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CHAPITRE II: MATERIEL ET METHODES

II. 3.6.1.3. Réalisation des tests biochimiques

II.3.5.3. Troisième Jour

Le troisième jour a été consacré à la lecture des tests biochimiques, de la

CHAPITRE III

RESULTATS ET COMMENTAIRE

III.1. RESULTATS

III.1.1. Caractéristiques de la population d’étude Tableau I : Répartition des patients en fonction du sexe

Effectifs Fréquences

Masculin 6 20%

Féminin 24 80%

Total 30 100%

La population d’étude a été fortement dominée par le sexe féminin (80%).

Tableau II: Répartition des patients en fonction des tranches d’âges

Tranches d’âges Effectifs Fréquences

[17;27[ 11 36,67%

[27;37[ 7 23,33%

[37;47[ 4 13,33%

[47;57[ 0 00%

[57;67[ 2 6,67%

[67;77[ 5 16,67%

[77;87[ 1 3,33%

TOTAL 30 100%

Les tranches d’âges de 17 à 27ans et de 27 à 37 ans sont les plus représentées avec les proportions respectives de 36,67% et 23,33%.

Tableau III: Répartition des patients en fonction des services

Service Effectifs Fréquences

Réanimation 23 76,67%

Médecine 5 16,67%

Urgences 2 6,67%

Total 30 100%

La plupart des patients inclus dans cette étude provenaient du service de réanimation (76,67%).

Tableau IV: Répartition des services en fonction du respect des règles dehors de la réanimation qui pratique l’hygiène corporelle du patient avant pose de la sonde.

Tableau V: Répartition des patients en fonction du motif de sondage

Effectifs Fréquences

Césarienne 11 36,67%

Hypercinésie totale 1 3,33%

Diabète 4 13,33%

Rétention urinaire 1 3,33%

AVC 7 23,33%

Laparotomie 2 6,67%

Péritonite 2 6,67%

Pré-éclampsie sévère 1 3,33%

Cancer de l'ovaire 1 3,33%

Total 30 100%

La césarienne représente la principale cause du sondage chez les patients inclus dans cette étude avec une proportion de 36,67%.

III.1.2. Résultats de la culture

III.1.2.1. Résultats de la culture 10 minutes pose de la sonde

Tableau VI: Répartition des échantillons en fonction des résultats de la culture

10 minutes après pose de la sonde

Culture Effectifs Fréquences

Positive 0 0,0%

Négative 30 100%

Total 30 100%

Aucun des 30 échantillons d’urines prélevés 10 minutes après pose de la sonde n’a donné une culture positive.

III.1.2.2. Résultats de la culture 48 heures après pose de la sonde.

Tableau VII: Répartition des échantillons en fonction des résultats de la culture après 48 heures

Culture Effectifs Fréquences

Positive 13 43,33%

Négative 17 56,67%

Total 30 100%

A la culture, 43,33% (13/30) des échantillons d’urines ont donné une culture positive.

III.1.3. Répartition des résultats de la culture en fonction des données de la population d’étude 48 heures après pose de la sonde

Tableau VIII : Répartition des échantillons en fonction du sexe et des résultats de la culture après 48 heures présenté une culture positive. Chez les femmes, le taux de positivité a été évalué à 41,67%(10/24).

Tableau IX: Répartition des échantillons en fonction des tranches d’âges et

Tableau X: Répartition des échantillons d’urine en fonction des services et des

Un fort taux de culture positive a été enregistré dans le service des urgences (100%) suivi du service de la médecine (60%).

Tableau XI: Répartition des échantillons en fonction de la leucocyturie et

Parmi les échantillons ayant donné une culture négative, 5,88% (1/17) ont une leucocyturie significative.

Tableau XII: Répartition des échantillons en fonction des résultats de la culture et des espèces bactériennes isolées après 48 heures.

Espèces Effectifs

Fréquences

Présence 13 43,33%

- Bacilles Gram négatif 12 92,3%

Escherichia coli 10 76,92%

Klebsiella oxytoca 1 7,69%

Proteus mirabilis 1 7,69%

- Cocci Gram positif 1 7,69%

Staphylococcus aureus 1 7,69%

Absence 17 56,67%

Total 30 100%

Les bactéries isolées sont majoritairement des entérobactéries (92,3%).

