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Librairie SPASS

Dans le document Données personnelles (Page 31-50)

7. Traitement du signal et contrôle évènementiels — applications embarquées

7.7. Librairie SPASS

Collaborateur : Laurent FESQUET(TIMA, Grenoble).

Publications associées : [S.3,S.5,S.6].

Tous les algorithmes ainsi que les algorithmes d’échantillonnage antérieurement développés à TIMA sont intégrés au fur et à mesure dans un environnement unifié en MATLAB, disponible en ligne sous le nom de SPASS (Signal Processing for ASynchronous Systems)

http://ljk.imag.fr/membres/Brigitte.Bidegaray/SPASS/

Cette librairie comporte actuellement une dizaine de types de signaux et environ 70 routines que l’on peut classer en catégories

— Tests de typage ;

— Conversion de type et de signal ;

— Fonctions spéciales ;

— Analyse de Fourier ;

— Filtres dans le domaine temporel ;

— Filtres dans le domaine fréquentiel.

La version 2.1 de cette librairie a fait l’objet d’un dépôt à l’APP32. Une version en Python est en cours de réalisation.

Perspectives. Le traitement du signal classique regorge d’outils qu’il nous faut adapter ou plutôt réinventer pour des systèmes asynchrones. La thèse de Saeed MIANQAISAR33soutenue le 5 mai 2009 portait sur des techniques de ré-échantillonnage de zones actives dans des signaux sporadiques. Nous voulons intégrer ces fonctionnalités dans la librairie SPASS. Des outils un peu spécifiques issus de la collaboration avec HALIAS sont également intégrés au fur et à mesure.

32. IDDN : FR.001.080019.000.S.P.2012.000.31235.

33. Saeed Mian QAISAR,Échantillonnage et traitement conditionnés par le signal : une approche prometteuse pour des traitements efficaces à pas adaptatifs,thèse Grenoble INP, mai 2009.

Projets de recherche

Responsabilité de projets

PIF (avril 2002–avril 2004). Projet IMAG.

Physique des Interactions Fines.

MADISON (janvier 2008–décembre 2009). Projet du pôle M-STIC de l’UJF.

Modèles Asymptotiques pour la DIffraction Sub-longueur d’ONde de surfaces rugueuses.

OASIS (janvier 2012–décembre 2013). Projet du pôle M-STIC de l’UJF.

Ondelettes et Analyse Statistique d’échantillons Induits par le Signal.

e-BACCuSS (mai 2015-novembre 2018) Event-Based Control, Circuits and Processing towards Ultra-Low Power Consumption.

Équipe-action du labex Persyval-lab.

Autres co-porteurs : Bernard BROGLIATO, Laurent FESQUET, Christophe PRIEUR.

Participation à des projets

Méthodes haute-fréquence pour les EDO et les EDP. Applications (novembre 2003–novembre 2006).

ACI Jeunes chercheurs JC 1036.

Responsable : François CASTELLA.

HM-MAG (septembre 2008–). Projet RTRA Nano-sciences de Grenoble Hystérésis et modélisation des micro-objets magnétiques.

Responsable : Stéphane LABBÉ.

TATIE (janvier 2009–décembre 2010). Projet du pôle M-STIC de l’UJF.

Technologie Asynchrone et Traitement des signaux Irrégulièrement Échantillonnés.

Responsable : Laurent FESQUET.

Ondes non linéaires dans les réseaux granulaires et systèmes mécaniques spatialement discrets (janvier 2013–décembre 2014). Projet de recherche de l’IXXI.

Responsable : Guillaume JAMES.

CEE (juillet 2013-décembre 2015) Contrôle et Échantillonnage Événementiels.

Projet exploratoire du labex Persyval-lab.

Porteur : Christophe PRIEUR.

NB. : 37 autres projets déposés (ou co-déposés) sans succès depuis 2002.

