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Les troubles pigmentaires se situent en cinquième position au niveau

tranche d'age

8) Les troubles pigmentaires se situent en cinquième position au niveau

des zones enclavées, ceci s’explique par les conditions de travail et l’absence des mesure de photoprotection ; avec 33 cas de mélasma soit 42% et 25 cas de vitiligo soit 32%. Par ailleurs, au niveau de la consultation, ils se situent en huitième position avec 76 cas de vitiligo soit 53% et 65 cas de mélasma soit 45%.

La prévalence exacte de mélasma dans la plupart des pays est inconnue, estimée à atteindre 40% chez les femmes et 20% chez les hommes [71 ].Mélasma représente 0,25% à 4% des patients vus en consultation de dermatologie au Sud-est de l’Asie [72]et 0 ,5% des consultations à la Singapore avec une incidence maximale dans les 30 à 44 ans.[71]

Selon une étude menée en Iran, La prévalence du mélasma est de 15,8%, malaire chez 65,9% des cas, 33,8% centrofaciale. Des antécédents familiaux de mélasma étaient présents dans 54,7% des cas, il y avait une relation significative statistiquement entre mélasma et l'origine ethnique, le phototype. Les facteurs étiologiques du mélasma retrouvés sont : 14,5% des cas dus à la grossesse, 9,8% à l'exposition au soleil, 4,9% à des troubles hépatiques, 4.9% à la nutrition et 1,6% au sexe du nouveau-né. Les caractéristiques cliniques et anatomopathologiques sont identiques dans les deux sexes. [73]

Vitiligo est la plus fréquente des hypomélanoses. Sa pathogénie est inconnue. Elle se caractérise par une disparition progressive des mélanocytes de l'épiderme, des follicules pileux et des muqueuses. Il se présente comme une

dermatose acquise, mais dans un 1/3 des cas, on retrouve des antécédents familiaux peut en suggérer une étiologie génétique du vitiligo. [74]

Il représente un motif fréquent de consultation d'une part parce qu'il atteint plus de 1% de la population, d'autre part parce que les conséquences psychosociales qu'il induit sont souvent importantes. Les 2 sexes sont atteints avec une égale fréquence. L'affection peut apparaître à tout âge mais avec un pic de fréquence chez l'adulte jeune (2ème et 3ème décennies).

Cette dermatose ne représente pas un simple problème esthétique mais elle pose également des problèmes thérapeutiques difficiles. [75]

Ensuite on trouve les infections sexuellement transmissibles :

La forte incidence des IST au Maroc au niveau des régions : Béni-Mellal, Khénifra, Khémisset, Kénitra, Rabat, Salé et Marrakech.

Plus de 350.000 nouveaux cas d’IST sont enregistrés par an selon le ministère de la Santé depuis 2001.

En 2009 et selon les données de la direction d’épidémiologie du ministère de la santé le nombre de cas déclarés était de 421 356 ; la tranche d’âge la plus touchées c’est entre 20 et 40 ans avec 65% des cas. [76]

Les IST en consultation représentent 4% avec en tête de la liste les condylomes, alors qu’au niveau des zones enclavées ils représentent moins de 1% ; ceci s’explique par le refus des patients d’être examiner généralement par pudeur ou par ignorance de ces maladies et de leur gravité.

Les IST représentent un problème très grave et leur incidence annuelle est de 340 millions d’individus atteints. Les femmes sont 5 fois plus touchées que les hommes et la tranche d’âge la plus concernée varie entre 15 et 19 ans. [76]

En tête de liste dans les 2 échantillons, on trouve les condylomes ; Ce sont des infections dues au HPV, on distingue plus de 120 génotypes, 20 d’entre eux ont un tropisme génital dont certains ont un potentiel oncogène bien documenté dans le cancer du col de l’utérus. [77]

Il s’agit des IST les plus fréquentes dans les pays développés en raison des formes latentes.

Le dépistage systématique par frottis des infections HPV cervicales assure la prévention du cancer du col. [78]

L’infection VIH et l’immunodépression augmentent la prévalence des infections HPV, la sévérité des récidives et la progression des néoplasies intra épithéliales. De ce fait, leur incidence est en augmentation prédominante dans tous les pays développés, touchant avec prédilection les jeunes âgés de 16 à 25 ans. [79]

Ensuite, on trouve l’alopécie 10% des résultats groupe consultation et

uniquement 10 cas des résultats des caravanes.

