certification devront être applicables à tout candidat à la certification. Les certificats seront délivrés par un jury unique et spécifique au C2i désigné par le président de l’UVT. Ce jury comporte des enseignants certifiés C2i. Cette certification fait suite à la validation de l’aptitude à maîtriser les neuf domaines de compétences définis dans le référentiel que nous résumerons par l’utilisation concrète d’un ordinateur, une bonne maîtrise des logiciels bureautiques, la navigation et la recherche d’information sur Internet et l’utilisation optimale de ses services, une sensibilisation au droit et à la déontologie des TIC, la mise en pratique du travail collaboratif.

(26)

Evaluation de l’enseignement digital

Figure 1 : La certification C2i [05]

Epreuve Pratique

Certificat C2i

PF de certification

Epreuve théorique

Certification

Succès ?

Succès ?

Non

Non

Oui

Oui

Formation

PF de positionnement

UVT

Positionnement

Succès ?

Non

Oui

(27)

Evaluation de l’enseignement digital

16

5.3Le C2i pour l’évaluation des compétences numériques

Le C2i niveau1 est structuré en deux ensembles : le premier ensemble (A1, A2) comprend les aptitudes générales et transversales supposées d’un niveau d’exigence basique et le deuxième ensemble (B1, B2, B3, B4, B5, B6, B7) regroupe les aptitudes spécifiques et instrumentales supposées d’un niveau d’exigence supérieur. Ces deux ensembles se découpent en domaines de compétences et eux-mêmes en compétences.

Afin d’atteindre notre objectif et déterminer les compétences numériques acquises par les apprenants, nous avons associé un indicateur d’évaluation de la compétence réalisable, déclarée suite au questionnaire, à chacun des 9 domaines et pour les compétences les plus représentatives.

Le tableau ci-dessous reprend l’ensemble des compétences évaluées dans notre questionnaire. Ainsi, par exemple, le domaine B2 intitulé « Rechercher l’information » est décliné en trois compétences. Nous n’en avons mesuré qu’une seule, la compétence B2-2. La question qui lui est corrélée est la suivante : « Quels moteurs de recherche utilisez-vous pour chercher une information ? Et comment choisissez-vous les mots clés qui la définissent ? »

Les 9 Domaines du

C2I Compétences C2I Dimension Indicateur proposé

A1 - Tenir compte du caractère évolutif des TIC

A1-3 Tenir compte des problèmes de compatibilité, de format de fichier, de norme et procédure de compression et d’échanges.

Savoir – comprendre - s’adapter

Savoir utiliser les formats de fichiers adaptés pour des documents (traitements de texte, tableurs, présentations …), des images, du son, de la vidéo

A2 - Intégrer la dimension éthique et le respect de la déontologie

A2-1 Respecter les droits fondamentaux de l’homme, les normes internationales et les lois qui en découlent.

A2-2 Maîtriser son identité numérique

Savoir-procédural Savoir-faire

Connaître la responsabilité de l’internaute, la loi « Informatique et Libertés » Maîtriser votre identité numérique (sécuriser un mot de passe, authentifier des sites …)

B1 - S’approprier son environnement de travail

B1-5 Maintenir en bon état l’outil de travail (mise à jour, nettoyage, défragmentation, …)

Savoir – comprendre – s’adapter

Maintenir, assurer le bon fonctionnement d’un ordinateur (mise à jour, nettoyage, défragmentation …)

B2–Rechercher l’information

B2-2 Formaliser les requêtes de

recherche Savoir-faire

Rechercher de l’information (choisir un moteur de recherche, trouver les bonnes conditions d’utilisation …)

B3 - Sauvegarder, sécuriser, archiver ses données en local et en réseau filaire ou sans fil

B3-2 Assurer la protection contre les virus B3-3 Protéger ses fichiers et ses dossiers (en lecture/écriture)

B3-4 Assurer une sauvegarde (sur

Savoir-faire

Sauvegarder, sécuriser, archiver des données (protéger des fichiers, protéger contre les virus …)

(28)

Evaluation de l’enseignement digital le réseau, support Externe…)

B4 - Réaliser des documents à être imprimés destinés à être imprimés

B4-2 Élaborer un document complexe et structuré (compte rendu, rapport, mémoire, bibliographie...)

