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La aerie de .tab1eauxJ11.14 noue decrivent l'evolution et les tau:x: de oro18-8anoede la production de oes industries.

TABLEAU 111.14.1 PRODUCTION D'ENERGIE

Anneee Energie prO~/fte TaD: de en

1000 Xv. h

oroissanoe

1965 34 041,8

, 17,4

~

1966 39 948,2

1967 47 841,4 19.8

~

1968 49 518,3 3;'

~

1969 57 072,6 15i3 %

1970 63 721,3 11,6 %

1971 80 649,7 26,6 %

Souroe : Direotions C.E.E.T. at C.T.r,.B.

TABLEAU

III.14e2

IRODUCTION DE LA BRASSERIE DU BENIN

/

Annees Biere ; Taux de crois- Boiseons Ta:wt de I

sanee antlUel .llueuses cro1ssanoe

i

1966 25 581;5 42,2 % 3 000;0

1)',7

%

1967 . 36 379iO 3 411,3

1968 51 '210,9 80,6 40;8

~~

6 970;2

104,3

63;2

~~

1969 92 491,3 1;7 % 11 376,0 23,5

~

I

1970 94 048;9 3,9 % 14 048,9 27,8 %

1971 91 693,3 17 941,5

La Brasserie a presque attaint sa produotion de croisiere.

SQuroe : Brasserie du' Bernn.

.

~-TAB~U

n,X.1403

~ODUCTION ~TlLE

E/crNo

l4/QJDr.21"

~," ,~,,'

~e ~l

- Quantite

pro- Taux de, oroie- Valeur en

,Tau: de

.- Annee8· ,duiteen

1000

iUimiel

.,

' ·Btillions de

croissance .

,_.~' SoU%'oe..: ,..l•.T. T •.,(In<h1str:Le

.'!'ogo1aise.de

,T~ile).

' ' ' ' ' • •-._~" ,,~ . L ~,-J _ ..• _ _u .•~ .+ , - _,'. '.

TABLEAU III.14~4, PRCDUCTION.DE Fl:OSFHATES

...

. ,

...

Ihoepha.te brut Taux de orois- , Ihosphate mar- Tau: de AnnSeB tonnes humides sanoe annuel .. chand·': tonnes oroi ssance

1 "'s~ches

1961 282 624

'. - 12,4 fo 79 092

149.7 j

1962 247 678'

19~{

458

1963

1 068 10.5

0,331,2 %' 476 071 341,1

Source:

Directions.

des

Mines et C.T~~.B. (Campagne. . ~ogolaise des Mines du

Benin).

Ltenqu&te de 1970, noue donne I'effeetif de lao main d1oeuvre, lea salaires brute distribues par activite industriel1e dans 1e ta.bleau 'III. e15.

-'.< •

TW.EAU III.15

EF'FECTIF DE LA Y.AIN D~OEUVRE ET SAL/l.IRES BRUTS DIS-TRIBUES PAR Am'IVITE INDUSTRIELLE

Valeurlif: en milliers de"FranOS Cl'A Effeoti! de 1&

" main d'oeuvre SaJ,aires .. Salaire, ,'.,

Secteur Nombreabsolu

i

, en

%

distribues moyen

B8timents et ,T.P. 3 032 I!

30,7 , 503 287;9 ,247;6

Eau at Electricite

599 9,1 177 498,7

296,3

InduStria manufacturieres 2

486 37'6

47~

.. 890.5, 186,9

, 'IndUstries eXtraCtives -,

,

....

1

489

22,6

736 807,0 494,8

Total General 6 606 100.0 1

896,484,1

287~1

Source : Direction de 1& St&tistique

Sur un ef'feetif de 6 606 denombre, les manoeuvres et les apprentis representant

42 10,

Ie personnel quali.fie et specialise

34.8 %

et les ingenieurs, les cadres et techn:i'cienst les agents de,maltrises '23,2 %.~

. , , - ' . " '

Les programmes de developpement du seoteur secondaire en general visent essen-tiellement l' augment a.tion de leo -produotionnation8.le et Is. diminution de la depeDlio danoe de l'eoonom1e vis-&-vi8 de l'erlerieur. La. valeur ajoutee de I'industrie doit passer de

6

177,0 !e'iU1ions en 1970 801t

8,4 %

du PIB

a

'.2'

850

Millions 80itl2,0

%

du FIB en 1915 ce qui ,verra. Ie. oreation de 2 000 emp10i .J.OuveallXo

I

C) CONSEQUENCE DE LA CROISSAlTCE, DEI:,OGRAPHIQUE

'ur

L"EVOLUTION DO COl'J:;ERCE, DES - DEPENSE5 DiS ADl.~INISTRA.TIONS

1)

La

Commeroe

L'aotivite commeroiale comme nous l'avone deorite est assem bien developpee comParativement aux autres secteurs de l'eoonomie togolaise. Mais existe-t-il une liaison entre,la,croissance demographiqueet +'expansion de oe-t.t;e aotivite ?

En regardant Ie t4bleau II.6 donnant l' evolution du coll'lllerce e:rterieur, on oonstate qU'i1 Y a une augmenta.tion regulH~re des transactions auasi bien en volume qu'en valeur•._5i nous prenons 1es importations, les quantites sont f~mctionsdes demandes

en

biens de consommation et en biens d'equipement. La demande en biens de oonsoJmlation est 1iee

a

1a taille de la population et d'une fa90n indirecte-, les biens d'equipement egalement.

