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Recherche d’idées : Au moins deux aspects

S’entraîner avec des sujets du DELF B2

3. Recherche d’idées : Au moins deux aspects

1. premièrement, l’aspect économique

normal de trouver un équilibre entre dépenses et revenus profit – résultat principal pour l’entreprise

mesures pour maximiser profit –ne payer pas taxes ou exemple article

en Russie difficile diriger l’entreprise en respectant les lois

2. deuxièmement, l’aspect social

à cause de buts lucratifs les emplois souffrent d’un côté, c’est dommage

d’un autre côté, monde modern, forte concurrence sur marché du travail

pour réussir on doit s’adapter aux nouvelles réalités améliorer compétences en cas de perte d’emploi exemple personnel – changer profession pour rester compétitive

3. pour conclusion, deux aspects importants

je ne pense pas qu’il y ait une solution

en vivant dans monde modern – on doit profiter des possibilités

Liste de sujets pour vous entraîner

Vidéosurveillance dans l’entreprise : jusqu’où peut-on épier les salariés ?

Lors d’un contrôle dans une entreprise de transport routier, la Commission nationale de l’informatique et des libertés a ordonné l’interruption immédiate du dispositif de vidéosurveillance. Les salariés étaient filmés en permanence à leur poste de travail. « Cette surveillance permanente n’était justifiée par aucun motif de sécurité ou de lutte contre des dégradations matérielles », reproche la Commission. Plusieurs sanctions pécuniaires* ont aussi été prononcées, notamment à l’encontre d’une société de prêt-à-porter qui a, sous couvert de lutte contre les vols, installé des caméras pour filmer les salariés de façon permanente, y compris dans des lieux où aucune marchandise n’était stockée et sans les en avoir informés. La Commission a aussi rappelé à l’ordre une société qui filmait les salariés dans des espaces de repos, une mesure disproportionnée à l’objectif de protection des personnes et des biens et de prévention des actes terroristes. Certains employés réclament l’enlèvement de ces caméras, estimant qu’elles représentent une atteinte à leur vie privée.

Laurence Neuer, Le Point.fr, 06 mars

● Pécuniaire : relatif à l’argent

Rencontre pour apprendre les langues

Des rencontres de sept minutes pour échanger en anglais ou en français, c’est ce que viennent d’inventer deux ingénieurs.

Trois fois par semaine, des anonymes se retrouvent dans des cafés parisiens pour pratiquer. Parler, papoter de tout et de rien, quitte à parler avec un accent épouvantable et se tromper : pour progresser en langues, il n’y a que ça de vrai !

À défaut de pouvoir s’offrir le séjour linguistique outre-Manche ou de l’autre côté des Pyrénées, par manque de temps ou

d’argent, où dénicher l’anglophone ou hispanophone qui vous fera gentiment la causette ? Au bistrot ! « En alliant l’utile à l’agréable », rigole Nicolas, jeune ingénieur, cofondateur et cogérant, avec son ami d’enfance Steven, d’une petite entreprise.

Tous se sont préalablement inscrits sur le site : « Il faut qu’on puisse s’assurer d’avoir autant de francophones que d’anglophones. » Chacun paiera ses 10 €, boisson comprise, et c’est parti pour un quart d’heure de conversation avec un partenaire.

Certes, les progrès ne sont pas garantis mais l’expérience mérite peut-être d’être tentée....

Claudine Proust, Le Parisien, 25 février

L’insolente réussite des sites de réseaux sociaux

Internet s’est imposé dans la vie quotidienne ces dernières années. À l’espace de libre échange et d’accès direct à l’information s’est récemment ajoutée la potentialité de la Toile à susciter la formation de nouveaux réseaux sociaux.

L’adhésion à un réseau social en ligne apparaît comme un phénomène relativement répandu. Un tiers des internautes connaissant au moins un des six réseaux sociaux testés ou déclarent être membre de l’un d’entre eux, soit au global un quart de la population internaute française. [...] On y adhère principalement pour se constituer des relations [...] et retrouver d’anciens camarades de classe ou d’anciens amis. [...] Moins de trois sur dix s’y connectent pour partager des passions et des loisirs et seuls 16 % le font pour y trouver de nouveaux amis.

