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Shizuto Masunaga, est né en 1925 à Hiroshima et est décédé en 1981. Il était membre de l’institut de médecine orientale et de l’association de psychologie du Japon. Pendant dix ans il a enseigné à l’institut japonais du Shiatsu à Tokyo avec la particularité d’inclure dans son enseignement une partie artistique.

Son intérêt pour le Shiatsu s’est éveillé dès son enfance, à la suite de rencontres entre ses parents et des grands Maîtres de Shiatsu. En 1949, il est diplômé de psychologie et poursuit ses études de thérapeute. Il fonde IOKAI en 1960 et ouvre un institut à Tokyo 8 ans plus tard.

Cet institut encore appelé « l’Ecole Masunaga » bien que non reconnu au Japon, forme de nombreux praticien de Shiatsu ayant leur diplôme officiel, et fait également office de clinique où de nombreux japonais viennent se faire traiter.

Après avoir réfléchi sur ce qui, pour lui, est le réel travail de l’énergie, Masunaga est le premier à rétablir les bases théoriques de la thérapeutique shiatsu en référence au grands classiques de la Médecine traditionnelle chinoise (YIN/ YANG, les méridiens, etc.) et développe sa propre méthode : le Shiatsu des méridiens.

Juin 2016 Page 23 Il pense que le travail sur les tsubos n’est pas suffisant n’autant plus que ces derniers n’ont pas la même situation en fonction de la morphologie des individus. Il conçoit à partir des trajets primitifs de l’acupuncture, une topographie plus complète des parcours des méridiens dans l’intégralité du corps.

Ses recherches lui font découvrir que les méridiens sont situés à la fois sur les membres supérieur et inférieur, ce qui n’est pas le cas pour tous les méridiens dans le Shiatsu classique. Il développe la technique de l’Ampuku et détermine alors les zones de diagnostic de l’abdomen permettant d’établir un bilan énergétique en quantité et /ou en qualité, zone plutôt Kyo (vide) ou plutôt Jitsu (pleine).

Sa méthode insiste particulièrement sur la notion d’échange entre le donneur et le receveur.

Un enseignement basé sur le concept I SHIN DEN SHIN, c’est-à-dire la transmission directe d’un savoir par l’expérience.

Ce terme japonais signifie littéralement transmissions de « cœur à cœur » entre l’enseignant et les étudiants. I SHIN DEN SHIN indique de part et d’autre une attitude d’ouverture défini dans la pensée orientale comme une ouverture du cœur. En France, elle est appelée Zen Shiatsu en référence à son ouvrage écrit en 1977.

Pour Masunaga, s’il est important dans la pratique du Zen d’avoir un bon maître, dans la pratique du Shiatsu le patient est aussi le maître.

Sa démarche soulève bien sûr des remous et beaucoup de discussion et, après avoir été écarté par Namikoshi, il ouvre sa propre école. Masunaga ne tarde pas à être reconnu comme un génial novateur dont l’esprit de recherche s’enracine dans la richesse des origines.

Juin 2016 Page 24 2) Professionnels

Source image : Shiatsu Traditionnel - Tours

Les bienfaits que j’apporte aux usagers sont :

 En premier lieu, leur apporter une détente physique et psychique.

 de réduire leur stress et leurs tensions,

 stimuler et renforcer le système d’auto défense de leur organisme,

 équilibrer le système énergétique dans sa globalité,

Ceci en contribuant à améliorer le bien-être des « Usagers » de l’ESAT.

Mon but est de leur apporter surtout un mieux-être en réduisant leurs tensions pour arriver à une détente physique et mentale. Je suis consciente que mon projet sera compliqué dans le sens où les usagers ont une approche du corps différente de la nôtre, de par leur vécu.

Mais, je souhaitais quand même m’engager dans cette voie tout en sachant que j’aurai des distances à respecter. Il faut bien comprendre que pour quelques usagers, certaines parties du corps sont considérées comme des sanctuaires, il faut donc contourner cette zone protégée.

