Questions de ours
1.Oui évidemment, parequ'il vérie tous lesaxiomes d'un espae vetoriel.
2. Si
F
est un sev deE
ontenantA
, alors il ontient toutes les ombinaisons linéairesdes veteurs deA
, et ei est dû au fait qu'un sev est stable parombi-naisonlinéaire. Par suite,
F
ontient l'ensemble sev `A
e.3. Si
H
est un sev ontenantF
etG
, il ontient aussiF
G
puisqu'il est stablepar laloi interne.
4.Soit
A
une famillede veteurs qui ontient unefamilleliéeL
v 1 , . . . , v m.On
saitqu'ilexiste dessalairesnontous nuls
α 1 , . . . , α m tels queα 1 v 1α m v m 0
.
Sionéritleveeturnulsouslaforme
α m v m 0
. SionéritleveeturnulsouslaformeP
u
>A
L 0 u 0,onobtientα 1 v 1
α m v m
P
u
>A
L 0 u 0
. Cettedernière égalitémontre bien que A
est une familleliée.
5. Soit
L
v 1 , . . . , v m une famillede veteurs qui est ontenue dans une famille
libre
A
. Siα 1 v 1α m v m 0
, alors α 1 v 1α m v mPu
>A
L 0 u
0
. Cette
dernière égalité est une ombinaison linéaire nulle des veteurs de A
. Comme A
α m v mPu
>A
L 0 u
0
. Cette dernière égalité est une ombinaison linéaire nulle des veteurs deA
. CommeA
est libre, alors
α 1 α m 0
. Cei montre queL
est bien une famillelibre.
6.Oui évidemment, puisque
dim
sev`A
e rgA
.7. L'intérêt prinipal de trouver une base d'un espae vetoriel est que l'on peut
dérire tout élément de et espae vetoriel ave le minimum de paramètres (les
oordonnées) grâeà la base.
8.Laréponseest oui. Eneet, soit
F
unsev deE
telquedim
F
n
.soitB
unebase de
F
. AlorsB
est famillelibre deE
. Don il existe une baseB
deE
qui laontient.On a
B
bB
etardB
ardB
,alorsB B
etdonB
est une basede
E
. Ce qui fait queF E
.9. Non évidemment, ar il sut de onsidérer les deux droites vetoriels de
R 2,
D
sev `1 , 0
e(l'axe desx
)etD
sev `0 , 1
e (l'axe desy
).10. Ona
u i 0 u 10 u i 1u i0 u i 10 u n.Donu iB 0 , . . . , 0 , 1 , 0 , . . . , 0
.
u i0 u i 10 u n.Donu iB 0 , . . . , 0 , 1 , 0 , . . . , 0
.
0 u n.Donu iB 0 , . . . , 0 , 1 , 0 , . . . , 0
.
0 , . . . , 0 , 1 , 0 , . . . , 0
.11.Laréponseestnon.Eneet,onsidéronsparexemplelesveteurs
e 1 1 , 0 , 0
, e 2
0 , 1 , 0
ete 1e 2 1 , 1 , 0
. Les trois veteurs sont deux à deux non olinéaires,
mais lafamillee 1 , e 2 , e 1e 2est évidemment liée.
1 , 1 , 0
. Les trois veteurs sont deux à deux non olinéaires, mais lafamillee 1 , e 2 , e 1e 2est évidemment liée.
12. On a rg
A
r r
, ar le rang d'un système dépend du premier membre etnon pas du seond membre.
13. (i) Considérons le sev
F
sev `A
e. La familleA
est par dénition une famillegénératrie de
F
. Dondim
F
BCardA
, 'est-à-dire,rgA
BCard A
.l'autreinégalitése déduit diretement du fait que
dim
F
Bdim
E
.(ii)On ne peut rien onlure.
