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B Afin de respecter l'anonymat des participants et de leur famille, tous les prénoms ont été changés.

La langue maternelle de tous les pères interrogés est le français et ils sont tous de religion catholique.

1 Stéphane est le père de famille recomposée. Il a adopté légalement la fille de sa conjointe. * durée de fréquentation

** durée du mariage

La moyenne d'âge des pères interviewés est de 26.4 ans. Les deux pères les plus âgés ont 33 ans alors que le plus jeune a 19 ans. L'âge moyen des conjointes est de 21.2 ans. La mère la plus âgée a 27 ans tandis que la plus jeune a 17 ans. Pour les pères, le niveau de scolarité atteint se situe en moyenne en secondaire 3.5. Le niveau de scolarité le plus bas serait le secondaire II, un des pères étant incertain quant au niveau atteint. Un père a obtenu son diplôme de secondaire cinq et un autre a complété une formation professionnelle. La moyenne du niveau de scolarité atteint par les mères se situe en secondaire 2.2, le niveau le plus élevé étant le secondaire ΠΙ et

le plus bas, le secondaire I. Tous les pères travaillent au moment des entrevues. Deux pères travaillent à temps complet alors que deux travaillent à temps partiel. Un père travaille à un projet d'emploi estival. Une seule mère travaille et ce, à temps partiel. La durée de fréquentation moyenne des couples est de 3.8 ans. Le couple le plus récent, qui est aussi la famille recomposée, se fréquente depuis 10 mois alors que la plus longue durée de fréquentation est de 9 ans. Un couple est marié et deux autres projettent de le faire pendant l'été où ont lieu les entrevues de recherche. Sur le total des enfants de !'échantillon, il y a cinq garçons et trois filles. Une mère a un enfant d'une union précédente, donné en adoption, qui ne réside donc pas avec le couple. La moyenne d'âge de l'ensemble des enfants est de 1.6 ans. La moyenne d'âge des nourissons, enfant-cibles dont l'âge constituait un critère de recrutement, est de 5.2 mois. Les deux plus jeunes ont quatre mois tandis que les trois plus âgés ont six mois.

Collecte des données

Les instruments de collecte des données

L'Entrevue semi-structurée (Annexes B, C) a été élaborée par une équipe de chercheurs et de professionnels dans le cadre d'un projet de recherche subventionné par le Conseil québécois de la recherche sociale (CQRS:projet no. RS- 2874). Ce projet porte sur le soutien social auprès des familles en situation d'extrême pauvreté qui bénéficient du programme «Naître Égaux - Grandir en Santé». Il existe une version adaptée de l'entrevue pour le père, la mère et le conjoint de famille recomposée et chacune comprend 30 questions. De manière plus spécifique, la version «père» mesure les perceptions du rôle paternel. Les questions ont été construites à partir de la littérature traitant du rôle paternel et du soutien offert et reçu par le père au sein de la famille et dans le milieu social. L'entrevue a été validée lors d'un pré-test auprès de familles de la population cible et les correctifs nécessaires ont été apportés afin d'augmenter la précision des informations recueillies.

Le Génogramme (Annexe D) est une modélisation graphique du système relationnel familial, comportant un arbre généalogique pouvant inclure au moins trois générations (Salem, 1987). Il permet la visualisation rapide de l'état actuel des relations entre tous les membres de la famille et sert de base d'analyse du fonctionnement familial. Afin de décrire l'évolution relationnelle de la famille, certains événements marquants de l'histoire familiale sont mentionnés chronologiquement à côté du génogramme. Dans cette étude, le génogramme est

utile pour recueillir de !'information sur l'itinéraire familial du père et mieux comprendre sa perception du rôle paternel. Il permet également d'avoir une vision d'ensemble des diverses structures familiales présentes dans la famille élargie du père.