3. Enseignement, formation, diffusion

Enseignement

Encadrement de thèse . . . .33 Participation à l’enseignement

Contexte administratif des enseignements . . . .34 Enseignements effectués . . . .34 Encadrement de stages . . . .38

Encadrement de doctorants

Didier REIGNIER 2000 direction

Olivier SAUT 2003 co-direction partielle Chokri OGABI abandon direction

Maël BOSSON 2012 direction avec co-encadrant Kole KEITA 2014 direction

Fairouz ZOBIRI en cours direction avec co-encadrant Lionel SALESSES en cours direction avec co-encadrant

Didier REIGNIER, soutenue le 23 mars 2000.

Couplage des équations de Maxwell avec les équations de Bloch pour l’étude de la propagation d’une onde électromagnétique.

Habilitation à diriger des recherches à titre individuel. Encadrant industriel : Antoine BOURGEADE

(CEA–CESTA).

Poste actuel : consultant en réassurance chez Sirius International (Suède) spécialisé dans la migration et la consolidation de systèmes informatiques.

Olivier SAUT, soutenue le 16 décembre 2003.

Étude numérique des non-linéarités d’un cristal par résolution des équations de Maxwell–Bloch.

Directeur de thèse : Pierre DEGOND. Co-encadrement lors de la première année de thèse, partagé avec Christophe BESSE(MIP), encadrant industriel : Antoine BOURGEADE(CEA–CESTA).

Poste actuel : Directeur de Recherche CNRS à l’Institut de Mathématiques de Bordeaux.

Chokri OGABI, débutée en octobre 2006 (interrompue par le doctorant en septembre 2008).

Analyse mathématique de modèles électromagnétiques en nano-physique.

Maël BOSSON, soutenue le 19 octobre 2012.

Modèles quantiques et algorithmes d’échantillonnage rapide pour la simulation de systèmes moléculaires.

Co-encadrant : Stéphane REDON(INRIA Rhône–Alpes).

Poste actuel : co-fondateur et président d’eBikeLabs.

Kole KEITA, soutenue le 25 septembre 2014.

Modélisation mathématique et analyse numérique des modèles de type Bloch pour les boîtes quantiques.

Poste actuel : professeur assistant à l’Université Jean Lorougnon Guede, Daloa, Côte d’Ivoire.

Fairouz ZOBIRI, en thèse depuis le 1er octobre 2015.

Optimisation de l’échantillonnage pour le traitement du signal et contrôle de systèmes évènementiels.

Co-encadrant : Nacim MESLEM(Gipsa-lab).

Lionel SALESSES, en thèse depuis 2015. Encadrement depuis octobre 2017.

Problèmes d’électromagnétisme pour des matériaux diélectriques complexes.

Co-encadrant : Charles DAPOGNY.

Contexte administratif des enseignements

Statuts successifs

— 1992–1995 : monitrice

— 1995– : vacataire Établissements principaux

— École Normale Supérieure de Cachan (ENS Cachan)

— Université de Cergy–Pontoise

— École Nationale Supérieure d’Ingénieurs des Constructions Aéronautiques (ENSICA)

— Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse (INSA Toulouse)

— Université Joseph Fourier-Grenoble I

— Institut polytechnique de Grenoble, ENSIMAG Qualification aux fonctions de l’enseignement supérieur

— Qualification aux fonctions de maître de conférence, 26ème section : 1995

— Qualification aux fonctions de professeur, 26ème section : 2002, 2006 et 2010

— Qualification aux fonctions de professeur, 26ème section, 2014, n14126164089.

Prime d’Excellence Scientifique

PES 2012–2015.

Enseignements effectués

Cours de Formation à la recherche 170,5 h

Préparation à l’agrégation externe de mathématiques 222 h Cours, Travaux Dirigés et Travaux Pratiques de mathématiques 435 h Cours, Travaux Dirigés et Travaux Pratiques d’informatique 252 h Jury de concours aux grandes écoles

Total 1079 h

Cours de Formation à la recherche (170,5 heures)

De Maxwell–Bloch à Schrödinger non linéaire : une hiérarchie de modèles en optique quantique.

Minicours Post-DEA dispensé à l’Université Paris-Sud en 2001 (4 h).

