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Sociétés savantes, collaborations européennes et internationales

Dans le document KLM for Heritage (Page 94-99)

Les 10 communications marquantes de mon parcours scientifique

2. Synthèse des activités de recherche

2.3 Playground : le cadre scientifique de mes recherches

2.3.10 Sociétés savantes, collaborations européennes et internationales

Au plan international les recherches que je mène s’intègrent dans un réseau de sociétés savantes et de laboratoires étrangers. Dans le champ de l’ingénierie, je participe activement dans la communauté du CIRP que nous nous allons détailler ci-après. Dans le champ du patrimoine et de l’archéologie, mon appartenance à des réseaux internationaux me permet d’assurer une représentation française sur la thématique et d’assurer une veille continue :

• membre de l’ICOMOS auprès de l’UNESCO pour mon expertise sur le patrimoine scientifique et technique par les outils du numérique,

• membre du réseau international INNOVA86 des archéologues utilisant le virtuel.

Les échanges scientifiques menés avec des laboratoires étrangers permettent tant l’alimentation de la réflexion que la validation des méthodologies :

• depuis 2007 avec le LAMIC, Laboratoire de muséologie et d'ingénierie de la culture, Université Laval à Québec au Canada,

• depuis 2011 avec l’Unité de Géomatique de l’Université de Liège en Belgique (soutien au réseau européen COST Action TU 0801),

• depuis 2013 avec la Haute Ecole Arc Conservation-restauration à Neuchâtel en Suisse (soutien au réseau européen COST Action TD 1201),

• depuis 2016, une nouvelle collaboration est en cours avec l’Ecole Française de Rome en Italie (accord Erasmus+). Je vais détailler ces coopérations à l’exception de la dernière qui est très récente ; elle consiste en l’utilisation de la Réalité Virtuelle en archéologie du bâti pour la compréhension de mécanismes très anciens et la modélisation du site romain du palatin (Quantin, Laroche, André, & Villedieu, 2017) (Quantin, Laroche, Andre, & Villedieu, 2017).

Le CIRP

« Collège International pour la Recherche en Productique ou International Academy for Production Engineering »

http://www.cirp.net

Le CIRP est une organisation scientifique internationale dans le domaine du Génie Industriel (manufacturing et production industrielle) qui contribue à la conception, l'optimisation, le contrôle et la gestion des processus, des machines et des systèmes, des procédés et des technologies de fabrication.

Cette communauté a comme objectif premier d’aider les entreprises à définir et mettre en place des méthodes suite à l’évolution rapide des nouveaux procédés de fabrication. Créée par le Général Pierre Nicolau en 1951 c’est une association à but non lucratif d’origine française qui réunit désormais plus de 600 chercheurs et industriels internationaux représentant 50 pays.

85 RV = Réalité Virtuelle

Page 94 sur 203 HDR Florent Laroche

Aujourd’hui le CIRP veut promouvoir la recherche et le développement en contribuant à la croissance économique mondiale et le bien-être de la société. Structurée sous la forme d’une société savante, c’est désormais un des plus grands réseaux internationaux d’industriels et de chercheurs reconnus.

Avec 10 STC87, je m’intéresse plus particulièrement à deux d’entre eux :

• Le STC Dn - Design88 sur les aspects méthodologie des processus d’ingénierie, aide à l’utilisateur par des systèmes d’intelligence artificielle, les bases de données et de connaissances pour structurer les modèles numériques,

• Le STC O - Production Systems and Organizations89 pour l’organisation des entreprises, et les modèles associés aux systèmes de production ou de services avec, entre autres, le management des opérations qui intègre les points de vue humains.

En 2006, j’ai présenté la première fois mes recherches à la conférence CIRP Design afin de confronter la méthodologie de capitalisation/modélisation/exploitation des connaissances patrimoniales à la communauté scientifique (Laroche, Bernard, Cotte, & Deniaud, 2006). Désormais je participe à l’ensemble des réunions bi-annuelles (Winter meetings et CIRP General Assembly en août) et propose régulièrement des papiers à la conférence internationale CIRP Design Seminar90.