Les résultats de l’enquête révèlent enfin que l’utilisation des données personnelles à des fins commerciales par les sites de réseaux en ligne suscite un rejet massif et pourrait constituer un frein à leur développement futur..

Florence CANN Mission Internet – le JDD.fr, mardi 11 décembre

Médicaments au supermarché ?

Les médicaments pourront-ils bientôt être vendus dans les supermarchés à côté des dentifrices et des crèmes de beauté ? C’est le combat que mène, à nouveau, le patron d’une des principales enseignes nationales. Le distributeur veut que les médicaments délivrés sans ordonnance et non remboursés par la Sécurité sociale, comme l’aspirine, la vitamine C ou les gommes à mâcher pour lutter contre le tabac puissent être vendus dans l’espace de parapharmacie de ses grandes surfaces.

[...]

Il avance un argument et un seul : le prix, « Si demain nous avions, par exemple, une part de marché de 20 % sur ce secteur, nous serions en mesure de faire baisser les prix de 50 % », promet-il.

Sur ce thème le groupe estime qu’il a un vrai rôle à jouer. Les résultats d’une étude indiquent en effet que 36 % des Français ont renoncé à l’achat d’un médicament non remboursé en raison de son prix.

Claire G, Le Monde, 22-23 novembre Bonnes ou mauvaises habitudes...

Certaines habitudes nous nuisent de façon objective, quand elles dégradent notre santé, qu’elles nous empêchent de mener à bien nos projets (la procrastination par exemple cette tendance à tout remettre au lendemain) ou quand elles minent notre confiance en nous. Mais c’est aussi l’excès qui les rend nuisibles. Trop d’habitudes et ce sont toutes nos qualités liées à la spontanéité qui risquent l’étouffement la capacité d’adaptation, la fantaisie, l’imaginaire. Ces habitudes créent une carapace protectrice qui enferme et peut pousser à considérer tout imprévu comme une menace. C’est le cas pour ceux qui redoutent de changer de train-train. Les rituels sont au contraire des habitudes qui ont du sens, ce sont des traditions

importantes car elles permettent de se réunir, de communiquer autour d’un événement commun. Ces rituels peuvent être universels, nationaux ou régionaux. Au niveau familial, ce sont des points de repère immuables, acceptés par tous les membres de la famille, ils cimentent les relations et aident à dépasser certains conflits.

D’après N. Chaline et C. Soulay, Prima, Mars 2005

Le loup, une espèce protégée

Pouvoirs publics et écologistes s’opposent sur les mesures à prendre face aux attaques de loups contre les troupeaux, de plus en plus fréquentes en France ces dernières années. La controverse a ressurgi mercredi, dans une audience publique du Conseil d’État, qui décidera d’ici la fin de la semaine de l’opportunité de suspendre un arrêté interministériel du 19 mai dernier autorisant le tir d’un loup dans l’Isère. Le loup est un animal protégé par la directive Habitats de 1992 et la réglementation française d’application de cette législation européenne. Mais depuis que le prédateur a franchi la frontière franco-italienne pour s’installer dans les Alpes françaises en 1992, les dégâts aux élevages augmentent et la facture d’indemnisation aussi. Pour les écologistes, les mesures de protection (parcage nocturne, clôtures, gardiennage, chiens Patou) freinent les attaques et les tirs du loup ne peuvent être autorisés qu’en dernier recours. Seulement un quart à un tiers des éleveurs ont pris ces mesures. À quoi éleveurs et pouvoirs publics répondent que la protection est souvent impossible à mettre en œuvre sur le terrain. Le 08/06/19 AFP Paris.