14. Soient
F
etG
deux sev deE
. On a0
>F
9G
, donF
9G
x g. Considéronsα
>K
etu, v
>F
9G
. On au, v
>F
, donαu
v
>F
. Pour la même raison onαu
v
>G
. Donαu
v
>F
9G
.En onlusion,F
9G
est un sev deE
.15. La réponse est non. en eet
1
et 2
dont deux bases deR
sans que 1 , 2
le soit.16. Soit
u
>A
tel queu
> sev `A
u
e. alorsu
est une ombinaison linéaire desautres veteurs de
A
, 'est-à-dire, il existe des salairesα 1 , . . . , α m et des
ve-teurs
u 1 , . . . , u m de A
distints de u
tels que u α 1 u 1 α m u m. Par suite,
u
α 1 u 1α m u m 0
. Cei montre queA
est bien une familleliée.
α m u m. Par suite,
u
α 1 u 1α m u m 0
. Cei montre queA
est bien une familleliée.
α m u m 0
. Cei montre queA
est bien une familleliée.Réiproquement,supposonsque
A
v 1 , . . . , v pestunefamilleliée. Alorsilexiste
des salaires
α 1 , . . . , α p non tous nuls tels que α 1 v 1α p v p 0
. Supposons par
exemple que α i x 0
. alors v i α 1
α p v p 0
. Supposons par exemple queα i x 0
. alors v i α 1
α 1
i
α 1 v 1 α i 1 v i 1 α i 1 v i 1 α p v p >
α i 1 v i 1 α p v p >
sev`
A
v ie.
17. Il sut d'utiliser le fait que toute famillelibre est ontenue dans une base et
que toute famillegénératriede
E
ontient une base deE
.18. On a
A
est, par dénition, une famille génératrie du sevF
sev`A
e. DonA
est une famillelibreA
est une base deF
dim
F
card
A
rg
A
card
A
19. On a
A
est une famillegénératrie deE
sev`A
eE
dim
sev `A
edim
E
rg
A
dim
E
20. Se déduitimmédiatementdu deux questionspréédentes.
21. Non évidemment. En eet, on a par exemple sev `
1 , 0
e`sev `0 , 1
eR 2 et
sev`1 , 0
e`sev `1 , 1
e R 2.
22. La réponse est oui. En eet, soient
F 1 et F 2 deux supplémentaires d'un sev
F
deE
. on aF 1`F E
et F 2 `F E
, don dim
F 1dim
F
dim
E
et
dim
F 2dim
F
dim
E
.Par suite, dim
F 1 dim
F 2 dim
E
dim
F
.
F E
, dondim
F 1dim
F
dim
E
et
dim
F 2dim
F
dim
E
.Par suite, dim
F 1 dim
F 2 dim
E
dim
F
.
dim
F
dim
E
.Par suite,dim
F 1 dim
F 2 dim
E
dim
F
.
dim
E
dim
F
.23. Se déduit failement du fait que sev`
A
9B
e b sev `A
8B
e sev `A, B
e bsev `
A
esev `B
e.24. On a sev `
A
e b sev `A
8 v
e. Don rgA
8v
rgA
si et seulment sisev `
A
e sev `A
8v
e, etei est équivalent àv
>sev `A
e.25. On a rg
A
BrgA
8v
et ommeA
8v
est une familleliée, alors rgA
8
v
xardA
1
. Don rgA
8v
Bard A
rgA
. Par suite, rgA
8v
rg
A
, etdonv
>sev `A
e.
2
ème méthode : PosonsA
u 1 , . . . , u m. Alors il existe α 1 , . . . , α m 1 des salaires
non tous nulstels que
α 1 u 1α m u mα m 1 v 0
. Si α m 1 0
, alors on obtient
α m 1 v 0
. Siα m 1 0
, alors on obtientα 1 u 1α m u m 0
etpuisqueA
est unefamillelibre,alorsα 1 . . . α m 0
.Cei
ontredit le fait que les salaires
α 1 , . . . , α m 1 non sont pas tous nuls. Par suite
α m 1x0
, etdon v
α 1
m 1
α 1 u 1α m u m>sev `A
e.
A
e.
