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Q Sud doit jouer SC^l

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SC^l —•>

0 4 0 3 0 2

0 0 0

0 10

4ème coup : Nord joue N22.

N32 —-> 0 4 0 3 0 0 0 0 0 0 10 gardera l'initiative. 12 0 0 3 0 2 1 0 0 0 22 10 0 0 12 0 0 3 0 2 0 0 0 0 23 10 0 0 12 0 1 4 1.0 1 0 0 0 23 10 0 0

Sème coup : Nord joue N^3. N^3 —> 0 0 0 0 4 1 0 1 0 1 0 0 1 5 0 1 2 0 0 0 0 1 1 0 0 0 24 0 Sud est obligé de jouer SC2I.

SC2I —> 0 0 0 0 4 1 0 1 0 1 Q 0 1 5 0 0 2 0 0 0 0 0 2 0 0 0 24 0

Sème coup : Nord joue N^^S

N^^S 1 1 0 0 0 2 0 1 1 2 0 0 2 0 0 1 0 1 0 0 1 1 2 0 1 1 24 0 Sud choisit SC^2. SC^ 2 1 1 1 0 0 0 2 0 1 1 2 0 0 2 0 0 1 0 1 0 0 1 1 3 0 0 0 25 0

7ème coup : Nord joue NCg3 et gagne.

NCg3 —^ 0 2 0 0 1 0 0 1 2 3 0 0 0 1 0 1 1 0 0 0 0 3 0 0 1 1 25 0

était faite de la conviction selon laquelle une organisation d'un ensemble d'objets, renvoie à une procédure de classifica­ tion. Cette réponse allait - entre autre - déterminer le choix de la méthode de traitement de nos données et nous faire choisir l'analyse typologique qui vise la concentration d'objets.

Ainsi les profils semblables issus de la formation de groupes de situations de jeu pourraient être attribués à un traitement semblable c'est-à-dire à un recours de procédure de résolution analogue.

Mais nous nous sommes aperçu que les 40 situations de jeu étaient rapprochées par la non réussite. En effet, si deux item, ne sont pas de même difficulté, ils ne seront pas groupés

ensemble; et par contre deux item seront classés ensemble s'ils sont voisins par leur difficulté et pas nécessairement si cette difficulté est intermédiaire.

Cette méthode nous semble valable pour les item dont la difficul n'est pas extrême. Le nombre important des réponses incorrectes et des omissions nous montre des sujets (A^ et dans une

moindre mesure B^) devant une difficulté extrême.

Il nous faut relativiser l'artificielle parenté entre les item diffidiles (les situations de jeu 14 à 16 et 35 à 40) et

moins parler de stratégie car il n'y a vraisemblablement pas de processus de résolution proprement dit daris la situation où le sujet est ainsi écrasé par la difficulté.

Quant à l'analyse structurale des profils de réponses et des paires qui les composent, l'explication était simple pour la paire 11. On pourrait dire que le sujet a compris la règle. Et pour les trois autres paires 10, 01, 00, il importe de distinguer l'omission de l'erreur.

Nous pensons que le sujet qui réussit un problème, n'omet pas généralement de tenter la résolution d'un problème analogue. Cette affirmation nous fait dire que seule la paire 00 contien­ drait des omissions.

Mais que signifieraient les paires 01 et 10 ? Notre hypo­ thèse est que ces paires nous fournissent des informations sur l'état des sujets. Dans la première paire, le sujet connaîtrait la règle mais il aurait des difficultés à la reconnaître -

et la seconde paire 10 nous montrerait l'incomplétude de la compréhension de la règle. Sa façon de l'appréhender ne marche pas toujours. Le sujet en a peut-être une compréhension partielle. Au regard de nos résultats, la paire 01 occupe une place équi­

valente dans les profils de réponses des sujets familiarisés avec les mankala (A^, A^, 82) par rapport à la paire 10.

Ceci prouverait à nos yeux, l'influence d'un type d'expérience dans la résolution de ces problèmes mais au niveau général la similarité est plus grande entre résultats des sujets A^,

d'une part et les sujets A25 82 d'autre part.

En effet si l'on considère, par sous-population, le rapport total paires 01 + total paires 10

total paires 11

Comme un indice de scolarisation on constate que ce rapport est :

73 = 101

0,722 pour les A,. 92 = 0,355 pour les A 2 • 109 =

206

0,529 pour les 79 = 0,202 pour les

82-Il est le plus faible pour les sujets 82 c'est-à-dire que leurs paires 00 sont plus constitués d'omissions que des erreurs; ceci voudrait dire que les scolarisés ont tendance à ne pas

répondre quand ils n'ont pas compris la règle tandis que les non-scolarisés ont soit reconnu partiellement la règle, soit

inventé une réponse.

