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SYNTHESE DES IMPACTS ET MESURES

Dans le document RESUME NON TECHNIQUE (Page 27-39)

L’analyse des impacts du projet a été menée sur l’ensemble des thématiques de l’état initial. Au regard de la nature et de l’importance des impacts, des mesures d’évitement et de réduction ont été intégrées au projet selon la démarche éviter-réduire-compenser.

Impacts sur le milieu physique

Considérant que le projet consiste à produire des énergies renouvelables, nécessitant seulement la lumière du soleil en phase d’exploitation, les impacts du projet sur le climat sont estimés positifs dans un contexte de réchauffement climatique.

Les travaux de terrassement du sol seront nuls dans la mesure où le site présente une topographie relativement plane et favorable à l’implantation d’une centrale photovoltaïque. Aussi l’impact sur la topographie apparait comme très faible, les nivellements se limitant aux pistes et bâtiments. Des remaniements ponctuels des sols auront toutefois lieu en phase travaux.

Notons que les mesures MR4 : Limitation de l’emprise des travaux et itinéraire de circulation et MR6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles, contribuent à réduire cet impact.

En phase travaux, la construction de la centrale va entrainer une modification ponctuelle des écoulements avec des risques de pollution diffuse des masses d’eau souterraines (impact négatif faible) et superficielles (impact négatif modéré). Ces impacts négatifs sont toutefois temporaires.

Notons que les mesures MR4 : Limitation de l’emprise des travaux et itinéraire de circulation et MR6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles, contribuent à réduire ces impacts.

Le risque de pollution en phase d’exploitation est nul.

Impacts sur le milieu humain

Le projet sera source de retombées locales que ce soit en phase travaux (entreprises sollicitées, commerces et logements des environs), qu’en phase d’exploitation (maintenance, gardiennage, entretien, mais aussi taxes). Ces impacts sont jugés positifs, respectivement faibles à modéré.

En phase travaux, le chantier sera source d’une légère augmentation de trafic. Cet impact négatif est jugé temporaire et faible.

Notons que la mesure MR6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles, contribue à réduire cet impact.

En phase d’exploitation, le projet aura un impact positif modéré sur le réseau électrique local en y injectant une énergie d’origine renouvelable.

En ce qui concerne la santé, les principaux impacts ont lieu en phase travaux, et concernent le risque de dégradation de la qualité de l’air (impact négatif très faible) et de l’ambiance sonore (impact négatif faible).

Ces impacts négatifs sont toutefois temporaires.

Notons que la mesure MR6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles, contribue à réduire cet impact, en particulier par le respect de la règlementation en vigueur.

Les impacts sur la santé en phase d’exploitation sont nuls.

Enfin concernant la sécurité, des risques existent en phase d’exploitation, ils concernent le risque incendie (impact négatif modéré), le risque lié à la foudre (impact négatif faible), et le risque lié à l’arrachage d’une structure (impact négatif très faible).

Notons que les dispositifs de prévention incendie (recommandations du SDIS33) ont été intégrés à la conception du projet.

Impacts sur le paysage et le patrimoine culturel

Le projet se trouve en retrait du bourg de Donnezac. Bien que certaines habitations soient proches du site, la faible topographie et le contexte bocager limite les covisibilités.

Le projet aura toutefois un impact sur le paysage « perçu ». Le parc photovoltaïque et ses infrastructures seront en effet visibles depuis :

• la route Terrier de Marie / Bellevue Est en arrivant par le sud où la haie est absente ou partielle (trouées) à certains niveaux ; ainsi qu’en arrivant par le nord depuis Montendre-(rue du Moulin Buisson) avec quelques percées sur le site ;

• La route de Bellevue Ouest en arrivant depuis la RD253 (discontinuité de la haie).

 Notons que les mesures MR12 : Choix de matériaux en harmonie avec le paysage, MR14 : Entretien extensif des zones herbacées par pâturage et fauche et MR15 : Implantation et renforcement de haies arbustives en faveur de la biodiversité et du paysage perçu, contribuent à réduire cet impact.

Le projet n’aura aucun impact sur le patrimoine culturel et archéologique.