(ii)Nonévidemment. Il sutde prendre une famille
0
etv
un veteur non nul.On a
0 , v
est une familleliéesans quev
>sev `A
e 0
.
Exerie 1.
(i) On a
0
>F
8G
, donF
8G
xg. Considéronsα
>K
etu
>F
8G
. On au
>F
et
u
>G
, donαu
>F
8G
, 'est-à-dire,F
8G
est stable par la loi externe.(ii) Si
F
bG
ouG
bF
, alorsF
8G G
ouF
8G F
, et donF
8G
est un sevde
E
.Réiproquement, Soient
F
etG
deux sev deE
tels queF
8G
est un sev deE
etsupposons par l'absurde que
F
b~G
etG
b~F
. Il existealors un veteuru
deF
quin'appartient pasà
G
et unveteurv
deG
quin'appartientpas àF
.Leveteuru
v
appartient ertainement à
F
8G
. Donu
v
>F
ouu
v
>G
, alorsu
v w
>F
ou
u
v e
>G
, et par suitev w
u
>F
ouu e
v
>G
d'où une ontradition.Exerie 2.
Parmi les parties
L
deB
telles queL
8L
est libre, Considérons une qui a un nombremaximal d'éléments. Notons ettefamilleparC
. AlorsL
8C
est une basede
E
. En eet, la familleL
8C
est, par hypothèse,une famille libre. De plus, soitv
un veteur quelonque deB
. Siv
>L
8C
alorsv
>sev`L
8C
e, et siv
~>L
8C
,alors la famille
L
8C
8v
, qui a plus d'éléments que la familleL
8C
, est liée.Alors
v
>sev`L
8C
e puisqueL
8C
est une famille libre. On a don montrer queB
bsev`L
8C
e. Par suiteE
bsev`L
8C
e. Ce qui fait queE
sev`L
8C
e,'est-à-dire, la famille
L
8C
est une famille génératrie deE
. En onlusion,L
8C
estune base de
E
. Ce qui ahève la démonstration.Exerie 3.
Parmi les partie
L
deA
telles queL
est une famille libre, onsidérons une qui aun nombremaximald'éléments.Notonsettefamillepar
B
. Alorson aA
bsev`B
,ar sinon, il existe
v
>A
tel quev
~>B
. CommeB
est libre, alorsB
8v
est unefamille libre, e qui ontredit la maximalité de
B
. Par suite,A
b sev`B
et donE
bsev`B
ebsev`B
e, 'est-à-dire,B
est une famille à la fois génératrie et librede
E
. En onlusion,B
est une base deE
ontenue dansA
.Exerie 4.
(i) Supposons que
p
An
et onsidérons le système homogène A
S0
. Le nombre d'équationsde e système estn
et lenombre d'inonnues estp
. Don A
S0
est un système homogène quia plus d'inonnuesque d'équations, donil admetau moinsune solution non nulle disons
α 1 , . . . , α p (Voir questions de ours du Chapitre
1). L'égualité
α 1 v 1α p v p 0
montre bien que A
est une famille liée de E
.
(ii) Supposons que
p
n
et onsidérons système A
Sv
oùv a 1 u 1 a n u n
un veteur quelonque de
E
. Le nombre d'équations du système A
Sv
estn
etle nombre d'inonnues est
p
. Par suite les lignes du premier membre,n
lignes,du système
A
Sv
sont des veteurs àp
oordonnées, et ommep
n
es lignesonstituent,d'après la question(i), une familleliée del'espae
K p. Donl'une des
lignes est ombinaison linéaire des autres lignes. Supposons par exemple que
L i
n
on obtient la ondition de ompatibilité
0 1
qui n'est pas varié, 'est-à-dire le veteuru i n'est pas une ombinaison linéaire des veteurs de A
. En onlusion, la
famille
A
n'engendre pasE
.(iii) Soit
B
une base deE
et soitB
une autre bese deE
. PuisqueB
est unefamille libre et génératrie de
E
, on a, d'après les question (i) et (ii), ardB
Bard
B
BardB
. D'où ardB
ardB
.Exerie 5.