Savoir-faire

Élaborer un document complexe et structuré avec un logiciel de traitement de texte B5 - Réaliser la présentation de ses travaux en présentiel et en ligne B5-1 Communiquer le résultat de ses travaux en s’appuyant sur un outil de présentation assistée par ordinateur

Savoir-faire Se servir d’un logiciel de présentation type Powerpoint

B6 - Échanger et communiquer à distance

B6-1 Utiliser à bon escient et selon les règles d’usage le courrier électronique

B6-2 Utiliser à bon escient et selon les règles d’usage les listes de diffusion

B6-3 Utiliser à bon escient et selon les règles d’usage les forums de discussion

Savoir – comprendre – s’adapter

Échanger et communiquer à distance (envoyer des courriers électroniques, utiliser des mailings listes, utiliser des forums …) B7 - Mener à distance des projets en collaboration avec un groupe B7-1 Travailler dans un environnement de travail collaboratif : B7-2 Utiliser les outils d’un espace de travail collaboratif (plate-forme, bureau ou campus virtuel, …)

Savoir – faire -être

Élaborer, modifier et transformer un document en collaboration avec un groupe utilisant un espace de travail

Tableau 1 : Domaines, compétences et indicateurs [05] 5.4Principaux résultats

Le dépouillement des questionnaires donne une idée générale sur les compétences numériques que les étudiants déclarent maîtriser. En effet, la première remarque est que ces compétences ne sont pas maîtrisées par tous les sujets participants à l’enquête. Certaines activités, semblent davantage être maîtrisées que d’autres. En effet, certaines d’entre elles comme la B6-1 « Utiliser à bon escient et selon les règles d’usage le courrier électronique » sont maîtrisées par 95 % des sujets alors que la compétence B4-2 « Élaborer un document complexe et structuré (compte rendu, rapport, mémoire, bibliographie...) » ne l’est que par 37 % de ces sujets.

Recherche d’informations, échange et communication à distance ainsi que sauvegarde/archivage des données constituent le trio de tête. A l’opposé, « Élaborer un document complexe et structuré » et « Communiquer le résultat de ses travaux en s’appuyant sur un outil de présentation assistée par ordinateur » sont beaucoup plus discriminants puisqu’elles nécessitent des connaissances plus techniques, non nécessairement utiles pour la suite du cursus de l’apprenant.

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Evaluation de l’enseignement digital

18 La majorité des étudiants, participants à l’enquête, semble être consciente du caractère évolutif des TIC. Cependant, et même s’il semble respecter les droits fondamentaux de l’homme, les normes internationales et les lois qui en découlent, un étudiant sur deux ne maîtrise pas ce qu’est sa propre identité numérique (savoir sécuriser un mot de passe, savoir authentifier, concevoir un mot de passe fort, connaître son adresse IP). Les deux sous-catégories de la compétence A2 n’ont pas les mêmes acceptations chez les apprenants. Ce qui soulève le problème de la validation d’une classe de compétences et non pas de toutes les sous-compétences qui la composent. En effet, la certification C2i délègue, le plus souvent, et implicitement, l’apprentissage de la gestion de son identité numérique à l’apprenant en omettant de l’introduire et d’y mettre l’accent. Aucun apprentissage spécifique dans ce sens n’étant dispensé par les formateurs de C2i.

Les résultats montrent que les sujets ne s’approprient pas tous les mêmes compétences numériques. Certaines procédures sont apprises mais non acquises vue la difficulté de les transférer pour un usage personnel et vue l’attitude qu’adopterait un apprenant vis-à-vis des TIC et leurs utilisations. Cependant, et contre l’idée partagée de l’incapacité des étudiants à mettre en place un travail en commun, la compétence B7 « Mener à distance des projets en collaboration avec un groupe » ne semble pas échapper à la maîtrise des sujets.

Les compétences numériques déclarées à « bas niveau » comme « chercher un document », « utiliser le courrier électronique et les forums de discussion » semblent fortement maîtrisées parce qu’elles présupposent des tâches et des actions simples alors que celles à « haut niveau » comme « élaborer un document complexe et structuré » ou « communiquer le résultat de ses travaux en s’appuyant sur un outil de présentation assistée par ordinateur » ne le sont pas. Ces dernières présupposent des tâches complexes difficiles à mettre en œuvre par les apprenants. La difficulté derrière leur fonctionnement, leur réalisation et leur application induit ce faible taux de sujets les ayant assimilés.