Pour l'analyse des réponses dites incorrectes, on pourrait affirmer que le sujet a peut-être suivi un cheminement de pensée autre que celui des règles du mankala.

Cela est bien possible dans la mesure où nous avons utilisé seule la règle du semis comme référence pour analyser ces "erreurs”.

HICK écrivait que résoudre un item c'est entrer en communication avec le constructeur. Dans notre cas, la compréhension de

l'esprit général des règles était primordiale.

Soulignons malgré ces réserves que l'on retrouve l'analogie entre la typologie des "erreurs” des sujets et

Quant à l'analyse des parties, elle confirme le rôle important que joue l'expérience et l'entraînement, dans les choix des coups. La différence est grande quand on met face à face joueurs A2j k^i A^. Elle est aussi nette quand on ana­ lyse les déterminants des choix des sujets k^^ B^.

Souvent, après le choix d'une position d'ouverture, on remarque nettement la différence entre les deux joueurs par le type de précaution qu'ils prennent selon qu'ils débutent le jeu ou non. Seul le joueur A^ nous semble nettement adapter ses positions d'ouverture.

Les joueurs nous paraissent principalement centrés sur leur jeu afin d'éviter la capture sur leur territoire et

sont incapables d'agir d'une manière intentionnée sur le jeu de l'adversaire.

Les choix des B2 nous font dire qu'ils repèrent les pots qui sont susceptibles de leur rapporter des graines sur les deux territoires mais ils tendent rarement des pièges à l'adversaire. Les coups qui suivent les situations d'incertitude nous révèle la différence entre joueurs A2 et A^. On remarque au Sème coup de la deuxième partie de ces deux joueurs que A^ repère le pot S^^^3 qui nourrit les positions NC^l, NCgl et immobilise du même coup le joueur k^. En effet, les règles du jeu obligeront ce der­ nier à jouer la capture avant d'élaborer tout autre plan.

Non seulement le joueur ne perdra pas l’initiative mais il modifiera par la même occasion les contenus des oots 3^4 et

1 3^8 qui formeront le semis gagnant.

A la 3ème partie, l’habileté du joueur A^ est évidente, dans sa stratégie à double horizons.

Non seulement il est soucieux de ne pas créer des situations favorables à l’adversaire mais ilXimmobilise et prépare sous ses yeux une configuration particulière qui l'amène à la victoire.

L’importance des points d’articulation du mouvement de

semaine semble se vérifier surtout dans les actions qui suivent les situations d’incertitude. Avant de les privilégier,

il faut néanmoins s’assurer chaque fois que l’adversaire n’a pas la possibilité de gagner au prochain coup.

Ils sont parfois choisis par les sujets B2 et 3^ mais sans toute­ fois être insérés dans une action à long terme. Nous n’avons pu tester leur valeur de piliers qui servent a redresser des situations de jeu défavorables, les parties étant par trop inégales.

D'une façon générale, les choix des sujets nous font affirmer que la procédure la plus efficace n’est pas du tout

la procédure heuristique.

C'est en réalité un mélange de procédure algorithmique et heuris­ tique, chacune appliquée à des moments particuliers qui corres­ pondent à des configurations particulières.

Même s’il nous est difficile de comparer les deux situations d’expérimentation, nous ne pouvons nous empêcher de faire

remarquer la grande différence entre le comportmeent des dans les deux situations.

Comme nous l’écrivions au début de cette recherche, une dissertation doctorale est en partie liée à l'histoire person­ nelle du chercheur. Dans cet épilogue nous essayerons de nous situer par rapport à quelques lignes directrices de notre

travail.

Africain de centre urbain en semi-rupture avec la vie traditionnelle, fils d'un ancien instituteur (1), psychologue industriel de formation devenu en milieu occidental,

thérapeute des névrosés bien portants que nous sommes; sans encore insister sur la singularité de notre "thésothérapie" et de ses contradictions inévitables ...» disons tout de même qu’elle n’est pas banale...

Notre.projet de psychologue "noir-blanc" rencontrait la problématique explicitée par A. OMBREDAiJE (1969) dans ses contacts avec l'africanité traditionnelle et moderne. *

Parlant du rôle du psychologue, il écrivait :

"Le psychologue est conduit à dépister les facteurs de.

différenciation sur le fond d'une mentalité en apparence homogène^ à estimer l'écart gui peut séparer le private worldt le monde intime des individus auxquels il a

affaire d'avec le système institutionalisé des attitudes

collectives.

