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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Femmes, Sciences et Technologie

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Academic year: 2021

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FEMMES, SCIENCES ET TECHNOLOGIE

BALZANO Emiliol,z, BRUYAS Anne.Mariel.', CAMPANELLA Chiara' 1 - Fondazione IDIS-Citta della Scienza, Napoli Otalie}

2 - Uni. degli Studi di Napoli "Federico

n".

MOTSCLÉS : REPRÉSENTATION DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE -FÉMINITÉ - STÉRÉOTYPES

RÉSUMÉ: Les filles qui choisissent les filières scientifiques sont, encore aujourd'hui, en minorité, en particulier en ce qui concerne les sciences dures etles techniques. Persistance des stéréotypes socioculturels, manque de modèles, une image de la science trop masculine, manque de confiance en soi, des formations inadaptées: de nombreuses hypothèses sont avancées pour expliquer ces attitudes et componements différents envers la science et la technologie.

SUMMARY : Girls are still today not very often involved in scientific studies. This paper will deal with sorne of the hypothesis postponed to explain this phenomenon.

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1. INTRODUCTION

Les filles qui choisissent les filières scientifiques sont, encore aujourd'hui, en minorité, en particulier en

ce qui

concerne les sciences dures et les techniques. D'autre part, J'évolution de la science en cette fin de millénaire est fonement conditionnée par le développement des technologies ; la relation étroite entre science et art, l'introduction massive des technologies dans cenaines formes artistiques, les expressions artistiques de la science... Tout ceci laisse penser que ce nouveau panorama peut encourager une présence féminine dans les matières scientifiques plus importante qu'elle ne l'aété dans le passé. L'objectif de cette présentation est de voir combien l'enseignement des sciences et la culture scientifique, anneaux essentiels dans la transmission du savoir scientifique, peuvent jouer un rôle fondamental pour stimuler la participation des filles dans ces nouvelles disciplines.

2. FILLES ET GARÇONS: ONT·ILS UNE APPROCHE DIFFÉRENTE DES MATIÈRES SCIENTIFIQUES ET TECHNIQUES?

Denombreuses hypothèses avancent que les hommes et les femmes ont des attitudes différentes envers la science etlatechnologie. D'après les travaux de Luce Irigaray, nous pouvons établir un schéma très synthétique des attitudes des femmes et des hommes dans la vie de tous les jours (fig.1). Dans la pensée sauvage, Lévy Strauss exprime ces différences par la métaphore de l'homme "ingénieur" et de la femme "bricoleur". L'ingénieur effectue le projet à l'amont, alors que le bricoleur travaille sur les matériaux qu'il a à sa disposition. Turkle et Papen, qui analysent les comportements des filles et garçons par rappon à l'ordinateur, soulignent que les potentialités d'utilisation de ce dernier sont exlIêmement réduites, car il privilégie une façon de faire masculine. Ces hypothèses ne sont cenainement pas suffisantes pour résumer aussi rapidement les diverses approches des filles et garçons envers la science. Elles servent néanmoinsànous montrer qu'il existe des diversités entre les deux sexes; le rôle des institutions qui enseignent et diffusent le savoir scientifique - que ce soit de façon formelle à l'école ou informelle dans les centres de culture scientifique - est de faire émerger ces diversités plutôt que d'atténuer l'une ou l'autre afin d'éviter une approche trop masculine à la science comme cela a été le cas jusqu'à maintenant.

2. LE REFUS DES FILLES POUR LES SECTEURS SCIENTIFIQUES

Selon les données de l'Institut Italien de Statistiques, le choix élèves dans les filières professionelles du secondaire est déjà très différencié selon le sexe (voir fig.2). Les lycées professionnels préparant aux secteurs de la mécanique, de l'électronique ou à d'autres métiers techniques sont exclusivement masculins. Au contraire, les filières préparant aux débouchés sociaux, paramédicaux, aux métiers de l'Éducation et du tourisme sont fréquentées exclusivement par les filles. Lorsqu'il s'agit donc de faire un choix impliquant son futur professionnel, bien que n'ayant pas d'inaptitudes spécifiques à