En 2013, lors de l’Assemblée Générale à Copenhague, j’ai présenté l’ensemble de mes travaux de recherche (Laroche F. , 2013) en définissant l’objectif suivant : « guider l’entreprise par les connaissances du passé en mixant le patrimoine et les outils du virtuel ». Depuis, ma thématique de recherche est connue et les échanges avec d’autres collègues internationaux dans leur domaine d’expertise me permettent d’enrichir mes approches. J’ai ainsi présenté plus en détail mes travaux lors de 2 papiers à la General Assembly, donc devant un public de chercheurs de renommée internationale (Laroche, Bernard, & Hervy, 2015) (Laroche, Dhuieb, Belkadi, & Bernard, 2016).

Le CIRP est une communauté internationale très ressourçante pour mes travaux de recherche. On notera tout particulièrement le Keynote réalisé en 2014 par Eric Lutters (Lutters, van Houten, Bernard, Mermoz, & Schutte, 2014). Un des objectifs de ce papier est de replacer l’homme au cœur du processus d’ingénierie afin de lui redonner toute sa place. Après plus de 50 ans d’avancées techniques et d’optimisation des machines, l’homme a été délaissé et est devenu un simple « facteur ». En ce sens, la communication scientifique de Eric Lutters est pour moi fondatrice d’une ère nouvelle pour des travaux de recherches d’ingénierie intégrant les aspects humains.

Au sein du CIRP je contribue à enrichir les approches contemporaines en numérisation 3D par l’intégration des contraintes des objets patrimoniaux et proposé un modèle de représentation produit intégrant les connaissances du passé (Laroche, Bernard, & Cotte, 2007)

J’ai été admis comme membre Research Affiliate du CIRP en 2013 (groupe de travail réservé aux « jeunes » chercheurs). Depuis août 2017, j’ai été accepté comme membre à part entière, dit « Associate Member ».

Après avoir organisé à Nantes la 20ème conférence CIRP Design en 2010 puis la 64ème assemblée générale du CIRP en 2014, je suis organisateur et co-chairman de la 28ème conférence CIRP Design qui aura lieu à Nantes en 2018.

Ma collaboration au sein du CIRP porte également sur la richesse des discussions scientifiques, des collaborations, des échanges de pratiques pédagogiques ou de stagiaires pour « aligner » nos modèles dans nos domaines.

De l’entreprise Creaform3D au Laboratoire LAMIC, Université de Laval à Québec

www.creaform3d.com www.ametek.fr www.lamic.ulaval.ca

Cette collaboration franco-québécoise est née d’une rencontre avec l’entreprise Ametek.

Charles Mony a soutenu sa thèse de doctorat à l’Ecole Centrale de Paris en 1992 ; il était sous la direction de Jean-Claude Bocquet et Alain Bernard (Mony, 1992). Puis, en 2002, Charles Mony a créé au Canada une société dédiée à la numérisation 3D : Creaform3D. Pionnière dans le domaine du reverse-engineering, nous avons, dès 2004 pu acquérir un scanner, réaliser des expérimentations tant en pédagogie qu’en recherche. Faisant partie du usergroup d’origine, il a même été envisagé de créer une antenne de Creaform rattachée à l’Ecole Centrale de Nantes avec du personnel détaché par l’entreprise. Fort de son succès, en 2013, Creaform3D sera racheté par la société Ametek, leader international dans les technologies d’acquisition 3D.

