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: Le vodoun et le patrimoine naturel et urbain

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Chapitre 7 : Le vodoun et le patrimoine naturel et urbain

Les forêts sacrées dans l'aire culturelle Adja-Tado (sud du Bénin et du Togo) sont des lieux sacrés avec une part importante de biodiversité. D'une étendue relativement modeste (quelques hectares au plus), les forêts sacrées sont des lieux liés à l'histoire de certains peuples qui les protègent et en règlementent l'accès par les principes religieux des cultes aux vodoun.

Certaines forêts sacrées comportent un couvent en leur sein comme c'est le cas à Ouidah de la forêt Kpassê-zoun. Il n'est pas facile de retrouver avec précision les sites de toutes les forêts sacrées qui ont disparu du paysage urbain à Ouidah pour plusieurs raisons.

La politique d'occupation des Fon a consisté à peupler l'espace pour occuper le terrain. De même, la forte influence d'une culture brésilienne empreinte d'urbanité, à un moment donné à Ouidah, a pu avoir des conséquences sur l'écosystème, l'aménagement du territoire et la répartition spatiale du patrimoine vodoun de la ville. Simone de Berbain parle de l'invasion des Brésiliens à Ouidah qu'elle assimile à l'apport occidental, avec des modèles de pensée occidentaux et une économie qui s'en trouvent modifiés avant de conclure que le XVIIIe siècle fut incontestablement le siècle de Ouidah. Si le XVIIIe siècle fut celui de Ouidah, le siècle suivant le XIXe devrait en porter les séquelles écologiques et spatiales en ce qui concerne l'aménagement du milieu urbain. La dégradation de l'environnement (défrichements des bosquets et forêts sacrées) a été peut-être le prix que Ouidah a payé pour une économie florissante et mondialisée dès le XVIIIe siècle. Il n'est pas exclu que dès le début du XIXe siècle une certaine pression démographique se soit exercée comme conséquences de l'arrivée massive des Fon, des Yorouba et autres ethnies et nationalités, ce qui a entrainé un début de dégradation de l'environnement urbain d'alors avec une disparition progressive des forêts ordinaires ou sacrées.

Il est possible aussi que la phase d'acculturation résultant de l'arrivée massive des Brésiliens ait accéléré une mise en parenthèse de la culture traditionnelle, ce qui pourrait influencer un écosystème adapté au vodoun. Une croissance démographique qu'aucune ville du Dahomey n'a connue à l'époque et une santé économique sans pareil permettent de comprendre les écarts et les reculs jusqu'au moment où la ville de Cotonou a pris le relai à la fin du XIXe, début XXe siècles. À l'issue du travail que nous avons fait sur le terrain, il est apparu des discontinuités dans l'aménagement du territoire à Ouidah, ainsi que des groupes d'acteurs qui se sont projetés différemment et ont influencé un espace urbain qui était à conquérir.

7-1 Positionnement, méthodes et problématique

En abordant cette partie de notre travail, nous rentrons dans un domaine qui a occupé l'essentiel de notre projet d'étude sur le terrain. Il est important de préciser ici les conditions de réalisation ainsi que les méthodes utilisées et de préciser nos rapports au milieu d'étude.

Pour le lecteur, il est important de savoir que Paul Lando est né à Ouidah, qu'il y a passé une bonne partie de sa vie, qu'il est locuteur des langues parlées dans Ouidah et sa région (les langues fon et houédah). Plusieurs déplacements sur le terrain ont été réalisés depuis ces quatre dernières années à raison d'un séjour d'au moins trente jours par an d'investigation dans un milieu dont les traditions et coutumes ne nous sont pas étrangères. Nous avons pu prendre le temps d'interroger sur les aspects flous de cette culture qui est aussi la nôtre et réfléchir sur le pourquoi de certaines pratiques.