Le texte augmenté de ce cours est disponible sous forme de livreHiérarchie de modèles en optique quantique. De Maxwell–Bloch à Schrödinger non linéaire.XIV+175 pages. Collection Ma-thématiques et Applications, volume 49, Springer (2006).

Électromagnétisme dans le domaine temporel.

Cours du DEA de Mathématiques Appliquées (Université Joseph Fourier et ENSIMAG), année scolaire 2002–2003 (12 h).

Ce cours commence par rappeler les équations de Maxwell linéaires ainsi que les diffé-rentes simplifications usuelles qui leur sont habituellement apportées. Ces simplifications n’ont cependant pas lieu d’être dans la plupart des couplages non linéaires avec la matière et diffé-rentes lois de matériaux seront proposées. On donne ensuite quelques résultats mathématiques sur les modèles obtenus puis on traite de la discrétisation numérique des ces équations dans le cadre des différences finies. Outre cette application précise, ce cours se veut aussi une intro-duction à ces méthodes d’analyse mathématique et numérique.

Unpolycopiéde 45 pages est disponible.

Méthodes de splitting pour les problèmes multi-échelles.

Cours de Master 2 Recherche de Mathématiques Appliquées (Université Joseph Fourier et ENSI-MAG), années scolaires 2006–2007 (12 h) et 2007–2008 (6 h).

Après une introduction à l’idée de cette méthode et aux principaux domaines d’applica-tions, on s’intéresse à des systèmes de plus en plus compliqués. On commence par introduire les splittings classiques de Lie et de Strang pour des systèmes linéaires pour lesquels on sup-pose dans un premier temps que l’on sait calculer le semi-groupe d’évolution associé à chaque partie de l’équation (exponentielle matricielle). Sur cet exemple simple, on discute la possibilité de passer à des ordres supérieurs. Puis on étudie le fait qu’il faut approcher les exponentielles via des schémas d’Euler par exemple. Tout ceci nous même au schéma de Peaceman–Rachford.

La suite du cours traite deux cas raides : tout d’abord le cas des systèmes linéaires raides, avec une analyse d’erreur précise et en étudiant le bon ordre de composition des opérateurs. Enfin dans le cadre des EDP non linéaires : Schrödinger non linéaire et une équation de réaction–

diffusion.

Unpolycopié52 de pages et uncomplémentsur les équations de réaction–diffusion de 7 pages sont disponibles.

Des modèles quantiques à la matière condensée.

Cours de Master 2 Recherche de Mathématiques Appliquées (Université Joseph Fourier et EN-SIMAG), années scolaires 2008–2009, 2009–2010 (2×12 h, version 1 du cours) et 2010–2011 (12 h, version 2 du cours).

Ce cours est un cours de mathématiques appliquées autour de l’équation de Schrödinger et de modèles physiques en découlant plus ou moins directement. Des problématiques mathéma-tiques sont bien sûr abordées, mais un accent important est donné sur les origines physiques et les applications à la physique de ces équations. Le cours commence par une introduction historique à la théorie de la mécanique quantique aboutissant à une dérivation de l’équation de Schrödinger comme la seule équation possible pour rendre cohérente une théorie quantique et sa limite de la mécanique classique. Ceci donne lieu à des équations linéaires.

Unepremière versionde ce cours donne ensuite une autre dérivation, qui elle part de l’équa-tion des ondes, et qui permet d’aboutir à des équal’équa-tions éventuellement non linéaires. Ceci sera suivi de l’analyse mathématique de cette équation par différentes méthodes et dans différents contextes.

Unedeuxième versionde ce cours fait une large place à la théorie spectrale des opérateurs de Schrödinger.

Les deux cours se terminent par un complément de dérivation physique introduisant la notion de spin et différentes notions de densité, permettant de présenter les modèles classiques utili-sées en Chimie Quantique.

Les polycopiés de la première version(61 pages) et de la deuxième version(53 pages) sont disponibles.

Méthodes numériques avancées pour la finance: méthodes de splitting en dimensions modérées.

Cours de 3ème année de la filière Mathématiques Financières de l’ENSIMAG et du Master 2 Re-cherche (Université Joseph Fourier et ENSIMAG), années scolaires 2009–2010 (6 h), 2010–2011 et 2011–2012 (2×9 h), 2012–2013 (10,5 h), 2013–2014 et 2014–2015 (2×18 h).