Le voyage

Le xxe siècle fut le grand siècle des explorateurs, le XXe et le XXIe siècles sont ceux des voyageurs qui se jouent des distances et des fuseaux horaires grâce à l’extraordinaire développement de moyens de transport nouveaux fiables et rapides, et la relative démocratisation du tourisme. Certes, seuls 10 des Français choisissent s’ils le peuvent, de partir à l’étranger pour leurs vacances. Mais, au fond peu importe la destination. Partir pour Saint-Flour ou pour Zanzibar, c’est, d’une certaine manière s’arracher de son nid clos pour des ailleurs dont l’exotisme n’est pas uniquement en fonction du dépaysement. Qu’allons-nous chercher loin de chez nous ? L’Autre ? C’est à voir. N’y aurait-il pas plutôt une quête égoïste de soi-même, une volonté de se retrouver face à soi au fin fond d’un désert ou dans une résidence paradisiaque ? À moins que le voyage ne soit une façon de fuir et de se fuir.

Marianne 1 M07/05

Opération de sécurisation des écoles, de la poudre aux yeux Hier, les ministères de l’Intérieur et de la Justice ont envoyé des forces de Police aux abords des collèges et lycées pour effectuer des contrôles d’identités. Un tel déploiement était-il nécessaire ? Opération de sécurisation. Les termes semblent aussi inadaptés qu’inappropriés au contexte éducatif.

Évidemment, ce ne sont là que des mots, mais ils sont néanmoins porteurs d’une idéologie, qui se concrétise par des actions. La dite opération de sécurisation doit se traduire notamment par des contrôles d’identités. Probablement afin de cueillir les délinquants extérieurs aux établissements, responsables d’actes répréhensibles rackets, vols, menaces...

C’est effectivement un facteur de violence patent. Mais était-il besoin d’une force de police pour ce faire ? Le corps éducatif

ne pouvait-il pas s’en charger lui-même, en demandant aux élèves de présenter leur carte scolaire ? Nul doute que le problème de la violence à l’école est à prendre au sérieux. Au-delà de la transmission du savoir, l’école est censée enseigner aux enfants à devenir des citoyens. Le problème est complexe et ce n’est sûrement pas en 24 heures qu’il pourra être enrayé.

Cette opération s’apparente davantage à un coup de projecteur sur la politique sécuritaire du gouvernement qu’à une réelle volonté de réforme éducative. D’après Marianno, 01/01/19 L’intégration des handicapés

Comme le propose Charles Gardou (président du collectif de recherche situation de handicap, éducation et société), la question de l’intégration scolaire des élèves handicapés se pose non pas simplement en termes de moyens, mais comme un problème de rupture culturelle exigeant un certain nombre de mutations ou de révolutions pacifiques. Une utopie ? Pas si sûr.

Car, si l’intégration apporte beaucoup aux jeunes handicapés, ces derniers enrichissent également l’école par leur présence.

Côtoyer le handicap, c’est aussi apprendre la tolérance, le partage et respecter la différence... bref, c’est la citoyenneté.

Ainsi à l’école Jacques Prévert à Quimper, 9 enfants sont déficients auditifs et les 280 écoliers suivent des cours de langue des signes C’est une richesse que nous font découvrir ces enfants, précise la directrice de l’école. Les enfants handicapés ont une telle envie de réussir qu’ils nous transmettent leur énergie. Cette ouverture vers l’autre sera certainement contagieuse. Il est ainsi fort probable qu’ils transmettront leur savoir-être aux autres enfants. Le début d’une révolution culturelle pacifique.

Maif infos 132 novembre

Du principe de précaution

On nous assène de plus en plus de mesures au nom du principe de précaution. À tel point qu’on ressent un vrai malaise dans les aéroports, on confisque même les ciseaux en plastique des enfants... toujours au nom du sacro-saint principe de précaution, les normes deviennent drastiques, les mesures de précaution draconiennes, mais comme on dit à la campagne, la peur n’empêche pas le danger. Système de sécurité, traçabilité des produits, vêtements anti-transpiration... Les Français comme les autres occidentaux se protègent de tout et n’importe quoi. On devrait donc être heureux, les plus heureux de la terre même. Et pourtant, nous sommes le pays d’Europe où l’on consomme le plus d’antidépresseurs, et dans le peloton de tête pour l’achat de médicaments. Sommes-nous en meilleure santé ? J’en doute. Alors, il est temps de se laisser aller à un peu d’excès.