La fiche de renseignements socio-démographiques (Annexe E) permet de recueillir des informations sur l'âge, le sexe, le nombre d'enfants, la langue maternelle, la religion et le statut civil des parents ainsi que des renseignements sur les enfants, le milieu de vie, le travail et les études des parents, les déménagements et les principales sources de revenus au cours de la dernière année.

Le journal de bord (Annexe F) sert à recueillir des renseignements sur la durée et le contexte de l'entrevue, le milieu de vie, le logement, les attitudes et comportements des parents et des enfants lors des rencontres ainsi que des faits intéressants pouvant survenir en entrevue et fournir un meilleur portrait de la famille.

La méthode de collecte des données

Tel que mentionné précédemment, le présent projet s'inscrit dans une recherche plus vaste qui porte sur le soutien social des familles défavorisées et qui implique 25 familles de souche québécoise et cinq familles originaires du Maghreb, toutes résidantes de la région monuéalaise. L'échantillon composé de familles résidant en Abitibi-Témiscamingue apporte un complément d'information en permettant éventuellement de comparer les familles vivant en milieu urbain et rural. Pour les fins de la collecte des données, cinq entrevues ont été réalisées dans chaque famille, pour un total de 25 entrevues. Une première entrevue s'effectue en couple puis, l'étudiante rencontre les pères et les mères deux fois chacun individuellement. Pour cette recherche, seule l'entrevue de couple et les deux entrevues individuelles avec le père sont utilisées pour l'analyse, pour un total de 15 entrevues puisque l'objectif est de connaître la perception des pères eux-mêmes.

L'étudiante rencontre une première fois les deux parents à leur domicile à la date et l'heure qui leur convient. Lorsqu'ils se sentent à l'aise, qu'ils comprennent les objectifs de l'étude et que la lettre de consentement est signée, la collecte de !'information débute. Une première partie de l'entrevue semi-structurée (30 à 40 min.) et une partie de !'information nécessaire à l'élaboration d'un génogramme est recueillie (1 h). Lors de la seconde rencontre, l'étudiante

rencontre le père individuellement, complète la deuxième partie de l'entrevue semi-structurée (30 à 40 min.) et poursuit l'élaboration du génogramme (1 h). Enfin, la dernière visite sert à compléter l'entrevue et le génogramme (lh30). Les entrevues sont enregistrées sur bandes audio avec l'accord des parents et seront détruites à la fin de l'étude. Entre chaque visite aux parents, l'étudiante écoute les bandes audio de la rencontre afin de pouvoir revenir au besoin sur des thèmes incomplets et demander des précisions aux parents lors de la rencontre subséquente. En outre, après chaque rencontre, l'étudiante tient un journal de bord où elle note des renseignements liés au contexte de l'entrevue ou aux attitudes des pères pouvant contribuer à la compréhension des informations. L'ensemble des rencontres d'une famille s'effectue sur une période de trois à cinq semaines. Chaque père reçoit 15$ par entrevue complétée.

Méthode d'analyse des données

Choix du type d'analyse de contenu

Selon Bardin (1993), il y a deux types d'analyse de contenu: qualitative ou quantitative. L'analyse quantitative repose sur la fréquence d'apparition de certaines unités de sens et les données descriptives sont obtenues à l'aide d'un calcul statistique simple. Elle nécessite donc des fréquences assez élevées pour effectuer des calculs.

L'analyse de contenu qualitative, sans traitement statistique, a été privilégiée car «l'essence de la signification du phénomène étudié réside dans la nature, dans la spécificité même des contenus du matériel analysé, plutôt que dans sa seule répartition quantitative» (L'Écuyer, 1988). L'objectif de la présente recherche consiste à explorer les perceptions du rôle paternel en milieu d'extrême pauvreté en lien avec diverses dimensions et à mieux comprendre la façon dont se vit la paternité dans ce contexte. Ainsi, l'analyse s'effectue d'abord à l'aide du contenu manifeste, ce qui est explicitement dit par le sujet. Puis, le contenu latent est exploré, c'est-à- dire, ce qui est sous-entendu ou sous-jacent aux propos étudiés (L'Écuyer, 1988).