Après avoir présenté les deux modèles d’équations aux dérivées partielles pour les ma-thématiques financières qui nous intéressent : le modèle de Black et Scholes et le modèle de Heston, nous dégageons les principales difficultés pour aborder ces problèmes : grande dimen-sion (d’où les méthodes de splitting), traitement des dérivées secondes mixtes, traitement des conditions au bord, stabilité des schémas. Suit une présentation générale des méthodes de split-ting (cas matriciel et approximation des opérateurs d’exponentielle de matrice). La méthode de splitting est alors développée pour une discrétisation aux différences finies de l’équation de la chaleur, puis progressivement étendue au cas de l’équation de Black et Scholes : traitement des dérivées mixtes, traitement des termes du premier ordre, . . . Le cours s’achève sur une étude bibliographique montrant les extensions récentes de cette méthode à d’autres modèles de ma-thématiques financières.

Unpolycopiéde 36 pages est disponible.

Électromagnétisme numérique.

Cours de Master 2 Recherche (Université Joseph Fourier), années scolaires 2012–2013 et 2013–2014 (2×12 h).

Le but de ce cours en commun avec Stéphane LABBÉest de donner aux étudiants les outils pour la mise en œuvre de méthodes numériques pour l’électromagnétisme. Un accent est mis sur deux points nécessaires à la simulation : tout d’abord le choix du modèle adéquat pour le problème étudié, ensuite l’étude des propriétés mathématiques de ces modèles que doivent né-cessairement refléter les méthodes numériques développées. Les méthodes présentées ensuite sont les différences finies et les volumes finis dans différents contextes.

En 2013–2014, le cours est intégré au Master international et dispensé en anglais.

Algèbre linéaire.

Cours de mise à niveau de Master 2 (Université Joseph Fourier), année scolaire 2015–2016 (6 h).

Préparation à l’agrégation externe de mathématiques (222 heures)

Analyse numérique et analyse.

À l’ENS Cachan, année scolaire 1992–1993 (30 h).

Cours et écrits blancs de l’option analyse numérique pour des étudiants venus préparer l’agrégation tunisienne. Participation à quelques leçons d’analyse des étudiants normaliens.

Tronc commun de modélisation (analyse numérique).

Cours du tronc commun et participation à quelques épreuves blanches de textes de l’option calcul scientifique à l’Université Joseph Fourier, années scolaires 2003–2004, puis 2005-2006 à 2007–2008 (4×48 h).

Ce cours aborde tous les thèmes au programme, à savoir l’interpolation et l’approximation, l’analyse numérique des systèmes linéaires, la résolution des équation non linéaires, l’optimi-sation (lisse et non lisse), les méthodes de quadrature, la théorie des systèmes différentiels, l’analyse numérique des équations différentielles ordinaires, une introduction aux équations aux dérivées partielles d’un point de vue théorique et numérique.

J’ai rédigé un polycopié de 163 pages qui a été aussi utilisé comme support de cours par mon successeur.

Cours, Travaux Dirigés et Travaux Pratiques de mathématiques (435 heures)

Logique et analyse.

Cours–TD intégré du module d’orientation (1er semestre) de l’Université de Cergy–Pontoise, an-née scolaires 1993–1994, et 1994–1995 (2×64 h).

Ce cours commence par les bases de la logique : opérateurs logiques et quantificateurs. La suite donne une première approche de l’analyse : limites, continuité, dérivabilité, culminant avec le théorème des accroissements finis et les développements limités.

Analyse.

Cours de L1 MAT 128 pour les filières Physique, Physique-chimie et Géosciences (Université Jo-seph Fourier), année scolaire 2012–2013 (15 h).

Ce cours présente les premiers éléments d’analyse : les limites, la continuité, la dériva-bilité, l’intégration et le calcul des primitives, les développements limités, certaines fonctions spéciales ainsi que quelques théorèmes abstraits (théorèmes des valeurs intermédiaires, des accroissements finis. . .