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l'apprentissage des techniques, les filles refusent catégoriquement ces filières pour des raisons d'ordre social et culturel. Encore aujourd'hui les stéréotypes masculins et féminins persistent même s'ils sont moins marqués qu'avant, et conservent une place importante dans l'éducation des enfants si bien dans le milieu familial que scolaire.Laprésence des filles et garçons au lycée scientifique est paritaire (48,3%) alors que dans les lycées littéraires et linguistiques, elle reste largement féminine (respectivement 68,3% et 82,9%). Ceci est le cas pour l'Italie (voir fig.2) mais également pour grand nombre de pays européens. D'après les études menées par l'Association Française des Femmes Mathématiciennes, les filles ont même souvent de meilleurs résultats que les garçons en mathématiques bien qu'il s'agisse d'une matière où elles se sentent généralement moins à l'aiseet moins sûres d'elles: 62% de filles se considèrent fortes dans cette matière - 72% de garçons. Au delà de l'image que peuvent avoir les filles de la science - nous y reviendrons - le manque de confiance en elles les influence certainement dans les choix qu'elles opèrent à l'université. Aujourd'hui 52% de filles entrent à l'université, mais seulement 25% d'entre elles suivent des études scientifiques et technologiques. Toujours selon les données EUROSTAT, elles sont très présentes dans les Sciences Médicales et Naturelles atteignant 50 à 70%, mais beaucoup moins dans les autres filières scientifiques comme les Mathématiques et l'Informatique (25% environ) et les Sciences de l'Ingénieur (20% environ). Au-delà de l'enseignement supérieur, les statistiques différenciées par sexe au plan national mais surtout à celui international afin d'estimer la présence des femmes dans les carrières scientifiques (instituts de recherche et entreprises) sont plutôt rares, voir inconnue. Nous reporterons à titre d'exemple ici les données reccueillies par Mary Osborn (figure 3) pour la préparation de la conférence européenne "Women and Science".Laconclusion est flagrante: plus on monte dans la hierarchie, plus les femmes se font rares.Lacarrière scientifique représente pour eUes dans tous les cas un iiparcours à obstacles" même si celui-ci semble plus accentué dans certains pays plutôt qu'ailleurs. Il est intéressant de noter, bien que l'on ne puisse pas l'approfondir ici, le partage nord-sud. Les pays du nord de l'Europe, plus industrialisés et avec une économie plus compétitive, sont ceux qui affichent les pourcentages les plus faibles.

3. L'IMAGE DES SCIENCES

Si l'on veut accroître la proportion des femmes dans ces secteurs, il convient avant tout de mener une action dans l'enseignement scolaire et dans la culture scientifique afin d'améliorer les modes de transmission du savoir scientifique. Il faut par exemple encourager le milieu scolaire à utiliser des modes d'enseignement et d'évaluation qui tiennent compte de cene diversité, donner une meilleure information sur les métiers scientifiques et les débouchés qu'ils offrent aussi bien aux filles qu'aux garçons. Il s'agit également de donner une représentation moins sexuée et plus attrayante des sciences mettant en évidence leur impact sur le développement de la société, l'environnement et la santé. Il faut créer des moments de rencontre entre femmes scientifiques et jeunes. Comme le soulignait F. Collin (colloque tenu en avril

98 à

la Commission Européenne) ; "L'essor des techno-sciences, leur impact sur la transformation du monde et sur la vie quotidienne ne doivent cependant pas nous amener à

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mythifier la Science (avec majuscule) et à faire de tout scientifique un démiurge. Ce serait céder à un néopositivisme aussi fallacieux que redoutable. Il s'agit bien au contraire de démystifier cette image, d'ailleurs largement médiatisée, et de rappeler que derrière la Science, il y a des hommes - hommeset

femmes -

avec

leur

choix éthiques et politiques".

4. HYPOTHÈSES DE TRAVAIL

Les organisations nationales et internationales sont conscientes de cette non égalité des chances dans ces domaines spécifiques et avancent de nombreuses recommandations pour l'affronter, allant de la formation scientifique des filles à la présence des femmes dans les prises de décisions. Les travaux de l'Unesco, à l'occasion de la Conférence des Nations Unies pour les femmes (pékin 1995), et de la Commission Européenne, dans le cadre de la préparation du Cinquième Programme Cadre pourla Recherche Scientifique et le Développement, sontlà pour le démontrer. De nombreuses recherches internationales ont été entreprises par des scientifiques femmes elles-mêmes, par des organisations féministes, par des groupes de recherche universitaire en sciences sociales et sciences de l'éducation, mais peu d'indications sont données, alors que le monde l'éducation, et en particulier les écoles ont nécessité de se confronter avec des expériences et des propositions plus concrètes.

Solliciter les filles à entreprendre des carrières scientifiques ettechniques signifie avant tout les préparer et les former à ce choix. Il est donc indispensable d'améliorer l'enseignement des sciences, prenant en compte la différence entre les individus, et donc également entre les sexes, mais aussi d'être attentif à l'image souvent trop dur, compétitive et masculine que pone la science avec elle, dans les médias et les musées notamment. Il ne s'agit pas ici de donner des réponses mais de confronter expériences et pratiques sur l'enseignement et la culture scientifique, tirant profit en particulier de l'usage des nouvelles technologies.