30 Déroulement de l'analyse de contenu qualitative

Selon Bardin (1993), lorsqu'une étude est effectuée à partir d'entretiens auprès d'individus, le chercheur doit répondre à un double objectif. Il doit d'abord orienter son analyse de manière à préserver les particularités du message livré par chacun des participants. Puis, il doit effectuer une analyse transversale afin de faire ressortir les ressemblances, les constances ou les différences entre les participants et avoir une compréhension globale de la problématique. Cette méthode est privilégiée dans la présente étude où l'analyse des informations s'est effectuée en deux temps. Une première étape consiste à effectuer l'analyse intra-cas (verticale) de chacun des pères interrogés. Une seconde étape est l'analyse inter-cas (transversale) liée plus spécifiquement aux objectifs de l'étude.

Transcription et utilisation des informations.

La fiche de renseignements socio-démograhiques est utilisée pour faire la description de !'échantillon tandis que les notes de terrains sont utilisées principalement dans l'élaboration du portrait des pères. Ces deux sources de données servent à améliorer la connaissance des participants et la compréhension générale des données d'analyses.

Les 15 entrevues enregistrées auprès des pères ont été entièrement retranscrites sur ordinateur par l'étudiante. L'analyse de contenu s'est faite principalement à l'aide des verbatims obtenus. Les informations utiles pouvant être tirées du génogramme graphique ont été placées dans des tableaux de manière à faire ressortir les éléments pertinents pour enrichir l'analyse. De plus, certains propos recueillis lors de la constitution du génogramme sont transcrits en condensés de verbatim et intégrés à l'analyse. Le traitement des informations transcrites s'inspire des principes de la méthode de catégorisation de Bardin (1993), précisée par l'Écuyer (1988).

Élaboration de la grille et lecture préliminaire.

Pour cette étude, le modèle d'élaboration des catégories choisi est inspiré du modèle «C» de L'Écuyer (1988) qui est une méthode de catégorisation mixte. Il comprend deux types de catégories: d'abord, celles qui sont pré-existantes à la cueillette des données et tirées de la documentation consultée sur les construits d'intérêt puis, les catégories ou sous-catégories

issues du contenu recueilli. Ainsi, préalablement à la cueillette des informations auprès des familles, une grille de codification non immuable, a été établie par l'étudiante.

Cette grille a donc guidé la première étape de la catégorisation, la lecture préliminaire, qui a consisté à relire les documents d'analyse et à prendre connaissance de l'ensemble des données obtenues (L'Écuyer, 1988). À cette étape, certains passages ou interventions non pertinents, par exemple un commentaire de l'étudiante, ont été retranchés des verbatims.

Segmentation du texte en unités de sens.

Suite à la lecture préliminaire, chacun des corpus d'entrevues (3) ainsi que les condensés de génogrammes ont été découpés en passages significatifs exprimant, dans la mesure du possible, une idée principale. Le découpage s'effectue du début de la première entrevue jusqu'à la fin de la troisième en respectant la chronologie des propos. Puis, le génogramme est ajouté à la fin des entrevues. Chaque segment de texte est associé à un numéro de page, ce qui permet un retour rapide au verbatim d'origine en cas de besoin. De façon à ne pas perdre le sens des passages découpés, le contexte est préservé (par exemple, le père répond à quelle question, énoncés spontanés, réticences, rires, etc.) (Bardin, 1993). Le texte est alors découpé en unités d'enregistrements ou «unités de sens», qui constituent le segment du contenu servant d'unité de base à la catégorisation (Bardin, 1993).

Ce découpage est guidé par les catégories pré-déterminées par l'étudiante. Au fur et à mesure du classement des unités, certaines catégories ou sous-catégories nouvelles ont émergé tandis que d'autre pré-existantes ont été modifiées ou éliminées afin que la grille soit le plus fidèle possible au contenu recueilli. Cette grille est présentée à l'Annexe G.