D’après l’article de D. Artus, A nous Paris, 24/11/19

Devenez autoentrepreneur !

D’un simple clic, le nouveau moyen d’entreprendre ou de compléter ses revenus ! ll est possible de devenir autoentrepreneur pour augmenter son revenu principal (comme une personne qui veut créer sa première affaire en même temps que ses études ou un chanteur qui veut se lancer) ou pour avoir un revenu complémentaire (comme un salarié du secteur privé, un fonctionnaire ou un retraité qui souhaite développer une activité annexe). L’autoentrepreneur est libre de s’occuper de son affaire comme il le souhaite. La seule condition pour bénéficier de ce statut avantageux est de ne pas dépasser un certain montant de chiffre d’affaires. Celui-ci est limité 80 000 euros dans les activités d’achat-vente de biens et à

30 000 euros pour les activités de services. Au même titre que pour son travail de salarié l’autoentrepreneur déclare ses bénéfices dans le cadre de ses impôts sur le revenu. De plus, les formalités de création de la microentreprise ont été extrêmement simplifiées et peuvent se faire dorénavant par Internet. Enfin, il n’est pas nécessaire d’apporter un capital de départ.

D’après L’Express, 21/01/2019 et www.journaldunet.com

Le retour de la sieste au travail ?

Le temps de sommeil des personnes agées de 18 a 55 ans continue de diminuer peu à peu. Ansi en cinquante ans, le temps moyen de sommeil s’est réduit de 1 h 30 sur 24 heures et 30 % des Français dorment moins de 7 heures par jour. C’est pourquoi un programme d’action sur le sommeil a été proposé par le ministère du Travail. Cela a permis d’aborder le sujet de la sieste au travail jugeant que la question ne devrait pas être taboue ». D’ailleurs, si l’enquête permet d’en valider les effets positifs sur la concentration et la qualité au travail, il y est précisé que ce genre de pause devra faire l’objet d’une campagne de promotion. Après la lutte contre le tabac, le sommeil est un nouveau terrain sur lequel le ministère veut s’engager. Un dispositif destiné à soigner ceux qui dorment mal va être mis en place car « ce n’est pas normal de mal dormir », a rappelé le ministre du Travail.

D’après Fabien Fournier, Le Figaro, 31/07/2019

Comment dynamiser son niveau en langues ?

Difficile de progresser en se contentant simplement des cours ! Parfois, il est difficile d’avouer qu’après six ou sept ans de cours de langue, on est incapable de dire ou d’écrire quoi que ce soit de compréhensible dans une langue étrangère. Lycéens,

étudiants ou salariés et tous ceux qui souhaitent améliorer leur niveau linguistique doivent savoir que la seule manière d’y parvenir est de travailler régulièrement pour avancer. Pour cela, certains conseilleraient de réviser la grammaire et la conjugaison : « rien de tel que de pratiquer régulièrement en effectuant des exercices afin d’acquérir des automatismes » pour progresser. Mais apprendre des phrases clés, afin de retenir plus vite les mots, aide-t-il vraiment à exprimer votre pensée ? Il vaut mieux lire, écouter la radio ou feuilleter la presse pour gagner en réflexion et en aisance tout en se cultivant. Reste à savoir quelle méthode personnelle est la plus efficace pour réussir à communiquer dans une langue étrangère.

D’après L’Express, 21/01/2019

L’industrie au féminin !

En France, plus d’ 1,2 million de femmes travaillent dans l’industrie, soit 30 % des salariés du secteur. Depuis 10 ans, les 2/3 des emplois qui ont été créés dans l’industrie pour les cadres concernent des femmes. En général, elles occupent la moitié des emplois dans le textile et l’habillement, le cuir et les chaussures, dans l’agroalimentaire, dans la Chimie et même dans la métallurgie. Vous l’avez donc compris, le secteur de l’industrie est ouvert aux femmes, mais elles sont moins nombreuses que les hommes car elles s’orientent plus vers des filières générales et de services. Toutefois dès qu’elles choisissent des filières professionnelles et de production, elles s’intègrent dans l’industrie aussi bien que les hommes. Il y a 30 ans, la part de femmes ingénieurs et cadres dans l’industrie était de 5,2 %, aujourd’hui, elle est de 16 %. Les femmes représentent ainsi 20 % des chercheurs dans les entreprises industrielles, un chiffre qui reste bien inférieur a celui des

hommes. Peut-on imaginer une évolution vers la parité ? D’après Ariza Sellam, Metro, 27/04/2019