Il est aisé pour nous d'entreprendre des enquêtes dans un milieu connu, sur des faits qui, culturellement ne nous sont pas étrangers, mais il n'est pas toujours facile de se démarquer de ses propres racines et prendre du recul par rapport à des choses et des faits qui quotidiennement nous impliquent et nous tiennent. Par ailleurs, nous sommes acteur et observateur d'une culture qui de l'intérieur ne voit rien, mais de l'extérieur comprend trop peut-être. Les défaillances, les dérapages et peut-être les excès qu'on pourrait relever dans ces travaux viendront de là.

Les méthodes utilisées tout au long de ces quatre années, nos séjours sur le terrain, ont consisté à nous mettre en immersion totale à chaque déplacement, de vivre le terrain au jour le jour et faire semblant d'abord de rien. Cette méthode permet de cibler d'abord des personnes ressources en menant des enquêtes et surtout d'avoir des informations sans éveiller de soupçons. Pendant quatre ans, il a fallu arpenter la ville rue par rue pour découvrir des territoires, faire semblant de se perdre. Il y a là, un avantage certain à maîtriser la langue et les habitudes d'un peuple qui n'a pas l'habitude de se dévoiler. Les entretiens se sont déroulés avec des individus dans un environnement qu'ils connaissent et dont ils maîtrisent l'évolution et connaissent les différents acteurs, les permanences et les mutations.

Des rencontres ont eu lieu avec des notables de la ville, mais aussi avec des chefs de collectivités ou leurs représentants ou encore des chefs religieux. Ces rencontres ont permis de confirmer ou d'infirmer des points de vue sur des questions ou d'en relativiser certains aspects. Grâce à ces rencontres, nous avons eu écho de la présence d'un chapelet de mares sacrées le long de la limite sud de la ville que nous sommes partis découvrir. (voir liste des entretiens)

Nous avons été accompagnés par la mairie de Ouidah et ses agents dynamiques qui ont accepté de nous indiquer des personnes ressources et mettre à notre disposition certaines

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données. Ce sont des générosités qui ont donné un élan à nos investigations pour comprendre l'aménagement urbain et un ancrage au territoire à Ouidah qui est tout à fait particulier. Cet aménagement est le fait d'acteurs différents qui, au cours de l'histoire, ont fait le choix de s'installer dans la cité, chacun à sa manière et ont été influencés par ce qu'ils étaient avant de venir à Ouidah. Nous nous fixons comme objectif de voir ce qui caractérise l'ancrage au territoire de chaque acteur et ce qui le différencie authentiquement des autres, après avoir vu dans un premier temps le processus de sacralisation et du marquage de l'espace par le vodoun.

Nous avons eu la chance de rencontrer beaucoup de monde pendant quatre ans et d'avoir également des partenaires sur place qui vivent le terrain au jour le jour. Au cours de ces travaux difficiles de terrain, ils ont été des indicateurs précieux sur lesquels nous nous sommes appuyés pour comprendre certains aspects d'un milieu difficile. Mais aussi pour comprendre la genèse des conflits, les méthodes de leur formation et peut-être aussi celles de leur fomentation, et le lien si souvent fréquent qu'ils ont avec l'espace, et les rapports à la terre. Parmi les plus remarquables, il y a le premier adjoint au maire de Ouidah et des personnalités ayant occupé des fonctions importantes sur le plan international dans le domaine de la culture : il s'agit des professeurs Honorat Aguessy129, auteur d'un livre sur la culture vodoun, et du professeur Émile Ologoudou, tous deux sociologues de renom et natifs de Ouidah.