III.2. COMMENTAIRE

Le présent travail a eu pour objectif général de contribuer à une meilleure prise en charge des patients portant une sonde vésicale.

Les femmes ont constitué 80% de la population d’étude. Ce constat montre que les femmes sont les plus sondées pendant la période d’étude.

L’analyse des fiches d’enquête a montré que la plupart des membres du personnel ne respectent pas les règles d’hygiène au cours du sondage. Le service de réanimation est le seul qui pratique l’hygiène corporelle du patient avant pose de la sonde. Ce service serait à l’image des autres services si cette pratique n’était pas de règle au bloc opératoire. Il s’agit d’une ignorance ou d’une négligence des règles élémentaires d’hygiène au cours du sondage.

Aucun des échantillons d’urine prélevés 10 minutes après pose de la sonde n’a donné une culture positive. Cela montre qu’aucun de ces patients ne faisait d’infection urinaire avant pose de la sonde.

Sur les 30 échantillons d’urine analysés 48 heures après pose de la sonde, 43,33% ont présenté une culture positive avec une leucocyturie significative. Ceci biologiquement, témoigne d’une infection urinaire. Toutefois, un échantillon d’urine avec une leucocyturie significative a donné une culture négative. Cet échantillon pourrait provenir d’un patient sous traitement antibiotique ou en début d’infection.

La prévalence élevée (43,33%) des infections urinaires révélée par la présente étude montre le rôle de la sonde dans la contamination du tractus urinaire. En effet, il a été constaté une augmentation de la proportion des patients infectés deux jours après pose de la sonde.

Cette prévalence, nulle au début, est passée à 43,33% deux jours après pose de la sonde. Cette situation pourrait être due au manque d’hygiène observé pendant la pose de la sonde.

Au nombre des échantillons pathologiques, 76,92% (10/13) provenaient des femmes. Ce constat pourrait être lié à leur forte prédominance dans la population d’étude ou à des raisons anatomiques comme la proximité du méat urétral, du vagin et de l’anus chez la femme [3].

Il a été noté un fort taux de culture positive chez les patients de la tranche d’âges de 67 à 77ans. Ce résultat montre que le risque infectieux lié au port de sonde vésicale augmente avec l’âge. Cela pourrait être dû à la faiblesse du système immunitaire de ces personnes âgées [4].

Les bactéries isolées sont majoritairement des entérobactéries avec une prédominance d’Escherichia coli. Les entérobactéries étant des bactéries de la malpropreté, leur isolement dans cette étude montre une ou des sources de contamination fécale. Il s’agit soit de l’hygiène corporelle défectueuse du patient, soit de l’hygiène des mains inadéquate, ou encore du manque d’entretien du système clos de la sonde.. Il est donc impérieux de renforcer les mesures d’hygiène au cours et après la mise en place d’une sonde vésicale. Il s’agit de procéder à une toilette corporelle du patient, une désinfection du site de sondage, une manipulation aseptique de la sonde et un bon entretien du système de recueil d’urines.

De l’ensemble des résultats obtenus de ce travail, il ressort que 43,33% des patients ont présenté une infection urinaire sur sonde. Les femmes et les personnes âgées ont été les plus touchées. Les bactéries isolées sont majoritairement des entérobactéries avec une prédominance d’Escherichia coli. Il est donc capital de renforcer les mesures d’hygiène dans les services hospitaliers pour limiter le nombre de cas d’infections urinaires liées au port de sonde vésicale. Il faut également évaluer les indications du sondage afin d’en limiter au maximum la durée pour une meilleure charge des patients.

Pour limiter les risques d’infections liées au port de sonde vésicale, il faut : - éviter les sondages vésicaux non indispensables ;

- respecter les règles d’asepsie lors du cathétérisme vésical ;

- faire une toilette génito-anale et autour de la sonde au quotidien ; - maintenir un drainage incliné ;

- vider régulièrement le sac collecteur ;

- éviter le contact du sac collecteur avec le sol.