Les résultats montrent l’inadéquation entre les compétences numériques exigées par le certificat informatique et internet et les compétences déclarées par les étudiants tunisiens de deuxième année de licence de l’université Tunis El Manar suivant une certification C2i. Nous vérifions ainsi la première hypothèse que nous avons avancée. Le tableau ci-dessous, résume les résultats présentés précédemment.

Les 9 Domaines du C2I Compétences C2I Degré de

maîtrise A1 - Tenir compte du caractère

évolutif des TIC

A1-3 Tenir compte des problèmes de compatibilité, de format de fichier, de norme et procédure de compression et d’échanges.

85 %

A2 - Intégrer la dimension éthique et le respect de la déontologie

A2-1 Respecter les droits fondamentaux de l’homme, les normes internationales et les lois qui en découlent. 80 % A2-2 Maîtriser son identité numérique 57 % B1 - S’approprier son environnement

de travail

B1-5 Maintenir en bon état l’outil de travail (mise à jour, nettoyage, défragmentation…) 63 % B2–Rechercher l’information B2-2 Formaliser les requêtes de recherche 70 %

(30)

Evaluation de l’enseignement digital

B3 - Sauvegarder, sécuriser, archiver ses données en local et en réseau filaire ou sans fil

B3-2 Assurer la protection contre les virus 75 % B3-3 Protéger ses fichiers et ses dossiers (en

lecture/écriture) 64 %

B3-4 Assurer une sauvegarde (sur le réseau, support

externe…) 80 %

B4 - Réaliser des documents à être imprimés destinés à être imprimés

B4-2 Élaborer un document complexe et structuré (compte rendu, rapport, mémoire, bibliographie...) 37 % B5 - Réaliser la présentation de ses

travaux en présentiel et en ligne

B5-1 Communiquer le résultat de ses travaux en s’appuyant sur un outil de présentation assistée par ordinateur

46 %

B6 - Échanger et communiquer à distance

B6-1 Utiliser à bon escient et selon les règles d’usage

le courrier électronique 95 %

B6-2 Utiliser à bon escient et selon les règles d’usage

les listes de diffusion 48 %

B6-3 Utiliser à bon escient et selon les règles d’usage

les forums de discussion 93 %

B7 - Mener à distance des projets en collaboration avec un groupe

B7-1 Travailler dans un environnement de travail

collaboratif : 76 %

B7-2 Utiliser les outils d’un espace de travail collaboratif (plate-forme, bureau ou campus virtuel, …) 65 %

Tableau 2 : compétences et maîtrise [05]

Les résultats précédents montrent l’inadéquation entre les compétences visées par le certificat C2i et celles déclarées par les sujets participants à l’enquête. Cependant, ils n’indiquent pas les origines de ces compétences et si elles sont, exclusivement, issues de la formation C2i.

Le questionnaire que nous avons dispensé montre que les sujets ont des compétences numériques qui précèdent la certification C2i. En effet, les utilisations faites de l’ordinateur dans le cadre familial mais aussi dans le cadre extra familial (dans les clubs et les cafés-internet avec les amis et les pairs) et les apprentissages qui en découlent concurrencent ceux appris à l’intérieur de l’université. Les résultats montrent que les sujets participants à l’enquête savent déjà mettre à jour, nettoyer ou fragmenter leur outil de travail, faire des recherches en ligne et savent protéger leur matériel informatique contre les virus. Ils savent aussi utiliser le courrier électronique, les forums ainsi que les listes de diffusion. Ils ont acquis ces compétences à la maison, sous la tutelle d’un parent ou d’un membre de la famille, ou dans un cyber café avec l’aide d’un ami réel ou même virtuel. Les formations informelles prendraient, dans certains cas, le dessus sur celles institutionnelles. Le tableau qui suit montre à quel point les pratiques extra-universitaires précèdent et influencent celles acquises dans la classe à l’occasion de la certification C2i.