Dans notre étude les principales alopécies enregistrées sont l’effluvium télogène, l’alopécie andro-géno-génétique et la pelade.

Selon une étude réalisée lors des consultations au service de dermatologie au Burkina Faso (une étude rétrospective sur 2 ans) : La prévalence de l'alopécie est de 1,02%. Elle concerne généralement les jeunes qui sont élèves ou étudiants. La perte de cheveux est généralement asymptomatique, l'apparition est souvent progressive. L’alopécie est diffuse dans 13,20% des cas, 13,20% partielle, 54,71% des cas teignes (21 cas), la pelade (14 cas), Folliculites

chéloïdiennes (6 cas), alopécie androgénétique (4 cas), alopécie de traction (4 cas) et alopécie cosmétique (2 cas). [80]

Ensuite les toxidermies 2% des résultats de la consultation et 2 cas des résultats des caravanes vue que c’est une réaction aigue nécessitant une prise en charge rapide.

Le faible pourcentage en consultation s’explique par le fait qu’il s’agit d’une urgence thérapeutique nécessitant une hospitalisation dont la plupart des cas.

Les toxidermies sont des effets cutanés des médicaments administrés par voie générale, elles représentent un véritable problème de santé publique intéressant 10% de l’ensemble des patients hospitalisés et elles sont graves dans 1/4 à 1/3 des cas .On les observe chez 1 à 3% des utilisateurs de nombreux médicaments d’usage courant. [81]

Les toxidermies sont bénignes dans 90% des cas, les formes graves sont rares (1 cas pour 10 000 à 1 000 000 patients traités.) tel que le choc anaphylactique, la pustulose exanthématique aiguë généralisée : PEAG, Le syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse ou syndrome DRESS (drug reaction with eosinophilia and systemic symptoms), Syndromes de Stevens-Johnson et de Lyell (nécrolyse épidermique toxique Ŕ NET).

Le délai d’apparition est variable de quelques minutes (anaphylaxie) à 6 semaines voire des mois. [82]

Selon une étude menée dans le service de dermatologie en Algérie du 1981 à 2004 : L’âge de survenue de ces réactions est variable entre 20- 50 ans. Il n’y avait pas de différence entre les 2 sexes. Pour nos résultats l’âge des patient >45

représentait 43% ceci avec une prédominance féminine 66% des cas .L’exanthème maculo-papuleux est le tableau le plus couramment observé dans plus de 25% des cas. Les toxidermies bulleuses étaient observées dans plus de 15% des cas. D’autres réactions cutanées ont été constatées de type pustulose exanthématique aiguë généralisée, érythème pigmenté fixe, urticaire et œdème de Quincke. Pour nos résultats on note 5 cas d’érythème pigmenté fixe(bien que dans 34 cas le tableau clinique non précisé) .

Dans 80% des cas, il s’agissait d’un traitement antibiotique surtout les béta-lactamines (pénicilline), ensuite les anti-inflammatoires non stéroïdiens (l’aspirine), puis le Tégrétol® et enfin la Griséofulvine.[83]

La gravité des toxidermies et l’engagement du pronostic vital soulignent la nécessité de la rationalisation de toute prescription thérapeutique.

D’autres pathologies sont rares comme les ongles incarnés, les aphtoses, l’hidradénite, la chéilite, les brulures, l’acro-syndrome, le pied diabétique, les pathologies vasculaires et les génodermatoses .

Notre étude vise une comparaison entre les dermatoses constatées à la consultation CHU Ibn Sina et les dermatoses constatées au cours des caravanes réalisées au profit des habitants des zones enclavées et nous avons conclu à l’absence de différence significative entre ces 2 échantillons, bien que certaines pathologies restent plus fréquente dans les zones enclavées (infections parasitaires, pathologie inflammatoire et dermatoses allergiques) vue les conditions de vie défavorables (condition de travail, ensoleillement).

Ainsi une amélioration des conditions de vie des communes rurales, à savoir la lutte contre l’insalubrité,le développement des infrastructures routiéres et sanitaires ,l’adoption d’une stratégie préventive et une sensibilisation de la population.

Résumé

Titre : les dermatoses constatées aux zones enclavées et au CHU Ibn Sina. Etude comparative (à propos de 3897 cas)

Auteur : Bouchra Guerrouj

Mots-clés : dermatoses- les caravanes médicales- zones enclavées- consultation CHU Ibn Sina- Etude comparative

La pathologie dermatologique est multiple et variée bousculant entre des pathologies à impact esthétique à des pathologies pouvant engager le pronostic vital.