CONCLUSION ET SUGGESTIONS

1- Amoussou R.K., Acakpo A.S., Ami-Toure R., Koukoui Y.N.R., Vodungbo V., Koulony O. et al. Annuaire des statistiques sanitaires. Ministère de la santé, Bénin, 2012 ; 121p.

2- Ben Haj Khalifa A., Khedher M. Fréquence et résistance aux antibiotiques des bactéries uropathogènes à l’hôpital universitaire Tahar sfar de Mahdia. Revue Tunisienne d’Infectiologie. 2010 ; 4(2) : 57-61.

3- Berland Y ., Dussol B. Néphrologie pour l’interne. Faculté de Marseille, 2000, 30 p.

4- Butreau L.M., Botto H. Infections urinaires nosocomiales. Paris: Progrès en urologie, 1997, 7 : 674-682

5-Carlet J., Guibert J. Infections urinaires nosocomiales : Epidémiologie, dépistage, prévention et conduite à tenir. rev. Prat, 1989 ; 39(16) : 1386-1391 6-Comes J.F. Epidémiologie bactérienne des cystites non compliquées en Lorraine. Thèse de doctorat en Biologie médicale, Nancy. Faculté de médecine de l’Université Henri Poincaré, 2011, 89 p.

7- Conférence de Consensus Co-organisée par la SPILF et l’AFU. Infections urinaires nosocomiales de l’adulte. Médecine et Maladies Infectieuses, Paris : Institut Pasteur, 2002.

8- Comité de Lutte Contre les Infections Nosocomiales. Enquête nationale de prévalence des infections nosocomiales. Paris Nord, 1996. Bulletin hebdomadaire, 1997; 36:163-173.

9- Esclarin De Ruz A., Garcia E., Herruzo R. Epidemiology and risk factors for urinary tract infection in patients with spinal cord injury. J Urol, 2000;

164(4):1285-1289.

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

10- Garibaldi R.A., Burke J.P., Dickman M.L., Smith C.B. Factors predisposing to bacteriura during indwelling urethral catheterization . New Engl.

J. Med.1974, 291(5):215-219.

11-Guibert J. Examen cytobactériologique des urines : Réalisation et interprétation .Rev. Prat., 1990 ; 40 (14) : 1267-1278.

12-Kaunan L.M. Aspect bactériologique des infections urinaires à Abidjan.

Thèse pour l’obtention du grade de Doctorat en Médecine. Faculté de Médecine, Université de Cocody, Côte d’Ivoire, 1988; 96 p.

13- Konan K.P.G. Prévalence de l'infection urinaire chez des sondés dans le service d’urologie du CHU de Cocody : Étude Préliminaire. Mémoire de Certificat d’Etudes Spéciales de Bactériologie-Virologie. Faculté de Médecine, Université de Cocody, Côte d’Ivoire, 1995 ; 74p.

14-Kouadio K. Infection urinaire nosocomiale dans un service de Réanimation du CHU de Treichville. Thèse de Doctorat en biologie médicale. Faculté de Médecine, Université de Treichville, Côte d’Ivoire, 1992; 131p.

15-Kunin C.M. Can we build a better urinary catheter? N.Engl. J. Med. 1988;

319(6): 365-366.

16-Lomberg H., Hanson L.A., Jacobson B., Leffler H., Svanborg-Eden C.

Correlation of blood group, vesico ureteral reflux, and bacterial attachment in patients with recurrent pyelonephritis. New Engl. J. Med. 1983; 308(20):1189-1200.

17-Margill S.S., Edward J.M., Beldaus Z.G., Dumyati G., Kainer N.A., Lynfield R. Maloney R. Multistate point-prevalence survery of healthcare-associated infections. New Engl J. Med. 2014; 370: 1198-1208.

18-Ouendo E.M., Saizonou J., Degbey C., Glele Kakai C., Glele Y., Makoutode M. Gestion du risque infectieux associé aux soins et services au

Centre National Hospitalier et Universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou (Bénin). Int. J. Biol. Chem. Sci. 2015 ; 9(1): 292-300.

19- Richet H., Galicier C. et al. Incidence des infections acquises dans les services de chirurgie de cinq hôpitaux. Presse Med. 1985 ; 14 : 1275-1277.