A ce jour, j’ai quelques demandes que certains usagers osent exprimer, mais, ma mission première me prend beaucoup de temps et je dois concilier les deux. La diffusion de cette discipline au sein de l’établissement est reçue positivement.

Juin 2016 Page 25 Source image : charentemieuxetre.fr

c) Efficacités du Shiatsu

Le traitement de Shiatsu a pour effet immédiat de relaxer le corps et de permettre à la conscience de réintégrer son habitat, ce qui produit un état comparable à celui du vrai repos, une sensation de légèreté, de bien-être, de disponibilité envers soi-même. D’autre part, en rétablissant la circulation énergétique dans les méridiens, il dynamise les fonctions vitales du corps et optimise son adaptation au quotidien. Ce faisant, la santé s’en trouve améliorée.

En l’absence de troubles manifestes, le Shiatsu apporte déjà relaxation et détente fort appréciables. Nul besoin donc d’être forcément malade, pour bénéficier du bien-être produit par le Shiatsu.

Il se pratique aussi bien sur les adultes, que sur des enfants et soutient également de manière très efficace les personnes âgées ainsi que les personnes handicapées. Une séance dure entre 50 et 60 minutes et se pratique au sol, sur une table ou sur une chaise ergonomique, la personne doit prévoir une tenue ample et confortable.

Juin 2016 Page 26 Le Shiatsu est efficace pour :

 Apprendre à mieux se connaître, en prenant conscience de certaines tensions légères ou profondes, liées parfois au psychisme

 Il n’est pas nécessaire de présenter des symptômes pour recevoir un Shiatsu. Le Shiatsu joue aussi un rôle important dans le préventif, et de promotion de la santé en stimulant le système immunitaire et la capacité naturelle du corps à s’auto-guérir.

Recevoir régulièrement un Shiatsu permet de maintenir un bon équilibre énergétique.

 Toutefois le Shiatsu ne remplace en aucun cas, un traitement médical en cas de maladie grave, ou en cas de symptômes pouvant laisser supposer une telle maladie.

 Par contre, le Shiatsu reste complémentaire, la médecine occidentale cherchant à comprendre la maladie par une analyse scientifique, microscopique, et la médecine chinoise tenant compte de l’être humain dans sa globalité, incluant son environnement.

 Voici quelques troubles que l’on peut traiter : Réduire les effets du stress, Soulager certaines douleurs, Dénouer des tensions musculaires, articulaires et nerveuses, Prévenir et calmer les troubles digestifs, intestinaux, circulatoires, Soulager et diminuer les symptômes de maladies chroniques, Retrouver le calme, le sommeil, le dynamisme, Accélérer le rétablissement après un accident, une maladie, une opération, Soulager le dysfonctionnement du cycle menstruel, Accompagner la grossesse et la ménopause, Stabiliser les émotions, Le Shiatsu permet de relaxer en profondeur au travers du système nerveux central, il est antidépresseur naturel.

Une étude Américaine portant sur des sujets atteints de douleurs dorsales, aurait démontré des différences significatives du degré de douleur et d’anxiété après quatre traitements de Shiatsu. Selon les auteurs, les sujets recommanderaient le Shiatsu comme traitement à toutes les personnes souffrant de douleurs lombaires.

« The effects of shiatsu on lower back pain”. Brady LH, Henry K, Luth JF 2nd,Casper-Bruett KK SourceDrake University, USA.2001 March

Juin 2016 Page 27 Source image : marybethkeigher.com

a) Présentation

Je décris volontairement ces deux cas concrets Emma et Julien, car ils font partie des personnes à qui je pratique des « Shiatsu de bien-être », tout en étant consciente qu’avec le

« Shiatsu thérapeutique » l’un ne va pas sans l’autre. En effet, le fait de travailler sur des points sensibles permet aussi de rééquilibrer certains dysfonctionnements. Mais, il m’est plus aisé de pratiquer la détente avec les usagers au travers de leur ressenti et leur rapport au corps. Le fait de toucher certaines parties du corps peut être très angoissant pour certains et par conséquent inefficace.