... il se propose de définir la structure actuelle des

dispositions ego-altéro-socio centriques de l'homme

dans une situation particulière où la fidélité aux normes de son groupe traditionnel se trouve mise en question

par une demande d'assimilation à celles d'un groupe culturel qui fait malgré tout figure de conquérant.

... en quoi sa recherche vise aux mêmes buts que ceux

qu'elle poursuit dans la culture occidentale ?

(1) Selon un schém-a freudien (qui à mon estime n'épuise évidem.ment pas toute l'explication), ceci expliquerait mon attachement complexe à l’institution école et à son activité d'enseigne­ ment .

... des buts de réajustement de l'indivïdu à des

conditions de vie en pleine évolution ...

... des buts d'orientation et de meilleure utilisation

en regard des demandes quotidiennes de cette vie

changeante et particulièrement des demandes d'accomplis­

sement et de travail ...

A la suite de notre expérience sur le ''terrain" de la rencontre des pratiques culturelles, aucune de ces lignes n'a vieilli. Avec I. SOW (1977), il nous est difficile

d'accepter qu'aujourd’hui encore, soit posé là comme point de départ en sciences humaines une conception de la recherche permettant de se dire "allons voir ce qu'est le philosophe", "l’économique", "le politique", l’intelligence (1-), l’Oedipe hindou, japonais, africain, chinois ... en référence absolue à l'Oedipe du complexe freudien qui n'est rien d’autre qu'une version reconstituée - un modèle occidental - du mythe grec, repris dans la tragédie de Sophocle.

Il nous est encore plus difficile de conclure, à la suite de ces modestes résultats aux mankala que l'habileté heuristique des sujets au tshisolu fait qu'ils deviennent en général plus

... quelque chose ... que les sujets

Si l'on se refuse cette facilité méthodologique, on se heurte au niveau global à la difficulté de savoir comment, dans toute culture vivante s’ordonnent et se structurent le réel, l’imaginaire et le symbolique.

A propos de l'intelligence, les socio-biologistes viennent encore récemment de relancer la polémique.

(1) Rappelons qu'aux Etats-Unis, le quota d'immigration était fixé en fonction de l'idée a_u'on se faisait des potentia­ lités intellectuelles d'une population par rapport à une autre.

Pour eux l'étude du monde animal montre que ce n'est pas

l'individu, une mouche, un éléphant, un homme qui se bat pour assurer sa survie; c'est sa partie ultime, le gène.

Les gènes cherchent à réaliser leur "rêve" qui est de se multiplier sans fin, identique à eux-mêmes (1). L'organisme ou le corps humain n'est qu'un support dont la fonction est de permettre aux gènes de se reproduire.

De quel gène parle-t-on ? S'agirait-il du gène altruiste,

égoïste comme attestent certains ? D'un gène réel, hypothétique.,. N'étant pas généticien, disons que le bruit d'un certain tam-tam scientifique affirme que le gène serait une séquence de substance chimique dont l'ordre détermine la fabrication d'une protéine du corps comme l'ordre des lettres donne au mot son sens.

La longueur des séquences, l'ordre dans lequel se suivent les 4 substances chimiques constitutives différencieraient les gènes entre eux.

Mais on ne croit plus qu'à un gène corresponde un caractère. On ignore comment s'articulent les gènes entre eux. On sait

néanmoins que les gènes ne fabriquent une protéine que lorsqu'ils sont sollicités par un environnement précis. S'ils ne le sont pas, la faculté s'atrophie.

Mais en fin de compte c'est comme si l'on connaissait les lettres tout en ignorant le mot, la phrase et encore plus le paragraphe.

Si ce bruit est fiable, il reste à tout esprit scientifique (2) à se situer par rapport aux"rêves“des gènes dont il est question dans les écrits des sociobiologistes.

(1) Il est difficile de faire la part des choses et de distinguer ce qu'on pourrait attribuer aux gènes et aux sociobiologistes (2) Esprit scientifique est utilisé ici comme le définissent les

chercheur occidentaux c'est-à-dire tout sujet dont la ré­ flexion sur un domaine donné fait découvrir que les éléments de la connaissance dont on disposait jusque là permettent, en les comibinant d'une manière nouvelle, d'obtenir une connaissance nouvelle.