20-Rim A., Badreddine K., Fakher K. Infections urinaires hautes de l'adulte:

à propos de 261 épisodes. La Tunisie Médicale. 2010; 88 (9): 629-633.

21-Soula G.H., Pichard E., Soula G.G., Kodio A. Etude bactériologique des infections urinaires à Bamako : orientation pratique. Médecine d'Afrique Noire.1990; 37 (5): 243-249.

22-Trautner B.W., Hull Ra, Darouiche R. Role of biofilm in catheter associated urinary tract infection. Am J Infect Control. 2004; 32(3):177-183.

23-Zarb P., Coignard B. et al. The European Center for Disease Prevention and Control (ECDPC) pilot point prevalence survey of healthcare-associated infections and antimicrobial use. Euro Surveili. 2012; 17(46): 203-216.

ANNEXE1: Fiche d’enquête Date :………//

Nom et prénoms du patient………..//

Age :………// Sexe :………. //

Service :………..//

Motif de sondage :………..//. N° d’échantillon :……..//

Durée du sondage au second prélèvement :………//

-Patient sous antibiotique ? Oui lequel……… ? Non

 Lavage des mains avant pose de la sonde ? Oui Non

 Port de gant avant sondage ? Oui Non

 Toilette corporelle du patient ? Oui Non

 Asepsie de la sonde ? Oui Non

 Désinfection du site de pose ? Oui Non

 Aspect macroscopique :………. //

 Aspect microscopique

□État frais………..//

Leucocyturie :………..//

□État coloré au Gram………//

 Culture

□Culture positive Bactériurie………// Culture négative

 Germe identifié :………..//

ANNEXE1

ANNEXE 2 : Préparation des milieux de culture

Gélose de Chapman

 Mettre 111g de poudre dans 1L d’eau distillée ;

 Mélanger jusqu'à obtention d’une solution homogène ;

 Laisser bouillir pendant 1min ;

 Stériliser à l’autoclave à 121°C pendant 15min ;

 Répartir en boîte de Pétri.

Gélose DNase

 Mettre 39g de poudre dans 1L d’eau distillée ;

 Porter à ébullition jusqu’à dissolution complète ;

 Stériliser à 121°C pendant 15min ;

 Mélanger et couler en boîte de Pétri.

Gélose Mueller-Hinton

 Mettre 35g de poudre dans 1litre d’eau distillée.

 Porter à ébullition jusqu’à dissolution complète.

 Stériliser à l’autoclave à 121°C pndant15mim.

 Répartir en boîte de Pétri de manière à avoir une hauteur de 4mm

Gélose Cystéine-Lactose-Electrolyte-Déficient

 Mettre en suspension 36,1g de milieu déshydraté (BK020) dans un litre d’eau distillée ou déminéralisée ;

 Porter lentement le milieu à ébullition sous agitation constante et l’y maintenir durant le temps nécessaire à sa dissolution ;

 Répartir en tubes ou en flacons ;

 Stériliser à l’autoclave à 121°C pendant 15 minutes.

Il a été ensuite coulé dans des boîtes de Pétri a raison d’un volume de 10 ml par boîte. Les plaques de gélose ainsi préparées ont été conservées au réfrigérateur à -4°C jusqu’à utilisation.

Gélose lactosée à l’Eosine et au Bleu de Méthylène (EMB)

 Mettre 37,5g de poudre en suspension dans un litre d’eau distillée ;

 Porter à ébullition jusqu’à la dissolution complète ;

 Répartir la préparation dans des flacons ;

 Stériliser à l’autoclave à 121°C pendant 15 minutes.

Gélose au sang frais + ANC

 Laisser refroidir à 45°-50°C la gélose Columbia préalablement préparée;

 Ajouter 5% de sang de mouton défibriné stérile, le mélange ANC

 Bien homogénéiser et couler en boîte de Pétri ;

 Laisser solidifier et conserver au réfrigérateur à 4°C.

Bouillon Trypticase Soja

 Mettre en suspension 35g de poudre dans un litre d’eau distillée ;

 Porter à ébullition jusqu’à la dissolution complète ;

 Répartir dans des flacons puis stériliser à 121°C pendant 15 minutes.