Mon choix s’est dirigé vers un garçon qui souffre d’une névrose très prononcée, qui se raconte facilement et qui s’est prêté aisément à mon projet d’écriture.

Mon deuxième choix, s’est porté vers une jeune femme trisomique, d’un niveau de déficience moyenne. Elle a complétement adhérée, toujours soucieuse de savoir si elle faisait bien mais est restée discrète sur ses ressentis.

Juin 2016 Page 28 Il ne m’a pas été facile de faire un choix, les usagers sont tous différents mais tout aussi intéressants de par leur diversité et leur pathologie.

Lors d’un entretien, je leur ai demandé s’ils voulaient adhérer à mon projet de mémoire de fin d’étude, sans hésitation, ils ont dit « oui ». J’ai nettement senti que le fait de les avoir choisis leur donnait un sentiment d’importance, non seulement à leur personne mais aussi à leur discours. Leur façon de se tenir debout est devenue une nécessité de se tenir droit, la tête haute.

Leur participation a été entière, coopérer leur permettait d’en retirer un certain bénéfice, venir me voir régulièrement, se démarquer des autres, ce qui était à leur yeux d’une « très haute importance ».

En ce qui concerne la pratique du Shiatsu, je n’ai eu aucun soucis, ils disaient en ressentir les bénéfices, ils en ressortaient enchantés. Mais, en ce qui concerne les conseils qui complètent cette pratique, à savoir la respiration, l’alimentation, le sommeil, c’est déjà plus compliqué.

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Juin 2016 Page 29 Source image : bien-etre-7-le-pied.eu

Malgré les efforts d’Emma, il m’a été impossible de lui enseigner les temps de la respiration, c’était trop compliqué pour elle, en dépit de sa volonté. En ce qui concerne Julien, il a parfaitement compris, il se permettait même de me dire qu’il avait un peu changé les

« donnes », car cela lui convenait mieux, pourquoi pas, s’il s’y retrouvait …

Des séances régulières (environs tous les 15 jours) ont fait que les résultats ont été positifs, dans le sens où la finalité de ces études de cas était de leur apporter et leur faire ressentir du bien-être physique et mental à des temps rapprochés, mon but était atteint jusqu’aux limites à respecter.

Les séances se passent dans l’infirmerie, seul lieu disponible, mais pas toujours idéal, car les autres usagers qui ont besoin de mes services peuvent arriver à tout moment, mais globalement, il n’y a pas de soucis. Le matériel que j’utilise est une table ou une chaise ergonomique. Il ne m’a pas été possible d’avoir un futon pour des raisons de place et de coût. Une séance dure environ vingt minutes à une demi-heure. La personne reste habillée, s’installe sur la table ou la chaise ergonomique. Je leur demande de mettre une tenue souple afin de faciliter mon travail.

Juin 2016 Page 30 Source image : servimg.com

b) Julien

Julien est un homme de 40 ans, il est l’aîné d’une fratrie de 3 enfants. Célibataire, il vit avec sa mère.

Un jour, à une réunion pluridisciplinaire, la psychologue présente les préoccupations de Julien. Tout est flou dans sa tête, il est en forte demande d’une relation d’aide. A l’issue de cette réunion, il est convenu que la psychologue propose à Julien de venir me voir afin de lui présenter la pratique du « Shiatsu ».

C’était un mardi, Julien frappe timidement à la porte de mon bureau. Il entre et commence par s’excuser de me déranger. Semble mal à l’aise, sa voix faible anone quelques mots. Julien prend confiance au fur et à mesure de la discussion, il est très curieux d’avoir des explications sur la pratique du Shiatsu, je le sens détendu au bout de quelques minutes. Il est tout excité d’en savoir plus, en ressortant de mon cabinet il sautille sur ses jambes en disant qu’il était content de bénéficier de cette pratique. Il comprend vite les bienfaits que cela peut lui apporter. Ce qui déclenche en lui un débit de parole plus rapide, voir un peu bousculé dans sa façon de parler, il a hâte de commencer.