La Fondazione IDIS-Ciuà della Scienza a conduit différentes actions dans ce secteur ces derniJes années, répondant notamment aux actions menées par le Ministère Italien de l'Éducation Nationale en ce qui concerne l'égalité des chances. Deux activités spécifiques seront illustrées lors de la présentation: une exposition posters sur les femmes et la science, un produit multimédia pour formation des enseignants.

l'exposition poster intitulée "L'autre moitié de la science" composée de 15 posters qui retracent un histoire des sciences au féminin et leur présence aujourd'hui dans le monde scientifique. Celle exposition était accompagnée d'une video qui donnait le témoignage des femmes impliquées aujourd'hui à différents niveaux dans le monde scientifique.

le multimédia "La marganemone é un fiore. Genere, Scienza et Tecnica". Réalisé pour le Ministère Italien de l'Éducation Nationale, ce multimedia a pour but d'apponer aux enseignants de l'enseignement secondaire professionnel, des réflexions et instruments pédagogiques les stimulant à tenir compte de la différence entre les sexes dans l'apprentissage des sciences et des techniques. Il présente un panorama d'activités didactiques, de démonstrations scientifiques, des manipulations qui montrent la science sous un autre angle. Elles est abordée souvent selon une approche

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pluridisplinaire, de façon ludique, présentant les retombées du progrès scientifique au niveau social et sur l'environnement. Ces exemples sont encadrés par des réflexions d'ordre pédagogique qui donnent la démarche suivie et analysent les différentes compétences mises en œuvre.

Pour arriver aux réflexions suivantes nous sommes partis du fait qu'il est important que les différents styles d'apprentissage et modes de faire coexistent dans les procedés d'acquisition de la connaissance scientifique. Si l'on réussit à entreprendre un apprentissage des sciences qui ne soit pas masculin, tout le monde en bénéficiera.Lerôle de l'enseignantàl'école, ou celui de l'animateur dans un centre de culture scientifique, est de savoir observer avant d'intervenir. Nous donnerons donc ici quelques hypothèses de travail montrant comment une autre approche des sciences et des technologies peuvent mettre en évidence les différents modes d'apprentissage chez les filles et les garçons.

a) Stimuler les émotions et le jeu

Les manipulations scientifiques ou d'autres moyens museologiques modernes utilisés pour présenter la science au plublic dans les centres de culture scientifique sont basés sur une approche esthétique et spectaculaire qui ont pour but de provoquer des émotions chez le visiteur et de stimuler sa curiosité l'impliquant ainsi totalement dans le phénomène illustré.

b) Présenter une autre image de la science

Comme nous l'avons mentionné auparavant, la science a une image avant tout masculine une apparence dure, complexe et compétitive, dont les effets sur l'homme ou son environnement sont parfois néfastes. L'image du Scientifique est celle d'un homme acharné dont les journées sont interminables, restant isolé dans son laboratoire. Peu de femmes ont été reportées dans l'histoire des sciences écrites par les hommes. Peu d'entre elles accèdent aux niveaux les plus prestigieux de la reconnaissance scientifique: seulement Il Prix Nobel sur 411 attribués en sciences ont été donnésà des femmes! Il s'agit donc de présenter aux jeunes d'aujourd'hui de nouveaux aspects de la science: - celui historique retraçant une histoire de la science au féminin (voir les 8 premières affiches de l'expo et "la galerie des femmes scientifiques" dans le multimedia) qui rappelle notamment la contribution de nombreuses femmes scientifiques qui ont travailléà l'ombre de leur homologues masculins (souvent frères ou maris d'ailleurs);

- celui esthétique en développant les liens entre l'artetla science: 10 cadres d'artistes contemporains ont été choisisàcet effet pour représenter les images de fond de notre multimedia; le fond musical est une antiphone d'Hidelgarde de Bingen la plus grande scientifique du XllIe siècle; la littérature .... mais également en mettant en évidence les côtés esthétiques des expériences scientifiques sur les couleurs, la lumière, les ondes....

- celui social et culturel, qu'il soit négatif ou positif. Il est indispensable de montrer que la science est faite PAR les hommes, SUR les hommes et POUR les hommes - qu'il s'agisse d'eux-mêmes ou de leur environnment.

c) Encourager le débat et la discussion

Deux aspects sontàconsidérer ici . Il est essentiel de que tout apprentissage scientifique stimule de débat dans la classe ou parmi les visiteurs.Lesystème scolaire est aujourd'hui trop souvent orient_

sur le système de l'''offre'' et non celui de la "demande", Les élèves doivent "engloutir" un certain

nombre d'information scientifique durant les cours, et sur les manuels... ils ont moins l'occasion de

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poser des questions, de développer leur curiosité et leur sens critique. Il serait ensuite nécessaire que les visiteurs et en particulier les jeunes puissent avoir l'occasion de rencontrer des scientifiques et en particulier dcs femmes scientifiques.L'opération Global (Ex)Change à laquelle nous avons participé,

et qui aétéillustrée durant ces

Journées, est un excellent exemple d'action par laquelle

il

est possible

d'instaurer une "correspondance" entre jeunes et scientifiques. Organiser des rencontres entre jeunes et femmes scientifiques; encore faut-il que le temps consacré par ces femmes, chercheuses ou ingénieures soit valorisé dans leur carrière.