Par exemple, au départ, la catégorie «partage des rôles et responsabilités dans la famille» était prédéterminée. En cours de catégorisation, l'étudiante a constaté que les données pouvaient être classées en sous-catégories afin de faciliter la lecture et l'analyse des résultats. Ainsi, les sous- catégories: «partage des tâches ménagères», «implication dans les soins», «pourvoyeur financier», «rôle affectif et lien avec l'enfant», «rôle d'éducation» et «rôle d'agent de socialisation» ont été définies et ajoutées.

Système de codification multiple.

Π n'a pas été possible de créer des catégories totalement mutuellement exclusives. Les catégories ou sous-catégories non-mutuellement exclusives sont précisées dans la grille de codification et des exemples sont donnés à l'aide d'extraits pertinents des propos des pères (Annexe F). Selon L'Écuyer (1988), il est important de reconnaître le principe d'une double classification lorsqu'un énoncé contient plus d'un sens clairement exprimé par le sujet lui-même car l'analyse de contenu se veut une recherche de sens. Il précise toutefois que les circonstances du multicodage doivent être clairements définies et sans doute limitées afin que cette double codification ne constitue pas un obstacle à l'objectivité et à la précision des définitions de catégories.

Dans la présente étude, étant donné la nature de l'entrevue et le système de segmentation du texte, certains passages porteurs de sens contenaient souvent plus d'une idée. De plus, une segmentation différente du texte risquait parfois de donner lieu à une perte de sens de l'unité de contexte. Ainsi, lors de la codification, si une unité de contexte contenait deux thèmes d'égale importance, la mention et était apposée entre les deux. Par exemple, l’extrait suivant témoigne de cette double codification: «(...) j'me sus occupé autant d'Sophie que ]'me sus occupé

d'Alexandra. C'taitpour y donner une chance à elle» (166). L'extrait est codé dans la catégorie

«implication dans les soins» et dans la catégorie «soutien apporté par le père à sa conjointe».

D'autre part, s'il était possible d'attribuer à l'unité de contexte deux thèmes dont un était prédominant, la mention en lien était ajoutée afin d'établir la hiérarchie. L'extrait suivant, où le père parle d'un possible retour aux études, témoigne de cette codification:

Oui, on vit à deux en fait que... Je l'aide, ben je l'aide euh, si a veut avoir des p'tits breaks, queque chose là. Au. lieu qu'ce seye elle qui s'occupe du bébé ben

moi, m'a m'en occuper pis elle a peut prendre un break, c'style là, là. (61)

Cet extrait est d'abord codé dans la catégorie «soutien apporté par le père à sa conjointe» puis en lien avec la catégorie «implication dans les soins». Cette procédure de hiérarchie entre les cotes permet de situer l'importance relative des propos des pères dans le contexte où ils sont énoncés et facilite !'interprétation des résultats. Enfin, si deux passages complémentaires comportant la même cote étaient situés à des endroits différents du texte, ils étaient reliés.

33 Entente inter-juges.

Selon Miles et Hubevman (1994), une des meilleures façons de limiter !'introduction de biais dans l'analyse de contenu est la vérification systématique du matériel par une autre personne. Afin de s'assurer que la réflexion faite lors de la définition des catégories et la codification des données ne soit pas seulement tirée du travail de réflexion de l'étudiante, chaque étape de l'analyse a été soumise en entier à la vérification d'un juge-expert. Ainsi, un juge-expert a coté l'ensemble des entrevues et le pourcentage d'accord inter-juge calculé était d'abord de 63 %. Suite à ce résultat, jugé insuffisant, la grille a été révisée afin d'obtenir une meilleure entente sur la définition des catégories et des sous-catégories. Suite à ces correctifs, le second pourcentage d’accord obtenu était de 89 %. Les tableaux effectués pour organiser le matériel contenu dans le génogramme graphique ainsi que les mémos intra-cas ont également été vérifiés par un juge- expert.

Analyse intra-cas (verticale!.