Le professeur Ologoudou130 est impliqué dans des recherches sur le vodoun à Ouidah et nous a permis de rencontrer l'adjoint au prêtre suprême Daagbo Hounon avec qui il travaille. Il y a eu dans ces rencontres des discussions avec des guérisseurs traditionnels et grands connaisseurs des plantes qui exercent dans la ville ou dans les environs. Le nombre de chefs féticheurs que nous avons croisé pendant quatre ans est impressionnant et cela a permis de comprendre que les domaines dans lesquels ils exercent sont exceptionnels. Les chefs de collectivités familiales sont tenus par le devoir de réserve, mais certains sont arrivés à parler de choses ordinaires comme les hiérarchies familiales et les dangers courus si telle ou telle autre cérémonie n'était pas faite dans les normes et les délais convenus. Ainsi, des secrets de familles gardés par les chefs de collectivité sortent parfois dans la rue, de la bouche même d'individus membres de la collectivité. Au bout de quatre années de recherches, la conclusion est que nous n'avons pas fini d'apprendre sur notre propre culture, ses zones d'ombre et ses silences, mais aussi sur ses dynamismes propres et ses capacités à rebondir. Nous avons réappris durant quatre ans, une patience et une autre notion du temps auxquelles nous n'étions plus habitués. Il fallait faire ce choix parce que dans le système vodoun, vous suivez les choses à leur rythme ; elles ne vous attendent pas. Être regardé comme un allochtone par son

129 Aguessy Honorat, 1998, cultures vodoun : manifestations, migrations, métamorphoses, Afrique Caraïbes Amériques. Éditions IDEE (Institut de Développement et d’échanges endogènes)

130 Ologoudou Émile sociologue né le 17 juin 1935

propre peuple et parfois traité comme tel, s'est révélé une épreuve. Nous n'avons pas tout compris : les voies de Dieu dit-on sont insondables, celles du vodoun aussi.

Durant ces années de recherches, il fallait à tout prix garder l'anonymat, éviter de se démasquer, et toujours aller dans le sens que prennent les choses. Il fallait, tout en restant vigilant, se laisser emporter par le courant. Cette méthode de l'ethnosociologie par immersion est assimilable à de l'espionnage et dans certains cas, on sait ce qu'on est venu chercher ; mais dans d'autres, on fait de la curiosité et on attend. Le principe qui consiste à ne rien dire de soi-même et de ses intentions vous fait apparaître comme un habitant ordinaire. Il fallait dans ces circonstances, satisfaire la curiosité de ceux qui cherchent à vous connaître et à savoir des choses sur vous, en engageant des discussions dans la langue locale. La langue devient un moyen de camouflage en même temps de communication. Elle rassure et met tout le monde à l'aise dans le vernaculaire local, les gens concluent en disant « nous sommes tous les mêmes ».

Cet aveu est précieux quand on l'a, et il signifie dans l'esprit de ces gens qu'ils peuvent maintenant « se mettre nu » devant vous. Dès lors une autre stratégie commence : « il faut faire comme ils font » et cela demande parfois du courage. Par exemple, lorsque vous devez boire forcément dans le même verre que vingt-cinq ou trente personnes, juste pour leur signifier que vous faites un avec eux, il y a un courage à prendre et un risque aussi. Mais tout cela parfois ne suffit pas et certaines déviations peuvent surprendre. Le souvenir le plus pénible, que nous avons en quatre ans, est qu’il y a eu un cas où nous nous sommes fait traduire notre propre langue parce que, pour brouiller les pistes, les gens n'hésitaient pas à changer le niveau de langage pour restreindre le cercle de ceux qui pouvaient comprendre.

Ces passages cryptés peuvent durer parfois une demi-heure et sont extrêmement durs pour les nerfs, mais il ne faut rien lâcher.

Dans les traditions ancestrales en pays vodoun, un chef de famille ou de collectivité ne prend jamais la parole sans demander au préalable l'autorisation aux disparus en buvant puis en versant de l'alcool de palme par terre. Le protocole exige qu'on accueille l'étranger et c'est après avoir versé l'eau et le vin de palme par terre que les salutations d'usage se font et les échanges peuvent commencer. Il faut donc à chaque rencontre investir dans l'achat d'un litre de vin de palme pour libérer la parole, la science de la communication traditionnelle veut qu'on dise clairement certaines choses et laisse deviner d'autres. Deviner suppose qu'on connaisse les traditions ou qu'on ait les possibilités de se les approprier. Il y a des lieux où vous ne pouvez pas aller sans retirer vos sandales (la « salle des anciens disparus » par exemple) et lorsque la plupart des gens vont et viennent tout à fait à l'aise, nous avons des brûlures dans les plantes des pieds et là on comprend que malgré tous les semblants qu'on fait, on est différent à tort ou à raison, mais, qu'on ne se sent plus vraiment « un caïman de ce marigot » comme on a coutume de le dire chez ces peuples.