87 STC = Scientific Technical Commitees 88 Chairman : Prof. Eric Lutters 89 Chairman : Prof. Roberto Teti

90 Mes contributions : (Laroche, Bernard, Cotte, & Deniaud, 2006) (Laroche, Bernard, & Cotte, 2008) (Daaboul, Bernard, & Laroche, 2010)

C’est lors des premières journées du usergroup dédié à la numérisation 3D que des affinités scientifiques se sont créées avec le LAMIC, le Laboratoire de Muséologie et d’Ingénierie de la Culture qui se situe au sein de l’Université de Laval à Québec (Canada). Utilisateurs de la technologie 3D tout comme notre équipe de recherche, nous avons des problématiques scientifiques communes liées à la capitalisation et la valorisation du patrimoine par les outils du virtuel.

Le LAMIC a été fondé en 2004 par le professeur Philippe Dubé. Grâce à une subvention de 3,4M can$ de la Fondation Canadienne de l’Innovation, le laboratoire a pu s’installer dans l’ancien centre muséographique de l’université. Il occupe des locaux s’étendant sur une superficie de 500 m2.

Ce laboratoire est une petite structure constituée d’un nombre variable de personnes. On y trouve actuellement 3 doctorantes (muséologie, histoire de l’art ou encore ethnologie), son directeur et occasionnellement un polytechnicien (spécialisé en informatique). Des étudiants de 2ème et 3ème cycle s’y trouvent également de manière régulière.

Le laboratoire se veut être une plate-forme d’expérimentation en muséologie : musées, artistes et organismes proches sont encouragés à venir y découvrir les possibilités que recèlent pour eux les nouvelles technologies. Il se compose :

• D’un laboratoire de captation équipé d’un poste de numérisation 3D (scanner 3D) et d’un poste d’archéométrie (microscope électronique),

• D’un laboratoire de visualisation (cyclorama, station de téléprésence, théâtre 3D),

• D’un laboratoire de spatialisation (panoscope 360°) communiquant directement avec une salle de montage vidéo… Le cas d’application qui a réuni notre équipe de recherche française et les canadiens a porté sur le monastère des Ursulines de Québec (Dubé & Courchesne, 2012).

Cet édifice est reconnu patrimoine de l’UNESCO. Il a été fondé le 1er août 1639 par Marie de l’Incarnation et Marie-Madeleine de Chauvigny de la Peltrie qui avaient entrepris un voyage depuis la France. Initialement dans la Basse-Ville de Québec et dans un immeuble étroit, il fut décidé de construire un nouveau bâtiment en 1637 sur un terrain cédé par la Compagnie des Cent- Associés. Ce monastère fut détruit (tout ou en partie) et reconstruit à plusieurs reprises pour diverses raisons. Un incendie le détruisit complètement en 1651, et en partie en 1686 (chapelle extérieure). En 1870 le monastère devint trop étroit pour les religieuses et leurs élèves, et on y ajouta donc la chapelle Sainte Angèle, qui plus tard sera dédiée à Marie de l’Incarnation. Enfin, en 1900, on décida d’agrandir le Chœur des religieuses mais pour des raisons techniques (risque d’effondrement) il fallut également reconstruire l’ancienne chapelle.

Même si classée au patrimoine mondial, il est impossible de visiter cette chapelle afin de pouvoir la conserver dans le meilleur état possible.

La collaboration avec le LAMIC a porté tant sur les méthodologies et les outillages pour numériser et structurer digitalement le site patrimonial que sur la muséologie virtuelle à mettre en place pour valoriser le site virtuellement. Les actions conjointes menées :

• Partage d’expériences et de savoir-faire par l’accueil de stagiaires de l’Ecole Centrale au sein du LAMIC : Elsa Goarrin, Camille Autran et Géraud Lefalher,

• Participation du professeur Philippe Dubé à mon jury de thèse et possibilité d’un post-doc envisagé en 2008,

• Organisation de journées d’études francophones, sessions spéciales dédiées au patrimoine numérique dans les conférences internationales.

Le réseau européen COST Action TU0801 et l’Unité de Géomatique de l’Université de Liège, Belgique

http://www.geo.ulg.ac.be

Depuis 2011, grâce à l’IRSTV, une coopération avec l’Université de Liège et plus particulièrement avec l’équipe du professeur Roland Billen a été initiée.