Algèbre bilinéaire.

TP en 1ère année d’IUP Mathématiques Appliquées et Industrielles de Université Joseph Fourier, année scolaire 2004–2005 (12 h).

Il s’agit de TP d’application du cours correspondant, réalisés en MAPLE. Les thèmes abor-dés sont : l’algorithme de Gauss (algèbre linéaire non faite au premier semestre), la réduction des endomorphismes, l’orthogonalisation de Gram–Schmidt, la méthode de la puissance, le calcul des formes de Schur.

Calcul numérique.

Cours, TD, TP en 1ère année d’IUP Mathématiques Appliquées et Industrielles de Université Jo-seph Fourier, années scolaires 2001–2002 et 2002–2003 (2×54 h).

Ce cours d’analyse numérique est réalisé tôt dans la formation et nécessite la présentation de méthodes parfois évoluées mais en utilisant des connaissances en analyse très restreintes.

Ce cours–TD est assorti de TP en MATLAB. Les thèmes abordés sont la localisation des racines d’une équation, l’interpolation et l’approximation, les séries de Fourier, l’approximation par différences finies, les formules de quadrature, et l’intégration des équations aux dérivées ordi-naires.

J’ai rédigé un polycopié de 135 pages.

Analyse numérique.

Travaux dirigés en première année de magistère de l’ENS Cachan, année scolaire 1992–1993 (24 h).

Ces TD étaient originellement sensés illustrer un cours sur la résolution numérique des EDO. Très rapidement lassés des détails des méthodes de Runge–Kutta d’ordre 27, nous avons cédé aux envie des normaliens et traité des sujets beaucoup plus réjouissants explorant des propriétés des équations aux dérivées partielles, particulièrement des équations cinétiques.

Analyse numérique.

Bureau d’étude en 1ère année de cycle ingénieurENSICA, année scolaire 1998–1999 (40 h).

Ces bureaux d’étude consistent en des TD de 4 heures constitués d’un seul problème à résoudre et balayant séance après séance différents thèmes de l’analyse numérique : fonc-tions splines (particulièrement fondamentales en conception aéronautiques), éléments finis, méthode de Newton, moindres carré, suites de Sturm, équations différentielle (stabilité), diffé-rences finies (pour l’équation de la chaleur) et méthodes itératives en optimisation.

Analyse.

TD de L3 35G pour la filière Génie des Procédés (Université Joseph Fourier), année scolaire 2013–

2014 (18 h).

Ce cours traite des équations différentielles ordinaires et une introduction aux équations aux dérivées partielles. Le TD montre un certain nombre de contextes expérimentaux dont la modélisation aboutit à une équation différentielle ordinaire que l’on sait résoudre explicite-ment. Ensuite on traite de méthodes à un pas pour leur résolution numérique. Ce TD est basé sur la répétition d’exercices relativement élémentaires pour rendre autonomes dans ce domaine des étudiants dont ce n’esta prioripas la spécialité.

Analyse.

TD et TP de L3 35G pour la filière Génie des Procédés (Université Joseph Fourier), années scolaires 2014–2015 (18 h), 2015–2016 (54 h).

Ce cours traite de techniques d’algèbre et d’analyse pour les ingénieurs, notamment la résolution de systèmes linéaires, les fonctions de plusieurs variables et les équations différen-tielles ordinaires. Ce TD est basé sur la répétition d’exercices relativement élémentaires pour rendre autonomes dans ce domaine des étudiants dont ce n’esta prioripas la spécialité.

Analyse pour l’ingénieur.

TD en 1e anné de l’ENSIMAG, année scolaires 2017–2018 (18 h).

Le but de ce cours est d’amener à la maîtrise de la transformée de Fourier, en introduisant tout d’abord l’intégrale de Lebesgue et ses principales propriétés et en faisant une incursion dans le monde des espaces normés.

Cours, Travaux Dirigés et Travaux Pratiques d’informatique (252 heures)

Fortran 90 et algorithmique.