Chapitre 7 : Le vodoun et le patrimoine naturel et urbain

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Écouter, observer et savoir quelle question poser et à qui la poser, ne rater aucune bonne occasion de rencontre. En immersion, il a fallu éviter de « ramer à contre-courant », ménager toutes les sensibilités et avoir une attention particulière pour les hiérarchies sociales si rigides, mais non étanches : ce n'est pas un exercice toujours facile. Le respect des hiérarchies a été un apprentissage important et inévitable parce que cela a permis de rencontrer des hommes qui en milieu vodoun aiment bien qu'on vienne les voir dans leur

« marigot » en d'autres termes dans leur milieu. Nos investissements dans l'achat du

« sodabi », l'alcool de vin de palme local, ont été rentabilisés grâce à la découverte des lieux et aux schémas rapides et discrets que nous avons pu dresser des lieux. Les sensations qu'on a en foulant le cœur du sacré sont indescriptibles : aller sur les lieux mêmes où, quelques siècles plus tôt, des hommes et des femmes se sont installés pour la première fois et ont mis ainsi en terre les graines des générations actuelles peut faire dresser les cheveux sur la tête. Le géographe comprend alors pourquoi, on dit en pays vodoun, que « c'est au bout de l'ancienne corde qu'on tisse la nouvelle ». Aller à la source même d'une histoire familiale multiséculaire, retrouver des dieux installés depuis la nuit des temps qui n'ont pas bougé, cela peut être impressionnant. Des lieux, des hommes toujours installés sur les terres de leurs ancêtres, des dieux, des traditions qui s'adaptent, mais toujours aussi vivaces, c'est cela le nœud gordien de

l'aménagement du territoire en ce pays vodoun de Ouidah qu'il a fallu trancher.

Comme nous l'avons annoncé dans un chapitre précédent, les hauts-lieux constituent l'ossature des quartiers où chaque collectivité à son microcosme (Bédard, 2002) 131. Ces territoires où coexistent de fortes identités liées aux hommes, aux divinités et aux totems puis à des typicités foncières vont déterminer l'essentiel d'un aménagement qui va prendre les formes de la pensée ethnique ou familiale ou encore supranationale, en rendant visible les génies puis les moyens matériels et financiers dont les premiers acteurs ont disposé pour agir sur leur environnement. L'aménagement se résume dans ces circonstances aux collusions d'espaces, d'hommes de religions et d'histoires, mais les différences fondamentales à Ouidah vont révéler aussi des quartiers pauvres et d'autres plus ou moins riches.

Nous allons étudier successivement la ville historique ou ancienne qui se divise en deux : une bande sud qui comporte le domaine des autochtones Houédah et toute la zone concernée par l'implantation brésilienne ; au nord de cette bande, le domaine de colonisation fon (Fonsramê), prolongée à l'ouest par les peuples de culture nago (Lêbou) et autres revenus du Brésil.

131 Bédard, Mario, 2002, Une typologie du haut-lieu ou la quadrature d'un géosymbole, Cahiers de géographie du Québec, vol. 46, n° 127 : pages 24-48.

Figure 36 : Les composantes de l'espace dans le vieux centre et la périphérie de Ouidah (Réalisation Paul Lando)

Le vieux centre : un ensemble de territoires emboîtés. Dans l'ensemble des territoires contrôlés par les Brésiliens, on peut penser que tchatcha a créé un système dont il reste le centre et la fin des territoires autochtones.

Nous avons fait le choix de nous intéresser aux marqueurs et à l'ancrage au territoire.