Suite à la codification chronologique des segments de texte, tous les passages comportant la même cote ont été regroupés. Puis, un mémo descriptif et analytique a été rédigé afin d'avoir une compréhension globale du participant et établir des liens entre les divers thèmes. Cette analyse visait à faire ressortir les particularités du vécu paternel de chaque homme, de la contribution de son histoire familiale au développement de la perception de son rôle et de sa perception face au soutien. À cette étape, des questions, commentaires et des pistes de réflexions sont incluses. L'ensemble de ces mémos intra-cas a été révisé par un juge-expert afin d'enrichir l'analyse et s'assurer que plusieurs voies d'interprétation possibles générées par le contenu à l'étude étaient explorées.

Afin de rendre compte des particularités inhérentes à chacun des pères au niveau des conditions socio-économiques dans lesquelles ils évoluent, de leur personnalité et de leur trajectoire scolaire et professionnelle, des catégories référentielles sont utilisées dans l'analyse intra-cas qui ne se retrouvent pas de façon distincte dans la présentation finale de l'analyse inter-cas. Ces catégories servent à mieux comprendre la dynamique et le vécu de chacun des pères interrogés. Elles sont utilisées pour enrichir les portraits présentés dans le chapitre 4. Elles sont spécifiées dans la grille de catégorisation (Annexe G).

Analyse inter-cas (transversale).

L'ensemble du corpus d'entrevues a fait l'objet d'une analyse transversale afin de répondre aux objectifs et sous-objectifs de l'étude. Afin de rendre compte de la richesse du vécu et de la perception des pères et bien comprendre les paramètres sur lesquels repose !'interprétation des résultats, l'analyse inter-cas (transversale), qui démontre les convergences et les divergences entre les perceptions du rôle paternel propres à chacun des participants, intègre parfois des éléments de l'analyse intra-cas (verticale). Dans cette analyse finale, les questions ou hypothèses soulevées par le regroupement des données ont été incluses. Enfin, des liens ont été établis entre les différents thèmes analysés ainsi qu'avec la littérature traitant du rôle paternel. Cette analyse transversale pennet d'obtenir un portrait global de la perception des pères inteiTogés sur plusieurs dimensions inhérentes à leur rôle paternel, à leur vision du soutien informel et formel et donne des informations sur la contribution du vécu familial et des modèles familiaux au développement de la perception du rôle paternel.

35 Tableau 2: Thèmes utilisés pour !'analyse transversale

1. Le projet d'enfant

Historique conjugal et statut légal du père

Circonstances d'actualisation de la paternité et motivations des hommes à devenir pères Rapport à la contraception

Réactions de l'entourage au projet d'enfant Implication lors de la grossesse et de la naissance 2. Partage des rôles et responsabilités dans la famille

Partage des tâches ménagères;

Implication dans les soins aux enfants Rôle de pourvoyeur

Rôle affectif et lien avec l'enfant Rôle d'éducateur

Rôle d'agent de socialisation 3 Dynamique de soutien entre les conjoints

Relation entre les conjoints

Soutien apporté par le père à sa conjointe Soutien reçu par le père de sa conjointe

4. Perception par le père du soutien informel et formel

Accessibilité et recours au soutien du réseau informel: (famille, amis, etc.) Soutien informatif du réseau informel

Soutien matériel et financier du réseau informel Soutien instrumental du réseau informel

Soutien émotionnel du réseau informel

Accessibilité et recours au soutien du réseau formel (CLSC, hôpitaux) Perception du programme «Naître Égaux - Grandir en Santé» Relations avec !'intervenante à domicile et les médecins Soutien informatif du réseau formel

Soutien matériel et financier du réseau formel Soutien instrumental du réseau formel

Soutien par le travail

5. Histoire de vie familiale et événements marquants

Relations parentales (ou substituts) et valeurs transgénérationnelles Relations paternelles (ou substituts) et valeurs transgénérationnelles Relations maternelles (ou substituts) et valeurs transgénérationnelles

CHAPITRE 4

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