mglede pertes soitaussi
r
éduit que ConclusionCegé
n
érateurBP.
,réduita
une bo-condensateuret unpotentio
-simplicitéquelquesqua
-binc
.
m
ètreJoint
à litésimportantes.
Le synchronismeestautomatiqi
assur
é quels que soient Let C.
enslon
.
de l’ordrede4volts,qui dépenddela bobineet de l’excitation, suffita
l'attaque d'une
lampe desortie.
Quellesun
met la vérification de la senslmesures
amplificateurpermetBP-
U ?.
, del'usure
-ipe
.
de l'effet d’une
contre-t .
surtout,
dev
érifier si le de distorsionn
'est pas excessif.
Pour les émetteurs,Upeutrendre degrandsser-vices dans leréglagede la modulation
.
so *
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Les figure» 2et3 Indiquent la dispo
-sition de» piècessurle panneau avant et le châssis
.
ainsi qu©le perçage ( les des-sinssont à l’échelle)
.
Larigidité étant essentielle, de l’aluml-nlum de16/10a étéutilisé;onpourrait mêmeprendreavantageusement du20/10
.
Les figure»3 et 4 Indiquentlepliage des deux parties ; la rigiditéneseraque meilleure, si le châssis estexécuté les trois côtés repliéssur
toutela hauteur (4cm)etrivés.
(provenant de lampes«mortes*)parune tigefiletéeenmatière Isolante.
de14 à 30mètres :8toursde10/10
Nous
avons
réalisé laquelleonbobine du filnude La prise cathodique est faite à 2/3iage n’en
s’apercevra quetoutesles connexionsHJ
.
sont courteset •fil
.
L’ajustableCr sesdu support deservant de
n
estutile de prrelaisC*-
évoirCT.
unecoese
relais visséesur
la demandenttrès peu de est fixé entre deuxcos-bobinage
.
lacosse
mortebobln descendreencoreplus bas
.
nous naissons malheureusementpas la limite Inférieure,tout oequecertitude, c’estq rleure est àpeude chose près8 Il comprend,surculot de lampecomme précédemment, deuxtoursde filnu10/10
pas de 10 mm)les connexions 6C6
-
R*.
rabattue du châssis, ainsi que defilblindé de petit diamètre(8 écran
-
Raetgrille-nous
pouvons dire lalimite supmètresé- .
,prisedecathodeà châssis
sous
letranafor-un assez encombrant est oolllercontrela partie sis
.
Kolsnrrle
,
prisesîlemasee.
Le» masses de chaqueé tage vont àunecosse
mul-tiple prise
support de lampe ettoutesles sontréuniespardu16/10
Placer les • deséléments
fUs desqu’condensateursunminimum de111et résistancesdecâblage
.
11: 1enfaudra , mieux cela vaudra.
trois111s pour évl
-MOnter d'abordles éléments fixéssur le chftssls.Une partie du découpageprévu
C
.
V.
est conservéeetrabat-
écroude fixation du pour loger letueà angle droit
.
On yfixe leC.
V.
lequelonplaceledémultlpllcateur.
Surlepanneau , percécommeIndiqué figure3
.
prévoir , derrièrela fenêtreduca-dran
.
unsystèmesimple(cosse et oeaude filnu)quiserved'algullle Indi-catrice
.
1«cadrantransparentsera
éclairé par derrièreparunelampe 6.3 V dont soudera le support àune cossedemasse rivée àla partiesupérlFixer provisoirement 1 Provisoirement,parcequ’ilseranécessaire delesfairetournerpour souder les nexlons
.
Avantdeoommencerlecâblage, prendresous
l’écroudefixation dusup-port de la 6SH7
pliéconvenablementqui servira d'écran
.
Oâbler.
SI l’ona respectéleplan do perçageet l’orientation des supports, nu.
.
prise de cathode à 3 demi de lamasse; à60mètres : 40 toursde60/100 émaillé (flg.
6), deuxtours prise docathodeâ11tours spire dans la gorgeNousn'avonspas fait d’où l’on faitessais au111« prise )est facile-
des.
-Umètres
.
30 organes de découplageau ras
à découpler
.
En utilisant les degorge ,• seule
(
une
fautmoles1
L’alimentationeatassuréepar tressés, decouleurs différentes terdeserreurscoûteuses
.
Onpeut utiliserun culot4 broches l’alimentation,
comme
nous
l'avonsfait, coffretlequell’arrière
onenlaisseglisse le rétôlepasser lesd’alumlcep-
-sus de60mètres.Par dedescendre plus bas maislesrésultatsétantsusceptibles de variationsImportantes selon 1© apporté â laréalisation,nous
ne
don lesrenseignementscl-
aprèsqu’à documentaire.
Oe7&14mètres : lebobinage estexé
-cuté
sur
leculotquisert de mandrin.
(diamètre30mm).
On traoe un©légèregorge, 3tourslire,
que duC
.
V.
lespotentiomètres
.
support de80et rla connexion à Ilestpossible,fils d’alimentation
.
L’encombrement hors touteat130X 175 X 120M E S U R E S d e Q
est
enr
ésonance sur un
signal appliqué.