Nous entendons par territoire cet espace transformé par le travail des hommes (Raffestin, 1986)132, support de leur histoire et imprégné par cette culture vodoun. Dans le cas de Ouidah, il y a une obligation d'associer la notion de territoire à celui de frontière parce que l'espace aménagé est composite, parce que c'est une multiplicité d'influences, de pratiques différentes et de dieux qui sont contenus dans un territoire. Ce choix découle du contenu que nous donnons ici à l'aménagement. L'aménagement, c'est-à-dire l'action et la manière d'aménager, en d'autres termes la façon dont on s'installe ce qui dépend des activités économiques qu'on va développer, mais aussi de l'appartenance sociale et de la culture d'origine, c'est-à-dire le vodoun dans ce cas précis.

132 Raffestin C., 1986, "Ecogénèse territoriale et territorialité", in Auriac F. et Brunet R. (eds.), Espaces, jeux et enjeux. Fayard, Paris p.173-185.

Chapitre 7 : Le vodoun et le patrimoine naturel et urbain

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En faisant le choix d'une étude orientée du sud (ville historique) vers le nord (périphérie actuelle), nous voulons montrer les différences au niveau des implantations et mettre en lumière les différentes influences. Nous laissons de côté les questions de chronologie qui pourraient parfois trop compliquer les choses pour nous en tenir aux territoires actuels. Dans cet espace où cohabitent d'autres religions (islam et chrétientés), il nous paraît en outre important, au moment d'aborder ce chapitre de regarder pourquoi le vodoun aménage différemment l'espace. Les autres religions telles que le catholicisme, le protestantisme et l'islam dans l'espace urbain de Ouidah ont une présence et une certaine matérialité relativement frappante capable d'attirer des foules, mais cela reste ponctuel et tellement limité, comparé à l'abondance et au foisonnement du marquage vodoun.

L'aménagement du territoire est à la fois l'action d'une collectivité sur son territoire et le résultat de cette action (Brunet, 1992)133. Dans le cas de Ouidah, les acteurs de l'aménagement n'ont pas agi sur des leviers économiques, des réseaux de communication ou des contraintes naturelles. Des peuples ont fait des choix soit en se servant des contraintes naturelles pour se protéger, soit en évitant ces contraintes au moment de leur installation.

Dans l'espace de Ouidah, les espaces îliens vaseux et marécageux d'Avlékété et de Djêgbadji, à proximité de l'espace urbain, sont un exemple de choix d’implantation en milieux difficiles alors que la vasière sur la limite sud de la ville semble impropre et hostile à l'installation humaine pour d'autres. Les peuples, dans le cas de Ouidah, se sont laissés guidés par leur instinct et les intérêts du moment pourrait-on dire

7-2 La répartition spatiale du patrimoine vodoun urbain : un héritage de l'histoire du peuplement de Ouidah

Le marquage spatial de la ville a été influencé par différents acteurs et les cultures qu'ils portent. Sur le plan religieux, les localisations de certains dieux traduisent la volonté de prendre possession des lieux de façon durable. Ainsi, des divinités propres aux familles royales d'Abomey vont se retrouver à Fonsramê, le quartier historique de peuplement fon de Ouidah. De même les divinités qui fondent la ville se retrouvent dans les quartiers autochtones Houédah.

Du sud, vers la périphérie nord de Ouidah, on note une inégale répartition des temples vodoun.

133 Brunet R. 1992, Les mots de la géographie : dictionnaire critique, Montpelier, RECLUS 470 pages, p.29.

7-2.1 Le vieux centre de la ville est bien délimité par la voie ferrée au sud

Cette zone possède une forte concentration de temples et s'étend de Sogbadji à Ahouandjigoh, dans le sens nord-sud. Elle englobe Tovè à l'est, puis Zomaï à l'ouest (cf.

Cette zone possède une forte concentration de temples et s'étend de Sogbadji à Ahouandjigoh, dans le sens nord-sud. Elle englobe Tovè à l'est, puis Zomaï à l'ouest (cf.

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