En considerant Ie tableau III.16 qui donne la repartition de'la main d'oeuvre employee par activite commerciale en 1910. c'est Ie commeroe de detail qui utilise Ie plus de personnel.

. -

,-TAELEAU III.16

"'.

~

~I

lr.ain d'oeuvre employee Total

. . a,alari&; I

. ' I Togolais Autres Afrioains.; Non A:fricai,ns

~otivite

' ! !

Nombre

REPARTlnUN DE LA l:AIN D'OIiUV1m rn~PLOYEE PAR ACTIVITE OOn~:mCIAI,aE

m

SUIVM1T LA NATIONALlTE DES SALARIES Souroe: Direotion de Ie Statiatique

Or ce commerce de detail est oaracterise par l 'existenoe de nombreux interm6-diaires , Ie defaut dtaffiohage .des prix, l'inexistenoe d'instrument de mema eta-.

oe qui permet

a

n'importe quel Togolais d'exeroer oette activite. La croissance de-mOgI'aphiqua se tl'aduit tr~s Bouvent au Togo p~ la. oreation de nouveaux oentres de peuplement ou par 1'aggrandissement des anoiens. La naissance ou l'~andissement

des villages entraine traa aouvent l'implantation du commeroe' de detail.'

Il y a done une certaine correlation pc;>sit1ve, aussi faible soit-elle entre la oroissanoe demo~aphiqueet le commerce au Togo.

2)

1&.!

Aclministra!ions

Dans un p~s en voie de developpemen-t .oommCil le nBira, 1 taction des

administra.-tions est tres aouvent en liaison

direcie avec

lecvolume de la population.

Eli

effet les investissements demographiques : constl"Uction de dispensairea, d'hopitaux, crea.tion d'ecoles, formations deB agents para.-medioale, des institutetirs. eta•••

sont realises dans les differentes regions en fonotion du nambre d'habitants de oes

localites~

Le Togo.adm1nistrativement est divise en 4 regions ; les regions en oiroonscrip-tiona at ces darni~res'·

se

scifrident en postea ",qmiIrl.stratifs et oantons_ ..Alors que . le nombre de regions est toujours reste

4,

celui des oi~oonscriptionsde

1960 a i970

a passe de 10

a.

19e: Des raisons politiques oni; oertainement preside

a.

I' eolatemem des .ap.oislUles unites administratives pour donner naissance aux nouvelles. W!ois 11 ne demeure pas mains

vrai

c que des oonsiderations d1ordre.p..irement demographique t taille

rt:!...

'4

''''1), ~

'9

-'1 ..1', - / " '~'.

Page

34

des looalites par example ont eclaire et soutenu ces decisions politiques. L'implao-tation de oertaines administrations pu~liques :

1a

police, 1a gendarmerie sont en liaison etroite avec 1'aocroissement demo~Taphique.

La part des administrations

a.

IE\. formation du PIB 'est 'Oouatitue en general par

. lea

depenee~.

oourantes en biens

et

services

de,l'Etat, essentie11ement

les

ealaires

verses par l'Etat

A

see aaents. '

Les tableaux et gra.phique~ suivantB'Ii~ori"entde fa90nB alai-res 1 'evolution de oes depe~es, et l'evo1tition demographieiue. Unevariab;te qui.malheureusement. n'eBt , pas aBsee'deve1oppee. mSie qui peut caraoteriser l'affet direot de 1a croissaJ:106 d~, . Diograph1qU8 sur les oharg~B-·de .fonctioUl1eme~t e"t les allocations fami1iales v&r86eB:

'a~ salaries de 1'Etat.. Les tab1ea.ux III.18 et 111.19 mettent en'1umi(~re oett&11~son.

TABLEAU III.18 .

EVOLUTION DE LtEIi'li'ECTIF DES lGEUTS ET Th~ SALAIR$ PEROUS AU COURS DES

. " sn

llERNIERES ANNImS

(BUDGm

GEim.:w.

:rTI' :BtJD<rnrS ANN!::XE5)

429,7 .

Agents permanents t 4 114 6

709

Assistants Techniques

I

127 " 91

Aut~ee agents I 339 1 801'

Montant

t~tal

des r€mmerao-'t'

tiona mensuelles

(Mil-lions de Franos OFA)

I

. Alloca.tions familial-es men- J , sue11es (J.1illions de Franos I

, CFA) .

!

Source :Direc~ionde la Statistique

TABLEAU 111.19 •

Indioe base 100 en Mars 1966

r--:---.

Pm-1odss·

Mars

Mars Mars Jui11et

. .

---

. 1966

1967 1968 . 1972

1

Deaignations---· -'-.

---..

i

/

Nomb:re total des agents 100;0 " 10

5;4 111,4

i

184;0

I

Kontant des rermmerations 100;0 102,3 111,1

188.6

I Allocations familiales

, 100,0 107,5 116,4

i

146,0

I t

-~~uroe : Direction de 1a Statistique

...

TABL.1AU 111.17

EVOLUTIQ}~D::JS DEP'~NSES CCURANTES NE!'T]S EN BI:Jl\1S 'E11' SERVICE5 DE L'mAT Unite : l~il1ions de Francs CFA

Don~

: Depenses sooiales

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