Cours, TD et TP en 3ème année (1ère année de cycle ingénieur) de l’INSA Toulouse, années sco-laires 1997–1998 à 1999–2000 (4×60 h).

Ce cours d’algorithmique vise à montrer un échantillon des méthodes les plus classiques de recherche, de parcours et de tri, mais aussi à donner une idée du choix des structures les plus adéquates (et de leur implémentation en utilisant toutes les possibilités offertes par Fortran 90).

On définit des types abstraits de structures séquentielles (listes, piles, files) et arborescentes (arbres binaires, arbres planaires généraux, graphes).

Matlab.

Formation continue (cours et TP) de l’INSA Toulouse en direction des industriels et enseignants du supérieur, année 2000 (4×3h).

J’ai participé à une série de formations à la carte en MATLAB. Chaque formateur était spé-cialisé sur certains aspects. J’étais particulièrement chargée de deux thèmes : la réalisation d’in-terfaces graphiques (GUI) et l’interfaçage de MATLABavec des routines C et Fortran.

Jury de concours

Concours MP.

Correction de copies du concours MP, Écoles Normales Supérieures d’Ulm et Cachan, de 1996 à 1999.

Oraux du concours MP, Mathématiques Appliquées, École Normale Supérieure de Cachan, concours 1999.

Les sujets d’oraux issus de ces interrogations font l’objet d’un livre en collaboration avec Lionel MOISAN,Petits problèmes de Mathématiques Appliquées et de Modélisation.145 pages. Col-lection Scopos, volume 9, Springer (2000).

Concours PT.

Oraux du concours PT, École Nationale Supérieure des Arts et Métiers et École Normale Supé-rieure de Cachan, concours 1997.

Encadrement de stages

Niveau Nombre d’étudiants encadrés

BAC + 5 15

BAC + 4 18

BAC + 3 4

Total 37

Stages de DEA et de M2R

— Stéphane GARREAU, avril–septembre 1996,

Modélisation et résolution des équations de Maxwell–Bloch à 3 niveaux en 1 dimension d’espace.

— Kevin LYVAN, mars–juin 1997,

Développements asymptotiques en optique non linéaire.

— Olivier SAUT, février 1999–juin 2000,

Modèle de Maxwell–Bloch pour les boîtes quantiques.

— Kole KEITA, mars–juin 2011,

Modèles quantiques des non-linéarités optiques des cristaux.

— Clarisse UWIZEYE, février–juin 2015,

Asymptotic preserving schemes for Maxwell–Bloch equations.

Stages de 5ème année d’INSA

— Céline DELMASet Jean-Pierre OUSTY, novembre 1996–février 1997, Étude numérique de l’explosion du système de Maxwell–Debye en dimension 2.

— Céline BATSet François DECLERCQ, octobre 1998–février 1999, Éléments finis pour la BPM.

Co-encadrement (50%) avec Emmanuelle DARAN(LAAS)

— Antony VIDEAUet Mounir CHAFIK, octobre 1998–février 1999, Volumes finis pour la BPM.

Co-encadrement (50%) avec Emmanuelle DARAN(LAAS)

— Nicolas BESSE, Romain FORESTIER, octobre 1999–janvier 2000, Volumes finis pour les équations de Maxwell.

— Caroline BIDOTet Céline CASSAGNOLLE, octobre 2000–janvier 2001, Schémas de volumes finis à 5 et 9 points pour les équations de Maxwell.

Stages de 4ème année d’INSA

— Pierre ANDURANDet Nicolas TABARDEL, mars–juin 1998,

Simulation d’un système paramétré en optique quantique – Interfaçage Matlab–Fortran.

— Nicolas BESSE, Stéphane DEVAUX, Amélie TOURNANT, mars–mai 1999, Discrétisations spatiales et temporelles de l’équation de Schrödinger non linéaire.

Stages de magistère, ENS Lyon

— Judith VATTEVILLE, juin–juillet 2002, Modélisation de boîtes quantiques.

— Pierre CORNILLEAU, juin–juillet 2002, Boîtes quantiques.

Stages de 2e année ENSIMAG

— Brahim MAROUANI, juillet–août 2003,

Traitement de la base de données bibliographique du LMC.