Notre étude épidémiologique vise une comparaison entre les dermatoses vues au centre de consultation et celles vues aux zones enclavées constatées au cours des différentes caravanes médicales menées aux différentes régions du royaume.

2883 patients vus au centre de consultation au cours de l’année 2008 avec une prédominance féminine 62% et l’âge jeune des patients <44 66% des cas.

La pathologie infectieuse se situe en tête 24% répartis comme suit : mycosique 58% virale 20% bactérienne 27% parasitaire 5%.

La pathologie tumorale au seconde place 20%, suivie de la pathologie inflammatoire 9%,trouble de la kératinisation et l’atopie 7% ,prurit 6%,auto-immune et trouble pigmentaire 5% ,les IST 4% ,alopécie et onychopathie 3%,toxidermie 2%,les aphtoses ;EN ;pathologie vasculaire 1% les autre 1%.

Au cours des différentes caravanes nous avons colligés 1014 patients, on note toujours une prédominance féminine 61% et l’âge jeune des patients.

Toujours la pathologie infectieuse au premier plan 32% avec en tête de liste les infections parasitaires 37%, mycosiques 35%, bactériennes 18% puis les infections virales 10%.

À la seconde place on trouve la pathologie inflammatoire 16%. Les troubles de la kératinisation et les dermatoses allergiques représentent 14%, ensuite la pathologie tumorale 7%, les troubles de la pigmentation 6%, Prurit 4% et en dernier la pathologie auto-immune 2%.

Ainsi nous avons conclu à ce que la pathologie infectieuse se situe toujours en tête de liste d’où l’intérêt de sensibiliser la population et renforcer les moyens d’hygiène. Certaines pathologies comme la rosacée, mélasma et les dermatoses allergiques sont fréquentes dans les zones enclavées, ceci s’explique par l’absence des mesures de photoprotection et le contact excessif avec des allergènes notamment caustique. La fréquence des pathologies dermatologiques dans les zones enclavées insiste sur l’intérêt de multiplier les caravanes médicales à fin de mieux prendre en charge cette population, une amélioration des conditions de vie et renforcement des capacités sanitaires locales.

Summary

Title : Comparative study of skin diseases seen over the caravans and consultation CHU Ibn Sina. About case

Author : Bouchra Guerrouj

Key-words : areas caravans medical – consulting – skin diseases - comparative study – Londlocked.

The dermatologic pathology is multiple and varied between pathologies with esthetical impact and pathologies which can engage vital prognostic.

Our epidemiologic study aims at compare between the dermatosis in sight at the consultation centres and those in sight at the enclave zones which are noted by the different medical caravans in the different regions of The Kingdom.

2883 patients consulted in the consultation centre during the year 2008, with 62% women and younger age of patients <44 66% cases.

The infectious pathology is situated at the head of the rank with 24% divided as the following: mycotic 58%, bacterial 27% , viral 20%, parasitic 5%.

The tumorous pathology in the second rank with 20% , followed by the inflammatory pathology 9%, keratinisation troubles and atopy 7%, pruritus 6%, auto-immune and pigmentary trouble 5%, sexually transmissible infections 4%, alopecia and onychopathy 3%, drug eruption 2%, apthosis in vascular pathology 1%, others 1%.

During the different caravans, we have 1014 cases there is still a 61% women and the young age of the patients.

Always the infectious pathology is at the head rank with 32% divided as the following : parasitic 37%, mycotic 35%, bacterial 18% and in the last viral with 20%

In the second rank, we have the inflammatory pathology 16%.

The allergic dermatosis and the the keratinisation trouble 14% , then the timorous pathology 7% , the pigmentary troubles 6% , pruritus 4%, auto-immune 2%.

So, we have concluded that the infectious pathology is situated always at the head of the rank, and consequently it’s desirable to make the population aware of this, and to reinforce the hygiene means. Some pathologies like rosacea, melasma, and the allergic dermatosis are frequents in the enclave zones, due to the absence of photo protection measures and the excessive contact with the allergens, especially caustic.

The frequency of the dermatologic pathologies in the enclave zones shows the interest to multiply the medical caravans in order to take more care of these population, to ameliorate there life conditions and to reinforce the local sanitary capacities.

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