Compétences déclarées acquises suite la formation C2i : compétences acquises dans un cadre extra-universitaire

(31)

Evaluation de l’enseignement digital

20 Le questionnaire montre que toutes les compétences étudiées sont présentes dans la sphère extra-universitaire. Neuf des sous-compétences étudiées (sur un total de 15) sont déclarées devancer la formation C2i et acquises, totalement ou partiellement, avant d’entrer en classe. Les sous-compétences A1-3, B1-5, B2-2, B3-3, B3-4, B4-2, B6-1, B6-2 et B6-3 sont connues par les étudiants qui ont eu à les traiter et qui s’y sont initiés très tôt. Initiations qui sont, le plus souvent, supportées par des sites qui fournissent de l’aide en ligne ou des tutoriels qui permettent d’entamer une démarche de construction d’un savoir-faire particulier. C’est ainsi que les personnes, ayant peu de connaissances techniques, peuvent, à travers le web 2.0, s’approprier de nouvelles fonctionnalités, contribuer à l’échange d’informations et la partager de façon simple, à la fois avec le contenu et la structure des pages, mais aussi entre eux. Les sujets deviennent ainsi actifs et impliqués. Ce qui nous pousse à repenser la place et la valeur de la certification C2i dans le système éducatif tunisien.

Les résultats montrent que les compétences numériques déclarées acquises par les sujets participant à l’enquête ne sont pas exclusivement le fruit de la formation C2i mais qu’ils la précèdent et trouvent origine dans les utilisations extra-universitaires de l’ordinateur. Nous vérifions ainsi la deuxième hypothèse et portons la preuve de l’importance croissante du web 2.0. Il est important de signaler que les tendances et les équilibres se renversent et que dans le cas des compétences numériques, nous ne pouvons plus concevoir les apprentissages comme exclusivement la responsabilité de l’institution universitaire.

6. Conclusion

Après les études de l’évaluation de l’enseignement digital et les moyens de l’évaluation, on peut dire que l’enseignement digital n’est pas comme l’ancien enseignement, il utilise des techniques différents, et minimise le rôle de l’enseignant ensuite facilite la vie de l’étudiant. Il peut accéder au cours sur place et avec peu des moyens. Sauf que la manière d’évaluer change et utilise la notion de compétence.

L’évaluation de l’enseignement digital est une branche importante et efficace pour la technologie de l’information et de communication et le développement des outils d’éducation vu la rapidité et les avantages qu’il présente.

(32)

Méthode de conception utilisée

Chapitre 3 :

(33)

Méthode de conception utilisée

22

1. Introduction

La conception d'un système d'information n'est pas évidente car il faut réfléchir à l'ensemble de l'organisation que l'on doit mettre en place. La phase de conception nécessite des méthodes ou des langages permettant de mettre en place un modèle sur lequel on va s'appuyer. La modélisation consiste à créer une représentation virtuelle d'une réalité de telle façon à faire ressortir les points auxquels on s'intéresse.

Dans notre travail en applique deux types d’évaluation :

2. Evaluation par module : c’est l’examination par module.

2.1Exemple d’évaluation par modules

1ere année licence Mathématiques et Informatique (MI)

Semestre 1

(34)

Méthode de conception utilisée

Semestre 2

Tableau 4 : exemple d’évaluation par module (semestre 2)[06] Autre* = travail complémentaire en consultation semestrielle.

3. Evaluation par compétences : premièrement en passe par l’évaluation par module puis

en faire l’évaluation par compétences.

compétences Evaluation écrite Evaluation orale niveau contenu Algèbre1  × Première semestre

-Rappels sur l’anneau Z -Applications d’ensembles : injection, surjection, bijection, image réciproque,

restriction, prolongement, représentation.

-Relation binaire sur un ensemble : équivalence, ordre -Structures algébriques :

monoïde, demi-groupe, groupe, exemples.

-Homomorphismes de groupes, isomorphismes,

(35)

Méthode de conception utilisée 24 endomorphismes, automorphismes, exemples. -Anneau de polynômes Z[X], R[X], C[X], zéros, polynômes irréductibles Analyse1  × Première semestre

-Nombres réels et nombres complexes

-Suites et limites

-Fonctions à une variable réelle, continuité, dérivabilité -Théorème des accroissements finis -Formule de Taylor et développements limités - Fonctions élémentaire. Bureautique   Première semestre -apprentissage de système Windows, Word ,power point, Excel…etc.

-familiarisation avec les services d’internet Mécanique de point  × Première semestre -Les forces -cinématique

-problème des 2 corps -vibration

-extension des notions de base sur les changements de repères -Introduction à la mécanique du solide, moments d’inertie. Histoire des

sciences

 × Deuxième

semestre

-apparition de la science, ses caractéristiques

-les sciences dans les civilisations anciennes -les sciences dans la civilisation grecque, arabe, européenne

(36)

Méthode de conception utilisée

semestre compétence linguistique générale sur le plan de la compréhension et de la l’expression. -Acquisition du vocabulaire spécialisé de l’anglais informatique. Technique d’expression et de communication  × Première semestre

-Technique d’expression écrite : mémoire, rapport, synthèse, etc.