Quels sont les éléments clés pour une candidature réussie ? Tout d’abord, il est nécessaire de faire un travail de réflexion personnel : mettre en valeur ses atouts, ses points d’amélioration et ses aspirations professionnelles. Nous savons qu’il n’est pas simple, surtout pour un jeune diplômé, de construire un projet professionnel mais les candidats doivent absolument consacrer du temps cette réflexion avant toute démarche auprès d’un employeur potentiel. Ensuite, il faut analyser les raisons pour lesquelles son profil peut correspondre aux besoins de l’entreprise et les mettre en avant. Pour cela, il est recommandé de faire des recherches sur l’entreprise convoitée et ses métiers. La démarche doit être construite : quel poste me correspond le mieux ? Quelles sont les qualités pour y répondre ? ... Pour faciliter cette préparation, il ne faut pas hésiter aller dans des salons professionnels, à la rencontre des recruteurs, pour échanger, prendre des informations sur le secteur qui vous intéresse, sur les postes et les carrières possibles... « Arriver lors de l’entretien avec un projet et un argumentaire bien préparés fait souvent la différence ».

http://www.studyrama.com, avril 2019

L’alternance, une solution d’avenir

l’insertion des jeunes dans l’emploi peut emprunter une voie qui semble devenir prioritaire : l’alternance. Le nombre de contrats d’apprentissage et de professionnalisation augmente régulièrement depuis plusieurs années. Cependant, les contrats de professionnalisation pourraient mieux se développer, car ils s’adressent à des personnes plus qualifiées, de niveaux baccalauréat au moins, et concernent des secteurs plus divers à travers les contrats d’apprentissage ou ceux de professionnalisation, de plus en plus de jeunes sont amenés

obtenir des diplômes ou des qualifications professionnelles en alternant les cours dans un centre de formation et le travail au sein d’une entreprise ou d’un service public. Selon le ministère du Travail, le nombre de jeunes entre 16 et 25 ans en apprentissage état estimé a plus de 400 000 en 2008 et est en constante progression. L’objectif est d’augmenter encore le nombre de contrats en alternance afin de faciliter et d’accélérer l’insertion des jeunes dans l’emploi.

D’apres Manuel Jardinaud . Metro, 28/04/2015

Internet au bureau : ce qui est permis et ce qui ne l’est pas S’il est toléré de surfer sur le web à des fins personnelles, cet usage doit rester « raisonnable », précise le Code du travail. Un caractère que le juge apprécie en cas de litige. L’envoi de 156 mails personnels en deux mois a par exemple été considéré par l’employeur comme justifiant le licenciement d’un salarié pour

« utilisation abusive d’Internet sur son lieu de travail ». Une décision confirmée par les prud’hommes.

Tout en restant dans les limites d’une utilisation raisonnable du net, « L’employeur a droit de regard sur tout mail ou fichier créé par ses employés avec les outils informatiques mis à leur disposition, à moins qu’ils ne soient explicitement

“personnels » explique Ahmed Baladi, avocat [...] Une notion à laquelle sont a priori assimilées les boîtes mails externes [...]Le principe du respect de la vie privée demeure donc applicable sur le lieu de travail, à la seule condition pour le salarié de préciser clairement ce qu’il veut voir relever de sa vie privée.

Pas toujours évident pour autant de titrer régulièrement ses mails

« PERSONNEL ». Marie Bartnik, le 21 juin

Les vacances : toujours un luxe ?

Nombreux sont ceux à considérer que les vacances méritent plus de moyens et une plus grande mobilisation, voire qu’elles ont leur place au cœur des politiques de cohésion sociale.

D’ailleurs n’ont-elles pas été érigées comme un droit à part

D’ailleurs n’ont-elles pas été érigées comme un droit à part

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