La rencontre entre nos équipes de recherche s’est réalisée autour des réflexions sur la modélisation des données urbaines issues de connaissances patrimoniales. Deux objets sont étudiés et comparés :

• la maquette de Nantes en 1900, voir la description du projet ci-avant, • la maquette de la ville de Liège de 1730, acquis par l’université en 1907.

A la différence de Nantes1900, la maquette belge n’est pas exposée au public à cause des conditions de conservation et de préservation très contraignantes. Mais, tout comme le projet nantais, une numérisation 3D a été réalisée et est devenu le point de départ des études. L’objectif final consiste à réaliser une modélisation pour une porte d’accès à l’ensemble des connaissances de la ville. L’équipe belge développe un système appelé SpatioData pour devenir la gestion interne des données 3D historiques assurant une interopérabilité avec les bases de données extérieures et les standards du web sémantique (Poux, Neuville, Hallot, & Billen, 2016).

Page 96 sur 203 HDR Florent Laroche

Les deux projets ont également en commun l’aspect pluridisciplinaire de la recherche : géomaticien, archéologue, physicien, mécanicien, infographiste, historien, muséologue…

Ces études ont permis de démontrer que les méthodologies développées à Nantes sur le patrimoine numérique peuvent se confronter à d’autres approches comme celles développées à Liège sur les modèles 3D de villes anciennes. Plusieurs publications communes ont été réalisées par nos laboratoires (Hervy, et al., 2012) (Billen, et al., 2012).

Comparaison de la méthodologie entre Nantes1900 et Virtual Leodium (Billen, et al., 2012)

Orientée sur la thématique des maquettes historiques de villes, notre coopération consiste à développer un modèle européen de données permettant le stockage d’informations urbaines hétérogènes91 ainsi que de nouvelles techniques de visualisation des données urbaines.

Le premier échange réalisé fut l’accueil de Benjamin Hervy à l’Université de Liège comme stagiaire ingénieur ; c’est lui-même qui continuera en thèse de doctorat sur le projet Nantes1900 (voir descriptif ci-avant). Puis la collaboration s’est renforcée :

• accueil de chercheurs et séjours de recherche dans nos structures respectives,

• accueil de post-doc, entre autre dans le cadre des TNA du projet européen Visionair ou du réseau européen COST Action TU0801),

• échange de stagiaires : géomaticiens et ingénieurs.

Le réseau COSCH TD 1201 et le projet Schema-TEC

Partenaire : Haute Ecole Arc Conservation-restauration, Neuchâtel – Suisse Durée : 2014-2016

http://www.he-arc.ch/cr

Les approches de conservation-restauration classiques peinent à s’appliquer aux caractéristiques et aux besoins spécifiques du patrimoine technique et industriel. Les interventions minimales à réaliser et la nécessité de leur réversibilité sont en conflit avec des stratégies de remise en fonctionnement, nécessitant parfois des réparations invasives ou le changement de pièces, mais permettant d’un autre côté de revaloriser ces objets. Schema-TEC ambitionne de combler une lacune : celle de l’absence de méthodologie descriptive des objets fonctionnels scientifiques et techniques patrimoniaux adaptée à leur conservation- restauration.

Le projet Schema-TEC est piloté par le Docteur Christina Degrigny et son collègue Romain Jeanneret.

Le travail mené avec le consortium du projet a permis de valider la nouvelle méthodologie. Elle se compose de 8 niveaux de lecture. Ils permettent de passer intuitivement de la compréhension globale de l’usage des objets à celle plus détaillée de ses composants, organes fonctionnels jusqu’au modèle complet en systémique. Basés sur des représentations 2D, complétés parfois de représentations 3D ainsi que d’animations des mécanismes complexes, ils bénéficient également de l’apport des diagrammes SADT ou FAST pour visualiser l’impact des altérations sur les chaînes fonctionnelles. Ainsi c’est l’ensemble des outils virtuels de l’ingénierie technique qui a été analysé, optimisé et adapté. (Degrigny, Jeanneret, Köhler, Laroche, & Baudin, 2017)