Carte 15 : Point de vue des photomontages suivants

Figure 6 : Etat initial- Vue depuis la rue Terrier de Marie au sud

Figure 7 : Etat projeté sans mesures d’intégrations paysagères- Vue depuis la rue Terrier de Marie au sud

Figure 8 : Etat projeté avec mesures d’intégrations paysagères- Vue depuis la rue Terrier de Marie au sud

Impacts sur le milieu naturel

Les principaux impacts sur les milieux naturels ont lieu en phase travaux.

 Notons que le projet a fait l’objet de plusieurs mesures d’évitement permettant d’écarter les principaux enjeux identifiés sur le site.

Les impacts négatifs du projet sur le milieu naturel concernant la destruction ponctuelle d’habitats naturels et de la flore au droit des pistes et des bâtiments (2 692 ha). Cet impact négatif permanent est jugé modéré.

Il existe également un risque d’altération des habitats naturels, de la flore et des zones humides en phase travaux au sein de l’emprise du projet (circulation d’engins) mais également aux abords immédiats. Cet impact négatif temporaire est jugé modéré.

 Notons que la combinaison de plusieurs mesures de réduction permet de réduire ces impact à très faible (MR 1 : Programmation et phasage des travaux, MR 4 : Limitation de l’emprise des travaux et itinéraire de circulation, MR 5 : Balisage des zones sensibles, MR 6 : Plan d’intervention (travaux), MR 7 : Lutte contre les espèces exotiques envahissantes en phase travaux, MR 8 : Limitation des projections de poussières, MR 9 : Scarification ponctuelle des sols, MR 10 : Restauration des habitats naturels dégradés au cours des travaux).

L’implantation d’un bâtiment sur une zone humide pédologique va entraîner la destruction d’environ 18 m² de zone humide.

Notons toutefois que la combinaison de plusieurs mesures de réduction permet de réduire cet impact à très faible (MR 1 : Programmation et phasage des travaux, MR 4 : Limitation de l’emprise des travaux et itinéraire de circulation, MR 5 : Balisage des zones sensibles, MR 6 : Plan d’intervention (travaux), MR 7 : Lutte contre les espèces exotiques envahissantes en phase travaux, MR 8 : Limitation des projections de poussières, MR 9 : Scarification ponctuelle des sols, MR 10 : Restauration des habitats naturels dégradés au cours des travaux) et la gestion favorable qui sera pratiquée sur les zones humides évitées va contribuer à réduire cet impact.

En phase d’exploitation les interventions seront limitées à la maintenance et l’entretien du site (pâturage ovins). Cet impact est jugé très faible sur les habitats naturels, la flore et les zones humides.

 Notons que les mesures MR 7 : Lutte contre les espèces exotiques envahissantes en phase travaux et MR14 : Entretien extensif des zones herbacées par pâturage et fauche participent à la préservation des habitats naturels, de la flore et des zones humides en phase d’exploitation.

Les impacts négatifs du projet sur les espèces faunistiques et leurs habitats concernent la destruction d’habitats d’insectes saproxyliques patrimoniaux (4 arbres). Cet impact brut négatif permanent est jugé fort.

 Notons qu’une mesure spécifique (MR 3 : Mesures spécifiques aux insectes saproxyliques) est intégrée au projet. Elle consiste à suivre un protocole d’abatage précis puis à mettre ces arbres en dépôt à proximité de milieux favorables permettant le report naturel des individus. Cette mesure permet de réduire cet impact à faible.

Les travaux seront également source d’altération (circulation des engins) et destruction (pistes lourdes et bâtiments) d’habitats d’espèces tous groupes confondus. Toutefois, le niveau d’impact négatif dépend du groupe considéré. Si cet impact est nul pour les amphibiens qui ont fait l’objet de mesures d’évitement (ME2 : Evitement des prairies humides (habitat de la Cisticole des joncs) et de la mare temporaire (habitat des amphibiens), il varie de très faible à modéré selon les autres groupes.

Notons toutefois que la combinaison de plusieurs mesures de réduction permet de réduire cet impact à très faible (MR 1 : Programmation et phasage des travaux, MR 3 : Mesures spécifiques aux insectes saproxyliques, MR 4 : Limitation de l’emprise des travaux et itinéraire de circulation, MR 5 : Balisage des zones sensibles, MR 6 : Plan d’intervention (travaux), MR 10 : Restauration des habitats naturels dégradés au cours des travaux).