Or.
un circuit oscillant présente aussi despropriétéss
électives.
Voyonscom
-ment
se
détermineson
coefficient des
é-lectivité
. n
suffit pour cela de considé-rer
lerapportdesamplitudespour la fréquence de résonance
P„
et pourune
fréquencevoisineP„ +
AP.
AP étant
suf.
fisammentfaible vis
-
à-vis deP, .
Pour la bobine,
ce
coefficient est égalà—
Lw5
- puisquel'on a
, à lar
éso
-Cesont lesbobinagesquidéterml. nent surtout lesperformancesd’
un r
écepteur, plussensibilité et sa
s
éintéressant de déterminer leur «qua
-lité»
.
Nous allons montrer que lame
-sure
du coefficient desurtensionper-met de caractériser
un
bobinagedonné.
NousIndiqueronsensuiteles
m
éthodes pratiquesdecettemesure.
Rappel de quelqueg
notion*
circuit oscillant
com
. posé d'une
self-
induction L et d'une
capacitéC.
Injectonsdansce
circuitun
signalde tension E.Lorsque,à la r ésonance.
LCor1- =
1(uétantlapulsa-tion dusignal Injecté),lecourantqui particulièrement sa
lectlvlté
.
Ilest donc 1nance,Lu
.
Cw
SI l'on considè
re
la courbeder
éso
-nance
d'un
circuit oscillant,l' ampli-tude maximum dépenddu coefficient desurtension que l'on
désignegéné-ralementparla lettreQ(qualité)
.
Cer-* • = -
E5
-Considé
rons
II
*.
S- —
Mé thodeIndirect*demranrr de q.
tainsauteurs français utilisentment
comme
symbole lalettreS.
L’exa
-men
desfacteurs decette formulecon
-duit àquelquesconstatations.
Tout d'abord,la valeur delaself-
inductionLr .
’estpasune
constante absolue et doit êtreindiquée
pourune
gammedefré-quences déterminée
.
Il faut donc compa. parerau
pointdevue
«qualité»des bobinagesprévus
pour couvrirmes
Identiquesou
établispourdesfré-quences donné
es.
Leterme R représente la résistance enHP
. :
pertes par échauffement(effetile
-
I, =
E\w + (
L“
~cZ
1\ ‘
Onétablit lerapportde1«
,
àI»et l'on
trouve après transformation etsimpli-fication : Fig
.
1. —
Un circuitayantan coefficientdelurtaaslonpasélevéa naneepin»hante,ce«aivent
pli
.
adcà larésonance e-
4circuleà l'intérieur ducircuit est égal àI
=
E/Ret la tension Uaux
bornes nne courbe dedireplu.
<|erUCandcram
réoo. -
-— N /
1+ v ( )
'desgam
-
On voit doncquel'affaiblissementa, apporté par le circuit pourune
fréquence Fré, ±
4P parrapportà sa fréquencedesonance Pc
varie dans lem
ême sens
Edu condensateur U suffisamment faible,üestplus grand que la tension dusignalInjecté
.
On coe/licientde..
SIRest RCw appelle leterme 1 surtension.
RCcJoule),pertespar hysté
r
ésis diélectri-quedans les Isolants(mandrin, diélec -triques
. etc.
),pertespar Induction dans le conducteuret dansleblindage,s'il existe.
Pour les condensateurs,les pertessont généralement faibles,si bien qu'
on
peutles
négligervis-
à-
vis de celles de la bobine.
Les pertesH P
.
sont d'autrepartfonc-tion de la fréquence
.
C'est pomesure
comparativedu coefficientde surtension doit être effectuée pour lam
ême fréquence.
que le coefficient de surtension et que 2AP le désaccord relatif
— = — .
On peut tirerP
.
lae*t le bI oandona an cire anecourbedorésonance écouléev>trouvebrouillée, choréereprésente la courbe(b)représente uncircuit donnant la mêmeamplitude quelepremier, minant le brouilleur
.
LaLr|f«rde an affaiblissement.fréquencede la station réquencedela
eolt F!«
. * .
écoutée, foest
perturbatrice
.
Q station égalementdecette formule lalargeurde la bandepassanted'
un
circuitayant pourun
affaiblissementdonnéa,un
coefficient dé surtensionQdéterminé.
Dans le
cas
decircuitscomplexes, le coefficient de surtension ntoujoursdansune
relation dlrectem'Intcrvlent; —
...proportionnelle,mais la connaissance decelui
-
cipeutêtre utile pour détermi-ner
lesperformancesdel'ensemble.
Nous pouvons citerle
cas
dugain ayantlastation (a),
Lapartieha
-debrouillage
.
La maisia bande«
Il-urquolla pas
lent
Jusqu'Ici,
nous
avonsenvisagélasur
. tensionquise
produitlorsquele circuitfo
‘=
>1 1=
Ml n’
—
1121
1 U
.
T -
Q*“@ GS
Lâ P
I®
à laA lacapacitancer
ésonance
, la: r
éactance
«CR.
est égaleG
énérateurHCstabilisé Voitmitre à
lampe de sortie