-Techniques d’expression orale : soutenance, exposé,

utilisation des moyens de communication modernes. Expression et communication dans un groupe.

Structure machine  × Deuxième semestre

-les systèmes de numération -algèbre de Boole Electricité  × Deuxième semestre - Electrostatique - Les conducteurs -Electrocinétique - Magnétostatique Électronique  × Deuxième semestre

-Composants d’un ordinateur Informatique1  × Première

semestre

- Introduction à l’informatique -Structure d’un ordinateur -Représentation de l’information

-Calcul d’expressions logiques -Mécanismes d’exécution d’un programme

- Instructions

-Phase d’élaboration d’un programme

- Conception d’un programme - Langage algorithmique

(37)

Méthode de conception utilisée

26

- Processus de résolution d’un programme

- Entrées – Sorties et Variables - Structures de contrôles -Découpage en sous programmes -Structures de données -Tableaux -Chaînes de caractères -Fichiers Statistique descriptif  × Deuxième semestre

-séries statistiques à une variable.

-séries statistiques à deux variable. Outils de programation pour les mathématiques  × Deuxième semestre - Environnement de MATLAB et Structures de Données. - Opérations Vectorielles et Matricielles. -Ensembles, Polynômes, Fonctions, Dérivation, Intégrales. - Programmation : Fonctions et Procédures. - Graphisme : Représentation Graphique des Résultats. - Utilisation des Fichiers : Lecture et Ecriture.

- GUI : Interfaces Graphiques.

Analyse 2  × Deuxième

semestre

- Intégrales définies, primitives - Equations différentielles du 1er et 2ème ordre à coefficients constants.

Algèbre 2  × Deuxième

semestre

-Espaces vectoriels de dimension finie, bases, sous espaces.

-Applications linéaires, matrice d’une application linéaire.

(38)

Méthode de conception utilisée

-Déterminants

-Applications aux systèmes d’équations linéaires, système de Cramer.

-Opérations sur les matrices. Informatique 2  × Deuxième semestre -Rappel -Manipulations de tableaux -Méthodes de recherche - Méthodes de tri - Notion de complexité -Manipulations de fichiers -Les structures d’enregistrements - Traitement des fichiers structurés

-Allocation dynamique -Structure de données : Listes -Structure de données : Piles

Anglais 2   Deuxième semestre -Anglais de base -Anglais technique -Préparation au TOEFL Architectures des ordinateurs  × Troisième Semestre

-machine de Von neuman -architecture externe du microprocesseur 32 bits -programmation structurée et les appels de procédures Logique mathématique × Troisième Semestre -calculabilité -calcul proportionnel -calcul des prédicats Programmation

orienté objet et Génie logiciel

 × Quatrième semestre

-introduction au génie logiciel -approche orientée objet -introduction a un langage orienté objet

(39)

Méthode de conception utilisée 28 Système d’information  × Troisième Semestre

-définition d’une organisation -introduction aux systèmes d’information -notions d’analyse et de conception d’un SI Théorie des langages  × Quatrième semestre -langages -automates -langages réguliers et algébriques, à contexte lié -Machine de Turing Analyse numérique  × Troisième Semestre -notion d’erreurs -approximations e interpolation polynomiale -dérivation et intégration numérique

-résolution de système linéaires et non linéaire

-résolution d’équations Base de données  × Quatrième

semestre -introduction de base de données -architectures de base de données Système d’exploitation1  × Quatrième semestre -introduction aux SE -mécanismes de base d’exécution de programmes -gestion des E/S physiques -gestion du processeur centrale ,mémoire,périphériques,fichier s Développement d’application web  × Deuxième semestre -introduction à internet -réseau et communication -introduction à www -technologie des données -interactivité sur le web Programmation  × Quatrième -Rappels mathématiques

Figure

Figure 1 : La certification C2i [05]
Tableau 1 : Domaines, compétences et indicateurs [05]  5.4Principaux résultats
Tableau 2 : compétences et maîtrise [05]
Tableau 3 : exemple d’évaluation par module (semestre 1)[06]
+7

Références

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