A noter qu’en phase d’exploitation le projet aura un effet nul à positif sur les espèces des milieux ouverts (oiseaux, amphibiens, reptiles, insectes, petits mammifères et chauves-souris).

Le chantier de construction en phase travaux ainsi que les opérations d’entretien en phase d’exploitation seront également source de perturbations et de dérangements pour la faune (perturbation des activités vitales, risque d’écrasement (engins) ou de mortalité liée à la fauche). Ces impacts sont jugés temporaires modéré.

Notons que les mesures MR 1 : Programmation et phasage des travaux, MR2 : Mesures spécifiques aux chiroptères (chauves-souris) et à l’Engoulevent d’Europe (oiseau) et MR14 : Entretien extensif des zones herbacées par pâturage et fauche contribueront à réduire cet impact à faible.

Enfin, en phase d’exploitation le projet agrisolaire de Donnezac sera source de coupure de cheminement pour la grande faune, mais également de perte de surface pour la faune (risque de fragmentation). Cet impact est toutefois jugé faible au regard des espèces qui utilisent le site.

Notons que les mesures MR 11 : Adapter les clôtures pour préserver les flux de la petite faune et MR15 : Implantation et renforcement de haies arbustives en faveur de la biodiversité et du paysage perçu, contribueront à réduire cet impact à très faible.

Les mesures d’évitement et de réduction (ER) sont précisées ci-après.

Mesures d’évitement

Les inventaires de terrain ont permis de mettre en évidences les enjeux relatifs au milieu naturel. Aussi, au fur et à mesures des inventaires de terrain, les différents enjeux environnementaux ont conduit à faire évoluer le projet. Plusieurs scénarios ont été envisagés. 3 mesures d’évitement ont ainsi été intégrées au projet.

ME1 : Evitement des prairies classées en site Natura 2000 « Marais de Braud »

L’emprise maîtrisée du projet et en particulier les parcelles situées au nord de la route de Belle-vue Ouest sont concernées par le site Natura 2000 « Marais de Braud et Saint-Louis et de Saint-Ciers-sur-Gironde » (FR7200684). Ces parcelles constituant un enjeu fort pour la conservation des habitats et des espèces patrimoniales telles que la Loutre et le Vison d’Europe, au niveau du ruisseau de Gablezac, cette partie du site a été totalement évitée dans le cadre du projet pour se concentrer sur les parcelles situées au sud de la route, non concernées par Natura 2000. L’emprise a ainsi été réduite de 2,83 ha.

ME2 : Evitement des prairies humides (habitat de la Cisticole des joncs) et de la mare temporaire (habitat des amphibiens)

Les inventaires de terrain ont permis de mettre en évidence la présence de milieux sensibles, non compatibles avec l’implantation des panneaux, à savoir : des prairies humides utilisées par un oiseau protégé, la Cisticole des Joncs, pour sa reproduction (nidification) ; ainsi qu’une mare temporaire accueillant plusieurs espèces d’amphibiens pour leur reproduction. Ces milieux, d’une surface totale de 1,2 ha, ont donc été évités dans le cadre de l’implantation de la centrale. Ils seront gérés en faveur de la Cisticole et des amphibiens.

ME3 : Evitement des milieux boisés

L’emprise maîtrisée du projet et en particulier les parcelles situées à la pointe sud-sud-ouest sont actuellement composées d’un boisement de chênes et de bouleaux très favorables à la biodiversité : nidification des oiseaux, hivernage et reproduction des amphibiens, gîte des chiroptères et développement des insectes saproxyliques. Ces milieux, d’une surface totale de 2,5 ha, ont donc été évités dans le cadre de l’implantation de la centrale.

A noter que l’effort d’évitement s’élève à 6,53 ha sur les 11,76 ha de l’emprise maîtrisée, soit 55 %.