Juin 2016 Page 31 La première consultation s’avère bénéfique d’après lui. Visiblement, il prend plaisir à ce moment de détente. Il profite pour parler de lui, il aime à se raconter, le fait avec intelligence, vivacité, évoque l’école, les amis et saisit très vite qu’il se donne de l’importance. Il me dit qu’il se sent bien avec moi, ce qu’il apprécie c’est qu’il n’y a pas de problème de barrière contrairement à d’autre professionnel dans l’ESAT, il dit « Avec vous, je me sens moi-même », ce qui lui permet de se livrer plus librement.

Il me confie que l’environnement du travail est dur, le bruit qui vient de l’atelier lui est insupportable, Julien craint le vacarme qui déferle sur lui comme une vague et le désoriente, il me dit « J’ai trouvé des astuces pour m’adapter, c’est au cas par cas, j’ai des stratégies ».

Sa monitrice fait partie de tout cet environnement, il le ressent comme une difficulté pour pouvoir se confier, « sa disponibilité n’est pas grande, c’est le travail ».

Son environnement familial et culturel lui permet d’avoir une vision des choses un peu différente, mais la maladie a raison de son courage, il est obligé de travailler dans un milieu protégé. Il déroute son entourage, cherche du réconfort chez certaines personnes qu’il côtoie, les autres le bousculent et cela le dérange.

Julien refuse les médicaments, il pense qu’il est capable de s’en sortir sans avoir recours à la médication, il ne veut pas être abruti par ces derniers. Il refuse d’être placé sous tutelle, pour lui, ce serait être étiqueté comme un individu incapable de vivre parmi les autres. Lui, c’est différent, ce n’est pas qu’il est incapable de vivre avec les autres, c’est que les autres sont dérangeant pour qu’il puisse vivre sa vie normalement.

L’espace qu’il est venu chercher à l’infirmerie est un lieu qu’il a choisi (après lui avoir proposé) librement où il n’est pas question de le soigner, de le cadrer, de le conseiller, seulement de le laisser parler et lui apporter un peu de bien-être avec la pratique du shiatsu.

Juin 2016 Page 32 Dès le début Julien demande à venir souvent, mais de temps en temps il fait faux bond à nos rendez-vous en prétextant que sa monitrice ne lui a pas rappelé l’heure. Lorsque je lui fais remarquer que c’est à lui de penser à ses rendez-vous et non à sa monitrice, il prend un air désolé en reconnaissant qu’il n’a pas bien fait, que c’est à lui d’y penser. La prochaine fois il va se donner les moyens d’y penser et il oublie ...

Lors des séances Julien parle vite comme pour être sûr que je ne vais pas l’interrompre, il est toujours dans le même discours celui de son entourage qui ne le comprend pas, il est différent, perçoit les choses différemment. Ses remarques peuvent être subtiles, pertinentes non loin de la réalité. « Ca se passe dans la tête tout ça, il faut faire des choix, la finalité c’est que je suis bien avec ma petite vie tranquille »

Lors d’une séance, il me parle de son enfance avec une voix précipitée, comme si, il voulait éviter que je l’arrête dans son discours avant qu’il ait fini de me raconter:

« A 6 ans, je me rappelle très bien, j’ai encore les images dans ma tête. Mes parents m’ont laissé à l’hôpital, je l’ai très mal vécu. Ils me disaient que j’allais repartir avec eux, mais ils m’ont laissé à l’hôpital. Je ne me souviens plus pourquoi, plusieurs opérations de la hanche, mais ça été très long, je suis resté un an avec la possibilité de rentrer chez moi le weekend.