d) Apprendre en coopérant

L'apprentissage des sciences par les activités didactiques et les démonstrations scientifiques, telles qu'elles sont proposées dans les centres de culture scientifique et reproduites dans le multimedia, permettent de travailler en groupe, de formuler des hypothèses, d'élaborer des données expérimentales et de discuter ensemble les résultats. Le rôle des personnes qui conduisent l'activité, qu'il s'agisse de l'enseignant ou de l'animateur, est alors de faire participer toutes les personnes du groupes, tenant compte des différences d'apprentissage et d'expression de chacun, afin d'encourager une discussion constructive.

e) Différents modes de raisonnement

Suite à un phénomène scientifique, les personnes responsables de l'animation du groupe doivent permettre il chacun d'exprimer son propre point de vue, de donner son interprétation du phénomène scientifique observé, ses réactions de telle sorte à encourager les différents comportements présents dans le groupe.

1)

Utiliser toutes les compétences

Le grand nombre d'activités scientifiques proposées dans le multimedia permettent de faire émerger toutes les compétences, cognitives ou expérimentales, afin de préconiser la diversité et permettre à chacun d'utiliser ses propres atoûts : utilisation des nouvelles technologies, habilités manuelles, ...

g) Concret et abstrait

Les musées et centres de culture scientifique montrent souvent comment la science est présente dans notre vie quotidienne. Par un grand nombre de petites expériences comme celles illustrées dansle multimedia, le public peut comprendre très facilement des théories, modèles ou concepts scientifiques qui leur paraissaient beaucoup plus complexes.

S. CONCLUSIONS

Toutes ces approchent tendentàfavoriser tous les comportements et approches envers la science, de faire émerger les diversités entre les sexes, mais bien sûr dans chacun des individus également, sans favoriser l'un ou l'autre. 11 est important, que les professionnels de la transmission du savoir scientifique que nous sommes, sachent montrer une "autre science", moins masculine que celle qui a été diffusée jusqu'à présent.LaScience a besoin des connaissances qui naissent de la diversité des citoyens et de leurs intérêts, elle ne peut continuer à refléter les préoccupations et les intérêts d'une seule catégorie depuis trop longtemps dominante.

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Les temmes tendentà privilégier Les hommes préfèrent - les relations entre les personnes - le rapport personne/objet - le respect de ce qui existe, notamment du vivant - la création de nouvelles choses - les règles de la vie commune -l'acquisition d'habiletés - le concret (naturel et artificiel) - l'abstrait (notions, idéaux, ...)

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Figure2. Présence des fil/es et garçons dans l'enseignement secondaire en Italie. %filles

Total Ecoles secondaires sunérieures 49.9

Ecoles professionelles 44,8

- A2ricoles 27,1

- Industrielles 15,5

- Marines 1,7

- Services commerciaux, touristiaueselDublioues 77,9

. Services hateliers et restauration 32,5

- Services sociaux 91,6 Ecoles techniques 387 - Agricoles 20,4 - Industrielles 9 Aéronautioues 6,2 -Nautiques 4,7 - Commerciales 56,7 - Construction 166 - Tourisme 84,9 - Experts d'enlreorises 85,8 - Féminines 88,6 Lycées 55,8 - Scientifiques 48,3 - Littéraires 68,3 - 82,9 Ecoles magistrales 98,4

- Institut de formation des maîtres - ensei2nemenl primaire 91,9

- Instituts artistiques 67,7

- Lycées artistioues 70,1

Figure3.Femmes dans l'enseignement supérieur à différents niveaux, toutes disciplines confondus

Année Full Assac Assisl.

Autriche 199617 4 7.8 21.9 37 Pays-Bas 1996 4.6 7.2 18.9 Irlande 1995/6 4.9 6.5 15.8 28.8 Allemagne 1996 5.1 8.5 Belgique 1996 5-7 7-8 Danemark 1995 6 19 29 U.K. 1994/5 7.3 16.4 30.9 32 Suède 1995/6 8 20 43 Esn..ne 1994 10 33 halie 1993 10.1 25.3 39.8 Finlande 1995 12.8 22 France 1995/6 13.2 29.9 37.1 Turauie 1996/7 21.5 30.7 28 Nouvelle Zélande 1996 9.1 7.3120.4 42.8 Australie 1997 14 23 40.7 U.S.A. 199617 17.9 33.5 46.0

Figure

Figure 2. Présence des fil/es et garçons dans l'enseignement secondaire en Italie. % filles

Références

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