Cette combinaison devant se faire d'une manière analytique et déductive, c'est-à-dire qui permet d'imaginer la nature des phénomènes responsables du fait étudié et de- prouver par l'expérimentation le bien fondé de ce qui a été imaginé.

MONOD, CHOMSKY (cités par J.M. FAVERGE - 1972) (1) prônent l'hypothèse de l'innéité des cadres de connaissance qui servi­ raient de support à l'actualisation du comportement.

CHOMSKY appelle cela programme - structure sur laquelle le comportement impliquant des éléments acquis par l'expérience se ferait.

Elle serait innée et elle guiderait l'apprentissage qui s'inscrit dans une forme préalable,définie dans le patrimoine génétique de l'espèce. Ces auteurs pensent qu'il en est de même pour les catégories fondamentales de la connaissance chez l'homme. En psychologie génétique de tendance piagétienne, on parlerait de schèmes.

Quant a nous, la spécificité de l'expérience des sujets nous fait penser qu'il existe un modèle, un programme, une

structure sur laquelle s'inscrivent les données de l'expérience de l'homme - que celles-ci soient particulières ou culturelles.

» _

A propos du matériel utilisé.

Nous sommes bien conscient des limites de notre utilisation du jeu, mais nous pensons que des applications didactiques

sont bien possibles dans le domaine de la programmation par exemple. La détermination des stratégies gagnantes pourrait intéresser et amuser beaucoup de chercheurs.

Les mathématiciens pourraient développer des analyses combina­ toires de très haut intérêt.

Le caractère intellectuel lié aux aspects logiques et straté­ giques peut servir de dialogue entre chercheurs intéressés dans ce domaine où les joueurs chevronnés ne transmettent pas facilement leur savoir.

(1) FAVERGE, J.M. - (1972) - Quelques modèles structuraux de de l'activité. Ronéo, Laboratoire de Psychologie Industrielle - Université Libre de Bruxelles.

On pourrait nous dire que le matériel utilisé répond conceptuellement à l*idée de niveau de difficulté et non à celle de type de difficulté.

Il y répondrait seulement au niveau formel.

Nous répondons que dans notre travail, ces deux notions se trouvent incorporées l’une à l’autre. Essayons néanmoins de les dissocier pour les besoins de l’analyse.

La première notion (niveau de difficulté) est abordée par le biais de l’analyse de la performance des sujets à chaque item - ou à chaque groupe d’item. La seconde (notion de type de

difficulté) renverrait-elle à l’idée d’une structure cognitive (1), au recours à une algorithme de résolution (2).

Affirmer qu’elles sont quand même liées l’une à l’autre veut dire que des mêmes sujets peuvent être confrontés à deux types de problèmes différents (des additions et des soustractions par exemple) et rencontrer des difficultés de même(s) niveau(x) ou de niveau(x) différent(s).

Ajoutons enfin que ces notions introduisent le concept d’ordre ou de hiérarchie.

Et l’acculturation ...

Une des choses importantes de ce travail était de tester le statut des acculturés. D’essayer de répondre à l’influence de leur mixité, est elle un appauvrissement ou un enrichissement.

Sans être normand,nous répondrons que l'acculturation est tout ça. Les sujets ^2 ^ l’aise dans la première situation d'expérimentation.

Ils le sont moins dans la seconde par rapport aux sujets A^.

(1) Structure est utilisé ici au sens dérivé des travaux de PIAGET et BRUNER c'est-à-dire de système relativement transposable des schèmes organisateurs.

(2) Nous avons essayé de dégager cet aspet dans les analyses des erreurs.

Il nous semble pas y avoir (dans les situations que nous avons étudiées) de sujets qui profitent tranquillement de deux

apprentissages quelque soit la situation dans laquelle ils se trouvent.

Et la signification de la méthodologie statistique.

Toi, sur qui se bâtissent parfois des sectes et des

cathédrales, écoute ce que disait le maître à son maître : ”Au fond, le premier devoir de la statistique était

de retrouver les distinctions du sens commun".

La réflexion à ce point précis nous permettra d'aborder l'avenir. Tout d'abord de quoi s'agit-il à propos de la statistique ?

L'utilisation des méthodes telles l'analyse typologique et l'analyse des correspondances ne doit pas nous faire oublier qu'aucune méthodologie n'est "innocente".

Les méthodes découlent de certains pré-modèles théoriques et inversément.