L’alternance entre l’hôpital et le domicile a été très dure pour moi, c’était compliqué de retourner à l’hôpital. Après la rééducation, je pensais rentrer chez moi, mais je suis entré en IME. Je me rappelle des têtes des personnes qui m’entouraient, des blouses que je portais, on était quatre élèves. Un jour, j’ai entendu une personne dire « Il a l’air normal, il peut aller au CE1 ». Je ne maitrise pas tous les éléments, mais, je suis allé au CE1. »

Julien a beaucoup d’humour, c’est un homme d’une grande douceur et d’une certaine intelligence, qui aime évoquer ses passe-temps, ses lectures, ses réflexions, ses interrogations.

Juin 2016 Page 33 Julien se dit assez « matérialiste », il aime collectionner des objets. Il regarde les cartes routières et planifie comme il dit « des vadrouilles », il imagine des voyages. « Je fais une sorte d’inventaire, je prospecte ».

Il aime l’astronomie, regarde les étoiles avec sa lunette astronomique et son télescope. Il s’intéresse à l’informatique, me propose de faire une affiche pour accrocher à ma porte afin de signifier aux personnes que je suis en soins.

Ses CD sont triés et rangés sur une étagère, il s’est fait des « playlists », aime regarder des films en rétroprojecteur. Il aménage son espace chez lui, place les objets, met ses livres en valeur, aime voir les jeux vidéo qu’il a chez lui « ce que j’ai chez moi, je l’ai bien pensé ».

Julien me dit « J’aime m’équiper en matériel, même si je n’aime pas faire l’activité. Exemple :

« Pour le jardin, j’ai acheté une pelle, un râteau, je gratte dans des domaines qui n’était pas le mien à la base, mais ça me plait »

Julien aime mettre en valeur ce qu’il apprécie comme la peinture, « J’ai commencé mais c’est primitif quand j’étais gamin, je gribouillais beaucoup ». Il aimait la poésie, faisait des phrases bien rythmées et continue à écrire des poèmes.

Il adore chiner dans les brocantes à la recherche des « choses » comme les cartes postales.

«C’est pas une tradition, mais je suis le mouvement », « J’ai beaucoup de centre d’intérêts car j’ai grandi avec ça ».

Il va toujours visiter les églises, surtout les cathédrales car cela le fascine. Il s’intéresse à l’histoire, aux évènements historiques, les vieilles tombes, les vieilles pierres en général comme les châteaux.

Juin 2016 Page 34 De par ces plaisirs, il s’est mis à lire, est très curieux de découvrir l’histoire. « Au début c’était très timide, maintenant, je pars seul, je prends le train. Il y a eu plusieurs influences, mes grands-parents, ma sœur et mes cousins. Par la suite, je suis parti de plus en plus loin. Ma sœur est allée à Londres, je suis allé lui rendre visite avec deux copains, elle m’a aidé à trouver une auberge de jeunesse. J’ai tout organisé ».

Toutes ces passions, datent de sa jeunesse, il les perfectionne, se documente. « Il y a toute une recherche autour, je vais toujours plus loin pour les mettre en pratique ». « Dans ma tête, il faut que je sente la passion qui me vienne ». En ce moment, il est sur la révolution française, il se documente avant sur internet et va à Paris sur les lieux de ses recherches comme Robespierre, Camille Desmoulins. Il aime situer les monuments et se déplace sur Paris pour voir ce qu’il a repéré.

Il part le WE, au début, il était accompagné de sa sœur, après il a appris à se débrouiller seul, il avait plus d’assurance. Il aime transmettre son savoir à son neveu, il l’emmène visiter les châteaux, part en train ou en vélo si ce n’est pas très loin.

Julien et le Shiatsu

Il est petit, chauve sur le dessus de la tête ce qui forme un couloir au milieu du crâne laissant apparaitre de chaque côté au-dessus des oreilles des cheveux fins et châtain.

Il est petit, chauve sur le dessus de la tête ce qui forme un couloir au milieu du crâne laissant apparaitre de chaque côté au-dessus des oreilles des cheveux fins et châtain.

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