ANNEXE 3 Coloration de Gram

Réaliser un frottis mince homogène avec le culot

 Technique

 Laisser sécher le frottis réalisé près du bec bunsen.

 Fixer le frottis en passant le dos de la lame une à deux fois à la flamme ;

 Placer le frottis à colorer horizontalement sur un support de coloration ;

 Recouvrir le frottis du violet de gentiane pendant une minute ;

 Rejeter le colorant et le rincer à l’eau courante ;

 Recouvrir ensuite le frottis de la solution de lugol pendant une minute, rejeter le Lugol et le rincer de nouveau ;

 Procéder à une décoloration goutte à goutte avec de l’alcool à 95° jusqu’à l’apparition de la première goutte incolore ;

 Rincer abondamment la lame et le recouvrir de la fuchsine diluée au 1/10ème pendant vingt secondes ;

Enfin rincer abondamment la lame à l’eau courante, laisser sécher le frottis.

 LECTURE

Examiner la lame colorée à l’objectif à immersion. Apprécier la présence ou non de germes, leur Gram leur morphologie et leur mode de regroupement afin de choisir les milieux adéquats.

LISTE DES ENSEIGNANTS ... i

DEDICACE ... iii

REMERCIEMENTS ...iv

HOMMAGES ...vi

LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS ... vii

LISTE DES TABLEAUX ... viii

CHAPITRE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE ... 3

I.1. L’APPAREIL URINAIRE ... 4

I.2. INFECTION URINAIRE ... 4

I.2.1. Définition ... 4

I.2.2. Les symptômes d’une infection urinaire ... 5

I.3. L’INFECTION NOSOCOMIALE ... 6

I.3.1. Définition ... 6

I.3.2. Les facteurs de risques de l’infection urinaire sur sonde ... 7

I.4. PREVALENCE DES INFECTIONS URINAIRES NOSOCOMIALES ... 7

I.5. PHYSIOPATHOLOGIE DE L’INFECTION URINAIRE SUR SONDE ... 8

I.6. LE DIAGNOSTIC DE L’INFECTION URINAIRE SUR SONDE ... 9

I.7. LES BACTERIES EN CAUSES ... 9

I.7.1. Les bacilles Gram négatifs ... 9

I.7.2. Les Cocci Gram positifs ... 10

CHAPITRE II: MATERIEL ET METHODES ... 11

II.1. CADRE D’ETUDE ... 12

II.1.1. Cadre institutionnel ... 12

II.1.2. Cadre technique ... 12

II.1.2.1. Présentation du laboratoire ... 12

II.2. MATERIEL... 13

II.2.1. Matériel biologique ... 13

II.2.3. Appareils ... 13

II.2.5. Les réactifs et colorants ... 13

TABLE DES MATIERES

II.2.5. Milieux de culture ... 13

II.3.4. Prélèvement des échantillons d’urines. ... 14

II.3.5.1. Premier jour ... 15

II.3.5.1.1.Traitement des échantillons ... 15

II.3.5.1.2. Examen macroscopique... 15

II.3.5.1.3. Examen microscopique direct ... 15

II.3.5.1. Deuxième jour ... 16

II.3.5.1.1. Lectures des milieux ensemencés ... 16

II.3.5.2.1. Le Gram de contrôle ... 16

II.3.6.1.3. Réalisation des tests biochimiques ... 16

II.3.5.3. Troisième Jour ... 17

CHAPITRE III: RESULTATS ET COMMENTAIRE... 18

III.1. RESULTATS ... 19

III.1.1. Caractéristiques de la population d’étude ... 19

III.1.2. Résultats de la culture ... 24

III.1.2.1. Résultats de la culture 10 minutes pose de la sonde ... 24

III.1.2.2. Résultats de la culture 48 heures après pose de la sonde. ... 25

III.1.3. Répartition des résultats de la culture en fonction des données de la population d’étude 48 heures après pose de la sonde ... 26

III.2. COMMENTAIRE ... 31

CONCLUSION ET SUGGESTIONS ... 33

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ... 34

ANNEXE ... 37

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