Mesures de réduction

Compte-tenu des impacts bruts du projet 16 mesures de réduction ont été intégrées au projet : MR 1 : Programmation et phasage des travaux

Les nuisances générées par les travaux sont susceptibles de déranger les espèces dans des phases vitales de leur cycle biologique (reproduction/nidification). Aussi, les travaux d’envergure (défrichement, dessouchage, terrassement) seront réalisés en dehors des périodes sensibles pour la faune, soit d’octobre à début mars.

MR 2 : Mesures spécifiques aux chiroptères (chauves-souris) et à l’Engoulevent d’Europe (oiseau)

Les chauves-souris et l’Engoulevent d’Europe (oiseau) sont des espèces nocturnes, aussi le travail de nuit sera proscrit en phase travaux.

MR 3 : Mesures spécifiques aux insectes saproxyliques

Des espèces protégées comme le Grand Capricorne ou le Lucane Cerf-volant, insectes inféodés aux vieux chênes, sont susceptibles d’être détruites lors de la coupe des arbres. L’abatage de ces arbres suivra donc un protocole spécifique. Ils seront ensuite déposés en bordure de chênaie pour permettre à ces espèces de se reporter naturellement vers d’autres arbres un fois le bois décomposé.

MR 4 : Limitation de l’emprise des travaux et itinéraire de circulation

Afin de réduire les risques d’écrasement de la faune ou de destruction involontaire de la végétation, l’emprise des travaux sera limitée au strict nécessaire et un itinéraire de circulation sera établi.

MR 5 : Balisage des zones sensibles et mise en place d’une barrière anti-amphibiens en phase chantier Dans la même optique que la mesure précédente, les milieux sensibles attenants au projet seront balisés et des barrières anti-amphibien seront implantées à l’interface avec les milieux utilisés par ces espèces pour leur éviter de rentrer dans l’enceinte du chantier.

MR 6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles

Afin de réduire les nuisances liées aux engins et surtout d’éviter les risques de pollution accidentelle des mesures simples seront intégrées au cahier des charges des entreprises intervenantes.

MR 7 : Lutte contre les espèces exotiques envahissantes

Des mesures de lutte contre les espèces exotiques envahissantes seront mises en place en phase travaux et en phase d’exploitation afin d’éviter leur prolifération et permettre leur éradication.

MR 8 : Limitation des projections de poussières

Les travaux, effectués en période sèche ou de vents forts, peuvent être source de projections de poussières sur la végétation, engendrant des perturbations dans leurs fonctions biologiques (photosynthèse). Les travaux de terrassement (toutefois limités dans le cadre du projet) seront proscrits en période de forts vents.

Un nettoyage du chantier par aspiration sera également réalisé pour limiter les projections. Enfin la vitesse des engins sera limitée et une organisation raisonnée des engins sera réalisée pour limiter l’envol des poussières.

MR 9 : Scarification ponctuelle des sols

La circulation des engins de chantier peut engendrer des tassements du sol, pouvant influer sur la repousse de la végétation. Aussi, une scarification ponctuelle du sol (inciser le sol pour permettre d’aérer la terre) pourra être effectuée si nécessaire.

MR 10 : Restauration des habitats naturels dégradés au cours des travaux

A l’issue des travaux, les habitats naturels dégradés, par le passage répété des engins par exemple, seront restaurés.

MR 11 : Adapter les clôtures pour préserver les flux de la petite faune

La clôture périphérique sera adaptée pour permettre à la petite faune (micromammifères, reptiles, amphibiens, insectes) de transiter à travers le projet (création de passages ou élévation de la clôture par rapport au sol).

MR 12 : Choix de matériaux en harmonie avec le paysage

Les matériaux seront choisis pour permettre la meilleure intégration paysagère possible : habillage peint des bâtiments, pistes légères en herbe.

MR 13 : Maintien du sol à l’état naturel

En dehors des bâtiments techniques, le sol sera maintenu à l’état naturel.

MR 14 : Entretien extensif des zones herbacées par pâturage et fauche

La végétation du site sera entretenue par pâturage ovin. Afin de pérenniser l’activité agricole, l’entretien de la végétation sera complété par un broyage annuel des refus de pâturage (plantes moins appétentes pour les bêtes).