En psychologie heuristique comme en psychologie sociale clinique (1), nous avons toujours été attentifs au danger que peut

constituer une certaine mode qui hiérarchise les techniques. L'analyse typologique serait un modèle faible par rapport à l'analyse des correspondances; la technique psychanalytique, une vieille demoiselle "snob" et déséchée ou un support d'un sérieux théorique qui permet de remettre "l'Eglise" au milieu du village en empêchant qu'on fasse avec n'importe qui,

n'importe q_uoi et n'importe comment.

Le cri primai, la gestalt ou la bio-énergie, l'analyse transac­ tionnelle, la méditation, la tantra, le rebirthing (et j'en passe)seraient les meilleurs garants d'une intervention théra­ peutique valable au moment où la psychanalyse est tarie

et périmée ...

(1) Au sens où l'utilise ANZIEU, D. - à savoir le courant de groupe qui se préoccupe de la perspective clinique.

GROUPES : Psychologie sociale clinique et psychanalyse. Bulletin de Psychologie - n° spécial - 1974.

A vrai dire, la statistique (comme les autres méthodes) ne semble avoir une valeur heuristique permettant de découvrir ce que l'on aurait pas pensé.

A. OMBREDANE l'avait baptisée la police bien faite de l'obser­ vation et de l'expérimentation.

Il nous faudra pas oublier en psychologie sociale clinique que le paradigne de cette méthodologie expérimentale, une

des validations la plus valorisée, est par définition anhisto- rique.

En tant qu'enseignant, nous poursuivons l'effort de clari­ fication jde l'intervention et l'établissement du contrat de l'animation d'un groupe.

En puisant dans ce que la psychologie heuristique nous a apporté, nous voudrions étudier :

- la notion de seuil d'intervention de l'aidant en individuel et en groupe,

- la relation entre participants et animateur appartenant â une même institution,

- la relation entre indices verbaux et non-verbaux dans l'expression émotionnelle.

• « «

Nous souhaiterions continuer la réalisation des films didactiques sur des thèmes comme la colère, la peur, la confiance ....

Mais tout ceci est pour demain,

Mac Millan, New York (Sème édition). APFELBAUM, E. (1963)

-Rapports entre données expérimentales en psychologie sociale et théorie des jeux dans le cas de certains jeux à somme non nulle.

in Compte rendu du séminaire sur les modèles mathém.atiques dans les sciences sociales et de statistique. Ronéo, 31-37. APFELBAUM, E. (1966)

-Etudes expérimentales du conflit - les jeux expérimentaux. Année psychologique, 2, 599-621.

APFELBAUM, E. (1966)

-Renforcement' social et évolution des intercations dans les jeux expérimentaux.

Bulletin du C.E.R.P., XV, 1, 1-16. APFELBAUM, E. (1967)

-Représentations du partenaire et interaction à propos d'un dilemme du prisonnier.

Psychologie française. ARDOINO, J. (1964)

-Information et communication dans les entreprises et les groupes de travail.

Les Editions d' Inform.ations - Paris - 3ème édition. ATLAN (1974)

-Conscience et désirs dans les systèmes auto-organisateurs, in L'unité de l'homme. Seuil, Paris.

BEART, Ch. (1955)

-Jeux et jouets de l'ouest africain. Tome I et II.

Mémoires de l'Institut français d'Afrique Noire, DAKAR. BEART, G. (1961)

-Recherche des éléments d'une sociologie des peuples africains à partir de leurs jeux.

Présence Africaine, Paris.

BECKER, G.M., Mc CLINTOCK, C.G. - (1967) - Value : Behavioral decision theory. Annual Rev. Psychol., 18, 239-286.

BIXENSTINE, V.E., WILSON, K.V. (1967)

-Effects of level of coopération choiCe by the other player on choice in a Prisoner's Dilemma.

Game - Part II, J. Abnorm.. Soc. Psychol., 2 , 139-147. BERGE, C. (1957)

-Théorie générale des jeux a n personnes. Mémoire Sc. Math., 138 - Paris.

BERGE, C., GHOUILA, A., HOURI (1962)

-Programmes, jeux et réseaux de transport. Paris.

BERLOQUIN, P. - (1970) - Le livre des jeux. Ed. Stock - Paris.

Sur les systèmes de formes linéaires à déterminant symétrique gauche et la théorie générale du jeu. Comptes rendus de l’Académie des Sciences, p. 52-54. BOREL, E. (1938)

-Applications aux jeux de hasard.

Traité du calcul des probabilités et de ses applications. Gauthier-Villars, Paris.

BOURDON, B. - (1926) - L'intelligence. Alcan, Paris.

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