La méthodologie de représentation schématique de la fonctionnalité scientifique et technique ne se limite pas seulement à améliorer la compréhension du fonctionnement, mais couvre l’ensemble du projet de conservation-restauration (constat d’état, diagnostic, propositions d’interventions adéquates en vue d’éventuelles remises en fonction). Ainsi les schémas techniques réalisés ne sont pas seulement des outils d’observation et de description mais également des moyens essentiels d’analyse et support à la discussion entre les acteurs d’un projet de conservation-restauration.

L’objet est le point de départ de la démarche. Il est photographié dans un état proche de celui de son utilisation (niveau 1). Des documents d’archives, voire des schémas illustratifs du contexte d’usage peuvent enrichir le propos (niveau 2) pour replacer l’objet photographié dans son contexte historique d’usage. Un premier organigramme (fonctionnel) décrivant les principaux organes fonctionnels des objets est alors proposé (niveau 3). Ces mêmes organes sont alors photographiés en gros plan, les clichés pouvant être optimisés (illustration d’identification) afin d’améliorer leur lisibilité et l’information transmise (niveaux 4 et 5). Leur fonctionnement est ensuite décrit à l’aide de schémas techniques simplifiés (représentation fonctionnelle et dessin technique fonctionnel) permettant de mieux détailler les interactions et degrés de liberté entre les différents éléments de chacun des organes (niveau 6). Les éléments des organes se déplaçant dans plusieurs plans rendent le fonctionnement global de ces derniers difficile à percevoir sur une vue 2D. Ces groupes de pièces peuvent requérir un autre mode de représentation comme une ou plusieurs vues en perspective isométrique, complétée(s) parfois par séquences fonctionnelles, voire des animations 3D (niveau 7). Le dernier niveau reprend l’organigramme de base (niveau 3) en détaillant le fonctionnement de chaque organe (niveau 8). Ces huit niveaux ne sont pas systématiquement utilisés. En fonction de la complexité de l’objet, certains sont davantage développés que d’autres.

Afin de pouvoir encapsuler, stocker et valoriser ces connaissances, une base de données en ligne Schema-TEC (schematec.he- arc.ch) a été créée dans le cadre du projet. Elle permet la sauvegarde complète des projets construits selon la méthodologie Schema-TEC mais également leur consultation. A terme elle devrait devenir le support du savoir partageable entre plusieurs communautés concernées par la conservation-restauration des objets scientifiques et techniques patrimoniaux fonctionnels.

Cette rencontre avec le milieu des professionnels de la restauration des œuvres a permis de donner à mes travaux de recherche une dimension non abordée jusqu’à présent : l’intégration de l’incertitude dans les modèles numériques pour rester le plus fidèle possible à la réalité. En effet, la digitalisation d’un objet a souvent tendance à restituer une version simplifiée de la réalité ; malheureusement, pour réaliser un constat d’état - travail préliminaire à toute restauration – la surface de l’objet étudié doit révéler tous sesdéfauts. Comment intégrer un objet non parfait qui évolue temporellement dans un modèle virtuel idéalisé : cette problématique est à l’origine du projet ANR RéSeed et de la thèse associée. La collaboration avec la Haute Ecole Arc Conservation-restauration de Neuchâtel en Suisse s’est concrétisée par :

• des accueils de chercheurs,

• des échanges de stagiaires ingénieurs de l’Ecole Centrale de Nantes,

• la participation aux réunions du réseau européen COSCH pour l’expertise des technologies avancées pour la conservation et la restauration des œuvres culturelles,

• la participation à une summer school européenne dédiée à la photogrammétrie (COST-Action TD 1201), • une publication commune en 2017 (Degrigny, Jeanneret, Köhler, Laroche, & Baudin, 2017).

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Dans le document KLM for Heritage (Page 94-99)