— Stéphan PLASSART, juillet-août 2013,

Numerical computation of the total correlation Fourier transform for a heterogeneous collection of sticky spheres.

— Lucas PEREZBIANCO, juillet–août 2013, Nonuniform time signals.

Initiation à la Recherche en Laboratoire de 2e année ENSIMAG

— Kevin BONKOSKI, février-mai 2015, EDP pour les options asiatiques.

Stages de mastère 1, UJF

— Kole KEITA, avril–juillet 2010, Approximation des équations de Bloch.

— Anna EFFEINDZOUROU, Pierre-Olivier LAMARE, Jules PROUST, Victor-Manuel RIBEIRO, novembre 2010–mars 2011,

Simulation de réseaux sub-longueur d’onde.

Tutorat de M1 MAI, UJF

— Daniel YOUSSEFZAID, avril–juillet 2012, Simulation micromagnétique.

Stage de 3ème année IUP MAI, UJF

— Yukako HATTORI, janvier–mars 2003, Analyse de l’atmosphère d’une pièce musicale.

Stage de L3 M&I, UGA

— Nathan RAYNAL-CASTANG, juin–juillet 2017, Modélisation du système glucose–insuline.

Stage de licence de physique, UJF

— Otman CHARAF, juillet 2002,

Modélisation de résonateurs optiques de type Kerr diffusif.

Tutorat de L3 M&I, UJF

— Daniel KOLOKOSSOBOIGNIMBEKE, mai–juillet 2008, Conversion BibTeX vers XML.

Animation scientifique

Organisation de manifestations

Comité scientifique de manifestations scientifiques . . . .40

Organisation de mini-symposia . . . .40

Comité d’organisation de manifestations scientifiques . . . .40

Vulgarisation . . . .41

Comités scientifiques de manifestations scientifiques

23–27 septembre 2002 : École d’AquitainePropagation non-linéaire des ondes électromagnétiques, organisée par le CEA–CESTA, Maubuisson.

4–7 mai 2009 : WorkshopPolaritons 2009 : Polaritons, Surface plasmons, Resonances : Sub-wavelength interac-tion in optics, organisée par le projet MSTIC MADISON, Aussois.

18–20 avril 2011 : WorkshopPolaritons 2011 : Polaritons, Surface plasmons, Resonances : Sub-wavelength in-teraction in optics, Marseille.

14–15 octobre 2013 : Graphène 2013 : Journées Mathématiques pour le Graphène, Grenoble.

Organisations de mini-symposia

17–19 juin 2015 : EBCCSP 2015. First International Conference on Event-Based Control, Communication, and Signal Processing, Special Session "Mathematical Modeling of Event-Based Sampling", Cracovie, Pologne.

13–15 juin 2016 : EBCCSP 2016. Second International Conference on Event-Based Control, Communica-tion, and Signal Processing, Special Session "Mathematical Modeling of Event-Based Systems", Cra-covie, Pologne.

24–26 mai 2017 : EBCCSP 2017. Third International Conference on Event-Based Control, Communica-tion, and Signal Processing, Special Session "Mathematical Modeling of Event-Based Systems", Fun-chal, Madère, Portugal.

Comités d’organisation de manifestations scientifiques

21 novembre 1997 : JournéeÉquations aux dérivées partielles non-linéaires, Manufacture des Tabacs, Tou-louse.

4–8 juin 2007 : Congrès de laSociété des Mathématiques Appliquées et Industrielles, SMAI 2007, Praz sur Arly.

17–18 mars 2009 : Workshop du GDR MOAD, Grenoble.

4–7 mai 2009 : WorkshopPolaritons 2009 : Polaritons, Surface plasmons, Resonances : Sub-wavelength interac-tion in optics, organisée par le projet MSTIC MADISON, Aussois.

12–13 novembre 2009 : Journées EDP-Rhône-Alpes-Auvergne, Grenoble.

18–20 avril 2011 : WorkshopPolaritons 2011 : Polaritons, Surface plasmons, Resonances : Sub-wavelength in-teraction in optics, Marseille.

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