MR 15 : Implantation et renforcement des haies arbustives en faveur de la biodiversité et du paysage perçu Afin de réduire les covisibilités et donc l’impact sur le paysage perçu, les haies arbustives à l’interface avec les voies d’accès et les habitations seront maintenues et renforcées. Des haies arbustives complémentaires viendront compléter le pourtour du site d’implantation des panneaux.

De plus, une haie arborée sera implantée au sud-est de l’aire d’étude en continuité avec le boisement déjà présent en faveur de la biodiversité et de la fonctionnalité écologique du site.

MR 16 : Réaménagement du site en fin d’exploitation

La durée de vie de la centrale photovoltaïque est estimée à 20-30 ans. Passé la période d’exploitation, la centrale sera démontée. Les panneaux photovoltaïques seront démontés et recyclés.

Le site sera donc remis à l’état naturel.

A noter que la mise en place de l’ensemble de ces mesures contribue à réduire considérablement l’impact du projet sur les habitats naturels, la flore, les zones humides et les habitats des espèces patrimoniales.

Des mesures de suivi en phase travaux et en phase d’exploitation sont intégrées au projet.

Les cartes suivantes synthétisent les mesures ER intégrées au projet.

Carte 16 : Synthèse des mesures d’évitement

Carte 17 : Synthèse des mesures de réduction

Tableau 3 : Synthèse des impacts bruts, des mesures ER et impacts résiduels

THEMATIQUE ÉLÉMENT

IMPACTE CARACTÉRISTIQUE DE L’IMPACT

NATURE DE

Topographie Très légers terrassements/nivellements au niveau

de l’implantation des pistes et des bâtiments / Très faible /

MR 4 : Limitation de l’emprise des travaux et itinéraire de circulation MR 6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles

Maintien de la

topographie / Nul

Sols Remaniements ponctuels du sol en phase travaux

(pistes, bâtiments, tranchées de raccordement)

-

Faible / MR 4 : Limitation de l’emprise des travaux et itinéraire de circulation MR 6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles

Maintien de la nature

des sols

-

Très faible

Masses d’eau souterraines

Modification ponctuelle des écoulements en phase

travaux

-

Très faible /

MR 4 : Limitation de l’emprise des travaux et itinéraire de circulation MR 6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles

Maintien de la nature des sols et des

écoulements

-

Très faible

Risque de pollution accidentelle liée aux engins de

chantier en phase travaux

-

Faible / MR 6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la

circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles

Prévention du risque de

pollution accidentelle

-

Très faible

Risque de pollution diffuse en phase d‘exploitation / Nul / / / / Nul

Masses d’eau superficielles

Modification ponctuelle des écoulements en phase

travaux

-

Très faible

ME 2 : Evitement des prairies humides et de la mare

temporaire MR 6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles

MR 4 : Limitation de l’emprise des travaux et itinéraire de circulation

Préservation du réseau

hydrographique

-

Très faible

Risque de pollution accidentelle liée aux engins de

chantier en phase travaux

-

Modéré / Prévention du risque de

pollution accidentelle

-

Très faible

Risque de pollution diffuse en phase d‘exploitation / Nul / / / / Nul

Légère augmentation du trafic sur la RD14 en phase

travaux

-

Faible / MR 6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la

circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles Signalisation des travaux

-

Très faible

Trafic en phase d’exploitation / Nul / / / / Nul

Réseau électrique

Intégration au réseau d’une nouvelle source

d’énergie renouvelable

+

Faible / / /

+

Faible

Agriculture Impacts sur l’agriculture

+

Modéré / / /

+

Modéré

Santé

Risque de dégradation de la qualité de l’air en

phase travaux

-

Très faible

MR 6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles

MR 8 : Limitation des projections de poussières

Respect de la règlementation en

vigueur

-

Très faible

Risque de dégradation de la qualité de l’air en

phase d’exploitation / Nul / / / / Nul

Risque de dégradation de la qualité de l’ambiance

sonore en phase travaux

-

Faible / MR 6 : Plan d’intervention (travaux) afin de limiter les impacts liés à la

circulation des engins et d’éviter les pollutions accidentelles

Respect de la règlementation en

vigueur

-

Très faible

Risque de dégradation de la qualité de l’ambiance

Risque de dégradation de la qualité de l’ambiance

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