(i) Il est lair quesi l'on donne à l'une des inonnues seondaires une valeur non
nulle,onn'obientquedessolutionsnonnullesde
S
(Voirlaréponseàlaquestion5
du Chapitre1
"la deuxièmeversion").Il est lair aussi que les éléments
u iB sont des solutions de de S
(il sut de
donnerlavaleur
1
àl'inonnueα i etlavaleur 0
auxautresinonnues seondaires).
Par suite
u iB >F
puisqueF S
. Considéronsmaintenant un veteur s
>F
. Alors
s
est une solutiondu système S
. Don s α 1 u 1 Bα n r u n rB où les salaires
α n r u n rB où les salaires
α 1 , . . . , α n r sont les inonnues seondaires du système S
. Cei montre que la
famille
u 1 , . . . , u n rest bien une famillegénératriede F
. Montrons maintenant
quela famille
u 1 , . . . , u n restlibre. Soitβ 1 , . . . , β n r dessalairestelsqueβ 1 u 1 B
β 1 u 1 B
β n r u n rB 0
. Alors la solutions
de S
obtenue en donnant aux inonnuesseondaires les valeurs
α 1 β 1 , . . . , α n r β n r, est nulle. Mais ei n'est possible
que si
β 1 . . . β n r 0
. Ainsi nous onluons que la famille u 1 , . . . , u n r est
libre et don 'est une base de
F
.(ii) Se déduitimmédiatement de la question (i).
Exerie 6.
(i) Soit
B
une base deF
,v
x 1 , . . . , x n un veteur quelonque de E
. Il est
lair que
v
>F
si et seulement si le système B
Sv
est ompatible, 'est-à-dire, les onditions de ompatibilités du système B
Sv
sont toutes vériées. Par suite, eséquationsfournissentune représentationartésiennede
F
.D'autre part,lenombredes équations du système
B
Sv
estn
et le rang estdim
F
p
. Don si onéhe-lonne e système, on obtient
n
p
onditions de ompatibilités. Ce qui fait queF
peut être représenté par
n
p
équations.Réiproquement, Supposons que
S
est un système homogème qui dénitF
(né-essairement à
n
inonnues) et qui al
équations. Alors la dimension deF
estégale aux nombres d'inonnues seondaires de
S
. Donn
p
est le nombre desinonnues prinipales de
S
qui est ertainement inférieur ou égal àl
. CQFD.(ii)Unedroitevetorielde
R 2 estaratériseéepar au moinsuneéquation
(exate-ment une ar 2 1 1
) et une droite vetoriel de R 3 est aratérisée par au moins
deuxéquations(exatementdeuxar
3 1 2
).Un planvetoriel estde dimension2
, et don il est aratérisé par au moins une équation3 2 1
Exerie 7.
F
9G
est le sev d'équations artésiennes¢
Une deuxième méthode onsiste à résoudre séparément les équations de
F
et deG
. La résolution de es deux systèmes donnentF
7 2 z, 3 z, z~z
> R
et G
2. Les oordonnées de
v 1 vérient les équations de F
, alors que les oordonées de
v 2 ne les vérient pas. Don v 1 est un veteur de F
et v 2 ne l'ai pas.
v 1 est un veteur de F
et v 2 ne l'ai pas.
3. La famille
A
est liée ar rgA
2
x ardA
. L'existene des onditions deompatibilités montre aussi que
A
est liée.4. On a
F
sev`A
e, dondim
F
rgA
2
.5. Les olonnes pivots sont elles d'indies
1
et3
, et omme on n'a pas fait de permutations sur les olonnes, alors la famille u 1 , u 3 est une base de F
extraite
de
A
.6. Les lignes nulles sont
L 3 et L 4, et on a utilisé une seule permutation 'est
L 2 L 3. Don l'origine de L 3 est L 2 et elle de L 4 'est L 4. Par suite on peut
L 3 est L 2 et elle de L 4 'est L 4. Par suite on peut
L 4 'est L 4. Par suite on peut
ompléter la famille
u 1 , u 3 par les veteurs e 2 0 , 1 , 0 , 0
et e 4 0 , 0 , 0 , 1
en
0 , 1 , 0 , 0
ete 4 0 , 0 , 0 , 1
en
une base de
R 4, 'est-à-dire B
u 1 , u 3 , e 2 , e 4 est une base de R 4.
R 4.
7.D'aprèslaquestionpréédente,onalesevsev`
e 2 , e 4edeR 4estunsupplémentaire
de F dans R 4.
R 4.
8. On doit herher une base de l'ensemble des solutions du système
A
S0
. Pour ela il sut de remplaerx, y, z
ett
par0
. On trouve alors que A
S0
a pourSi on déplae la troisième ligne pour qu'elle devient la première, on obtient le
tableau éhelonné équivalent suivant
Exerie 9. IL sutde herherdes équationsartésiennes du sev`
v, w
eet inje-ter lesoordonnées du veteur
u
dans es équations. On onsidère donle système
v, w
Sh
,h
x, y, z, t
, et on détermine ses onditionsde ompatibilités. Onsontdeséquationsartésiennesdesev`
v, w
e.Parsuite,u
>sev`v, w
esietseulementsi
α 2
.Exerie10. onarg
u, v
2
etsoonéhelonneu, w
ontrouveaussirgu, w
2
.Dondim
sev`u, v
edim
sev`u, w
e.Donsev`u, v
e sev`u, w
esietseulementsi
v
>sev`u, w
e ar on déjàu
>sev`u, w
e.Unalulsimplemontreque
3 x
y
2 z 0
estuneéquationartésiennedesev`u, w
e.Par suite sev`
u, v
e sev`u, w
e si et seulement sia 1 2.
Exerie 11. On onsidèrelesystème suivantetonapplique la méthodede Gauss
1.
a pas utilisé de permutations sur les olonnes).
3. On a
u 1 B 1 , 0 , 0
, u 2 B 0 , 1 , 0
, u 3 B 0 , 0 , 1
. Pour trouver les oordonnées
de u 4, on peut utiliser les relations de dépendanes entre les inques veteurs.
0 , 1 , 0
, u 3 B 0 , 0 , 1
. Pour trouver les oordonnées
de u 4, on peut utiliser les relations de dépendanes entre les inques veteurs.
On remplae
x, y, z, t, e
par0
dans le système éhelonnée obtennue, on trouve omme ensemble de solutions x 4 ,
3 x 4 , 2 x 4 , x 4~x 4>R
.
Don u 13 u 22 u 3
R
.
Donu 13 u 22 u 3
2 u 3
u 4 0
. D'oùu 4 u 13 u 22 u 3 et par suite u 4 B 1 , 3 ,
2
.
2 u 3 et par suite u 4 B 1 , 3 ,
2
.
1 , 3 ,
2
.3.Les lignesnullessont
L 4 etL 5.Onn'a pashangéla positiondelaligneL 4,mais
L 4,mais
on l'a faitpour la ligne
L 5. Dans la permutation erulaire L 5 L 2 L 3 L 5 on
voit lairementquel'origine de la ligne
L 5 est la ligneL 3. On peut don ompléter
par les veteurs de la base anoniques
e 3 0 , 0 , 1 , 0 , 0
et e 4 0 , 0 , 0 , 1 , 0
pour
avoir une base de R 5.
0 , 0 , 0 , 1 , 0
pour avoir une base deR 5.
Exerie12. faisonslehangementdevariable
z
2 y x
. ilestlairquex
prendtouteslesvaleursde
R
, puisquez
ety
lesont.DonF
x
, y, x
2 y, y
3 z
~y, z
>R
. Le hangement de variablex
x
, Montre bien queF G
.Remarque.Onpeutparfoisutiliseruneméthodeanalogueàellefaitedans
l'exer-ie prédédent, pour montrer que deux sev sont égaux à partir de leurs équations
artésiennes.